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L’après « pandémie », créons notre monde (David Graeber)

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Après la pandémie, ne nous rendormons pas !

 

David Graeber (2020)

 

Note du traducteur pour Résistance 71 :
Peu de temps avant sa mort prématurée en septembre 2020, l’anthropologue anarchiste et figure du mouvement Occupy Wall Street (OWS) David Graeber, que nous avons abondamment traduit et publié sur ce blog, a écrit ce court essai au sujet de la conjoncture pandémique et de ses conséquences sociales. Publié en février 2021, nous le traduisons et publions en tant que premier écrit post-mortem de l’auteur.

A un moment donné dans les prochains mois, la crise [du COVID] sera déclarée terminée et nous pourrons retourner à nos boulots “non-essentiels”. Pour beaucoup, cela sera comme se réveiller d’un rêve.

Les classes médiatique et politique vont définitivement nous encourager à penser de cette manière. C’est ce qu’il s’est passé après le crash financier de 2008. Il y a eu un bref moment de questionnement, de remise en cause. Qu’est-ce que la “finance” de toute façon ? N’est-ce pas juste la dette des autres ? Qu’est-ce que l’argent ? Est-ce juste de la dette aussi ? Quelle dette ? N’est ce pas juste une promesse ? Si l’argent et la dette ne sont qu’une collection de promesses que nous nous faisons les uns les autres, alors ne pourrions pas aussi simplement nous en faire d’autres ? Cette fenêtre fut presque instantanément fermée, arrêtez de penser et retournez au boulot ou du moins commencez par en chercher.

La dernière fois donc, la plupart d’entre nous s’y sont trompés. Cette fois, il est absolument vital que nous ne le soyons pas. Parce qu’en réalité, la crise que nous venons d’expérimenter était de se réveiller d’un rêve, une confrontation avec la réalité vraie de l’être humain et de la vie humaine, qui est que nous sommes une collection d’êtres fragiles s’occupant les uns des autres et tous ceux qui font le plus gros du boulot qui nous permet de rester en vie sont sous-payées et sur-imposés, humiliés quotidiennement et que la vaste majorité de la population ne fait pas grand chose si ce n’est de fantasmer, de soutirer des loyers, des rentes et de manière générale mettre des bâtons dans les roues de ceux qui font, bougent, transportent, fabriquent les choses ou subviennent aux besoins d’autres êtres vivants. Il est important que nous ne retournions pas dans cette réalité où tout cela prend un sens inexplicable, de la façon dont des choses insensées se produisent souvent dans les rêves.

Que pensez-vous de ça : Pourquoi ne cesserions-nous pas de traiter tout cela comme quelque chose de normal le fait que plus quelqu’un travaille pour bénéficier à quelqu’un d’autre, le moins cette personne sera payée en retour ou d’insister que les marchés financiers sont la meilleure façon de diriger les investissements de long terme même si cela nous propulse à la destruction de l’essentiel de la vie sur Terre ?

Pourquoi pas donc au contraire, lorsque toute cette crise est finie, nous rappeler de ce que nous avons appris : que si “l’économie” veut dire quelque chose, c’est de nous procurer les uns les autres ce dont nous avons besoin pour vivre bien dans tous les sens du terme et que ce que nous appelons “le marché” n’est juste qu’une façon de prendre en compte les désirs futiles des riches, dont la plupart est un tant soit peu pathologique et qui étaient en train de planifier leurs bunkers où ils prévoyaient d’aller vivre si nous continuions à être assez fous de croire les sermons de leurs mignons nous disant que nous sommes collectivement trop ignorants et sans sens commun pour faire quoi que ce soit au sujet des catastrophes à venir. Pourrions-nous les oublier cette fois-ci ?

La plupart du boulot que nous faisons n’est que poudre aux yeux, il n’existe que pour lui-même ou pour faire en sorte que les riches se sentent bien dans leurs pompes. Si nous arrêtions simplement ce non-sens, il serait alors possible de nous faire entre nous un autre arrangement de promesses : par exemple de créer une “économie” qui prenne soin des gens qui s’occupent de nous.

= = =

A lire : nos pages « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

« COVID-19 du mythe aux stats et des stats au scandale »

 

Dictature sanitaire et technotronique : liste (non exhaustive) de vidéos de médecins et scientifiques anti-vaccination

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Liste non-exhaustive de vidéos de médecins anti-vaccins

Anonyme

4 avril 2021

Note de Résistance 71 : Certaines de ces vidéos ont sans doute déjà été censurées, nous invitons les lecteurs à sauvegarder celles qui peuvent encore l’être pour futur référence, la guerre de l’info et la censure font rage. Ce blog en est une victime parmi des centaines d’autres. Si l’internet permet de toucher une plus vaste audience, rien ne remplace le contact de proximité et la dissémination de l’information de bouche à oreille, sous le manteau ou au grand jour… Il est IMPOSSIBLE de faire taire à 100% une dissidence, tout pouvoir autoritaire, toute coercition la plus soft soit-elle contient en elle-même sa résistance. Il ne fait aucun doute pour nous que la voix de la raison prévaudra en tout et avec elle, l’humanité dans sa forme achevée émancipée de la dictature étatico-marchande et sa énième mutation en cette entité de gouvernance mondiale supranationale nommée « Nouvel Ordre Mondial » par l’oligarchie en place.
Messieurs/dames de la pourriture et de la dégénérescence marchande, rendez-vous, vous êtes cernés !

1. Dr. Nancy Banks – http://bit.ly/1Ip0aIm

2. Dr. Russell Blaylock – http://bit.ly/1BXxQZL

3. Dr. Shiv Chopra – http://bit.ly/1gdgh1s

4. Dr. Sherri Tenpenny – http://bit.ly/1MPVbjx

5. Dr. Suzanne Humphries – http://bit.ly/17sKDbf

6. Dr. Larry Palevsky – http://bit.ly/1LLEjf6

7. Dr. Toni Bark – http://bit.ly/1CYM9RB

8. Dr. Andrew Wakefield – http://bit.ly/1MuyNzo

9. Dr. Meryl Nass – http://bit.ly/1DGzJsc

10. Dr. Raymond Obomsawin – http://bit.ly/1G9ZXYl

11. Dr. Ghislaine Lanctot – http://bit.ly/1MrVeUL

12. Dr. Robert Rowen – http://bit.ly/1SIELeF

13. Dr. David Ayoub – http://bit.ly/1SIELve

14. Dr. Boyd Haley PhD – http://bit.ly/1KsdVby

15. Dr. Rashid Buttar – http://bit.ly/1gWOkL6

16. Dr. Roby Mitchell – http://bit.ly/1gdgEZU

17. Dr. Ken Stoller – http://bit.ly/1MPVqLI

18. Dr. Mayer Eisenstein – http://bit.ly/1LLEqHH

19. Dr. Frank Engley, PhD – http://bit.ly/1OHbLDI

20. Dr. David Davis – http://bit.ly/1gdgJwo

21. Dr Tetyana Obukhanych – http://bit.ly/16Z7k6J

22. Dr. Harold E Buttram – http://bit.ly/1Kru6Df

23. Dr. Kelly Brogan – http://bit.ly/1D31pfQ

24. Dr. RC Tent – http://bit.ly/1MPVwmu

25. Dr. Rebecca Carley – http://bit.ly/K49F4d

26. Dr. Andrew Moulden – http://bit.ly/1fwzKJu

27. Dr. Jack Wolfson – http://bit.ly/1wtPHRA

28. Dr. Michael Elice – http://bit.ly/1KsdpKA

29. Dr. Terry Wahls – http://bit.ly/1gWOBhd

30. Dr. Stephanie Seneff – http://bit.ly/1OtWxAY

31. Dr. Paul Thomas – http://bit.ly/1DpeXPf

32. Many doctors talking at once – http://bit.ly/1MPVHOv

33. Dr. Richard Moskowitz – censored

34. Dr. Jane Orient – http://bit.ly/1MXX7pb

35. Dr. Richard Deth – http://bit.ly/1GQDL10

36. Dr. Lucija Tomljenovic – http://bit.ly/1eqiPr5

37. Dr Chris Shaw – http://bit.ly/1IlGiBp

38. Dr. Susan McCreadie – http://bit.ly/1CqqN83

39. Dr. Mary Ann Block – http://bit.ly/1OHcyU

40. Dr. David Brownstein – http://bit.ly/1EaHl9A

41. Dr. Jayne Donegan – http://bit.ly/1wOk4Zz

42. Dr. Troy Ross – censored

43. Dr. Philip Incao – http://bit.ly/1ghE7sS

44. Dr. Joseph Mercola – http://bit.ly/18dE38I

45. Dr. Jeff Bradstreet – http://bit.ly/1MaX0cC

46. Dr. Robert Mendelson – http://bit.ly/1JpAEQr

47. Dr Theresa Deisher https://m.youtube.com/watch?feature=youtu.be&v=6Bc6WX33SuE

48. Dr. Sam Eggertsen-7a4dd71dafbb1404bfd494dae3fe02fd-b-mail-icon_video-link.gifhttps://m.youtube.com/watch?v=8LB-3xkeDAE

Lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

Apprenez plus sur la dictature technotronique sur Résistance 71

Vaccination mondiale et dictature technotronique véritables objectifs de « l’opération COVID » (Dr Pascal Sacré)

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Excellente analyse du Dr Sacré comme à son habitude. Nous attirons particulièrement l’attention des lecteurs sur les notes  sources de l’article qui valent d’être lues à elles seules. Si après tout ça certains disent encore qu’ils ne « savent » pas ou ne « savaient » pas, la faute leur en incombe car l’information montrant l’escroquerie de cette « crise sanitaire »est partout. L’objectif est le verrouillage de la grille de contrôle de la dictature technotronique du paradigme oligarchique post-capitalisme.
Qu’on se le dise !
~ Résistance 71 ~

La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID

“Entre dépeuplement planifié et cynisme financier, l’humanité doit se réveiller”

Dr. Pascal Sacré

22 février 2021

url de l’article original:
https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-mondiale-le-veritable-objectif-de-loperation-covid-19/5653966

La vaccination contre le SARS-CoV-2, le virus responsable de la maladie COVID-19, a été lancée dans le monde alors que les essais cliniques ne sont ni complets ni terminés.

Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des produits qui sont toujours en phase d’évaluation des effets secondaires et de l’efficacité sont injectés à des êtres humains sans que ceux-ci ne soient correctement informés et sans obtenir leur consentement éclairé, sous couvert d’urgence et de déclarations des autorités sanitaires influencées par des firmes pharmaceutiques comme en témoigne ce document de l’Agence Européenne du Médicament (EMA-AEM) [1].

Même la revue Prescrire, après son article partial et critique en défaveur de l’ivermectine [2] -voir la réponse du docteur Gérard Maudrux [3], sur le vaccin ADN d’Astra Zeneca et Oxford le souligne :

  • Le niveau de preuves des données est globalement faible, entre autres parce que les essais ne se sont pas déroulés comme prévu, et que les données d’efficacité clinique rendues publiques ne portent que sur environ la moitié des participants aux essais.
  • Dans les essais, la diminution relative du risque d’être atteint d’une maladie covid-19 a été d’environ 70 % dans les groupes vaccin ChAdOx1 nCoV19, avec une incertitude autour de l’ampleur de l’efficacité plus grande qu’avec les deux vaccins à ARNm déjà autorisés. Une réduction de la fréquence de covid-19 grave est vraisemblable mais non démontrée.
  • 36 % des participants avaient au moins un facteur de risque de covid-19 grave autre que l’âge, mais l’incertitude autour de l’ampleur de l’efficacité chez eux est encore plus grande que pour l’ensemble des participants. Seulement 6 % environ des participants étaient âgés de 65 ans ou plus.
  • Les effets indésirables connus du vaccin ChAdOx1 nCoV19 sont surtout des réactions locales et systémiques très fréquentes. Il existe encore de nombreuses inconnues inhérentes au faible recul d’utilisation, notamment de ce vecteur viral chez les êtres humains.

Des niveaux de preuve globalement faibles, de nombreuses inconnues inhérentes au faible recul d’utilisation.

Toute mise sur le marché d’un produit, d’un médicament, à fortiori d’un vaccin destiné à des personnes non malades, nécessite plusieurs phases d’évaluation, étalées sur plusieurs années, principe de précaution court-circuité dans cette crise avec tous les dangers que cette précipitation peut engendrer.

Le principe de précaution violé

Quoi qu’en disent, sans preuves, les firmes productrices des vaccins nouvelle génération (ARNm ou ADN avec vecteur viral modifié génétiquement), l’introduction d’ARNm ou d’ADN avec vecteur viral dans nos cellules comporte le risque potentiel de modifier notre ADN. La sécurité génétique de cette technique n’a pas pu être évaluée puisque plusieurs décennies seraient nécessaires pour le faire.

Ces « vaccins géniques » au mécanisme d’action très particulier exposent l’humanité à des risques inconnus, non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution pourtant si cher à nos autorités sanitaires.

Le principe de précaution est à la base de la plupart des mesures liberticides imposées par nos gouvernements : port du masque obligatoire même en rue, distances sociales, fermeture des lieux publics tels que restaurants ou bars, interdiction de se rassembler ou de manifester, fermeture des cinémas, des piscines et des parcs de loisirs.

Pour les vaccins, le principe de précaution est violé, bafoué.

Délai normal de mise sur le marché d’un vaccin

Ce qui suit est encore plus vrai avec les coronavirus comme le SARS-CoV-2.

La journaliste Céline Deluzarche, dans un article sur Futura Sciences (Futura Santé) du 19 mars 2020 revu le 15 juin, le dit :

« Coronavirus : les dangers d’un vaccin élaboré à la hâte.

Face à l’urgence, les scientifiques appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux. Une stratégie louable mais qui pourrait s’avérer au mieux, contre-productive, au pire causer des morts.

Normalement, obtenir un vaccin efficace, non toxique et utilisable prend entre 15 et 20 ans. Il faut d’abord mettre au point une formule possédant les prérequis chimiques et pharmaceutiques, mener des études d’immunogénicité chez l’animal, évaluer la toxicité du vaccin  chez l’animal, puis chez l’Homme, et enfin, tester son efficacité à grande échelle. » [4]

« Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, (de 9 à 12 ans, en moyenne 10) pour arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations complémentaires. Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le SIDA où deux candidats ont été éliminés car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). » [5]

Pour avoir l’autorisation de mise sur le marché d’un médicament ou d’un vaccin, les essais doivent franchir plusieurs étapes ou phases. 

Ces étapes et ce délai sont la clé de la sécurité du produit.

La phase préclinique consiste à faire des tests sur animaux : cette étape préclinique animalière est très importante pour la sécurité.

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Les vaccins produits en laboratoire sont donc d’abord testés chez l’animal. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir.

Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de l’aggravation de la maladie par la vaccination, ce risque est connu depuis 30 ans [6-7].

Ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV-1, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du MERS, les lapins ont développé des anticorps mais leur pathologie pulmonaire s’est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus. [8]

Cette complication est appelée VAED.

Avec les vaccins, « le plus gros problème est la crainte d’un ADE (Antibody-Dependant Enhancement, facilitation de l’infection par le vaccin, médiée par les anticorps induits par la vaccination) : facilitation de la pénétration du virus dans les cellules par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines » [9-10]

Le 5 mars 2020, devant le congrès états-unien, Peter Hotez (expert vaccinal – Peter Hotez, Wikipédia) met en garde contre la facilitation de l’infection par les anticorps, et sa relation avec la vaccination :

« Il faut être très prudent et aller doucement avec les essais cliniques, les essais sur animaux ont montré la facilitation » !

Peter Hotez nous conseille la plus grande prudence :

« Un vaccin n’est pas anodin : il s’agit le plus souvent d’un virus désactivé ou affaibli, et peut dans certains cas aggraver la maladie qu’il est censé prévenir. Peter Hotez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de SRAS en 2003, a ainsi constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. C’est ce que l’on appelle une « facilitation de l’infection par des anticorps » (Antibody-Dependent Enhancement ou «ADE en anglais) » 

Vaccination COVID et VAED

Pour le VIDAL, organe de référence médical français, la question est posée :

Vaccins contre la COVID-19 : doit-on s’inquiéter du risque de maladie aggravée chez les personnes vaccinées ? [11]

Malgré 30 ans d’efforts, aucun vaccin efficace n’a jamais été mis au point pour aucune des nombreuses souches de coronavirus.

« À ce jour, il n’y jamais eu de vaccin efficace contre les coronavirus, en raison de la nature de ces virus. En plus, les tentatives passées de créer un vaccin anti-coronavirus ont eu comme seul résultat des personnes vaccinées avec un plus grand risque de maladie sévère et de décès une fois à nouveau exposées à une autre souche du virus. » [12-13]

La phase pré-clinique, animale, a été laissée de côté par les firmes et la vaccination, lancée sans s’assurer de l’absence de VAED.

Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats, le développement très rapide de plusieurs vaccins n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

Les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des centaines de sujets humains.

Après la phase pré-clinique sur les animaux, le produit doit traverser la phase I (évaluation de la toxicité à court terme chez l’humain et du taux d’anticorps produits), la phase II (en moyenne 4 ans) qui doit confirmer l’absence de danger, l’efficacité et déterminer la dose optimale et le schéma d’administration, et enfin la phase III (durée 3 à 5 ans) sur un groupe représentatif de la population cible, comportant des milliers de personnes. Le succès de la phase III fournit le dossier indispensable à l’autorisation de mise sur le marché, analysé par des experts indépendants des firmes pour le compte de l’Agence du médicament.

Tout ceci explique pourquoi cette mise sur le marché prend normalement plusieurs années, dans l’intérêt de la population qui va recevoir ce médicament ou ce vaccin.

Il faut être sûr de l’efficacité ET d’un danger acceptable au regard des risques de la maladie ciblée.

Cela permet surtout de pouvoir informer correctement la population afin qu’elle fournisse un consentement éclairé au traitement ou à la vaccination.

La mise sur le marché en moins d’un an des vaccins COVID n’a été obtenue qu’au prix de la diminution de la sécurité par suppression ou allègement de nombreuses étapes des essais, et non des moindre, les essais sur les animaux.

Ceci est d’autant plus vrai en matière de vaccins contre les coronavirus, comme l’ont montré les tentatives désastreuses de vaccination contre le SRAS-CoV-1 et le MERS.

En matière de vaccination contre le COVID, les firmes PFIZER-BioNTech, Astra Zeneca, Moderna ont court-circuité ou bâclé toutes les étapes qui permettent de s’assurer de la sécurité :

  • Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux.
  • Regroupement des phases II et III ne permettant pas d’utiliser les résultats des phases II pour concevoir convenablement les phase III.
  • Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante, ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse de la durée de l’immunité éventuelle et des éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins anti grippe H1N1 de 2009 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).
  • Autorisation de mise sur le marché alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni publiés, ni obtenus et que la durée moyenne de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme, ni leurs effets chez les personnes âgées à forte comorbidité qui sont trop peu représentées. [14]
  • La phase 3 (hors essai officiel) se déroule donc actuellement, comme le détaille Pfizer, dans sa publication sur clinicaltrials.gov : première analyse en aout 2021 et fin de l’essai en janvier 2023.

« Le miracle de la commercialisation en moins d’un an de prétendus vaccins, salué unanimement par les médias, ne consacre en fait que l’abandon quasi-total des mesures de sécurité élaborées depuis 70 ans pour nous protéger des catastrophes médicamenteuses.

L’allègement des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques nouvelles. » [15]

Le but d’un vaccin est de diminuer (au mieux de supprimer) la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or ces critères ont été négligés par les firmes dans leur conception des essais au profit d’une négativation de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement [16].

De toute façon, la capacité d’interrompre la transmission du virus par les vaccins (immunité stérilisante) n’est pas étudiée dans les essais cliniques, comme le dit l’éditorialiste du British Medical Journal Peter Doshi [17] :

Le monde a parié sur la production de vaccins comme solution à la pandémie, mais les essais ne visent pas à répondre aux questions que beaucoup pourraient se poser.

Peter Doshi a montré que les essais cliniques « randomisés » ne montreront pas si les vaccins sont capables d’éviter les formes graves chez les personnes fragiles ni s’ils auront un effet sur la mortalité globale.

Les essais cliniques sont conçus pour déterminer si les futurs vaccins seront capables d’éviter une maladie bénigne ou même asymptomatique, pas pour éviter une maladie grave ou le décès par COVID-19. Les essais ne montreront pas que les vaccins peuvent éviter la transmission interhumaine.

Précautions bafouées par les médecins vaccinateurs

Le font-ils exprès ? Savent-ils ce qu’ils font ?

La vaccination n’est pas un traitement, mais une prévention dont l’efficacité dépend de la bonne santé du système immunitaire de la personne vaccinée. Si ce système immunitaire (immunités spécifiques à mémoire via les lymphocytes B producteurs d’anticorps et les lymphocytes T) est compromis, non seulement la vaccination sera inutile, mais aussi potentiellement dangereuse, pouvant provoquer la maladie qu’elle est censée prévenir !

Avant de vacciner, il est conseillé d’évaluer le statut immunitaire de la personne : sérologies anticorps, mesure des taux de lymphocytes par un laboratoire spécialisé.

Les médecins ou autres personnes qui vaccinent sont-ils en mesure d’informer correctement leurs patients en droit d’être informés avant de donner leur consentement éclairé à tout traitement, toute prévention ?

Ces vaccinateurs connaissent-ils les études sur les effets toxiques des adjuvants, aluminium, nanoparticules, poly-éthylènes glycols (PEG) ou autres ?

« Des vaccins sont à l’étude pour les effets secondaires possibles qu’ils peuvent provoquer. Afin de fournir de nouvelles informations, une méthode d’investigation par microscopie électronique a été appliquée à l’étude des vaccins, visant à vérifier la présence de contaminants solides au moyen d’un microscope électronique à balayage environnemental équipé d’une microsonde à rayons X. Les résultats de cette nouvelle enquête montrent la présence de particules micro et nanométriques composées d’éléments inorganiques dans les échantillons de vaccins qui ne sont pas déclarées parmi les composants et dont la présence indûment est, pour le moment, inexplicable. Une partie considérable de ces contaminants particulaires a déjà été vérifiée dans d’autres matrices et signalée dans la littérature comme non biodégradable et non biocompatible. » [18]

Les nanoparticules traversent le placenta [19].

Les nanotubes pénètrent dans les poumons [20].

Les nanoparticules bouchent les vaisseaux sanguins et capillaires [21].

Les nanoparticules endommagent l’ADN [22].

Il y a des risques d’allergies graves et de maladies auto-immunes liées à la présence de PEG (polyéthylène glycol) utilisés dans les nanoparticules vectrices des vaccins à ARNm [23].

Il existe des anticorps contre les PEG chez 72% des Américains [24]. Cet adjuvant peut provoquer des maladies auto-immunes et c’est une molécule très toxique [25].

Le risque de maladies auto-immunes notamment neuronales est très sérieux du fait notamment du mimétisme entre épitopes de la protéine Spike et certaines protéines neuronales humaines [26].

Les médecins vaccinateurs connaissent-ils la recombinaison ?

Ce risque est indépendant du vecteur utilisé, plasmides, nanoparticules ou virus génétiquement modifié.

Les VIRUS oint une grande capacité à échanger des fragments de leur matériel génétique respectif dès que les génomes des virus sont de même nature, ADN ou ARN, et qu’ils partagent des séquences de gènes qui se ressemblent.

Ces virus recombinants peuvent être beaucoup plus virulents que le virus d’origine et peuvent donc aggraver la situation.

Le phénomène de recombinaison a été démontré chez des plantes transgéniques dans le génome desquelles un gène viral avait été volontairement introduit.

Exemple de virus recombinant : H1N1, recombinant 3 souches de virus de la grippe, porcine, humaine et aviaire.

Les médecins vaccinateurs connaissent-ils le risque de cette vaccination COVID avec la grippe ou du COVID avec la vaccination antigrippale ?

La vaccination antigrippale est fortement suspectée de favoriser les infections à coronavirus chez l’adulte ! [27]

Cela a été montré également chez l’enfant [28]. 

Et le risque de maladie déclenchée par la vaccination (VAED) a également été documenté pour le vaccin antigrippal [29].

Effets secondaires graves voire décès déjà documentés

La FDA (USA) a signalé à la suite de la vaccination COVID la survenue d’effets secondaires, indésirables graves appelés effets systémiques de grade III, c’est-à-dire empêchant l’activité quotidienne et nécessitant une intervention médicale [30].

Le CDC (haute autorité de santé aux USA) a rassemblé les réactions indésirables au vaccin Pfizer entre le 14 et le 18 décembre 2020 au Royaume-Uni et a recensé presque 3% d’effets secondaires graves. 3%  :  c’est énorme ! Pour contrer une maladie qui a un taux de mortalité de seulement 0,23%, pour l’ensemble de la population ! [31]

L’Agence norvégienne du médicament établit un lien entre plusieurs décès et les effets secondaires du vaccin ARNm.

Selon le médecin en chef de l’autorité sanitaire, « les effets secondaires courants des vaccins à ARNm, tels que la fièvre et les nausées, ont pu entraîner la mort de certains patients fragiles ». Le gouvernement norvégien est préoccupé par le décès de 29 personnes âgées qui ont été soumises au vaccin COVID-19 de Pfizer.

La Norvège a émis le 15 janvier 2021 une alerte après la constatation de 29 décès après vaccin Pfizer chez des personnes âgées en Ehpad. Selon l’Institut norvégien de santé publique :

« Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves. »

« Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».

L’Institut norvégien de santé publique a ajouté depuis de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

Des experts en santé de Wuhan, en Chine, ont notamment appelé la Norvège et d’autres pays à suspendre l’utilisation des vaccins COVID-19 à base d’ARNm produits par des sociétés telles que Pfizer, en particulier chez les personnes âgées.

L’Administration australienne des produits thérapeutiques recherchera « des informations supplémentaires, à la fois auprès de la société, mais aussi auprès du régulateur médical norvégien », a déclaré Hunt. Le ministère australien des Affaires étrangères contactera également son homologue norvégien à ce sujet [32-33].

En Espagne, après « vaccination génétique », 7 morts et 100% des résidents infectés dans une maison de retraite espagnole avec le « vaccin » expérimental à ARNm de Pfizer [34].

De très nombreux témoignages apparaissent de soignants dans différents pays (USA, Suisse, France, Pays -Bas, Italie) qui s’étonnent de l’augmentation brutale de la mortalité des résidents d’Ehpad après vaccination.

24 morts dans une maison de retraite aux USA suite à la vaccination en pleine flambée épidémique : les décès ont commencé à se produire 7 jours après le début de la campagne de vaccination (80% des résidents et 50% du personnel a été vacciné). Il n’y avait pourtant eu aucun décès dû au Covid dans les maisons de retraite de la région ! [35]

Comme souligné et prouvé dans les points précédents, vacciner en pleine période épidémique comporte les risques de recombinaison virale avec virus recombinants plus virulents (variants) comme nous le verrons plus loin avec les cas d’Israël ou de la Grande-Bretagne, d’interférence virale et de VAED (aggravation de l’infection par la vaccination).

Malgré ces données, les pays continuent à vacciner à tour de bras !

Floride, décès d’un médecin, attribué au vaccin par un expert [36].

Les responsables de la santé publique et les porte-parole de l’industrie aiment à dire que les risques de blessures graves liés à la vaccination sont de « un sur un million ».

Le ministère de la santé a prétendu, en 2010, que le VAERS (Vaccination Adverse Effects Reporting System) avait recueilli « moins de 1% des effets graves » dus aux vaccins.  Les taux réels de blessures dues aux vaccins obligatoires étaient en réalité plus de 100 fois supérieurs à ce que le ministère de la santé avait dit au public ! [37]

Dans la vaccination anti-COVID, au cours de la première semaine de distribution des vaccins, les Américains ont pris 200 000 doses de vaccins COVID et ont signalé 5 000 effets « graves » (c’est-à-dire des journées de travail manquées ou une intervention médicale nécessaire).

Cela représente un taux de blessure de 1 sur 40 piqûres. 

Cela signifie que les 150 piqûres nécessaires pour éviter un cas bénin de COVID causeront des blessures graves à au moins trois personnes. 

L’analyse de l’étude de 2010 du HHS a révélé que le risque réel d’événements indésirables graves était de 26/1000, soit un sur 37 [38].

Déjà 132 décès déclarés dans Eudravigilance seulement 26 jours après l’autorisation de mise sur le marché du vaccin Pfizer [39].

Les autorités masquent la vérité.

Réactions allergiques graves documentées

Des allergies sévères sont causées par les vaccins ARNm [40-41].

Que se passe-t-il en Israël, en Grande Bretagne et à Gibraltar, champions de la vaccination génétique ?

Les médias glorifient Israël, le champion de la lutte anti-COVID-19 par le vaccin Pfizer.

La mortalité en Israël continue d’augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien (francesoir.fr)

Depuis le 20 décembre, en un peu plus d’un mois, près de 30% de la population (plus de 3 millions de personnes) auraient été vaccinées. Mais le succès d’une vaccination ne se juge pas d’après le nombre de vaccinés mais uniquement d’après l’évolution de l’épidémie qu’elle est censée prévenir. Or depuis cette date, les nombres quotidiens de morts attribuées au COVID-19 explosent passant d’une moyenne de 15 pendant la semaine précédant la vaccination à 56 cette dernière semaine de janvier 2021, suggérant ainsi que la première injection du vaccin serait susceptible d’aggraver l’évolution de la maladie (VAED).à

Vaccination en Grande-Bretagne

La Grande-Bretagne a choisi principalement le vaccin d’Astra Zeneca peu testé également et a réussi à vacciner plus de 6 millions de personnes. Mais après 58 jours de vaccination, la mortalité quotidienne moyenne lissée sur 7 jours a doublé, passant d’un peu moins que 500 durant la semaine précédant la vaccination à 1070 dans la dernière semaine de janvier.

La Grande-Bretagne a commencé la vaccination dans la première semaine de décembre 2020 en vaccinant prioritairement les personnes les plus âgées et aurait atteint dans ce groupe d’âge une couverture vaccinale de plus de 75%. 

Depuis, la mortalité quotidienne des britanniques de plus de 80 ans a considérablement augmenté et dépasse maintenant celle de mars.

Après presque un an d’épidémie, Gibraltar ne comptait que 15 décès attribués au COVID-19. En 3 semaines de vaccination, le nombre total de morts a été multiplié par 5 !

Immunité juridique pour les fabricants de vaccins

Les commandes de vaccins engendrent des bénéfices pour les actionnaires de l’entreprise et un coût pour le public. Mais le plus grave est la mise en danger des populations qui paient pour cela !

Les fabricants de vaccin ont exigé et obtenu de ne pas pouvoir être poursuivis pour complications vaccinales même en cas de défectuosité de leurs produits.

Aux USA, les fabricants de vaccins sont protégés de toute poursuite légale en cas de dommages causés par les vaccins, ce coût sera supporté par l’état, donc ses contribuables [42].

En Europe, les fabricants de vaccins font pression sur l’UE pour obtenir une protection juridique [43].

Astra Zeneca organise son exemption juridique [44].

L’Union Européenne (UE) indemnisera les laboratoires en cas d’effets secondaires inattendus [45].

Vaccins obligatoires ?

D’après l’OMS et le Conseil de l’Europe, les vaccins ne devraient pas être obligatoires, et dans le même temps, des gouvernements parlent ouvertement d’imposer un passeport vaccinal avec discrimination certaine des non-vaccinés :

Le courrier du soir Covid-19 : le vaccin sera obligatoire pour obtenir un travail, voyager, aller au resto ou assister à un événement, 20 aouts 2020 [46].

Pourtant, d’autres gouvernements plus avisés et qui protègent vraiment leurs populations ont décidé de faire un moratoire sur ces vaccinations aux effets inconnus, grevées d’effets secondaires et décès de par le monde, dont on nous dit qu’elles ne sont pas destinées à nous protéger des formes graves ni de la contagion et pour lesquelles toutes les étapes de sécurité ont été court-circuitées, foulant au sol le principe de précaution le plus élémentaire.

Le Premier ministre thaïlandais déclare qu’il n’y aura pas de vaccination pour les Thaïlandais

Le premier ministre thaïlandais a déclaré dimanche qu’il ne permettrait pas aux Thaïlandais d’être utilisés comme cobayes pour tester l’efficacité des vaccins Covid-19. Tous les vaccins déployés en Thaïlande doivent être sans danger [47].

De même, Madagascar et les Suédois refusent ces vaccins [48-49].

Y avait-il vraiment urgence ?

L’urgence est pourtant toute relative, avec un taux de mortalité (IFR-Infection Fatality Rate) dans toute la population mondiale, selon l’OMS, de 0,23%, soit un taux de survie au COVID-19 de 99,77% ! [50]

L’argument pour justifier une mise sur le marché à la hâte d’un vaccin anti-COVID est l’ampleur de la pandémie COVID-19 ayant imposé l’arrêt de toute l’économie jusqu’à ce qu’un vaccin soit disponible.

Pourtant, toutes les prévisions catastrophiques ont été revues à la baisse [51].

Les projections de décès faites par l’Imperial College de Londres (Neil Fergusson) en l’absence de confinement étaient très exagérées [52].

Les chercheurs qui ont écrit dans le UK Telegraph le 16 mai dernier l’ont qualifié de « l’erreur logicielle la plus dévastatrice de tous les temps ». Ils ont écrit que « nous virerions n’importe qui pour avoir développé un code comme celui-ci » et que la question était « pourquoi notre gouvernement n’a pas obtenu un second avis avant d’avaler la prescription d’Imperial » [53].

N’y avait-t-il rien d’autre à faire ?

D’autres solutions plus naturelles, moins dangereuses, pour lesquelles nous disposons de dizaines d’années de recul sur les éventuels effets secondaires, existent, rendant encore plus relative cette notion d’urgence vaccinale avec des produits expérimentaux, dont les phases d’évaluation (efficacité et dangers) ne sont pas terminées, vaccinations grevée de dangers graves pour la santé humaine, en particulier en matière de coronavirus !

Beaucoup de médecins soutiennent ces solutions alternatives :

  • Ivermectine [54] associée à un antibiotique
  • Antibiotique (Azithromycine) [55]
  • Hydroxychloroquine [56] associée à un antibiotique [57]
  • Vitamine D3 [58]
  • Vitamine C [59]
  • ZINC [60] 
  • Sélénium [61]
  • Artemisia Annua [62]
  • Mélatonine [63]
  • Colchicine [64]

Pour certains de ces produits, le nombre de références et de preuves d’efficacité et surtout de sécurité est impressionnant, et les tentatives des autorités pro-vaccinales et des médias écrits et parlés qui répètent leurs mantras comme des perroquets sont de plus en plus ridicules. Cela ne serait que risible, si ces dénis et mensonges n’entraînaient pas autant de morts et de maladies évitables.

Epilogue

L’humanité est l’objet d’une expérimentation à grande échelle.

Tout cet article, références à l’appui, montre que :

  • L’urgence sanitaire utilisée comme prétexte à une telle prise de risque avec nos santés, nos libertés et nos patrimoines génétiques ne tient pas la route, avec un taux de survie spontanée au COVID-19 (en ne faisant rien) de 99,77 % pour toute la population. Le taux de survie et la qualité de survie seraient encore plus élevés en permettant aux médecins de prescrire les traitements efficaces dont l’ivermectine.
  • Les vaccins, surtout les formes génétiques, ADN et ARNm, préparées en moins d’un an en court-circuitant toutes les étapes de sécurité habituelles dont les essais sur animaux, et sans attendre un recul indispensable, sont de petites bombes à retardement dans nos cellules, et les effets secondaires graves, les décès déjà rapportés montrent que le remède est pire que le problème.
  • Des solutions alternatives, efficaces et surtout plus sûres, existent. Seulement elles ne rapportent rien aux firmes pharmaceutiques qui ont déjà empoché des milliards de dollars et d’euros, et ce n’est rien à côté des milliards de dollars que les maladies auto-immunes et autres fléaux engendrés par ces vaccins préparés à la hâte leur promettent, tout en ayant fait attention à échapper à toute poursuite pénale pour tous les dommages que leurs vaccins ne manqueront pas de causer. C’est déjà commencé.

Humanité ! Est-ce vraiment ce que tu veux ?

Sinon, il faut se réveiller.

Dr Pascal Sacré

Le 21 février 2021

Notes (sources) :

[1] Ce que disent les documents sur les vaccins anti-Covid-19 volés à l’Agence européenne des médicaments : https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html

[2] https://www.prescrire.org/Fr/203/1845/60820/0/PositionDetails.aspx 

[3] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/livermectine-victime-dattaques-malhonnetes 

[4] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-coronavirus-dangers-vaccin-elabore-hate-80089/

[5] https://www.mondialisation.ca/insuffisances-methodologiques-des-essais-des-vaccins-anti-covid-19/5653363 

[6] Vennema, H. et al. Early death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

[7] Hohdatsu, T & al, A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

[8] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3335060/ , 2012, PloS One

Immunization with SARS Coronavirus Vaccines Leads to Pulmonary Immunopathology on Challenge with the SARS Virus

[9] Molecular Mechanism for Antibody-Dependent Enhancement of Coronavirus Entry, Journal of Virology

[10] SARS vaccines : where are we ?, Expert Rev Vaccines 2009 Jul ; 8(7) :887-98. Doi : 10.1586/erv.09.43.

[11] https://www.vidal.fr/actualites/26105/vaccins_contre_la_covid_19_doit_on_s_inquieter_du_risque_de_maladie_aggravee_chez_les_personnes_vaccinees/

[12] https://fort-russ.com/2020/05/were-conspiracy-theorists-right-bill-gates-supported-moderna-inc-prepares-mid-stage-trials-for-covid-19-vaccine/ , 8 mai 2020

[13] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31607599/ , Vaccine, 10 janvier 2020, Influenza vaccination and respiratory virus interference among Department of Defense personnel during the 2017-2018 influenza season.

[14] https://blogs.bmj.com/bmj/2021/01/04/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95-effective-vaccines-we-need-more-details-and-the-raw-data/ 

[15] https://www.mondialisation.ca/insuffisances-methodologiques-des-essais-des-vaccins-anti-covid-19/5653363

[16] PCR : Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (profession-gendarme.com). Texte intégral du jugement en portugais publié : sur :http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

[17] Will covid-19 vaccines save lives ? Current trials aren’t designed to tell us  

BMJ  2020

https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4037

[18] https://medcraveonline.com/IJVV/new-quality-control-investigations-on-vaccines-micro–and-nanocontamination.html  New Quality-Control Investigations on Vaccines : Micro- and Nanocontamination, par Antonietta M Gatti et Stefano Montanari, 23 janvier 2017

[19] https://www.santelog.com/actualites/grossesse-et-pollution-les-microparticules-traversent-le-placenta :  GROSSESSE et POLLUTION : Les microparticules traversent le placenta

[20] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/enfant-nanotubes-carbone-trouves-poumons-petits-parisiens-60199/ : Des chercheurs de l’université de Paris-Saclay ont trouvé des nanotubes de carbone dans les cellules des voies respiratoires d’enfants asthmatiques vivant en région parisienne. Ces nanotubes pourraient provenir d’émissions de gaz d’échappement et entrer dans les poumons de chacun d’entre nous.

[21] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-pollution-air-fait-mal-coeur-26390/#xtor=RSS-8 : La pollution de l’air modifie le diamètre des microvaisseaux et augmente ainsi les risques de maladies cardiovasculaires.

[22] https://changera.blogspot.com/2014/04/les-nano-particules-endommagent-ladn.html : Les nanoparticules dans les produits de consommation courante et leurs actions sur l’ADN pouvant mener au cancer !

[23] https://www.sciencemag.org/news/2020/11/fever-aches-pfizer-moderna-jabs-aren-t-dangerous-may-be-intense-some

[24] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27804292/

[25] Szabó, G., Jr., Kiss, A. and Trón, L. (1982), Permeabilization of lymphocytes with polyethylene glycol 1000. Discrimination of permeabilized cells by flow cytometry. Cytometry, 3 : 59-63. https://doi.org/10.1002/cyto.990030113,Shiraishi K, Yokoyama M. Toxicity and immunogenicity concerns related to PEGylated-micelle carrier systems : a review. Sci Technol Adv Mater. 2019 ;20(1):324-336. Published 2019 Apr 15. Doi :10.1080/14686996.2019.1590126

[26] Lucchese G, Flöel A. Molecular mimicry between SARS-CoV-2 and respiratory pacemaker neurons. Rev. 2020 ;19(7) :102556. Doi : 10.1016/j.autrev.2020.102556

Lucchese, G., Flöel, A. SARS-CoV-2 and Guillain-Barré syndrome : Molecular mimicry with human heat shock proteins as potential pathogenic mechanism. Cell Stress and Chaperones 25, 731–735 (2020). https://doi.org/10.1007/s12192-020-01145-6

[27] https://peerj.com/articles/10112/ : Positive association between COVID-19 deaths and influenza vaccination rates in elderly people worldwide

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31607599 : Influenza vaccination and respiratory virus interference among Department of Defense personnel during the 2017-2018 influenza season

[28] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22423139 : Increased risk of non influenza respiratory virus infections associated with receipt of inactivated influenza vaccine Benjamin J. Cowling & al.

[29] https://www.aimsib.org/2020/09/27/vaccin-anti-grippal-et-facilitation-de-linfection-par-les-anticorps/

[30] Toxicity Grading Scale for Healthy Adult and Adolescent Volunteers Enrolled in Preventive Vaccine Clinical Trials : https://www.fda.gov/media/73679/download 

[31]

https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-12/slides-12-19/05-COVID-CLARK.pdf

[32] https://lesakerfrancophone.fr/effets-secondaires-du-vaccin-pfizer

[33] https://www.mondialisation.ca/de-plus-en-plus-de-deces-decoulent-de-la-reussite-du-vaccin-pfizer/5653321

[34] https://twitter.com/pacharlotte3/status/1356609473054453760

[35] https://www.syracuse.com/coronavirus/2021/01/covid-19-outbreak-at-auburn-nursing-home-infects-137-residents-kills-24.html

[36] https://www.nytimes.com/2021/01/12/health/covid-vaccine-death.html

[37] https://childrenshealthdefense.org/defender/death-by-coincidence/

Comment les nombreux effets secondaires graves et les décès suite au vaccin sont masqués malgré les rapports dans les fichiers de recueil

Par Robert F Kennedy Jr

[38] https://childrenshealthdefense.org/defender/thousands-covid-vaccine-injuries-13-deaths-reported-december/

[39] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-ndeg48-deja-132-deces-declares-dans-eudravigilance-seulement-26-jours 

[40] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2775646

Allergic Reactions Including Anaphylaxis After Receipt of the First Dose of Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine, 21 janvier 2021, Tom Shimabukuro & al.

[41] Allergic Reactions Including Anaphylaxis After Receipt of the First Dose of Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine — United States, December 14–23, 2020 : https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7002e1.htm 

PDF à télécharger : https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-12/slides-12-19/05-COVID-CLARK.pdf 

[42] https://www.hrsa.gov/vaccine-compensation/index.html, The National Vaccine Injury Compensation Program (VICP) is a no-fault alternative to the traditional legal system for resolving vaccine injury petitions.

https://www.bclplaw.com/en-US/insights/immunity-from-liability-under-the-us-prep-act-for-medical-countermeasures-during-the-sars-cov-2covid-19-pandemic.html , 22 mai 2020

Key Points

  • HHS Declaration Provides Immunity : During a public health emergency, the Secretary of HHS can issue a Declaration providing broad tort immunity for “Covered Persons” engaging in “Recommended Activities” with “Covered Countermeasures.”
  • Covered Persons : The entities covered include, among others, manufacturers and distributors.

[43] 26 août 2020 https://www.ft.com/content/12f7da5b-92c8-4050-bcea-e726b75eef4d

[44] 30 juillet 2020 https://uk.reuters.com/article/us-astrazeneca-results-vaccine-liability/astrazeneca-to-be-exempt-from-coronavirus-vaccine-liability-claims-in-most-countries-idUKKCN24V2EN

[45] 29 aouts 2020 https://www.capital.fr/entreprises-marches/vaccins-contre-la-covid-lue-indemnisera-les-laboratoires-en-cas-deffets-secondaires-inattendus-1379072

[46] https://lecourrier-du-soir.com/covid-19-le-vaccin-sera-obligatoire-pour-obtenir-un-emploi-voyager-aller-au-resto-ou-assister-a-un-evenement-sportif-ou-culturel/ 

[47] Le Premier ministre thaïlandais déclare qu’il n’y aura pas de vaccination pour les Thaïlandais

[48] https://www.rfi.fr/fr/afrique/20201127-covid-19-%C3%A0-madagascar-le-gouvernement-refuse-les-vaccins-et-pr%C3%A9f%C3%A8re-les-rem%C3%A8des-locaux

[49] https://www.lematin.ch/story/echaudes-les-suedois-refusent-le-vaccin-du-covid-371594447544?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR0IHlw8J-voxhA3TdwD4dYlYaDix21nnF43Uh2RTcFEL4sX3zAyUO9Gk-s#Echobox=1606467567

[50] https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf

[51] https://www.newswire.ca/news-releases/new-cdc-data-on-covid-19-828847530.html

[52] https://www.nytimes.com/2020/03/17/world/europe/coronavirus-imperial-college-johnson.html : It wasn’t so much the numbers themselves, frightening though they were, as who reported them : Imperial College London. The report, which warned that an uncontrolled spread of the disease could cause as many as 510,000 deaths in Britain, triggered a sudden shift in the government’s comparatively relaxed response to the virus. American officials said the report, which projected up to 2.2 million deaths in the United States from such a spread, also influenced the White House to strengthen its measures to isolate members of the public.

[53] Neil Ferguson’s Imperial model could be the most devastating software mistake of all time (telegraph.co.uk) 

[54] IVERMECTINE

1- FLCCC Front Line Covid-19 Critical Care Alliance

https://covid19criticalcare.com/flccc-ivermectin-in-the-prophylaxis-and-treatment-of-covid-19/ 

https://covid19criticalcare.com/i-mask-prophylaxis-treatment-protocol/faq-on-ivermectin/

https://hughhewitt.com/video/dr-pierre-kory-of-the-flccc-alliance-on-the-therapeutic-value-of-ivermectin-in-treatment-of-covid/ 

https://covid19criticalcare.com/flccc-ivermectin-in-the-prophylaxis-and-treatment-of-covid-19/

https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_8cb655bd21b1448ba6cf1f4c59f0d73d.pdf

https://covid19criticalcare.com/one-page-summary-of-the-clinical-trials-evidence-for-ivermectin-in-covid-19/

https://www.youtube.com/watch?v=MEk-VOufVGQ

https://youtu.be/n2MlliaLC0Ahttps://www.youtube.com/watch?v=blpV5QDJrn4                                        Dr Pierre Kory :  » Nous avons un traitement qui marche ! «

2- Dr Tess Lawrie  

https://www.researchgate.net/profile/Theresa_Lawrie 

https://www.e-bmc.co.uk/ 

Ivermectin reduces the risk of death from COVID-19 – a rapid review and meta-analysis in support of the recommendation of the Front Line COVID-19 Critical Care Alliance.

PDF : https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_1b1399cb64514dc4bdcbef0cd15f7878.pdf 

Ivermectin is an essential drug to reduce morbidity and mortality from COVID-19 infection.  Placebo-controlled trials of ivermectin treatment among people with COVID-19 infection are no longer ethical and active placebo-controlled trials should be closed.

Baisse de 83% de la mortalité

Une médecin et chercheuse britannique, la Doctoresse Tess Lawrie, qui dirige une entreprise spécialisée dans l’évaluation indépendante de données médicales et qui est régulièrement mandatée par l’OMS, a repris et vérifié consciencieusement toutes les études présentées dans le rapport de la FLCCC pour publier sa propre méta-analyse, disponible sur son site (rapport) (EtD Framework).  

Elle arrive exactement aux mêmes conclusions : “Nous avons maintenant des preuves solides de l’existence d’un traitement efficace de la covid-19”.

3- Swiss Policy Research

https://swprs.org/who-preliminary-review-confirms-ivermectin-effectiveness/ 

Covid-19 : WHO-sponsored preliminary review indicates Ivermectin effectiveness

4 – https://www.youtube.com/watch?v=eu61dtsSLrk 

Dr. Andrew Hill’s Ivermectin meta-analysis, from University of Liverpool, England

https://www.researchgate.net/publication/348610643_Meta-analysis_of_randomized_trials_of_ivermectin_to_treat_SARS-CoV-2_infection 

5- https://c19ivermectin.com/

6-  https://ivermectine-covid.ch/quattend-on-pour-utiliser-livermectine-en-suisse-romande/

Un traitement efficace contre le Covid existe, selon un nombre croissant d’experts. Il réduit la mortalité de près de 80%, est bon marché et sans danger.

7-https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/un-traitement-efficace-existe-mais-il-est-ignore

8- https://nouvelle-page-sante.com/ne-renoncez-pas-trop-vite-a-livermectine/

9- https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/10428194.2020.1786559

Continuous high-dose ivermectin appears to be safe in patients with acute myelogenous leukemia and could inform clinical repurposing for COVID-19 infection

Le Dr Kory et son collectif (FLCCC) ne sont pas les seuls à penser que l’ivermectine peut jouer un rôle déterminant dans la lutte contre la covid-19. Le Dr Thomas Borody, inventeur de la trithérapie contre le H. Pylori, la bactérie responsable des ulcères, l’affirmait également cet été à tous les médias qui voulaient bien l’écouter (c’est-à-dire quelques-uns seulement): l’ivermectine est une “vraie tueuse de coronavirus”.

Médicament sûr :

Kircik, LH, Del Rosso, JQ, Layton AM, Schauber J. Over 25 Years of Clinical Experience With Ivermectin : An Overview of Safety for an Increasing Number of Indications. J Drugs Derm 2016 ; 15 :325-332. 

Médicament essentiel :

World Health Organization. 21st Model List of Essential Medicines. Geneva, Switzerland. 2019. https://www.who.int/publications/i/item/WHOMVPEMPIAU2019.06.  Accessed 29 December 2020.

[55] ANTIBIOTIQUE – AZITHROMYCINE

https://papers.ssrn.com/sol3/Delivery.cfm/SSRN_ID3712423_code4425108.pdf?abstractid=3712423&mirid=1, PDF : The Role of Macrolide Antibiotics in the Prevention of Severe COVID-19 Disease Progression Via the Disruption of Bacteria/virus Co-Operation. The use of Azithromycin (ATM) to prevent the adverse effects of the COVID-19 represents a potential avenue for further research. This article reviewed the clinical evidence and specialised molecular research to describe the dual antiviral and antibacterial role of ATM, and the potential co-operation between mycoplasmas and SARS-CoV-2.

[56] HYDROXYCHLOROQUINE HCQ :

IN VITRO – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32150618/   28 juillet 2020

In Vitro Antiviral Activity and Projection of Optimized Dosing Design of Hydroxychloroquine for the Treatment of Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 (SARS-CoV-2)

Clinique :

Prof. Harvey Risch, Yale University : Early Outpatient Treatment of Symptomatic, High-Risk COVID-19 Patients That Should Be Ramped Up Immediately as Key to the Pandemic Crisis – PubMed (nih.gov)

The American Journal of Medicine : Pathophysiological Basis and Rationale for Early Outpatient Treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection – The American Journal of Medicine (amjmed.com)

Un professeur d’épidémiologie de Yale recommande la généralisation du traitement Raoult aux Etats-Unis (covexit.com)

HCQ for COVID-19 : real-time analysis of all 248 studies (c19study.com) 

Covid-19 : Quel est le traitement standard ? Inclut-il l’hydroxychloroquine ? MAJ le 4/08/2020 (francesoir.fr)

Le petit livre blanc au sujet de l’hydroxychloroquine (francesoir.fr)

L’hydroxychloroquine, du rationnel scientifique au traitement des patients – YouTube 

Use of hydroxychloroquine in hospitalised COVID-19 patients is associated with reduced mortality : Findings from the observational multicentre Italian CORIST study – European Journal of Internal Medicine (ejinme.com) : European journal of internal medicine 25 août 2020, use of hydroxychloroquine in hospitalised COVID-19 patients is associated with reduced mortality : Findings from the observational multicentre Italia. HCQ use was associated with a 30% lower risk of death in COVID-19 hospitalized patients. Within the limits of an observational study and awaiting results from randomized controlled trials, these data do not discourage the use of HCQ in inpatients with COVID-19.  33 hôpitaux italiens rapportent une réduction de mortalité de 30% avec l’hydroxychloroquine dans une grande étude rétrospective bien menée.

Risk of hydroxychloroquine alone and in combination with azithromycin in the treatment of rheumatoid arthritis : a multinational, retrospective study – The Lancet Rheumatology : 1 million de patients traités à l’HCQ, pas d’effets secondaires cardiaques en usage de moins de 30 jours. En parallèle, le Lancet rapporte que l’HCQ n’accroît pas le risque cardiaque quand elle est prescrite pour moins de 30 jours, donc, il ne devrait plus y avoir de problème pour l’administrer en médecine de ville…pour les médecins qui y voient un bénéfice pour leurs patients.

Un argument pour l’utilisation de l’hydroxychloroquine pour la prophylaxie du SRAS-CoV-2 : Hydroxychloroquine : stop mensonges ! – Anthropo-logiques (tdg.ch)

Meta-analysis on chloroquine derivatives and COVID-19 mortality – October, 20, 2020 Update – IHU (mediterranee-infection.com) : META-ANALYSIS ON CHLOROQUINE DERIVATIVES AND COVID-19 MORTALITY – OCTOBER, 20, 2020 UPDATE.

En cas de conflit d’intérêts avec Gilead, 73 pour cent des articles affirment que l’hydroxychloroquine ne fonctionne pas, et s’il n’y a pas de conflit d’intérêts, 83 pour cent des articles concluent que l’hydroxychloroquine fonctionne.

Influence of conflicts of interest on public positions in the COVID-19 era, the case of Gilead : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2052297520300627?via%3Dihub 

Étude frauduleuse du Lancet : Hydroxychloroquine : les auteurs de l’étude publiée par le Lancet ont tous un conflit d’intérêt… (entelekheia.fr)

Coronavirus : Pays où l’hydroxychloroquine est recommandée – IHU (mediterranee-infection.com), avec tous leurs protocoles de traitement

Résultats de terrain : Lorraine | Coronavirus. Chloroquine : le bilan très positif d’un praticien lorrain (estrepublicain.fr)

[57] HYDROXYCHLOROQUINE + ANTIBIOTIQUE

Azithromycin and Hydroxychloroquine Accelerate Recovery of Outpatients with Mild/Moderate COVID-19

PDF : https://www.journalajmah.com/index.php/AJMAH/article/view/30224/56706

https://fortunejournals.com/articles/revisiting-a-metaanalysis-shows-that-hydroxychloroquine-with-azithromycin-may-be-efficient-in-covid19-patients.html : Revisiting a Meta-analysis Shows that Hydroxychloroquine with Azithromycin may be Efficient in Covid-19 patients

[58] VITAMINE D3

In patients hospitalized with COVID-19, calcifediol treatment at the time of hospitalization significantly reduced ICU admission and mortality : https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3771318# 

“Effect of calcifediol treatment and best available therapy versus best available therapy on intensive care unit admission and mortality among patients hospitalized for COVID-19 : A pilot randomized clinical study” – ScienceDirect

Vitamin D for COVID-19 : real-time analysis of all 65 studies (c19vitamind.com)

The role of vitamin D in the prevention of coronavirus disease 2019 infection and mortality : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7202265/

Vitamin D and Inflammation : Potential Implications for Severity of Covid-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32603576/

COVID-19 severity and mortality appear related to vitamin D deficiency : COVID-19 ’ICU’ risk – 20-fold greater in the Vitamin D Deficient. BAME, African Americans, the Older, Institutionalised and Obese, are at greatest risk. Sun and ‘D’-supplementation – Game-changers ? Research urgently required. | The BMJ

Coronavirus : le taux de vitamine D influerait sur les risques d’infection et de décès : Coronavirus : le taux de vitamine D influerait sur les risques d’infection et de décès (trustmyscience.com)

Vitamin D deficiency and co-morbidities in COVID-19 patients – A fatal relationship ? : Vitamin D deficiency and co-morbidities in COVID-19 patients – A fatal relationship ? (Nih.gov)

The mortality of COVID-19 (cases/ million population) shows a clear dependence on latitude. Below latitude 35, mortality decreases markedly. 

These comorbidities, together with the often concomitant vitamin D deficiency, increase the risk of severe COVID-19 events. Much more attention should be paid to the importance of vitamin D status for the development and course of the disease. Particularly in the methods used to control the pandemic (lockdown), the skin’s natural vitamin D synthesis is reduced when people have few opportunities to be exposed to the sun. The short half-lives of the vitamin therefore make an increasing vitamin D deficiency more likely. Specific dietary advice, moderate supplementation or fortified foods can help prevent this deficiency. In the event of hospitalisation, the status should be urgently reviewed and, if possible, improved : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7276229/pdf/main.pdf

Vitamin D deficiency and the COVID-19 pandemic : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7256612/

Analysis of vitamin D level among asymptomatic and critically ill COVID-19 patients and its correlation with inflammatory markers : https://www.nature.com/articles/s41598-020-77093-z 

Vitamin D insufficiency is prevalent in severe COVID-19 : https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20075838v1

Evidence that Vitamin D Supplementation Could Reduce Risk of Influenza and COVID-19 Infections and Deaths : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7231123/#B93-nutrients-12-00988

Vitamin D Supplementation Associated to Better Survival in Hospitalized Frail Elderly COVID-19 Patients : The GERIA-COVID Quasi-Experimental Study : https://www.mdpi.com/2072-6643/12/11/3377

[59] VITAMINE C 

La carence en vitamine C est fréquente dans les populations à risque (hommes seuls, personnes âgées, sans domicile fixe, troubles psychiatriques…) et sous-évaluée dans la population générale. : Carences en vitamine C – EM consulte (em-consulte.com) 

Vitamin C for COVID-19 : real-time analysis of all 4 studies (c19vitaminc.com) 

https://www.evms.edu/media/evms_public/departments/internal_medicine/EVMS_Critical_Care_COVID-19_Protocol.pdf 

Virologiste Anne-Mieke Vandamme KUL : fortes doses de vitamine C

La vitamine C aide-t-elle à résister au coronavirus COVID-19 ? : https://frankdelsaert.wordpress.com/2020/03/14/helpt-vitamine-c-weerstand-tegen-covid-19-coronavirus/ 

https://efsa.onlinelibrary.wiley.com/doi/pdfdirect/10.2903/j.efsa.2009.1226 

De la Vitamine C hautement dosée pour prévenir et traiter le COVID-19 ? (Pressenza.com)

Quercetin and Vitamin C : An Experimental, Synergistic Therapy for the Prevention and Treatment of SARS-CoV-2 Related Disease (COVID-19) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7318306/ 

[60] ZINC

Rôles du zinc dans l’immunité

The immune system and the impact of zinc during aging – PubMed (nih.gov)

Oral zinc supplementation demonstrates the potential to improve immunity and efficiently downregulates chronic inflammatory responses in the elderly. These data indicate that a wide prevalence of marginal zinc deficiency in elderly people may contribute to immunosenescence.

https://academic.oup.com/advances/article/10/4/696/5476413 , dans cet article paru le 22 avril 2019, dans la revue internationale « Advances in Nutrition », intitulé « The Role of Zinc in Antiviral Immunity », il y est dit que le Zinc joue un rôle essentiel dans la santé humaine : « The role of zinc as an antiviral can be separated into 2 categories : 1) zinc supplementation implemented to improve the antiviral response and systemic immunity in patients with zinc deficiency, and 2) zinc treatment performed to specifically inhibit viral replication or infection-related symptoms. »

Traduction : « Le rôle antiviral du Zinc peut être séparé en deux catégories : 1) Le Zinc comme prévention : une supplémentation en Zinc pour améliorer la réponse antivirale et l’immunité systémique chez les patients déficitaires en zinc, et 2) Le Zinc comme traitement spécifique pour inhiber la réplication virale ou les symptômes liés à l’infection. » 

Carences en ZINC :

OLIGO-ELEMENTS – IBC – ULB % (ulb-ibc.be) PDF à télécharger. Page 3/6 :

➢ Déficits en zinc et sélénium liés aux habitudes alimentaires (aliments à densité calorique élevée pauvres en micronutriments) et à l’augmentation des besoins liée au stress oxydant et à l’inflammation.

➢ Si le déficit en zinc est important et si la couverture des besoins est difficile, le recours à des formes orales de zinc est parfois justifié.

➢ Déficit en zinc plus fréquent chez les personnes institutionnalisées : apports alimentaires insuffisants, polymédication fréquente (IEC/ARA II). Associé à une incidence accrue d’infections, un défaut de cicatrisation des plaies (escarres) et une dysfonction du système immunitaire.

The immune system and the impact of zinc during aging – PubMed (nih.gov) Immun Ageing. 2009 Jun 12 ;6 :9. Doi : 10.1186/1742-4933-6-9 : The immune system and the impact of zinc during aging.

 “The trace element zinc is essential for the immune system, and zinc deficiency affects multiple aspects of innate and adaptive immunity.

Many studies confirm a decline of zinc levels with age.

Even marginal zinc deprivation can affect immune function.

Consequently, oral zinc supplementation demonstrates the potential to improve immunity and efficiently downregulates chronic inflammatory responses in the elderly. These data indicate that a wide prevalence of marginal zinc deficiency in elderly people may contribute to immunosenescence.”

Zinc et infections respiratoires :

OMS | Supplémentation en zinc visant à améliorer les effets du traitement chez les enfants atteints d’infections respiratoires (who.int), 2011

Zinc contre infections virales (in vitro) :

Zn2+ Inhibits Coronavirus and Arterivirus RNA Polymerase Activity In Vitro and Zinc Ionophores Block the Replication of These Viruses in Cell Culture (nih.gov) Une expérience conduite in vitro indique que lorsque les limitations à la pénétration intracellulaire du Zn2+ étaient levées, celui-ci inhibe efficacement, à des doses équivalentes à 2.0 μmol/L, l’activité de synthèse de l’ARN viral par le complexe de réplication et de transcription multiprotéique du SARS-CoV, poussant certains auteurs à considérer le zinc comme une option thérapeutique chez les patients atteint par le SARS-CoV-2

Zinc contre COVID-19 :

Zinc for COVID-19 : real-time analysis of all 9 studies (c19zinc.com)

Zinc for the prevention and treatment of SARS-CoV-2 and other acute viral respiratory infections : a rapid review (nih.gov)

[61] SELENIUM

An exploratory study of selenium status in healthy individuals and in patients with COVID-19 in a south Indian population : The case for adequate selenium status : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7657009/ 

Selenium Deficiency Is Associated with Mortality Risk from COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32708526/ 

Early Nutritional Interventions with Zinc, Selenium and Vitamin D for Raising Anti-Viral Resistance Against Progressive COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32784601/ 

Selenium and selenoproteins in viral infection with potential relevance to COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32992282/

Coronavirus : mise en évidence d’un lien entre les niveaux de sélénium et l’évolution de l’infection (trustmyscience.com) 

What about incorporating selenium in the therapeutic regimen of SARS-CoV-2 ? : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7744964/ 

[62] ARTEMISIA ANNUA :

L’Artemisia Annua (armoise annuelle) est un antipaludéen de la pharmacopée traditionnelle africaine et chinoise ayant une action contre le COVID.

Covid-19 : Quel sort pour l’Artemisia ? – Entelekheia.fr

Pas assez chère ? L’Artemisia, mal aimée de la lutte contre la malaria (entelekheia.fr)

Artemisia annua L. extracts prevent in vitro replication of SARS-CoV-2 : https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.01.08.425825v1 

Artemisia annua : Trials are needed for COVID‐19 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7276816/

Artemisia Spp. Derivatives for COVID-19 Treatment : Anecdotal Use, Political Hype, Treatment Potential, Challenges, and Road Map to Randomized Clinical Trials : https://www.ajtmh.org/view/journals/tpmd/103/3/article-p960.xml?tab_body=fulltext 

Artemisia Annua Could Be Promising Treatment for COVID-19 : https://med.uky.edu/news/artemisia-annua-could-be-promising-treatment-covid-19 

Recent lab studies by chemists at the Max Planck Institute of Colloids and Interfaces (Potsdam, Germany) in close collaboration with virologists at Freie Universität Berlin have shown that extract from the medicinal plant Artemisia annua, also known as Sweet Wormwood, is active against SARS-CoV-2

[63] MELATONINE :

Melatonin is significantly associated with survival of intubated COVID-19 patients : https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1.full.pdf 

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7574268/ 

Melatonin is significantly associated with survival of intubated COVID-19 patients, 18 octobre 2020 Preprint medRixv, Vijendra Ramlall & al

Complete version : https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1 

PDF : https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1.full.pdf 

Melatonin exposure after intubation is significantly associated with a positive outcome in COVID-19 and non-COVID-19 patients. Additionally, melatonin exposure after intubation is significantly associated with a positive outcome in COVID-19 patients requiring mechanical ventilation.

COVID-19 : La mélatonine est également incorporée dans les protocoles préventifs et thérapeutiques de la FLCCC Alliance et du professeur Paul Marik, aux USA.

I-MASK + : https://covid19criticalcare.com/i-mask-prophylaxis-treatment-protocol/i-mask-protocol-translations/ 

I-MATH + : https://covid19criticalcare.com/math-hospital-treatment/pdf-translations/ 

https://www.youtube.com/watch?v=bJZcDBTEGio  A master-class comprehensive review by Dr. Paul E. Marik (FLCCC Alliance) of the most current scientific insights into the origin, replication, transmission, infectivity, pathophysiology, and treatment of COVID-19.

[64] COLCHICINE :

https://www.icm-mhi.org/fr/salle-presse/nouvelles/linstitut-cardiologie-montreal-icm-annonce-que-letude-clinique-colcorona-patients-atteints-covid-19 

Étude COLCORONA

La colchicine, un médicament connu pour traiter la goutte, est évaluée comme traitement potentiel dans la lutte au coronavirus

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Notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité » régulièrement mise à jour

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Un Nüremberg puissance 10 en cours d’information contre le braquage en bande organisée qu’est cette affaire de COVID-19…

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , on 18 février 2021 by Résistance 71

 

 

Le plus grand Nüremberg de tous les temps se prépare

 

Jean-Michel Grau

 

17 février 2021

 

url de l’article original:
https://nouveau-monde.ca/fr/le-plus-grand-nuremberg-de-tous-les-temps-se-prepare/

 

Aujourd’hui, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une « Class Action » sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit les responsables du scandale du Covid-19 instrumentalisé par le Forum de Davos. À ce sujet, il est utile de rappeler que Reiner Fuellmich est l’avocat qui a réussi à condamner le géant de l’automobile Volkswagen dans l’affaire des pots catalytiques trafiqués. Et c’est ce même avocat qui a réussi à condamner la Deutsche Bank comme entreprise criminelle.

Selon Reiner Fuellmich, toutes les fraudes des entreprises allemandes sont dérisoires comparées aux dommages que la crise du Covid-19 a causés et continue de causer. Cette crise du Covid-19 doit être rebaptisée « Scandale du Covid-19 » et tous les responsables doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de protocoles de tests falsifiés. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid-19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Une commission d’enquête Covid-19 a été ouverte à l’initiative d’un collectif d’avocats allemands dans le but de faire un recours collectif au niveau international en utilisant le droit anglo-saxon.

Voici la traduction résumée de la dernière communication du Dr Fuellmich du 15/02/2021

« Les auditions d’une centaine de scientifiques, médecins, économistes, juristes de renommée internationale qui ont été menées par la commission d’enquête berlinoise sur l’affaire Covid-19 depuis le 10/07/2020, ont entre-temps montré avec une probabilité proche de la certitude que le scandale du Covid-19 n’était à aucun moment une affaire de santé. Il s’agissait plutôt de bétonner le pouvoir – illégitime, car obtenu par des méthodes criminelles – de la « clique de Davos » corrompue, en transférant la richesse des populations aux membres de la clique de Davos, en détruisant, entre autres, les petites et moyennes entreprises en particulier. Des plateformes comme Amazon, Google, Uber, etc. pourraient ainsi s’approprier leurs parts de marché et leurs richesses ».

État d’avancement de l’enquête du Comité Covid-19

  • a. Le Covid-19 comme tactique de diversion par les « élites » corporatistes et politiques dans le but de déplacer les parts de marché et la richesse des petites et moyennes entreprises vers des plateformes mondiales telles qu’Amazon, Google, Uber, etc.
  • b. Contribution de la taxe sur l’audiovisuel en vue de la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui offre une véritable information indépendante
  • c. Sécurisation des structures agricoles régionales
  • d. Sécurisation d’une monnaie régionale pour éviter qu’une nouvelle monnaie ne vienne « d’en haut » pour être allouée en cas de bonne conduite
  • e. Considérations psychologiques de la situation : comment en est-on arrivé là ?

Recours en annulation de l’approbation d’une vaccination, déposé contre la Commission européenne, procès à New York du statut des tests PCR, procès allemands, procès canadiens, procès australiens, procès autrichiens, procès à la Cour de Justice Internationale et à la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

« Nous avons constaté ce qui a été confirmé à maintes reprises : la dangerosité du virus est à peu près la même que celle de la grippe saisonnière, indépendamment qu’il s’agisse d’un nouveau virus (entièrement ou partiellement fabriqué) ou que nous ayons simplement affaire à une grippe rebaptisée « pandémie Covid-19 ». En attendant, les tests PCR de Drosten ne sont même pas capables de nous dire quoi que ce soit sur les infections contagieuses. Pour aggraver les choses, les dommages sanitaires et économiques causés par les mesures anticovid ont été si dévastateurs qu’il faut parler d’un niveau de destruction historiquement unique ».

« Le fait qu’il n’ait jamais été question de santé est particulièrement évident, sinon que les injections de substances génétiquement expérimentales déguisées en « vaccination » causent maintenant de graves dommages, y compris des conséquences fatales, à une échelle de masse. La population mondiale a servi de cobaye à ces injections expérimentales de gènes à la fois progressivement et extrêmement rapidement. Afin de plonger la population dans la panique, des mesures de confinement dangereuses et nocives (même selon l’OMS) de port du masque obligatoire, inutile et dangereux, et de distanciation sociale, inutile et contre-productive, ont été introduites. La population était ainsi « prête » pour les injections ».

« En attendant, de plus en plus de personnes, et pas seulement des avocats – à juste titre – exigent, outre l’arrêt immédiat de ces mesures meurtrières, un contrôle juridictionnel par un tribunal international véritablement indépendant, sur le modèle des procès de Nuremberg. Un exemple de demande de ce type et un extrait émouvant d’une allocution du médecin anglais Dr Vernon Coleman peut être trouvé dans le lien suivant : https://youtu.be/T3DNV7v5i74.

En outre, une interview d’un lanceur d’alerte d’une maison de retraite berlinoise, témoigne que sur 31 personnes vaccinées là-bas, dont certaines par la force, en présence de soldats de la Bundeswehr, et dont le test était négatif avant la vaccination, 8 sont maintenant décédées et 11 sont sujettes à de graves effets secondaires ».1

Réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin mercredi 17/02/2021

« Dans ce contexte, une réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin aura lieu le mercredi 17/02/2021 en direct et avec de nombreux invités qui y participeront via Zoom.

À partir de 14 heures, l’état des lieux sera résumé. En outre, il sera question de la manière dont les contributions de la taxe sur la redevance audiovisuelle peuvent être conservées et utilisées pour la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui serve réellement la liberté d’expression, et comment les contributions déjà versées pour la propagande insensée des 11 derniers mois peuvent être récupérées par le biais d’une mise en demeure.

Il y aura des contributions et des discussions sur la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, en particulier en renforçant l’agriculture régionale ; mais aussi en créant des monnaies régionales, si nécessaire avec le retour de l’UE à la CEE, sur la manière dont on peut s’assurer que la politique de la « clique de Davos », basée sur l’impression de monnaie à partir de rien, peut être arrêtée et qu’un retour à des monnaies stables peut être réalisé.

Mais surtout, des experts nous expliqueront comment il a pu arriver que nous nous retrouvions dans cette situation de chantage inimaginable il y a encore un an.

Dans la deuxième partie de la session, qui débutera à 19 h, des personnalités de renommée mondiale et de haut niveau commenteront l’état des litiges juridiques internationaux en cours, y compris les différentes actions collectives, comme résumé ci-dessus. Mais il sera également question de la manière dont les principaux responsables, en particulier politiques, des crimes contre l’humanité commis ici peuvent et doivent être tenus pour responsables en droit civil et pénal dans le cadre d’une nouvelle Cour internationale de justice qui sera créée conformément aux directives des procès de Nuremberg avec une distribution internationale ».

Le lien vers la session spéciale du Comité Covid annoncée ici sera disponible le 17/02/2021 via le site web du Comité.2

Commentaire :

Pour bien comprendre ce qui est en train de se jouer avec ce nouveau tribunal de Nuremberg pour juger la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, c’est en tirant sur le fil du mensonge du Dr Drosten pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, que tout va venir avec : les commanditaires de l’oligarchie financière, Klaus Schwab, le grand architecte de cette gigantesque prise d’otages, les politiques à la tête de l’UE, bras armé de l’exécution des directives de Drosten et de l’OMS qui ont amené tous les gouvernements occidentaux à prendre hier les décisions ravageuses de confinement, de couvre-feu, de port du masque obligatoire et de distanciation sociale et aujourd’hui de vaccins mortifères pour les plus âgés d’entre nous.

« Ce sont ces vérités qui feront tomber les masques des responsables des crimes commis. Aux politiciens qui ont eu foi dans ces personnages corrompus », dit le Dr Fuellmich, « Les faits présentés ici sont la bouée de sauvetage susceptible de les aider à rectifier le tir et à entamer le débat scientifique tant attendu du public, afin d’éviter de couler en même temps que ces charlatans criminels ».

Ensuite, à la lumière de cette dernière communication du Dr Fuellmich, deux propositions de la réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin retiennent l’attention :

  • Tout d’abord la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, ce qui apparaît quelque peu surréaliste eu égard à la situation d’aujourd’hui. Si l’on se réfère au planning du Forum de Davos de Klaus Schwab, il n’en est rien. Celui-ci a bel et bien prévu une rupture de la chaîne alimentaire dès la fin du second semestre 2021.3
  • Ensuite, la création de monnaies régionales. Là, il est clair que le Comité Covid de Berlin anticipe déjà le krach boursier mondial qui s’annonce et dont l’oligarchie financière du Forum de Davos à la manœuvre compte bien profiter pour mettre en place la monnaie numérique européenne dans l’attente d’une monnaie mondiale pour créer un crédit social à la chinoise dont deviendra dépendante la classe moyenne de tous les peuples ruinés par la fermeture de leurs commerces, PMI-PME, industries culturelles et touristiques, équipements sportifs, etc.

Rien que ces deux aspects de la prise d’otage 2.0 dont le monde occidental est victime depuis bientôt un an devraient en toute logique être suffisamment motivants pour nous faire comprendre définitivement que nous sommes face à un « populicide » qui ne demande qu’à nous broyer si nous restons inertes, les bras ballants sans rien faire.

C’est pourquoi il convient à chacun d’entre nous de tout mettre en œuvre dès maintenant afin que cette coalition juridique internationale puisse être opérationnelle le plus tôt possible. Pour ce faire, que toutes celles et tous ceux d’entre nous qui souhaitent rejoindre l’action collective des avocats français pour participer à cette reconquête de nos libertés se mettent déjà en contact d’ici le 21 février avec l’action collective4. Notre survie est à ce prix ainsi que l’avenir de nos enfants.

  1. 2020news.de/whistleblower-aus-berliner-altenheim-das-schreckliche-sterben-nach-der-impfung/
  2. corona-committee.com
  3. nouveau-monde.ca/fr/la-quatrieme-phase-de-schwab/
  4. francesoir.fr/opinions-entretiens/interview-me-virginie-de-araujo-recchia-avocate-au-barreau- de-paris

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A lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

PDF à lire et diffuser sans aucune modération:
COVID19_Du_mythe_aux_statistiques

 

Les virus mutent… les confinements sont prévus pour durer ad vitam aeternam… Si nous les laissons faire…

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Le Pinocchiorona-21…22…23…24…25…26…27…x+1

 

« Des chercheurs qui cherchent on en trouve, mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche ! »
~ Coluche ~

 

Les histoires de “mutations” de la COVID19 montrent que les confinements sont prévus pour durer éternellement

 

Brandon Smith

 

Décembre 2020

 

Source de l’article en français:
https://lesakerfrancophone.fr/les-histoires-de-mutations-de-la-covid-19-montrent-que-les-confinements-sont-concus-pour-durer-eternellement

 

Depuis de nombreux mois maintenant, j’avertis que la conception des mesures de confinement de la pandémie est perpétuelle, ce qui signifie que les mesures de confinement sont censées durer éternellement. Nous pouvons le constater dans les commentaires des élites de l’establishment qui font pression pour obtenir ces contraintes ; leur argument le plus fréquent étant que les restrictions liées à la pandémie sont la « nouvelle normalité ». Cette affirmation est soulignée par des globalistes comme Gideon Lichfield du MIT dans son article « On ne va pas revenir à la normale« .

Dans cet article, il déclare :

En fin de compte, cependant, je prédis que nous allons rétablir la capacité de socialiser en toute sécurité en développant des moyens plus sophistiqués pour identifier qui est à risque de maladie et qui ne l’est pas, et en discriminant – légalement – ceux qui le sont.

… on peut imaginer un monde dans lequel, pour prendre un vol, il faudra peut-être être inscrit à un service qui suit vos déplacements via votre téléphone. La compagnie aérienne ne pourrait pas voir où vous êtes allé, mais elle recevrait une alerte si vous avez été à proximité de personnes infectées connues ou de points chauds de la maladie. Les mêmes exigences s’appliquent à l’entrée des grandes salles de spectacles, des bâtiments gouvernementaux ou des centres de transport public. Il y aurait des scanners de température partout, et votre lieu de travail pourrait exiger que vous portiez un moniteur qui surveille votre température ou d’autres signes vitaux. Si les boîtes de nuit demandent une preuve d’âge, elles pourraient à l’avenir exiger une preuve d’immunité – une carte d’identité ou une sorte de vérification numérique via votre téléphone, montrant que vous vous êtes déjà remis ou que vous avez été vacciné contre les dernières souches de virus.

Dans mon article « Vagues de mutilation : La tyrannie médicale et la société sans cash« , j’ai démantelé les arguments de Lichfield et expliqué pourquoi les contrôles que l’establishment tente de mettre en place ont été planifiés longtemps à l’avance. Le « grand reset » et la « quatrième révolution industrielle » sont en cours de développement depuis au moins 2014, date à laquelle ces termes ont été injectés pour la première fois dans les principaux médias économiques. Les idées de société sans cash, d’« économie de partage », de surveillance biométrique des masses, de scores de crédit social, etc. font toutes partie du programme globaliste depuis des décennies. Le coronavirus n’est pour eux qu’une crise utile à exploiter pour justifier les mesures draconiennes qu’ils ont toujours voulues.

Le plan était si prévisible que j’ai même souligné, au début de l’épidémie de coronavirus, que les confinements ne prendraient pas fin même si une vaccination efficace était mise au point, car il leur suffirait de déclarer qu’une « nouvelle mutation » du virus résistante aux traitements existants a été trouvée. Ou bien, ils pourraient concevoir un tout nouveau virus et le diffuser dans la population afin de maintenir la machine à reset en marche.

Il n’est pas surprenant qu’au moment où la nouvelle a été diffusée que les vaccins Pfizer et Moderna, à peine testés et très suspects, étaient mis à la disposition du public, des rapports ont commencé à faire état de mutations du coronavirus, « plus infectieuses« , trouvées dans des endroits comme le Royaume-Uni, l’Inde et l’Afrique du Sud.

Je ne suis pas sûr que les élites puissent être plus transparentes.

Prenez le vaccin Pfizer maintenant et vous pourriez recevoir un passeport d’immunité pendant quelques mois, puis il sera annulé à chaque nouvelle mutation du virus. Vous devez donc vous soumettre à des vaccinations sans fin, dont beaucoup n’ont pas encore été testées et sont potentiellement dangereuses. Comme l’ancien vice-président de Pfizer et d’autres professionnels de la santé l’ont mis en garde, ces vaccins sont comme la roulette russe et pourraient provoquer une réaction auto-immune qui conduirait à la stérilité ou à d’autres réactions nocives.

Les vaccins eux-mêmes sont une solution à court terme, même s’ils sont efficaces. Ils nécessitent plusieurs doses au cours d’un mois, et les vaccinations doivent être renouvelées éventuellement tous les quelques mois. Fondamentalement, cela ne s’arrête jamais. Avec les mutations et les anticorps limités des vaccins, les élites pourraient maintenir les confinements et les contraintes en place pendant de nombreuses années.

L’Organisation Mondiale de la Santé indique clairement que la vaccination ne sera pas nécessairement considérée comme une solution à la propagation du virus. Cela signifie que même si vous êtes vacciné, vous serez toujours considéré comme un porteur et un transmetteur potentiel de la Covid-19, ce qui signifie que les mesures de confinement et les obligations de port de masques ne cesseront pas. Cela soulève la question suivante : quel est l’intérêt du vaccin ?

Le responsable scientifique de l’OMS cite le fait qu’il n’y a pas suffisamment de preuves pour établir que les vaccins empêchent la transmission. Selon cette logique, nous pourrions également soutenir qu’il n’y a pas de preuve que les vaccins sont efficaces à 95%, ou qu’ils sont sûrs à tout le moins.

En attendant, l’OMS et notre sympathique voisin fasciste, le Dr Anthony Fauci, répandent constamment l’histoire selon laquelle la « pire épidémie«  est encore à venir. Il faut que ce train de la peur continue à avancer sur la voie du « Grand Reset », n’est-ce pas ?

Pour les personnes qui croient réellement que la crise de la pandémie de Covid-19 prendra fin après les vaccinations de masse, je suis désolé de le dire, mais vous avez été dupés. Chaque élément de la réponse de l’establishment et chaque déclaration publique qu’ils font indique qu’ils prévoient de violer vos libertés civiles pendant longtemps. Ces promesses d’aide au coin de la rue ? Des mensonges. L’affirmation selon laquelle si vous suivez leur programme, tout reviendra à la normale ? C’est une arnaque. C’est une rhétorique creuse conçue pour vous faire taire et vous soumettre à la tyrannie médicale juste assez longtemps pour que cela devienne irréversible.

Je soupçonne qu’ils espèrent pouvoir conditionner le public au cours des prochaines années à s’adapter simplement aux contrôles jusqu’à ce que nous oubliions ce qu’était la vie avant la pandémie et le reset. Il semble cependant que le plan de reset des globalistes ne se déroule pas très bien.

Les vaccins et les nouvelles sur les mutations semblent précipités, c’est le moins qu’on puisse dire. Au départ, l’establishment a déclaré qu’il faudrait au moins 18 mois rien que pour mettre au point un vaccin à des fins d’essais et de tests, et que les confinements se poursuivraient bien au-delà de ce délai jusqu’à ce qu’une majorité de la population soit immunisée. Au lieu de cela, ils ont lancé plusieurs vaccins en six mois et le récit de la mutation fait déjà la une des journaux.

Je pense que cela est dû au fait que la résistance aux mesures de confinement face à la pandémie s’accroît et que le nombre de personnes refusant de se faire vacciner semble élevé. Comme on le dit, la révolution ne sera pas télévisée, mais il est encore impossible de la cacher complètement.

En Europe, un pourcentage énorme de la population (environ 50 % ou plus selon les pays) hésite à se faire vacciner. Aux États-Unis, les sondages montrent qu’au moins 30 % de la population refusera catégoriquement, tandis que 60 % des gens hésiteront selon l’efficacité du vaccin.

Même un grand nombre d’agents de santé refusent le vaccin, et ce sont ces personnes qui subissent le plus de pression pour se soumettre ou faire face aux conséquences.

Hilarant, les médias affirment que bien qu’il y ait eu « quelques réactions allergiques » au vaccin, il n’y a « aucune preuve d’effets secondaires graves à long terme ». Peut-être est-ce parce qu’il n’y a aucune étude des effets à long terme et qu’il y a eu un minimum d’essais avant que les vaccins ne soient mis sur le marché ? N’est-ce pas là une logique de base ? Pensent-ils vraiment que nous sommes aussi stupides ?

Jusqu’à présent, il semble que des centaines de millions de personnes ne soient pas aussi bêtes. Étonnamment, même des shérifs et des policiers dans tout le pays refusent ouvertement d’appliquer les mandats et d’infliger des sanctions au nom de la loi aux citoyens qui ne se soumettent pas. C’est vraiment un énorme obstacle pour les globalistes et leur reset.

Le virus a produit un IFR (Taux de létalité) de 0,26% chez toute personne ne se trouvant pas dans une maison de retraite avec des conditions préexistantes. Plus de 40 % des décès dus au Covid sont attribués à des personnes âgées qui souffraient déjà de nombreuses affections. Seulement 10 % environ des personnes qui finissent par être hospitalisées à cause de la Covid-19 souffrent de problèmes de santé à long terme (plus de trois mois). De plus, seuls 15 % environ des lits de soins intensifs sont utilisés aux États-Unis, ce qui signifie que les allégations de surcapacité et d’hôpitaux pleins n’étaient rien de plus que de la peur pour susciter des craintes, depuis le début.

Considérez le fait que des centaines de milliers de personnes meurent déjà chaque année de maladies infectieuses comme la grippe et la pneumonie et la Covid-19 commence à sembler beaucoup moins menaçant. Ce n’est certainement pas une excuse pour les confinements médicaux et les mesures orwelliennes de recherche des contacts.

En outre, de nombreuses études révèlent que les mesures de confinement et les masques sont totalement inefficaces pour arrêter la propagation du virus. Les États et les pays dont les contraintes sont parmi les plus strictement appliqués ont également tendance à être les endroits où les pics d’infection sont les plus élevés.

C’est pourquoi il est logique que de nombreuses personnes refusent de se conformer à ces contraintes. Les médias prétendent que nous sommes des théoriciens de la conspiration qui croient que le virus « n’existe pas » ; ce n’est pas le cas. En fait, je soupçonne depuis longtemps que le récit selon lequel le virus « n’existe pas » était une psy-op ou un homme de paille qui serait utilisé contre le mouvement de la liberté plus tard pour discréditer notre résistance aux confinements médicaux.

La plupart d’entre nous sont bien conscients de l’existence du virus. Certains d’entre nous l’ont déjà combattu et s’en sont remis. Ce que nous disons, c’est que le CDC, l’OMS et les propres statistiques de la communauté médicale montrent que la Covid-19 n’est pas une menace pour plus de 99% de la population. Si nous devons accepter leurs statistiques comme étant même très peu précises, alors la Covid-19 devient un non-problème pour la plupart des gens.

Une fois de plus, je poserai la question que les médias dominant refusent de poser :

Pourquoi dit-on à 99 % de la population qu’elle doit sacrifier son emploi, ses entreprises et ses libertés au nom de la sécurité de moins de 1 % de la population ? Pourquoi ne pas demander aux 0,26% de personnes menacées par le virus de se porter volontaires pour rester chez elles afin que le reste d’entre nous puisse reprendre une vie normale ? Pourquoi faisons-nous le contraire de ce qui est le plus logique ?

La réponse est que la réponse à la pandémie est une question de domination, et non de santé publique. Les gens commencent à s’en rendre compte et ils sont sur le point de se révolter.

Donc, la prochaine étape logique pour l’establishment, s’il veut vraiment mettre en place son programme de reset, est d’introduire une nouvelle menace. Cela signifie qu’ils ont besoin d’une « mutation » du virus ou d’un tout nouveau virus afin de créer le genre de peur nécessaire pour manipuler le public et l’amener à accepter un contrôle plus poussé.

Un nouveau virus plus mortel sera-t-il découvert ? Peut-être. Dans la plupart des cas, les virus ont tendance à évoluer vers des souches moins mortelles que l’original. Ils ont également tendance à équilibrer leur taux de propagation et leur taux de mortalité. En d’autres termes, comme toute autre créature, les virus évoluent pour survivre, et un virus ne peut pas survivre s’il tue la majorité de ses hôtes potentiels. Ainsi, ils mutent pour devenir plus infectieux, mais invariablement moins mortels.

Si une « mutation » plus mortelle que la forme actuelle de la Covid-19 apparaît sur la scène, je serais très méfiant quant à ses origines. Le plus probable est que les élites sont en panique et qu’elles utilisent le récit de la mutation comme un outil de propagande pour semer la terreur et le conformisme dans le public. Il se peut qu’il n’y ait pas de mutation du tout, ou que les mutations n’aient aucune incidence significative sur le taux de mortalité.

Ironiquement, en lançant à la hâte les vaccins et les histoires de mutation, les élites se sont sabotées elles-mêmes. Elles ont voulu faire un blitzkrieg du public avec les confinements et elles ont rencontré une résistance plus forte que prévu. Ils ont donc mis le programme de vaccination sur un train fou et maintenant le public se méfie de se faire injecter un modèle de vaccin à peine testé. Maintenant, ils font la promotion du croque-mitaine de la mutation et cela ne fait que faire se demander pourquoi les gens devraient prendre n’importe quel vaccin ? Si le virus va continuellement muter, alors pourquoi prendre un vaccin douteux qui pourrait être inutile en quelques mois ?

Le récit de la mutation ne fait qu’exposer davantage ce qui est vraiment à l’ordre du jour : ce que les élites veulent, c’est un enfermement sans fin. Il n’y a pas de programme pour sauver des vies ou aplatir la courbe. Tout l’argument de la santé est une absurdité totale. Rien de ce qui a été fait jusqu’à présent ne soutient l’idée que la santé publique est la priorité. Au lieu de cela, nous assistons à une course folle vers le totalitarisme en utilisant la Covid-19 comme excuse, et l’effort échoue.

= = =

Voir notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

 

COVID-19 fabrication de pandémie et falsification des données, mensonges d’état pour dictature technotronique… Présentation du livre « Le virus et le président » (Izambert-Janvier)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , on 16 janvier 2021 by Résistance 71

 



 

COVID-19 le vaccin inachevé

 

Jean-Loup Izambert et Claude Janvier

 

Reçu par courriel des auteurs le 13 janvier 2021

 

Commander le livre : https://www.is-ebooks.com/produit/194/9782368452905/le-virus-et-le-president 

 

Impossible d’ignorer que Pfizer et Moderna ont créés en moins d’une année un vaccin ARN messager décrit et salué par des médecins, des politiciens et la presse main stream comme révolutionnaire et efficace contre le Coronavirus. Une vraie prouesse ! Et une vaste fumisterie qui cache les objectifs réels de ces  producteurs de « vaccins miracle ». Avec la complicité du gouvernement français.

Tout est bon pour inciter les citoyens à se faire injecter le précieux liquide. Du chef de l’Etat, en passant par les ministres, les parlementaires, les médias et une certaine caste de médecins, la propagande bat son plein. Comme si cela ne suffisait pas, un collectif d’artistes s’est formé afin de marteler le message tout en louant les vertus de ce vaccin1. Du reste que connaissent-ils ces artistes du processus de la mise au point d’un vaccin ? Rien ! Strictement rien ! Leur démarche est guidée par le bla-bla des lobbyistes des laboratoires et des toubibs médiatiques comme Karine Lacombe, récemment promue pour recevoir la Légion d’honneur en récompense de … Et bien, bonne question, on ne sait pas. Certainement pour son nombre d’interviews record. Elle va bientôt figurer en pôle position dans le Guinness. Pendant ce temps-là, d’autres docteurs et infirmières travaillant en milieu hospitalier nuits et jours ne bénéficieront pas de la même reconnaissance officielle. Pour ces derniers le pouvoir réserve matraques, gazages, arrestations et amendes s’ils viennent à protester contre sa politique de liquidation du système de santé publique.

Quant aux artistes engagés pour la vaccination, on retrouve entre autre Berléand2 qui avait dévoilé son mépris pour le peuple et les Gilets Jaunes, et le décevant Grand Corps Malade. En effet, avec sa chanson « Pas essentiel », on s’attendait à plus de réflexion3. Ce qui est dommage c’est que tout ce beau monde est fermement persuadé que, grâce à cette vaccination, la vie va reprendre comme avant. Retour à la normale, jouée en partition uniquement pour pipeau et violon ! 

Cette légion d’honneur, distribuée à tout-va comme des confettis à des enfants, ne signifie plus grand chose à part récompenser certains malfaisants. Jacques Servier, feu le grand patron des laboratoires du même nom, s’était vu remettre la décoration prestigieuse en plein scandale du Médiator. Rappelons que pendant trente ans, de 1976 à 2009, ce produit dangereux à été prescrit à plus de 5 millions de patients. Jugement final en 2021. Un record de « rapidité » dû à l’état de délabrement avancé du système judiciaire français que mettent en évidence depuis plusieurs années les enquêtes de la Commission européenne pour l’efficacité de la justice (CEPEJ). Entre 220 et 300 décès à court terme et entre 1300 et 1800 à long terme4.  Ce qui n’a pas empêché Nicolas Sarkozy, alors chef de l’Etat à l’époque, de remettre à Servier, le 7 juillet 2009, la plaque et le cordon de grand-croix – la plus haute distinction – de la Légion d’honneur5, alors que la célèbre pneumologue Irène Frachon, dans son livre – Médiator 150 mg, combien de morts ? – publié deux ans plus tôt dénonçait les méfaits du médicament « miracle ». 

Mais revenons à ce vaccin miraculeux fabriqué en moins d’un an. Les chercheurs ont bossé nuit et jour. Quand il y a des bénéfices à faire, pas d’hésitation…

Effets indésirables graves : la question est loin d’être résolue

Le professeur Raoult que l’on ne présente pas déclare le 8 janvier 2021 que ce vaccin n’est pas la baguette magique qui va arrêter l’épidémie. Extrait de l’article « … Je pense que la plupart d’entre eux (les vaccins) ne présentent pas de risques à court terme. À moyen-long terme, personne ne peut le savoir sur des formes nouvelles (…) on a évalué les effets secondaires qui ne sont ni plus ni moins que ceux des autres vaccins : il ne s’est pas passé de choses extraordinaires. À moyen-long terme, personne ne peut le savoir sur des formes nouvelles (…) on a évalué les effets secondaires qui ne sont ni plus ni moins que ceux des autres vaccins : Je ne le crois pas non plus. »6.

Côté Pfizer, le vaccin Covid-19 assurerait une efficacité globale de 80,2 % après la première injection, atteignant 94,1 % 14 jours après la seconde injection7.  

Côté Vidal, la bible des médecins, au 10 décembre 2020, dans son article  « Vaccin Pfizer/Biontech contre la Covid-19 : Enfin des données à analyser ! » : « un taux de protection de 52,4 % dès la première injection » mais surtout : « Les questions relatives à l’efficacité qui demeurent en suspens », « Des effets indésirables post-injection plus sévères chez les moins de 56 ans », « Les questions relatives à la toxicité qui demeurent en suspens »… Puis plus loin : « La possibilité d’effets indésirables graves, rares ou décalés dans le temps »8 ; « La toxicité chez les moins de 16 ans, les femmes enceintes et allaitantes et les personnes immunodéprimées ». Le Vidal souligne en conclusion : « la question d’une éventuelle toxicité à long terme se pose toujours, ainsi que celle des effets indésirables graves et rares qui pourraient survenir. » En  cas d’effets indésirables graves possibles, qui ne semblent  nullement gêner ceux qui vaccinent avec ces vaccins inachevés, rendez-vous à l’hôpital s’il reste des lits hospitaliers ou au…cimetière. 

Le prix de l’incompétence

Comment ignorer que le développement et la mise au point d’un vaccin prend en moyenne une dizaine d’années en respectant le principe de précaution qui permet de s’assurer qu’il soit sans danger pour l’homme avant sa mise sur le marché ?

« Des prototypes de candidats-vaccins sont mis au point en laboratoire à partir de germes, puis on lance la production pharmaceutique et on réalise les premiers tests sur des animaux. Il faut ensuite obtenir des autorisations réglementaires pour mener des essais cliniques, plus vastes sur l’Homme. »9

Admettons quand même que ce vaccin soit efficace à 94,1 %. Si tel était le cas, et s’il protégeait réellement les vaccinés, pourquoi obliger ceux qui n’ont pas envie d’être vacciné à l’être ? Pourquoi vouloir établir un « passeport de santé/vaccination » qui serait exigible avant de prendre un avion, de monter dans un train, ou d’aller au spectacle ? La vérité semble ailleurs…

Nos braves artistes partant en guerre pour que tout le monde se fasse vacciner, feraient bien de revoir leurs copies. Car, s’ils s’imaginent que les salles de spectacles, les théâtres, les cinémas, et les restaurants (pour manger un petit bout en fin de soirée), vont réouvrir très vite, ils se fourrent le doigt dans l’oeil jusqu’au coude. 

Comment voulez-vous que le Conseil scientifique donne son feu vert à la liberté, vu que Jean-François Delfraissy, le  président du Conseil scientifique du pouvoir, a déclaré le 18 décembre 2020 que 2021 ressemblera à 2020.10. Tout comme il avait déjà déclaré en 2009 qu’il allait falloir vacciner deux fois les Français contre le virus de la grippe H1N1, alors présentée comme une terrible pandémie. Terrible au point qu’elle disparut en une année presqu’aussi vite qu’elle avait surgit … Coût pour l’Etat de ces prévisions aussi alarmistes qu’infondées et fumeuses : plus de 500 millions d’euros pour la seule opération vaccin dont des millions de doses seront annulées après dédommagements financiers de ses producteurs et 15 millions d’autres détruites ! Banco. 

Comme le reconnut lui-même le professeur Delfraissy une fois que l’orage fût passé, il « n’était pas un spécialiste des virus de la grippe », pas plus qu’il ne l’est d’ailleurs aujourd’hui de ce coronavirus. Voilà qui « rassure » et laisse déjà entrevoir que la nouvelle ardoise laissée par ce régime et ses conseillers – des milliards d’euros avec un nouveau surendettement du pays – pourrait bien tomber plus vite que prévu comme des tuiles sur la place publique.  

Un vaccin est normalement sensé vous immuniser contre une maladie. Si vous êtes vacciné contre le tétanos, vous êtes protégé à 100 %. Extrait du Vidal : « La vaccination contre le tétanos est efficace à 100 % et cette maladie a quasiment disparu dans les pays, dont la France, où une politique vaccinale complète est appliquée et réalisée. De 2005 à 2017, 112 cas de tétanos ont été déclarés en France – sois moins de 10 par an. » Si le vaccin contre la Covid-19 ne peut être efficace à 100% en 2021, aucun de ses fabricants ne peut garantir sa sûreté. Ceux-ci ne s’étendent pas sur ses possibles effets secondaires. Comme on les comprend. 

Si le vaccin vous rend malades, on y est pour rien…

Une réunion du comité consultatif de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis intitulée Vaccins et produits biologiques connexes qui s’est tenue le 22 octobre 2020 n’a-t-elle pas listé 22 conséquences négatives possibles, y compris la mort, avec ces vaccins alors en cours d’élaboration ?11 Cette liste, projet de travail sur les événements indésirables très graves pouvant survenir, n’incluait pas tous les effets négatifs mineurs et non étudiés sur la santé qui résulteront de ces injections pour une raison simple : ceux-ci ne peuvent apparaître qu’au bout de plusieurs années.

Voilà qui explique pourquoi les dirigeants de ces transnationales de la pharmacie ont été jusqu’à solliciter très fortement la Commission « européenne » afin qu’elle les décharge de leurs responsabilités sur les effets secondaires. Extrait de l’article LCI du 22 septembre 2020 : «  Le 27 août, la Commission européenne a confirmé être en discussion avec les laboratoires » sur ce sujet. Ces clauses sont ainsi en discussion afin de « compenser les risques élevés pris par les laboratoires ». Risques élevés ? Risques de pertes de profits faramineux par la vente de vaccins qui ne peuvent qu’être inachevés dans leur conception au moment de leur mise sur le marché ? Non, risques financier pour des effets secondaires liés à « une éventuelle toxicité à long terme (qui) se pose toujours » en début d’année 2021 « ainsi que celle des effets indésirables graves et rares qui pourraient survenir. » Et c’est justement pourquoi « les contrats d’achat anticipé prévoient que les états membres de l’UE indemnisent les fabricants pour les responsabilités encourues dans certaines conditions. »12 

Cerise sur le gâteau, ces vaccins ne garantiraient qu’une immunité de quelques mois, variable selon les fabricants. Ensuite rebelote pour une injection et jackpot pour Pfizer, Moderna et les autres. 

On imagine mal que des producteurs de vaccins assurés de l’efficacité et de la sûreté de leurs produits aillent quémander l’aide d’un Etat qu’ils ne cessent de stipendier au nom de la « libéralisation des entreprises » et auquel ils reprochent un prétendu « interventionnisme » pour qu’il prenne à sa charge les déboires qui pourraient survenir après l’injection de leur « vaccin révolutionnaire » 

Aussi, nul besoin d’être un grand devin pour deviner que le délire confinatoire avec port du masque et couvre feu va continuer alors que le mardi 12 mars 2020, l’inénarable Directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, déclarait que « 98% des gens guérissent » de la Covid-19. Et attention, en matière de coronavirus le haut fonctionnaire Jérôme sait de quoi il parle : c’est lui qui annonça le 3 février 2020 qu’ « il n’y a pas d’épidémie en France, même pas de chaîne de transmission dans notre pays et aucune circulation du virus sur le territoire. » Le jour même la France comptait ses six premiers cas confirmés porteurs du virus SRAS-CoV-2, 57 le 29 du même mois et 191 avec le premier décès le 3 mars !

Notre enquête

 Se soigner ? Du repos chez soi, et pour aider, du zinc, de la vitamine D, de la vitamine C, de l’aspirine ou du Doliprane13, 14. Mais alors que devient l’Hydroxychloroquine, interdite par la « sinistre » de la Santé Buzyn aux médecins généralistes bien que ceux-ci parviennent à soigner des malades à l’hôpital s’ils sont traités dès les premiers symptômes ? 

Difficile de s’y retrouver dans les affirmations les plus contradictoires qui agitent la communauté scientifique auxquelles s’ajoutent les fausses  nouvelles diffusées par le Premier ministre et certaines administrations. Rien d’étonnant pourtant puisque ce coronavirus est nouveau pour les chercheurs, du moins pour ceux qui ne travaillent pas à la mise au point d’armes biologiques offensives dans l’un de ces laboratoires de l’armée des Etats-Unis échappant à tout contrôle international. Mais ceci est une autre histoire, celle de guerres biologiques et chimiques qui ne commencent ni en République populaire de Chine, ni en France mais au cœur de la Maison Blanche…

Nous sommes journalistes et non scientifiques et notre rôle est de rapporter avec rigueur à la population les informations et les idées qui circulent dans la société. Nous n’avons pas la prétention d’affirmer ce qu’il faut faire ou ne pas faire au plan médical ainsi que s’y ridiculisent des éditocrates parisiens et autres médecins imaginaires autoproclamés qui se répandent dans des médias dont les transnationales de Big Pharma sont l’un des principaux annonceurs. Par contre nous avons la détermination inébranlable de dénoncer les fausses informations, d’où qu’elles viennent, en nous appuyant sur des sources fiables – Insee, CNRS, Inserm, etc. -, en vérifiant et croisant leurs données et en analysant les faits avec le nécessaire recul. 

La pratique rigoureuse de l’enquête journalistique implique de suivre la « règle des trois principes » : bannir toute idée reçue, ne faire confiance à personne, vérifier les informations par recoupements. C’est pourquoi nous pouvons affirmer que ce gouvernement ment à l’opinion publique lorsqu’il prend prétexte d’une prétendue virulence du virus pour imposer de nouvelles mesures qui détruisent le contrat social français. Parvenu à ce stade de mensonge d’Etat, ce gouvernement n’a plus d’autre choix que d’entretenir la peur pour endiguer la révolte qui menace et permettre aux sociétés transnationales de la pharmacie d’écouler leurs millions de doses de vaccins autant inutiles qu’inachevés. 

Vous doutez ?

Fausses informations gouvernementales

Un nouvel exemple de l’esbroufe gouvernementale appert en début d’année 2021 : le nombre de personnes contaminées par la Covid-19 annoncé en décembre 2020 par le gouvernement, son ministre de la santé et son administration, et relayé par la plupart des médias, est de 1068 cas confirmés par semaine par million d’habitants. Cette statistique est diffusée par la plateforme ouverte des données publiques françaises (www.data.gouv.fr, https://LaFibre.info/Covid19, Comparatif du nombre de cas Covid-19 par semaine entre pays rapporté par million d’habitants, mise à jour du 06 décembre 2020 à 17h.)

Or, si l’on examine de près les chiffres du réseau Sentinelles de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) composé de 1200 cabinets médicaux sur tout le territoire, ce rapport s’avère bien différent : 14 cas pour 100 000 personnes soit environ 140 cas pour un million d’habitants. Huit fois moins ! Rappelons que le taux de Sentinelles correspond aux vrais malades symptomatiques rencontrés dans les cabinets médicaux et testés. Ainsi que l’indique le réseau Sentinelles dans son bulletin sur la situation observée pour la semaine 53 – du 28 décembre 2020 au 03 janvier 2021-, « à partir des données cliniques et virologiques concernant les cas d’IRA (NdA : Infections respiratoires aiguës) vus en consultation de médecine générale, il est possible d’estimer la part de ces cas dus au COVID-19. » En semaine 53 à cheval entre décembre 2020 et janvier 2021, « aucun prélèvement n’a été testé positif au SARS-CoV-2 (COVID-19) parmi les prélèvements analysés. Ceci permet d’estimer que le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en médecine générale serait inférieur à 14 cas pour 100 000 habitants, représentant moins de 9 097 nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. » Précision de l’Inserm : « Cette estimation est stable par rapport aux semaines précédentes. » Quel média vous a rapporté ces faits et cette « stabilité par rapport aux semaines précédentes » ?… Le seuil épidémique étant de 150 à 200 cas pour 100 000 personnes, il est permis d’affirmer que le virus est en voie de disparition. 

Aussi, la troisième vague, le reconfinement, le couvre-feu et autres mesures annoncées par le gouvernement à grand renfort de médias semblent n’avoir qu’une raison d’être : entretenir la peur pour écouler le stock de millions de doses de vaccins ! Olivier Veran, ministre des Solidarités et de la Santé, ne tient visiblement pas à jouer « Bachelot 2 le retour » sur les traces de la « sinistre » de la Santé du gouvernement Fillon. Rappelez-vous : en 2010 celle-ci, suivant à la lettre les conseils du même Jean-François Delfraissy et de son équipe pour contrer la grippe H1N1, s’était retrouvée avec des dizaines de millions de doses de vaccins inutiles…

Les « profiteurs pandémiques »

Ceux qui depuis le début de l’année 2020 n’arrêtent pas de diffuser des annonces gouvernementales et d’administrations sans les vérifier puisqu’émises par des sources officielles  – donc a priori crédibles – se retrouvent, devant les arguments que nous présentons aux lecteurs, seuls et démunis avec le sentiment d’avoir été trompés par le pouvoir et ses représentants pour les plus honnêtes et professionnels d’entre eux. Si, si, il en existe encore… Si des erreurs peuvent survenir dans la création et la diffusion d’informations, celles-ci répétées dans le temps sur un même sujet façonnent ce qui s’appelle un mensonge d’Etat.

Ceux qui en font les frais ? 

Les professionnels de la santé et, d’une manière générale, les salariés des entreprises, les transporteurs, commerçants, artisans, hôteliers-restaurateurs, patrons de boîtes nuits, autocaristes, TPE et PME-PMI, les professions du spectacle et de l’événementiel, les salles de sports…Bref, tous les entrepreneurs et indépendants, qui grâce à leur travail et à leur dur labeur font vivre leurs familles et donnent de la convivialité à notre nation sont en train de disparaître.

En revanche, comme nous le montrons dans Le virus et le président, les « profiteurs pandémiques » se portent plutôt très bien. Parmi eux, les sociétés transnationales du CAC 40 – dont celles de la pharmacie – qui, tout en réalisant les plus importants chiffres d’affaires reçoivent, bon an mal an, plus de 200 milliards d’euros de subventions publiques et d’exonérations fiscales de l’Etat et de l’Union dite « européenne » et continuent de coter à la hausse en Bourse tout en tuant des milliers et des milliers d’emplois en France. C’est un peu aussi pourquoi nous disons que lorsque le président Macron qui a consacré son temps, depuis qu’il s’est assis en 2012 près de l’ancien président François Hollande, a privatiser l’économie, créer du chômage, réduire encore le système de santé publique, endetter le pays, déclare vouloir « reconstruire une économie forte et souveraine » c’est un peu comme si une dinde fêtait Noël.

Le livre qui dérange

Le virus et le président n’oublie pas ces fauteurs de crise tant sanitaire qu’économique et financière. Vous y lirez comment les privilégiés du système se gavent des richesses de notre beau pays avec le concours de parlementaires qui, pour la plupart, ne sont plus que des sortes de greffiers de la Commission « européenne » qui confinent le budget de la Santé publique dans l’une des dernières places du budget de l’Etat. Pendant que la France du travail et de la création perd sa santé jusqu’à l’agonie sur l’une des toutes premières marches du podium du taux de suicide d’Europe occidentale, des profiteurs sans scrupules la pillent en flux tendu 24 heures sur 24. La fable du « vaccin miracle » inachevé contre la Covid-19 ne raconte pas une autre histoire que celle des manigances de ces accapareurs à la recherche de profit maximum immédiat quelles qu’en soient les conséquences pour le peuple.

Ce vol noir de corbeaux sur le pays qu’ils enchaînent à coups d’ordonnances de l’Union « européenne » et de lois liberticides et anti-sociales est le tableau « idyllique » annoncé par Klaus Schwab, le fondateur de Davos et de son Forum Economique Mondial, ainsi qu’il l’explique dans son livre, Covid-19 : la grande réinitialisation. C’est écrit noir sur blanc et ce n’est pas complotiste. C’est une réalité qui est en train de s’étendre, comme une gangrène malfaisante à toute la planète15. Aussi, le temps de la perdition, de la désespérance et du silence est révolu. Place à la réflexion, au débat et à l’action ! 

Notre livre Le virus et le président, (IS Edition, www.is-edition.com), qui vient de sortir souhaite y contribuer, peut vous éclairer, vous permettre de comprendre comment et pourquoi le pouvoir vous trompe, favoriser le débat, inciter à rechercher et à écrire les propositions qui permettront de changer de cap. Enquêtes minutieuses, faits, chiffres, zestes d’humour16… 

Le vaccin inachevé ? Comme pour ses promoteurs et propagandistes, au vu de ce qui précède, vous aurez deviné notre position. 

Jean-Loup Izambert et Claude Janvier

Notes :

1.https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/appel-de-200-artistes-pour-la-vaccination-c-est-le-seul-moyen-de-sortir-de-ce-bordel/ar-BB1cyLhj?ocid=msedgdhp et https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/covid-19-l-appel-de-200-personnalites-de-la-culture-qui-veulent-se-faire-vacciner-06-01-2021-8417619.php

2.https://www.lefigaro.fr/cinema/ils-me-font-ch-francois-berleand-s-explique-devant-des-gilets-jaunes-20191209

3.https://www.youtube.com/watch?v=NencPkx7qgY

4.https://www.lepoint.fr/justice/proces-mediator-dernier-round-07-07-2020-2383304_2386.

5.https://www.nouvelobs.com/societe/20111010.OBS2124/nicolas-sarkozy-et-la-legion-d-honneur-le-revers-de-la-medaille.html

6.https://www.lindependant.fr/2021/01/08/covid-19-pour-didier-raoult-le-vaccin-nest-pas-la-baguette-magique-qui-va-arreter-lepidemie-9299989.php

7.https://www.vidal.fr/actualites/26337-vaccin-pfizer-biontech-contre-la-covid-19-enfin-des-donnees-a-analyser.html

8.https://www.vidal.fr/actualites/26105-vaccins-contre-la-covid-19-doit-on-s-inquieter-du-risque-de-maladie-aggravee-chez-les-personnes-vaccinees.html

9.https://www.santemagazine.fr/traitement/medicaments/vaccins/vaccins-contre-le-coronavirus-quelles-differences-pour-qui-quand-873097

10.https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-jean-francois-delfraissy-2021-ressemblera-a-2020-7091792 

11.FDA U.S., Food & Drug Administration, Steve Anderson, VRBPAC, meeting October 22, 2020. Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee (VRBPAC), October 22, 2020. Meeting Announcement. La FDA révèle une longue liste de problèmes de santé graves pouvant résulter de la vaccination contre le covid-19, y compris la mort, par Lance D.Jolmage, Natural News, mercredi 09 décembre 2020.

12.https://www.lci.fr/sante/vaccins-contre-le-covid-19-les-laboratoires-seront-ils-vraiment-decharges-de-toute-responsabilite-en-cas-d-effets-secondaires-2165265.html

13.https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/collectif-medecins-preconise-utilisation-vitamine-du-zinc-prevenir-formes-graves-covid-1908356.html

14.https://www.bfmtv.com/sante/en-combien-de-temps-guerit-on-du-coronavirus_AN-202003120174.html

15.https://blogs.mediapart.fr/semcheddine/blog/011220/covid-19-grande-reinitialisation-ou-insurrection-des-consciences et  https://lecourrierdesstrateges.fr/2020/12/29/le-great-reset-annonce-t-il-la-fin-du-travail-independant/

16.https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/

 

Lectures complémentaires sur notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

 

Un an… Ce que l’on sait du SRAS-CoV2 et de la « pandémie » COVID-19 associée : une mise à jour des données récentes (Denis Rancourt)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, Internet et liberté, média et propagande, N.O.M, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , on 12 janvier 2021 by Résistance 71

 

Une remarquable synthèse de Denis Rancourt sur ce qu’on sait aujourd’hui SCIENTIFIQUEMENT sur le SRAS-CoV-2 et la « pandémie » COVID-19 associée. A lire et diffuser au plus grand large et sans aucune modération.
Nous devons stopper cette imposture avant qu’elle ne nous enferme dans sa dictature technotronique eugéniste programmée.
~ Résistance 71 ~

 

 

Mise à jour des données récentes concernant la politique COVID-19

Les mesures de confinement n’empêchent pas les décès, la transmission ne se fait pas par contact, les masques n’apportent aucun bénéfice, les vaccins sont intrinsèquement dangereux.

 

Denis Rancourt

 

28 décembre 2020

 

Source Research Gate

 

url de l’article en français :
https://lesakerfrancophone.fr/mise-a-jour-des-donnees-scientifiques-recentes-concernant-la-politique-covid-19#fn-98503-18

Le texte en PDF :
Denis_Rancourt_Mise_a_jour_des_donnees_de_ce_quon_sait_sur_le_SRAS-CoV-2

Les mesures sans précédent de confinement universel, de confinement institutionnel strict des maisons de soins, de masquage universel de la population, d’obsession hygiénique des surfaces et des mains et de déploiement accéléré des vaccins sont contraires à la science connue et aux récentes études de référence. Le gouvernement a fait preuve d’imprudence par action et de négligence par omission. Des mesures institutionnelles sont nécessaires depuis longtemps pour endiguer la corruption dans le domaine de la médecine et de la politique de santé publique.

Introduction – Pandémie iatrogène de panique

Le contexte politico-sanitaire est un contexte dans lequel, jusqu’en 2019, le consensus scientifique et politique passé en revue était que les mesures globales généralement et universellement appliquées en 2020 étaient 1 2 :

  • non recommandées sans être justifiées par des preuves quantitatives suffisantes des circonstances épidémiologiques locales (juridictionnelles) (transmissibilité, gravité de la maladie, impact), et sans être mises en balance avec les préjudices économiques, sanitaires et sociaux locaux qui en résultent
  • pour de nombreuses mesures (recherche des contacts, mise en quarantaine des personnes exposées, contrôle des entrées et des sorties, fermeture des frontières), « non recommandé en aucune circonstance », quelle que soit la gravité de la maladie respiratoire virale pandémique (modérée, élevée ou extraordinaire)

Le contexte politico-sanitaire est également un contexte dans lequel il existe une histoire récente documentée de « paniques répétées de pandémie de santé » dans laquelle « les experts en maladies souhaitent attirer l’attention du public et faire pencher les décisions d’allocation de ressources en faveur de la maladie qui les intéresse ». 3. Bonneux et Van Damme, en 2011, l’ont exprimé ainsi 4 :

“Les paniques répétées de pandémie de santé causées par un virus aviaire H5N1 et un nouveau virus de grippe humaine A(H1N1) font partie de la culture de la peur [réf.] Le pire des scénarios a remplacé l’évaluation équilibrée des risques. Le pire des scénarios est motivé par la conviction que le danger auquel nous sommes confrontés est tellement catastrophique que nous devons agir immédiatement. Plutôt que d’attendre des informations, nous avons besoin d’une frappe préventive. Mais si les ressources achètent des vies, le gaspillage des ressources gaspille des vies. Le stockage préventif d’antiviraux largement inutiles et les politiques irrationnelles de vaccination contre un virus H1N1 exceptionnellement bénin ont gaspillé plusieurs milliards d’euros et érodé la confiance du public dans les responsables de la santé. [réf.] La politique de lutte contre la pandémie n’a jamais été guidée par des preuves, mais par la crainte des pires scénarios.”

En outre, un important scandale de conflit d’intérêts concernant les recommandations de l’OMS en matière de pandémie de grippe a été exposé en détail en 2010, où les enquêteurs Cohen et Carter ont conclu : « Parmi les principaux scientifiques qui conseillent l’Organisation mondiale de la santé sur la planification d’une pandémie de grippe, certains ont fait un travail rémunéré pour les entreprises pharmaceutiques qui ont tout à gagner des conseils qu’ils ont rédigés. Ces conflits d’intérêts n’ont jamais été rendus publics par l’OMS ». 5

En 2020, rien de tout cela n’avait d’importance. Nous sommes entrés dans un monde de propagande, avec des institutions captives. Le principe de précaution (le gouvernement doit prouver l’absence probable de dommages avant d’imposer des politiques dangereuses) a été renversé, et la charge de la preuve a été imposée à la science pour justifier a posteriori des mesures sans précédent, rapidement imposées en l’absence de science ou même en s’opposant à elle. Malheureusement, une grande partie ou la plupart de l’establishment scientifique s’est conformé au nouveau programme.

Récemment, il y a eu à la fois des événements dramatiques (lancement du vaccin) et des communications scientifiques importantes, depuis que j’ai publié mes deux premiers articles scientifiques concernant la politique autour de la COVID-19, le 11 avril 2020 6 et le 3 août 2020 7, ainsi que des articles sur les préjudices mortels des réponses gouvernementales, déduits des données sur la mortalité toutes causes confondues, dépendantes du temps et de la juridiction 8 9.

Mes deux premières analyses ont porté sur la science et la politique des masques 10 11. La présente mise à jour des développements récents porte à nouveau sur les masques, et comprend en outre des points clés sur les mesures de confinement et les vaccins.

La rigueur des mesures n’a aucun effet sur le nombre total de décès attribués à la COVID-19

Deux grandes études récentes ont été menées à l’échelle mondiale.

Dans leur article du 21 juillet 2020 intitulé « Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions gouvernementales, de l’état de préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité de la COVID-19 et les résultats sanitaires associés » (50 pays), Chaudhry et al. ont indiqué 12 :

“La fermeture rapide des frontières, le confinement total et les tests à grande échelle n’ont pas été associés à la mortalité de la COVID-19 par million de personnes. (Résumé / Résultats)

Lorsque la mortalité de la COVID-19 a été évaluée, les variables significativement associées à une augmentation du taux de mortalité par million étaient la prévalence de l’obésité dans la population et le PIB par habitant. En revanche, les variables qui étaient négativement associées à une augmentation de la mortalité de la COVID-19 étaient la réduction de la dispersion des revenus au sein de la nation, la prévalence du tabagisme et le nombre d’infirmières par million d’habitants. En effet, un plus grand nombre d’infirmières dans un système de soins de santé donné était associé à une réduction de la mortalité. Les taux de mortalité étaient également plus élevés dans les comtés dont la population était plus âgée […]. Enfin, les mesures gouvernementales telles que la fermeture des frontières, le confinement total et un taux élevé de tests COVID-19 n’ont pas été associées à des réductions statistiquement significatives du nombre de cas critiques ou de la mortalité globale. (Section 3.4)”

Dans leur article du 19 novembre 2020 « Mortalité du fait de la COVID-19 : Une question de vulnérabilité parmi les nations confrontées à des marges d’adaptation limitées » (160 pays), De Larochelambert et al. ont trouvé 13 :

“Résultats : Des taux de mortalité plus élevés sont observés dans les zones de latitude [25/65°] et de longitude [-35/-125°]. Les critères nationaux les plus associés au taux de mortalité sont l’espérance de vie et son ralentissement, le contexte de santé publique (fardeau des maladies métaboliques et non transmissibles (MNT) par rapport à la prévalence des maladies infectieuses), l’économie (produit national de croissance, soutien financier) et l’environnement (température, indice ultra-violet). La rigueur des mesures mises en place pour lutter contre la pandémie, y compris le confinement, ne semble pas être liée au taux de mortalité.

Conclusion : Les pays qui ont déjà connu une stagnation ou une régression de l’espérance de vie, avec des revenus et des taux de mortalité élevés, ont eu le plus lourd tribut à payer. Ce fardeau n’a pas été allégé par des décisions publiques plus strictes. Des facteurs inhérents ont prédéterminé la mortalité de la Covid-19 : leur compréhension peut améliorer les stratégies de prévention en augmentant la résilience de la population grâce à une meilleure condition physique et une meilleure immunité. (Résumé)”

L’American Institute for Economic Research (AIER Staff) a passé en revue ces études et 22 autres études qui aboutissent à des conclusions similaires, dans son rapport du 19 décembre 2020 intitulé « Les confinements ne contrôlent pas le coronavirus : Les preuves » 14.

Par conséquent, dans l’ensemble, le nombre total de cas critiques et le nombre total de décès étaient associés à l’état de santé préexistant et à l’état sociétal de la population, et cela n’a pas été amélioré par les mesures gouvernementales visant à ralentir la transmission.

Il est important de noter qu’en plus des études sur les associations avec la mortalité totale, la dépendance temporelle et la granularité (dépendance juridictionnelle) de la mortalité toutes causes confondues montrent que la déclaration de pandémie de l’OMS du 11 mars 2020 et la recommandation universelle de « préparer vos hôpitaux » ont été suivies d’un grand nombre de décès, probablement induits par les infections et le confinement strict des maisons de soins non ventilées pour les personnes malades et âgées 15 16.

La pandémie iatrogène de propagande en terme de psychologie de masse et la sociologie autour de la COVID-19 de 2020 commencent à être étudiées par des méthodes quantitatives 17.

La corruption de la science est mise à nue – Masques et PCR

Un aspect positif de ce que l’on peut appeler la « pandémie de propagande » actuelle est que la corruption systémique généralisée de l’establishment scientifique est exposée, non seulement par des rétractations très médiatisées d’articles publiés dans des revues de premier plan, mais aussi par des éditoriaux critiques. Par exemple, le 13 novembre 2020, le rédacteur exécutif Kamran Abbasi l’a exprimé en termes très clairs dans les pages de l’éminent BMJ 18 :

“La science est supprimée pour des raisons politiques et financières. La Covid-19 a déclenché une corruption de l’État à grande échelle, et elle est nuisible à la santé publique. [réf] Les politiciens et l’industrie sont responsables de ce détournement opportuniste. Les scientifiques et les experts de la santé le sont également. La pandémie a révélé comment le complexe politico-médical peut être manipulé en cas d’urgence, à un moment où il est encore plus important de sauvegarder la science.”

J’en donne trois exemples.

Premièrement, le biais systémique est palpable dans une mini-saga récente sur les masques, publiée dans les pages du New England Journal of Medicine 19 20 21.

Gandhi et Rutherford ont écrit un article intitulé « Perspective », publié le 29 octobre 2020 22. Les auteurs avancent l’idée extraordinaire que se masquer réduit la gravité de la maladie chez les personnes infectées. Ils commencent par l’affirmation propagandiste selon laquelle le masquage facial universel est « l’un des piliers de la lutte contre la pandémie de Covid-19 ». Ils poursuivent en avançant l’argument fantastique suivant : les masques peuvent réduire l’inoculum viral et donc provoquer des infections asymptomatiques dans lesquelles le sujet développe une immunité. Cela a alarmé les répondants car le mécanisme proposé est ce que l’on pourrait appeler « l’immunité acquise naturellement grâce aux masques ». Admettre tout type d’immunité naturelle, qui est une dure réalité de la biologie de l’évolution, est devenu sacrilège.

Deux groupes de chercheurs ont publié des réfutations contre Gandhi et Rutherford, dans la même revue.

Rasmussen et al. ont écrit 23 :

“Il n’y a pas suffisamment de preuves pour soutenir l’affirmation selon laquelle les masques réduisent la dose infectieuse du SRAS-CoV-2 et la gravité de la Covid-19, et encore moins que leur utilisation peut induire une immunité protectrice. […] La suggestion que les masques offrent une alternative à la vaccination sans preuve que les bénéfices l’emportent sur les grands risques encourage implicitement les comportements irresponsables.”

Brosseau et al. ont, pour leur part, réajusté diplomatiquement les vues exposées par Gandhi et Rutherford en ramenant les lecteurs à la science et à la réalité établies 24 :

“La réplication virale est liée à la dose, mais la gravité de la maladie ne l’est pas. L’épidémiologie indique que l’apparition de formes graves de Covid-19 est associée à des conditions préexistantes et à d’autres facteurs de risque, tels que l’âge, le sexe et la grossesse [réf].

Bien qu’elle n’ait pas encore été démontrée dans des modèles expérimentaux, la dose infectieuse du SRAS-CoV-2 est probablement similaire à celle du SRAS-CoV – environ 300 virions [réf]. Quelle que soit la gravité de la maladie, les gens présentent des charges virales élevées et un virus infectieux pendant au moins 8 jours après l’apparition des symptômes. La parole normale peut générer jusqu’à 3000 particules de 1 micron par minute dans l’air expiré, [ref] et chaque particule pourrait contenir plus de 250 virions, ce qui signifie qu’une seule minute de parole génère potentiellement plus de 750 000 virions. Les revêtements de visage en tissu ont une efficacité très variable en fonction de la capacité de filtrage et de l’ajustement. Le port d’un couvre-visage en tissu à proximité d’une personne infectée pendant plusieurs minutes peut ne pas empêcher la réception d’une dose infectieuse, qui, comme indiqué ci-dessus, n’est pas corrélée à une maladie moins grave.”

Les auteurs de l’article original n’ont pas été dissuadés et ont répondu :

« Plus de preuves s’accumulent pour supporter cette idée » et « il y a de plus en plus de preuves à la fois physiques et d’enquêtes épidémiologiques que les masques en tissu (s’ils sont portés correctement) réduisent à la fois la transmission et l’acquisition » 25 L’examen de leurs sources montre que les auteurs ont une vision généreuse de ce qui peut constituer une « preuve » à l’appui. Voir également 26, concernant la tournure que prend l’« accumulation de preuves » dans le contexte politique des masques faciaux.

Deuxièmement, un exemple étonnant, toujours à propos des masques, est fourni dans les pages de Nature Medicine. Ici, l’équipe de prévision de la COVID-19 de l’IHME, le 23 octobre 2020 (« étude de l’IHME »), a déclaré que le port universel de masque serait d’une grande utilité aux États-Unis 27 :

“L’utilisation du port universel de masque pourrait sauver 129 574 (entre 85 284 – 170 867) vies supplémentaires entre le 22 septembre 2020 et la fin février 2021, ou 95 814 (entre 60 731 – 133 077) vies supplémentaires en supposant une adoption moindre du port du masque (85%), par rapport au scénario de référence. (Résumé)”

Si les masques offrent un avantage aussi important, il est impossible de comprendre comment aucun des nombreux grands essais contrôlés randomisés (ECR) dont les résultats sont vérifiés, n’a détecté cet avantage. Il est impossible d’obtenir les résultats négatifs souvent répétés dans les études ECR de qualité suffisante pour informer la politique sanitaire, si les prémisses et les conclusions de l’étude IHME sont correctes. L’étude de l’IHME a été réfutée avant même sa publication.

L’étude de l’IHME est fatalement défectueuse sur au moins deux points :

  1. La méta-régression utilisée pour estimer (« suggérer », selon leurs termes) que le port universel du masque permet une réduction de 40% et plus de la transmission est sans valeur, et est le fruit d’un biais constructif ;
  2. Ils ont utilisé des données incorrectes pour évaluer la conformité du masquage de la population américaine pour la période concernée.

Cette dernière faille fatale a été exposée par Magness, dans son rapport publié dans le Wall Street Journal, intitulé « Les arguments en faveur de l’obligation du port de masques reposent sur des données erronées » 28 :

“Malheureusement, les conclusions des modélisateurs de l’IHME contenaient une erreur que même un examen minimal aurait dû permettre de détecter. Le nombre prévu de vies sauvées et le cas implicite d’une obligation de port de masques sont basés sur une statistique erronée. En utilisant une enquête datant de plusieurs mois, les modélisateurs de l’IHME ont supposé à tort que le taux d’adoption de masques aux États-Unis ne s’élevait qu’à 49% à la fin du mois de septembre, et qu’il y avait donc une grande marge de manœuvre pour passer à une « adoption universelle », définie comme 95%, ou à un taux plus plausible de 85%. Cependant, selon les résultats d’une enquête plus récente, le taux d’adoption de masques aux États-Unis tourne autour de 80 % depuis l’été.”

Magness ne fait aucune mention de la prémisse fictive de l’étude de l’IHME selon laquelle le port universel de masques réduit la transmission de 40 % et plus.

Troisièmement, dans l’un des plus grands scandales de l’épisode COVID-19, un test d’amplification en chaîne par polymérase par transcription inverse (RT-PCR) a été mis au point à la hâte, dans des circonstances douteuses, qui n’est ni un diagnostic de la présence de virus infectieux, ni spécifique du SRAS-CoV-2, et déployé par les États pour la confirmation de l’infection chez les individus symptomatiques, et pour les tests de masse de la population générale asymptomatique.

Le dit test RT-PCR a été présenté ainsi par Corman et al. 29, et leur propre article indique :

“Nous avions pour objectif de développer et de déployer une méthodologie de diagnostic robuste à utiliser dans les laboratoires de santé publique sans disposer de matériel viral. […]

Dans toutes ces situations [toutes les applications passées de la RT-PCR pour « détecter les virus responsables des sécrétions respiratoires »], les isolats de virus étaient disponibles comme substrat principal pour établir et contrôler les tests et les performances des tests.

Dans le cas présent du 2019-nCoV, les isolats de virus ou les échantillons provenant de patients infectés ne sont pas encore disponibles pour la communauté internationale de la santé publique. Nous faisons ici rapport sur l’établissement et la validation d’un flux de diagnostics pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV, conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons originaux de patients. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite parenté génétique avec le CoV-SARS de 2003, et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. […]

Le présent rapport décrit la mise en place d’un processus de diagnostic pour la détection d’un virus émergent en l’absence de sources physiques d’acide nucléique génomique viral. La rapidité et l’efficacité de l’effort actuel de déploiement et d’évaluation ont été rendues possibles par les réseaux de recherche nationaux et européens mis en place en réponse aux crises sanitaires internationales de ces dernières années, ce qui démontre l’énorme capacité de réaction qui peut être dégagée par l’action coordonnée des laboratoires universitaires et publics [réf]. Cette capacité des laboratoires ne soutient pas seulement les interventions immédiates de santé publique, mais permet aux sites d’enrôler des patients lors de réponses rapides de recherche clinique.”

Un consortium international de scientifiques des sciences de la vie estime que l’article de Corman et al. présente des lacunes technologiques et méthodologiques fatales : Voir le rapport de Borger et al qui concluent, parmi plusieurs critiques, que 30 :

Il s’agit là de graves erreurs de conception, puisque le test ne peut pas faire la distinction entre le virus entier et les fragments de virus. Le test ne peut pas être utilisé comme un diagnostic pour les virus du SRAS.

En outre, l’absence du gène HE dans le CoV-1 et le CoV-2 du SRAS fait de ce gène le témoin négatif idéal pour exclure d’autres coronavirus. Le document de Corman-Drosten ne contient pas ce contrôle négatif, ni aucun autre contrôle négatif. Le test PCR du papier Corman-Drosten ne contient donc ni témoin positif unique ni témoin négatif permettant d’exclure la présence d’autres coronavirus. Il s’agit là d’un autre défaut de conception majeur qui classe le test comme inadapté au diagnostic.

Nous constatons de graves conflits d’intérêts pour au moins quatre auteurs, outre le fait que deux des auteurs de l’article de Corman-Drosten (Christian Drosten et Chantal Reusken) sont membres du comité de rédaction d’Eurosurveillance. Un conflit d’intérêt a été ajouté le 29 juillet 2020 (Olfert Landt est PDG de TIB-Molbiol ; Marco Kaiser est chercheur senior au GenExpress et est conseiller scientifique de TIB-Molbiol), qui n’était pas déclaré dans la version originale (et qui manque toujours dans la version PubMed) ; TIB-Molbiol est la société qui a été « la première » à produire des kits PCR (Light Mix) basés sur le protocole publié dans le manuscrit de Corman-Drosten, et selon leurs propres termes, ils ont distribué ces kits de test PCR avant même que la publication ne soit soumise à relecture [réf] ; de plus, Victor Corman & Christian Drosten ont omis de mentionner leur deuxième affiliation : le laboratoire de test commercial « Labor Berlin ». Tous deux sont responsables du diagnostic des virus dans ce laboratoire [réf.] et la société opère dans le domaine des tests PCR en temps réel.

À la lumière de notre réexamen du protocole de test pour identifier le CoV-2 du SRAS décrit dans le document de Corman-Drosten, nous avons identifié des erreurs et des failles inhérentes qui rendent le test PCR du SRAS-CoV-2 inutile.”

Bon nombre des critiques de Borger et al ont déjà été prouvées par des vérifications détaillées en laboratoire, comme le remarquable article de Singanayagam et al 31, qui utilise la RT-PCR avec le gène cible RdRp, qui montre (en particulier leur figure 3 A) :

  • L’importance du nombre de cycles de PCR (Ct), à la fois dans le compte rendu clinique et dans l’interprétation clinique
  • Qu’à l’exception des cas d’hospitalisation extrême (qui n’ont pas été étudiés), tous les cas positifs détectés avec la RT-PCR plus de 10 jours après l’apparition des symptômes ou l’exposition correspondaient à des virus non infectieux (fragments de virus morts) (aucun virus n’a pu être cultivé dans des cultures cellulaires optimales)
  • Qu’aucun délai n’a été observé pour la détection de ces virus non infectieux (fragments de virus morts), car ceux-ci ont été obtenus, avec une Ct=28-39, jusqu’à 60 jours après l’apparition des symptômes ou l’exposition.
  • Qu’à moins de 10 jours, avec un Ct=18-40, près de la moitié des « positifs » étaient des virus non infectieux (fragments de virus morts)
  • Un seuil opérationnel de Ct=30, au-delà duquel les « positifs » ont moins de 40% de probabilité (<8% à Ct>35) de correspondre à un virus viable, indépendamment du temps relatif à l’apparition des symptômes ou à l’exposition (leur figure 2)

De tels résultats concernant la fausse détection de virus présumés viables ont également été obtenus dans la grande étude plus récente de Jaafar et al. 32 qui ont utilisé l’amplification par RT-PCR du gène E que l’on pense être un peu moins spécifique du SRAS-CoV-2.

Il est clair que le test RT-PCR utilisé dans le monde entier est en soi sans valeur. Il produit de grandes quantités de « positifs » qui ne correspondent à aucun virus infectieux viable, qu’il s’agisse du SRAS-CoV-2 ou d’un autre. On n’y remédie que partiellement si les laboratoires se limitent à des Ct<30, sans parler du grand potentiel d’autres mauvaises pratiques de laboratoire sur le terrain.

Ajoutez à cela la malhonnêteté de la santé publique qui consiste à fabriquer une nouvelle définition de ce qui constitue un « cas ». Un « cas » est défini en médecine comme une infection active, symptomatique et diagnostiquée. Ce n’est plus le cas. Tout cas « positif » dans le « test » RT-PCR défectueux est désormais considéré comme un « cas ». La campagne massive de tests RT-PCR de la population générale asymptomatique, qui n’a aucune utilité clinique ou épidémiologique, alimente ainsi la propagande médiatique de la peur, avec des conséquences désastreuses : Tests RT-PCR non pertinent → signifie « cas » → propagande → mesures arbitraires / plus grand mal → popularité des dirigeants 33

La transmission ne se fait pas par contact

Le 17 septembre 2020, une étude approfondie a été publiée par Meyerowitz et al 34 dans l’une des principales revues médicales du monde, Annals of Internal Medicine, qui a conclu ce qui aurait dû être évident dès le départ, même pour l’OMS : La transmission par contact des maladies respiratoires virales, y compris le SRAS-CoV-2, est hors sujet.

Selon les termes de Meyerowitz et al :

“Des preuves solides provenant de rapports de cas et de groupes de cas indiquent que la transmission respiratoire est dominante, la proximité et la ventilation étant les principaux déterminants du risque de transmission. Dans les quelques cas où un contact direct ou une transmission fomitive est présumé, la transmission respiratoire n’a pas été complètement exclue. L’infectiosité atteint son maximum environ un jour avant l’apparition des symptômes et diminue dans la semaine qui suit, et aucune transmission liée tardivement (après qu’un patient a eu des symptômes pendant environ une semaine) n’a été documentée. Le virus présente une dynamique de transmission hétérogène : La plupart des personnes ne transmettent pas le virus, tandis que certaines provoquent de nombreux cas secondaires dans des groupes de transmission appelés « super-dispersion ». (Résumé)

[…] Il n’existe actuellement aucune preuve concluante de la transmission par fomite ou par contact direct du SRAS-CoV-2 chez l’homme.”

Cette conclusion a des implications de grande portée :

  • Elle signifie que la « recherche des contacts » est une absurdité pour les maladies respiratoires virales. Il n’est donc pas étonnant que l’OMS ait recommandé en 2019 que la recherche des contacts soit « déconseillée en toutes circonstances » (voir ci-dessus). Pourquoi l’OMS a-t-elle rejeté la transmission par aérosol pour la COVID-19 ? C’est de l’anti-science arbitraire. 35
  • Cela signifie que le lavage compulsif des mains et le nettoyage des surfaces sont des absurdités épidémiologiques, avec des conséquences négatives évidentes, comme les rappels massifs de désinfectants toxiques 36.
  • Cela signifie que les gouvernements et l’OMS ont été négligents pendant plus d’une décennie en n’étudiant pas, en ne recommandant pas et en ne mettant pas en œuvre des politiques de ventilation axées sur la transmission pour l’environnement bâti. En fait, l’OMS a enterré son propre rapport d’experts sur le sujet de 2009, sous la rubrique « eau / assainissement / santé » sur son site web 37, et un article de synthèse exhaustif du domaine public a été publié en 2007 38.
  • Cela signifie que le verrouillage des portes et des fenêtres des maisons de soins pour personnes âgées constitue le pire scénario possible pour prévenir les épidémies dans les maisons de soins 39 40.

Li et al 41 ont conclu (leur étude a été citée plus de 600 fois) :

“Dix des 40 études examinées ont été considérées comme concluantes en ce qui concerne l’association entre la ventilation des bâtiments et la transmission d’infections aéroportées. Il existe des preuves solides et suffisantes pour démontrer l’association entre la ventilation, les mouvements d’air dans les bâtiments et la transmission / propagation de maladies infectieuses telles que la rougeole, la tuberculose, la varicelle, la grippe, la variole et le SRAS. (Résumé)”

J’ai fait valoir que c’est précisément parce que la principale voie de transmission est constituée de fines particules d’aérosol que les masques ne peuvent pas réduire la transmission 42 43.

Face à la preuve irréfutable que les masques ne réduisent pas le risque d’infection de leur porteur 44 45, l’OMS et le complexe de santé publique ont inventé le « masque magique à sens unique », qui empêche la transmission par le porteur, tout en ne le protégeant pas. Les médias ont été ravis de propager ce fantasme, contraire aux lois de la physique, concernant la circulation de l’air porteur d’aérosols par les voies de moindre impédance à travers et autour des masques faciaux. Ce fantasme est ce qu’on appelle le « contrôle à la source », que de nombreux scientifiques qualifiés ont également répété.

En fait, même une stricte quarantaine de niveau militaire des jeunes adultes en bonne santé ne peut empêcher la transmission 46.

Les infirmières le savent. En Ontario, deux décisions importantes de tribunaux administratifs, en 2015 et en 2018, avec de longues audiences d’experts de tous bords, ont conclu que les infirmières de plusieurs grands hôpitaux ne pouvaient pas être obligées de porter des masques, qu’elles soient vaccinées ou non, car cela ne protégerait pas les patients 47 :

« Je pense qu’il y a maintenant un consensus qui se développe dans la communauté arbitrale selon lequel il ne fait aucun doute que ces politiques ne protègent pas vraiment les patients. L’arbitre a été assez ferme en décrivant les preuves apportées par l’hôpital comme insuffisantes, inadéquates et totalement non convaincantes », a dit Sharan Basran, avocate des infirmières.

Le port du masque dans la population générale n’apporte aucun bénéfice détectable

Depuis le 11 avril 2020, j’ai fait valoir en détail que les masques ne fonctionnent pas, et j’ai disséqué et exposé la fausse idée du contraire48 49. À cette époque, il n’y avait pas encore eu d’étude de qualité suffisante pour informer la politique sanitaire sur le port du masque dans la population générale.

Le 18 novembre 2020, Bundgaard et al ont publié leur vaste essai contrôlé randomisé (ECR) sur des participants sélectionnés dans la population générale danoise. Selon leurs propres termes 50 :

“Un total de 3030 participants ont été assignés au hasard à la recommandation de porter des masques, et 2994 ont été assignés au contrôle ; 4862 ont terminé l’étude. L’infection par le SRAS-CoV-2 s’est produite chez 42 participants à qui l’on avait recommandé de porter un masque (1,8%) et chez 53 participants du groupe témoin (2,1%). La différence entre les groupes était de -0,3 point de pourcentage (IC à 95%, -1,2 à 0,4 point de pourcentage ; P = 0,38) (rapport de cotes, 0,82 [IC, 0,54 à 1,23] ; P = 0,33). L’imputation multiple tenant compte de la perte au suivi a donné des résultats similaires. Bien que la différence observée ne soit pas statistiquement significative, les IC de 95% sont compatibles d’une réduction de 46% jusqu’à une augmentation de 23% de l’infection. (Résumé / Résultats)

[…] la recommandation de porter un masque chirurgical en dehors de la maison, entre autres, n’a pas réduit, à des niveaux conventionnels de signification statistique, l’incidence de l’infection par le SRAS-CoV-2 par rapport à l’absence de recommandation de port de masque. […] Les masques faciaux fournis aux participants étaient des masques chirurgicaux de haute qualité avec un taux de filtration de 98% [réf]. (Discussion)”

Pour être clair, « 95% d’IC sont compatibles avec une réduction de 46% jusqu’à une augmentation de 23% de l’infection » signifie que, dans les limites de l’incertitude, le port d’un masque pourrait avoir augmenté la probabilité d’être infecté de 23%. Telle est la nature de l’évaluation du risque relatif, lorsque l’impact comparatif sur le risque absolu est trop minime pour être détecté.

Les auteurs semblent avoir été contraints par le processus d’« examen par les pairs » de souligner que leur étude n’a pas été conçue pour tester l’hypothèse que j’ai évoquée plus haut, à savoir le masque magique à sens unique : « … et aucune évaluation de la capacité des masques à diminuer la transmission de maladies de leurs porteurs à d’autres personnes. »

À ce stade, quelque quinze (15) ECR de niveau politique plus tard, avec des résultats vérifiés, il faut se demander ce qu’il faudrait pour que le complexe de santé publique abandonne son nouvel enthousiasme pour le port de masque forcé de la population générale, ou au moins pour financer la recherche sur les préjudices répartis et les coûts sociétaux de cette politique draconienne.

Des études sur les préjudices quantifiables et potentiels du port de masque universel commencent à être publiées, tant dans des revues médicales régulières que dans des revues alternatives. Si le « principe de précaution » était plus qu’un simple effet de mode, de telles études auraient été nécessaires avant l’adoption de lois et d’obligations en matière de port de masque universel.

Le 6 juillet 2020, par exemple, Fikenzer et al ont publié une étude rigoureuse sur l’effet physiologique des masques sur 12 hommes en bonne santé (âgés de 38 ± 6 ans). Ils ont conclu 51 :

Les masques médicaux ont un impact négatif marqué sur la capacité cardio-pulmonaire, ce qui entrave considérablement les activités physiques et professionnelles pénibles. De plus, les masques médicaux nuisent considérablement à la qualité de vie de leur porteur. Ces effets doivent être considérés par rapport aux effets protecteurs potentiels des masques faciaux sur les transmissions virales. Les données quantitatives de cette étude peuvent donc éclairer les recommandations médicales et les décideurs politiques.”

En novembre 2020, Borovoy et al. 52 ont publié une étude approfondie des connaissances biologiques et médicales qui leur permet de déduire un potentiel important de dommages significatifs liés au port de masque. Ils soulignent à juste titre le rôle connu mais sous-estimé des bactéries dans les pandémies virales, et passent également en revue les maladies respiratoires dues aux bactéries buccales.

Les vaccins sont intrinsèquement dangereux

Le 13 juillet 2020, Arvin et al. ont publié dans les pages de la revue scientifique de premier plan Nature un important rappel à la réalité sous la forme d’une vaste « Perspective » (revue). L’article, à lire attentivement, est un exposé détaillé sur l’ignorance de l’homme concernant l’interférence artificielle avec le système immunitaire humain. Tout étudiant en sciences devrait conclure que « surtout, nous ne savons rien ». Les auteurs l’affirment sous une forme enjolivée 53 :

“L’augmentation de la maladie dépendante des anticorps (ADE) est une préoccupation générale pour le développement de vaccins et de thérapies par anticorps car les mécanismes qui sous-tendent la protection par anticorps contre tout virus ont un potentiel théorique d’amplifier l’infection ou de déclencher une immunopathologie nocive. Cette possibilité doit être examinée attentivement à ce stade critique de la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19), qui est causée par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2).

Nous passons ici en revue les observations relatives aux risques d’ADE de la maladie, et leurs implications potentielles pour l’infection par le SRAS-CoV-2. À l’heure actuelle, il n’existe pas de résultats cliniques, d’essais immunologiques ou de biomarqueurs connus qui permettent de différencier une infection virale grave d’une maladie à immunité renforcée, que ce soit par la mesure des anticorps, des cellules T ou des réponses intrinsèques de l’hôte. Les systèmes in vitro et les modèles animaux ne permettent pas de prédire le risque d’ADE de la maladie, en partie parce que les mécanismes de protection et les mécanismes potentiellement nuisibles médiés par les anticorps sont les mêmes et que la conception de modèles à base d’animaux dépend de la compréhension de la manière dont les réponses antivirales de l’hôte peuvent devenir nuisibles chez l’homme.

Les implications de notre manque de connaissances sont doubles. Premièrement, des études complètes sont nécessaires de toute urgence pour définir les corrélats cliniques de l’immunité protectrice contre le SRAS-CoV-2. Deuxièmement, étant donné qu’il est impossible de prévoir de manière fiable l’apparition de la maladie après une vaccination ou un traitement par anticorps – quel que soit le virus responsable – il sera essentiel de s’appuyer sur une analyse minutieuse de la sécurité chez l’homme à mesure que les interventions immunitaires contre la COVID-19 progressent. (Résumé)”

Compte tenu du déploiement qui a suivi, cela signifie que nous nous sommes lancés aveuglément dans une expérience à grande échelle sur des sujets humains, sans essais sur des animaux, sans transparence scientifique, sans possibilité de consentement éclairé, sous l’impulsion de sociétés pharmaceutiques qui ne veulent que le bien de l’humanité.

Le 1er octobre 2020, Wehenkel 54 a publié un article dans lequel il a étudié 39 pays et a constaté une forte association entre le taux national de vaccination contre la grippe (IVR) des personnes âgées de 65 ans et plus et le nombre de décès dus à la COVID-19 par million d’habitants. Les résultats sont préliminaires mais peuvent constituer un exemple documenté de « renforcement de la maladie dépendant des anticorps (ADE) » impliquant la COVID-19. Tous les taux de décès par COVID-19 les plus élevés ont été enregistrés dans les pays où l’IVR est supérieure à 50 % (voir ses figures 1 et 3). Je sens une opportunité de financement de la recherche pour défaire cette découverte.

Denis G. Rancourt

Chercheur, Association des libertés civiles de l’Ontario

L’auteur présente ci dessous ses compétences pour examiner les données scientifiques sur la COVID-19

Je suis retraité et ancien professeur titulaire de physique à l’université d’Ottawa. Le poste de professeur titulaire est le plus haut grade universitaire. Au cours de mes 23 ans de carrière en tant que professeur d’université, j’ai développé de nouveaux cours et j’ai enseigné à plus de 2000 étudiants universitaires, à tous les niveaux, et dans trois facultés différentes (sciences, ingénierie, arts). J’ai supervisé plus de 80 stages de recherche ou diplômes à tous les niveaux, du post-doctorant aux étudiants de troisième cycle en passant par les chercheurs de premier cycle du CRSNG. J’ai dirigé un laboratoire de recherche interdisciplinaire de renommée internationale, et j’ai attiré d’importants fonds de recherche pendant deux décennies.

J’ai été invité une quarantaine de fois à participer à des conférences scientifiques majeures, que ce soit en séance plénière, en tant que conférencier principal ou en session spéciale. J’ai publié plus de 100 articles de recherche dans des revues scientifiques de premier plan évaluées par des pairs, dans les domaines de la physique, de la chimie, de la géologie, de la bio-géochimie, de la science des mesures, de la science du sol et de la science environnementale.

Mon facteur d’impact de l’indice H scientifique est de 40, et mes articles ont été cités plus de 5 000 fois dans des revues scientifiques à comité de lecture (profil sur Google Scholar).

Mes connaissances personnelles et ma capacité à évaluer les faits présentés dans cet article sont fondées sur mon éducation, ma recherche, ma formation et mon expérience, comme suit :

  1. En ce qui concerne les nanoparticules environnementales. Les maladies respiratoires virales sont transmises par la plus petite fraction de taille des particules d’aérosols chargées de virions, qui sont des nanoparticules environnementales réactives. Par conséquent, les stabilités chimiques et physiques et les propriétés de transport de ces particules d’aérosol sont à la base du mécanisme dominant de contagion par l’air. Mes travaux approfondis sur les nanoparticules environnementales réactives sont reconnus au niveau international et portent sur les aspects suivants : précipitation et croissance, réactivité de surface, agglomération, charge de surface, transformation de phase, décantation et sédimentation, et dissolution réactive. En outre, j’ai enseigné la dynamique des fluides (l’air est un fluide compressible) et la sédimentation gravitationnelle au niveau universitaire, et j’ai effectué des recherches sur les applications industrielles de la technologie de filtration (les masques faciaux sont des filtres).
  2. En ce qui concerne la science moléculaire, la dynamique moléculaire et la complexation de surface. Je suis un expert en structures, réactions et dynamiques moléculaires, y compris la complexation moléculaire des surfaces biotiques et abiotiques. Ces processus sont à la base de la fixation des virus, de la fixation des antigènes, de la réplication moléculaire, de la fixation aux fibres des masques, de la charge des particules, de la perte et de la croissance des particules d’aérosol, et de tous ces phénomènes impliqués dans la transmission et l’infection virale, et dans les mesures de protection. J’ai enseigné pendant de nombreuses années la mécanique quantique au niveau universitaire avancé, qui est la théorie fondamentale des atomes, des molécules et des substances ; et dans mes recherches publiées, j’ai développé la théorie et la méthodologie de la diffraction des rayons X pour la caractérisation des petites particules de matériaux.
  3. En ce qui concerne les méthodes d’analyse statistique. L’analyse statistique des études scientifiques, y compris l’analyse robuste de la propagation des erreurs et les estimations robustes des biais, fixe la limite de ce qui peut être déduit de manière fiable de toute étude d’observation, y compris les essais contrôlés randomisés en médecine, et y compris les mesures sur le terrain pendant les épidémies. Je suis un expert en analyse d’erreurs et en analyse statistique de données complexes, au niveau de la recherche dans de nombreux domaines scientifiques. Les méthodes d’analyse statistique sont à la base de la recherche médicale.
  4. En ce qui concerne la modélisation mathématique. Une grande partie de l’épidémiologie est basée sur des modèles mathématiques de transmission et d’évolution des maladies dans la population. J’ai des connaissances et une expérience au niveau de la recherche en matière de modèles mathématiques prédictifs et exploratoires et de méthodes de simulation. J’ai des connaissances d’expert liées aux incertitudes des paramètres et aux dépendances des paramètres dans ces modèles. J’ai réalisé des simulations approfondies de la dynamique épidémiologique, en utilisant des modèles compartimentaux standard (SIR, MSIR) et de nouveaux modèles.
  5. En ce qui concerne les méthodes de mesure. En science, il existe cinq grandes catégories de méthodes de mesure : (1) la spectroscopie (y compris la spectroscopie nucléaire, électronique et vibratoire), (2) l’imagerie (y compris la microscopie optique et électronique, et l’imagerie par résonance), (3) la diffraction (y compris la diffraction des rayons X et des neutrons, utilisée pour élaborer des structures moléculaires, des défauts et des structures magnétiques), (4) les mesures de transport (y compris les taux de réaction, les transferts d’énergie et les conductivités), et (5) les mesures des propriétés physiques (y compris la densité spécifique, les capacités thermiques, la réponse aux contraintes, la fatigue des matériaux…). J’ai enseigné ces méthodes de mesure dans un cours interdisciplinaire de troisième cycle que j’ai développé et donné à des étudiants de troisième cycle (M.Sc. et Ph.D.) en physique, biologie, chimie, géologie et ingénierie pendant de nombreuses années. J’ai fait des découvertes et des progrès fondamentaux dans les domaines de la spectroscopie, de la diffraction, de la magnétométrie et de la microscopie, qui ont été publiés dans des revues scientifiques de premier plan et présentés lors de conférences internationales. Je connais la science des mesures, la base de toutes les sciences, au plus haut niveau.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone

Notes

  1. 2019–OMS : « Mesures de santé publique non pharmaceutiques pour atténuer le risque et l’impact de la grippe épidémique et pandémique », avec annexe, Organisation mondiale de la santé, octobre 2019 : OMS . Rapport, ISBN : 978-92-4-151683-9, pp 91, « Annexe : Rapport des revues systématiques de la littérature », WHO/WHE/IHM/GIP/2019.1, pp 125
  2. 2017–OMS : « Évaluation de la gravité de la grippe pandémique (PISA) : Un guide de l’OMS pour évaluer la gravité de la grippe dans les épidémies et pandémies saisonnières », Organisation mondiale de la santé, mai 2017, WHO/WHE/IHM/GIP/2017.2
  3. 2011–Bonneux : Luc Bonneux & Wim Van Damme. « La santé, c’est plus que la grippe ». Bulletin de l’Organisation mondiale de la santé 2011;89:539-540. doi : 10.2471/BLT.11.089086
  4. Ibid note 3
  5. 2010–Cohen : Cohen, D. et Carter, P. « L’OMS et les « conspirations » de la grippe pandémique ». BMJ 2010 ; 340:c2912. doi. (Publié le 04 juin 2010)
  6. 2020–Rancourt : « Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale de Covid-19 ». Rancourt, DG (11 avril 2020) ResearchGate, a obtenu 400 000 lectures, puis a été retiré de la plate-forme, selon ce rapport. Maintenant sur vixra.org , et sur rcreader.com. Et voir les Digi-Debates sur les critiques de l’article : « Digi-Debates. The Face Mask Debate », Digi Debates YouTube Channel, 25 juillet 2020, et à l’adresse suivante
  7. 2020–Rancourt : « Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges, et fonctionnaires de la santé publique : « Un ensemble croissant de preuves ». ResearchGate (3 août 2020). DOI : 10.13140/RG.2.2.25042.58569
  8. 2020–Rancourt : « Mortalité toutes causes confondues lors de la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement », par Rancourt, DG (2 juin 2020) ResearchGate. DOI: 10.13140/RG.2.2.24350.77125
  9. 2020–Rancourt : D. G. Rancourt, Marine Baudin, Jérémie Mercier. « Évaluation de la virulence du SRAS-CoV-2 en France, à partir de la mortalité toutes causes confondues 1946-2020 ». ResearchGate (20 août 2020). DOI: 10.13140/RG.2.2.16836.65920/1  (Version en français)
  10. Ibid note 6
  11. Ibid note 7
  12. 2020–Chaudhry : Chaudhry, Rabail et autres (2020) « Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions du gouvernement, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité COVID-19 et les résultats sanitaires associés ». EClinicalMedicine, Volume 25, 100464 (21 juillet 2020 – The Lancet)
  13. 2020–De Larochelambert : De Larochelambert Q, Marc A, Antero J, Le Bourg E et Toussaint J-F (2020). « Covid-19 Mortalité : Une question de vulnérabilité parmi les nations confrontées à des marges d’adaptation limitées ». Frontiers in Public Health 8:604339. doi : 10.3389/fpubh.2020.604339 (19 novembre 2020 – frontiersin.org)
  14. 2020–AIER : « Les confinements ne contrôlent pas le coronavirus : Les preuves ». AIER Staff. Institut américain de recherche économique. 19 décembre 2020
  15. Ibid note 8
  16. Ibid note 9
  17. 2020–Yam : Kai Chi Yam, Joshua Conrad Jackson, Christopher M. Barnes, Jenson Lau, Xin Qin, Hin Yeung Lee. « L’augmentation des cas de COVID-19 est associée au soutien des dirigeants mondiaux ». Actes de l’Académie nationale des sciences. Oct 2020, 117 (41) 25429-25433 ; DOI : 10.1073/pnas.2009252117
  18. 2020–Abbasi : Abbasi, Kamran (rédacteur en chef). « Covid-19 : politisation, « corruption » et suppression de la science ». Journal médical britannique. BMJ 2020 ; 371 :m4425.
  19. 2020–Gandhi : Monica Gandhi et George W. Rutherford. « Masquage facial pour la Covid-19 – Potentiel de « variolation » dans l’attente d’un vaccin ». 29 octobre 2020. N Engl J Med 2020 ; 383:e101. DOI : 10.1056/NEJMp2026913
  20. 2020–Rasmussen : Angela L. Rasmussen et al. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (critique de Gandhi et al.
  21. 2020–Brosseau : Lisa M. Brosseau et al. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (critique de Gandhi et al.)
  22. Ibid note 19
  23. Ibid note 20
  24. Ibid note 21
  25. 2020–Gandhi : Monica Gandhi et George W. Rutherford. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (réponse de Gandhi et al.)
  26. Ibid note 7
  27. 2020–IHME : IHME COVID-19 Forecasting Team, Reiner, R.C., Barber, R.M. et al. « Modélisation des scénarios COVID-19 pour les États-Unis ». Nature Medicine (2020). doi
  28. 2020 — Magness : Phillip W. Magness. « Les arguments en faveur de l’obligation du port de masques reposent sur des données erronées ». Wall Street Journal (11 novembre 2020)
  29. 2020 : Corman Victor M, Landt Olfert, Kaiser Marco, Molenkamp Richard, Meijer Adam, Chu Daniel KW, Bleicker Tobias, Brünink Sebastian, Schneider Julia, Schmidt Marie Luisa, Mulders Daphne GJC, Haagmans Bart L, van der Veer Bas, van den Brink Sharon, Wijsman Lisa, Goderski Gabriel, Romette Jean-Louis, Ellis Joanna, Zambon Maria, Peiris Malik, Goossens Herman, Reusken Chantal, Koopmans Marion PG, Drosten Christian. « Détection de nouveaux coronavirus en 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ». Euro Surveill. 2020;25(3):pii=2000045. doi
  30. 2020–Borger : Borger, Pieter et al « Rapport d’examen Corman-Drosten et al Eurosurveillance 2020 – L’examen externe par les pairs du test RT-PCR pour détecter le SRAS-CoV-2 révèle 10 failles scientifiques majeures au niveau moléculaire et méthodologique : conséquences pour les résultats faussement positifs ». Consortium international des scientifiques en sciences de la vie (ICSLS). 27 novembre 2020
  31. 2020–Singanayagam : Singanayagam Anika, Patel Monika, Charlett Andre, Lopez Bernal Jamie, Saliba Vanessa, Ellis Joanna, Ladhani Shamez, Zambon Maria, Gopal Robin. « Durée de l’infectiosité et corrélation avec les valeurs seuils du cycle RT-PCR dans les cas de COVID-19, Angleterre, janvier à mai 2020 ». Euro Surveill. 2020;25(32):pii=2001483. doi
  32. 2020–Jaafar : Jaafar R, Aherfi S, Wurtz N, Grimaldier C, Hoang VT, Colson P, Raoult D, La Scola B. « Corrélation entre 3790 échantillons positifs au qPCR et des cultures cellulaires positives, y compris 1941 isolats de SRAS-CoV-2 ». Clin Infect Dis. 2020 Sep 28:ciaa1491. doi : 10.1093/cid/ciaa1491. Epub avant impression. PMID : 32986798 ; PMCID : PMC7543373 – academic.oup.com
  33. Ibid note 17
  34. 2020–Meyerowitz : Eric A. Meyerowitz, Aaron Richterman, Rajesh T. Gandhi, et al « Transmission du SRAS-CoV-2 : Un examen des facteurs viraux, des hôtes et de l’environnement ». Ann Intern Med. – Epub avant impression 17 septembre 2020. doi:10.7326/M20-5008 – acpjournal.org
  35. Ibid note 7
  36. 2020–CBC : La presse canadienne : « Santé Canada rappelle plus de 50 désinfectants pour les mains dans une liste évolutive ». (5 août 2020) – cbc.ca
  37. 2009–OMS : « Ventilation naturelle pour la lutte contre les infections dans les établissements de santé – Lignes directrices de l’OMS 2009 ». Éditeurs : James Atkinson, Yves Chartier, Carmen Lúcia Pessoa-Silva, Paul Jensen, Yuguo Li et Wing-Hong Seto, pp 106, 2009, ISBN : 978 92 4 154785 7 – OMS
  38. 2007–Li : Li Y, Leung GM, Tang JW, Yang X, Chao CY, Lin JZ, Lu JW, Nielsen PV, Niu J, Qian H, Sleigh AC, Su HJ, Sundell J, Wong TW, Yuen PL. « Rôle de la ventilation dans la transmission aérienne d’agents infectieux dans l’environnement bâti – une étude systématique multidisciplinaire ». Air intérieur. 2007 Feb;17(1):2-18. doi : 10.1111/j.1600-0668.2006.00445.x. PMID : 17257148
  39. Ibid note 8
  40. Ibid note 9
  41. Ibid note 38
  42. Ibid note 6
  43. Ibid note 7
  44. Ibid note 6
  45. Ibid note  7
  46. 2020–Letizia : Letizia AG, Ramos I, Obla A, Goforth C, Weir DL, Ge Y, Bamman MM, Dutta J, Ellis E, Estrella L, George MC, Gonzalez-Reiche AS, Graham WD, van de Guchte A, Gutierrez R, Jones F, Kalomoiri A, Lizewski R, Lizewski S, Marayag J, Marjanovic N, Millar EV, Nair VD, Nudelman G, Nunez E, Pike BL, Porter C, Regeimbal J, Rirak S, Santa Ana E, Sealfon RSG, Sebra R, Simons MP, Soares-Schanoski A, Sugiharto V, Termini M, Vangeti S, Williams C, Troyanskaya OG, van Bakel H, Sealfon SC. « Transmission du SRAS-CoV-2 parmi les recrues dans la Marine pendant la quarantaine ». N Engl J Med. 2020 Dec 17;383(25):2407-2416. doi : 10.1056/NEJMoa2029717. Epub 2020 11 nov. PMID : 33176093 ; PMCID : PMC7675690. (11 novembre 2020) – nejm.org
  47. 2018–Brown : « L’ONA remporte un deuxième arbitrage contre les hôpitaux sur la politique des vaccins ou des masques » (13 septembre 2018), Canadian Lawyer Magazine – canadianlawyermag.com
  48. Ibid note 6
  49. Ibid note 7
  50. 2020–Bundgaard : Bundgaard H, Bundgaard JS, Raaschou-Pedersen DET, von Buchwald C, Todsen T, Norsk JB, Pries-Heje MM, Vissing CR, Nielsen PB, Winsløw UC, Fogh K, Hasselbalch R, Kristensen JH, Ringgaard A, Porsborg Andersen M, Goecke NB, Trebbien R, Skovgaard K, Benfield T, Ullum H, Torp-Pedersen C, Iversen K. « Efficacité de l’ajout d’une recommandation sur les masques à d’autres mesures de santé publique pour prévenir l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs de masques danois : un essai contrôlé randomisé ». Ann Intern Med. 2020 Nov 18:M20-6817. doi : 10.7326/M20-6817. Epub avant impression. PMID : 33205991 ; PMCID : PMC7707213. – acpjournals.org
  51. 2020–Fikenzer : Fikenzer S, Uhe T, Lavall D, Rudolph U, Falz R, Busse M, Hepp P, Laufs U. « Effets des masques chirurgicaux et des masques FFP2/N95 sur la capacité d’exercice cardio-pulmonaire ». Clin Res Cardiol. 2020 Dec;109(12):1522-1530. doi : 10.1007/s00392-020-01704-y. Epub 2020, 6 juillet. PMID : 32632523 ; PMCID : PMC7338098 – springer.com
  52. 2020–Borovoy : Boris Borovoy, Colleen Huber, Maria Crisler. « Masques, fausse sécurité et dangers réels, Partie 2 : Défis microbiens des masques ». Primary Doctor Medical Journal. Novembre 2020 – pdmj.org
  53. 2020–Arvin : Arvin AM, Fink K, Schmid MA, Cathcart A, Spreafico R, Havenar-Daughton C, Lanzavecchia A, Corti D, Virgin HW. « Une perspective sur le renforcement potentiel du SRAS-CoV-2 dépendant des anticorps ». Nature. 2020 Aug;584(7821):353-363. doi : 10.1038/s41586-020-2538-8. Epub 2020 13 juillet. PMID : 32659783 – nature.com
  54. 2020–Wehenkel : Wehenkel C. 2020. « Association positive entre les décès dus au COVID-19 et les taux de vaccination contre la grippe chez les personnes âgées dans le monde ». PeerJ 8:e10112  – doi 

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Lecture complémentaire:

Notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

 


Faites-leurs confiance… Ils ne vous veulent que du bien !

 

Dernières réflexions et analyses du pr. Raoult qui atomise une harpie du système au passage… Délectable !

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Résistance 71

14 décembre 2020

Excellentissime entretien du Professeur Didier Raoult qui exprime ses réserves sur les vaccins et continue sa démolition en règle de la méthodologie pseudo-scientifique qui régit cette « crise coronavirus » du SRAS-CoV-2. Au passage, il démonte la harpie Ferrari, avec Raoult c’est du 2 en 1.

LF: « mais moi je vais me faire vacciner !… »

DR (hilare) : mais c’est très bien, allez-y !

A voir et diffuser sans aucune modération…

Et aussi… Notre page « Coronavirus, guerre biologique contre l’humanité »

L’inquisition sanitaire par la dictature de la science des modèles… De la science des faits à la science des algorithmes (Jean-Claude Paye)

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Coronavirus : une nouvelle inquisition

 

Jean-Claude Paye et Tülay Umay

 

9 décembre 2020

 

url de l’article original:
https://www.mondialisation.ca/coronavirus-une-nouvelle-inquisition/5651897

 

Installé depuis neuf mois, « l’état d’urgence sanitaire » a atteint le plus intime des individus. Afin de les conformer à des injonctions mortifères, il exhibe le spectacle d’un sacrifice permanent des populations. Celui-ci relève d’un théâtre gestuel, tel celui d’Antonin Artaud,[1] qui fait appel à une forme de purgation, impactant le Réel des êtres humains.

La « guerre contre le coronavirus » n’est pas une lutte contre la maladie et ne repose pas non plus sur sa prévention. Si la « pandémie » se limite à l’impact d’une grippe saisonnière, on constate, suite aux mesures prises, une dégradation globale de la santé des individus, confirmant ainsi que cette hostilité est bien une guerre contre les populations. Dans son dernier discours, le président Macron en précise les dernières modalités, en énonçant la possibilité d’organiser « l’isolement des personnes contaminées de manière plus contraignante,[2]» ce qui pourrait signifier, selon le sénateur Alain Houpert, la création de camps d’internement.

Bien que son cadre d’application ne soit pas précisé, le principe de précaution présente une primauté sur toute autre politique destinée à « gérer des risques incertains.[3] »  Dans le cas du coronavirus, il devient un « outil de gestion virtuel de risques virtuels.[4]». La « pratique scientifique » est alors réduite au principe moral de responsabilité. Ce dernier se résume à une monstration de la participation des populations à des mesures qui les asservissent. Les mesures de précaution relèvent alors d’une théologie de l’obscène, d’un faire-voir  amalgamant responsabilité et culpabilité. Elles s’inscrivent dans une nouvelle religion basée sur le sacrifice.

La facilité, avec laquelle les populations ont renoncé, à leur propre corps et au rapport à l’autre, produit un impensable. L’Inquisiteur du roman, Les frères Karamazov de Dostoïevski, donne sa réponse à cette interrogation, en énonçant que ce serait le propre de l’Homme de faire de Dieu le « responsable de la charge de sa vie ». 

Le pouvoir politique exerce actuellement la fonction réservée au grand Inquisiteur dans le roman de Dostoïevski. Il est aujourd’hui l’institution à laquelle les populations abandonnent la « charge du désir de l’autre », en offrant leur libre arbitre en sacrifice. Le principe de précaution relève de la culpabilité. Il donne du sens au sacrifice des populations et à la violence des mesures prises. 

Le principe de précaution

Depuis une vingtaine d’années, la « lutte antiterroriste » a permis de saper les fondements de l’organisation de la société, en détruisant, de l’intérieur, la forme de l’État de droit [5]. Aujourd’hui, dans la « guerre contre le coronavirus », les libertés fondamentales n’ont simplement plus lieu d’être et laissent la place à des notions morales, celles de  responsabilité et de culpabilité.

Lévinas nous éclaire sur cette problématique, car toute sa philosophie repose sur l’idée de responsabilité. Il reprend, à son compte, les propos de Dostoïevski dans Les frères Karamazov, sur la culpabilité de chacun de nous « devant tous, pour tout». Lévinas précise que cette culpabilité ne résulte pas «  de fautes que j’aurais commises, mais parce que je suis responsable d’une responsabilité totale, qui répond de tous les autres et de tout chez les autres.[6]» 

En devenant responsable de l’autre, chaque individu deviens, tout particulièrement, comptable de sa mort. Il entre dans « l’inquiétude-pour-la-mort-de-l’autre-homme [7]». La responsabilité n’est pas d’ordre juridique, mais est fondée sur une « communion spirituelle de tous les humains », ici, une communion dans l’universalité du coronavirus. 

Ainsi, le principe de précaution suspend l’observation des faits et dénie l’ordre juridique, pour laisser la place à « l’amour du prochain ». La communication du pouvoir n’est-elle pas :  « soyez solidaire, sauvez des vies, rester chez vous  » ? Les injonctions du pouvoir se réduisent à des commandements d’amour, relevant de la perversion.  L’amour qui se sacrifie est bien pire que l’exigence de la Loi : il rend la dette impossible à solder et la culpabilité infinie. 

Le principe de précaution libère alors le pouvoir, des contraintes de la loi écrite et de la Loi symbolique, afin d’intégrer un discours hors-sens, reposant sur des impératifs catégoriques nous entraînant dans une forme nouvelle d’inquisition. « Il faut » est la réponse standardisée des personnes, portant le masque ou respectant scupuleusement les mesures de distanciation. 

En se plaçant hors-sens, le « covidé » fonde une religion, celle d’un Dieu pervers, dénoncé par le théologien Maurice Bellet [8]. Le régime de précaution réclame un sacrifice. L’injonction repose sur « une volonté capricieuse, arbitraire, sans foi ni loi, qu’il faudrait satisfaire [9] ». Ce qui nous engage dans le cercle infini, imposé par un nouvel inquisiteur, révèlant que « ce divin est semblable à une bouche dévorante et insatiable : plus on cherche à la satisfaire, plus elle en demande, puisqu’elle se nourrit précisément de nos renoncements [10]».

Les derniers propos, du ministre belge de la santé Franck Vandenbroeck, illustre bien ce discours d’amour et d’éducation reposant sur une politique se nourissant des renoncements successifs des citoyens.  Au micro de la radio RTBF, il a affirmé que la décision de fermer les magasins, « c’était pour  créer un choc  au sein des populations », puisque dit-il « faire du shopping seul, pendant une courte période ne représente pas un danger pour la circulation du virus .[11]»

Un principe moral inscrit dans le droit

Le principe de précaution est un principe moral. Il ne s’adresse pas à un sujet de droit. C’est une injonction qui se place au-delà de la loi. La mutation du comportement des individus est son objectif premier. En France, il a fait son entrée dans le droit positif, en 1995, avec la loi Barnier sur la protection de l’environnement. Son domaine d’application s’est ensuite développé dans les domaines de la santé publique et de la sécurité alimentaire [12].  Il a également été adopté par la Commission Européenne et de nombreux Etats membres. 

En 2005,  le législateur français a introduit le principe de précaution dans la Constitution. Un principe moral est ainsi devenu un principe constitutionnel. Le principe de précaution y est défini  comme « une norme-guide pour l’action en univers incertain, un outil de gestion virtuel des risques virtuels…[13]». Ainsi, son encadrement juridique ne peut être que formel. 

Le principe de précaution se dégage donc de la matérialité du fait. Il fait penser à la notion de « proactivité » relative à l’enquête policière, introduite dans le droit pénal afin développer une recherche en l’abscense d’infraction [14]. L’inscription juridique du principe de précaution permet également de justifier l’intervention de l’administration dans un contexte ou « elle légitime le pouvoir de police »[15].

Dans l’enquête policière proactive, s’il s’avère que l’infraction est finalement inexistante, l’enquête a bien eu lieu, mais elle ne pourra pas produire d’effets de droit. Il en va bien autrement pour le principe de précaution qui permet d’agir en dehors de tout rapport avec la réalité des faits, de confiner la population ou d’isoler, dans des camps, les personnes testés positives, bien que le test utilisé produise essentiellement des faux positifs.

L’intervention des autorités sanitaires n’est pas donc déterminée en fonction de l’observation, mais bien par la prédiction de résultats et leur modélisation, comme les 500.000 morts du covid prévus par le docteur Neil Fergunson. Bien que l’oracle soit constamment démenti par les faits, il sert toujours de référence et de caution aux diverses mesures gouvernementales.

Précaution versus prévention

Le principe de précaution participe de la rationalité instrumentale, celle de la technique et du calcul économique. Il n’a pas pour ambition d’anticiper l’évènement, afin d’éviter sa survenance ou d’en minimiser les effets, il s’en tient à une gestion probabiliste des risques [16].

Il ne s’agit plus de prévenir le développement d’une maladie, mais de révéler un danger  potentiel, non à partir d’une analyse concrète, mais grâce à une simulation mathématique, détachée de la matérialité des faits. Une succession de chiffres est censée indiquer une tendance, celle du l’intensité et de la progression exponentielle du virus. C’est donc à partir des algorithmes que le risque est révélé et non plus à partir de l’observation. Les chiffres avancés sont toujours des projections, des modélisations, comme les 9000 morts récemment annoncés par le président Macron qui se réduiront, dans les faits, à la moitié  du chiffre prévu.

Pour la généticienne Alexandra Henrion-Caude, les prévisions donnent l’impression « qu’on est revenu au temps des devins, des oracles ». « On était en plein pic épidémique, avec un nouveau virus, une nouvelle maladie, qu’on nous parlait déjà d’une deuxième vague. Là on entend une troisième, une quatrième [17] ».

On peut donc établir ce qui différencie le principe de précaution de la notion de prévention. La prévention vise des risques avérés, dont sait estimer l’ampleur et la fréquence du dommage encouru. Les mesures de prévention ont été conçues pour circonvenir les risques certains, fondés sur des relations déterminées de cause à effet. 

Ce qui n’est pas le cas du principe de précaution qui porte sur les risques incertains, dont on n’a pas à établir la réalité scientifique [18]. On a affaire ici à un droit purement procédural, car « en matière de précaution, la preuve du risque et la procédure sont liés [19]». Comme dans le droit de l’inquisition, la preuve fonde sa validité sur le strict respect de la procédure. Dans la guerre contre le coronavirus, la question n’a même pas à être posée, car la « connaissance » est immédiate, directement révélée par le chiffre de l’algorithme. 

Le contrôle juridictionnel est restreint.  Tel que l’a stipulé le Tribunal de première instance des Communautés européennes : l’autorité qui « prend un risque incertain ne doit pas faire la preuve du risque, mais celle de sa politique [20] ». Dans les faits, l’autorité concernée doit simplement mentionner ses bonnes intentions. 

Le principe de précaution : une théologie de « l’ob-scène » 

La prévention vise à gérer les conséquences d’une crise, à l’anticiper et à en réduire les effets. Quant au principe de précaution, il n’a pas pour objet d’affronter la maladie, mais, ici, de préparer la population à sa survenance inéluctable. Il s’agit de placer les individus dans une position d’accueil du discours sur la pandémie. Ce principe procède d’une exigence morale, conduisant non pas à une lutte contre le virus, mais à une mutation du comportement des individus.  

Ainsi, le principe de précaution, au contraire de la prévention, est un outil de gestion des populations, de leurs attitudes et de leurs croyances. Comme l’écrit Pierre Moscovici, «L’Etat ne se contente plus de gérer un risque, il doit gérer un rapport social… Le principe de précaution devient alors un outil de gestion de l’opinion publique.[21]»

Nous sommes ici dans l’incertitude d’un risque, dont la réalisation est elle-même incertaine. Le principe de précaution nous interdit de penser. Il s’oppose à toute possibilité d’observation, en supprimant la notion même de causalité, comme succession temporelle de causes et d’effets.  Sous la forme du délire, le discours sur la coronavirus colonise notre vie individuelle et notre réalité sociale. Il fonde un nouveau Réel, il porte sur quelque chose dont nous ne pouvons rien dire et sur lequel nous n’avons pas de prise.

Le principe de précaution n’impose pas des mesures destinées à confronter la réalité, mais il permet la fabrication d’un Réel obscène, dont le masque chirurgical devient le symbole. Par un dénombrement continu des victimes du coronavirus, il réactualise l’idéologie victimaire. Ainsi, il met en scène l’ob-scène en quantifiant la mort, tout en l’expulsant du symbolique, du lien social. 

L’obscénité des mesures réside aussi dans leur caractère volontairement exorbité, dans le fait de rendre non seulement visible, mais surtout médusant, leur aveuglante abération, celle, par exemple, d’un couvre-feu imposé entre minuit et cinq heures, ainsi que leur violence sans limite, tel le massacre des personnes âgées dans les Ehpad. 

L’obscénité réside dans leur caractère religieux, dans la donation de sens qu’apportent les populations à leur participation compulsive aux mesures imposées. Celles-ci donnent alors vie à des dispositions administratives qui conduisent à leur destruction. L’obscénité réside non seulement dans l’expression de la toute puissance du pouvoir, mais surtout dans la monstration des populations de leur extrème faiblesse. Cette dernière trouve leur source dans la capacité des médias d’engendrer des images et un bruit permanent, empêchant l’installation d’un refoulement [22].

Le grand Inquisiteur

Si « la guerre contre le terrorisme » avait pour objet de supprimer toute résistance, ici dans « la guerre contre le coronavirus », il s’agit d’abandonner toute possibilité même de résistance. À travers « la gestion de cette pandémie », cette perspective est entrée dans notre quotidien, pourtant, ce n’est pas la première fois qu’elle apparaît dans l’histoire de l’humanité. 

L’humanité réduite à un troupeau est une réalité qui s’est présentée à chaque fois que la population s’est trouvée totalement démunie, placée dans une position de détresse par rapport au pouvoir. La détresse des individus résulte d’une perte des repères et surtout d’une impossibilité de faire face, de dire non aux injonctions qui leur sont adressées. Confrontées au fait de « ne pouvoir attendre l’aide de personne », les populations sont alors plongées dans une radicale impuissance.

Le roman de Dostoïevski, Les frères Karamazov, en situant l’action dans la période historique de l’inquisition, fait ressortir une problématique qui rappelle étrangement ce que nous vivons présentement. L’organisation de l’inquisition repose sur le personnage du grand Inquisiteur qui considère l’humanité comme un troupeau. Il conçoit que l’homme ne peut trouver son salut qu’en renonçant à sa subjectivité et en se dépersonnalisant. 

Si l’humanité doit être réduite à l’état de troupeau docile, l’individu, en déléguant sa liberté au grand inquisiteur, redevient un « infans », coupable de renoncer à sa liberté. Il devient alors complètement dépendant d’un pouvoir qui lui dicte sa conduite. Si bien que le grand Inquisiteur peut affirmer : « Oh, nous arriverons à les convaincre qu’ils ne deviendront libres qu’au moment où ils renonceront pour nous à leur liberté et ils se soumettront [23]».   Dans cette « pandémie », il est signifié aux individus qu’ils ne redeviendront « libres » qu’au moment où ils auront acceptés le vaccin et qu’ils auront abandonné toute volonté d’avoir une maîtrise de leur existence.

Le grand Inquisiteur préconise également une logique de déresponsabilisation de l’individu, de renoncement à son libre arbitre, aboutissant à sa déshumanisation. Le règne du grand Inquisiteur, c’est également la disparition totale de la sphère privée, jusqu’à l’ultime intimité que représente la conscience. 

Si l’Homme n’est plus libre et, par conséquent, n’est plus responsable, il lui revient le « droit de pêcher. » Plus précisément, il lui est permis de ne plus être un homme, en transgressant les lois symboliques, comme dans les différentes réformes éthiques, tel que le « mariage pour tous », la législation sur l’euthanasie et les lois sur la bio-éthique. Ces « nouveaux droits » ne sont en fait qu’un moyen supplémentaire pour le pouvoir d’asservir les hommes. « Tout est permis », tel est le mot d’ordre du nihilisme [24].

Autrefois, l’inquisition était une institution spécialisée, destinée à empêcher l’éclatement du corps social, en criminalisant tout questionnement d’ordre religieux. Aujourd’hui, elle ne se focalise plus sur une partie de la société, mais porte sur son ensemble. C’est la société toute entière qui est mobilisée, en vue de sa propre destruction. Ce qui occupe actuellement la place du grand Inquisiteur n’a plus pour objectif de bloquer une mutation sociale et politique, mais au contraire d’être le catalyseur d’un changement radical de société. Ici, le sacrifice n’est plus limité et codifié, mais permanent et généralisé. 

« État d’urgence sanitaire »

Le principe de précaution s’inscrit étroitement dans « l’état d’urgence sanitaire ». La notion doit être prise à la lettre, dans le sens où il s’agit bien, ici, d’une suspension du droit d’être soigné. Cet abandon se traduit par des mesures de confinement des personnes âgées et malades avec celles ne présentant aucun symptôme et par le refus d’accès à l’hôpital des personnes ne présentant pas de symptôme du corona, mais ayant, par exemple, un problème cardiaque. Au nom de ce principe, les personnes âgés, malades du Covid 19, ne sont pas prises en charge et sont renvoyées chez elles, avant que l’on abrège les souffrances grâce au Rétrovil . La question de la précaution est aussi convoquée pour interdir des médicaments, permettant de faire face à l’épidémie, telle l’hydroxychloroquine. 

L’état d’urgence juridique implique la suspension des libertés individuelles et des droits politiques, comme disposition permettant de faire face à la « menace terroriste ». L’état d’urgence juridique, par le biais de la lutte antiterroriste, se définit également, tel l’exprimait W. Bush, comme une « lutte contre du bien contre le mal ». Le nouvel ordre juridique permettait, en l’abscence de peuves, d’emprisonner les personnes, nommées comme terroristes par le pouvoir exécutif. L’état d’urgence juridique permet de s’attaquer à l’Habeas Corpus des citoyens et, en Grande Bretagne et aux Etats-Unis, de se saisir du corps des personnes créant « un climat favorable au terrorisme [25]» ou simplement désignées comme « ennemi du gouvernement ». 

L’état d’urgence sanitaire permet, quant à lui, de supprimer le corps par des mesures de confinement, tandis que le port, obligatoire et généralisé, du masque est une remise « en marche » de ce corps, mais comme « corps sans tête », comme corps-machine. La suppression du corps, induite par la « guerre contre le coronavirus », grâce au port permanent d’un masque ou de gants, trouve déjà un antécédent dans les images de prisonniers, détenus au bagne de Guantanamo [26]. 

Le type d’enfermement, induit par la « lutte contre la pandémie », est une rupture complète avec le type d’emprisonnement qui visait à séparer le corps du prisonnier du corps social. Ici, c’est l’ensemble des citoyens qui est touché par les mesures de confinement. La prison n’est plus un lieu clos, séparé de la société, mais bien cette dernière qui, en confinant chez lui le « citoyen responsable » participant du « souci de l’autre », devient une prison. 

La prison, comme partie distincte de la société, reste cependant présente, comme une menace d’enfermer, dans des camps, les personnes déclarés positives par un test PCR, une procédure qui permet considérer, comme positifs, une grande proportion des individus testés [27]. L’ensemble de ces mesures et projets participent d’une volonté du pouvoir d’installer les citoyens dans la psychose.

Comme les images des tortures de Guantanamo, ces mesures ont pour objet de nous signifier notre impuissance, de nous montrer à quel point nous sommes dépendant d’un pouvoir qui, cependant, nous veut du bien, qui, pour Noêl, comme le président du parti libéral francophone belge, Louis Bouchez, nous communique : « si les chiffres le permettent, on tentera encore de donner plus  d’humanité. [28]»

Jean-Claude Paye

Tülay Umay

 

Notes :

1 Lire : Jean-Claude Paye, Tülay Umay, « Pandémie ou le retour du grand Pan », Réseau International, le 3 novembre 2020,  https://www.mondialisation.ca/pandemie-ou-le-retour-du-grand-pan/5650703

2 Sud radio, Macron 20H: analyse avec Alain Houpert, Sénateur de la Côte-d’Or et médecin radiologue,

https://www.youtube.com/watch?v=i-vHz-M-Eys 

3 Dominique Bourg et Alain Papaux, « Des limites du principe de précaution : OGM, transhumanisme et détermination collective des fins », Economie publique, 2007/2,  https://journals.openedition.org/economiepublique/7932 

4 Matthieu Paillet, « Le principe de précaution. Concept, application, enjeux », p. 8,  https://www.pourlasolidarite.eu/sites/default/files/publications/files/wp_-le_principe_de_precaution.pdf 

5 Jean-Claude Paye, La fin de l’Etat de droit, de l’état d’exception à la dictature, La Dispute, Paris 2004.

6 Emmanuel Lévinas, Éthique et infini, Paris, Le livre de poche, 1982, p. 95.

7 Emmanuel Lévinas, De Dieu qui vient à l’idée, Paris, Vrin, 1992, p. 248.

8 Maurice Bellet, Le dieu pervers, éditions du Cerf, Paris 1987.

9 Jean-Daniel Causse, Lacan et le christianisme, in Valérie Chevassus-Marchionni, Raymond  Lemieux, et François Nault, « Psychanalyse et christianisme : note critique à propos du dernier livre de Jean-Daniel Causse (1962-2018) ». Laval théologique et philosophique 75, no 1 (2019), p. 134.. https://doi.org/10.7202/1067506ar 

10 Ibidem

11 https://plus.lesoir.be/340753/article/2020-11-30/la-fermeture-des-commerces-non-essentiels-avait-ete-decidee-pour-creer-un 

12  Catherine Larrère, « Le principe de précaution et ses critiques » , Innovations 2003/2 (n°18), pages 9 à 26 , https://www.cairn.info/revue-innovations-2003-2-page-9.htm 

13 Moscovici, Pierre, «Le principe de précaution: implications politiques et juridiques», cours donné à l’Ecole Nationale d’Administration (ENA), avril 2010, p. 26

14 Sur l’enquête proactive, lire Jean-Claude Paye, Vers un Etat policier en Belgique ?, EPO, Bruxelles 1999.

15 M. Gros, D.Deharbe, La controverse du principe de précaution, Chron. Adm.,R.D.P.,2002-3., p.834.

16 Matthieu Paillet, https://www.pourlasolidarite.eu/sites/default/files/publications/files/wp_-le_principe_de_precaution.pdf 

17 Alexandra Henrion-Caude : « J’ai l’impression qu’on est revenu au temps des devins », La Rédaction, le 16 novembre 2020, https://www.sudradio.fr/societe/alexandra-henrion-caude-jai-limpression-quon-est-revenu-au-temps-des-devins/ 

18 Le Conseil d’État et le principe de précaution,  Journal des Tribunaux, Bruxelles, Larcier, le 28 février 2004, p. 21

https://orbi.uliege.be/handle/2268/7260 

19 C.Noiville et N.de Sadelleer, o.c., Revue du droit de l’Union européenne, 2/2001, p. 444

20 T.P.I., 11 septembre 2002, Pfizer Animal Health et a.c.Conseil, Aff.T-13/99, motifs 164 et 165

21 Pierre Moscivici, Ibid., p. 23.

22 Entretien avec Serge Tisseron, « L’obscène est une machine de guerre contre la métaophore », La voix du regard n° 15, septembre 2002,https://www.youscribe.com/catalogue/documents/loisirs-et-hobbies/humour/l-obscene-est-une-machine-de-guerre-contre-la-metaphore–376961     

23 Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski, Les frères Karamazov, vol. 1 – § Le Grand Inquisiteur, Éditions Actes Sud © 2002, collection Babel, traduit du russe par André Markowicz, pp. 444, 445, 449 à 470 et 474. https://www.philo5.com/Mes%20lectures/Dostoievski_GrandInquisiteur_1880.htm  

24 Matthieu Giroux, « Dostoïevski : La légende du grand inquisiteur dans Les Frères Karamazov », Philitt, le 25 septembre 2012, 

  https://philitt.fr/2012/09/25/dostoievski-la-legende-du-grand-inquisiteur-dans-les-freres-karamazov/ 

25 Lire : Jean-claude Paye, « Royaume-Uni, menaces sur l’Habeas Corpus, » Le Monde, le 13 avril 2005  https://www.lemonde.fr/idees/article/2005/04/13/royaume-uni-menaces-sur-l-habeas-corpus-par-jean-claude-paye_638494_3232.html 

26 Lire : Jean-Claude Paye, « Guantanamo comme réel de la lutte antiterroriste », in L’emprise de l’image, de Guantanamo à Tarnac, Editions Yves Michel 2011, pp.140 à 149.

27 Dr Pascal Sacré, « COVID-19: RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité », Mondialisation.ca, le 14 octobre 2020, https://www.mondialisation.ca/covid-19-rt-pcr-ou-comment-enfumer-toute-lhumanite/5650143 

28 Aurelie Demesse, «  Noël pourrait-il être sauvé, in-extremis ?, La Libre Belgique, le 29 novembre 2020,  https://www.lalibre.be/belgique/politique-belge/un-assouplissement-des-mesures-pour-noel-si-les-chiffres-le-permettent-on-tentera-encore-de-donner-plus-d-humanite-5fc375e0d8ad585a459299a3 

 

Nouvel excellent documentaire « Mal Traités », à voir et diffuser sans relâche…

Posted in actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, presse et média, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , on 9 décembre 2020 by Résistance 71


Halte à la supercherie et à la politique anxiogène !…

Résistance 71

9 décembre 2020

Décidément !… Les Gaulois réfractaires d’un corps médical en rébellion mettent le paquet pour dénoncer ce crime d’État planétaire en collusion avec Big Pharma que constitue la « gestion » de la « pandémie » du SRAS-CoV-2 donnant la COVID-19
A voir et diffuser sans relâche, ce nouveau excellent documentaire « Mal Traités », qui après « Hold-Up » devrait enfoncer le clou définitif dans le cercueil de l’oligarchie eugéniste mettant en place la dictature sanitaire. Bravo à tous les intervenants qui disent ce qui doit être dit.
Dommage quand même que rien ne soit dit sur l’outil qui permet de générer les chiffres bidouillés divulgués en boucle et donc la peur 24/24 et 7/7 : le fameux test RT-PCR qui ne détecte en rien spécifiquement le SRAS-CoV-2 et qui ne peut donc être qu’approximatif et livrer bien des erreurs que le système exploite… Nous allons revenir très bientôt sur ce sujet… Traductions en cours.

Vidéo documentaire « Mal Traités » (durée : 1h27)

https://odysee.com/@Vivresainement:f/mal-traites-le-documentaire-choc-sur-la-covid-19:9