Dans la cadre de la journée internationale de dénonciation de Bill Gates (« EXPOSEBILLGATES), nous avons traduit ici deux extraits essentiels de la série de Derrick Broze sur “Bill Gates et le réseau du fric et de l’influence”, publié en avril, mai 2020. Le premier émane de la seconde partie, le second extrait de la troisième partie.
Les textes originaux sont truffés d’hyperliens vers les sources d’information (en anglais), à suivre donc depuis les liens sources.
~ Résistance 71 ~
Influence Gates et mafia sanitaire…
Qui gère l’OMS ?
(Extrait de la 2ème partie de la série de Derrick Broze “Bill Gates et le réseau du fric et d’influence “)
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
13 juin 2010
Source:
Suite : « Réduire la population mondiale par des mesures eugénistes »
Depuis le début de l’épidémie de COVID19, à la fois Bill Gates et l’OMS se sont mis au centre de la scène alors que le monde leur demandait des réponses au problème. Il est maintenant de notoriété publique que la Fondation Bill & Melinda Gates est le premier pourvoyeur de fonds non étatique de l’OMS. Les Etats-Unis ont longtemps été l’état le plus généreux, mais cela peut changer sous l’administration Trump. Gates fut aussi la seule personne ne représentant pas un état à donner un discours devant l’assemblée générale de l’OMS.
D’après un rapport de la revue “Politico”, l’opinion (et l’argent ) de Bill Gates ont tant d’influence au sein de l’OMS que les officiels de cet organisme l’appel en coulisse “the Bill Chill”. 16 officiels de l’OMS ont dit à Politico sous condition d’anonymat que Bill Gates a une influence absolument disproportionnée sur la politique de l’OMS et que bien peu de personnes osent le défier. “Il est traité comme un véritable chef d’état, pas seulement à l’OMS, mais aussi au G20”, a déclaré un représentant d’une ONG de Genève.
Les accusations sur l’influence démesurée de Gates ont été secondées par le ministère des affaires étrangères lorsqu’ils ont rapporté que “peu d’initiatives politiques ou de standards normatifs mis en place par l’OMS sont annoncées avant qu’elles aient été nonchalamment été validées de manière non-officielle par le staff de la Fondation Gates.”
L’actuel directeur général de l’OMS est Tedros Adhanom, ancien ministre de la santé d’Éthiopie. Durant son temps au porte-feuille du ministère de la santé, Tedros a collaboré avec les Fondations Clinton et Bill & Melinda Gates pour travailler sur des vaccins, entre autres mesures. Politico a rapporté qu’avant que Tedros ne soit sélectionné pour le poste de directeur de l’OMS en 2017, Gates fut accusé de soutenir Tedros et d’utiliser son influence pour le faire nommer au poste.
Bien que des délégués de pays aient exprimé leur croyance que Gates était bien intentionné, certains avaient peur que l’argent de la Fondation Gates ne viennent du “gros business” et puisse servir de “cheval de Troie pour des intérêts entrepreneuriaux pour diminuer le rôle de l’OMS dans l’établissement de standards et dans le façonnage de certaines politiques.”
Ce qu’il est important de savoir est que les cotisations payées par les états membres de l’OMS représentent moins du quart des 4,5 milliards de dollars du budget biennal, laissant Gates, certains gouvernements et d’autres fondations privées faire les bouche-trous financiers. Ces donations sont allouées à des projets spécifiques et l’OMS ne peut pas décider comment les utiliser. Dans le cas de la Fondation Bill & Melinda Gates, les fonds versés vont typiquement vers les programmes de vaccination.
Quelque soit l’angle d’approche des solutions présentées pour le COVID19, vous y trouverez toujours les empreintes digitales de Bill Gates. Il a utilisé son argent et son influence de manière répétitive pour profiter et gagner régulièrement du pouvoir sans jamais avoir été élu à quelque fonction politique que ce soit.