Liste non-exhaustive de vidéos de médecins anti-vaccins
Anonyme
4 avril 2021
Note de Résistance 71 : Certaines de ces vidéos ont sans doute déjà été censurées, nous invitons les lecteurs à sauvegarder celles qui peuvent encore l’être pour futur référence, la guerre de l’info et la censure font rage. Ce blog en est une victime parmi des centaines d’autres. Si l’internet permet de toucher une plus vaste audience, rien ne remplace le contact de proximité et la dissémination de l’information de bouche à oreille, sous le manteau ou au grand jour… Il est IMPOSSIBLE de faire taire à 100% une dissidence, tout pouvoir autoritaire, toute coercition la plus soft soit-elle contient en elle-même sa résistance. Il ne fait aucun doute pour nous que la voix de la raison prévaudra en tout et avec elle, l’humanité dans sa forme achevée émancipée de la dictature étatico-marchande et sa énième mutation en cette entité de gouvernance mondiale supranationale nommée « Nouvel Ordre Mondial » par l’oligarchie en place. Messieurs/dames de la pourriture et de la dégénérescence marchande, rendez-vous, vous êtes cernés !
Anesthésiste, j’exerce la médecine de soins intensifs depuis 17 ans et ce n’est pas fini.
J’ai été licencié par un hôpital où je travaillais depuis 9 ans sans aucun problème, pour mes opinions et leur expression, par écrit.
Pour la direction de cet hôpital, cette liberté fondamentale dans une démocratie est une faute grave.
Je suis ici pour vous dire d’arrêter de les écouter.
Restaurateurs, ouvrez vos restaurants.
Directeurs d’école, professeurs, ouvrez les écoles et enseignez dans les classes comme avant, sans masques, sans gel et sans distance sociale.
Magasins, faites-le aussi.
Si quelqu’un est malade, vraiment, s’il tousse ou s’il a des difficultés à respirer, alors qu’il reste à la maison et consulte son médecin généraliste.
Oui, nous pouvons revivre comme en 2018, oui, et c’est un médecin réanimateur qui a vu le COVID en face qui vous le dit !
Il est temps, compatriotes, confrères, collègues, amis, ennemis, gens, de tous âges et professions, que vous entendiez une autre voix, une autre approche, un autre son de cloche.
Sortez, respirez, prenez de la vitamine D, du zinc, marchez, vivez, tenez-vous dans vos bras.
Je connais quelqu’un d’âgé qui commençait la maladie de parkinson et que le seul fait d’être retourné voir ses enfants et petits-enfants, enfin, est redevenu comme avant, sans aucun tremblement !
Ecoutez les médecins, les généralistes qui vous disent qu’il y a beaucoup à faire pour tuer les virus, pour se protéger et éviter d’aller à l’hôpital. À ces conditions, OUI ! Il est possible de revivre comme avant, sans masque, avec des écoles et des lieux de vie ouverts !
Que ces quelques personnes stupides ou payées pour le dire arrêtent de vous faire croire que nous ne sommes que quelques médecins éparpillés, un peu fous ou inconscients !
Non, loin de là, nous sommes nombreux, des médecins très sérieux dont certains, professeurs ou ancien recteur d’université !
Cessez d’écouter des gens, même dits « experts », qui ne proposent que trois choses, se masquer, se confiner, attendre, attendre la mort ou un poison présenté comme un vaccin.
Ceci est l’appel du 29 novembre, après l’appel du 18 juin, mes compatriotes, ne vous trompez pas de guerre, ne vous trompez pas de cible, policiers, juges, militaires, agents du maintien de l’ordre, soyez du bon côté, du côté des gens, de la vie, de l’espoir, ne vous laissez pas tromper !
Sortez, respirez, sans masques, enseignez, ouvrez les bars, les restaurants.
Et vous, politiciens, médecins spécialistes, soyez dignes de votre mission, dites la vérité, toute la vérité, donnez les moyens aux hôpitaux de travailler correctement !
Laissez les médecins de première ligne prescrire et soigner.
La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.
Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie. En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique.
Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État. Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première.
Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil Scientifique de l’Élysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.
Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400 000 morts, renchérissant sur les 200 000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur.
Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2.
L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact. Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse.La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée.
Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place.
La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.
Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement.
Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter.
Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible. Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.
Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse. Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ?
Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes.
Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.
Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le mais transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés).Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie. C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.
Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.
Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.
La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus. »
Nous relayons l’appel au soutien de Jo au Professeur Vincent Pavan, professeur de mathématiques à l’université d’Aix-Marseille, suspendu de ses fonctions d’enseignant pour avoir retiré son masque en classe et incité ses élèves à en faire autant.
La littérature abonde aujourd’hui pour affirmer que le port du masque obligatoire est une décision politique et n’a pas de sens sanitaire avéré en la circonstance actuelle de la « pandémie » liée au SRAS-CoV-2 alias CoVID-19(84).
Rappelons que le 15 juillet dernier, suite à l’annonce de Micronus 1er sur le port du masque obligatoire, nous avions publié notre analyse sur « Le masque, rite de passage vers le Nouvel Ordre Mondial », qui depuis est entré dans le top 3 de nos articles lus sur ce blog pour l’année 2020. L’affaire Pavan sera pour l’oligarchie une autre immolation par l’exemple. Les « déviants » doivent être étiquetés, ostracisés avant d’être bientôt engoulagués. Ainsi va la vie en dictature accomplie. Notons également au passage que cela fait bien des années que nous affirmons qu’il n’y a de fait aucune différence entre la république et un régime totalitaire dur hitlérien, mussolinien, stalinien ou maoïste… Tout n’est qu’une question de degré. Sarkozy, Hollande et maintenant Macronus ne font que le prouver depuis plus d’une décennie. La nature, l’essence même de l’État est la répression car il n’est que l’outil coercitif du maintien du pouvoir séparé du corps social, depuis devenu marchandise et vendu au plus offrant. Rien de nouveau sous le soleil.
Pourtant… Il suffit simplement, tout simplement de dire NON ! Ensemble !…
Voilà, la Messe est dite ! Maintenant nous savons clairement, tout ce que nous supputions, depuis le début de cette « crise » provoquée, volontaire, en nous posant bien des fois la même question : « Mais à qui donc profite ce désastre sans nom, cette hécatombe programmée, ce massacre organisé détruisant tous les secteurs de la vie économique, politique, sociale, individuelle, sans proposer une autre manière de vivre en harmonie avec la Terre ? »
L’ensemble des articles publiés dans Mondialisation.ca sur toutes les questions gravitant autour de la COVID-19, représente un dossier exhaustif, détaillé, exceptionnel, de données, d’informations et d’analyses qui, dès le début, de cette « crise », voyait juste, quant aux « non-dits » de cette affaire, quant à la partie immergée de l’iceberg qui venait soudainement saborder la vie politique, économique et sociale de tout l’Occident, en achevant sans scrupules les acquis de la liberté pour les peuples.
Relevons que cette tentative de meurtre voulait en tout premier lieu entraîner avec elle la Chine et la Russie. Il faut souligner aujourd’hui, que ce bloc de l’Est a su mettre vigoureusement en échec la destruction programmée pour l’imposition d’un Nouvel ordre mondial dont le programme a si bien été détaillé par le FEM (Forum Économique Mondial). Bien évidemment, nous trouvons les chiens de garde habituels qui, assumant leur mission, n’ont pas manqué de décrier les méthodes « dictatoriales » de la Chine et de la Russie, mais sans savoir vraiment ce que font la Chine et la Russie dans le secret de leur résistance à l’hégémonie occidentale, autour de la question COVID-19. C’est un autre sujet à lui tout seul, qui mériterait une enquête de fond…
( Cf., Le Forum économique mondial (FEM) vient de publier (octobre 2020) un livre blanc intitulé « Resetting the Future of Work Agenda – in a Post-Covid World” (Réinitialiser l’agenda du travail de demain – dans un monde post-covidien). En français voir : Le Sommet pour la réinitialisation de l’emploi – FEM )
Tout ce que nous avons découvert dans le film « Hold-Up », coréalisé par Pierre Barnerias et Christophe Cossé, présenté comme une synthèse sur l’histoire de ce « massacre coronavirus », a été accusé avec une violence inouïe, de « reportage complotiste » et censuré sans ménagement dans tous les médias qui sont aux mains des quelques patrons milliardaires de l’aristocratie stato-financière au pouvoir, fondamentalement engagée dans ce « coup d’État sanitaire » pour le triomphe indiscutable de la société Orwellienne enfin presque advenue.
Lorsqu’un grand homme, au-dessus de tout soupçon, Arnaud Mercier, professeur en sciences de l’information et de la communication à l’Université Panthéon-Assas, commente le fait « indubitable » de la « Fake news complotiste » dans ce reportage construit sur « les règles du journalisme authentique », il souligne indirectement le fait que, seule la « factualité » est la règle de la « vérité journalistique » et que ce reportage, en quelque sorte, pèche gravement en se référant beaucoup plus à « l’existentialité » ! Arnaud Mercier dit : « Plus le système, que ce soit le monde politique, les scientifiques ou les médias, cherche à s’opposer à la factualité, plus certains vont y voir la preuve que ce que dit le documentaire est digne d’intérêt ou digne de foi. »
En réalité il traite de « rumeur » le contenu même de ce reportage et par définition, une « rumeur » est mensongère ! Je renvoie le lecteur à mon article « Coronavirus : un délire collectif », posté le 31 août 2020 sur ce même média indépendant, qui montrait justement que la « rumeur » était le fondement du délire collectif engendré par les décisions unilatérales du pouvoir macronien en France, avec la complicité de ses motivations conscientes et inconscientes de volonté de puissance. Précisément, la « rumeur » n’est pas applicable à ce reportage authentiquement anti-complotiste, mais justement à ce qui a permis les incohérences volontaires des mesures gouvernementales toutes prises à huis-clos, sans concertation aucune avec les autres instances du pouvoir et des contre-pouvoir!
Puis, notre professeur d’Assas explique le fait d’une adhésion massive à ce reportage par la question de la « croyance idéologique ». Les gens adhèrent à cette démonstration parce que ce discours « correspond » à ce qu’ils ont envie de « croire » ! La « factualité » est donc relativisée selon cette présentation des choses et par le fait même c’est « l’existentialité », la réalité existentielle qui est clouée au pilori. Car, dans notre monde, il n’y a de place qu’à la réalité factuelle dite par le seul autorisé à la proclamer : le pouvoir. Chacun doit se poser la question : « Qui décide ce qui relève du factuel et ce qui relève de l’existentiel ? »
Aucun journaliste, quel qu’il soit, ne peut prétendre à la pure objectivité : tout récit journalistique passe par le filtre existentiel, le vécu, le ressenti de la personne humaine qui fait son travail d’informateur. L’objectivité pure et simple d’un discours « factuel » au-dessus de tout soupçon, n’existe pas, (il est d’ailleurs inintéressant en soi) et le fait de le prétendre tranquillement en regardant de haut les pauvres « croyants complotistes », donne la certitude que le « politiquement correct », la « pensée unique », « la vérité révélée du pouvoir médiatique en place », via, dans ce cas un professeur de l’Université – qui elle, vous le savez, est garante du dressage étatique – sont les pires mensonges que même la « rumeur » est incapable d’égaler ! L’Université représente le pouvoir de la pensée contrôlé par l’État. Ses serviteurs sont donc conformes à son projet de formatage des intelligences et des consciences. Or, tout pouvoir se prévaut d’une « innocence », sans quoi il ne serait pas pouvoir. Tout pouvoir se dit « innocent », « le vrai et le bien », faute de quoi personne ne pourrait se soumettre à lui. Comment peut-il prétendre à une telle « vertu » ? En se basant implicitement, sans le dire, sur une matrice théocratique fantasmatique lui donnant sa « légitimité » indiscutable. (Cf., sur l’analyse d’Arnaud Mercier,voir ladepeche.fr, le 16 novembre 2020)
On peut donc adresser la même critique aux commentateurs zélés défendant les « élites » de la bien-pensance, en les renvoyant à leur « complotisme » spécifique : celui de la vérité révélée par le pouvoir impliquant une transcendance, celle de l’État qui est le « Pontife infaillible » de la société laïque.
Conclusion : entre la « réalité factuelle » et la « réalité existentielle », c’est la réalité existentielle qui l’emporte, car c’est elle qui traduit précisément le vécu des personnes qui sont confrontées à la réalité. La « réalité factuelle » n’a aucun intérêt en soi, car elle ne dit rien à personne, elle est figée, parole morte dans le discours des sectateurs du dogme de la « révélation » étatique. Ce n’est pas ce que « dit le pouvoir » qui est important, c’est ce que vivent les personnes réelles qui est important ! Voilà pourquoi « Hold Up » l’emporte sur le discours officiel des « élites » qui s’agitent avec violence contre le « complotisme imposteur » des insoumis et des contestataires de la parole sacrée de l’État Pontife. Les serviteurs dévoués du pouvoir, considèrent ainsi logiquement ce reportage « Hold-Up » comme blasphématoire et réagissent avec fanatisme !
Voilà aussi pourquoi, dans les médias collaborateurs des « autorités », on a eu le droit à une avalanche de menaces, de censures intempestives, de condamnations, et d’une volonté de criminaliser la parole critique, le ressenti des personnes, ressenti accusé d’être « rumeur », mensonge, c’est-à-dire hérésie au regard du dogme tout puissant de la révélation étatique et donc passible de la répression inquisitoriale et du bûcher, lynchage médiatique et persécution moderne du récalcitrant ! On a appris que Pierre Barnerias était non seulement censuré et rejeté de partout, mais harcelé par les limiers de Bercy et subissant tous les tracas administratifs classiques lorsque l’on veut faire crever rapidement un empêcheur de tourner en rond ou un lanceur d’alertes… Cet acharnement du système contre un journaliste indépendant ne peut être pris que pour un aveu confirmant toujours plus la vérité de ce qui a été dénoncé…
Edgar Morin disait : « Toute contestation d’une affirmation officielle ou d’une croyance largement répandue est désormais considérée comme « complotiste » . (Edgar Morin, sur Twitter, le 14/11/2020)
Faisant partie des « élites » qui, selon Laurent Alexandre, fondateur de Doctissimo, doivent éliminer purement et simplement les « inutiles », les réactionnaires violents de LREM et les commis d’office de la « bien-pensance », se sont mobilisés pour hurler au scandale, pour écumer de rage contre ce reportage insurrectionnel, et débiter les mesures de répression qui seront prises contre tous ceux qui se laisseront aller à rejeter le conditionnement de la peur ; contre tous ceux qui oseront n’avoir pas peur ou plus peur ; contre tous ceux qui seront considérés comme criminels ayant osé penser autrement que les dieux qui nous gouvernent !
(Nota Bene : Selon Emmanuel Todd, ces « inutiles » dont parlent les « élites », sont constitués de tous ceux qui font partie de la classe des professions intermédiaires : de certains intellectuels et professions indépendantes, les artisans et les ouvriers qualifiés, paysans et employés qualifiés. Cette catégorie sociale n’a pas la conscience d’exister en tant que classe, car elle est informelle et très diversifiée dans ses structures. Puis, le prolétariat, l’essentiel des Gilets jaunes (composé aussi d’un grand nombre de personnes de la classe précédente), regroupant les ouvriers et les employés non qualifiés, avec leur fraction importante d’immigrés. Ce prolétariat se pense très clairement ouvrier, défavorisé, opprimé, Français mais exclu. C’est surtout dans ces deux classes sociales maudites que se « recrutent » les « complotistes » et « inutiles » ou « hérétiques » pour la bien-pensance. Les Bobos et l’aristocratie stato-financière ne représentent que 28% de la population. Le problème majeur qui se pose aux « élites » c’est que les « complotistes » se recrutent majoritairement dans le groupe le plus important de la société : 72% !)
C’est ce qui explique en bonne partie pourquoi les défenseurs de la classe au pouvoir se mettent dans tous leurs états pour essayer de discréditer ceux qui osent n’avoir plus peur en encourageant un grand nombre de leurs concitoyens à ne plus répondre aux injonctions de la peur et à une salutaire et résolue désobéissance civique !
Nous avons désormais en mains, tous les critères qui nous permettent de comprendre cet acharnement et comment les « élites » sont tout à fait prêtes à aller jusqu’à construire des camps dits de « quarantaine et d’isolement » pour les positifs de la COVID-19 et qui sont donc ouvertement des « camps de concentration » pour « l’isolement » des contestataires, comme il en est déjà question au Canada. Le parlementaire Randy Hillier a posé des questions claires et précises sur l’appel d’offres du Gouvernement fédéral pour les « camps d’isolement/quarantaine » en Ontario. (Cf., https://www.youtube.com/watch?v=AzWLlfwfD4Y )
En France on a entendu parler d’un « Guantanamo » français qu’il faudrait construire et qui devrait servir à mater toute rébellion contre les autorités politiques, sanitaires et « scientifiques » ! C’est, même au simple stade de l’évocation d’une éventualité, quelque chose de sidérant et de réellement abject !
Nous voyons surgir de ces « élites » une pensée typiquement « nazie » et des réflexes typiquement « nazis » de répression et d’élimination… Il est vrai que c’est parfaitement inquiétant d’entendre un Laurent Alexandre, déjà cité, affirmer publiquement et devant une assemblée de jeunes étudiants, future « élite » de la France : « Il faut éviter la multiplication des Gilets jaunes, ce sont des êtres inutiles et substituables ! »
La formulation est odieuse et si nous souhaitons, en effet, qu’il n’y ait plus de Gilets jaunes, parce que tous auraient les mêmes chances et les mêmes droits dans une solidarité, une liberté, une justice et une fraternité, la motivation du fondateur de « Doctissimo » est tout autre : elle est criminelle, elle exprime l’élimination de gens qui sont inutiles et que l’on peut remplacer par des robots par exemple ! L’être humain est humilié dans ce discours et l’arrogance représentative de cette « élite » est insupportable. Le mépris est destructeur, il est meurtrier !
Chacun doit prendre conscience que cette espèce de « renouveau » d’un « eugénisme » de classes s’est réveillée et que les « élites » ont organisé un monde dans lequel il n’y a plus de place pour les pauvres, pour ceux qui ont moins reçu que d’autres, pour le partage et la solidarité…
Comme il est difficile de faire entendre à beaucoup de ceux qui seront impitoyablement éliminés, à quel point ils se bercent d’illusions. Souvenez-vous que beaucoup de Juifs ont répété à quel point un certain nombre d’entre eux ne cherchait pas à se cacher ou à fuir tant qu’il en était encore temps, tellement ils se trouvaient dans l’impossibilité d’imaginer qu’ils pouvaient faire partie d’un plan génocidaire de masse. On a l’impression d’être revenus à cette époque et à ce genre d’éventualité inconcevable pour nous, mais cette fois à l’adresse du plus grand nombre : les « inutiles » !
« Hold-Up » est un révélateur en quelque sorte. Ce film démontre à quel point l’humanité occidentale a régressé ; à quel point la violence des dominants sur les dominés a été exacerbée ; à quel point le pouvoir et l’argent sont la plaie de ce monde…
« Vous ne réalisez pas à quel point il est difficile d’exposer la vérité dans un monde rempli de gens qui ne sont pas conscients de vivre dans le mensonge. » (Edward Snowden)
= = =
A voir, dernière analyse du Pr. Raoult sur la chute brutale de l’épidémie à Marseille ainsi que la fumisterie du Redemvisir, médicament inutile et dangereux, poussé à la vente par des intérêts bien particuliers:
Créer l’illusion d’une pandémie grâce à des tests de diagnostic pas fiables et non spécifiques
Jon Rappoport
Avril 2020, repris en français en août 2020
Il est intéressant de voir que cette information a été reprise et divulguée par le blog “Profession Gendarme” et n’a pas été censurée. Jon Rappoport est un journaliste connu dans la sphère alternative. (Résistance 71)
Dans cet article, je vais présenter des citations de sources officielles concernant leurs propres tests de diagnostic du coronavirus.
Je parle des failles fatales de ces tests.
Parce que le nombre de cas est basé sur ces tests (ou sur aucun test), tout « l’effet pandémique » a été créé à partir d’une fausse science.
Dans un moment de vérité, un pro de la propagande pourrait murmurer à un collègue :
« Vous savez, nous avons un excellent test de diagnostic pour le virus.
Le test donne toutes sortes de résultats qui disent que cette personne est malade et que cette personne est malade.
Des millions de personnes malades.
Mais le test ne mesure pas vraiment cela.
Le test est ridicule, mais ridicule en notre faveur.
Il construit l’image d’une pandémie mondiale.
Une excuse pour enfermer la planète et détruire les économies et les vies… »
Le test répandu pour le virus COVID-19 s’appelle la PCR. J’ai beaucoup écrit à ce sujet dans des articles précédents.
Passons maintenant à la littérature officielle publiée, et voyons ce qu’elle révèle.
« La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques. »
Traduction : Un test positif ne garantit pas du tout que le virus COVID cause l’infection. Et, ahem, en lisant entre les lignes, peut-être que le virus COVID n’est pas du tout dans le corps du patient non plus.
De l’Organisation mondiale de la santé (OMS) : « Guide technique sur la maladie à coronavirus (COVID-19) : Tests de laboratoire pour le 2019-nCoV chez l’homme » :
« Plusieurs tests qui détectent le 2019-nCoV ont été et sont actuellement en cours de développement, tant en interne que commercialement. Certains tests peuvent détecter uniquement le nouveau virus [COVID] et d’autres peuvent également détecter d’autres souches (par exemple le SRAS-CoV) qui sont génétiquement similaires ».
Traduction : Certains tests PCR sont positifs pour des types de coronavirus qui n’ont rien à voir avec le COVID, y compris les vieux coronas qui ne causent rien de plus qu’un rhume.
Le document de l’OMS ajoute cette petite pièce : « Limites d’utilisation du protocole : Les échantillons cliniques facultatifs pour les tests n’ont pas encore été validés ».
Traduction : Nous ne sommes pas sûrs des échantillons de tissus à prélever sur le patient pour que le test soit valable.
De la FDA : « LabCorp COVID-19RT-PCR test EUA Summary : ACCELERATED EMERGENCY USE AUTHORIZATION (EUA) SUMMARYCOVID-19 RT-PCR TEST (LABORATORY CORPORATION OF AMERICA) » [3] :
« …Le SARS-CoV-2RNA [virus COVID] est généralement détectable dans les échantillons respiratoires pendant la phase aiguë de l’infection.
Des résultats positifs indiquent la présence de l’ARN du CoV-2-SARS ; une corrélation clinique avec les antécédents du patient et d’autres informations diagnostiques est nécessaire pour déterminer l’état d’infection du patient…
L’AGENT DÉTECTÉ NE PEUT PAS ÊTRE LA CAUSE DÉFINIE DE LA MALADIE (les capitales sont de moi !).
Les laboratoires des États-Unis et de ses territoires sont tenus de signaler tous les résultats positifs aux autorités de santé publique compétentes ».
Traduction : D’une part, nous affirmons que le test peut « généralement » détecter la présence du virus COVID chez un patient.
Mais nous admettons que « l’agent détecté » sur le test, par lequel nous entendons le COVID, « peut ne pas être la cause certaine de la maladie ».
Nous admettons également que, sauf si le patient a une infection aiguë, nous ne pouvons pas trouver le COVID. Par conséquent, l’idée de « patients asymptomatiques » confirmés par le test est absurde.
Et même si un test positif pour la COVID peut ne pas indiquer la cause réelle de la maladie, tous les tests positifs doivent être déclarés – et ils seront comptés comme des « cas de COVID ». Quoi qu’il en soit.
D’un fabricant d’éléments de kits de tests PCR, Creative Diagnostics, « SARS-CoV-2 Coronavirus Multiplex RT-qPCR Kit » :
« Statut réglementaire : Pour la recherche uniquement, pas pour les procédures de diagnostic ».
Traduction : N’utilisez pas le résultat du test seul pour diagnostiquer une infection ou une maladie. Oups.
« interférence non spécifique du virus de la grippe A (H1N1), du virus de la grippe B (Yamagata), du virus respiratoire syncytial (type B), de l’adénovirus respiratoire (type 3, type 7), du virus parainfluenza (type 2), de Mycoplasma Pneumoniae, de Chlamydia Pneumoniae, etc.
Traduction : Bien que cette société affirme que le test peut détecter le COVID, elle affirme également que le test peut se révéler FAUSSEMENT positif si le patient a dans son corps un des nombreux autres virus non pertinents. Qu’est-ce que le test prouve alors ? Qui sait ? Tirez à pile ou face.
« Application Qualitative »
Traduction : Cela signifie clairement que le test n’est pas adapté pour détecter la quantité de virus présente dans l’organisme du patient. Je vous expliquerai l’importance de cette admission dans une minute.
« Le résultat de détection de ce produit est uniquement destiné à servir de référence clinique, et il ne doit pas être utilisé comme seule preuve pour le diagnostic et le traitement cliniques. La prise en charge clinique des patients doit être envisagée en combinaison avec leurs symptômes/signes, leurs antécédents, les autres tests de laboratoire et les réponses au traitement.
Les résultats de la détection ne doivent pas être utilisés directement comme preuve pour le diagnostic clinique, et sont uniquement destinés à servir de référence aux cliniciens ».
Traduction : N’utilisez pas le test comme base exclusive pour diagnostiquer une personne atteinte de COVID.
Et pourtant, c’est exactement ce que font les autorités sanitaires dans le monde entier.
Tous les tests positifs doivent être signalés aux agences gouvernementales, et ils sont comptés comme des cas de COVID ».
Ces citations, provenant de sources gouvernementales et de tests officiels, torpillent toute la base « scientifique » du test.
Et maintenant, j’ajouterai un autre coup mortel : le test n’a jamais été validé correctement en tant qu’instrument de détection des maladies.
Même en supposant qu’il puisse détecter la présence du virus COVID chez un patient, il ne montre pas COMMENT BEAUCOUP de virus est présent dans le corps.
Et c’est là l’essentiel, car pour pouvoir commencer à parler de la maladie dans le monde réel, et non dans un laboratoire, il faudrait que le patient ait des millions et des millions de virus qui se répliquent activement dans son corps.
Les partisans du test affirment qu’il PEUT mesurer la quantité de virus dans l’organisme.
Ce à quoi je réponds : prouvez-le.
Prouvez-le d’une manière qui aurait dû être prouvée il y a des décennies – mais ne l’a jamais été.
Prenez cinq cents personnes et prélevez des échantillons de tissus sur elles.
Les personnes qui prélèvent les échantillons ne font PAS le test.
Les testeurs ne sauront jamais qui sont les patients et dans quel état ils se trouvent.
Les testeurs effectuent leur PCR sur les échantillons de tissus.
Dans chaque cas, ils disent quel virus ils ont trouvé et COMMENT ils en ont trouvé BEAUCOUP.
« Très bien, chez les patients 24, 46, 65, 76, 87 et 93, nous avons trouvé beaucoup de virus. »
Maintenant, nous rendons ces patients aveugles. Ils devraient tous être malades, parce qu’ils ont tellement de virus qui se répliquent dans leur corps. Sont-ils malades ? Courent-ils des marathons ?
C’est ce que nous allons découvrir.
Cette vérification OBVISOIRE du test n’a jamais été faite. C’est un énorme scandale.
Où sont les résultats du test contrôlé sur 500 patients, un millier de patients ? Nulle part.
Le test est une fraude non prouvée.
Et, par conséquent, la pandémie de COVID, qui est censée être basée sur ce test, est également une fraude.
« Mais…mais…et tous les malades et les mourants…pourquoi sont-ils malades ? »
J’ai écrit des milliers de mots pour répondre à cette question, dans des articles précédents.
UN NOMBRE de maladies – aucune n’impliquant le COVID, et la plupart impliquant de vieilles maladies traditionnelles – rendent les gens malades.
Pour des liens vers des références, voir cet article sur le blog de Jon. Cliquez ici .
Quand un médicament est franchement mauvais à avaler pour un gamin, que fait-on le plus souvent ? On le mélange à quelque chose qui le fera mieux passer. Ainsi va l’infantilisation perpétuelle de la société étatico-capitaliste suivant ce modèle éculé mais efficace.
Le Gaulois couine à être reconfiné devant cette « seconde vague » ou mutation totalement fabriquée du méchant SRAS-COV-2 alias Bébert Corona ? Qu’à cela ne tienne, on va faire passer la pilule en créant une seconde menace faisant (espérons-le) oublier la première, nous avons nommé les barbus islamistes ressortis des placards en bons petits soldats d’un système bien huilé. L’opération psychologique est savamment menée depuis l’attentat nucléaire de Beyrouth, qui vit Micronus 1er aller en visite officielle au Liban afin de faire son numéro commandité d’arrogance primaire, faisant la « morale » aux Libanais sur le droit à la liberté d’expression, à la critique lèse-majesté et… au blasphème. Le décor était planté.
Quelques semaines plus tard, on ressort la pitrerie provocatrice de « Charlie Hebdo » et de ses caricatures du prophète de l’islam, cette fois au travers d’un fait divers qui voit un enseignant en histoire de bahut les montrer à ses élèves au nom de la liberté d’expression, colère de parents d’élèves musulmans, ce qui devrait s’arrêter à une polémique locale tourne au drame horrifique avec l’assassinat en plein jour, au couteau et en pleine rue dudit prof par un jeune tchétchène, suite à une « fatwah » délivrée par un obscur groupe « affilié à Al Qaïda » c’est à dire Al CIAda comme cela est connu depuis bien longtemps (AQ est la création en Afghanistan d’une armée moudjahidine contre l’URSS, par Robert Gates de la CIA et l’omniprésent Zbigniew Brzezinski, conseiller en sécurité à la Maison Blanche), d’attaquer individuellement les intérêts de la France, le tout surenchérit par le gugusse frère musulman de service : Erdogan, facilitateur de terrain de Daesh pour la guerre par procuration en Syrie. Nous l’avons dit de longue date, si les fifrelins de terrain sont des zombies religieusement intoxiqués agissant au doigt et à l’œil pour leurs maîtres, leur hiérarchie a un certain moment, se confond dans la nébuleuse des services occidentaux de renseignement et de barbouzerie en tout genre, mais essentiellement sioniste.
Dernier évènement tragique pour faire passer cette pilule bien amère et mortifère du reconfinement / couvre-feu, signant l’arrêt de mort de bien des activités économiques faisant bouillir la marmite de millions de gens, le massacre à l’arme blanche de trois paroissiens d’une église niçoise, attentat se produisant chez le bien sioniste mafieux Estrosi qui a confié la sécurité de sa ville, aéroport et autre à des entreprises sous-traitantes israéliennes (voir l’affaire de l’ap « Reporty » israélienne qui permet de filmer et de géolocaliser les gens dans Nice etc…). L’égorgeur niçois migrant serait passé au travers de toute cette sécurité renforcé ? Vraiment ?
La nébuleuse islamo-wahabite est pilotée de l’intérieur comme de l’extérieur par les services barbouzes sionistes. Cela n’est même plus un secret de nos jours avec la « normalisation » tout azimut des relations entre les royaumes wahabites du Golfe et l’entité sioniste, tout est finalement exposé au grand jour. Mais ceci est une autre histoire…
Ainsi donc, sous la double menace de Bébert Corona renforcé par Boubou le barbu, la France se retrouve reconfinée et probablement sera sous loi martiale avant Noël.
Nous pensons à Résistance 71, que la France a été choisie par l’oligarchie pour être le cœur de la mise en place de la grille de contrôle technotronique du Nouvel Ordre Mondial oligarchique et la raison en est assez simple : si le système arrive à mettre au pas et à briser la volonté des Gaulois réfractaires qui ont récemment donné le mouvement des Gilets Jaunes, mouvement qui couve toujours sous la cendre et ne demande qu’à repartir de plus belle et mettre à bas la merdasse systémique qui nous dirige, alors ce sera beaucoup plus facile de faire passer la pilule et à l’imposer aux autres contrées occidentales. L’oligarchie veut faire un exemple et la France est son champ de bataille. Toute la clique politique macronesque clownesque a été mise en place à cet effet. Les Gilets Jaunes leur ont donné des sueurs froides pendant un moment, mais Bébert Corona a mis un frein à tout ça, pour l’heure…
Il est important pour nous de comprendre que tout cela est mis en scène, nous vivons dans un grand théâtre permanent animé par la société marchande et sa dictature nécessaire à sa perpétuelle reproduction sous une anesthésie générale de la conscience politique individuelle et surtout collective.
Nous vivons dans un bain permanent d’illusion, de mensonge, de tromperie, de corruption et de conflits d’intérêt servant à perpétuer le système et à consolider le pouvoir en le moins de mains possible tout en enrichissant ceux par qui cela peut se produire, sacrifiant à l’autel du profit et du pouvoir les 99,9% d’une humanité dont la servitude volontaire acquise permet la perpétuation de la supercherie.
Une des toutes meilleures visions de cet état de fait de l’illusion marchande dictatoriale a été mise à l’écran en 2001 (l’année du 11 septembre…) par le réalisateur controversé David Lynch dans son remarquable film à tiroirs psychologiques « Mulholland Drive ».
Tout y est, du rêve au cauchemar, de l’illusion (affirmée comme telle dans un cabaret nommé « Silencio ») à la destruction (dépression, psychose, assassinat et suicide), sur toile de fond schizophrénique hollywoodienne, symbole de la société marchande et extensible à souhait au monde de la vie quotidienne de nos sociétés délétères, jusqu’à l’injonction même donné par un cow-boy à l’héroïne de « se réveiller », en passant par le « complot » sur personnes et situation. Comme impliqué dans la vision de ce film également, les clefs pour en sortir, ne sont pas dans le système.
Alors, temps de se réveiller et de bannir illusion, mensonge et manipulation de nos vies ?
Soyons-en persuadés !…
Dans « La révolte historique » de son « Homme révolté » (1951), Albert Camus nous dit ceci:
« Dans le règne des personnes, les hommes se lient d’affection, dans l’Empire des choses, les hommes s’unissent par la délation. La cité qui se voulait fraternelle devient une fourmilière d’hommes seuls. […] A partir de là, les relations humaines ont été transformées. Ces transformation progressives caractérisent le monde de la terreur rationnelle où vit, à des degrés différents, L’Europe. Le dialogue, relation des personnes, a été remplacé par la propagande ou la polémique qui sont deux sortes de monologue. […] La revendication de la révolte est l’unité, la revendication de la révolution historique est la totalité. La première part du non appuyé sur un oui, la seconde part de la négation absolue et se condamne à toutes les servitudes pour fabriquer un oui rejeté à l’extrémité des temps. L’une est créatrice, l’autre nihiliste. La première est vouée à créer pour être de plus en plus, la seconde forcée de produire pour nier de mieux en mieux. La révolution historique s’oblige à faire toujours dans l’espoir, sans cesse déçu, d’être un jour. »
Puis Camus conclut ce chapitre de cette phrase lumineuse aux accents bien nietzschéens :
« […] la révolte aux prises avec l’histoire ajoute qu’au lieu de tuer et mourir pour produire l’être que nous ne sommes pas, nous avons à vivre et faire vivre pour créer ce que nous sommes. »
Retour au présent,
On avait dit il y a peu que la peur par « islamiste planqué sous les lits » ne fonctionnait plus, mais les pitres du pouvoir nous ressortent la menace éculée du placard malgré tout, pour la énième fois. La gronde monte sur la dictature sanitaire ?… Bon.. Temps de faire diversion… Hop ! Ressortons les bons vieux barbus utiles d’Al CIAda et « affiliés » du placard, à grand renfort d’annonce officielle et de message d’officine « islamiste », dont les acteurs de terrain, tout aussi zombifiés qu’ils soient par une came religieuse salafiste des plus frelatées, n’en sont pas moins manipulés par une hiérarchie aux ordres des services occidentaux.
Tremblez manants ! Les barbus viennent en renfort de Bébert Corona pour vous terrifier, vous faire cloîtrer toujours plus chez vous et anéantir toute velléité de rébellion. Ne craignez rien ! L’État dans toute sa splendeur et pourriture décadentes est là pour vous protéger. Ayez confiance vous martèle t’on !
On attend aussi avec impatience le vaccin anti-islamiste. Allez Bill, un petit effort. Une idée ? Que nos braves scientifiques et médecins du sérail, tous ceux à qui les conflits d’intérêt ne posent plus de problèmes (immunisation de troupeau ?…), nous pondent dans les plus bref délai un super vaccin 2 en 1 : anti COVID / anti islamiste. Une piquouze miracle et hop ! Finis Bébert et Boubou ! A la trappe immunitaire toute aussi fictive.
Les gouvernements, français en tête de pont, créent, fabriquent, illusion sur illusion car il n’y a plus qu’une seule chose qui maintient ce système étatico-capitaliste en place : la peur, la terreur synthétiques et la répression qui va avec.
Avec tout ça, Bébert Corona et le énième retour des barbus, si la France n’est pas sous loi martiale avant Noël c’est que vraiment ces guignols du pouvoir sont des incapables les plus crasses…
Ceci dit compañeros, compañeras, ne croyez-vous pas qu’il est l’heure ? L’heure de leur mettre cette méga-gifle tant attendue, celle de leur dire : NON ! Halte au sketch ! Nous reprenons la barre du bateau ivre… Il suffit de dire NON ! et tout ce cirque s’arrête, c’est en fait aussi simple que cela et les ordures du pouvoir le savent pertinemment, d’où leurs constants efforts de nous maintenir divisés sur toutes les lignes de fractures possibles.
Oyez ! Oyez ! La balle est dans notre camp… Depuis un bon moment ! Notre problème ? Trop ne le savent pas et attendent, attendent et attendent toujours… Quand assez est-il assez ? Que s’arrête le cirque et que commence la vie… tout simplement.
Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir !