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Campagne de tyrannie médicale : Nous n’obéirons pas !

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, Internet et liberté, média et propagande, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , on 1 septembre 2021 by Résistance 71

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Brandon Smith appelle un chat un chat et propose des solutions, il confirme aussi ce que nous disons depuis un bon moment, la croisée des chemins arrivent, il faudra faire un choix et comme le disait si justement le grand historien Howard Zinn : “On ne peut pas être neutre dans un train en marche.” L’humanité vaincra au delà de toutes les impostures et tyrannie. Organisation et désobéissance civile généralisées !..
A bas l’État ! A bas la marchandise ! A bas l’argent et à bas le salariat !
~ Résistance 71 ~

Nous n’obéirons pas ! Une campagne contre la tyrannie médicale

Brandon Smith

5 août 2021

source de l’article en français :

https://lesakerfrancophone.fr/nous-nobeirons-pas-une-campagne-contre-la-tyrannie-medicale

J’ai écrit fiévreusement ces derniers temps sur les questions de mandats Covid et de passeports vaccinaux, et je suis sûr que la plupart des lecteurs comprennent pourquoi – Nous sommes actuellement à l’aube d’un grand conflit contre les pouvoirs en place ; des gens qui exploitent la crise Covid (largement fabriquée) pour exercer un contrôle politique et économique sans précédent. Et quand je dis « fabriquée », je veux dire qu’il n’y a pas de crise, pas besoin de mandats, pas besoin de confinement et pas besoin de passeports vaccinaux.

Nous avons affaire à un virus auquel 99,7 % des gens survivront facilement selon les études et les statistiques de l’establishment médical et de nombreuses études indépendantes, mais pour une raison quelconque, les médias et les gouvernements nous bombardent de propos alarmistes.

Pourquoi la seule solution proposée au grand public implique-t-elle que nous renoncions à toutes nos libertés et à notre autonomie médicale ? Pourquoi 99,7 % de la population est-elle censée s’enfermer, se masquer et se soumettre à un vaccin expérimental à ARNm dont l’innocuité n’est pas prouvée par des tests à long terme ? Pourquoi les 0,26 % de personnes qui risquent vraiment de mourir du virus ne prennent-elles pas simplement des précautions ou ne restent-elles pas chez elles pendant que le reste d’entre nous mène une vie normale ? Bon sang, je ne verrais pas d’inconvénient à contribuer à un fonds destiné à soutenir les 0,26 % de personnes à risque, à aider leurs familles et à payer leurs factures médicales.

La Réserve fédérale et d’autres banques centrales ont dépensé des milliers de milliards de dollars en mesures de relance et en prêts PPP pour empêcher les entreprises de faire complètement faillite et pour empêcher les travailleurs « non essentiels » de mourir de faim pendant les premiers arrêts de production. Mais, nous aurions pu simplement maintenir l’économie en marche pendant tout ce temps et payer une fraction de ce coût pour aider l’infime minorité de personnes qui souffriraient réellement de la maladie.

Oui, c’est vrai, je vais le répéter encore et encore parce que je vois encore aujourd’hui les médias et les adeptes mal informés sur la Covid-19 prétendre que le taux de mortalité de la Covid-19 est beaucoup plus élevé. Ce n’est pas le cas. Le taux médian de mortalité par infection de la Covid est SEULEMENT de 0,26%. C’est un FAIT. C’est la science selon la grande majorité des études médicales sur l’IFR. Laissez-moi vous répéter : le monde entier est enfermé et on nous dit que nous devons renoncer à nos libertés humaines inhérentes parce que 0,26% de la population pourrait avoir plus qu’un reniflement et un brouillard cérébral à cause d’une infection Covid. Pourquoi ?

Eh bien, c’est facile ; parce que la réponse et les restrictions concernant la Covid-19 n’ont rien à voir avec la santé publique et tout à voir avec le contrôle public.

Cet article est un peu différent de ce que j’écris habituellement, car il ne s’agit pas tant d’un appel à la raison pure ou à la science pure que d’un appel aux principes. De nombreux lecteurs m’ont demandé dernièrement s’il n’était pas préférable d’argumenter contre les mandats de lutte contre les pandémies en se fondant sur des idéaux et des principes plutôt que de marteler la science. Je pense qu’il est important de faire les deux, mais prenons un moment pour considérer la question morale et uniquement la question morale. Pour ce faire, nous devons poser quelques questions simples :

Qui a le droit de contrôler vos décisions médicales ? Qui est qualifié pour contrôler votre droit constitutionnel à la vie, à la liberté et au droit de rechercher la prospérité ? Qui devrait avoir le pouvoir de vous dire ce que vous pouvez dire, où vous pouvez travailler, où vous pouvez acheter, où vous pouvez vendre, où vous pouvez marcher, où vous pouvez voyager, en quoi vous devez croire ?

La réponse est PERSONNE, sauf vous-même. Mais bien sûr, le culte Covid et les personnes qui bénéficient de la pandémie prétendront que vos droits ne s’appliquent plus lorsque vous « mettez la vie des autres en danger ». C’est le vieil argument du contrat social – Vous faites « partie d’une société », donc la société a des attentes qui supplantent vos droits. Tout cela n’a aucun sens, mais c’est une stratégie classique utilisée par tous les totalitaires des temps modernes. Il n’a jamais été question de ce que la « société » veut, il n’a jamais été question que de ce que les tyrans veulent.

Comme je l’ai noté dans de nombreux articles, avec des faits et des preuves scientifiques sans fin, personne qui veut rester libre des mandats de vaccination ou des passeports vaccinaux ne met les autres en danger. Encore une fois, le taux de mortalité médian pour la Covid est de 0,26% et ni les mandats, ni les masques, ni les vaccins n’ont mis un terme à la pandémie. Il est intéressant de noter que ce sont les États où les mesures de confinement et les restrictions concernant les masques sont les plus sévères qui ont enregistré les taux d’infection les plus élevés au cours des 18 derniers mois. Même à l’heure actuelle, des milliers de personnes entièrement vaccinées contractent la Covid par des « cas isolés », et certaines d’entre elles sont décédées. Les infections et les décès ont chuté en janvier, bien avant que les vaccins ne soient fabriqués à grande échelle. En février, seuls 5 % de la population américaine avaient été vaccinés avec une seule dose. Le fait est que les vaccins n’ont rien donné.

Même si je faisais partie des 0,26 % de personnes qui risquent de mourir, je n’exigerais JAMAIS que les 99,7 % restants de la population renoncent à leurs libertés et à celles de leurs enfants pour que je puisse me sentir un peu plus en sécurité. Ce serait un acte de folie égoïste.

Mais disons pour un moment que nous mettons de côté toute la science qui soutient la position anti-mandat. Et si le taux de mortalité du virus était beaucoup plus élevé ? Et si nous avions affaire au virus Ebola ou à un autre agent pathogène dangereux ? Et si 1 personne sur 100 était à risque ? Et si 1 personne sur 10 était en danger ? La tyrannie médicale et les confinements de masse seraient-ils alors acceptables ? La réponse est non, ils ne le seraient pas.

Pourquoi ? Honnêtement, c’est une question de qui est au pouvoir et qui met en œuvre de tels mandats. Pourquoi devrions-nous avoir une confiance aveugle dans des gouvernements composés d’élitistes et de globalistes corrompus ? Qui sont-ils pour veiller à nos intérêts ? Comment ces personnes sont-elles qualifiées pour protéger la confiance du public ? Ils ne sont pas qualifiés et ne le seront jamais.

Ils ne se soucient pas de nous. Ils ne cherchent qu’à servir leurs propres intérêts et à faire avancer leurs propres agendas. Il suffit de voir à quel point des institutions globalistes comme le Forum économique mondial se sont emballées, qualifiant la pandémie d’« opportunité«  pour faire passer en force leur programme de « Grand Reset ». Ces goules ne sont pas le genre de personnes que le public veut voir en charge de la micro-gestion de leur vie.

Il appartient donc à l’individu de se protéger comme il l’entend, mais l’establishment nous dit que nous ne sommes pas capables de le faire. Nous devons plutôt nous en remettre à leur « meilleur jugement ». Ils sont censés être plus intelligents que nous tous, et en tant que technocrates « bienveillants », eux seuls ont la connaissance et la droiture nécessaires pour déterminer le cours de l’avenir de chaque personne vivante.

Les globalistes comme Gideon Lichfield du MIT nous ont dit exactement quel était le plan en mars 2020 dans un article intitulé « Nous ne reviendrons pas à la normale« . Ils admettent que l’objectif a toujours été d’instaurer des restrictions sur les passeports vaccinaux qui dureront de nombreuses années, voire pour toujours. Extrait de l’article :

En fin de compte, cependant, je prédis que nous rétablirons la capacité de socialiser en toute sécurité en développant des moyens plus sophistiqués d’identifier qui est un risque de maladie et qui ne l’est pas, et de discriminer légalement ceux qui le sont.

… on peut imaginer un monde dans lequel, pour prendre un vol, il faudra peut-être s’inscrire à un service qui suit vos déplacements via votre téléphone. La compagnie aérienne ne serait pas en mesure de voir où vous êtes allé, mais elle serait alertée si vous avez été à proximité de personnes infectées ou de foyers de maladie connus. Des exigences similaires s’appliqueraient à l’entrée des grandes salles de spectacle, des bâtiments publics ou des plates-formes de transport public. Il y aurait des scanners de température partout, et votre lieu de travail pourrait vous demander de porter un moniteur qui suit votre température ou d’autres signes vitaux. Là où les boîtes de nuit demandent une preuve d’âge, elles pourraient à l’avenir demander une preuve d’immunité – une carte d’identité ou une sorte de vérification numérique via votre téléphone, montrant que vous avez déjà récupéré ou été vacciné contre les dernières souches de virus.

Je vous dis que c’est la philosophie classique de presque tous les monstres semi-humains qui ont jamais vécu. C’est l’idéologie des sociopathes narcissiques. La religion des robots sans âme. Certains des plus grands maux connus de l’humanité ont été commis au nom du « plus grand bien du plus grand nombre ». Ce mantra ne peut être toléré en aucune circonstance ; on ne peut le laisser infecter notre nation et supplanter nos valeurs les plus profondes. Parce que si cela se produit, nous pourrions nous retrouver esclaves du système pendant très longtemps.

Comme je le préviens depuis un an, de nombreux gouvernements maintiennent ou réintègrent (dans le cas des États-Unis) des mesures de confinement et de restriction en cas de pandémie, et il devrait être clair pour tout le monde que ce processus circulaire de tyrannie médicale n’est pas prêt de s’arrêter. Il n’est jamais censé se terminer. L’objectif de l’establishment, des globalistes et des gouvernements, est de maintenir les restrictions en place indéfiniment.

Les médias grand public ont constamment attaqué l’affirmation selon laquelle les gouvernements appliqueraient les passeports vaccinaux comme une théorie du complot. Maintenant, ils admettent ouvertement que le plan est d’instituer des passeports vaccinaux et ils le défendent vigoureusement. Ils discutent avec une ferveur avide de la manière dont ils pourraient être en mesure de FORCER ou d’obliger chaque personne à se faire vacciner, même si elle ne le souhaite pas et même si le vaccin ne sert à rien.

J’ai mes propres doutes sur le vaccin, sa finalité et sa sécurité, mais n’oublions pas que le vaccin est au minimum un tremplin vers les passeports vaccinaux. Les passeports sont la clé de tout. Sans les passeports, la tyrannie médicale ne peut être établie. Sans les passeports, ils n’ont aucun moyen de pression sur la population pour dicter les aspects fondamentaux de nos vies. Ils ont BESOIN des passeports afin d’obtenir leur « Grand Reset ». Sans un système de crédit social de type « papiers s’il vous plaît » en place, leur « Reset » s’effondrera.

Il est donc impératif par-dessus tout que les passeports vaccinaux ne soient jamais autorisés à prendre racine. Le programme doit être arrêté et détruit.

Je ne suis pas un « influenceur » majeur dans les cercles conservateurs ou du mouvement de la liberté. Je ne suis pas une grande personnalité de YouTube ou un Juggernaut médiatique. Je n’ai pas le soutien d’une grande entreprise ou des poches profondes pour stimuler une campagne nationale. Je n’aime pas particulièrement parler en public, même si j’ai appris à le faire. Je suis simplement un écrivain qui aime les valeurs de la liberté, les valeurs de la raison et, dans de nombreux cas, les valeurs de la foi qui donnent un sens à l’humanité. Et ce que je vois, c’est un besoin extrêmement sérieux ; le besoin d’une ligne de front organisée contre la tempête de la dictature qui est à notre porte.

Ce que je suggère est simple : une campagne nationale contre les passeports médicaux. Les globalistes, les socialistes et les corporatistes comprennent le concept de « pression » et savent comment l’appliquer pour obtenir ce qu’ils veulent. Je crois que nous devons également apprendre à exercer des pressions dans le sens inverse. Il ne suffit pas de rester assis dans nos maisons, isolés les uns des autres, en sachant que des millions d’autres personnes ressentent la même chose que nous. Nous devons aussi agir.

Nous devons envoyer un message : NOUS NE NOUS SOUMETTRONS PAS !

Je ne suis pas sûr qu’une seule personne ait le « poids » nécessaire pour mener cette campagne seule, et c’est probablement mieux ainsi. Ce qu’il faut, c’est un mouvement de masse uni par des principes, et non un mouvement empêtré dans un culte de la personnalité.

Il existe de nombreuses façons d’y parvenir, des actions simples aux stratégies plus complexes. Tout militant de la liberté peut envoyer un message par le biais de pancartes, d’autocollants pour pare-chocs, de publicités, de panneaux d’affichage, etc., rappelant à l’establishment que nous refuserons de nous soumettre au vaccin ou aux passeports vaccinaux en toutes circonstances. Ils doivent comprendre que rien de ce qu’ils peuvent faire ne nous fera changer d’avis. Rien.

La principale stratégie de la secte Covid a été de travailler avec de grandes entreprises pour exiger des preuves de vaccination (passeports vaccinaux). Nous devons faire savoir à ces entreprises, sans ambiguïté, que nous cesserons tout soutien comme consommateur à leurs activités. Nous ne travaillerons pas pour elles et nous ne leur donnerons pas un centime de notre argent. Au lieu de cela, nous nous adresserons à de plus petites entreprises locales, pour savoir si elles font partie de la campagne « Nous ne nous conformerons pas », et si c’est le cas, nous les soutiendrons à la place. Il est temps de donner une leçon à ces entreprises et de les mettre hors service en retirant notre argent et notre travail de leurs poches.

La stratégie suivante de l’establishment a été de rendre obligatoire la vaccination des fonctionnaires. Encore une fois, les débrayages massifs sont la solution. Laissez-les transpirer en perdant la moitié de leurs effectifs. Et puis peut-être les traîner en justice. Enterrez-les dans des procès tout en étranglant leur capacité à fonctionner.

Finalement, l’administration Biden va tenter de mettre en place des fermetures et des contrôles de vaccins au niveau fédéral. Ce n’est qu’une question de temps. C’est là que l’organisation est vitale. Les comtés et les États à majorité conservatrice et défenseurs des libertés doivent s’unir et dire une fois de plus « Nous ne nous plierons pas ». Si le gouvernement de votre État est de la partie et défie Biden, ce sera encore plus utile, mais ne faites pas l’erreur de croire que les gouvernements des États seront les seuls à vous protéger. Vous devez être organisés au niveau local, avec votre communauté et les entreprises locales prêtes à prendre position. Cela doit commencer maintenant, avant qu’il ne soit trop tard.

Enfin, si la secte Covid décide d’utiliser la force directe comme option, nous devons être prêts à riposter. Sans organisation locale au minimum, se défendre sera difficile voire impossible. Cela signifie qu’il faut faire revenir une vieille tactique des Pères Fondateurs : La milice.

Il y a un temps pour la préparation et un temps pour la prise de risques. Sans risque, il n’y a pas de liberté. Nous approchons rapidement d’un moment où les joueurs et les vrais croyants pourraient décider du sort du monde pour le prochain siècle. Un mouvement populaire et organique doit être rassemblé pour lutter contre la marée montante du totalitarisme. Chacun de nous ne peut faire que sa petite part, mais ensemble, de concert, je crois que nous pouvons arrêter la tyrannie médicale et le Reset dans son élan et même inverser les dommages causés.

Je crois que nous vivons ici, à ce carrefour, pour une raison. Je crois que nous sommes censés être ici, que nous avons la chance d’être les bonnes personnes au bon endroit et au bon moment. Je crois que nous pouvons mettre fin à ce mal, mais seulement si nous osons essayer. Cela commence par un simple geste : Dire au monde « Nous ne nous soumettrons pas ! » Et ensuite, nous devons tenir notre promesse.

= = =

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

ARNm_poison
STOP POISON !!…

« Je me révolte donc nous sommes », lâcher prise et avancer sur le chemin de l’émancipation finale (JBL1960, R71 PDF)

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Résistance 71

14 mars 2021

Dernier PDF compilation / analyse critique en date de Jo dans l’esprit communard que nous espérons resurgir très bientôt à l’occasion du cent-cinquantenaire de la Commune de Paris (18 mars 1871 ~ 18 mars 2021), esprit qui comme nous le verrons très bientôt, ne doit pas être à chercher bien loin, puisqu’il est en nous.
Gilets Jaunes !… Faisons resurgir et remplir sa fonction finale à cet esprit communard, de fait esprit de la société humaine.
Jo nous rappelle la célèbre phrase d’Albert Camus tirée de « L’homme révolté » (1951) : « Je me révolte donc nous sommes. » Plus tôt, en 1942, Camus écrivit « Le mythe de Sisyphe » un essai sur l’absurde. Il y disait ceci au tout début : « Qui de la terre ou du soleil tourne autour de l’autre, cela est profondément indifférent. Pour toute dire, c’est même une question futile. En revanche, je vois que beaucoup de gens meurent parce qu’ils estiment que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue. J’en vois d’autres qui se font paradoxalement tuer pour les idées ou les illusions qui leur donnent une raison de vivre (et en même temps une excellente raison de mourir). Je juge donc que le sens de la vie est la plus pressante des questions. »

Elle l’est toujours Ô combien dans ce monde de l’absurdité et de la toxicité marchandes accomplies. Le sens de la vie passe sans aucun doute par une certaine symbiose avec notre environnement et notre temporalité… Chacun se doit d’y voir plus clair et de refuser les raisons illusoires proposées par un système au bout de son rouleau et son oligarchie agonisante. Debout donc les damnés de la terre ! Il est l’heure…

Mars-1871-Mars-2021-lesprit-communard-de-la-commune-en-marche
(format PDF)


« Je tire ainsi de l’absurde trois conséquences
qui sont ma révolte, ma liberté et ma passion. »
~ Albert Camus, « Le mythe de Sisyphe » ~

CoV19 et dictature sanitaire : de la fumisterie de l’institution « Santé Publique France » et du contrôle bureaucratique…

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Les acteurs dictatoriaux…

 

Note sur la photo ci-dessus: l’ancien directeur scientifique du labo Pfizer, Le Dr Mike Yeadon, a déclaré dans un entretien la semaine dernière que de faux résultats positifs aux tests COVID sont utilisés pour générer et créer une « deuxième vague » bidon de la maladie.
A la question de savoir si les politiques gouvernementales pourraient bien être basées sur des données complètement fausses sur le coronavirus, l
e Dr. Yeadon a répondu par un simple « oui ».
Tout ça n’est qu’une affaire de contrôle planétaire des populations et au passage de gros sous. La question demeure : Jusqu’à quand allons-nous laisser ces ordures agir en toute impunité ?… (Résistance 71 )

 

 

Dictature sanitaire : qui manipule qui ? 

 

Claude Janvier

 

27 septembre 2020

 

Le nouveau festival en technicolor d’Olivier Véran, sinistre de la santé, bat son plein. Pas annulé celui-là… Dommage. Mettez vos lunettes noires, car explosion lumineuse intense. Des départements en gris – presque pas de virus, youpi -, rose bonbon – virus en goguette, attention, muselage en vue -, rouge écarlate – virus courroucé et invasif, houlà-là, dangereux, on ferme – et noir rayé de blanc style bagnard – alors là, mal barré… Tous consignés. Cayenne c’est pas fini chantait Higelin… (1)

Mal lotis les Marseillais. Déjà qu’une sardine leur avait bouché l’entrée du port dans un passé lointain, Olivier Véran vient de décider le couvre-feu pour ce département à « haut risques » selon ses dires. Fermeture des bars, restaurants et salles de sports. Le virus, toujours sélectif, sévit dans les restaurants, mais pas dans les écoles, ni au travail. Sacré virus…

Difficile de s’y retrouver dans ce maelström de nouvelles totalement disproportionnées, ineptes, mensongères et fumeuses. Et tout de monde en rajoute une couche. Même un philosophe, essayiste, gauche caviar répondant au nom de Raphael Enthoven, se permet de traiter de fou le professeur Raoult. C’est vrai que l’opinion d’un philosophe gaucho est plus importante que le savoir d’un virologue reconnu comme l’un des top experts mondiaux.  Enthoven est prêt à tout pour vendre son dernier bouquin… Fuyez-le ! (2)

Mais quittons l’ambiance philosophique germanopratine chère aux essayistes bien dans le moule pour comprendre les décisions chape de plomb concernant la Covid-19.

Qui plombe le cerveau embrumé du ministre de la Santé et du gouvernement ? Telle est la question. Car au-delà de la stupidité et ou de la corruption de certains élus, d’où vient cette avalanche de recommandations rocambolesques, inutiles et surtout destructrices pour l’économie et la vie sociale.

Gros couac dans les chiffres. Les décès annoncés entre l’Insee et Santé publique France ne sont pas les mêmes. Tiens donc ! Qui berne qui ? La faute aux ordinateurs ? On nous a déjà fait le coup. La vérité est donc ailleurs. Vous êtes bien assis ? Un petit café ? Poursuivons :

Insee :

– du 2 mars au 31 mai 2019 (sans le coronavirus), la France avait enregistré 152 000 décès toutes causes confondues.

–  du 2 mars au 31 mai 2020, la France a enregistré 178 700 décès toutes causes confondues.

On peut donc constater une augmentation de 26 700 décès toutes causes confondues.

Donc, il ne peut y avoir en 2020 pour la même période un nombre de décès associés à l’épidémie de Covid-19 se situant entre 25 000 (estimés à partir des données d’état-civil de l’Insee ) et 30 000 personnes. ( chiffre en excès, estimés à partir des données SI-VIC et EHPAD/EMSs ). À moins que subitement, tout le monde meurt du Covid-19. Ce qui, bien entendu, n’est pas le cas.

Les chiffres de l’Insee sont difficilement contestables, donc il semble légitime de se pencher sur l’institution nommée « Santé Publique France ».  Site internet bien élaboré et facile à trouver.  https://www.santepubliquefrance.fr/

Santé publique France est l’agence nationale de santé publique. Créée en mai 2016, – sous François Hollande, alias Flamby le bricoleur – par ordonnance et décret, est un établissement public administratif sous tutelle du ministère chargé de la santé. Sa mission et je cite : « améliorer et protéger la santé des populations. Cette mission s’articule autour de trois axes majeurs : « anticiper, comprendre et agir ».

L’effectif de l’Agence est de 625 agents et son budget pèse près de 200 Millions d’euros en 2019. En 2020 le montant de la dotation versée par l’État est de 150 155 356 M d’euros. Mince alors, ça baisse…

Mais heureusement, une dotation exceptionnelle, la même année, de 860 millions d’euros est accordée à l’agence au titre de la prévention épidémique et la constitution de stock stratégiques. (Stock de quoi… On ne sait pas. Du champagne peut-être ? ) (3)

Bien payé les 625 agents. Car, honnêtement, je ne sais pas ce qu’ils font de tout ce pognon. À part pondre des rapports quotidiens, hyper alarmants tout en se gavant de petits fours, de café et de champagne, les actions concrètes sont absentes. Ce ne sont pas eux qui sont sur le terrain ou dans les hôpitaux. Et devinez qui a signé le premier contrat d’objectifs et de performances (COP) en 2018 de ladite agence ? Une idée ? Non ? L’inénarrable Agnès Buzyn… Et pas loin derrière, en qualité de personnalité qualifiée choisie en raison de ses compétences dans les domaines relevant des missions de l’Agence, le non moins inénarrable Jérôme Salomon. Du lourd…

Le Conseil d’administration compte, outre sa présidente, nommée par décret du président de la République, 32 membres élus pour un mandat de 4 ans, renouvelable une fois. Il se compose de :

4 parlementaires

9 membres représentant l’État

1 représentant des régimes obligatoires d’assurance-maladie

4 représentants des partenaires institutionnels de Santé publique France

3 professionnels de santé

4 représentants d’associations

2 élus représentant les collectivités territoriales

2 personnalités compétentes dans les domaines relevant des missions de Santé publique France

3 représentants du personnel de Santé publique France

Oui, vous avez bien lu comme moi. TROIS médecins sur 32 membres. Le reste ? Des technocrates et bureaucrates, très éloignés du concret de la vie quotidienne. 

Leur site internet est très instructif. Extrait :

 » Nos principes fondateurs

L’action de Santé publique France est-sous tendue à la fois par une éthique, une déontologie, et des principes d’excellence, d’indépendance et de transparence.


John D. Rockefeller…
L’homme qui acheta le système médical
et créa Big Pharma entre 1910 et 1916

L’excellence scientifique et l’expertise collective

Les équipes de l’agence se distinguent par un haut niveau de connaissances et de compétences scientifiques, par leur capacité à produire des rapports, évaluation de risque, avis, expertises, études et interventions en santé, s’appuyant sur des données scientifiquement fiables, vérifiées, probantes, très en lien avec la recherche. L’expertise ainsi produite se doit d’être collective, voire pluraliste, et le plus souvent possible inscrite dans le cadre de la Charte de l’expertise. »

Tout ce flonflon mensonger et lénifiant est remis en cause par les chiffres des décès cités plus haut. Tout ce bourrage de crâne payé à prix d’or avec l’argent de nos impôts est vraiment indécent.

Plus loin, toujours sur leur site internet. Extrait :

 » Réserve sanitaire

Animée par Santé publique France, la Réserve sanitaire est une communauté de professionnels de santé volontaires et mobilisable par l’État (médecins, soignants, techniciens de laboratoire, manipulateurs radio…). Capable d’intervenir dans un délai très court, la Réserve sanitaire tient à disposition un large éventail de compétences pour venir en renfort lors de situations sanitaires exceptionnelles. »

Redoutable efficacité en effet. Urgences saturées pendant le confinement. On reste confondu par l’arrivée « rapide » des renforts pendant cette période. La cavalerie est souvent arrivée trop tard ou pire encore, jamais.

Toujours plus loin sur leur site internet. Extrait :

« La Réserve sanitaire peut être mobilisée rapidement pour des missions généralement courtes : des missions de renfort de l’offre de soins ou médico-sociale, notamment, lorsqu’une situation sanitaire exceptionnelle perdure (épidémie, canicule, afflux de population…) ;

– des missions de rapatriement ou d’évacuation lors de troubles politiques ou des catastrophes naturelles ;

– des missions de renfort de plateaux téléphoniques destinés aux victimes, à leurs proches et à la population ;

– des missions de renfort et de prévention lors de grands rassemblements de populations ;

– des missions d’expertise et de coordination.

La demande de mobilisation est effectuée par une autorité tierce : ministère chargé de la santé, à la demande d’un autre ministère le cas échéant (affaires étrangères, Défense, Intérieur…), ou par une agence régionale de santé. »

Ils ont dû être confinés grave dans l’agence, car parmi toutes les magnifiques mesures énumérées dans ce superbe texte qui m’a presque fait verser une larme, nous n’en avons pas vu une seule qui ait été concrètement mis en œuvre. Pour rappel, pas de masques, pas de gel, pas d’appareils respiratoires, hôpitaux saturés, cliniques privées non réquisitionnées, etc.

Toujours plus loin dans l’esbrouffe. Extrait :

« La Réserve sanitaire est une communauté de professionnels de santé volontaires et mobilisables par l’État (médecins, soignants, techniciens de laboratoire, manipulateurs…)


Allez quoi… Je suis informaticien…
Faites-moi confiance, je sais ce que je fais !
Laissez-moi donc vous piquer…

L’établissement pharmaceutique est un allié incontournable de l’État. Il achète et assure le maintien en conditions opérationnelles de stocks importants de produits de santé susceptibles d’être nécessaires à la population en cas de situation sanitaire exceptionnelle. Il est responsable de la disponibilité permanente de ces produits, quelles que soient les circonstances.

Dans le cadre de la préparation des dispositifs de réponse, l’équipe chargée de l’Établissement pharmaceutique participe à l’élaboration des plans de réponse aux crises (ORSEC, NRBC, ORSAN, etc.)

L’Établissement pharmaceutique peut être sollicité par le ministère chargé des Affaires étrangères dans le cadre d’opérations humanitaires internationales. »

De plus en plus bidonnant et consternant. Pour rappel toujours, pendant le confinement, pas de masques, pas de gel, pas d’appareils respiratoires, hôpitaux saturés, cliniques privées non réquisitionnées, etc. (Oui je sais, je me répète, mais le mensonge est trop énorme.)

Au passage, citons les services annexes de l’agence : bien vieillir, manger et bouger, joueurs-info services, vaccinations info services, tabac info services, sexosafe, agir pour bébé… Tout un tas de mièvres slogans prétendument destinés à rassurer le quidam moyen. Sauf que, concrètement, pour prendre un rendez-vous avec un professeur spécialiste, cela devient un véritable parcours du combattant. Si c’est un rendez-vous urgent, mieux vaut appeler le Samu.

Tous les matins, Oliver Véran, les ministres et le chef de l’état sont noyés sous une multitude de rapports trop souvent gonflés, alarmistes, incomplets et davantage destinés à enfiévrer les cerveaux qu’à les aérer. Le dernier bulletin de l’agence en date du 25 septembre 2020 titrait : Point épidémiologique Covid-19 du 24 septembre : Dégradation de la situation épidémique, tous les indicateurs sont à la hausse.

Difficile pour un ministre bas du front d’y voir clair dans tout ce micmac. La grande presse en rajoute une couche, en interviewant trop souvent des gens s’érigeant en spécialistes de tout et de rien, mais à qui il est de bon ton d’accorder audience. Ca flatte le Bobo et le Blaireau. Qui se ressemble s’assemble…

Il y aurait beaucoup à dire sur Santé Publique France. Leur site internet est une vraie mine d’or pour qui veut bien analyser leurs informations. La supercherie est omniprésente, page après page.

Ajoutez à cette agence centrale, la multitude des agences régionales de santé – ARS -, et vous obtenez une machinerie infernale sur-gavée de budget, pondant des rapports journaliers alarmistes et spécieux plus destinés à plomber notre société plutôt qu’à l’aider. – en 2013, les ARS employaient plus de 9 000 personnes –

Vous vous demandiez d’où provenaient toutes ces mesures coercitives ? Vous avez la réponse. Les technocrates de cette administration œuvrent de concert avec les autres pays européens et ressemblent à s’y méprendre à ceux du CDC américain. – Centers for Disease Control and Prevention – https://www.cdc.gov/

Vous avez compris. Cette dictature sanitaire est mondiale. Les mêmes organismes de la santé régissent tous les gouvernements ou presque, dictent leur loi et vous obligent à obéir à des couvre-feu de plus en plus fréquents et contraignants.

Le problème est que les gouvernements sont incapables d’arrêter ce tourbillon infernal et quotidien.

Nous avons encore le pouvoir de le faire. 

Claude Janvier

(1) https://www.midilibre.fr/2020/09/24/carte-covid-19-cinq-zones-cinq-couleurs-on-vous-explique-comment-sy-retrouver-9093791.php« -9093791.php

(2) https://www.lci.fr/politique/covid-19-coronavirus-pandemie-deuxieme-vague-marseille-est-entre-les-mains-d-un-fou-estime-raphael-enthoven-a-propos-du-pr-raoult-2165511.

(3) https://fr.wikipedia.org/wiki/Agence_nationale_de_sant%C3%A9_publique#:~:text=%C3%A0%20l’activit%C3%A9.-,Budget%20et%20moyens,de%20150%20155%20356%20%E2%82%AC.

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Notre page « Coronavirus, guerre biologique contre l’humanité »

Lectures complémentaires :

Dossier_special_CoV19_ingenierie_sociale_et_dictature_technotronique

Gary_Allen_Le-dossier-Rockefeller

Affaire CoV19 OGM

GDC_Coronavirus_et_spectacle_marchand

Masque_Non-au-muselage-sanitaire

Bill-la-piquouze-Gates-et-son-empire-mondial-de-la-sante

Illegalite_Amendes_non-port_masque

COVID 19_version finale 2020_08_25

 


Avec Bill « la piquouze »…
Big Pharma engrange le flouze…


Avec dame nature et Panoramix…
Rien qui ne se fixe…

 

CoV19, dictature sanitaire et mise en danger des enfants et de la société par déconstruction et reconstruction sociales (Dr Pascal Sacré)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, média et propagande, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , on 16 septembre 2020 by Résistance 71

 

 

Qui met nos enfants en danger, le SRAS-COV-2 ou les mesures de nos gouvernements ?

 

Dr Pascal Sacré

Médecin (1995) urgentiste, anesthésiste / réanimateur hospitalier à Charleroi (Belgique) depuis 2011

 

Les enfants et les adolescents sont-ils concernés par la COVID-19 ?

Port du masque obligatoire pour tous, notamment à l’école pour les enfants et adolescents à partir de 11 ans [1]. Distance sociale obligatoire. Lavements incessants des mains au moyen de gels hydroalcooliques.

Les jeunes doivent rester masqués et se tenir à distance de leurs camarades, sans compter la peur permanente de l’autre entretenue par toutes ces mesures extrêmes.

Plusieurs personnes compétentes, scientifiques, médecins, disent que la pandémie COVID-19 est terminée [2], que nous avons aujourd’hui un nombre élevé de tests PCR positifs parce que trop sensibles [3-4] mais que la maladie COVID, elle, disparaît comme en témoigne la diminution des décès et la disparition de malades graves ou même hospitalisés, notamment en raison des mutations du virus, devenu moins virulent [5-6].

Dans le monde :

Étant moi-même médecin hospitalier en soins intensifs en Belgique, je peux attester de la quasi disparition de la maladie COVID-19.

De plus, comme en témoignent dans cet article [7] les professeurs de pédiatrie Christèle Gras-Le Guen, vice-présidente de la société française de pédiatrie, et Régis Hankard, coordonnateur du réseau de recherche clinique pédiatrique Pedstart, la COVID-19 n’est pas une maladie qui concerne les enfants. 

Ils sont formels : « la Covid-19 n’est définitivement pas une maladie pédiatrique ».

« L’idée qui se dégage de ces observations est qu’il ne faut surtout pas que les enfants fassent l’objet de mesures draconiennes, pénibles à vivre, qui pourraient bouleverser leur quotidien, alors que ce microbe ne les concerne que vraiment très peu. » [7]

Est-ce que porter un masque 8 heures de suite, voir son professeur masqué, être coupé de ses expressions faciales, de son sourire, être incapable d’entendre correctement ses explications, être frustré dans sa sociabilité pourraient correspondre à ces mesures draconiennes, pénibles à vivre qui pourraient bouleverser leur quotidien, alors que ce microbe les concerne à peine ?

Il est important de comprendre, au départ de plusieurs études réalisées dans différents pays que les enfants et les adolescents ne sont pour ainsi dire pas touchés par la maladie COVID-19 et que leur rôle dans la transmission du virus au sein de la population est minime [8-9-10-11].

Dans cette étude réalisée aux Pays-Bas :

« Le nouveau coronavirus est principalement disséminé entre adultes, et des adultes de la famille aux enfants » [12]. 

Pas l’inverse.

« Très peu de cas de transmission (de la COVID-19) ont été observés dans les écoles. » [13]  

Cela est encore confirmé ici : LES ENFANTS NE TRANSMETTENT PAS LE COVID19 :

400 articles confirment tous, sans exception, que la Covid 19 est rare et presque toujours bénigne chez l’enfant, que les enfants de moins de 19 ans ne sont pas contaminés par les camarades d’école mais par les parents à domicile, qu’ils ne contaminent pas les adultes et que le confinement des enfants est responsable de troubles psychologiques comportementaux et sociaux fréquents en plus d’une incidence négative évidente sur leur scolarité.

Comme le dit le docteur et épidémiologiste Antonio Lazzarino (University College London UCL Institute of Epidemiology and Health Care) en réponse à un article paru dans le British Medical Journal [14] (BMJ) :

« Avant d’introduire des mesures cliniques et de santé publique, on doit recenser et décrire tous les effets secondaires potentiels de ces mesures, et seulement ensuite, décider si elles sont plus bénéfiques que délétères. » [15]

Le port du masque facial peut donner un faux sentiment de sécurité [16]. 

Cet avis est partagé par l’Agence de Santé Publique au Danemark [17].

Le port d’un masque entraîne des problèmes d’hygiène qui surpassent largement le bénéfice de cette mesure :

Pour garantir l’efficacité d’un masque, les gens ne doivent pas toucher leur masque, doivent changer ce masque à usage unique fréquemment ou le laver régulièrement et correctement, le placer sur le visage d’une façon étanche, autrement les risques de contamination peuvent augmenter fortement. [18] 

En 2015, une étude [19] s’est intéressée à la fréquence avec laquelle nous touchons notre visage (de manière très souvent inconsciente). Le sujet étudié était alors la transmission d’infections respiratoires et de staphylocoques dorés (bactéries beaucoup plus grosses qu’un virus).

En moyenne, nous touchons notre bouche 4x par heure et notre nez 3x par heure. Cela est augmenté avec le port continu d’un masque vu les irritations et les démangeaisons occasionnées.

Vous imaginez, avec des enfants ?

Cela pose d’autant plus un problème qu’on a montré que le virus SRAS-CoV-2 a tendance à s’accumuler sur la surface extérieure du masque [20]. Le virus va donc se mettre sur les mains et la contamination flambe.

Poursuivons dans cette démonstration que les problèmes liés au port obligatoire et continu du masque par tous, surtout par les enfants et les adolescents, est plus problématique que bénéfique.

Parler avec un masque peut amener à parler beaucoup plus fort, donc à projeter plus loin des gouttelettes au travers de nos masques, ou amener deux personnes à se rapprocher, oubliant la distance requise de deux mètres.

Le port du masque oriente une bonne partie de l’air exhalé vers les yeux, ce qui, en plus de générer une sensation inconfortable, peut amener à toucher davantage encore nos yeux, 3x par heure en temps normal, beaucoup plus avec un masque (source de contamination virale et bactérienne via les conjonctives). 

Si les mains sont contaminées, alors vous le serez au travers de ce geste favorisé par le port du masque, et vous contaminerez tout ce que vous toucherez.

Les problèmes physiques et physiologiques engendrés par le port obligatoire et continu d’un masque.

Plusieurs médecins signalent chez enfants et adultes une recrudescence de problèmes infectieux cutanés (impétigo, infections staphylococciques) et oculaires (conjonctivites) qui sont loin d’être anodins.

Des médecins observent également une recrudescence de problèmes respiratoires de type bronchites asthmatiformes.

Tout cela est lié au port continu du masque.

Quoi que certaines personnes en disent, un masque facial surtout porté en continu rend la respiration difficile. 

Pour les personnes atteintes de bronchopathie chronique obstructive (BPCO), personnes ayant déjà de base, au repos, des difficultés à respirer, les masques deviennent vite insupportables car ils augmentent leur sensation d’étouffement [21].

En outre, une fraction du CO2 expiré est réinhalé à chaque cycle respiratoire. Cet effet négligeable chez une personne en bonne santé peut occasionner des troubles chez des personnes plus fragiles.

La BPCO est caractérisée par un certain degré d’hypercapnie (élévation de la pression partielle du sang en CO2 ou capnie).

Ces deux phénomènes, sensation d’étouffer et élévation de la capnie, peuvent entraîner une augmentation de la fréquence respiratoire et une amplification des mouvements respiratoires, et donc augmenter la quantité d’air inhalé et exhalé à chaque respiration. Cela peut, paradoxalement, aggraver le risque de dissémination du SRAS-CoV-2 si une de ces personnes infectée ou porteuse du virus respire plus fort à cause du masque, ce que nous voulons justement éviter. Surtout, le masque, chez ces personnes BPCO infectées, peut aggraver leur état clinique, leurs efforts inspiratoires plus marqués pouvant introduire plus de matériel viral dans leurs poumons [15].

Il y avait 251 millions de BPCO dans le monde en 2016 [22].

De plus, malgré l’intoxication médiatique prétendant le contraire, oui le port continu d’un masque, encore plus s’il est porté correctement (étanche), pendant des heures, peut entraîner une baisse de la pression partielle du sang en oxygène ou PaO2.

Une étude publiée en 2012 a évalué l’effet du port prolongé du masque chirurgical sur la santé de 53 chirurgiens turques [23].

Il s’agissait de personnes en bonne santé préalable.

Ils ont constaté une augmentation de la fréquence cardiaque et une diminution de saturation pulsée en oxygène (SpO2 reflet de la saturation artérielle) dès après la première heure de port du masque, en comparant aux valeurs prises sans masque. Une faible variation en saturation en oxygène (SpO2-SaO2) peut refléter une large variation de la pression partielle du sang en oxygène (PaO2).

Cette courbe est la courbe de dissociation de l’hémoglobine. La pression partielle en oxygène dans le sang artériel (PaO2) détermine la saturation (SpO2). Une baisse de SpO2 de 10 (100 à 90 %) correspond à une baisse de PaO2 de 40 (100 à 60 mm Hg).

Les chercheurs concluent que leurs résultats montrent l’impact clinique potentiel du port prolongé du masque sur la respiration. 

La diminution de SpO2 était la plus marquée avec les chirurgiens âgés de plus de 35 ans.

Les masques créent un climat humide car l’air expiré est réchauffé et humidifié et cette humidité (vapeur d’eau) est captée puis concentrée par le masque, devant le nez et la bouche. Ce milieu humide est favorable au SRAS-CoV-2 qui reste actif et cela va augmenter la charge virale près du nez et de la bouche.

La première défense de l’organisme face à une agression notamment virale, ou bactérienne, est l’immunité innée. Celle-ci joue un rôle crucial et elle suffit, pour la plupart des gens en bonne santé, pour surmonter une infection, sans recours aux anticorps de l’immunité tardive spécifique. L’efficacité de l’immunité innée est inversement proportionnelle à la charge virale [24]. Plus la charge virale est élevée, plus l’immunité innée risque d’être dépassée.

Vous voyez comme le port continu des masques par tout le monde peut aggraver la contamination plutôt que la réduire ? 

Les éléments suivants sont les plus graves.

Les problèmes psychologiques et mentaux engendrés par le port obligatoire et continu d’un masque.

L’impact psychologique !

Il manque dans les médias ou les rapports gouvernementaux une reconnaissance officielle de tous les effets délétères du port continu d’un masque, comme si le plus important était de tout faire pour amener la population à se laisser masquer, peu importent les conséquences.

Ceci concerne particulièrement les enfants et les adolescents dont le cerveau notamment émotionnel, relationnel, est en plein développement !

Les enfants dépendent largement des expressions faciales pour comprendre et appréhender leur environnement [25].

Cacher la moitié inférieure du visage diminue la capacité à communiquer, interpréter et imiter les expressions de ceux avec lesquels nous sommes en contact. Les émotions positives deviennent moins reconnaissables et les émotions négatives sont amplifiées. 

Le mimétisme émotionnel, la contagion et l’émotivité en général sont réduits ainsi que les liens entre les enseignants et les étudiants, la cohésion de groupe et l’apprentissage – dont les émotions sont un moteur majeur.

Les bénéfices et les risques liés au port continu des masques à l’école devraient être sérieusement étudiés, considérés et rendus clairs et évidents pour tous les professeurs, parents et étudiants [26].

Sur un plan médical, humain, il est grave que nos gouvernants ne fassent pas état de ces complications et n’en tiennent pas compte avant de dicter leurs mesures à la population.

Des alternatives existent au port continu du masque.

Les particules virales présentes dans l’air sont sensibles à la température et à l’humidité ambiantes et sont inactivées par les rayons UV du soleil [27].

Elles seront plus vite diluées à l’extérieur. 

Donner cours à l’extérieur ou dans des cours intérieures est une solution à envisager.

Cela est confirmé dans cette excellente revue à propos des masques, Mask Facts [28], parue sur le site de l’Association of American Physicians and Surgeons. 

Le simple fait d’ouvrir une porte, une fenêtre permet la diminution des gouttelettes d’aérosols de virus de moitié en 30 secondes [29] !

Cela est encore affirmé par 241 scientifiques [30] mettent l’accent sur la nécessité d’assurer une ventilation de l’air correcte sur les lieux de travail, dans les immeubles, les écoles, les hôpitaux et les maisons de repos et de soins.

Ouvrez les fenêtres des classes et des études !

L’impact négatif à court, moyen et long terme des mesures antisociales de nos gouvernements.

Psychologues, psychiatres, pédopsychiatres, médecins généralistes connaissent les effets négatifs des mesures antisociales prises par nos gouvernants sur le développement et la santé mentale des enfants et des adolescents.

Plusieurs articles, études et recherches en attestent.

Dans cet article paru dans le Lancet Child & Adolescent health [31], les auteurs insistent sur l’impact dramatique des mesures d’isolement social sur les enfants et les adolescents.

Ils rappellent à juste titre que les interactions sociales font partie des besoins humains de base [32], comme de manger ou de dormir.

Vraiment, se sentir insuffisamment connecté aux autres est associé avec des conséquences négatives profondes et durables sur la santé physique et mentale, et cela peut même aller jusqu’à induire plus de mortalité [33].

Les effets négatifs des mesures antisociales pourraient affecter profondément les adolescents (âge 10-24 ans) [34].

Les adolescents sont à une période cruciale de leur vie, le type d’environnement social pèse énormément dans de nombreuses fonctions vitales comme le développement correct du cerveau, la construction saine du soi, et la bonne santé mentale [31].

Même des mesures antisociales temporaires peuvent avoir des répercussions négatives profondes et prolongées sur leur développement.

Et une virologue belge comme Erika Vlieghe voudrait garder masqués nos enfants et nos adolescents durant toute l’année scolaire ?

Le docteur Brett Enneking, psychologue pour les enfants au Riley Children’s Health aux Etats-Unis, insiste sur le fait que la partie inférieure du visage joue un rôle important dans le langage, la compréhension des émotions et la communication au sens large chez les enfants [35].

Troubles du sommeil, aggravation de troubles liées à la séparation, cauchemars et anomalies de développement font partie des conséquences à court et moyen terme de cet isolement social.  Certaines de ces complications apparaissent déjà, comme en témoignent des psychologues et des médecins.

D’autres répercussions plus graves sont à craindre, telles que dépression, suicide, décrochages social, scolaire, comme en témoignent les nombreuses recherches sur les conséquences négatives de l’isolement social sur le bon développement de l’être humain.

Il ne s’agit pas d’être anti-masques pour le plaisir de l’être, pour le plaisir de s’opposer à l’autorité sans autre raison, ou juste pour éviter quelques démangeaisons ou irritations.

Cet article documente tous les effets délétères graves que le port continu d’un masque et que les mesures antisociales imposées par nos gouvernants peuvent avoir sur la santé physique et mentale, en particulier des enfants et des adolescents.

Il faudrait donc que ces mesures en vaillent la peine !

Les gouvernants de même que les virologues qui les conseillent ne mentionnent jamais les nombreux effets néfastes de leurs mesures.

Ils ne donnent pas à la population une information complète et honnête.

En résumé

Comme le disent d’éminents pédiatres et les recherches dans plusieurs pays, les enfants et les adolescents ne sont pour ainsi dire pas concernés par la maladie COVID-19. Ils ne sont presque pas atteints eux-mêmes et ne participent à la transmission du virus que de façon négligeable.

Le masque peut engendrer plus de contaminations par plusieurs mécanismes :

  1. En augmentant la tendance à toucher son visage, sa bouche, son nez, ses yeux.
  2. En favorisant la concentration des virus sur la couche extérieure du masque.
  3. En donnant un faux sentiment de sécurité.
  4. En générant des facteurs qui vont neutraliser l’effet protecteur du masque comme de parler plus fort ou de se rapprocher en-deçà de 2 mètres pour se comprendre.
  5. En surpassant les capacités de défense immunitaires innées en raison d’une charge virale plus importante et concentrée par le masque devant les voies respiratoires.

Les conséquences des mesures antisociales imposées, dont le port obligatoire et continu du masque ou la distanciation à outrance, sont néfastes et sérieuses.

Elles sont durables et importantes.

Elles sont physiques : impétigo, conjonctivites, bronchites asthmatiformes, difficultés respiratoires, céphalées (migraines).

Elles sont physiologiques : hypercapnie, hypoxémie, augmentation de la fréquence cardiaque.

Elles sont mentales, peut-être les plus graves surtout à l’âge de l’enfance et de l’adolescence, et comportent des troubles du sommeil, de la communication et de la maturation émotionnelles, de l’apprentissage, du développement cérébral et cela peut aller jusqu’à la dépression et à une surmortalité.

En milieu scolaire, il y a pourtant des alternatives réalisables comme la ventilation des espaces clos et la tenue des cours ou des études dans des espaces ouverts, comme les préaux ou les espaces en plein air.

Enfin, et c’est peut-être ce qui rend le plus le maintien des mesures antisociales du gouvernement incompréhensible et grave, c’est la notion dûment documentée que la pandémie COVID-19 semble disparaître à 5 mois du pic épidémique, comme le montrent les données cliniques (diminution des hospitalisations, des décès et des cas graves dans tous les pays européens) et les données biologiques (mutation du virus SRAS-CoV-2 vers des formes moins virulentes).

Au vu de ces faits, persister dans cette voie antisociale est, comme le souligne cet article de FranceSoir [36], de la maltraitance, en particulier pour nos enfants et nos adolescents.

Nous médecins mettons un principe au-dessus de tous les autres, au-dessus du principe de précaution. 

C’est le principe d’avant tout, ne pas nuire (primum non nocere).

Aujourd’hui, en laissant nos gouvernements appliquer leurs mesures antisociales, ne faisons-nous pas plus de mal que de bien ?

C’est ce que pensent 70 médecins belges qui demandent l’abolition du masque dans les écoles [37].

C’est ce que pensent 70% des sondés dans un journal belge, en disant que les élèves devraient pouvoir enlever leur masque une fois assis en classe [38].

Espérons que ce ne soit qu’un début.

Notes: et sources

[1] “Le port du masque à l’école? Peut-être durant toute l’année scolaire” , estime la virologue belge Erika Vlieghe.  

[2] Lettre ouverte des médecins et des professionnels de la santé à toutes les autorités belges comme aux médias belges. Au 10/09/20 : signée par 238 médecins belges, 804 professionnels belges de la santé, 4327 citoyens

Les médecins se manifestent massivement et exigent l’arrêt immédiat de toutes les mesures coronaviriennes : Dans le monde entier, nous assistons à une campagne de désinformation massive dans les médias grand public, qui mettent de côté tous les principes d’un état constitutionnel démocratique. Alors qu’énormément de collègues médecins présentent des points de vue médicaux différents, on ne les entend à peine dû à une censure sans précédent.

Les informations des experts et professionnels qui présentent une vue différente des choses, sont actuellement presque exclusivement accessibles par recherche ciblée sur Internet ou dans des sources d’information alternatives, et non pas dans les médias grand public.

Pays-Bas

Aux Pays-Bas, des médecins se sont unis et ont rédigé une lettre de protestation adressée à leurs collègues et au gouvernement, mettant en question la proportionnalité des mesures. Cette lettre, signée par plus de 800 médecins, vise à susciter un débat ouvert et sincère sur la manière de faire face à l’épidémie du covid-19. La pétition a désormais été arrêtée.

https://opendebat.info/

Une lettre de protestation de médecins et professionnels dans le domaine de la santé mentale, qui a déjà reçue plus de 2500 signatures.

https://brandbriefggz.nl/

États-Unis

Aux États-Unis un groupe de médecins qui travaillent sur le terrain et voient des patients tous les jours, se sont réunis dans l’organisation America’s FrontLine Doctors (Docteurs Américains de première ligne) et ont donné une conférence de presse qui a déjà été regardée plusieurs millions de fois. À voir absolument.

https://americasfrontlinedoctorsummit.com/

https://www.xandernieuws.net/algemeen/groep-artsen-vs-komt-in-verzet-facebook-bant-hun-17-miljoen-keer-bekeken-video/

Espagne

Une conférence de presse publique avec pour titre « A world dictatorship with a sanitary excuse » (Une dictature mondiale avec une excuse sanitaire) a été donnée par Doctors for truth (Médecins pour la vérité) à Madrid, devant environs 400 médecins et scientifiques.

https://niburu.co/gezondheid/15385-artsen-komen-massaal-met-coronawaarheid-naar-buiten

Allemagne

Un groupe international de médecins a initié des recherches extra-parlementaires suite aux mesures corona « exagérées et oppressantes » dans le but d’interroger mondialement des politiciens et des scientifiques.

https://acu2020.org/

International

Cette initiative de Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, et de Robert F. Kennedy, avocat, entre autres, traite les nombreuses incohérences dans la politique corona et s’adresse aux présidents de l’OMS, de la Commission européenne et du Parlement européen.

https://www.internationalfreechoice.com/

Belgique

Une initiative belge, signée par plus de 1000 médecins et professionnels de la santé. (3 septembre 2020)

http://omgekeerdelockdown.simplesite.com/?fbclid=IwAR2bJAAShAlIidjnRQPyVSoZbk1Uj-FTHAthL77hKX_Oo8aMLN3V6DdwAac

Une lettre ouverte lancée par un groupe de médecins des Cliniques Universitaires St-Luc, UCL-Louvain et qui peut être signée par tout le monde.

https://belgiumbeyondcovid.be/

[3] Pr. Toussaint : « Les tests se retournent contre nous à l’heure actuelle ! »

[4] Coronavirus – Les tests PCR inadaptés contre l’épidémie? « Jusqu’à 90% de personnes testées ne seraient pas contagieuses »

[5] Évolution du SARS-CoV-2 : mise à jour septembre 2020, Hélène Banoun

[6] https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads/2020/04/FD_Raoult_SARS-CoV-2_EID_Sep2020_vL2.pdf , Dramatic increase in the SARS-CoV-2 mutation rate and low mortality rate during the second epidemic in summer in Marseille, IHU

[7] La Covid-19 n’est pas une maladie qui concerne les enfants, 6 septembre 2020, les professeurs de pédiatrie Christèle Gras-Le Guen, vice-présidente de la société française de pédiatrie, et Régis Hankard, coordonnateur du réseau de recherche clinique pédiatrique Pedstart, sont formels : « la Covid-19 n’est définitivement pas une maladie pédiatrique ».

[8] Cluster of Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) in the French Alps, February 2020

[9] No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020 separator commenting unavailable

[10] Transmission of SARS-CoV-2 in Australian educational settings

[11] SARS-CoV-2 infection and transmission in educational settings

[12] Research on the role of children in the spread of the virus aux Pays-Bas

[13] Coronavirus: what researchers know about the risk of reopening schools

[14] Face masks for the public during the covid-19 crisis, BMJ, 9 Avril 2020

[15] Covid-19: important potential side effects of wearing face masks that we should bear in mind, Response to Face masks for the public during the covid-19 crisis, BMJ, 20 April 2020 Antonio I Lazzarino, Medical Doctor and Epidemiologist Steptoe A, Hamer M, Michie S University College London UCL Institute of Epidemiology and Health Care

[16] Conseils sur le port du masque dans les espaces collectifs, lors des soins à domicile et dans les établissements de santé dans le cadre de la flambée due au nouveau coronavirus (‎‎2019-nCoV)‎ ‎

[17] Danemark : ce pays qui ne croit pas aux masques, 7 mai 2020 sur le site Le Point.fr. Le gouvernement danois déconseille d’en porter et les épidémiologistes sont si peu convaincus de leur utilité qu’ils ont lancé une étude sur le sujet.

[18] Desai AN, Aronoff DM. Masks and Coronavirus Disease 2019 (COVID-19). JAMA Published Online First : 17 April 2020. Doi :10.1001/jama.2020.6437

[19] Face touching: A frequent habit that has implications for hand hygiene, Am. J. Infect. Control, 1 Février 2015

[20] Effectiveness of Surgical and Cotton Masks in Blocking SARS–CoV-2 : A Controlled Comparison in 4 Patients, Ann Intern Med, 6 Avril 2020

[21] Kyung SY, Kim Y, Hwang H, et al. Risks of N95 Face Mask Use in Subjects With COPD. Respir Care 2020 ; respcare.06713. Doi :10.4187/respcare.06713

[22] Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), WHO (OMS)

[23] Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery, A Beder & al, Neurocirugia, 2008, 19, pp 121-126

[24] Chen Y, Zhou Z, Min W. Mitochondria, Oxidative Stress and Innate Immunity. Front Physiol 2018 ;9 :1487. Doi :10.3389/fphys.2018.01487

[25] Mask mandates may affect a child’s emotional, intellectual development, Dr. Mary Gillis, 23 juillet 2020. Young children especially rely on facial expressions to understand situations.

[26] Masked education? The benefits and burdens of wearing face masks in schools during the current Corona pandemic, Trends Neurosci Educ. 2020 Sep; 20, 11 août 2020

[27] Simulated Sunlight Rapidly Inactivates SARS-CoV-2 on Surfaces, The Journal of Infectious Diseases, Volume 222, Issue 2, 15 July 2020, Pages 214 222, https://doi.org/10.1093/infdis/jiaa274. Téléchargeable en PDF

[28] Mask Facts, AAPS, Association of American Physicians and Surgeons, 1 Juin 2020.

[29] Small droplet aerosols in poorly ventilated spaces and SARS-CoV-2 transmission, The Lancet Respiratory Medicine, 1 Juillet 2020

[30] It is Time to Address Airborne Transmission of COVID-19, par Lidia Morawska et Donald K Milton, 2020, Published by Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.

[31] The effects of social deprivation on adolescent development and mental health, The Lancet Child & Adolescent Health, Volume 4, Issue 8, 1 Août 2020.

[32] Baumeister RF Leary MR. The need to belong: desire for interpersonal attachments as a fundamental human motivation. Psychol Bull. 1995 ; 117 : 497-529

[33] Hawkley LC, Cacioppo JT. Loneliness matters: a theoretical and empirical review of consequences and mechanisms. Ann Behav Med. 2010; 40: 218-227

[34] Sawyer SM, Azzopardi PS, Wickremarathne D, Patton GC. The age of adolescence. Lancet Child Adolesc Health. 2018; 2: 223-228

[35] Mask mandates may affect a child’s emotional, intellectual development, Dr Mary Gillis, 23 Juillet 2020.

[36] Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance !, 21 Août 2020, par les docteurs G Delépine, chirurgien oncologue et N Delépine, pédiatre cancérologue.

[37] Septante médecins flamands demandent l’abolition du masque dans les écoles: « Une menace sérieuse pour leur développement »

[38] Les élèves devraient-ils pouvoir enlever leur masque une fois assis en classe ? 69,2% des personnes sondées disent OUI.

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Notre page « Coronavirus, guerre biologique contre l’humanité »

Le CoV19 ou plus exactement, le SRAS-COV-2, OGM créé en laboratoire (Caroline du Nord USA) avec des fonds de la CIA et de l’USAID…

Le masque comme rituel de passage vers le Nouvel Ordre Mondial
(Résistance 71 )

 

 

CoV19 et dictature sanitaire… l’illégalité du port obligatoire du masque et la caducité des amendes infligées, lettre de contestation à utiliser (Me Carlo Alberto Brusa)

Posted in actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, désinformation, Internet et liberté, média et propagande, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , on 27 juillet 2020 by Résistance 71

 

 

Résistance 71

 

27 juillet 2020

 

Diffusion de la lettre de contestation des amendes pour non port du masque sanitaire. A DIFFUSER RAPIDEMENT ET SANS AUCUNE MODERATION…

Maître Carlo Alberto BRUSA : « Je vous autorise à imprimer le présent document, à le déposer dans tous les Commissariats et toutes les Gendarmeries, afin qu’il soit donné large écho aux erreurs graves commises par la mise en œuvre d’une répression qui n’a aucun fondement légal ni réglementaire . »

Maître Carlo Alberto BRUSA est Avocat à la Cour, Président de l’Association REACTION 19, Et Président du Cabinet d’Avocats CAB ASSOCIES, Avocats à la Cour.

 

La lettre de contestation en format PDF à imprimer et à diffuser :

Illegalite_Amendes_non-port_masque

 


Non à la dictature sanitaire et technotronique !

Coronavirus… Le Joker nous explique parfaitement comment ça se danse…

Posted in actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, N.O.M, pédagogie libération, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 22 juillet 2020 by Résistance 71

 

 

 

Notre page « CORONAVIRUS, guerre biologique contre l’humanité »

Masque_Non-au-muselage-sanitaire

Dossier-coronavirus-cov19-experience-ingenierie-sociale

Dossier_special_CoV19_ingenierie_sociale_et_dictature_technotronique

HistoriqueCartelPharmaceutique

SARS-CoV_UCN


Bouh !


QG de la guerre biologique contre l’humanité

Coronavirus… « Décrétons l’auto-défense sanitaire » contre la dictature technotronique en marche (Raoul Vaneigem)

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Chaque peuple sous le joug de la machine étatico-capitaliste est en état de légitime défense perpétuel, ces deux entités étant par essence dictatoriales… Il en va de même donc pour la situation sanitaire bien évidemment. La solution à la dictature technotronique qui se met en place depuis des décennies et s’accélère depuis les attentats nucléaires faux-drapeau du 11 septembre 2001, est la confédération des associations libres unies en communes libres, librement coopérant entre elles.
Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir !

~ Résistance 71 ~

 

 

Décrétons l’auto-défense sanitaire

 

Raoul Vaneigem

 

19 mai 2020

 

Source: https://www.lavoiedujaguar.net/Decretons-l-autodefense-sanitaire

 

La menace que le coronavirus a fait planer sur la santé des populations du monde entier a démontré que le véritable danger venait d’une dégradation des services médicaux. Cette dégradation, il n’est pas douteux que les impératifs de profit, partout prédominants, ne cesseront de l’accélérer.

Gérer les hôpitaux comme des entreprises à rentabiliser implique de sous-payer et de surexploiter le personnel, de diminuer le nombre de lits et de moyens techniques. Les grandes firmes pharmaceutiques paralysent la vraie recherche, jettent le discrédit sur les scientifiques qu’elles stipendient, interdisent des médicaments à bas prix qui ont fait leurs preuves pour vendre des vaccins douteux dont la seule efficacité garantie est l’intérêt financier qu’ils produiront.

Il va de soi que les États n’hésiteront pas à réitérer le coup des libertés restreintes, qui leur a si bien réussi. Tout en laissant se répandre les virus issus de la fonte du permafrost, ils se serviront sans scrupule du même prétexte épidémique pour confiner préventivement celles et ceux qui s’insurgent contre leur politique criminelle. Il faut dès maintenant déjouer cette manœuvre.

Il y va de notre vie et de celle de nos enfants : décrétons l’autodéfense sanitaire. Dans les rues, les villes, les campagnes, endossons la blouse blanche du personnel hospitalier. Tous aides-soignants, tous promoteurs de santé !

La morbidité de l’État et des institutions supranationales est permanente. À son encontre imposons, par la permanence et l’intransigeance de nos luttes, le droit imprescriptible à la vie.

Gilets jaunes, noirs, rouges, multicolores ne sont que les habits d’une révolution qui engage l’avenir de l’humanité. La blouse blanche est, plus qu’un symbole, une pratique. Si elle envahit les rues, comment l’État policier en viendra-t-il à bout ?

C’est aux peuples, principales victimes des mesures coercitives et des malversations budgétaires, de créer des conditions capables d’assurer à tous et à toutes la garantie d’éradiquer la maladie dont le capitalisme est le virus le plus implacable. Désobéissance civile, résistance à l’oppression, solidarité festive, y a-t-il meilleurs gages de santé ?

Nous sommes tous des aides-soignants. Le combat est partout où le pouvoir des Communes interdit les pesticides et les nuisances, réinvente l’école, les transports, les structures hospitalières, l’existence quotidienne. C’est un adage médical bien connu, que la plupart des maux se guérissent d’eux-mêmes si on leur donne suffisamment de temps. Nous sommes ce temps-là.

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Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir !

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

 

Coronavirus et verrouillage de la contestation… Les questions sont-elles toujours permises ? Le dogme de la pensée unique toujours appliqué…

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Voilà notre prooooooooojet !…

 

Coronavirus : A t’on encore le droit de s’interroger ?

 

Jean-Yves Jézéquel

 

2 mai 2020

 

Source:

https://www.mondialisation.ca/coronavirus-a-t-on-encore-le-droit-de-sinterroger/5645004

 

Il semblerait que toute pensée ne cadrant pas avec le discours de propagande des médias inféodés au pouvoir « stato-financier » – qui fait sentir en ce moment le poids des incohérences répétitives inhérentes à cette pathologie de la pensée unique, du politiquement correct et du centralisme jacobin qui va de pair en France – toute interrogation, tout bon sens, tout esprit critique, tout regard objectif posé sur la réalité qui nous entoure, seraient interdits et même condamnés par le totalitarisme qui s’est durement installé en ce pays depuis au moins les lois anti terroristes et la constitutionnalisation de « l’état d’urgence » le 20 novembre 2015.

Le choix prioritaire et habituel de la répression arbitraire, sur les plans, judiciaire comme policier, opéré par les régimes politiques successifs, depuis Sarkozy, fait de la France l’un des pays, prétendument « démocratiques », où il y a le moins de libertés publiques et privées, au monde : on n’ose même plus évoquer sa place dans la liste des pays totalitaires ni celle des accusés par la Commission des Droits de l’Homme de l’ONU. (Cf., Indice de démocratie créé en 2006 : la France n’arrive même pas dans les 25 premiers pays considérés comme libres.)

J’ai l’impression que les Français ne se rendent pas vraiment compte que leurs libertés publiques ont été graduellement enterrées jusqu’au point même d’être aujourd’hui massivement « assignés à résidence » comme « des repris de justice ». La répression arbitraire des Gilets jaunes par les violences judiciaires et policières, nous avait démontré que l’étatisation jacobine, au service du « stato-financier » ayant pris le pouvoir grâce au chantage des médias inféodés, pratiquant la falsification et la manipulation, voulait bâillonner la volonté démocratique du peuple et sa revendication légitime à commander un État tenu de lui obéir, comme cela se doit dans une véritable démocratie… 

Une constante de 70% à 72% des Français (ceux qui n’avaient pas voté Macron) soutenaient le mouvement des Gilets jaunes et ce mouvement avait fait des émules sur tous les continents (relisons les informations abondantes données sur les mouvements sociaux surgis partout dans le monde) en « menaçant » ainsi la Terre entière de se transformer par cette pandémie politique malencontreuse, en une grande démocratie planétaire ! Il fallait empêcher ce « malheur » pour « l’aristocratie stato-financière » et mettre fin à cette pandémie politique en organisant une contre-offensive d’envergure.

En France, la volonté acharnée de l’étatisme jacobin au service de la caste financière était bel et bien de mater la révolte, de réprimer, dans le sang et la brutalité des condamnations judiciaires injustes assurées par une magistrature ayant perdu toute indépendance, les deux catégories sociales majoritaires en termes de nombre, celles qui viennent juste après « l’aristocratie stato-financière » et « les élites de la petite bourgeoisie des professions indépendantes ayant fait des études supérieures ». (Cf., E.Todd, « La lutte de classes en France au XXIème siècle » Seuil, 2020) 

Ces deux catégories sociales identifiées par Emmanuel Todd, le bloc central majoritaire des professions intermédiaires, les artisans et les ouvriers qualifiés, paysans et employés qualifiés et le dernier contingent, celui des plus précaires, le prolétariat des employés non qualifiés, constituaient le groupe des 70% de sympathisants avec les Gilets jaunes, les 2% supplémentaires venant s’y ajouter étant des gens de la deuxième classe sociale, celle des intellectuels. 

Puis, après un an et demi de lutte déterminée et inflexible, allant toujours plus loin dans une résistance de plus en plus forte, face à l’autoritarisme étatique, « l’aristocratie stato-financière » se rendait compte qu’elle ne pouvait pas avoir le dernier mot. Ce constat était fait partout dans le monde par ceux qui détiennent le pouvoir, « l’aristocratie stato-financière ». C’est la raison pour laquelle il lui restait concrètement l’unique option possible : celle d’un massacre ayant l’inconvénient majeur de mettre le feu aux poudres d’une guerre civile qu’elle ne pourrait pas gagner, compte tenu des leçons de l’histoire !

C’est alors que la providentielle « pandémie du coronavirus » vint à son secours, grâce au décret de l’OMS qui déclenchait un vaste plan de confinement planétaire ! Tout le monde était ipso facto « assigné à résidence » ; le problème était réglé. Personne ne pouvait plus sortir de chez soi, pas même pour faire une promenade solitaire sur une plage déserte. Au milieu des règles énoncées pour le « confinement », beaucoup d’entre elles n’avaient strictement rien à voir, de toute évidence, avec une motivation sanitaire, avec la réalité de la pandémie elle-même, au regard du bon sens, de l’objectivité, de la raison…

C’est là qu’il était interdit de se poser des questions : nous devions faire preuve de « solidarité nationale » avec le corps des soignants qu’il devenait de bon ton d’applaudir chaque soir à 20h00, puis nous devions écouter « religieusement » la litanie des morts récitée chaque soir par le préposé du ministère de la « terreur programmée ». Enfin, les efforts héroïques des hôpitaux placés en première ligne d’une « guerre » déclarée comme telle par Macron, devaient être « aidés » par notre obéissance civique, cette guerre étant destinée à écraser un « ennemi invisible », non pas le virus de la fable – même si ce dernier était réel et allait répandre son malheur dans bien des familles – mais surtout le virus de la contestation ! La télévision inféodée au système répétait sans cesse comme un « mantra », « sauvez des vies : restez chez vous ! », sous-entendu par conséquent, « celui qui ne reste pas enfermé chez lui est un criminel » ! On imagine alors la « chasse aux sorcières » détestable qui pouvait en découler…

Le ministère de la « terreur programmée » allait donc nous évoquer les Julie A., une Parisienne de 16 ans ; les Vitor, un champion de football portugais de 14 ans ; les Rachel, une jeune Belge de 12 ans ; les Francisco, un entraîneur de football amateur de 21 ans ; les Luca, un Italien de 19 ans qui “était en pleine santé”; un bébé de six semaines né dans le Connecticut…

Les exceptions devenaient soudain la norme, car là était la « réalité » qu’on voulait nous montrer, nous disant au passage, « voyez de quoi nous vous protégeons » ! La panique et l’angoisse attendues étaient au rendez-vous. Des citoyens modèles se mettaient à dénoncer ceux qui auraient l’outrecuidance de ne pas obéir aux injonctions de « l’État innocent, protecteur, providence » ; d’autres iraient même jusqu’à l’intimidation du personnel soignant lui-même au nom de la même terreur et « guerre » menée contre le virus invisible et menaçant de mort toute vie qui passerait à sa portée… 


Entre mensonges et… putain de mensonges 

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : au moment où j’écris ce texte, 0,25% de la population française a été touchée par la maladie, mais 99,75% de la population n’ont pas été atteints par ce virus. On peut donc se poser réellement des questions sur le ton alarmiste des médias, les comptes rendus anxiogènes, les descriptions apocalyptiques faites sans arrêt dans les médias officiels et la justification d’un « confinement » radicalisé pour échapper à la mort tout en prétextant « soulager le système de santé » d’ailleurs mis à mal par les mêmes prédateurs du capitalisme ultra libéral depuis 20 ans !

Concernant ce COVID-19, seules les personnes les plus vulnérables étaient visées, la moyenne d’âge qui a été calculée étant de 79 ans, en France : poumons affectés, asthme, système immunitaire défaillant, malades du sida, ceux dont les traitements affaiblissent les défenses, comme les patients en chimiothérapie, les personnes âgées, les diabétiques, les malades du cœur ou du foie, les personnes atteintes d’hypertension, d’une maladie des reins ou sous dialyse, également les personnes souffrant d’obésité. 83% des personnes hospitalisées dans l’hexagone en réanimation ont été des obèses.

Puisque nous nous posons des questions interdites, demandons-nous si le régime macron pouvait sciemment décréter, au nom de l’OMS, un « confinement » de masse sans savoir à l’avance que cela provoquerait une destruction massive elle aussi de toute l’économie en plaçant d’office des millions de gens supplémentaires dans une précarité absolue sans nom, dans un malheur pire que celui engendré par le COVID-19 lui-même ? Là, ce ne sont pas les 0,25% de la population qui sont impactés, mais plutôt les quatre cinquièmes de la population !

Le désastre économique est bien là sans que ce pouvoir n’ait la moindre envie d’organiser ce qui serait l’occasion de sortir de la logique capitaliste ultra libérale qui a été la cause de tous nos maux, y compris celui du COVID-19 et du « confinement » qui a des conséquences encore plus néfastes que la théorique pandémie elle-même… 

Il est clair que l’intention de « l’aristocratie stato-financière » au pouvoir, est bien celle de créer une dette telle qu’il sera désormais impossible d’en jamais sortir, pour l’immense bienfait du système bancaire à la fête. Il est évident que nous allons nous retrouver, à travers ce qui est imaginé par ces prédateurs au pouvoir, dans une dette ad vitam aeternam, car impossible à rembourser ; Notre « salut » viendra par la banque ; d’énormes capitaux seront déversés sur l’économie prise en otage, moyennant des conditions « annexes », comme celles d’une soumission encore plus grande à un système verrouillé de contrôle absolu sur les personnes. 

Enfin, « Big Brother » pouvait réaliser ce qu’il avait si ardemment rêvé : enfin voici que « Big Brother vous regarde », enfin « les brigades » de la pensée et de la conformité pourront patrouiller à travers le territoire et pourchasser les récalcitrants ou les divergents ; enfin le « ministère de la vérité » pourra proclamer que la « guerre déclarée par Macron », c’est la « paix », que notre « liberté c’est notre esclavage », que notre « ignorance volontaire c’est la force » du pays tout entier ! (Cf., G.Orwell, 1984) Enfin, il n’y aura plus que les citoyens soumis d’un côté et les « conspirateurs » coupables de l’autre

Ce chef-d’œuvre du manichéisme est celui de la caste de « l’aristocratie stato-financière » qui s’est emparée illégalement du pouvoir, depuis au moins le 20 septembre 1992, lorsque nous avons accepté par référendum le traité de Maastricht, célébrant notre entrée dans l’euro, puis répétitivement depuis cette époque à travers les présidentielles qui sont venues confirmer cette décision malheureuse, comme on l’a expliqué dans un article du 8 mai 2017 (Élections présidentielles en France. Falsification, mensonges, trahison : colère !, Mondialisation.ca).

Le référendum du 29 mai 2005, disant « non » à cette catastrophe ne serait pas respecté et l’avis du peuple ne compterait plus en rien à partir de ce moment-là. La dictature de l’UE était alors scellée et nous avions perdu toute souveraineté. Ce qui arrive donc aujourd’hui est la suite logique de cette tromperie historique.

Mais, dans de telles conditions, la résistance s’organise toujours et le projet des prédateurs allait s’en trouver bien vite contrarié. 

Alors il fallait impérativement clouer le bec de ce Pr. Didier Raoult qui venait là comme un cheveu sur la soupe proposer son traitement « bon marché », ne faisant pas l’affaire de « l’aristocratie stato-financière » au pouvoir. Tout à coup, le médicament « coupable » de troubler la fête des lobbies de l’industrie pharmaceutique allait être interdit, il était même déjà déclaré « préventivement », par Agnès Buzyn, comme faisant partie des « poisons » depuis janvier 2020, comme si les médicaments de la pharmacopée allopathique n’étaient pas tous des poisons ! Pourtant la molécule de base de ce traitement avait rendu de loyaux et bons services à l’humanité depuis les années 1940 !  Les médecins eux-mêmes, traités comme des enfants, ne seraient pas autorisés à le prescrire, sous prétexte bidon que les « essais randomisés » n’avaient pas été faits… Enfin, la comédie pathétique que tout le monde connaît désormais, tellement elle nous a sidérés !

Dans l’Union Européenne, les Espagnols et les Italiens allaient au final adopter un traitement proche ou identique au protocole du Pr Raoult interdit en France et ils allaient déclarer qu’à partir du moment où ce protocole avait été adopté, les hospitalisations avaient massivement diminué. Ce fut encore le cas pour bien d’autres populations dans le monde, mais il est bien connu que « nul n’est prophète en son pays » ! Pourtant, une fuite d’information nous a permis d’apprendre que l’armée française s’était dotée d’hydroxychloroquine et d’azithromycine achetées en Chine pour soigner ses troupes et constituer une réserve opérationnelle en cas de besoin ! 

Voilà une autre question que l’on est en droit de se poser : au nom de quoi le protocole du Professeur Raoult peut-il donc être formellement interdit en France ? 

Nous avons entendu tous les argumentaires possibles et imaginables sur les télévisions inféodées du système, avec la même rengaine déconcertante d’une absence de bon sens. Disons-le tout de même, un très grand nombre de médecins se sont passés de l’avis des « experts » du Gouvernements qui donnaient la forte impression de n’avoir plus pratiqué la médecine de terrain depuis 20 ou 30 ans !

Que peut imaginer dès lors le citoyen ordinaire, concernant ces charlatans de la politique qui prétendent diriger le pays ?

De plus, on apprend peu à peu, par bribes d’une timidité quasi gênée aux entournures, que les essais « prestigieux », « randomisés » du Test Européen Discovery, n’auraient pas été concluants et qu’ils auraient même été carrément « décevants » ! Il faut citer ici le nom de Karine Lacombe qui doit rester dans toutes les mémoires et être associé désormais en même temps que devenir synonyme à lui tout seul d’un nouveau «malleus maleficarum» de la médecine inquisition contre la médecine de terrain au service des personnes malades !

Le « Panoramix » de Marseille étant si populaire auprès des « Gaulois réfractaires », la macronie au pouvoir, armée de tous ses a priori, pousserait donc « l’Ordre des médecins » à sanctionner le « druide » tenant tête au « César » du nouvel empire désireux de « soumettre » toute la Terre à sa loi de domination et de profit comme d’un règne sans partage… Mais, bien vite, l’Ordre des médecins aurait d’autres chats à fouetter, grâce à l’intervention inopinée de la Cour des Comptes s’étant penchée sur son cas…

Alors, nous avons été nombreux à nous poser des questions et nous continuons à nous poser les questions qui interpellent toute intelligence naturelle, comme le bon sens. Je renvoie le lecteur à l’article du docteur Pascal Sacré : Opération COVID-19: Tester le degré de soumission des peuples. Activation de nos interrupteurs de paranoïa, Mondialisation.ca, le 26 avril 2020.

Je renvoie encore le lecteur à l’écoute du « Coup de gueule du philosophe André Comte-Sponville sur l’après-confinement », France Inter du 14 avril 2020 à 17h10.

Comment peut-on raisonnablement comprendre un « confinement » radicalisé assorti d’une répression disproportionnée par une police aveugle, ne pratiquant aucun discernement, ne comprenant rien à la réalité des règles de la vie qui demeurent supérieures à celles dictées par une aristocratie stato-financière, illégitime de surcroît, et parfaitement criminelle ?

Pourquoi cette stratégie de la terreur, de la peur, de l’angoisse, de la tétanie mentale ? Quel genre de société peut naître d’une telle idéologie de la peur ?

Pourquoi cette mafia étatique a-t-elle organisé mondialement le massacre de l’économie, puisque rien n’est pensé à cette occasion pour sortir du capitalisme qui était le problème à résoudre ? Pourquoi a-t-elle organisé la précarisation forcée de millions de personnes, la pauvreté absolue et la faim qui va redevenir une réalité de la société moderne du XXIème siècle ? Pourquoi a-t-elle organisé le massacre ? Quelle est donc la suite du programme, si ce n’est pas la mise en place d’un système de contrôle permanent verrouillé grâce à un chantage devenu aisé, pesant désormais sur chaque individu prié de se soumettre à une surveillance de chaque instant au nom de la légitimité à survivre en ce monde « Big Brotherisé » ?  

Avons-nous encore le droit de nous poser toutes ces questions ?

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Notre page « CORONAVIRUS, guerre contre l’humanité »

Dossier spécial PDF sur le CoV19 « Caroline du Nord »

Notre dossier « dictature technotronique »

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Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir !

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

 

Coronavirus : l’agenda derrière le « verrouillage universel »… En sortir ou en mourir

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , on 4 mai 2020 by Résistance 71

 

 

La farce et l’agenda diabolique d’un “verrouillage universel”

 

Peter Koenig

 

28 avril 2020

 

Source de l’article en français:

https://www.mondialisation.ca/la-farce-et-lagenda-diabolique-dun-verrouillage-universel/5644828

 

D’abord, il y a la farce, un gouvernement (presque) universel ment dans le monde entier au sujet d’un virus mortel, l’OMS, nommé COVID-19. La décision d’un verrouillage mondial – littéralement pour l’effondrement de l’économie mondiale – a déjà été prise lors de la conférence du Forum économique mondial (FEM) à Davos, du 21 au 24 janvier 2020. Le 30 janvier, l’OMS a déclaré que COVID-19 était une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC). À cette époque, il n’y avait que 150 cas connus de COVID-19 en dehors de la Chine. Il n’y a aucune raison de déclarer une pandémie. Le 11 mars, le Dr Tedros, DG de l’OMS, a transformé la PHEIC en pandémie. Cela a donné le feu vert pour le début de la mise en œuvre du « Plan ».

La pandémie était nécessaire comme prétexte pour stopper et faire s’effondrer l’économie mondiale et le tissu social sous-jacent.

Ce n’est pas une coïncidence. Il y a eu un certain nombre d’événements préparatoires, tous orientés vers une catastrophe historique monumentale à l’échelle mondiale. Tout a commencé il y a au moins 10 ans – probablement bien avant – avec le tristement célèbre rapport Rockefeller de 2010, qui a décrit la première phase d’un plan monstrueux, appelé scénario « Lock Step » (étape de verrouillage). Parmi les derniers préparatifs de la « pandémie », il y a eu l’Événement 201 (Event 201), qui s’est tenu à New York le 18 octobre 2020.

L’événement était parrainé par le Centre de santé publique Johns Hopkins, la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) et le Forum économique mondial (FEM, Davos), le club des riches et des puissants qui se réunit chaque année en janvier à Davos, en Suisse. Un certain nombre de produits pharmaceutiques (groupes d’intérêt pour les vaccins), ainsi que les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) des États-Unis et de la Chine y ont participé.

L’un des objectifs de l’événement 201 était une simulation informatique d’une pandémie de coronavirus. Le virus simulé était appelé SARS-2-nCoV, ou plus tard 2019-nCoV. Les résultats de la simulation ont été désastreux : 65 millions de personnes ont été tuées en 18 mois et la bourse a chuté de plus de 30 %, entraînant un chômage et des faillites sans précédent. C’est précisément le scénario que nous vivons aujourd’hui depuis le début de la crise.


Obéissez !… Pour votre bien…

Le scénario « Lock Step » (verrouillage ou confinement) prévoit un certain nombre d’événements ou d’éléments épouvantables et inquiétants du plan qui sera mis en œuvre par l’Agenda ID2020, une création de Bill Gates, entièrement intégrée dans les objectifs de développement durable (SDG) des Nations unies – date cible d’achèvement – 2030 (également appelé Agenda 2030, l’agenda caché inconnu de la plupart des membres des Nations unies), la même date cible d’achèvement de l’Agenda ID02020.

Ici, juste les éléments clés en tant que précurseur de ce que le monde vit actuellement, et de ce qui est à venir, si nous ne l’arrêtons pas – pour démontrer comment cette imposture entièrement criminelle a été planifiée. Certaines parties du scénario le sont:

  • Un programme de vaccination massive, probablement par le biais de la vaccination obligatoire – le rêve et l’idée de Bill Gates est de vacciner 7 milliards de personnes.
  • Une réduction massive de la population, un plan d’eugénisme – en partie par la vaccination et d’autres moyens (Réf. Bill Gates, « si nous faisons un vrai bon travail de vaccination, nous pourrions réduire la population mondiale de 10 à 15 % ». Voir « Innovating to Zero ! », discours prononcé lors de la conférence annuelle TED2010, Long Beach, Californie, 18 février 2010). Bill Gates défend depuis des années la nécessité d’une réduction massive de la population. En effet, depuis plus de 20 ans, les vastes programmes de vaccination de la BMGF en Afrique, en Inde et dans d’autres endroits du monde ont enregistré un record de stérilisation involontaire des femmes entre 14 et 49 ans. Voir En 2014 et 2015 : le Kenya a mené un programme massif de vaccination contre le tétanos, parrainé par l’OMS et l’UNICEF.
  • Une identification électronique pour chaque personne sur la planète – sous la forme d’une nano-puce, éventuellement injectée en même temps que la vaccination obligatoire. Cette nanopuce pourrait être téléchargée à distance avec toutes les données personnelles.
  • De l’argent numérisé, plus d’argent liquide.
  • Déploiement universel de la 5G, suivi plus tard par la 6G.

Cela conduit à un contrôle total de chaque individu sur la planète. Il est vendu au public sous le nom d’Internet des objets (IdO, en anglais Internet of Things), ce qui correspond à des voitures à conduite automatique, de l’équipement de cuisine robotisé, l’intelligence artificielle (IA) pour la production et la livraison de tout produit. Ce que le discours de vente ne dit pas, c’est comment les humains seraient marginalisés et réduits en esclavage. Pour faire avancer ce plan directeur, il faut des ondes électromagnétiques à haute fréquence. Par conséquent, le déploiement de la 5G est indispensable, quel que soit l’impact sur la santé des hommes, de la faune et de la flore – et quelle que soit son influence sur les infections virales, comme peut-être l’actuel COVID19.

L’OMS reste silencieuse, bien qu’elle admette qu’aucune étude officielle indépendante n’a été réalisée sur les dangers de la 5G – et des champs électromagnétiques en général. Cela signifie-t-il que l’OMS est cooptée par les Grands et les Puissants dans ce baratin mortel ? – Qu’il suffise de dire que, contrairement aux autres agences de l’ONU, l’OMS a été créée en 1948 par la Fondation Rockefeller (RF) – voir The Lancet. Il convient également de noter qu’environ la moitié du budget de l’OMS provient de sources d’intérêt privées, principalement de l’industrie pharmaceutique, mais aussi d’autres sources, comme les géants des télécommunications.

C’est un signe avant-coureur pour comprendre comment les choses sont planifiées. Il peut aider à relier les points ensemble pour voir ce qui est à venir.

Il peut également nous aider à comprendre ce qui se passe actuellement, dans la première phase du scénario « Lock Step » (confinement). Il dépeint clairement la nature criminelle de l’obscure État profond.

Peu importe le krach boursier – c’est un syndrome de spéculateur, les risques des riches, car la bourse est une invention occidentale pour jouer avec le capital et les gains en capital au détriment des travailleurs, dont la vie dépend du travail de ce capital. Ils sont les premiers à partir, lorsque le Big Money (le pouvoir financier) appelle à une fusion – ou à une faillite.

Aujourd’hui, la quarantaine quasi universelle et justifiée par RIEN, le verrouillage complet de toutes les entreprises, petites ou grandes – restaurants, construction, tourisme, petites et grandes quincailleries, boulangeries, compagnies aériennes, transports -, l’interruption des chaînes d’approvisionnement – usines, transformation des aliments – et cela continue encore et encore.

Dans les pays du Nord (développés), jusqu’à 90 % des transactions commerciales proviennent de petites et moyennes entreprises (PME). La quasi-totalité d’entre elles sont aujourd’hui fermées. Deux tiers ou plus d’entre elles pourraient ne plus jamais ouvrir. Les employés et les travailleurs sont licenciés ou réduits à un travail à temps partiel, c’est-à-dire à un salaire à temps partiel – mais ils doivent quand même subvenir aux besoins de leur famille. La pauvreté et le désespoir s’installent et se généralisent. Aucun avenir en vue. Les taux de suicide vont augmenter – voir la Grèce lors de la crise de 2008-2009 – et jusqu’à dix ans plus tard – et on verra des familles ruinées, des saisies, des familles expulsées des appartements loués parce qu’elles ne peuvent plus payer leur loyer. La mendicité dans les rues devient normale, sauf qu’il n’y a plus personne pour donner un centime.

En Europe, un tiers au moins de la population active, voire plus de 50 % selon le pays et la structure de la main-d’œuvre, devrait être au chômage ou réduit à un travail à temps partiel. Et ce n’est qu’un début. Aux États-Unis, les chiffres officiels du chômage dépassent les 23 millions à l’heure actuelle – et devraient, selon les prévisions de la FED, Goldman Sachs, Bloomberg – atteindre entre 32 et 40 % au cours du prochain trimestre. Les faillites pourraient devenir insurmontables.

Le FMI prévoit pour 2020 une contraction de l’économie mondiale de seulement 3 % – et un faible taux de croissance dans la dernière partie de 2021. C’est tout à fait ridicule! – Sur quelle planète se trouvent ces gens ? Qui essaient-ils de tromper, et pourquoi ? Peut-être pour encourager les pays à emprunter d’énormes quantités de devises étrangères à ces institutions destructrices de Bretton Woods (au FMI et à la Banque mondiale) – pour s’endetter infiniment en pensant qu’avec les prévisions du FMI, tout ira bien ? – Pour les réduire davantage en esclavage par la tromperie ?

C’est le Nord global (Global North) – qui dispose d’une sorte de filets de sécurité sociale, aussi fragiles soient-ils – il y a une lueur d’espoir de soulagement. Une autre lueur d’espoir se construit sur les prémisses que l’humanité ne cessera de créer – en travaillant ingénieusement, en inventant – en avançant comme un fleuve coulant vers de nouveaux horizons, en créant de nouvelles dynamiques, de nouveaux emplois… oui, c’est ce que l’humanité peut faire – et dans notre confort, nous avons oublié cette vertu – une vertu essentielle pour la survie – la survie de la crise du coronavirus.

Le Sud global (Global South)- ou les pays en développement – présente une histoire plus sombre. Dans des circonstances normales, un tiers à la moitié de l’économie est informelle, c’est-à-dire qu’elle n’est soumise à aucune norme d’organisation formelle ou juridique. Ce sont des travailleurs temporaires, des travailleurs journaliers, des travailleurs horaires – vivant au jour le jour, sans épargne, sans filet de sécurité – et dans la plupart des cas sans couverture médicale. Ils sont laissés aux caprices du « marché », au sens propre du terme. Maintenant, le marché s’est effondré.

Il n’y a plus rien. Pas de travail, pas de revenu, pas d’argent pour payer la nourriture, le loyer, les médicaments – et le gouvernement leur ordonne, à eux les plus démunis, de rester « chez eux » – « enfermés » en quarantaine – pour se protéger d’un virus, un virus imposé que personne ne voit, mais le gouvernement et les médias veillent à ce que vous soyez conscients – et EFFRAYÉS – de ses dangers, vous ne savez jamais si c’est vrai ou faux.

Confinement à « domicile » ? – Où est la maison ? La maison est partie. Pas d’argent pour payer le loyer. Gardez une distance sociale – ne vous réunissez pas. Restez à l’écart. L’infection pourrait se propager. La peur est essentielle.

Prenez une ville comme Lima, au Pérou. La population totale du Pérou est d’environ 30 millions d’habitants. Lima, environ onze millions – dont 3 à 4 millions vivent en marge de la société ou en dessous du seuil de la pauvreté- dans des bidonvilles, ou pire. Travailleurs journaliers ou horaires. Ils vivent parfois à plusieurs heures de leur lieu de travail. Aujourd’hui, il n’y a plus de lieu de travail. Ils n’ont pas d’argent pour payer la nourriture, le transport ou le loyer – les propriétaires les mettent à la rue, les expulsent de leurs propriétés. Comment peuvent-ils rester confinés ? Comment peuvent-ils prendre soin d’eux-mêmes en étant mis en quarantaine – enfermés – sans abri, sans nourriture – cherchant désespérément à gagner juste assez d’argent pour survivre un jour de plus – et peut-être pour partager avec leur famille ? Ils ne le peuvent pas.

La protection par confinement (sic-sic) est réservée aux riches. Les pauvres, eux, meurent de faim avec leurs enfants et leurs familles – et peut-être aussi du coronavirus. Ils vivent dans des cercles de pauvreté et de misère, où il n’y a rien à épargner. Personne ne possède rien. Même pas en solidarité. Il n’y a tout simplement rien. Une privation totale, causée par un arrêt économique total – imposé au monde et surtout aux pauvres par des hommes diaboliques – et peut-être aussi par des femmes diaboliques.

Ces 3 à 4 ou 5 millions de personnes, elles sont toutes venues à un moment ou à un autre des provinces rurales, pour lesquelles le gouvernement ne fait rien, ou pas assez pour les aider. En quête d’une vie meilleure, ils abandonnent leurs « chacras » (petites parcelles de terre) et partent pour la grande ville – au paradis – où ils sont condamnés à vivre dans une plus grande misère que leurs maigres installations rurales. Ils endurent cela – toujours avec espoir. Aujourd’hui, la crise du Coronavirus provoquée par les hommes a rendu la vie encore pire, bien pire pour eux. Il n’y a pas ou très peu de subventions gouvernementales – ou alors elles arrivent trop tard ou se perdent dans la corruption.

Ils se rassemblent par solidarité. Ils doivent retourner dans leur province d’origine, dans leurs chacras, dans leur famille, où ils trouveront un abri et de la nourriture, où ils pourront à nouveau se sentir « chez eux » et aimés ou du moins accueillis.

Un gouvernement dictatorial de type militaire les empêche de partir – pour des raisons de sécurité, bien sûr – ils peuvent infecter d’autres personnes, – la farce continue. Et personne ne dit « peep ». Personne n’ose le faire, de peur d’être enfermé. Il y a la brutalité policière – bâtons, gaz lacrymogènes – la répression – et retour à nul part où s’abriter – il n’y a pas de nourriture. Jusqu’à ce que le gouvernement central tout-puissant décide d’ »organiser » le rapatriement – par bus, mais il n’y a pas assez de moyens, ni d’organisation – le chaos s’installe – et le sort s’aggrave – et combien peut-il s’aggraver ? La famine frappera, les rendra de plus en plus faibles, plus sujets aux maladies et à la mort – non pas de la COVID19 , mais de la famine. Mais selon les statistiques, ces décès seront automatiquement attribués, sur ordre des maîtres, à la pandémie de Coronavirus. Naturellement. C’est ce qui se fait ailleurs, dans le Nord global. Pourquoi pas dans le Sud ?

Lima n’est qu’un exemple parmi d’autres – il représente probablement la plupart des pays d’Amérique latine, à l’exception du Venezuela, du Nicaragua et de Cuba. Dans ces derniers pays, au centre de la misère, il existe encore un sentiment de solidarité unissant le peuple. Le gouvernement est aux côtés du peuple, mais les gens souffrent davantage, à cause des sanctions occidentales. Les gens sont littéralement assassinés par les sanctions occidentales – d’abord par États-Unis, un état   génocidaire.

Le New York Times (22 avril 2020) rapporte : « Au lieu du Coronavirus, la faim nous tuera ». Une crise alimentaire mondiale se profile à l’horizon. Selon les experts, le monde n’a jamais été confronté à une telle urgence alimentaire. Le nombre de personnes confrontées à la faim aiguë pourrait doublé pour atteindre 265 millions à la fin de cette année.

Par ailleurs, d’après le New York Times :

« À Kibera, le plus grand bidonville de Nairobi, au Kenya, les habitants vivent déjà dans une extrême pauvreté. Des gens voulant désespérément manger ont déclenché une émeute de la faim lors d’une récente distribution de farine et d’huile de cuisine, faisant de nombreux blessés et deux morts ».

« En Inde, des milliers de travailleurs font la queue deux fois par jour pour obtenir du pain et des légumes frits afin de lutter contre la faim.

« Et à travers la Colombie, les familles pauvres accrochent des vêtements rouges et des drapeaux à leurs fenêtres et balcons pour indiquer qu’ils ont faim. »

« Contrôlez le pétrole et vous contrôlez les nations ; contrôlez la nourriture et vous contrôlez les gens. »  Henry Kissinger

Cela nous rappelle la fameuse citation de Kissinger des années 1970 sur la famine,

« Qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens », poursuit la citation,

« Qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. »

Kissinger, comme les Gates, les Rockefeller sont « bien intentionnés » : Ils n’ont jamais caché leur volonté de réduire la population mondiale sous une forme qui rappelle l’eugénisme, en  » éradiquant la pauvreté « , par exemple par la vaccination – à commencer par l’Afrique. M. Gates a récemment proposé d’essayer son nouveau vaccin à effet corona en Afrique – ce à quoi même son copain, le Dr Tedros, directeur général de l’OMS, a protesté.

La pandémie de coronavirus a apporté la pauvreté et la famine à des millions de personnes dans le monde. Et il n’y a pas de fin à l’horizon.

Au contraire, il semblerait que presque tous les gouvernements soient cooptés ou contraints tacitement à adhérer aux « lignes directrices ».

C’est à la fois diabolique et incompréhensible. Pourquoi ?  Les « élites mondiales » croient vraiment qu’elles contribuent à l’avenir et au bien-être de l’humanité. Pourtant, leurs actions ont entraîné une misère abjecte, du chômage et du désespoir.

Sans de telles mesures coercitives, il serait difficile d’expliquer pourquoi presque tous les gouvernements de la planète se soumettent à cet horrible programme social et économique – et mentent, mentent, mentent abjectement – à leur population. Ceux-là même qui sont censés protéger contre le chômage, la famine et le désespoir.

Dans les circonstances « normales » de l’inégalité prédatrice de notre planète, quelque 9 millions de personnes meurent chaque année de la faim et de maladies liées à la famine. Ce chiffre pourrait augmenter de façon exponentielle. Peut-être des dizaines de millions, voire plus.

La famine et les décès dûs à la famine pourraient être encore plus importantes, causés par des pénuries alimentaires provoquées artificiellement, ou par des sécheresses ou des inondations – résultant d’un changement climatique délibérément provoqué par l’homme – non pas par l’augmentation de la température causée par le CO2, dont on parle ridiculement, mais par le système avancé HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) de l’US Air Force.

« Pendant la guerre du Vietnam, des techniques d’ensemencement des nuages ont été utilisées à partir de 1967 dans le cadre du projet Popeye, dont l’objectif était de prolonger la saison des moussons et de bloquer les routes d’approvisionnement ennemies le long de la piste Ho Chi Minh ».  Aujourd’hui, le système HAARP a été perfectionné et militarisé. Selon le document de l’US Air Force AF 2025 Final Report, la modification du temps (pour usage militaire) :

« offre au combattant de guerre un large éventail d’options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire …

La modification des conditions météorologiques fera partie de la sécurité nationale et internationale et pourrait être effectuée unilatéralement… Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives et même être utilisée à des fins de dissuasion. La capacité de générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur terre ou de modifier la météo spatiale… et la production de météo artificielle font toutes partie d’un ensemble intégré de technologies [militaires] ».

Dans le cadre du programme de vaccination forcée proposé par la Fondation Gates, ceux qui refusent la vaccination pourraient, par exemple, ne pas pouvoir voyager.

La misère abjecte qui est délibérément imposée à l’humanité devient de plus en plus visible. Outre l’anéantissement des biens des gens et des entreprises, c’est la pauvreté et la famine…

Il n’existe aujourd’hui aucun tribunal de type Nuremberg, honnête, éthique et suffisamment puissant pour tenir les élites mondiales responsables et les traduire en justice.

Nous, les peuples, devons prendre les rênes de ce changement de paradigme en cours.

Nous, le peuple, devons sortir de ce verrouillage atroce.

Non pas par la confrontation, mais avec sagesse et savoir-faire. Laisser les forces féroces de l’ennemi renforcer notre faiblesse – et nous faire vaincre.

Un bon général n’aime pas l’agression

Un bon guerrier ne connaît pas la haine

Si vous voulez conquérir votre ennemi, ne l’affrontez pas.

Mettez-vous en dessous de lui

C’est ce qu’on appelle le pouvoir de ne pas se battre

Il s’agit d’utiliser la capacité des hommes

Depuis les temps anciens, on l’appelle ainsi pour être en harmonie avec le ciel,

Et c’est la plus grande puissance qui existe (Tao 68).

= = =

Notre page « CORONAVIRUS, guerre contre l’humanité »

Notre article du 27 mars 2020 : « Coronavirus, l’oligarchie lance une guerre biologique ouverte contre l’humanité »

« Le coronavirus SRAS-COV-2 créé à l’université de Caroline du Nord »

 


Kissinger + Gates = Apocalypse eugéniste

Crise artificielle du coronavirus : quand la cible est l’humanité et surtout ses réfractaires au Nouvel Ordre Mondial

Posted in actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 30 avril 2020 by Résistance 71

 

 

L’État masqué

 

Miquel Amoros

 

25 avril 2020

 

source de l’article en français: https://www.lavoiedujaguar.net/L-Etat-masque

 

La crise actuelle a engendré plusieurs tours de vis dans le contrôle social étatique. L’essentiel dans ce domaine était déjà bien en place puisque les conditions économiques et sociales qui prévalent aujourd’hui l’exigeaient. La crise n’a fait qu’accélérer le processus. Nous participons contraints et forcés en tant que masse de manœuvre à un essai général de défense de l’ordre face à une menace globale. Le Covid-19 a servi de prétexte au réarmement de la domination, mais une catastrophe nucléaire, une impasse climatique, un mouvement migratoire imparable, une révolte persistante ou une bulle financière incontrôlable auraient tout aussi bien fait l’affaire.

Mais la cause la plus importante et vraisemblable est la tendance mondiale à la concentration du capital, ce que les dirigeants appellent indistinctement mondialisation ou progrès. Cette tendance est corrélée avec le processus de concentration du pouvoir, renforçant ainsi les appareils étatiques de maintien de l’ordre, de désinformation et de répression. Si le capital est la substance d’un tel œuf, l’État est sa coquille. Une crise qui met en danger l’économie mondialisée, une crise systémique, comme on dit maintenant, provoque une réaction défensive presque automatique, et réactive des mécanismes disciplinaires et punitifs déjà existants. Le capital passe au second plan et c’est alors que l’État apparaît dans toute sa plénitude. Les lois éternelles du marché peuvent prendre des vacances sans que leur vigueur en soit altérée.

L’État prétend se présenter comme la planche de salut à laquelle la population doit s’agripper lorsque le marché s’endort dans la tanière de la banque et de la bourse. Tout en travaillant au retour à l’ordre ancien, c’est-à-dire, comme disent les informaticiens, en essayant de créer un point de restauration du système, l’État joue le rôle d’un protagoniste protecteur, bien qu’en réalité il ressemble plus à un bouffon maquereau. Malgré tout, et quoi qu’il en dise, l’État n’intervient pas pour défendre la population ni même les institutions politiques, mais pour défendre l’économie capitaliste, et donc pour défendre le travail dépendant et la consommation induite qui caractérisent le mode de vie déterminé par cette dernière. D’une certaine manière, il se protège d’une éventuelle crise sociale résultant d’une crise sanitaire, c’est-à-dire qu’il se défend contre la population. La sécurité qui compte vraiment pour l’État n’est pas celle des personnes, mais celle du système économique, ce que l’on appelle généralement la sécurité « nationale ». Par conséquent, le retour à la normalité ne sera pas autre chose que le retour au capitalisme : aux HLM et aux résidences secondaires, au tumulte de la circulation, à l’alimentation industrielle, aux transports privés, au tourisme de masse, au panem et circenses… Les formes extrêmes de contrôle comme le confinement et la distance entre les individus prendront fin, mais le contrôle se poursuivra. Rien n’est transitoire : un État ne désarme pas volontairement ni ne renonce de bon gré aux prérogatives que la crise lui a accordées. Il se contentera de « geler » les moins populaires, comme il l’a toujours fait. Gardons à l’esprit que la population n’a pas été mobilisée, mais immobilisée, il est donc logique de penser que l’État du capital, plus en guerre contre elle que contre le coronavirus, tentera de s’en laver les mains en lui imposant des conditions de survie de plus en plus antinaturelles.

L’ennemi public désigné par le système est l’individu désobéissant, l’indiscipliné qui ignore les ordres unilatéraux venus d’en haut et le confinement, refuse de rester dans les hôpitaux et ne garde pas ses distances. Celui qui n’est pas d’accord avec la version officielle et qui ne croit pas à ses chiffres. Il est évident que personne ne reprochera aux responsables d’avoir laissé le personnel sanitaire et soignant sans équipement de protection, et les hôpitaux avec un nombre insuffisant de lits et d’unités de soins intensifs, ni aux gros bonnets d’être responsables du manque de tests de diagnostic et de respirateurs, ni aux chefs administratifs d’avoir négligé les anciens des maisons de retraite. On ne pointera pas du doigt non plus les experts de la désinformation, les hommes d’affaires spéculant sur les fermetures, les fonds vautours, ceux qui ont profité du démantèlement de la santé publique, ceux qui font du commerce avec la santé ou les multinationales pharmaceutiques… L’attention sera toujours détournée, ou mieux télécommandée vers d’autres aspects : l’interprétation optimiste des statistiques, la dissimulation des contradictions, les messages gouvernementaux paternalistes, l’incitation souriante à la docilité des personnalités médiatiques, le commentaire humoristique des banalités qui circulent sur les réseaux sociaux, papier toilette, etc. L’objectif est que la crise sanitaire soit compensée par un degré plus élevé de domestication. Que le travail des dirigeants ne soit pas remis en cause d’un iota. Que l’on supporte le mal et qu’on ignore le rôle de ceux qui l’ont déchaîné.

La pandémie n’a rien de naturel ; c’est un phénomène typique du mode de vie malsain imposé par le turbocapitalisme. Ce n’est ni le premier ni le dernier. Les victimes le sont moins du virus que de la privatisation des soins de santé, de la déréglementation du travail, du gaspillage des ressources, de l’augmentation de la pollution, de l’urbanisation galopante, de l’hypermobilité, de l’entassement concentrationnaire métropolitain et des aliments industriels, en particulier ceux issus des macro-exploitations, endroits où les virus trouvent leur meilleur foyer de reproduction. Toutes conditions idéales pour les pandémies. La vie qui dérive d’un modèle d’industrialisation où commandent les marchés relève déjà de l’isolement : pulvérisée, contingentée, techno-dépendante et sujette à la névrose, autant de qualités qui favorisent la résignation, la soumission et la citoyenneté « responsable ». Nous sommes dirigés par des inutiles, des incompétents et des incapables ; pour autant l’arbre de la bêtise gouvernante ne doit pas nous empêcher de voir la forêt de la servitude citoyenne, la masse impuissante disposée à se soumettre inconditionnellement et à s’enfermer dans la poursuite de l’apparente sécurité promise par l’autorité étatique. Laquelle ne récompense généralement pas la fidélité, mais se méfie des infidèles. Et, pour elle, potentiellement, nous sommes tous des infidèles.

D’une certaine manière, la pandémie est une conséquence de la poussée du capitalisme d’État chinois sur le marché mondial. La contribution orientale à la politique consiste principalement en sa capacité à renforcer l’autorité de l’État jusqu’à des limites inimaginables grâce au contrôle absolu des personnes par le biais d’une numérisation totale. À ce genre de compétence bureaucratique-policière on pourrait ajouter l’habileté de la bureaucratie chinoise à mettre la pandémie au service de l’économie. Le régime chinois est un exemple de capitalisme tutélaire, autoritaire et « ultra-productiviste » engendré par la militarisation de la société. C’est en Chine que la domination aura son futur âge d’or. Il y aura toujours des attardés pusillanimes pour se lamenter sur le « recul de la démocratie » qu’entraîne le modèle chinois, comme si ce qu’ils appellent ainsi avait été autre chose que la forme politique d’une période obsolète, celle qui correspondait à la partitocratie complaisante à laquelle ils participaient volontiers jusqu’à hier. Eh bien, si le parlementarisme commence à être impopulaire et malodorant pour la majorité des dirigés, et par conséquent, s’il devient de moins en moins efficace comme outil de domestication politique, c’est en grande partie dû à la prépondérance du contrôle policier et de la censure, acquise en ces temps nouveaux, sur les magouilles des partis. Les gouvernements ont tendance à utiliser les états d’alerte comme un outil régulier de gouvernement, car les mesures concernées sont les seules qui fonctionnent correctement dans les moments critiques. Mais elles masquent la fragilité réelle de l’État, la vitalité de la société civile et le fait que ce n’est pas la force qui entretient le système mais l’atomisation de ses sujets mécontents. Nous sommes dans une phase politique où la peur, le chantage émotionnel et les big data sont indispensables pour gouverner, les partis politiques se révélant moins utiles que les techniciens, les communicants, les juges ou la police.

Voilà ce qui devrait nous préoccuper le plus maintenant : la pandémie n’est pas seulement l’aboutissement de certains processus de longue date, telles que la production industrielle alimentaire standardisée, la médicalisation sociale et la gestion autoritaire de la vie quotidienne. Elle engendre également des progrès considérables dans le processus de numérisation sociale. Si la malbouffe en tant que régime alimentaire mondial, l’utilisation généralisée de remèdes pharmacologiques et la coercition institutionnelle sont les ingrédients de base du gâteau de la vie quotidienne postmoderne, la surveillance numérique (coordination technique des caméras vidéo, reconnaissance faciale et traçage des téléphones portables) est la cerise sur le gâteau. On récolte ce qu’on a semé.

Lorsque la crise sera passée, presque tout sera comme avant, mais le sentiment de fragilité et d’inquiétude demeurera plus longtemps que ne le souhaiterait la classe dirigeante. Ce malaise de la conscience entamera la crédibilité de la victoire des ministres et des porte-parole, mais il reste à voir si cela pourra les chasser du fauteuil où ils se sont installés. Mais s’ils devaient garder leur siège, l’avenir de l’espèce humaine resterait entre les mains d’imposteurs, car une société capable de prendre en main son propre destin ne peut jamais se former au sein du capitalisme et dans le cadre d’un État. La vie des gens ne suivra pas les chemins de la justice, de l’autonomie et de la liberté sans se détacher du fétichisme de la marchandise, sans apostasier la religion étatiste, ni sans déserter les grandes surfaces et les églises.

Miquel Amorós

Confiné chez lui,

à son grand regret,

le 7 avril 2020.

Traduit de l’espagnol

par les Giménologues,

14 avril 2020.

Texte d’origine :

El Estado con mascarilla.

= = =

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir !

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

 


Société des sociétés…