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Coronavirus : Fiasco (planifié ?) de la réponse yankee à la pandémie et la sale vérité au sujet du CoV19

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, crise mondiale, désinformation, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, presse et média, résistance politique, santé, santé et vaccins, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , on 1 avril 2020 by Résistance 71

 

A lire également: « L’oligarchie lance une guerre biologique contre les peuples »

 

La sale vérité au sujet du CoVD19

 

Gordon Duff

 

26 mars 2020

 

url de l’article original:

https://www.veteranstoday.com/2020/03/26/neo-the-nasty-truth-about-covid-19/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Durant les deux dernières semaines du mois de mars, une bonne douzaine de gros transporteurs aériens russes (Antonov) ont atterri en Italie afin de sauver cette nation d’une vraie pandémie dévastatrice. Nous notons également que les avions ont dû faire 2500km de plus parce que la Pologne, membre de l’OTAN a bloqué son espace aérien même pour l’objectif d’une mission humanitaire au bénéfice d’une autre nation de l’OTAN.

Commençons avec quelques dures vérités. Le CoVD19 est pire que la grippe saisonnière malgré les faux rapports disant le contraire émis [dans un premier temps] par les médias sous contrôle. Ceux qui disent le contraire le font soit par ignorance, soit parce qu’ils sont payés pour mentir au public. Ceci est une maladie très sérieuse traitée à la légère par les médias et sur laquelle on a menti dès le premier jour. Nous allons parler de ces mensonges, il y en a tant et comment ils nous menacent tous. […]

Commençons avec les mensonges

Il semble jusqu’ici que l’origine du COvD19 soit les Etats-Unis. La preuve est tangente mais significative et vient sous deux formes.

  • La Chine affirme qu’une équipe sportive militaire américaine a amené la maladie à Wuhan fin octobre 2019. Le timing est correct et est soutenu par des sources haut-placées russes qui ne peuvent néanmoins pas être considérée comme totalement objectives.
  • Les Etats-Unis ont commencé la recherche sur la modification du virus SRAS/COVID en 2006, ce qui culmina sur un article très bien référencé qui lie de manière supposée la Chine à la création du CoVD19, article intitulé:

“A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence”

Pourquoi cet article est si vital ? Il y a plusieurs raisons, mais avant tout, il est la source de l’affirmation publique de Trump que la maladie a ses origines en Chine et pour ses affirmations privées que la maladie a été créée au Key Laboratory of Special Pathogens and Biosafety, Wuhan Institute of Virology, Chinese Academy of Sciences, Wuhan, China by Xing-Yi Ge and Zhengli-Li Shi

La vérité est loin de tout ça. Le véritable travail de fabrication du CoVD19 est décrit ci-dessous et fut fait à l’université de Caroline du Nord, à Harvard et FDC. Extrait du résumé:

“Ici nous examinons le potentiel pathogène d’un virus ressemblant au SRAS, le SHCO14-CoV qui circule actuellement dans des populations de chauve-souris fer à cheval chinoise. En utilisant le système génétique inversé du SRAS-CoV, nous avons créé et caractérisé un virus chimérique exprimant l’intensité et la concentration du cornavirus de la chauve-souris SHCO14 dans une structure adaptée pour la souris du SRAS-COV.”

Afin d’effectuer l’étude controversive de 2015, il y avait besoin de financement. La plupart de celui-ci vint d’une source secrète, l’USAID, le financier lié à la CIA des laboratoires de recherche sur les armes biologiques dans le monde.

La CIA ne finance pas la prévention des maladies et n’est certainement pas une ONG. La CIA mène une guerre clandestine. Quand les universitaires qui publièrent l7article réalisèrent que cette source de financement était omise, ils firent les corrections nécessaires exprimées comme suit:

“Changement d’histoire

20 novembre 2015

Dans la version internet de cet article, les auteurs ont omis de reconnaître une source de financement, l’USAID-EPT-PREDICT, financement d’EcoHealth Allicance à Z.-L.S. cette erreur a été corrigée dans les versions imprimées, PDF et HTML de cet article.”

L’implication chinoise, comme assumée par Trump, fut celle de fournir un virus valide de forme SRAS aux labos américains, dans ce cas précis un virus émanant de la population de chauve-souris fer à cheval de Wuhan sous prétexte de recherche universitaire.

La totalité de cette recherche fut bien entendu conduite aux Etats-Unis, principalement à l’université de Caroline du Nord où, comme le précise le résumé de l’article, fut “généré” un virus “chimérique”

Par le terme “chimérique”, ils veulent dire qu’ils l’ont fabriqué eux-mêmes, qu’ils ont créé quelque chose qui n’existe pas dans la nature.

Lorsqu’on recherche l’historique de tous les universitaires impliqués dans la recherche, il devient clair qu’il y avait un intérêt signifiant, incluant le soutien et le financement, de l’establishment du ministère de la défense américain, en des années de travail qui, bien qu’orienté vers une “méthode de guérison”, dévouées à la capacité de créer et de militariser des coronaviruses chimériques.

Voyez-vous, dès la période de l’après 11 septembre, les vice président Dick Cheney et ministre de la défense Donald Rumsfeld d’alors,  firent la promotion de la recherche intensive sur les armes biologiques et chimiques, sur les virus ressemblant au SRAS et gaz de combat comme la sarin ou le VX.

Des programmes parallèles pour investiguer les capacités de déploiement cette forme d’armement secrètement contre les ennemis de l’Amérique furent une priorité non seulement pour les agences de la défense mais aussi des universités américaines, toujours “à la chasse” de financement du gouvernement quelque soit l’aspect foireux de la source.

Il n’y a pas d’évidence que les dernières étapes nécessaires à la création d’armes biologiques ou de production de méthodes d’acquisition pandémique furent partie intégrante de cette étude.

Néanmoins, il est aussi clair que cette étude a fourni de grands pas en avant vers ce but et que les labos sous contrôle de la défense, incluant mais n’étant pas limité à Fort Detrick dans le Maryland, existent et possèdent cette capacité.

Ainsi, nous pouvons fortement argumenter sur le CoVD19 comme étant une arme biologique, mais avec encore plus de clarté que les accusations d’une implication chinoise dans un virus chimérique sont totalement infondées.

Il est aussi très clair que ceux qui ont accédé à cette étude et ont volontairement induit les gens en erreur dans le rôle de la Chine, l’ont aussi fait dans l’intention de blâmer la Chine pour quelque chose perpétré par les Etats-Unis. Ceci nous laisse avec la considération de rebaptiser le CoVD19 comme étant en fait le “CoVD Caroline du Nord”.

Retournons sur l’Italie où l’aide aérienne russe continue de parvenir, semblable à celle sous Staline mais cette fois-ci contournant la défense de l’OTAN et sa tentative d’interférer avec l’effort humanitaire pour soulager une population meurtrie. […]

Le pire est une capamgne de désinformation secondaire, largement orchestrée par Trump et des gens comme Sean Hannity de Fox News ainsi qu’un bon nombre de leaders religieux américains. Trump et son conseiller Sean Hannity, un théoricien du complot sans aucune éducation formelle,  a souvent mentionné le CoVD19 comme étant bidon.

De plus, l’étroite relation entre Trump et la frange de frapadingue de la bible de l’extrême droite religieuse a troublé encore plus l’affaire, voyant des leaders religieux pro-Trump offrir des traitements bidons pour le CoVD19, faisant des affirmations délirantes d’intervention divine, toujours pour de grosses sommes d’argent, ou simplement en entretenant le déni comme c’est le cas avec Jerry Falwell Jr.

Falwell est le patron de liberty university et d’une église revivaliste de guérison du “priez et payez” qui a des millions d’adeptes. Il dit que le CoVD19 simplement n’existe pas et il fait rouvrir les écoles et les églises, ce malgré les interdictions par les autorités ; il le fait avec le soutien de Trump, lui-même en porte à faux avec les autorités.

En ce moment, il y a des dizaines de millions d’Américains à qui ont dit d’ignorer les procédures de quarantaine, un message qu’ils reçoivent avec l’accord tacite du président des Etats-Unis.

Les intérêts personnels de Trump sont toujours financiers. Dans ce cas-ci, Trump est loin derrière dans les sondages de la présidentielle 2020 pour laquelle Joe Biden est de loin le favori. Trump ressent que ceci est dû à l’effondrement de l’économie et à la hausse du chômage dûe au fait que l’Amérique n’est pas préparée et aux grosses bourdes de Trump dans sa gestion de la pandémie mondiale.

Quoi qu’il en soit, quand on regarde les propositions de solutions rapides que font Trump et ses soutiens politiques, imprimer toujours plus de cette monnaie de singe sans aucune valeur et sans fin, fric qui sera donné aux soutiens entrepreneuriaux de Trump et suivre le concept de corriger une économie pourrie de dette avec encore plus de dette semble bien fallacieux.

Ceci a mené à une controverse politique sur les packages de sauvetage des entreprises impliquant un problème sous-jacent qui est celui de constater que bien des entreprises recherchant un “sauvetage CoVD19” sont elles-mêmes insolvables et ce depuis au moins septembre 2019…

Ainsi, l’idée de contrôler la pandémie en l’ignorant, en ridiculisant la science et pire encore, en ne soutenant pas les efforts de brider la maladie avec toujours plus de déni, toujours plus d’incompétence et une foule de jeux politiques minables seront très difficiles à cacher à l’électorat déjà bien aigri du “trumpisme”.

Au début, on a commencé avec le déni, appelant la pandémie une supercherie. Puis Trump a mis son beau-fils, Jared Kushner, un seigneur des bidonvilles du New Jersey, en charge des efforts de la Maison Blanche.

On attend toujours de l’entendre alors que la pandémie s’étend. Malgré une grosse augmentation des infections et des morts aux Etats-Unis, Trump pousse pour toujours plus de déni, proposant de rouvrir les affaires commerciales alors que des millions de personnes diffusent le virus.

Alors bien sûr, ce problème existe parce que les Etats-Unis, par les croyances politiques et les paris de Trump, ne testent personne. très très peu d’Américains mis à part quelques riches et les membres de la classe gouvernante, ont été testés pour le CoVD19.

En fait, la plupart des hôpitaux rationnent sévèrement les kits de test ou sont en rupture de stock depuis un bon moment ; de plus les tests américains prennent des jours pour avoir les résultats, alors que les kits chinois sont disponibles par dizaines de millions et offrent un résultat (NdT: à 98% fiable) en 10 minutes. et ne coût quasiment rien, mais ils ne peuvent pas être utilisés aux Etats-Unis.

Si un Américain veut être testé pour le CoVD19, même si c’est un professionnel de la santé exposé au virus, il n’y a pas de tests disponibles quelque soit le prix.

Voyez-vous, Trump a mis des sanctions contre la communauté médicale aux Etats-Unis, l’empêchant de sourcer les kits de test, les masques, les chasubles médicales, les respirateurs etc, et tous les équipements normalement achetés en Chine, équipement généralement pas du tout fabriqués aux Etats-Unis et ce pour des raisons politiques.

Maintenant, il est forcer de réviser sa politique, pratiquement “sous la menace du fusil” et il est certainement bien trop tard pour faire de la prévention d’épidémie que tester les gens aurait limiter, comme en Afrique.

Il y a pire, avec la Russie prenant le taureau par les cornes, ainsi que la Chine bien entendu, pour gérer la pandémie mondiale, Trump vient juste de renouveler une interdiction de toute aide russe aux Etats-Unis.

Le cœur du problème est une malhonnêteté criminelle et la spéculation. 

[…]

De CNN:

Le président Trump a dû faire face à de nouvelles questions troublantes jeudi au sujet de sa réponse à la pandémie du coronavirus alors qu’il devint clair qu’il y a une pénurie nationale de respirateurs, de masques et autre équipement médical crucial.

Pendant une conférence de presse de la Maison Blanche, on a demandé à Trump au sujet de la pénurie et il a répondu en faussement suggérant que le problème ne pouvait pas être anticipé. Il a aussi balayé de la main toute responsabilité dans cette crise et a encouragé les états à trouver leurs propres solutions et ressources. “Où vous avez un problème de respirateurs, nous faisons de notre mieux pour en trouver”, a dit le président. “Personne n’aurait pu imaginer une telle situation dans ses rêves les plus fous, que nous aurions besoin de dizaines de milliers de respirateurs. Ceci est unique à cette situation précise.”

Les faits en premier : Trump a tout faux. Les experts médicaux et les fonctionnaires de la santé publique ont dit depuyis des années que les Etats-Unis feraient face à une pénurie de respirateurs si une pandémie survenait, comme celle du CoVD19. Même durant la présidence de Trump, il y a eu des alarmes en provenance des hôpitaux disant que ceux-ci seraient à cours de matériel et de ressources parce que les Etats-Unis n’étaient absolument pas préparés à une pandémie

Depuis le début de la crise très tôt cette année, Trump et son équipe ont répondu par des douzaines d’affirmations malhonnêtes et trompeuses et la prise du position du président concernant la pénurie de respirateurs est en parfaite concordance avec ses tentatives d’éviter toute responsabilité en affirmant faussement que personne ne pouvait prévoir une pandémie comme celle-ci. Il a affirmé ceka à plusieurs reprises même après avoir été prouvé qu’il ait tort.”

La réponse de Trump à tout ceci est de demander au ministère des affaires étrangères d’ouvrir “un obscur programme” pour avoir accès “hors système” à du matériel et de l’équipement médicaux afin de couvrir l’énorme échec des Etats-Unis en ce domaine.

De Press TV :

“Les Etats-Unis ont lancé une campagne diplomatique désespérée pour subvenir à leur échec massif et à la pénurie de leur système médical alors que les fatalités grimpent à cause du coronavirus.

Le ministère des affaires étrangères a donné ses instructions à ses diplomates de haut niveau pour que ceux-ci poussent les pays de l’Est et les gouvernements d’Eurasie de booster leurs exportations de matériel médical d’urgence vers les Etats-Unis afin de palier à la pénurie alors que la crise du coronavirus empire de jour en jour.

The email came from an official at the Office of US Assistance to Europe, Eurasia, and Central Asia—an office that under normal circumstances coordinates delivering US aid and assistance to countries in Eurasia and Europe.

Le sous-secrétaire d’état aux affaires politique de Trump, David Hale, a demandé à tous les officiels des ambassades à travers l’Europe et l’Eurasie de rapporter sur ce que les pays étrangers seraient capables de vendre comme “équipements d’urgence médicale critique” aux Etats-Unis.

En fonction des besoins critiques, Les Etats-Unis pourraient envisager d’acheter ces articles pour une valeur de centaines de millions de dollars ainsi que l’achat d’équipement de pointe comme les respirateurs par centaines de milliers”, a dit David Hale dans un courriel. Il a dit que la requête s’applique à des pays hôtes “moins Moscou”.

La requête mine les demandes de Trump qui a insisté répétitivement que les Etats-Unis pouvaient suffire à la demande pour les tests coronavirus et l’équipement médical par eux-mêmes, a noté FP.

’Nous avons beaucoup d’entreprises qui fabriquent de tels produits, chaque produit que vous avez mentionné, plus les respirateurs et tout le reste. Nous avons des usines automobiles, sans avoir à utiliser la loi (loi sur la production de la défense). Nous n’avons pas à l’utiliser mais elle existe au cas où nous en aurions besoin. Mais nous avons tant de choses maintenant fabriquées par le grand nombre, ils ont augmenté la production, a dit Trump le 21 mars.”

A Washington, le résultat du “gouvernement par des amateurs”, inattendu pour beaucoup, a été un formidable désastre. (NdT: partout en occident du reste, car le capitlaisme ne peut plus produire qu’une seule chose à outrance et indéfiniment : l’ineptie et la connerie universelle …) Lorsque les outsiders bidons à la Bolton, qui a passé des décennies à l’intérieur de la fange systémique, ont rejoint l’administration Trump, tuer la réponse de l’Amérique à la pandémie fut la priorité #1 sur la liste.

Agence après département gouvernementaux, les véritables scientifiques et experts ont été remplacés par des publicitaires, des clowns des relations publiques et des avocats véreux.

Il n’y aura aucun avion d’aide américaine qui atterrira en Italie, pas tout de suite. Quand ils viendront, ce sera pour acheter de l’équipement médical d’occasion pour les Etats-Unis et on recouvrira les étiquettes de fabrication russe…

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Notre dossier « Coronavirus, CoV19 »

 

CoVD19… Entretien sans gants avec le professeur Raoult

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CoVD19 : Entretien avec celui qui est au cœur de la polémique le professeur Didier Raoult

 

26 mars 2010

 

Source:

https://marcelle.media/2020/03/26/covid-19-entretien-avec-celui-qui-est-au-coeur-des-polemiques-didier-raoult/

 

Le portait du Pr Didier Raoult paru dans Marcelle il y a une semaine a explosé tous nos compteurs (plus de 100 000 lecteurs). Plus surprenant encore, il n’a donné lieu à aucune polémique. Le chercheur est actuellement au cœur de tous les débats pour la solution thérapeutique qu’il préconise. Hier matin, le Canard Enchaîné titrait même sur les menaces de mort dont il a fait l’objet. D’où cet exercice de questions-réponses auquel le virologue aujourd’hui le plus célèbre de la planète a bien voulu se plier car il connaît bien et depuis longtemps les journalistes qui le questionnent.

Vous avez fait savoir mardi que vous ne participeriez plus aux réunions du comité scientifique qui conseille nos autorités sur la conduite à tenir face à l’épidémie, pourquoi ?

Je n’ai pas deux heures à perdre dans des discussions qui ne vont pas à l’essentiel. Ici, nous sommes submergés de travail, nous sommes submergés par les résultats des tests et les données de nos patients. Un tiers de nos 75 lits d’hospitalisation est renouvelé tous les jours, nos équipes sont mobilisées H24… C’est cela qui m’importe, pas les causeries où il ne faut surtout froisser personne.

Les critiques, les mises en cause, cela vous blesse ?

Les critiques et les conversations de bar sur les plateaux télé, je m’en fous à un point que vous n’imaginez pas. Ce qui m’ennuie, en revanche, c’est que la France, mon pays, ne suive pas ce qui est raisonnable et prenne du retard parce que des gens qui se pensent importants ne veulent pas se dédire. Moi, je suis serein, je sais comment cela va se terminer.

C’est ce que certains vous reprochent, de prédire l’avenir.

Il ne s’agit pas de prémonition mais de savoir. Dans le domaine qui est le mien, je sais ce que je dis, je sais ce que font mes équipes, j’accumule des données – donc du savoir supplémentaire – et je mesure tous les jours l’effet clinique de ce que je préconise. Certains ne veulent pas y croire ? C’est leur problème. Les politiques et leurs décisions, c’est l’Histoire qui les juge. On verra très vite ce qu’il en est pour cette crise. On connaîtra la vérité. Un millier de patients ont été déclaré positifs aux tests que nous avons réalisés. Grâce au suivi de leur traitement, nous disposons d’une somme considérable de données. Nous les compilons. Elles nous donneront bientôt une idée plus précise de l’action de l’hydroxychloroquine.

Avez-vous ajusté vos indications thérapeutiques ?

Notre doctrine, c’est de détecter et de traiter le plus en amont. L’hydroxychloroquine fonctionne sur les cas modérés à sévères. Au-delà, quand les patients sont en réanimation, c’est trop tard. Le virus est encore là, mais le malade souffre d’inflammations pulmonaires consécutives.

Justement, l’essai clinique Discovery va être mené sur des patients très atteints…

Si on avait envie de prouver que ça ne marche pas, on ne s’y prendrait pas autrement. Il y aura une enquête parlementaire après tout ça, et elle sera sanglante, autant que l’affaire du sang contaminé. Et ce sera pire si le gouvernement décide de refuser l’accès au médicament.

Mais, même l’Organisation mondiale de la santé (OMS) met en garde contre le traitement que vous préconisez…

Avant toute chose, je suis médecin. J’ai prêté le serment d’Hippocrate en 1981 et mon devoir depuis, c’est de faire ce qui me paraît le mieux pour les malades, en fonction de mes connaissances et de l’état de la science. C’est ce que je fais depuis 40 ans et ce que je fais en ce moment avec mes équipes : soigner le mieux possible les patients qui se présentent. Cela veut dire les tester, évaluer l’état de ceux qui sont positifs et les traiter avec les thérapies disponibles. Aujourd’hui, il n’y en a qu’une qui a commencé à donner des résultats, c’est l’hydroxychloroquine associée à un antibiotique, l’azithromycine. Toutes les données que nous recueillons depuis que nous avons commencé, il y a un mois, après les premiers essais en Chine, vont dans le même sens. Alors, que ça respecte ou non les procédures scientifiques habituelles… Je suis d’accord avec le Président quand il dit que nous sommes en guerre. Une guerre qui justifie de se battre avec toutes les armes dont nous disposons. En tant que médecins, il est de notre devoir de donner aux malades le meilleur traitement disponible à l’instant T. Le reste, c’est de la littérature.

Quels mécanismes entreraient en jeu avec l’administration d’hydroxychloroquine ?

Cette molécule aurait deux effets pour accélérer l’élimination du virus : il modifierait d’abord l’environnement acide de la poche vacuole de la cellule. Ce petit sac de liquide protégé par la membrane sert de nid aux virus. En augmentant son pH (potentiel Hydrogène), l’écosystème tranquille de cet abri est chamboulé et les enzymes, impliquées dans la machinerie cellulaire utilisée par le virus pour se répliquer, sont empêchées d’agir. L’hydroxychloroquine favoriserait également l’apoptose, c’est-à-dire la mort cellulaire programmée, un mécanisme génétique qui protège l’organisme des infections en commandant aux cellules infectées de s’autodétruire. Je vais travailler avec l’expert de renommée mondiale Guido Kroemer, professeur d’immunologie à la faculté de médecine de l’Université de Paris Descartes et directeur de l’unité de recherche « Métabolisme, cancer et immunité », pour approfondir les travaux sur les mécanismes impliqués.

Sans présager de la publication de vos nouvelles observations, que pouvez-vous dire de l’efficacité de Plaquenil ?

Ne vous inquiétez pas : ça marche. Et même mieux que ça : on a deux fois moins de victimes d’infections virales cette année, toutes maladies confondues, aucun pic de surmortalité et pas de résistance aux antibiotiques.

Nombre de vos confrères poussent des cris d’orfraie en évoquant les effets secondaires délétères de la chloroquine…

Tous les médicaments ont des effets secondaires, surtout lorsque l’on ne respecte pas les posologies. L’aspirine, le paracétamol et l’ibuprofène surdosés, c’est beaucoup plus dangereux que l’hydroxychloroquine aux doses où on les administre. Quant à l’azithromycine, un Américain sur huit s’en voit prescrire au moins une fois chaque année. Si cela tuait les gens ou les rendait plus malades qu’ils ne sont, nous le saurions.

Vous avez annoncé dimanche que vous testeriez toutes les personnes fébriles qui se présenteraient à l’IHU. On a vu les queues qui se formaient devant chez vous. Que pouvez-vous nous en dire ?

Depuis lundi, nous avons pratiqué 2 000 tests par jour. Environ 10% des personnes testées étaient positives.

Que se passe-t-il pour les gens que vous dépistez ?

Notre protocole est rodé. Nous regardons s’ils ont des signes cliniques de la maladie et nous leur faisons passer un scanner pulmonaire  « low dose » (1), comme le font les Chinois, car une partie des gens contaminés ne présentent pas de signes cliniques évidents de la maladie mais ont des lésions pulmonaires qui s’aggraveront s’ils ne sont pas traités.  C’est à eux que l’on administre ce que nous considérons comme le seul traitement disponible à ce jour.Deux jours après, ils sont invités à venir réaliser un électrocardiogramme. Le risque cardio-vasculaire est l’effet secondaire le plus important. Ce traitement est ambulatoire mais les patients les plus sérieux sont naturellement hospitalisés.

Qu’est-ce qui, selon vous, empêche de généraliser ces tests et ces examens au scanner à l’ensemble du pays ?

C’est d’abord une question de volonté politique et de mise en place logistique. Les moyens, nous les avons. Entre les laboratoires d’analyses privés, les laboratoires vétérinaires de très grande qualité que nous possédons, les médecins de ville et les infirmières libérales, tous qualifiés pour faire des prélèvements, ainsi que nos ressources hospitalières, il y a de quoi faire. Ici, nous ne sommes pas des extra-terrestres. Si nous arrivons à faire 2 000 tests par jour à l’IHU de Marseille je ne peux pas croire que la France entière ne soit pas capable de faire comme en Allemagne ou en Corée du Sud. 100 000 tests par jour, c’est ce dont nous aurions besoin et nous en sommes capables. Des tests PCR de base, hors épidémie, nous en faisons 300 000 par an à l’IHU. Quant aux scanners, nous faisons face à Marseille, mais cela sera peut-être plus difficile ailleurs, car notre taux d’équipement en scanners est un des plus faibles des pays de l’OCDE. C’est la conséquence des choix politiques et financiers des 30 dernières années. Les conneries finissent toujours par se payer.

Comment expliquez-vous que cette stratégie qui a fait ses preuves ailleurs, ne soit toujours pas d’actualité chez nous ?

En France, malheureusement, avant de se poser la seule question qui vaille, c’est-à-dire « que faut-il faire pour faire face à telle situation ? », on se demande toujours « est-on capables de mettre en place telle ou telle solution ? ». On met la charrue avant les bœufs et ça n’avance pas.

Le ministre de la Santé vous écoute-t-il ?

C’est un homme intelligent, mais il a hérité d’une situation très difficile, très désorganisée.

Que pensez-vous de l’attitude des autorités, politiques et médicales, d’une façon générale ?

Je me contenterai de citer la maxime attribuée à Sénèque : « Errare humanum est, perseverare diabolicum » (ndlr – L’erreur est humaine, persévérer -dans l’erreur- est diabolique) ♦

(1) Un scanner « low dose » (faible dose en français) permet d’obtenir une image de bonne qualité avec un niveau d’irradiation très faible du patient.

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Notre dossier « Coronavirus »

 

Coronavirus : L’oligarchie lance une guerre biologique ouverte contre les peuples (Résistance 71 )

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Le nouveau visage du terrorisme d’état

 

A lire aussi: « Dictature en marche… Nous y sommes ! la loi martiale médicale et la mise en place du Nouvel Ordre Mondial »

 

Résistance 71

 

27 mars 2020

 

Indépendamment de la gravité, ou non, de cette crise / pandémie planétaire du coronavirus 2019 ou CoVD19, que cette crise soit réelle dans sa gravité ou surgonflée par les merdias à la botte comme c’est le plus souvent le cas, il est maintenant établi que ce nouveau virus n’est en rien naturel. Il est né dans un laboratoire de l’état de Caroline du Nord à Yankland en 2015 et a été créé pour mener une guerre biologique contre l’humanité afin de faire passer dans le chaos sanitaire, l’accession de celle-ci à une « gouvernance mondiale », comme l’avait parfaitement annoncé Jacques Attal en 2009 suite à la « pandémie » (officiel de l’OMS) de grippe porcine H1N1.
Comme  nous l’illustrons avec la photo en ce début d’article, la tyrannie, le terrorisme d’état a un nouveau visage, celui de personnels déshumanisés revêtus de combinaisons intégrales de protection anti-biohazard. Ne nous leurrons pas, cette « urgence sanitaire » qui a pris maintenant la forme d’une véritable « loi martiale médicale », nous est imposée pour des raisons bien précises qui vont au-delà de la protection des populations de la grippette en goguette. N’oublions pas que jusqu’au cas particulier de l’Italie, le taux de mortalité du CoV19 était de l’ordre de 2,5% (0,98% en Corée et 1,68% à Yankland) dans des segments de la population âgée et/ou en déficience immunitaire pour diverses raisons, infectés par le virus.

La « loi martiale médicale » rend des services sur bien des points:

  • Elle met totalement sur la touche la question sociale et, en France, met fin au mouvement des Gilets Jaunes par le confinement, même si la colère gronde toujours, elle est muselée par la mise en quarantaine de la nation…
  • Elle donne les pleins pouvoirs à la clique des gouvernements la mettant en vigueur et justifie(ra) tous les abus et décisions liberticides à venir… Nulle doute que décrets-lois scélérats et abus de pouvoir nous attendent au coin de la rue très bientôt, les festivités ont du reste déjà commencé avec le grand n’importe quoi de la flicaille en contrôle…
  • Elle facilitera la mise en place de la grille de contrôle planétaire, verrouillage 5G, smart-cities et à terme, puçage RFID des populations, le but ultime de toutes ces attaques à répétition et cette terreur organisée.
  • Elle permet de casser les liens sociaux et d’empêcher les gens de communiquer et de se rassembler
  • Elle sera le pare-feu quand la crise économique qui implosera le système se déclenchera, elle aussi planifiée…
  • Elle maintient mieux que ce bon vieux « terrorisme » à la sauce Gladio qui ne prenait plus, les gens dans la peur, l’angoisse, la paranoïa et la terreur de l’autre.
  • Le croquemitaine Al Qaïda du musulman radicalisé a été remplacé par la sale « bestiole » épineuse invisible… Bien plus efficace que le barbu qui s’est essoufflé est n’a pas tenu la distance.
  • Elle permet de conditionner psychologiquement les gens sur ce qui va suivre : le totalitarisme forcené dans un grand goulag « sanitaire » ou euthanasie et élimination de masse passeront inaperçues, tout en devenant la nouvelle norme…

Toute cette panoplie totalitaire est là pour rester. Cette « crise coronavirus 2019 » ou CoVD19 est un second 11 septembre en marche. Le 11 septembre 2001, des attaques nucléaires perpétrées par ce qui est appelé de nos jours « l’état profond », se sont produites à New York déclenchant une « guerre contre le terrorisme » bidon à l’échelle planétaire et permettant à l’empire de passer la surmultipliée néo-coloniale d’aventures militaires en crises, menaces et embargos imposés ; en novembre 2019, une attaque biologique sur le monde est partie de Chine mais dont l’origine remonte à 2015 dans l’état de Georgie aux Etats-Unis. Comme il y a eu un « avant » et un « après » 11 septembre (9/11), il y aura désormais un « avant » et un « après » CoVD19.

Ne nous leurrons pas. Nous sommes attaqués de front par l’oligarchie qui a décidé de refermer la grille de contrôle de son Nouvel Ordre Mondial, qui seul peut la sauver de son annihilation programmée par l’obsolescence de son système de gouvernance.
Nous étudions toute cette affaire depuis plus de 20 ans pour certains d’entre nous, depuis 10 ans en ce qui concerne ce blog. Toujours pas convaincu(e)s ? Le doute ou le déni est toujours là, viscéralement ancré dans un bouillon de onze heures de dissonance cognitive ?.. Quelques saines lectures ci-dessous à lire, analyser, et rechercher par vous-mêmes. Nous ne détenons pas la vérité, nous sommes juste des poteaux indicateurs de certains domaines à explorer plus avant… A chacun de le faire. Pour nous en sortir, il faut qu’individuellement et collectivement nous fassions un certain travail d’analyse et de recherche critique. Se coucher systématiquement devant « l’autorité » auto-proclamée ne fait que confirmer les chaînes que nous nous mettons volontairement aux pieds. Il est plus que grand temps de réfléchir de manière critique, de fermer les télés et de rallumer les cerveaux, tout en demeurant convaincu(e)s que réfléchir, c’est déjà désobéir, ce que les instances veulent coûte que coûte nous empêcher de faire.

La crise / pandémie du coronavirus 2019 est une attaque délibérée et planifiée de l’oligarchie sur l’humanité. Les criminels instigateurs ont un nom et des visages… Ne nous trompons pas d’ennemi.

A lire pour mieux comprendre cet article:

Notre « Dossier Coronavirus »

A lire et diffuser sans aucune modération en cette période de confinement.

 

 

 

Coronavirus et gaz sarin… De quoi s’agit-il ?… (Veterans Today)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, crise mondiale, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, média et propagande, militantisme alternatif, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , on 24 mars 2020 by Résistance 71

 

 

Au-delà de l’information présentée ici en relation potentielle avec la pandémie de coronavirus 19, il nous apparaît stupéfiant que des gens quelque part, et depuis des décennies, fassent des recherches sur ce genre de poison hyper toxique qui sera (est) produit afin de tuer des gens, en masse, plus ou moins donc rapidement comme le montre cette étude. Rappelons aussi que toutes ces armes de destruction massive sont illégales et interdites par la convention de Genève et pourtant… tout le monde en a et tut le monde en fabrique et dépense des milliards à les perfectionner…

C’est absolument estomaquant que des gens fassent volontairement des recherches sur ce genre de chose. Effarant, tout en sachant que sporadiquement, des essais de terrain sont faits sur un public ignorant tout de ce qui se trame et servant de cobayes humains ! La connerie humaine est définitivement insondable…

Ceci mène à la question: cette affaire di CoV19 est-elle une de ces expériences ?.. Possible… probable… Une chose est sûre, la capacité technique est là, la volonté de le faire est aussi là (certes chez un nombre restreint de notre population, mais néanmoins existant), absolument plus rien n’est improbable concernant l’oligarchie, ça aussi, c’est une certitude. Quoi qu’il en soit, même s’il s’avère que ceci est une « fausse piste », cela aura eu le mérite de faire parler de cette ignominie que sont ces armes chimiques et biologiques.

~ Résistance 71 ~

 


L’oligarchie contre nous, les peuples…

 

Coronavirus 2019 (CoV19) et relation au gaz sarin (GB)

 

Extrait article Ian Greenhalgh pour VT

 

21 mars 2020

 

Source Veterans Today

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

[…]

Gaz contenant des agents neurotoxiques :

Les agents neuro-toxiques sont un groupe d’agents chimiques de combat particulièrement toxiques. Ils furent développés juste avant la seconde guerre mondiale et sont reliés chimiquement aux insecticides de l’ordre des organo-phosphorés. Les principaux agents chimiques de ce groupe incluent :

    • GA – tabun
    • GB – sarin
    • GD – soman
    • GF – cyclosarin
    • VX – methylphosphonothioic acid

Les agents neuro-toxiques “G” tendent à être non-persistants alors que les agents “V” le sont. Certains agents “G” peuvent être épaissis avec des substances variées afin d’augmenter leur persistance et donc leur capacité de pénétration de la peau intacte. A température ambiante, le GB est un liquide comparativement volatile et donc non-persistant. Le GD est aussi volatile de manière significative, ainsi que GA mais moins. Le VX est relativement non volatile et est donc un liquide persistant. Il ne présente que peu de danger vaporisant aux personnes qui lui sont exposées. A l’état pur, les agents neuro-toxiques sont souvent des liquides de couleur jaunâtre-brune. Quelques uns de ces agents neuro-toxiques ont une odeur vaguement fruitée.

En 1996, une étude de l’armée américaine ( US Army study ) a examiné la question :

Y a t’il des effets observables sur le long terme pour la santé associés avec l’exposition au gaz sarin (GB) et au gaz moutarde avec des concentrations bien plus basses que celle causant des signes, symptômes ou dommages sévères ? En voici les résultats :

SARIN (GB)

C’est un agent neuro-toxique connu xhimiquement sous le nom d’isopropyl méthyl phosphonofluoridate. Pur, c’est un liquide incolore et inodore ; sa vaporisation (mise en aérosol) est aussi incolore. Le GB s’évapore approximativement à la même vitesse que l’eau. Comme les autres agents neuro-toxiques (soman, tabun, VX), il est un organophosphate très toxique qui se fixe de manière irréversible sur l’enzyme acétylcholinesterase, provoquant ainsi une accumulation d’acétylcholine aux jonctions neuro-musculaires occasionnant une perte fonctionnelle de ces jonctions. Ceci interfère avec le mécanisme fondamental requis pour le fonctionnement du système nerveux central et périphérique, c’est à dire la transmission de l’impulsion nerveuse. Bien que la majorité des effets soit due aux actions anti-cholinesterase du gaz sarin, tous ses effets ne sont pas reliés à cette seule caractéristique.

Les chercheurs Marrs, Maynard et Sidell (1996) catégorisent les signes et symptômes de l’intoxication au gaz sarin en trois groupes : muscarinique, nicotinique et central. Les signes et symptômes muscariniques sont le résultat d’une activité accrue du système nerveux parasympathique et inclut miosis, troubles de la vision, salivation importante, bradycardie, lacrymation importante (larmes), crampes abdominales, diarrhée et rhinorrhée. Les effets nicotiniques incluent la pâleur, tachycardie, hypertension artérielle, spasmes musculaires et faiblesse générale. Les effets sur le système nerveux central incluent des maux de tête, angoisse, difficulté à se concentrer, agitation, confusion mentale, convulsions, dépression du système respiratoire ou paralysie pouvant mener à la mort.

Les signes et les symptômes peuvent être observés indépendamment de la voie d’exposition au poison. L’exposition par voie cutanée peut provoquer d’abord des sudations et des spasmes locaux. L’exposition par voie aérosol où les yeux et les voies respiratoires peuvent venir d’abord en contact avec le gaz, peuvent être soumis à miosis, rhinorrhée et une oppression de la poitrine en premier lieu. Les symptômes semblent plus rapides à se manifeste lors d’une contamination par voie respiratoire que par voie cutanée.

Lors d’une exposition par voie respiratoire, les signes et symptômes sont généralement miosis, rhinorrhée et/ou oppression de la poitrine (Sidell, 1992). En fait, des études antérieures souvent définissent un individu comme ayant été “exposé” à la substance lorsque la personne présente un ou plusieurs de ces signes et symptômes. Des personnes dans la même zone, sans problèmes de santé n’étant pas considérées comme “touchées”. Ceci est le premier des nombreux problèmes méthodologiques impliquant cette question. Seuls ceux présentant ces signes et symptômes ont été étudiés et documentés. tous les autres, même de la même zone, seraient considérés comme non-exposés et ne seraient pas examinés.

La quantité de GB nécessaire pour causer des signes et symptômes cliniques est discutable, mais elle a été estimée être approximativement de 2 à 3 mg – min / m3. Ceci est connu pour être le Ct, ou la concentration aérosol de l’agent dans l’air en milligrammes par mètre cube et le temps d’exposition en minutes (Sidell, 1992).

McKee et Woolcott (1949) rapportent qu’une simple exposition à 3,3mg-min/m3 (pendant 40 minutes) est la dose minimale nécessaire pour produire un effet sur des humains. Mais ils disent aussi qu’une analyse chimique de l’agent indiquait que la concentration en fait donnée était approximativement 2,5mg-min/m3. Quand le temps d’exposition était réduit de 50% (20 minuties, Ct approximativement de 1,2mg-min/m3), une dose simple ne produisait aucun symptôme, mais le même rapport disait que l’exposition à Ct de 0,6mg-min/m3 (1min) causait des symptômes détectables. Il apparaît qu’une simple exposition d’un humain à une petite dose de GB produira des signes et/ou symptômes sévères et observables.

Il est aussi important de noter que l’exposition à un Ct dérivé sur une plus longue période de temps (ex : 240 min contre 20min), causera moins de signes et symptômes ou de moins sévères car une certaine désintoxication se produit durant une exposition plus longue. Il n’y a essentiellement pas d’études non contrôlées où des humains ont été à des doses calculées pour éviter tout symptôme, quelques investigations sur des expositions élevées involontaires et des études animales peuvent être utilisées pour faire des suggestions générales en regard des risques de santé à long terme associés avec une exposition minime au gaz sarin.

So, in 1996, there was no data on low-dose exposure to Sarin, therefore studies would need to be conducted to gather such data. The US Army came to the same conclusion (emphasis added):

Conclusions

Le gaz sarin ou GB est un neuro-toxique organo-phosphaté extrêmement toxique qui peut causer des signes et symptômes d’intoxication moindres et réversibles à petites doses et la mort à des doses qui ne sont pas bien plus élevées. Il n’y a pas d’information scientifique qui réponde directement à la question entière : Y a t’il des effets observables sur la santé à long terme associés avec une exposition au gaz sarin (GB) à des concentrations plus basses que celles nécessaires pour provoquer de sévères signes et symptômes d’empoisonnement ?

[…]

GB n’a pas de propriétés carcinogènes ou mutagènes. Bien que la littérature tératologique soit moins claire, il apparait que le GB n’est pas un teratogène. Ainsi, il n’y a pas d’augmentation de défauts à la naissance ou de cancers qui pourraient être attendues après l’exposition à de basses doses de courte durée. […]

Il est prudent de suggérer que de plus amples recherches sur les effets à long terme après exposition au gaz sarin (incluant les doses n’impliquant pas de signes ou symptômes sévères d’intoxication) sur l’EEG de primates soient mises en place.

[…]

A lire notre dossier « Coronavirus »

 

 

Coronavirus : La bidasserie « sportive » yankee amène le virus à Wuhan en octobre 2019…

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, crise mondiale, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, média et propagande, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , on 15 mars 2020 by Résistance 71

 


CoVD19… Guerre biologique ?…

 

La preuve est de plus en plus évidente que l’armée américaine a amené le CoVD19 en Chine au moyen d’une fausse équipe sportive militaire pour des jeux mondiaux à Wuhan en octobre 2019

 

VT

 

13 mars 2020

 

url de l’article original:

https://www.veteranstoday.com/2020/03/13/china-us-brought-covid19-to-china-during-army-games-hid-disease-in-us-as-influenza/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

En octobre 2019, les Etats-Unis ont amené 172 (en réalité 369) athlètes militaires aux jeux militaires mondiaux de… Wuhan. Malgré le fait d’avoir l’armée la plus puissante du monde, les Etats-Unis sont arrivés 35ème au décompte des médailles, derrière des pays comme l’Iran, la Finlande et la Slovénie. L’équipe américaine a été si pitoyable, qu’elle fut en fait surnommée l’équipe des “soldats sauce soja” par les Chinois. En fait, beaucoup des membres de cette équipe ne participèrent même pas à un évènement sportif et restèrent dans Wuhan, très près de… Huanan, le marché de vente en gros de fruits de mer, là où il est assumé que le CoVD19 eut son origine et ce quelques jours seulement après que l’équipe américaine n’ait quitté les lieux.

L’équipe américaine s’en retourna à la maison le 28 octobre 2019 et dans les deux semaines qui suivirent, les premiers cas de contact humain avec la maladie CoVD19 furent notifiés à Wuhan. Les Chinois n’ont pas été capables de retrouver celui ou celle qui serait le/la “patient(e) zéro” et pensent qu’il s’agissait d’un membre de l’équipe américaine.

Ils ont aussi des sources qui disent que les Etats-Unis ont mal représenté la grippe que Trump affirme avoir tué des milliers, une grippe apportée en Chine par l’équipe américaine, une grippe qui en réalité était le CoVD19, une maladie développée dans un laboratoire de guerre biologique militaire dans l’état de Washington, maintenant “ground zero” aux Etats-Unis pour le CoVD19.

Les Chinois affirment, chose qui est bien entendue censurée aux Etats-Unis, que l’attitude d’inattention et les résultats disproportionnellement pathétiques de l’équipe américaine à ces jeux sportifs, indiquent que ces personnes aient bien pu être présentes en Chine pour un objectif tout autre et qu’ils auraient bien pu être des agents de guerre biologique américains, et que leur endroit de résidence durant leur séjour à Wuhan était aussi très proche du marché de fruits de mer de Huanan où s’est produite la première agglomération de cas de la maladie.

De RT / Moscou : L’armée américaine a bien pu amener le nouveau coronavirus (CoVD19) en Chine à Wuhan, la ville qui a vu les premières infections de ce virus, a dit le porte-parole du ministre des affaires étrangères chinois Zhao Lijian jeudi.

“Quand le patient zero s’est-il déclaré aux Etats-Unis ? Combien de personnes ont-elles été infectées ? Quels sont les noms des hôpitaux ? Il se pourrait bien que ce soit l’armée américaine qui ait amené la maladie à Wuhan. Soyez transparents ! Rendez vos données publiques ! Les Etats-Unis nous doivent une explication !” a tweeté Zhao.

Se référant à une vidéo du Center for Disease Control (CDC) américain et de la prévention dans laquelle son directeur Robert Redfield admet apparemment que les Etats-Unis ont effectivement eu plusieurs décès liés au CoVD19 avant d’être capable de tester pour le virus, Zhao a appelé le service de contrôle américain  de se blanchir et de rendre les infos publiques, dans un tweet posté jeudi.

“Il est bien possible que ce soit les Etats-Unis qui ont amené la maladie à Wuhan”, a suggéré Zhao, appelant le CDC et les Etats-Unis de manière générale, d’être “transparents” et de partager ce qu’ils savent sur l’endroit et la date où fut diagnostiqué le “patient zero” de la maladie.

En l’absence des détails sur les patients ou de la chronologie des décès, la spéculation s’est amplifiée. La “théorie” de Zhao en particulier, s’est focalisée sur la délégation militaire américaine qui s’est rendue à Wuhan en octobre 2019 pour les jeux mondiaux militaires, quelques semaines avant le déclenchement de l’épidémie confirmé en décembre. La délégation faisait partie d’un groupe de 300 militaires américains prenant part à un évènement multi-sport international, évènement qui à l’instar de JO se tient tous les 4 ans.

L’OMS déclare que ce qui est maintenant la pandémie du CoVD19 a été en premier lieu rapporté comme un foyer de contagion depuis Wuhan en Chine le 31 décembre 2019. La recherche de l’origine de cette maladie potentiellement mortelle ne s’est pas interrompue, avec des versions conflictuelles impliquant le marché de fruits de mer de la ville de Wuhan et des chauves-souris, un met local, vendues aussi sur ce marché, tandis que d’autres suggèrent que les humains ont reçu le virus de tatous, un mammifère à écaille inscrit sur la liste des espèces menacées.

Des théories moins orthodoxes suggèrent une intention malicieuse, avec le chef du Corps des Gardiens de la Révolution iranien affirmant la semaine dernière que le CoVD19 pourrait bien être “le produit d’une attaque biologique de l’Amérique initialement ciblant la Chine puis s’étendant à l’Iran et au reste du monde”.

Jusqu’ici, le problème avec toutes ces théories, blâmant à la fois les humains et les animaux, est qu’aucune preuve directe de l’origine de la maladie ne s’est fait jour, alors que l’identité du “patient zero” chinois demeure également opaque. Il ne s’agit pas seulement de la Chine : dans l’état de Washington, qui a apparement identifié et isolé le tout premier voyageur, ayant eu des douzaines de contact vérifiés et sous-contrôle, le virus commença malgré tout à se propager.

Même Steve Wosniak, le co-fondateur d’Apple, a dit à un moment donné que lui et son épouse ont bien pu être les “patients zero” américains après avoir développé une mauvaise toux à leur retour de Chine. Il a depuis émergé que son épouse a été diagnostiquée avec “une infection des sinus”.

= = =

A lire aussi:
“Pourquoi Pékin soupçonne les Etats-Unis d’avoir apporté le virus CoV19 en Chine”  

Notre « Dossier Coronavirus »

 

Coronavirus: Que sait-on…. Plus précisément que ne sait-on bizarrement pas sur le CoVD19 ?… (Veterans Today)

Posted in actualité, crise mondiale, désinformation, documentaire, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, N.O.M, pédagogie libération, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , on 13 mars 2020 by Résistance 71

 

 

 

Coronavirus… Une pandémie fabriquée ?

 

Gordon Duff

 

12 mars 2020

 

url de l’article original:

https://www.veteranstoday.com/2020/03/12/neo-covid-19-an-engineered-pandemic/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Le virus CoVD19 perturbe les économies, les voyages et la vie quotidienne dans le monde entier. Il a déjà éradiqué quelques 10% des liquidités des nations comme les Etats-Unis, même si temporairement, et le pire est encore à venir.

Derrière cette sombre histoire se cache quelque chose d’encore plus sinistre. Le CoVD19 n’a “peut–être pas juste été fabriqué” en tant qu’arme biologique, mais il l’a “très certainement” été.

Commençons à exposer notre cas:

Tous les efforts les plus inimaginables ont été utilisés pour conspirer et rendre toujours plus confus cette affaire de CoVD19.

Ceci constitue la maladie la plus infectieuse de l’histoire de l’humanité ayant une période d’incubation “impossible” (NdT: de 14 jours ou plus… du jamais vu, pendant lesquels des malades asymptômatiques répandent le virus sans savoir…), des semaines d’infection aérosol sans symptômes, une maladie sans aucun doute improbable (naturellement). Est-elle fabriquée, est-ce une guerre bactériologique, biologique ?…

Pour examiner les faits, et les faits sont minces voire inexistants, des techniques curieusement retenues seront appliquées. D’abord et peut-être par dessus tout, le simple fait que les “faits sont ténus voire inexistants” en dit suffisamment long.

C’est une maladie, une de celles reliées au Syndrome Aigu Respiratoire (connu sous le sigle de SARS) et du Syndrome Respiratoire du Moyen-Orient (MERS), tous des coronavirus.

Du dictionnaire Meriam-Webster:

Definition du coronavirus:  Tout virus de la famille des coronaviridae des virus à ARN à une bande qui ont une enveloppe lipide présentant toute une série d’excroissances en forme de club, d’aiguille, infectent les oiseaux et bon nombre de mammifères incluant les humains et comprenant les agents responsables des maladies SARS et MERS

Première connaissance du coronavirus: 1968, comme défini ci-dessus.

Historique et étymologie du coronavirus: CORONA + VIRUS, 

NOTE: Le mot fut introduit par un groupe de virologues dans un court article “Coronavirus” dans la section “News and Views” de la revue “Nature”(vol. 220, no. 5168, November 16, 1968, p. 650): 

“… bronchite aviaire contagieuse qui  a une apparence particulière sous microscope électronique, forme ressemblant à celle des myxovirus. Cette apparence, rappelant la corona solaire, est partagée par le virus de l’hépatite chez la souris… De l’opinion des huit virologues, ces virus font partie d’un groupe non connu auparavant, dont ils suggèrent qu’il pourrait être appelé groupe des coronavirus, pour leur ressemblance sous microscope électronique.”

Jusqu’ici peu est connu sur le taux de mortalité du CoVD19, jusqu’ici sans aucun doute bien moins que le taux du MERS qui était de 34,5%, mais il est possible qu’il soit supérieur à celui du SARS (de l’ordre de 9,6%). Beaucoup ne sont pas d’accord avec ce chiffre, mais les données sont rares, non, elles sont inexistantes.

Le MERS a pris un an pour tuer 106 personnes et le SARS, qui a pris des mois pour se diffuser, a tué 813 personnes avant d’être stoppé. Quoi qu’il en soit et en rapport avec cette affaire quand vous lirez ceci, le CoVD19 peut très bien avoir infecté un million de personnes et non pas 200.

Méthodologie

Nous pouvons faire quelques commentaires de base sur ce CoVD19 et allons maintenant le faire:

  • La capacité de créer le CoVD19 existe
  • La volonté de créer le CoVD19 existe
  • L’intelligence et l’humanité de ne pas créer le CoVD19 n’existent pas
  • La volonté d’expérimenter en infectant le public avec un agent pathogène tel que le CoVD19 existe, il y en a même des précédents historiques indiscutables
  • Des laboratoires “secrets et financés par d’obscures entités” opèrent sous couvert de labos de recherche sur les maladies animales ou sous le couvert de facilités de défense contre la guerre bactériologique, labos gérés par les gouvernements américain, britannique, israélien et autres ; ils ne sont pas les seuls à pouvoir créer un virus comme le CoVD19, mais sont prouvés être financés pour justement ce type de programme

Tout simplement, il existe des acteurs qui peuvent fabriquer et relâcheraient une pandémie mondiale en tant que composant d’une opération de “théorie du chaos” de long terme.

Ces mêmes acteurs le feraient et l’ont fait, à répétition, sans aucun soucis du coût en vies humaines. Je pense que nous pouvons certainement dénoncer les attentats du 11 septembre 2001 et ce qui s’en est suivi, comme étant une de ces opérations.

On pourrait aussi citer les efforts pour de multiples changements de régimes politiques et pouvons même annoncer les noms des pays impliqués dans ces changements: Les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France, l’Arabie Saoudite et Israël.

En fait, 3 millions de morts et plus de 10 millions de réfugiés est un prix que la cabale de l’état profond n’a pas sourcillé à payer. De part ces standards, le CoVD19 n’est sans doute qu’une opération test pour quelque chose à venir qui sera bien plus mortel.

Nos “amis” ne sont sans doute qu’en train de collecter des données, une grosse “banque de données” et nous savons à quel point ils en sont friands.

Traçage à rebours

Une autre manière d’apprendre et de discerner est de remonter à rebours ce qu’on nous dit, ce qu’on ne nous dit pas et les séquences sur la façon dont nous sommes “désinformés”. D’abord on ne nous dit rien, certainement une peau de chagrin d’info sur la nature de la maladie en elle-même, ses symptômes par exemple et la progression de la maladie. Pourquoi cela ?

Rien sur ceux qui sont infectés et ceux qui meurent, rien d’autres que les chiffres rendus publics en Iran et maintenant en Italie, rien n’est vraiment connu.

Ce qui semble être discerné jusqu’ici, et ce malgré la prévention de fuite de toute information, est que les enfants ne semblent pas prônes à être touchés par la maladie ou s’ils le sont, ils ne sont pas à risque de mortalité.

Nous savons que le taux de mortalité est plus important chez les personnes âgées… mais de quel âge exactement ? Des gens avec quelles autres types de vulnérabilité ? Il y a suffisamment de données pour informer le public en ce qui concerne le risque, mais cette information est tenue sous le boisseau. Ceux qui la place là le font d’une manière bien suspicieuse.

Tout autant voire même plus suspicieux est la maladie elle-même, comment elle s’est développée. comment elle est devenue quelque chose jusqu’ici encore jamais vu, une “parfaite tempête” de l’infection ?

Non seulement aucune information utile n’est donnée, mais il n’y a pas non plus de discussion publique ou quoi que ce soit qui pourrait être d’intérêt.. Ainsi, nous nous heurtons semble t’il à une “ligne rouge” et nous devons faire machine arrière pour savoir qui étouffe et met l’info sous le boisseau, ce qui serait normalement info vitale pour le public.

Ce retour en arrière mène, nous le pensons. à un virus fabriqué en laboratoire, une modification du SARS qui prendra quelques deux années à arrêter, coûtera au moins 50 milliards de dollars ou bien plus et qui aura un autre effet non discuté, mais un de ceux qui touchera plus fort “entre les deux yeux”.

Le CoVD19 est 99% peur et 1% résultat.

Les conspirations

La théorie de la conspiration prévalante dans les premiers jours de février 2020 mettait en scène une hypothèse que le CoVD19 a été créé pour cibler racialement les Chinois et les Iraniens.

Mais un mois plus tard, avec la maladie se répandant en Italie et dans d’autres nations, cette théorie est morte et enterrée.

On pourrait noter que la base pour une telle assertion est toujours trop de “reliage de points” et n’est pas fondé sur une analyse de faits de la réalité. Un nombre de nations, certainement les Etats-Unis, ont collecté des échantillons génétiques des populations de nations qu’ils pourraient considérer comme cibles, la cible principale étant la Russie.

Les Etats-Unis attaquent-ils maintenant ou le projettent-ils dans le futur, la Russie avec une arme biologique, une pandémie génétiquement fabriquée ? En se basant sur l’attitude des Etats-Unis ces 20 dernières années et sur les leaders en charge à Washington, la réponse à cette question pourrait être à minima “probablement”, mais pas encore “bien sûr qu’ils le font”.

Une autre théorie implique la technologie 5G. Il est postulé que les émissions d’ondes de la 5G altèrent l’ADN. Il n’y a en revanche aucune donnée scientifique validant le cas d’un impact sur l’ADN par des radiations non-ionisantes.

En fait, il est facile de tracer l’origine de ces conspirations à l’anti-science qui est la base de Trump. […]

Politiquement, ces groupes sont généralement des soutiens de l’intervention militaire en faveur d’Israël et de ses intérêts, de la torture et des assassinats ciblés malgré les “dommages collatéraux” et des droits de l’Homme basés sur la race et la religion.

On peut remonter aux origines de ces assertions extravagantes faites et promues par ces “experts” et même par l’administration courante, à ce qui se fait de pire dans l’anti-science, la main de ceux qui pourraient bien être responsables de la pandémie du CoVD19 devient visible.

Conclusion

Mensonges, censure et théories conspirationistes quasi-officielles seraient parties prenantes d’une pandémie fabriquée. Dire qui et pourquoi est encore un peut trop tôt pour le savoir précisément.

Comme pour le 11 septembre, il est évident qu’il y a un énorme impact sur la finance et le marché des commodités et les algorithmes qui auraient du être créés il y a bien longtemps pour reconnaître les complots du  “va t’en guerrisme pour le profit” ou du “désastre pour le profit” ont été interdits, même de la discussion.

En 2010, une série télévisée, Rubicon, qui parlait exactement de ce sujet, fut mystérieusement annulée malgré sa grande popularité et des coûts de production très élevés. Du New York Times : 

La série suit quelques analystes et gérants d’une entreprise fictive API, une entreprise privée qui synthétise des données fournies par différentes agences de renseignement américain. Quiconque écrit pour la TV et en fait un boulot se doit d’être attiré par cette histoire de gens bien intentionnés essayant de réfléchir et de comprendre de narratifs avec des trous inexplicables et des inconsistances défiant tout entendement.

Mais il y a bien plus concernant “Rubicon” que son attraction pour binoclards premiers de la classe. Maintenant que les théories conspirationistes se sont déplacées de la périphérie au centre de la vie politique, les questions que pose “Rubicon” au sujet de la manipulation de la vérité et des manières par lesquelles les puissants obscurcissent intentionnellement leurs agendas les plus crasses, sont plus importes que jamais.

Aujourd’hui, les analystes d’ “API/Rubicon” sont consignés dans la fiction et le public est laissé face à la peur et aux mensonges comme consolation.

Ce qui est laissé de côté est le fait qu’il pourrait bien y avoir un parti responsable et, pire encore, que cela ne soit seulement que le début.

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Notre dossier « CoVD19 »

 


Notre nouveau croquemitaine… Qui l’a lancé ?