Archive pour escroquerie RCA

Du coronavirus au réchauffement climatique anthropique, d’une arnaque à une autre avec Bill « La piquouze » Gates, tsar eugéniste de la pseudo-science… (F. William Engdahl)

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Arnaques et fausses solutions…

 

La Suède met un terme à la folie du projet de Bill Gates concernant le réchauffement climatique

 

F. William Engdahl

 

12 avril 2021

 

url de l’article original:
http://www.williamengdahl.com/englishNEO12Apr2021.php

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Depuis plus d’une décennie, Bill Gates a dirigé des millions de dollars dans une aventure scientifique folle soi-disant pour étudier la possibilité d’un “refroidissement mondial anthropique” pour freiner le “réchauffement”. Le projet, mené par des physiciens de Harvard, propose d’envoyer des satellites dans l’atmosphère afin de larguer des tonnes de produits chimiques dans une tentative de bloquer le rayonnement solaire. Maintenant une très forte résistance à ce projet en provenance de Suède a forcé Bill Gates and Co. d’abandonner le projet de lancement de satellites depuis ce pays. Cette dernière aventure en géo-ingénierie par Gates montre à quel point cette mascarade de réchauffement climatique anthropique est une vaste fumisterie. Comme sans nul doute Gates le sait, la planète a en fait déjà commencé à se refroidir alors que nous entrons dans ce que les astrophysiciens pensent être une longue période de refroidissement, causée par une période de minimum solaire dans laquelle nous sommes entrés depuis 2020.

Le 2 avril, l’Agence Spatiale Suédoise a annoncé que le programme, le Stratospheric Controlled Perturbation Experiment (SCoPEx), financé par Bill Gates, a “divisé la communauté scientifique” et ne sera donc pas mis en place. SCoPEx était un plan financé sur plusieurs années sur des fonds personnels de Gates pour tester la possibilité de réduire l’exposition au rayonnement solaire par voie de géo-ingénierie humaine.

Le plan est de larguer de la poussière de sulphate aerosol ou du carbonate de calcium dans l’atmosphère depuis une très haute altitude par des ballons dans un projet délirant d’essayer de bloquer le rayonnement solaire et donc d’empêcher le réchauffement climatique. L’agence spatiale suédoise a décidé d’arrêter le projet à cause d’une opposition non seulement de la communauté scientifique et environnementaliste, mais aussi des peuples indigènes natifs de la région suédoise comme les Saame ou les Lapons qui sont des éleveurs de rênes et qui craignent que des retombées puissent polluer et nuire à leurs troupeaux. De manière notoire, le conseil Saami a prévenu que l’expérience de Gates “essaie essentiellement de reproduire des effets d’éruptions volcaniques en semant constamment le ciel de particules atténuant et filtrant le rayonnement solaire.

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Depuis au moins 2020, Bill Gates appelle pour que l’humain atténue le rayonnement solaire. Il a donné 4,6 millions de dollars au physicien de Harvard David Keith pour faire avancer le projet. Keith a été un conseiller de Gates depuis 2005. Avec l’entreprise pétrolière Chevron (NdT: de Chevron-Texaco), Bill Gates est un des financiers de l’entreprise de Keith, Carbon Engineering, une entreprise Direct Air Capture basée au Canada. Direct Air Capture est un autre de ces projets baltringues, un processus de capturer le CO2 directement de l’air en utilisant de gigantesques ventilateurs qui aspirent l’air vers un filtre où il est traité avec un solvant caustique pour en extraire le CO2. Cela demande une énorme quantité d’eau et d’énergie pour réaliser le processus et une surface au sol de l’ordre de la taille de l’Inde selon des estimations. Capturer le CO2 de l’air pour atteindre le zéro carbone de sources d’énergie hydrocarbonées coûterait de l’ordre de 5000 milliards de dollars par an, si on pense que c’était possible sur une échelle planétaire. Keith semble parfaitement heureux de jongler avec ce type de projet sur l’ardoise d’un milliardaire pseudo-scientifique: Bill Gates.

Dans une conférence TED en 2010, Gates avait répondu à une question sur le blocage solaire, il avait alors dit “devons-nous commencer à prendre des mesures d’urgence pour maintenir la température de la terre stable ?… Il y a une ligne de recherche appelée la géo-ingénierie représentant des techniques variées qui retarderaient le réchauffement et qui nous fournirait 20 ou 30 ans pour que nous puissions agir.”

Keith a dit que malgré la déception suédoise, le groupe allait œuvrer pour le soutien de l’administration Biden afin de faire les tests aux Etats-Unis. La USA National Academies of Sciences, Engineering and Medicine a récemment publié un rapport appelant pour un investissement de 100 à 200 millions de dollars sur la “géo-ingénierie solairesur les prochaines cinq années.

La géo-ingénierie est bien réelle

Jusqu’à récemment, le gouvernement américain a nié être impliqué avec la géo-ingénierie et a étiqueté toute discussion sur de tels projets comme les chemtrails, qui vaporisent le ciel comme de la “théorie de la conspiration” (NdT: rappelons que ce terme fut inventé par la CIA pour discréditer quiconque doutait à l’époque, de la version officielle de l’assassinat de JFK…). Il semble maintenant plus ouvert à la discussion sur ce qui ont été des projets de géo-ingénierie secrets. En novembre 2017, la chambre des représentants américaine dominée par les républicains a tenu les premières auditions sur le thème “Géo-ingénierie : Innovation, recherche et technologie”. Le panel a discuté du besoin de plus amples recherches sur le géo-ingénierie contre le rayonnement solaire connu sous le vocal d’injection aérosol stratosphérique.

Une substance qui est considérée pour le projet de Gates et d’autres qui projettent de bloquer le rayonnement solaire est appelée “poudre de cendres de charbon”, le résidu de ce qui est brûlé par les centrales électriques thermiques. Cette substance qui est stockée et éliminée en sécurité par les centrales, pourrait amener des pluies acides sur terre si répandue dans l’atmosphère.

D’après l’association Physiciens pour une Responsabilité Sociale : “Selon où le charbon a été extrait, les cendres de charbon contiennent des métaux lourds incluant l’arsenic, le plomb, le mercure, le caldmium, le chromium et le selenium ainsi que de l’aluminium, de l’antimonie, du barium, du berrylium, du boron, du chlore, du cobalt, du manganèse, du nickel, du thallium, du vanadium et du zinc.” Le groupe note que l’Agence pour la Protection de l’Environnement (APE ou EPA de son acronyme anglais) a trouvé que “Si mangés, bus ou inhalés, ces agents toxiques peuvent causer des cancers et avoir un impact sur le système nerveux comme par exemple créer des déficiences cognitives, des retards de développement et des problèmes / troubles comportementaux.

Ils peuvent aussi provoquer des troubles cardiaques, maladies pulmonaires, détresses respiratoires, déficiences rénales, troubles de la reproduction, maladies gastro-intestinales, malformations de naissance et une déficience de a croissance osseuse chez les enfants.” Ceci n’est certes pas bénin.

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Le Grand Minimum Solaire

Voilà ce qu’on peut dire contre le projet de Gates-Harvard. La déclaration du conseil du peuple Saami disant que l’entreprise de blocage du rayonnement solaire par le duo Gates-Keith est une tentative de “copier les éruptions volcaniques en vaporisant continuellement le ciel de particles bloquant le rayonnement solaire”, est des plus justes et pour des raisons qui ne sont pas suffisamment discutées.

Ce que le GIEC de l’ONU refuse de discuter est la relation entre le soleil et les changements climatiques terrestres. Le soleil est ses cycles d’éruptions et de calmes solaires sont de loin les plus grands facteurs influant sur le climat de notre planète.

Le point fondamental au sujet du changement actuel dans le climat est que la Terre est dans la phase initiale non pas d’un réchauffement global, mais d’une période de refroidissement global, appelée par les astrophysiciens le Grand Minimum Solaire.

Si ceci est correct, cela laisse présager d’un changement climatique des plus dramatiques et bien plus dangereux qu’on ne puisse imaginer. D’après la NASA, notre planète est entrée dans ce qui est estimé être le minimum solaire le plus important de ces quelques 200 dernières années.

Ce que des gens comme Al Gore essaient de cacher est le fait que la planète Terre ne se réchauffe plus depuis environ l’an 2000 (NdT: les climatologues sérieux non inféodés disent qu’il n’y a plus de réchauffement, qu’il y a une “pause” depuis 1998…) et est entrée depuis l’été 2020 dans une grande période de refroidissement qui durera jusqu’à environ 2055. Les périodes historiques de Grand Minimum Solaire se déroulant tous les 200 ans environ, créent une grande instabilité météorologique, des périodes prolongées d’inondations, de grands échecs de cultures agricoles et une très grande amplitude thermique, ainsi que des perturbations dans le jet stream (NdT: ces énormes courants d’air d’altitude), créant des vagues de chaleurs et de vastes incendies de forêts entre autres évènements extrêmes. Ces effets ont été constatés et répertoriés dans des périodes au moins un siècle avant l’invention du moteur à explosion.

Ce qu’aucun modèle climatique informatique n’est capable de faire est d’incorporer les effets de notre soleil sur le climat terrestre et ce malgré la preuve scientifique bien documentée que les cycles solaires sont le plus grand facteur de changement du climat. En fait, ces modèles n’essaient même pas d’incorporer ce type de données.

Les éruptions solaires connues du public sous le terme de “taches solaires” augmentent et diminuent selon des cycles de 11 et 22 ans en gros. En plus de ces cycles, il y a des grands cycles solaires de 100 et 200 ans. Depuis juin 2020 nous sommes entrés dans un Grand Minimum Solaire, un de ceux qui peut voit l’activité des taches solaires diminuer jusqu’à zéro durant plusieurs décennies.

Les volcans et le soleil

Une recherche scientifique plus poussée trouve qu’alors que la mécanique de tout ça n’est pas entièrement claire, des périodes de minimum solaire et spécifiquement de Grand Minima Solaires, sont aussi associées avec une augmentation des tremblements de terre et de l’activité volcanique.

Un groupe de scientifiques japonais mené par le Pr. Toshizaku Ebisuzaki a examiné le timing de 11 évènements éruptifs volcaniques qui ont produit un magma riche en silice de quatre volcans japonais. Ils ont trouvé que “ 9 des 11 évènements se sont produits durant des phases inactives du soleil et de son activité magnétique (minimum solaire), qui est très bien indexé avec le nombre affilié au groupe de taches solaires. Cette forte association entre le timing des éruptions et un minimum solaire est statistiquement significatif à un niveau de confiance de 96,7”.

Ceci possède une très haute co-relation.

Il y a quelques 200 ans, nous avons eu la dernière période de Grand Minimum Solaire en date, connue par les scientifique sous le nom de minimum de Dalton, au début du XIXème siècle. En 1816, la couverture de nuages sur la planète était si importante, que cette année là est resté dans les annales comme étant “l’année sans été”. Le minimum de Dalton dura des alentours de 1790 à vers 1829. En 1815, l’énorme éruption volcanique du Mont Tambora en Indonésie, la plus grosse éruption de l’histoire archivée de l’humanité, cracha tellement de cendres et de débris dans l’atmosphère qu’en 1816, le président des Etats-Unis Thomas Jefferson nota dans son journal météo de l’état de Virginie une absence de soleil en été. Cela déclencha une vague de conditions météorologiques extrêmes et d’énormes problèmes de récoltes agricoles dans bien des endroits du monde. Des chutes de neige et de grosses gelées au mois de juin 1816 dans toute l’Amérique du Nord ont détruit presque toutes les récoltes.

Dans le monde, ce fut la pire des famines du XIXème siècle. L’énorme volume de cendres volcaniques du Tombora disséminé dans l’atmosphère durant pendant plus d’un an a réfléchi une quantité considérable du rayonnement solaire, causant des étés particulièrement frais qui contribuèrent à la pénurie de nourriture.

La preuve que nous sommes dans la même situation et dans les étapes préliminaires d’un nouveau Grand Minimum Solaire similaire à celui du XIXème siècle ou pire, est particulièrement évidente. Le 2 mars, le volcan Sinabung de Sumatra, volcan incroyablement actif, a explosé de façon spectaculaire, envoyant des cendres volcaniques à plus de 12 km d’altitude. Les particules éjectées à des altitudes au dessus de 10km et dans la stratosphère ont un effet refroidisseur direct de la planète.

L’Islande, l’île des Caraïbes de St Vincent et d’autres régions du monde, ont vu des éruptions récentes ces dernières semaines, ce qui suggèrent que nous sommes probablement en route pour un choc climatique plus important que le tsar du climat auto-proclamé Bill Gates ne veuille bien le dire. Gates, le FEM de Davos et toute une floppée de “scientifiques du climat” gourmands des financements, refusent de considérer la réalité solaire, poursuivant au lieu de cela des projets barjots comme le filtrage chimique du rayonnement solaire. Les milliers de milliards de dollars qui sont supposés être dépensés sur l’énergie éolienne et photovoltaïque inefficace, indiquent que leur agenda n’a absolument rien à voir avec la santé de la planète, ni la notre. Nous pouvons être tout à fait certains que ces “scientifiques” qui conseillent Bill Gates sont parfaitement au courant des cycles solaires. Cependant, créditons les d’un point majeur : ce sont tous des maîtres du mensonge et de la supercherie.

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Notre page « Escroquerie réchauffement climatique anthropique »

 

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sans conditionnel…

COVID, escroquerie du réchauffement climatique anthropique, Great Reset ou la planification néo-malthusienne de notre mise en esclavage technotronique finale (F. William Engdahl)

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Vidange…

 

“Quelle différence y a t’il entre les hommes politiques et les oiseaux ? Les oiseaux eux, de temps en temps, ils s’arrêtent de voler.”
~ Coluche ~

Voir notre page : “Escroquerie du réchauffement climatique anthropique”

Dictature technotronique

 

La grande conspiration criminelle du “zéro carbone”

 

F. William Engdahl

 

5 février 2021

 

url de l’article original:
http://www.williamengdahl.com/englishNEO5Feb2021.php

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Le Forum Economique Mondial de Davos (FEM) proclame la nécessité d’atteindre un objectif dans le monde entier celui du “zéro net carbone” pour 2050. Pour beaucoup, ceci paraît être bien loin dans le futur et donc peut être largement ignoré. Pourtant des transformations en cours de l’Allemagne aux Etats-Unis en passant par un grand nombre d’économies, sont en train de mettre en place la scène pour la création de ce qui fut appelé dans les années 1970 “le nouvel ordre économique mondial.” Dans la réalité il s’agit d’un plan  entrepreneurial totalitaire technocratique global, un plan qui promet par design un chômage de masse, une désindustrialisation et un effondrement économique. Considérez ici quelques éléments de cette toile de fond qui n’est en fait pas nouvelle du tout.

Le FEM de Klaus Schwab promeut en ce moment son thème favori, le Grand Reset de l’économie mondiale. La clef de tout ça est de vraiment bien comprendre ce que les mondialistes veulent dire par zéro net carbone 2050. L’UE mène la course avec son plan de devenir le premier continent “zéro carbone” avant 2050 et de réduire ses émissions de CO2 d’au moins 55% pour 2030.

Dans un post sur son blog en août 2020, le tsar auto-proclamé du vaccin, Bill Gates, a écrit au sujet de la crise climatique à venir : “Aussi terrible soit cette pandémie, le changement climatique pourrait être bien pire… Le relativement petit déclin des émissions de CO2 cette année clarifie une chose : nous ne pouvons pas parvenir à zéro émission simplement ou principalement en conduisant ou en volant moins.

Avec son quasi monopole sur les médias de masse et sur les médias sociaux, le lobby du “réchauffement climatique” a été capable de mener le monde à assumer que le mieux pour l’humanité serait d’éliminer les hydrocarbures y compris le pétrole, le gaz naturel, le charbon et même l’électricité nucléaire “libre de carbone” pour 2050 et qu’ainsi nous pourrions éviter de 1,5 à 2oC de hausse globale de température moyenne. Il n’y a qu’un problème avec tout ça. C’est une couverture pour un agenda criminel ultérieur.

Les origines du “réchauffement climatique”

Bon nombre de personnes a oublié la thèse scientifique originale qui fut mise en avant pour justifier un changement radical dans nos sources d’énergie. Ce ne fut pas le “changement climatique”. Le climat de la Terre change en permanence en corrélation avec les changements des éruptions solaires ou des cycles de ses taches affectant le climat de notre planète. Vers le passage au nouveau millénaire alors que le cycle de réchauffement dû aux cycles solaires ne se faisait plus trop ressentir, Al Gore et autres mirent en place un glissement sémantique du “réchauffement climatique” vers le “changement climatique”. Maintenant ce narratif de la peur est devenu si absurde, que la moindre tempête ou évènement météorologique extrême sont traités comme une “crise climatique”. Chaque cyclone ou grosse tempête de neige est déclaré preuve que les dieux du climat punissent le pêché carboné des humains.

Mais attendez. La raison pour la transition vers des sources d’énergie alternatives comme le photovoltaïque ou l’éolien et pour abandonner les sources d’énergie d’hydrocarbures, est leur affirmation que le CO2 émis est un gaz à effet de serre qui monte dans l’atmosphère où il forme une couche qui de manière supposée, réchauffe la terre du dessous, créant ainsi un réchauffement global anthropique. Les émissions de gaz à effet de serre proviennent essentiellement, nous explique l’Agence de la Protection de l’Environnement américaine (EPA), du CO2 ; ainsi donc le pourquoi de l’insistance sur cette “empreinte carbone”.

Ce qui n’est pratiquement jamais dit est que le CO2 ne peut pas monter haut dans l’atmosphère depuis les échappements de voitures ou les centrales électriques à charbon ou autres sources d’émission humaine de ce gaz. Le CO2 n’est pas du carbone ni de la suie. C’est un gaz invisible, incolore et sans odeur qui est essentiel dans la photosynthèse des plantes et pour toute forme de vie sur terre, nous compris. Le CO2 a une masse moléculaire de juste 29. La gravité spécifique du CO2 est 1,5 fois plus importante que l’air, ce qui suggère que le CO2 émis ne s’élève pas dans l’atmosphère à quelques 18 ou 20km d’altitude afin de former cette couche à effet de serre.

Maurice Strong

Pour bien apprécier quelle est l’action criminelle qui se met en place autour de gens comme Gates, Schwab et de tous ces avocats d’une économie mondiale soi-disant “durable”, nous devons faire un retour en arrière, en 1968, lorsque David Rockefeller et ses amis créèrent un mouvement autour de l’idée que la consommation humaine et la croissance démographique étaient le véritable gros problème dans le monde. (NdT: théorie dite néo-malthusienne). Rockefeller dont la fortune était fondée sur le pétrole, créa donc le très néo-malthusien Club de Rome dans sa villa italienne de Bellagio. Leur premier projet fut de financer une étude bidon au MIT et appelée “Limits of Growth” (Les limites de la croissance) en 1972.

Un des organisateurs clef de cet agenda “croissance zéro” de Rockefeller au début des années 70, fut son ami de longue date et protégé, un pétrolier canadien (NdT: fondateur et directeur de Petro Canada), Maurice Strong, également un membre du Club de Rome. En 1971, Strong fut nommé sous secrétaire aux Nations-Unies et secrétaire général de la conférence Earth Day de Stockholm en 1972. Il était aussi membre fiduciaire de la Fondation Rockefeller.

Maurice Strong fut très tôt un propagateur clef de la théorie scientifiquement non prouvée que les émissions gazeuses humaines de véhicules, des centrales électriques à charbon et de l’agriculture causaient une accélération dramatique de l’augmentation des températures globales sur la planète, ce qui menaçait notre civilisation d’un soi-disant réchauffement climatique anthropique (RCA). Il inventa alors ce terme élastique de “développement durable”.

En tant que chairman de la conférence Earth Day de Stockholm en 1972, Strong fit la promotion de la réduction de la population mondiale et de la baisse des standards de vie dans le monde ce afin de “préserver et sauver l’environnement”. Quelques années plus tard, le même Maurice Strong Déclara :

L’effondrement des civilisations industrialisées n’est-il pas le seul espoir pour la planète ? N’est-il pas de notre responsabilité de voir que ceci se produise ?…

Ceci est l’agenda connu aujourd’hui sous le nom de Great Reset, ou Grande Réinitialisation ou Agenda 2030 de l’ONU. Strong créa ensuite le Groupe Intergouvernemental d’Etude sur le Climat (GIEC), un corps politique qui avance et soutient la thèse non prouvée que les émissions humaines de CO2 vont amener le monde à une catastrophe écologique irréversible.

Le co-fondateur de Club de Rome, le Dr Alexander King, a admis la fraude essentielle de leur agenda environnemental quelques années plus tard dans son livre “The First Global Revolution” où il déclara :

En recherchant un nouvel ennemi pour nous unifier, nous avons trouvé que la pollution, la menace d’un réchauffement global, de pénuries d’eau, de famine et autre feraient l’affaire… Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine et ce n’est qu’au travers d’un changement d’attitude et de comportement que nous pourrons réussir. Ainsi donc, le véritable ennemi est l’humanité elle-même.

King a admis que la “menace d’un réchauffement global” n’était qu’une astuce pour justifier d’une attaque sur “l’humanité elle-même”. Maintenant ceci est déroulé sous la forme du Grand Reset et de la ruse du Zéro Net Carbone.

Le désastre de l’énergie alternative

En 2011, sur les conseils de Joachim Schnellnhuber, de l’Institut de Potsdam pour la Recherche sur l’Impact Climatique, Angela Merkel et le gouvernement allemand imposèrent une interdiction totale de l’électricité nucléaire avant 2022, en tant que stratégie gouvernementale de 2001 appelée Energiewende ou le Tournant Energétique, afin de ne plus se lier qu’à l’énergie solaire ou éolienne et autres “énergies renouvelables”. Le but était de rendre l’Allemagne la première nation industrielle à devenir “neutre carbone”.

La stratégie s’est avérée être une catastrophe économique (NdT: voulue et planifiée ?…). D’une nation au monde ayant une des grilles de puissance électrique les plus stables du monde industrialisé et à moindre coût, l’Allemagne est devenue aujourd’hui la productrice d’énergie électrique la plus chère au monde. D’après l’association allemande de l’énergie industrielle la BDEW, au plus tard en 2023, lorsque la dernière centrale nucléaire fermera, l’Allemagne fera face à des carences électriques et pénuries énergétiques. Dans le même temps, le charbon, qui fournit la plus grande source d’énergie électrique, est en train d’être éradiqué pour atteindre l’objectif Zéro Net Carbone.

Les industries traditionnelles très consommatrices d’énergie telles la production d’acier et de verre, les industries de bases chimiques, les papeteries et cimenteries, doivent faire face à des coûts énergétiques croissants et doivent soit fermer, soit délocaliser leur industrie, faisant perdre ainsi des millions de postes de travail qualifié (NdT : OQ et OHQ). L’inefficacité énergétique solaire et éolienne aujourd’hui, rend l’électricité entre 7 et 9 fois plus chère que celle produite au gaz naturel par exemple.

L’Allemagne est peu ensoleillée en comparaison des pays tropicaux, donc le vent est vu comme la source majeure d’énergie verte. Il y a une énorme demande pour le béton et l’aluminium pour produire les fermes de production voltaïque ou éolienne. Ceci nécessite une énergie bon marché pour produire comme le gaz ou le charbon voire le nucléaire. Alors que ces sources sont mises sur la touche, le coût de production devient prohibitif, même sans ajouter la tristement célèbre “taxe carbone”.

L’Allemagne possède déjà quelques 30 000 turbines éoliennes, plus que partout dans l’UE. Ces gigantesques turbines créent un sérieux problème de nuisance sonore ou de dangers par infrason pour la santé des riverains à ces énormes structures. Elles causent aussi des dégâts sur la nature tuant beaucoup d’oiseaux. Environ 25% estimés du parc éolien allemand (NdT: soit 7500 turbines) devront être remplacés ou avoir de sérieuses réparations d’entretien avant 2025. Le recyclage des déchets générés est un énorme problème. Les entreprises exploiteuses sont poursuivies en justice alors que les citoyens se rendent de plus en plus compte quel désastre elles représentent. Pour atteindre l’objectif à l’horizon 2030, la Deutsche Bank (DB) a récemment admis que l’état devra créer une “éco-dictature”.

Dans le même temps les Allemands poussent pour mettre un terme aux transports à essence ou gasoil à l’horizon 2035 en faveur des e-véhicules, ce qui est en phase avec la destruction de la plus grosse et plus profitable de toutes les industries allemandes, le secteur automobile, mettant un terme au passage à des millions de boulots. Les véhicules mus par batteries ion-lithium ont une empreinte carbone par véhicule, lorsque tout est pris en compte dans leur fabrication y compris l’extraction minière du lithium, qui est bien pire que tout véhicule diesel.

La totalité d’électricité ajoutée dont on a besoin pour remplir le contrat “zéro net carbone” à l’horizon 2050 serait bien plus importante qu’aujourd’hui alors que des millions de rechargeurs de batteries auront besoin d’une grille de production électrique des plus stables pour pouvoir fonctionner correctement. Maintenant, l’Allemagne et l’UE commencent à imposer de nouvelles “taxes carbones”, soi-disant pour financer la transition au zéro carbone. Ces taxes ne vont faire que rendre l’énergie électrique encore plus chère, assurant ainsi un effondrement encore plus rapide de l’industrie allemande.

Dépopulation

D’après ceux qui poussent cet agenda Zéro Net Carbone, c’est exactement ce qu’ils veulent : la désindustrialisation de la plupart des économies avancées, une stratégie calculée sur quelques décennies comme l’a dit Maurice Strong, afin d’amener l’effondrement des civilisations industrialisées.

Pour retourner le monde actuel et son économie industrielle vers une dystopie au feu de bois et aux turbines éoliennes où les pannes de coutant deviennent la norme comme actuellement en Californie, est une partie essentielle de la transformation via le Great Reset sous l’agenda 2030 : “UN Global Compact for Sustainability.”

Le conseiller climatique de Merkel, Joachin Schnellnhuber qui est athée, présenta l’agenda vert radical du pape François en 2015, Laudato Si, en tant que conseiller nommé du pape à l’Académie Pontificale des Sciences et il conseilla l’UE sur son agenda vert. Dans un entretien de 2015, Schnellnhuber a déclaré que la “science” a maintenant déterminé la capacité maximum de “durabilité” de la population humaine était de un milliard de personnes ou moins :

“D’une manière cynique, c’est un triomphe pour la science parce qu’au moins nous avons stabilisé quelque chose, c’est à dire les estimations de la capacité maximum de la planète qui est de fait sous le milliard de personnes.”

Pour y parvenir, le monde industrialisé doit être démantelé, Christiana Figueres, contributrice du FEM de Davos et ex-SG exécutif du Cadre de Convention sur le Changement Climatique (CCCC) de l’ONU, a révélé le véritable objectif de l’agenda climatique de l’ONU dans une conférence de presse à Bruxelles en février 2015 où elle a déclaré : “Ceci n’est pas la première fois dans l’histoire humaine que nous nous fixons volontairement la tache de changer le modèle de développement économique qui a régné depuis la 1ère révolution industrielle.

Les remarques de Figueres en 2015 sont aujourd’hui reprises en écho par le président français Macron lorsqu’il affirma au dernier FEM de Davos en janvier dernier que “sous les circonstances actuelles, le modèle capitaliste et l’économie libre, ouverte, ne sont plus possibles.” Macron, un ex-banquier de la banque Rothschild a affirmé que “la seule façon de sortir de cette épidémie est de créer une économie qui est plus focalisée sur l’élimination du fossé entre les riches et les pauvres.

Merkel, Macron, Gates, Schwab et leurs amis vont accomplir cela en ramenant les standards de vie en Allemagne et dans les pays de l’OCDE au niveau de ceux du Soudan et de l’Ethiopie. Voilà ce qu’est leur dystopie du “Zéro Net Carbone”. Sévèrement limiter les voyages aériens, les déplacements en voiture, les mouvements des gens, fermer les industries “polluantes” [au CO2], tout ça pour réduire le CO2 atmosphérique. Intéressant de voir comment de manière si pratique la pandémie du coronavirus arrive à point pour mettre en scène le Grand Reset et cet agenda 2030 Zéro Net Carbone de l’ONU.

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Information liée à l’article ci-dessus, du 6 février 2021 :

Source : Climate Depot (Marc Morano)

L’envoyé spécial à l’ONU Mark Caney : les morts de la crise climatique “seront pires que la Covid” — “Ce sera l’équivalent d’une crise coronavirus tous les ans.”

Mr Carney, qui fut le gouverneur de la Banque d’Angleterre (NdT : City de Londres…) jusqu’à encore l’an dernier et qui fut le patron de la banque du Canada avant cela, est maintenant envoyé spécial à l’ONU pour l’action et la finance contre le climat ; Carney a dit à la BBC qu’alors qu’il y avait des parallèles entre la pandémie de la COVID19 et le changement climatique [anthropique]. les dégâts à l’environnement et à l’écosystème ont le potentiel de causer encore bien plus de morts. “Un des problèmes principaux est que vous ne pouvez pas mettre le climat en auto-isolation. Ceci n’est pas une option. Nous ne pouvons pas rentrer et attendre la fin du changement climatique, car cela va empirer.” a t’il dit à Talking Business Asia : Le défi du changement climatique. “Quand vous regardez le changement climatique sur le plan de la mortalité, cela sera l’équivalent d’une crise coronavirus chaque année à partir du milieu de ce siècle et pour chaque année, pas seulement un évènement qui apparaît et disparaît. C’est donc un problème que nous devons résoudre maintenant.

Source:
https://www.climatedepot.com/2021/02/06/un-climate-envoy-mark-carney-climate-crisis-deaths-will-be-worse-than-covid-it-will-be-the-equivalent-of-a-coronavirus-crisis-every-year/

commentaire de R71 : c’est pas beau et attendrissant tout ça, le patron de la Banque d’Angleterre, grand fifrelin gourou systémique de la City de Londres qui se préoccupe de cet impact carboné si négatif de l’Homme sur cette planète… La manipulation Rothschild continue au grand jour. Les grands banquiers dans le “conseil” climatique, les geeks milliardaires de la silicon valley dans le conseil “sanitaire” des nations, de l’OMS et pour la vaccination.
Nous pensons conseiller la NASA pour qu’enfin ils aillent sur la lune… pourquoi pas ? marcherait sans doute mieux.

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Voir notre page : “Escroquerie du réchauffement climatique anthropique”

 

Escroquerie Réchauffement Climatique Anthropique, Greta Thunberg et capitalisme, fascisme transnational verts (F. William Engdahl)

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Greta Thunberg et la filière Al Gore, Soros, Goldman Sachs

 

Le climat et la piste du fric

 

F. William Engdahl

New Eastern Outlook

 

28 septembre 2019

 

Source:

http://landdestroyer.blogspot.com/2019/09/climate-and-money-trail.html

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Le climat. Qui aurait pu penser ? Les mêmes mega-entreprises et mega-milliardaires qui sont derrière le mondialisme, la mondialisation de l’économie ces dernières décennies, dont la poursuite de la valeur et du profit d’actionnaire et la réduction des coûts, qui ont tant et tant ruiné notre environnement à la fois dans le monde industrialisé et dans les économies sous-développées d’Afrique, d’Asie, d’Amérique Latine, sont les soutiens les plus importants du mouvement  de la “décarbonisation par la base” qui va de la Suède à l’Allemagne en passant par les Etats-Unis et au-delà. Est-ce le remords ou serait-ce en accord avec un agenda plus profond de la monétarisation de l’air même que nous respirons ?…

Indépendamment de ce qu’on peut penser des dangers représentés par le CO2 et les risques que le réchauffement global crée une catastrophe planétaire avec une augmentation moyenne de température de 1,5 à 2 degré Celsius dans les prochaines douze années, il convient néanmoins de noter qui fait la promotion de ce flot actuel de propagande et d’activisme climatique.


Suivez le fric…

La finance verte

Plusieurs années avant qu’Al Gore et d’autres ne décident d’utiliser une jeune écolière suédoise pour être l’égérie de l’urgence climatique, ou aux Etats-Unis d’appeler une Alexandria Ocasio-Cortez (AOC) pour une réorganisation complète de l’économie autour de la Nouvelle Donne Verte, les géants de la finance ont commencé à cogiter sur des plans efficaces pour diriger les centaines et milliers de milliards de dollars des futurs fonds d’investissement dans des entreprises “climatiques” souvent sans valeur et inutiles.

En 2013, après des années de préparation attentive, une entreprise immobilière suédoise, Vasakronan, a émis la première obligation entrepreneuriale “l’obligation verte”. Elle fut suivie par bien d’autres comme Apple, la SNCF et la banque majeure française du Crédit Agricole. En novembre 2013, Tesla Energy plombée par le problème Elon Musk, a émis la première sécurité basée sur le solaire/photovoltaïque. Aujourd’hui, d’après quelque chose qui est appelé la Climate Bonds Initiative (Initiative sur les Obligations du Climat), plus de 500 milliards de dollars de ces obligations sont disséminées. Les créateurs de l’idée de cette obligation disent que leur but est de gagner une part majeure de 45 000 milliards de dollars en acquisitions globalement sous gestion et qui ont investi nominalement dans des “projets climato-sympathiques” (“climate friendly” projects.)

Bonnie Prince Charles, futur roi d’Angleterre et du Royaume-Uni, avec la Banque d’Angleterre et la finance de la City de Londres, ont promu les “instruments financiers verts”, emmenés par les “obligations vertes”, pour rediriger les plans de retraite et les fonds mutuels vers des projets verts. Un joueur clef dans le lien entre les institutions financières mondiales avec l’Agenda Vert est le patron sortant de la Banque d’Angleterre Mark Carney. En décembre 2015, la Banque des Règlements Internationaux (NdT: Bâle, GQG des banques centrales, toutes privées rappelons-le…) et son comité pour la stabilité financière (CSF), alors présidé par Carney, créa une force spéciale sur la divulgation financière en relation avec le climat afin de “conseiller les investisseurs, prêteurs et assurances au sujet des risques liés au climat”. Ceci fut sans aucun doute un point de focalisation des plus bizarres pour des banquiers centraux.

En 2016, ce comité, avec la Corporation de la City de Londres et le gouvernement britannique, lancèrent l’initiative de la finance verte, visant à engranger des milliers de milliards au gré d’investissements “verts”. Les banquiers nommèrent 31 personnes pour former le comité. Présidé par le milliardaire de la finance Michael Bloomberg, ce comité inclut des personnes clefs en provenance d’institutions telles que la JP Morgan Chase, BlackRock-one, un des plus gros gérants de biens au monde avec un portefeuille de gestion de près de 7000 milliards de dollars, la banque Barclays, la HSBC, la banque londonienne de Hong Kong qui a été mis à l’amende moultes fois pour blanchiment de l’argent de la drogue et autres malversations, Swiss Re, la banque chinoise de l’ICBC, les Aciers Tata, ENI oil le géant italien, Dow Chemical, le géant minier BHP Bellington et David Blood de Generation Investment LLC d’Al Gore… De fait, il semble que les renards écrivent les règles de gestion de ce nouveau poulailler vert.

Carney de la Banque d’Angleterre fut aussi un acteur clef dans les efforts de rendre la City de Londres le centre financier de la finance verte mondiale. Le Chancelor of the Exchequer sortant de GB, Philip Hammond, publia une marche à suivre en juillet 2019 sur “La stratégie de la finance verte : transformer la finance pour un futur plus vert”. L’article dit: “Une des initiatives les plus influentes qui a émergé est la force spéciale sur la divulgation financière en relation avec le climat (TCFD) du comité de stabilité financière, soutenu par Mark Carney et présidé par Michael Bloomberg. Il a été endorsé par des institutions représentant globalement quelques 118 000 miliards de dollars.” On dirait bien qu’il y a un plan derrière tout cela. Le plan est la financiarisation de l’économie mondiale en utilisant la peur d’un scenario de fin du monde (climatique) afin d’atteindre des buts arbitraires tels que “des émissions zéro nettes de gaz à effet de serre”.

Goldman Sachs, acteur clef

La banque omniprésente de Wall Street de la Goldman Sachs, qui a pondu entre autre, le président sortant de la Banque Centrale Européenne Mario Draghi et le patron de la Banque d’Angleterre Mark Carney, vient juste de dévoiler le premier index mondial des top actions boursières pour l’environnement, fait avec la CDP de Londres, anciennement le Carbon Disclosure Project. Celui-ci est notoirement financé par des investisseurs comme HSBC, JP Morgan Chase, Bank of America, Merrill Lynch, Goldman Sachs, American International Group (AIG) et la State Street Corp.

Ce nouvel index, appelé CDP Environment EW et CDP Eurozone EW, vise à leurrer les fonds d’investissement, les systèmes de retraites des états comme CalPERS (the California Public Employees’ Retirement System) and CalSTRS (the California State Teachers’ Retirement System) qui ont des biens combinés de quelques 600 milliards de dollars, à investir dans leurs cibles choisies avec attention. Des entreprises du haut de cet index incluent Alphabet de Google, Microsoft, ING Group, Diageo, Philips, Danone et de manière fort à propos… Goldman Sachs.

Entre Greta, AOC and Co.

A ce point, les évènements prennent une tournure des plus cyniques alors que nous sommes confrontés avec des activistes climatiques des plus populaires et très bien promus comme par exemple la suédoise Greta Thunberg ou la New-Yorkaise de 29 ans Alexandria Ocasio-Cortez et la Nouvelle Donne Verte. Quelque soit le niveau de sincérité de ces activistes, il y a derrière eux, une très belle machine financière bien huilée, qui les promeut afin d’y gagner et d’y gagner gros.

Greta Thunberg fait partie d’un réseau très bien connecté lié à l’organisation de Al Gore, qui est professionnellement et cyniquement promue et utilisé par des agences comme l’ONU, la Commission Européenne et les intérêts financiers se trouvant derrière l’agenda climatique actuel. Comme le documente très bien le chercheur et activiste climatique canadien, Cory Morningstar dans une excellente série d’articles, la jeune Greta travaille avec un réseau bien tricoté qui est lié à l’investisseur  climatique américain et grand profiteur de la “crise climatique”, Al Gore, président du Generation Investment Group. L’associé de Gore, l’ex-Goldman Sachs David Blood, est un membre du TCFD créé par la BRI de Bâle. Greta Thunberg et son ami de 17 ans américain, Jamie Margolin, furent tous deux listés comme “special youth advisor and trustee” par la NGO suédoise “We Don’t Have Time”, fondée par son CEO Ingmar Rentzhog, qui est un membre de la Climate Reality Organization Leaders, de Al Gore et fait partie de la European Climate Policy Task Force. Il fut formé par Al Gore en mars 2017 à Denver, Colorado, puis en juin 2018 à Berlin. Le Climate Reality Project d’Al Gore est un associé de l’ONG “We Don’t Have Time”.

La membre du congrès américain (députée) Alexandria Ocasio-Cortez (AOC), qui fit l’effet d’une bombe lors de ses premiers jours en fonction en dévoilant la “Nouvelle Donne Verte” pour réorganiser complètement l’économie américaine à un coût qui sera probablement de l’ordre de 100 000 milliards de dollars, n’est pas non plus sans guide avisé. elle a ouvertement admis qu’elle s’est présentée aux élections à l’instance d’un groupe appelé Justice Democrats. elle a dit à un journaliste dans un entretien: “Je ne participerai pas à cette élection si ce nétait pour le soutien de Justice Democrats et de Brand New Congress. Euh, en fait ce furent ces organisations, JD et BNC, toutes deux qui m’ont demandé de me présenter. Ce sont elles qui m’ont appelé il y a un an et demi…” Maintenant, en tant que députée, les conseillers d’AOC incluent le co-fondateur de JD, Zack Exley, qui fut un Open Society Fellow (NdT: George Soros) et fut financé par, entra autre, l’Open Society Foundation de Soros et la Ford Foundation (NdT: gestion et intérêt Rockefeller) qui créèrent un prédécessur à JD pour recruter des candidats triés sur le volet pour participer aux campagnes électorale et être élus députés.

Le véritable agenda est économique

Les liens entre les plus grands groupes financiers au monde, les banques centrales et les entreprises transnationales avec la poussée actuelle pour une stratégie climatique extrémiste d’abandon de l’économie fondée sur les hydrocarbures en faveur d’une vague économie verte largement inexpliquée, est semble t’il, moins au sujet de la véritable préoccupation de rendre notre planète plus propre et plus saine à vivre, mais ceci serait plutôt un agenda, intimement lié à l’Agenda 2030 de l’ONU pour une économie “durable” et pour développer littéralement des milliers de milliards de dollars en nouvelle richesse pour les banques transnationales et les géants de la finance qui constituent le véritable pouvoir en place.

En février 2019, après un discours à la Commission Européenne de Bruxelles par Greta Thunberg, le président de la CE, Jean-Claude Juncker, après avoir élégamment embrassé la main de Greta, est apparu passer aux véritables actes. Il a dit à Greta et à la presse que l’UE devrait dépenser des milliards d’Euros pour combattre la changement climatique ces 10 prochaines années. Juncker a proposé qu’entre 2021 et 2027, “un euro sur quatre dépensé au sein de l’UE et de son budget le sera pour une action envers la limitation du changement climatique.” Ce que le rusé Juncker n’a pas dit, est que cette décision n’a absolument rien à voir avec la plaidoirie de la jeune suédoise. Ceci avait été décidé en conjonction avec la Banque Mondiale une année complète avant le 26 septembre 2018 au sommet One Planet et impliquant la BM, les fondations Bloomberg le World Economic Forum et autres. Juncker a intelligemment utilisé l’attention des médias donnée à la jeune Greta pour promouvoir son agenda climatique.

Le 17 octobre 2018, quelques jours après l’accord de l’UE au One Planet Summit, l’UE de Juncker signa un Memmorandum de Compréhension avec Breakthrough Energy-Europe dans lequel des membres associés de Breakthrough Energy-Europe auront un accès préférentiel à tout financement à ce sujet.

Les membres de Breakthrough Energy incluent: Virgin Air’s Richard Branson, Bill Gates, Alibaba’s Jack Ma, Facebook’s Mark Zuckerberg, HRH Prince Al-waleed bin Talal (NdT: Qatar), Bridgewater Associates’ Ray Dalio; Julian Robertson of hedge fund giant, Tiger Management; David Rubenstein, founder Carlyle Group; George Soros, Chairman Soros Fund Management LLC; Masayoshi Son, fondateur Softbank, Japon. 

Ne vous y trompez pas. Lorsque des entreprises multinationales des plus influentes, des investisseurs du plus haut niveau mondial incluant BlackRock et la Goldman Sachs, l’ONU, la Banque Mondiale, la Banque d’Angleterre (NdT: et la City de Londres derrière) et autres banques centrales, leur GQG de la BRI de Bâle, s’alignent derrière le financement d’un soi-disant “agenda vert”, appelez-le Nouvelle Donne Verte ou ce que vous voulez, il est grand temps de regarder sous la surface publique de ces campagnes d’activistes climatiques et l’image qui en émerge est celle d’une tentative de réorganisation financière de l’économie mondiale en utilisant la “crise climatique”, quelque chose sur quoi le soleil et son énergie naturelle auront toujours par ordre de magnitude, beaucoup plus à voir que l’humanité ne l’aura jamais, pour essayer de nous convaincre, nous les gens ordinaires, de faire des sacrifices incommensurables pour “sauver notre planète”.

En 2010, le patron du Working Group 3 du GIEC, le Dr Otmar Edenhofer a dit à un journaliste qui l’interviewait: “… on doit dire clairement que nous redistribuons de facto la richesse mondiale par la politique climatique. On doit se libérer de l’illusion que la politique internationale sur le climat est une politique pour l’environnement. Ceci n’a plus rien à voir avec l’environnement, avec des problèmes comme la déforestation ou le trou dans la couche d’ozone.” Depuis, la stratégie de la politique économique s’est développée bien plus avant.

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Lectures complémentaires:

F. William Engdahl sur Résistance 71

La_City_de_Londres_au_coeur_de_lempire

Notre page « Escroquerie du Réchauffement Climatique Anthropique »

Manuel_du_sceptique_climatique_No1

Manuel du Sceptique II-V4

 

Illusion démocratique: L’écologie imposture de l’aliénation (Internationale Incontrôlable)

Posted in actualité, écologie & climat, économie, crise mondiale, gilets jaunes, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, société des sociétés with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 19 mars 2019 by Résistance 71


Escroquerie du RCA

 

À bas l’aliénation économique !

À bas  l’imposture écologiste !

À bas la mobilisation capitaliste pour améliorer la merde climatique de la chosification de l’humanité asservie !

 

Internationale Incontrôlable

 

Mars 2019

 

L’aliénation  économique et l’imposture écologiste se relient d’elles-mêmes par l’Histoire et par l’étymologie dans la continuité organique du déploiement dialectique du sens pratique de la vie… L’économie, du grec ancien oikonomía, renvoie à l’administration de la maison propriétarienne en tant qu’activité humaine commercialisée ; laquelle consiste en la production, la distribution, l’échange et la consommation pour la vente et l’achat tels que ces catégories résultent de la mort advenue de la communauté  première quand l’oikos et le démos du produire solvable terminent de se substituer à la communauté originelle du génos sans argent ni État. L’écologie renvoie, elle aussi, à cet habitat aliénant du produire-l’argent… Elle émerge dans la seconde partie du XIXe siècle, lorsque les ravages de la marchandise commencent à devenir si visibles que, pour s’économiser, l’économie se doit de penser de façon protectrice les relations des organismes avec le monde environnant, de telle sorte que la survie de l’environnement soit garanti pour la sauvegarde de l’économie elle-même.

Dans la communauté, l’homme est en le cosmos immédiat de la vie sacrale. Il n’y a pas d’environnement et il n’y a pas d’économie puisqu’il n’existe aucune médiation. De la sorte, la nature n’est pas l’autre de l’homme : elle en est le cœur immanent de vie anti-marchande incarnée. De la même façon que l’auto-émancipation humaine abolira l’économie et la politique, elle liquidera l’écologie comme imposture capitaliste de reproduction de la nature aliénée par la société de la rentabilisation. L’écologie radicale, quant à elle, est consubstantielle à l’extrême droite et à l’extrême gauche du Capital ; elle est le projet illusoire le plus poussé de ceux qui veulent promouvoir une autre économie politique… En conséquence, l’économie de l’écologie disparaîtra avec l’écologie de l’économie… Dans le communisme, la nature n’est plus séparée de l’homme qui n’est plus séparé de lui-même… Il n’existe plus que le cosmos charnel de l’anti-mercantile et de l’anti-politique…

Aujourd’hui, l’écologie, comme toute forme d’expression du spectacle de la marchandise, est une mystification destinée à permettre la reproduction matérielle et symbolique du mode de production de la liberté despotique du profit. Ainsi, quasiment muette sur l’ampleur réelle du désastre des pesticides et de la chimie médicamenteuse qui tue progressivement la totalité de l’humus de l’être, l’idéologie écologiste, à la remorque trompeuse du gouvernement du spectacle mondial des angoisses universelles, a-t-elle fait des mythes du réchauffement climatique et du CO2 un vecteur cardinal de l’accumulation symbolique des nécessités de la valorisation de la servitude volontaire.

Partout où règne le spectacle du fétichisme marchand, les seules paroles autorisées sont celles qui veulent confirmer et conforter le fétichisme de la marchandise spectaculaire. Aucune ne peut donc être contradictoire à ce qui existe par la volonté tyrannique de la liberté capitaliste, ni contre-venir à la censure qui concerne le Tout de l’essentiel… On reconnaît le faux tout simplement à ce qu’il fuit et interdit, par principe, tout débat… Marx avait compris dès 1843, dans son fameux texte sur la Censure, que toute interdiction de discussion cache fondamentalement le faux triomphant du despotisme de l’argent, qui – dans l’impuissance qu’il a à pouvoir tolérer la véridique réalité explosive de l’ex-ister – est nécessairement inapte à accepter la plus petite confrontation au moindre contradictoire…

Tous ceux qui avaient, il y a déjà bien longtemps, commencé à critiquer les illusions et le mensonge de la démocratie, en la définissant comme la négation achevée de l’homme, ne s’étaient pas trompés. On la reconnaît à ce signe distinctif qu’elle est bien la consécration de l’abjection et de l’avilissement puisqu’elle est le triomphe des fictions du marché qui capitalise toute émotion…

Tout ce qui est censuré dit à la fois le vrai véridique du faux officiel et le faux véridique du vrai officiel…

À l’heure où la COP 21 des Nations unies du capitalisme mondialiste s’est réunie à Paris dans une vaste messe soliloquiste de débilisme profond où toute parole différente était immanquablement prohibée, redisons simplement des choses essentielles…

Le climat n’a pas attendu la révolution industrielle du Capital pour mettre en marche des fluctuations importantes. Le climat a toujours bougé. On retiendra plusieurs grandes époques climatiques sur le dernier millénaire :

– Autour de l’an 1000, une phase chaude a notamment permis à des groupes vikings significatifs d’aller s’implanter au Sud du Groenland (la « terre verte ») et de s’y développer avec cultures et bétail.

– Le climat du bas Moyen Âge s’est, ensuite, graduellement refroidi pour laisser la place à ce que l’on a appelé « le petit âge glaciaire », qui a duré jusqu’au milieu du XIXe siècle. Pendant cette période, les glaciers alpins ont avancé de 1 000 m avant de céder progressivement du terrain, au fil du réchauffement constaté durant le XXe siècle et qui se poursuit probablement aujourd’hui, en révélant ainsi progressivement les vestiges d’habitats médiévaux abandonnés.

On précisera que la planète Mars est actuellement en phase de réchauffement et que cela n’est certainement pas dû à l’activité humaine de production du CO2… Et on indiquera que la dernière étude approfondie de la NASA, publiée en novembre 2015, confirme, à la suite des précédentes, que les glaces de l’Antarctique sont en pleine expansion…

La théorie de l’origine humaine du réchauffement en raison d’une production excessive de gaz à effet de serre, s’appuyant exclusivement sur des modèles informatiques foncièrement incertains, est très loin de faire l’unanimité, mais, comme toute discussion contradictoire est interdite, seul a droit de diffusion, dans le crétinisme universitaire et médiatique de la marchandise, le GIEC du gouvernement du spectacle mondial de la marchandise.

L’absolutisme du spectacle de l’argent planétaire, qui, désormais, possède tous les moyens de déformer et défigurer l’ensemble de ce qui se passe, est, dorénavant, propriétaire intégral de tout ce qui a lieu comme il est tyran incontrôlable de tout ce qui prépare, sur le terrain, des réorganisations de l’économie politique de la soumission. Il dirige seul l’intégralité des espaces pour la totalité du temps de l’argent… Il décide, gouverne et régente tout ce dont on jargonne pour ne point penser…

Que la cause substantielle des changements climatiques en sus de la variation normale de l’orbite terrestre puisse être l’activité solaire constitue, encore pour l’instant, une controverse condamnée… Comme pour tous les totems et tabous issus notamment de la Seconde Boucherie capitaliste mondiale, l’on attend donc, ici aussi, que l’interrogation vraie puisse enfin se substituer aux vérités officielles qui dissimulent toujours le faux omni-présent…

On se souviendra, avec humour et sens critique, d’autres manœuvres du même genre utilisées dans le passé par le spectacle de la marchandise totalitaire : 

– l’hiver nucléaire, le refroidissement climatique durant les années 1970 ;

– les pluies acides censées détruire toutes les zones forestières de la planète durant les années 1980 ;

– le trou de la couche d’ozone laissant passer des rayons ultraviolets nocifs et contribuant à l’effet de serre durant les années 1980-1990.

Les révélations survenues dans le cadre du Climategate en 2009 ont démontré l’ampleur des nombreuses manipulations et manigances mises en place pour faire artificieusement correspondre de multiples observations discordantes à la construction théorique de l’origine humaine du réchauffement, de même que la censure du débat a été systématiquement mise en place pendant que de nombreuses pièces étaient dissimulées, et ce alors que d’innombrables sentences d’excommunication étaient évidemment partout proférées…

Finalement, le réchauffisme aura constitué une des plus grandes impostures intellectuelles de la science moderne du spectacle marchand, et les bétonnières de l’implantation des effrayantes éoliennes capitalistes qui brassent tant de vent pécuniaire nous enseignent, à coup sûr, que l’écologie représente admirablement le stade suprême de la fabulation économique. Comme Marx le développe dès le Livre Premier du Capital, « la production capitaliste disloque l’interaction métabolique entre l’humanité et la terre ; elle empêche, autrement dit, le retour à la terre de ses éléments nutritifs constituants […]. Tout progrès dans l’agriculture capitaliste devient ainsi un progrès dans l’art non seulement de dépouiller le travailleur, mais [encore] de spolier le sol ; tout progrès qui accroît la fertilité du sol pour une durée déterminée est aussi un progrès qui ruine ses sources à plus long terme. Ainsi, la production capitaliste ne développe la technique et ne contribue au procès social de production qu’en minant simultanément les sources originelles de toute richesse : le sol et le travailleur ».

Ainsi, les choses sont claires… Toute vraie défense de l’homme en la vérité du naturalisme cosmique est anti-capitaliste et donc anti-écologique, puisque l’écologie n’est rien d’autre que le spectacle de reconstitution d’une pseudo-nature dans le territoire d’un capitalisme aménagé où les ressources de la vie correctement asservie permettent que l’homme réifié affiche la preuve de son intimité économe avec la marchandisation mesurée du vivant.

Commentaires sur l’extrême radicalité des temps derniers…
Critique de la dictature démocratique du spectacle de la marchandise terminale...

Éditions le Retour aux sources

Internationale Incontrôlable,

Mars 2019

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« Escroquerie du réchauffement climatique anthropique »

 

Changement climatique… naturel: Prédiction d’un grand coup de froid dans le système solaire…

Posted in actualité, altermondialisme, écologie & climat, militantisme alternatif, politique et social, science et nouvel ordre mondial, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , on 4 octobre 2018 by Résistance 71


… l’Homme propose la Nature dispose…

 

Notre dossier « Escroquerie du réchauffement climatique anthropique »

~ Résistance 71 ~

 

Le soleil est maintenant entré dans un «minimum solaire profond» 

 

Conscience du peuple

 

1er octobre 2018

 

url de l’article en français:

http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2018/10/le-soleil-est-maintenant-entre-dans-un.html

 

…et la Terre pourrait être exposée à une très longue période de températures froides: c’est le « Space Weather » qui l’affirme!

* Le cycle solaire est responsable des conditions météorologiques extrêmes et du changement climatique (anglais)

https://wattsupwiththat.com/2018/09/30/hunger-stones-and-tree-ring-evidence-suggests-solar-cycle-influence-on-climate/

Le soleil suit des cycles d’environ 11 ans où il atteint un maximum solaire puis un minimum solaire.

Pendant un maximum solaire, le soleil dégage plus de chaleur et est couvert de taches solaires. Moins de chaleur dans un minimum solaire est due à une diminution des ondes magnétiques.

Les scientifiques sont catégoriques: nous pénétrons maintenant dans un minimum solaire, ce qui cause une déformation de l’atmosphère terrestre.

Cela se produit chaque fois que le soleil change de cycle – lorsqu’il atteint un minimum solaire, la thermosphère se contracte et, lors d’un maximum solaire, elle se dilate pour offrir une meilleure protection contre les rayons solaires.

Space Weather, sur leur site: indique: « Le soleil entre dans un minimum solaire profond et la haute atmosphère de la Terre réagit ».

« Les données du satellite TIMED de la NASA montrent que la thermosphère (la plus haute couche d’air entourant notre planète) se refroidit et se rétrécit, diminuant littéralement le rayon de l’atmosphère. »

On ne s’attendait pas à ce que les taches solaires atteignent le minimum solaire avant 2020 et que cela entraînera une vague de froid prolongée.

La dernière fois qu’il y a eu un minimum solaire prolongé, cela a conduit à un «mini âge de glace», connu scientifiquement comme le minimum de Maunder – qui a duré 70 ans.

Le minimum de Maunder, qui a connu sept décennies de temps glacial, a débuté en 1645 et s’est prolongé jusqu’en 1715, à une époque où les taches solaires étaient extrêmement rares.

Au cours de cette période, les températures ont globalement chuté de 1,3 degrés Celsius, ce qui a entraîné des saisons plus courtes et, finalement, des pénuries alimentaires.

Vencore Weather, un site Web météorologique, a déclaré: « On sait que la faible activité solaire a des conséquences sur le temps et le climat de la Terre. Elle est également bien corrélée à une augmentation des rayons cosmiques atteignant la partie supérieure de l’atmosphère. Le soleil blanc est un signe que le prochain minimum solaire approche et qu’il y aura de plus en plus de jours sans tache au cours des prochaines années. »

Sources:

https://spaceweatherarchive.com/2018/09/27/the-chill-of-solar-minimum/

https://www.express.co.uk/news/science/1025359/cold-weather-forecast-warning-solar-minimum-maximum-space-weather-news

 

Escroquerie Réchauffement Climatique Anthropique… 400 articles scientifiques anti-« consensus » publiés en 2017

Posted in actualité, altermondialisme, écologie & climat, ingérence et etats-unis, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , on 26 octobre 2017 by Résistance 71

En 2017 plus de 400 articles scientifiques publiés soutiennent une position sceptique en ce qui concerne l’alarme sur le changement climatique

Un volume croissant de preuves scientifiques infirme le “consensus” sur la science du climat

 

Kenneth Richard

 

23 octobre 2017

 

Source: 

http://notrickszone.com/2017/10/23/400-scientific-papers-published-in-2017-support-a-skeptical-position-on-climate-alarm/#sthash.boGlnqLo.2YidXnts.dpbs

 

Pendant les 10 premiers mois de l’année 2017, 400 articles scientifiques ont été publiés doutant de la position voulant que le gaz carbonique (CO2) d’origine anthropique soit le facteur directeur de contrôle du thermostat du changement climatique… ou qui d’autre part, mettent en question l’efficacité des modèles de projection climatique et les positions liées au “consensus” généralement acceptées par les législateurs et les médias de masse.

Ces 400 nouveaux articles soutiennent la position disant qu’il y a des limites  et des incertitudes signifiantes inhérentes à notre compréhension du climat et des changements climatiques. La science du climat n’est en rien établie et définitive. Les températures modernes, les niveaux des mers et les évènements climatiques extrêmes ne sont ni inhabituels, ni sans précédents. Bien des régions de la planète sont maintenant plus froide qu’elles ne l’ont jamais été ces derniers 10 000 ans.

Des facteurs naturels tels que l’influence du soleil (106 articles), les oscillations océaniques multi-décennales comme les NAO, AMO/PDO, ENSO (37 articles), les variations de la couverture nuageuse sur des périodes de 10 ans et la variable interne générale, ont exercé une influence significative sur le temps et les conditions climatiques dans le passé et aujourd’hui. Ainsi, détecter un fort signal de forçage anthropique parmi le bruit de la variabilité naturelle non forcée peut par conséquent s’avérer très difficile.

Les politiques actuelles de remédiation, spécifiquement celles liées à la promotion des énergies renouvelables, sont souvent coûteuses, ineffectives et peut-être même détrimentales à l’environnement. D’un autre côté, un taux plus élevé de CO2 atmosphérique et un climat plus chaud fournissent des bénéfices à la biosphère terrestre (ex: planète plus verte favorisant de meileures récoltes).

En 2016 il y a eu 500 articles scientifiques révisés et analysés par les pairs publiés dans des journaux/magazines scientifiques, articles défiant le “consensus” sur la science climatique ( 500 peer-reviewed scientific papers published in scholarly journals (Part 1, Part 2, Part 3) ) Ceci correspond donc à plus de 900 articles en moins de 2 ans.

Ci-dessous vous trouverez les liens vers les listes de 400 articles ainsi qu’un guide pour la catégorisation de ces articles.

Skeptic Papers 2017 (1)

Skeptic Papers 2017 (2)

(Les parties 1 et 2 se trouvent sur la même page)

Part 1. Natural Mechanisms Of Weather, Climate Change  

Solar Influence On Climate (108)

ENSO, NAO, AMO, PDO Climate Influence (37)

Modern Climate In Phase With Natural Variability (13)

Cloud/Aerosol Climate Influence (8)

Volcanic/Tectonic Climate Influence (4)

The Theoretical Greenhouse Effect As Climate Driver (11)

Part 2. Unsettled Science, Failed Climate Modeling

Climate Model Unreliability/Biases/Errors and the Pause (24)

Failing Renewable Energy, Climate Policies (12)

Wind Power Harming The Environment, Biosphere (7)

Elevated CO2 Greens Planet, Produces Higher Crop Yields (5)

Warming Beneficial, Does Not Harm Humans, Wildlife (4)

Warming, Acidification Not Harming Oceanic Biosphere (15)

Decreases In Extreme, Unstable Weather With Warming (3)

Urban Heat Island: Raising Surface Temperatures Artificially (5)

No Increasing Trends In Intense Hurricanes (3)

No Increasing Trends In Drought/Flood Frequency, Severity (3)

Natural CO2, Methane Sources Out-Emit Human Source (4)

Miscellaneous (7)

Part 3. Natural Climate Change Observation, Reconstruction

Lack Of Anthropogenic/CO2 Signal In Sea Level Rise (27)

No Net Warming During 20th (21st) Century (11)

A Warmer Past: Non-Hockey Stick Reconstructions (50)

Abrupt, Degrees-Per-Decade Natural Global Warming (7)

A Model-Defying Cryosphere, Polar Ice (30)

Recent Cooling In The North Atlantic (7)

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Voir notre dossier sur l’escroquerie du Réchauffement Climatique Anthropique (RCA)

Socrate et la maïeutique du réchauffement climatique anthropique

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Ceci est un dialogue hypothétique qui aurait pu avoir lieu entre Socrate et un membre de la secte “réchauffiste” anthropique mondiale…

Socrate
 Content de vous rencontrer Mr Smith. On me dit que vous êtes très préoccupé au sujet d’un réchauffement climatique dangereux.

Mr Smith
 Oui en effet, nous devons faire face à la conjoncture alarmante d’une catastrophe de réchauffement climatique mondial.

Socrate
Qu’est-ce qui vous préoccupe tant ?

Mr Smith
Les émissions de gaz carbonique en provenance des combustibles de source fossile.

Socrate
 Comment ces sources fossiles furent-elles formées ?

Mr Smith
 Une grande variété de plantes a poussé, puis sont mortes et ont formé des sources de carburants fossiles pendant la période géologique du carbonifère.

Socrate
 Y a t’il eu un réchauffement mondial dangereux avant la période du Carbonifère ?

Mr Smith
 Non. Il n’y a aucune preuve d’un réchauffement mondial dangereux avant la période du Carbonifère.

Socrate
 D’où provient le carbone des carburants d’origine fossile ?

Mr Smith
 Les plantes ont absobé le gaz carbonique de l’atmosphère avant la formation des combustibles fossiles.

Socrate
 Alors le gaz carbonique absorbé par les plantes est maintenant relâché dans l’atmosphère au cours de la combustion de ces carburants fossiles ?

Mr Smith 
Cela doit être çà.

Socrate
 Vous avez observé qu’il n’y avait pas eu de réchauffement dangereux avant que le CO2 ne fut absorbé pour former le combustible fossile, donc comment ce même gaz carbonique maintenant relâché peut-il provoquer un réchauffement mondial dangereux ?

Mr Smith
 Je trouve l’implication de votre question très provocatrice et dérangeante. Vous devez savoir qu’il y a en ce moment même une action attentée contre vous pour corruption de la jeunesse avec vos questions philosophiques.

Socrate
 Je suis très sensible au fait que les gens sont dérangés par mes questions philosophiques qui révèlent la vérité au moyen d’une logique irréfutable et des faits qui réfutent des croyances ayant cours depuis bien longtemps. Notre conversation n’a pas été une exception.

Mr Smith
 Je dois partir maintenant.

Source: Climate Study Group

https://s3.amazonaws.com/jo.nova/guest/aust/academic/climate-study-group/The%20Australian%20Socrates%20Advertorial%20final%20to%20print%2013%20%26%2020.1.17.pdf

Traduction Résistance 71 le 19 jannvier 2017

Escroquerie réchauffement climatique anthropique: Fumisterie politique et science bidouillée…

Posted in actualité, altermondialisme, écologie & climat, économie, média et propagande, N.O.M, néo-libéralisme et paupérisation, pédagogie libération, police politique et totalitarisme, politique et lobbyisme, politique française, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 27 novembre 2016 by Résistance 71

“Le processus du GIEC est lié à l’activisme environnementaliste, à la politique et à l’opportunisme. Il n’est en rien lié ou connecté à la science.”

“La preuve que le CO2 ne dirige aucunement le climat est démontré par les glaciations précédentes. Les grandes glaciations silurienne et du jurassique-crétacé se produisirent avec des contenus atmosphériques de CO2 d’environ 2000 ppm… Ceci n’a jamais été expliqué par ceux qui argumentent que les additions humaines de CO2 dans l’atmosphère provoquent ou provoqueront un réchauffement climatique global.”

~ Ian Plimer, professeur de sciences environnementales, université d’Adélaïde, 2009 ~

Toute cette fumisterie est passée du “Refroidissement Global” des années 1970, au “Réchauffement Climatique Anthropique” (RCA) dans les années 1980 (Thatcher commença cette escroquerie planétaire), au “Changement Climatique” (le mot “anthropique” étant maintenant sous-entendu pour mieux faire passer la pilule sur un plan sémantique, en effet qui peut nier que le climat change ?…), depuis l’affaire du ClimateGate de novembre 2009 qui vit des milliers de courriels et de correspondances intranet de l’université d’East Anglia en Angleterre (le nid du RCA) être fuités, démontrant la collusion entre scientifiques et politiciens dans la falsification et le bidouillage des données fournies pour fabriquer les modèles climatique informatiques bidons utilisés par le GIEC et les agences politiques idoines. L’affaire du “Hide the decline” ou le “Cachez ce déclin [du réchauffement] que je ne saurais voir”, signa l’arrêt de mort du RCA et les débuts du “changement climatique”, fondé sur la même escroquerie scientifique, engraissant sur le marché des échanges carbones les Al Gore, Patchauri (alors grand gourou du GIEC) et consorts, associés comme larrons en foire dans le CCX ou la bourse du carbone basée à Chicago et ayant le monopole du boursicotage du CO2. CCX (Chicago Carbon Exchange) qui a fermé depuis, mais les escrocs Gore et Patchauri courent toujours. Nous avons couvert ces affaires depuis des années et nos fidèles lecteurs en savent autant que nous à ce sujet.
Le professeur Roy Spencer est un expert en la matière et ses analyses pesées sont toujours rafraîchissantes.
Pour les quelques ceux ayant manqué des épisodes ou prenant le train en marche…

Lire nos dossiers:

“Escroquerie du RCA” et aussi le dossier connecté au RCA sur “Le pétrole abiotique”, sachant que le bidouillage scientifique est rampant toujours pour le profit du plus petit nombre.

~ Résistance 71 ~

 

Réchauffement climatique anthropique: la fumisterie politique contre la science bidouillée

 

Pr. Roy Spencer (Ph.D météorologie, ex-NASA)

 

17 novembre 2016

 

url de l’article original:

http://www.drroyspencer.com/2016/11/global-warming-policy-hoax-versus-dodgy-science/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Au début des années 1990, je rendis visite au conseiller scientifique de la Maison Blanche, le professeur Robert Watson, qui pontifiait sur le succès acquis de la réglementation du gaz fréon pour résoudre le problème du “trou dans la couche d’ozone” et que maintenant le nouvel objectif était de réglementer le gaz carbonique, qui à cette époque était pensé être la seule raison du réchauffement climatique.

J’étais alors un peu stupéfié de cette approche de la “charrue avant les bœufs”. Il me semblait vraiment que l’objectif de cette politique était bien trop gravé dans le marbre pour être honnête et dès lors le nouvellement formé GIEC avait la tâche des plus obscures de fabriquer la science qui soutiendrait une telle politique…

Maintenant, 25 ans plus tard, la préoccupation du public pour le réchauffement climatique anthropique (alias “changement climatique”, NdT: l’”anthropique” étant maintenant sous-entendu depuis le ClimateGate de novembre 2009…), demeure tout en bas de la liste des préoccupations environnementales.

Et pourquoi donc cela ?

Peut-être parce que les gens n’en voient pas les effets dans leurs vies quotidiennes….

1) En considérant toutes mesures objectives, le mauvais temps n’a en aucun cas empiré.

2) Le réchauffement ne s’est produit qu’à la moitié de ce que prédisait les modèles climatiques informatiques (NdT: fondées sur une “science” que nous savons totalement bidonnée depuis le ClimateGate de 2009 : “Cachez ce déclin que je ne saurais voir”…) et de ce que prédisait et affirmait le GIEC.

3) Le CO2 est nécessaire à la vie sur Terre. Il a fallu à l’humanité 100 ans d’utilisation intensive d’hydrocarbures pour augmenter le contenu de CO2 atmosphérique de 3 à 4 parts pour 10 000.

4) Le CO2 en excès est maintenant crédité pour causer un “verdissement” mondial.

5) Malgré les contorsions nerveuses au sujet des impacts du changement climatique sur l’agriculture, les rendements actuels de blé, de maïs, de soja sont records (NdT: dans le contexte de l’agro-business, certainement pas dans un contexte d’agriculture traditionnelle qui voyait des rendements bien supérieurs à ce qu’ils sont aujourd’hui et de manière naturelle et non chimique…)

Comme exemple de la déconnexion entre la réalité et les modèles climatiques qui font foi pour guider la politique énergétique, voici une compilation graphique représentant les températures moyennes annuelles dans les 12 états américains de la “ceinture du blé” (données officielles de la NOAA), comparées avec les projections des modèles climatiques utilisés par le GIEC (voir le graphique sur l’article original en anglais)

Oui, il y a eu un petit réchauffement récent. Et alors ? Quelle en est la cause ? Cela est-il inhabituel en comparaison des siècles précédents ? Est-ce nécessairement une mauvaise chose ?

Et, ce qui est plus important de la perspective politique, que pouvons-nous y faire de toute façon ?

La supercherie politique du réchauffement climatique (anthropique)

Rush Limbaugh et moi avons eu un désaccord de bonne nature sur sa caractérisation du réchauffement climatique (anthropique) comme supercherie. Le président élu Donald Trump a aussi utilisé le terme de “supercherie”.

Je voudrais offrir ici ma perspective sur les manières dont le réchauffement climatique est en fait une supercherie, mais aussi un sujet légitime de recherche scientifique.

Bien que cela puisse paraître cynique de le dire, le réchauffement climatique a été utilisé politiquement afin que les gouvernements puissent gagner le contrôle sur le secteur privé. La vision de Bob Watson n’était qu’une indication de cela. En tant qu’ancien fonctionnaire, je peux confirmer l’angoisse et la pression que les fonctionnaires subissent afin de demeurer utile et efficace aux yeux des contribuables qui paient leurs salaires, il y a donc un désir continu d’augmenter le rôle de l’État et des gouvernements dans nos vies quotidiennes afin de simplifier leur existence.

En 1970, l’ Environmental Protection Agency (EPA) reçût un mandat légitime de nettoyage de notre air et de notre eau. Je me rappelle des crises de pollution auxquelles nous faisions face dans les années 1960. Mais tous ces problèmes furent (en partie) résolus, alors l’EPA se retrouva dans la situation précaire de ne simplement plus être d’aucune utilité.

Donc. L’EPA s’est embarquée dans une mission de toujours remonter les niveaux de réglementations gouvernementales. Toute substance faite par l’Homme et qui montre la plus petite preuve d’être dangereuse en larges concentrations a été la cible de réglementation. J’ai été dans une réunion de la Carolina Air Pollution Control Association (CAPCA) il y a quelques années où un employé de l’EPA déclara au groupe que “nous ne devons jamais cesser de rendre l’environnement plus propre” (ou quelque chose d’avoisinant).

Il y eut des hoquets dans l’assistance.

Voyez-vous, il y a un rôle tout à fait légitime pour l’EPA, celui de réguler les niveaux de pollution humaine clairement dangereux.

Mais ce n’est physiquement pas possible de faire que notre environnement soir à 100% propre.

En essayant de rendre notre environnement de plus en plus propre, le coût pour ce faire augmente dramatiquement. Vous pouvez nettoyer et assainir votre maison dans la zone de 90% et ce de manière assez facile, mais la rendre propre à 99% demandera d’énormes efforts et en augmentera le coût.

Comme tout économiste vous le dira, l’argent dépensé pour une chose n’est plus disponible pour une autre, comme la santé par exemple. Ainsi, le risque encouru en sur-régulant la pollution est que vous vous retrouvez à tuer plus de gens que vous n’en sauvez, parce qu’il y a une chose que nous savons et qui tue des millions de personnes par an et c’est la pauvreté. (NdT: Ici, le Dr. Spencer met le doigt sur un aspect très sensible sans peut-être même s’en rendre compte: le fait est que l’oligarchie planifie la mort de millions et millions de personnes, l’eugénisme est une grande partie de l’agenda oligarchique planétaire ne l’oublions jamais et le RCA est une des tactiques pour remplir cette tâche, Spencer le sait-il ou pas ? Nous ne le savons pas…)

Le réchauffement climatique (anthropique) est devenu une raison pour que le gouvernement mette en place des politiques, que ce soit celle de la taxe carbone ou quoi que ce soit d’autre, utilisant un mécanisme régulatoire que le public refuserait en masse s’il savait: (1) combien cela leur coûte en terme de réduction de prospérité et (2) le très peu d’effet que cela a et aura sur notre système climatique.

Ainsi, la prescription politique devient de fait une supercherie, parce que le public est trompé et on le force à croire que ses actions vont “améliorer” le climat.

Même en utilisant les chiffres du GIEC (et donc ceux de l’EPA), il n’y a rien que nous puissions faire sur le plan de la politique énergétique qui aurait un effet mesurable à terme sur les températures globales.

A cet égard, Les politiciens qui utilisent le réchauffement climatique (anthropique) comme outil politique pour résoudre un soi-disant problème ayant été identifié, sont de fait des fraudeurs et des enfumeurs. Les besoins énergétiques de l’humanité sont si importants, que dans les décennies à venir, il a été estimé par Bjorn Lomborg qu’il est fort peu probabe que 20% de ces besoins énergétiques soient satisfaits avec des sources d’énergie renouvelables.

Que cela vous plaise ou non, nous sommes coincés avec les hydrocarbures comme source primordiale d’énergie pour les décennies à venir. Gérez et intégrez cela. Et dans la mesure où nous avons besoin éventuelleemnt de plus d’énergie renouvelables, alors laissez le secteur privé s’en charger. (NdT: Il est bien évident que nous ne sommes pas d’accord sur ce point avec Spencer. La seule solution est de sortir du carcan capitalisto-étatique et entrer dans une ère de l’autogestion du bien commun, sans étiquette de prix, les choses même les plus complexes se simplifient grandement…). Les entreprises de l’énergie sont dans les affaires de fournir de l’énergie et elles se moquent d’où cette énergie provient (NdT: là réside aussi un des problèmes majeurs, le tout lié au PROFIT et aux conflits d’intérêts, impensable dans une société égalitaire sortie de l’exploitation et de la valeur ajoutée spéculative…)

La malhonnêteté de la science du réchauffement climatique

Le directeur de la NASA/GISS, Gavin Schmidt, vient juste de poser un défi au président nouvellement élu Donald Trump de ne pas interférer avec leur recherche sur le réchauffement climatique anthropique.

Les gars, il est temps de sortir le popcorn pour le spectacle!

Gavin joue la même carte que l’ancien directeur du GISS, James Hansen, celle qu’il avait joué il y a quelques années lorsque l’administration Bush avait essayé de “brider” Hansen de parler sans retenue à la presse et au Congrès.

A cette époque, j’étais le directeur scientifique pour les recherches sur le climat à la NASA/MSFC et la NASA avait de très strictes règlementations en ce qui concerne la presse et le Congrès des Etats-Unis. J’ai suivi ces règlements à la lettre; Hansen ne le fit pas. Lorsque j’en ai eu marre que l’administration bride mes libertés, j’ai exercé ma liberté et mon libre-arbitre et j’ai démissionné de la NASA pour trouver un boulot de recherche universitaire.

Hansen lui décida de jouer “le scientifique éternellement persécuté”. Après tout, lui (et ses supporteurs dans la communauté de l’environnement) avaient pour mission de “sauver la planète” et Gavin emprunte maintenant également ce chemin.

Je peux néanmoins sympathiser avec Gavin sur ce que le “changement climatique” est en fait un sujet légitime d’étude. Mais ils doit comprendre que le zèle de style EPA utilisée par par les agences de financement (NASA, NOAA, DoE, NSF) pour caractériser TOUT changement climatique comme étant de cause humaine ET aussi dangereux causeraient eventuellement un retour de flamme de ceux qui paient les factures.

Nous, les peuple, ne sommes pas si stupides.

Donc maintenant la recherche sur le climat se trouve à un carrefour des plus importants. Les scientifiques doivent arrêter de mal représenter le réchauffement climatique comme étant une science sûre, définie et admise.

Je veux aussi dire que la recherche sur le réchauffement climatique n’est pas de l’ingénierie spatiale, elle est en fait bien plus compliquée. Au mieux c’est une science malhonnête, parce qu’il y a tellement d’incertitudes que vous pouvez juste obtenir toute réponse que vous désirez des modèles climatiques simplement en utilisant à souhait ces incertitudes comme boutons de réglage.

La seule partie de cette science qui est relativement définie et admise est qu’ajouter du CO2 dans l’atmosphère de la planète a probablement contribué au réchauffement récent. Mais cela ne veut en rien dire que c’est dangereux.

Et cela ne veut certainement pas dire que nous pouvons y faire quoi que ce soit… et ce même si nous le voulions.

Escroquerie du changement climatique anthropique: Escroquerie d’un marché « vert » de 5 à 7000 milliards de dollars !

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Pour les banquiers l’escroquerie du changement climatique anthropique représente un marché potentiel de 7000 milliards de dollars

La marée du fric, le flot des conflits d’intérêts

 

JoNova

 

17 juillet 2016

 

url de l’article original:

http://joannenova.com.au/2016/07/climate-change-is-potentially-a-7-trillion-dollar-money-making-venture-for-bankers/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

L’industrie “verte” actuelle représente déjà environ la somme de 1500 milliards de dollars par an. Mark Carney, le gouverneur de la Banque d’Angleterre a dit qu’il s’attendait à ce que ce marché croisse juqu’à 5 ou 7000 milliards de dollars.

Financial Post: Climate change a $7 trillion funding opportunity

Il a déclaré qu’étant donnés les énormes besoins de financement pour une infrastructure propre, il estime le rebond des opportunités d’investissements quelque part entre 5000 et 7000 milliards de dollars par an.

Si l’énergie verte propre était efficace, bon marché et viable il n’y aurait aucun “besoins de financement” car le marché bondirait pour exploiter cette opportunité. Au lieu de cela, la plupart des investisseurs agissent comme de véritables sceptiques (climatiques). Le fait même que les banquiers centraux vendent si agressivement en dit suffisamment long sur l’affaire. Peut-être que les banquiers centraux veulent aider les pauvres et sauver le monde, ou bien se pourrait-il que l’industrie de la finance dans sa totalité profiterait d’un faux marché forcé et d’une autre monnaie de singe ? Quelles sont les commissions de change sur un marché de 7000 milliards de dollars ?…

Une fois de plus on nous fait le coup de ce mythe du “marché libre”:

“Mettre un prix sur le carbone est le moyen le plus sûr pour que les marchés jugent une exposition tangible au changement climatique”, a dit Carney.

Etiqueter le carbone a été un gros échec pour changer le temps qu’il fait partout dans le monde. Le libre-échange et le libre-marché ne fonctionnent pas quand il ne sont pas libres et quand ils s’appliquent à une molécule qu’on trouve partout (C) et qui est impliquée dans quasiment toute forme de vie sur la planète. De plus, que veut dire “prix propre” de toute façon ? L’évaluation du coût de l’utilisation de panneaux solaires pour réduire votre exposition aux dégiats occasionnés par les inondations en 2100 est un sale calcul, peut pas faire plus sale en fait. Les calculs ne peuvent pas devenir plus bordéliques, plus sombres ou plus inutiles que çà. Pulvérisez ces chiffres et enterrez-les 6 pieds sous la cendre volcanique.

L’idée de coller un marché sur un produit qui est essentiellement produit et consommé par la nature est bizarre, bizarre à l’extrême même. Pratiquement aucun des joueurs dans un marché global du carbone ne répondra aux avantages offerts. L’Océan Pacifique ne va pas acheter de crédit carbone, ni le phytoplancton, les vaches, les moutons et encore moins la levure. Même dans le pauvre marché des 4% contrôlé par les humains, la demande n’est pas élastique, ce qui veut dire que les coûts de l’énergie forcent déjà la majorité du marché à être efficace. Les gains demeurant sont mineurs et pathétiques. Donc de larges mesures balayant tout le secteur économique sont inefficaces, et ce même si les modèles du GIEC n’étaient pas à la ramasse.

Bien que ce ne soit pas à 100% sûr que Carney voulait dire “annuellement” ou sur les 20 prochaines années ; Bloomberg implique cette dernière possibilité. Mais hé, 1000 milliards par-ci, 1000 milliards par-là hein ?…

“En termes des ordres de magnitude de l’énergie propre ou d’une infrastructure basse d’énergie carbone, de purification de l’eau etc, ceci serait mis en place dans le courant des prochaines 15 ou 20 années,” a dit Carney. “Étant donné la croissance de l’urbanisation, des champs, étant donnés les cadres politiques qui sont mis en place, cela représenterait de l’ordre de 5 à 7000 milliards de dollars.”

Étant donné que l’investissement est déjà de l’ordre de 1500 milliards de dollars, je présume qu’il voulait dire 7000 milliards de dollars dans 10-20 ans. Comme on essaie de changer le climat global avec des moulins à vent et des douches froides, un feu de joie de cette amplitude est auss “réaliste” que de créer un financement pour capturer la petite souris collectrice des dents de lait, ceci pourrait réalistiquement coûter à peu près autant.

Quelqu’un peut-il en trouver une transcription ?

Escroquerie du réchauffement climatique anthropique: Bidouillage et falsification des données… La grande saga du mensonge climatique continue !

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Dites au monde que 2015 est l’année la plus chaude depuis… 2010 !

 

JoAnne Nova

 

22 janvier 2016

 

url de l’article original:

http://joannenova.com.au/2016/01/hottest-shattering-year-since-the-last-one-five-reasons-it-was-not-hot-and-not-relevant/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Note de R71: Chaque point mentionné dans l’article ci-dessous a ses graphes propres. Consultez-les sur l’article original en anglais.

Tout le cinéma fait au sujet de points décimaux contestés dans des sets de données de températures hautememt ajustés de facteurs inutiles ne fait que montrer Ô combien non-scientifique est le débat public. Ce n’était probablement pas l’année la plus chaude de ces 150 dernières et même si cela était, quelle importance ? Cela ne nous dit rien sur la cause. (vous rappelez-vous lorsque la corrélation de cause à effet avait encore une importance pour un scientifique ?). Les forces naturelles comme le soleil et les nuages peuvent provoquer également des années chaudes. Même si elle était la “plus chaude” d’un court segment à bruits de fond, le monde a été plus chaud auparavant (et la vie sur terre resplendissait…) et les modèles (informatiques) du climat sont toujours faux. Si le CO2 était un gros facteur d’influence du climat, 2015 aurait dû être bien plus chaude.

  1. Ce n’était pas l’année la plus chaude. Les satellites ont une bien meilleure et plus vaste couverture de données, pratiquement sur la planète entière (au lieu de parkings, de pistes de décollages et comme les thermomètres de surface dûment sélectionnés). Les satellites disent que 1998 et 2010 furent plus chaudes. En tout cas, ces pinaillements sur des différences de “bruits de fond” ne sont juste que les signes que la route ne mène plus nulle part, ce qui est important est la tendance sur le long terme et les prédictions des modèles climatiques informatiques. (si les modèles fonctionnaient, les “scientifiques” n’auraient pas besoin d’aller faire un futile gala pour la galerie eh ?)
  2. 2015 fut un échec pour les alarmistes – pas assez chaude… Comparé à 1998, les modèles climatiques reconnus et utilisés par le GIEC disent tous que ce devrait être bien plus chaud que cela ne le fut. Nous avons eu un autre El Niño en 2015 et depuis 1998, les humains ont émis plus d’un tiers de toutes les émissions de CO2 de leur histoire dans l’atmosphère et pourtant 2015 fut plus fraîche que 1998 et 2010. Le CO2 ne pilote pas le climat.
  3. Il a fait bien plus chaud avant et pendant des milliers d’années, C’est normal. Même si 2015 avait été l’année la plus chaude des archives modernes (qui ont commencé en 1850), le monde a été plus chaud à plusieurs reprises ces 10 000 dernières années. L’Antarctique n’a pas fondu. La Grande Barrière de Corail a survécu ainsi que les ours polaires et les pingouins. Un climat chaud n’est pas une apocalypse et ce ne fut pas causé par le CO2.

Comprenez la façon dont les températures ont augmenté et ont chuté au Gröenland (voir le graphique sur l’article original). Les températures actuelles sont probablement similaires à la période chaude médiévale. Les pointes ici ne représentent que le Groënland, pas le monde entier, et ce qui se passe maintenant n’est pas du tout inhabituel.

  1. Où sont la cause et l’effet ? La dernière fournée de réchauffement climatique a commencé bien avant que le CO2 ait commencé à augmenter. Aucun des scientifiques ne peut expliquer pourquoi le réchauffement climatique a commencé près de 200 ans avant la première centrale électrique à charbon. Soit le charbon affecte le continuum de l’espace-temps, ou peut-être lisent-ils mal dans le marc de café ?
  2. Comme nous sommes dans une projection de réchauffement de 300 ans, il est inévitable que les données “les plus chaudes” en archives seront battues. Durant la seconde guerre mondiale nous aurions pu avoir les mêmes manchettes. Si vous étiez au monde de 1938 à 1948, vous auriez pu entendre parler d’environ cinq de ces records battus.
  3. Brisés? Quel sorte de scientifique est brisé parce que ce fut 1/10 de degré plus chaud que le dernier record ajusté, homogénéisé de zone moyenne ? Ils devraient être brisés de ne toujours pas pouvoir expliquer la pause dans le réchauffement, la période chaude médiévale (NdT: celle qui fut éliminée du fameux graphe tronqué de la “crosse de hockey”…), le petit âge glacier ou le hot spot manquant (inexistant).

Le professeur du MIT Richard Linzen dit que ces affirmations d’”année la plus chaude” sont une “pirouette sur du vent”

Thanks to Climate Depot:

“Et la preuve que l’incertitude est de l’ordre de 1/10 de degré est les ajustements qui sont en train d’être effectués. Si vous pouvez ajuster la température de 2/10 de degré, cela veut dire qu’il n’y avait pas de certitude à 2/10 de degré”, a t’il ajouté.

“Les 70% de la surface de la planète sont constitués d’océans, nous ne pouvons pas mesurer très bien ces températures. Elles peuvent être fausses de la moitié d’un degré, d’un quart de degré. Même 2/10 de degré de changement serait peu mais 2/100 est ridicule. Quiconque commence à croasser au sujet de ces chiffres montre qu’ils pirouettent le truc sur rien du tout.”

Les choses que les médias ne nous dirons pas

 Joe Bast, Heartland Institute

Bast:

“La grande nouvelle ne dit rien de l’enquête en cours du congrès sur la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), prouvant que la NOAA a falsifié ses données de températures. Aucune mention que les données de station de surface ne sont actuellement pas globales et sont connues pour exagérer la tendance au réchauffement. Elle sont contredites par les véritables données satellites globales, qui sont à leur tout validée par les données recueillies par les ballon sondes. Dire que “l’archivage des données fiables globales a commencé en 1880”, met le début de la collection des données juste à la fin du petit âge glaciaire, n’est-ce pas bien utile ? James Taylor de Heartland Institute a essayé d’immuniser la presse du virus en provenance de la NOAA avec un article la semaine dernière dans le magazine Forbes.com “2015 n’était même pas de près la plus chaude année en archive.”