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Changement climatique ? Oui, mais diminution de l’activité solaire, minimums et refroidissement global (F. William Engdahl)

Posted in actualité, altermondialisme, écologie & climat, économie, crise mondiale, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , on 4 mars 2021 by Résistance 71

 


Le soleil… pilote du climat terrestre

 

Avec cet article on peut se poser la question suivante : les agendas 2030 et 2050 de l’ONU ne sont-ils pas en fait une planification d’une extermination planétaire massive de l’espèce humaine par la privation et la famine immanquablement à venir si nous laissons cet agenda se mettre en place et se verrouiller ? Au vu des recherches effectuées et en cours, il est impossible que les guignols en charge ne sachent pas de quoi il retourne vraiment. Ainsi, il devient assez évident que toute cette mascarade climatique et course à cette « énergie verte renouvelable » n’ayant aucune fiabilité ni même capacité de subvenir à nos besoins énergétiques, fondée sur une science biaisée et bidouillée à souhait, n’est qu’un outil pour la réalisation d’un vaste dessein eugéniste de notre pathétique « élite » auto-proclamée et criminelle, obnubilée par son délire néo-malthusien.
Là encore, une fois de plus, comme pour tout, il suffit de dire NON ! ensemble et leur délire s’arrête du jour au lendemain. Comme pour bien des sujets, la balle est dans notre camp… Encore faudrait-il savoir qu’elle l’est. Qui a éteint la lumière ?
~ Résistance 71 ~

 

Gel au Texas, alerte climatique d’urgence… mais pas comme vous le pensez

 

F. William Engdahl

 

26 février 2021

 

Source:
https://www.mondialisation.ca/gel-au-texas-alerte-climatique-urgente-mais-pas-comme-vous-le-pensez/5654090

 

Dans la tragédie hivernale extrême qui se déroule au Texas ainsi que dans de nombreuses autres régions des États-Unis qui ne sont pas préparées à affronter les rigueurs de l’hiver, un point notable est que la plupart des vastes batteries d’éoliennes de l’État, censées produire 25% du réseau électrique de l’État, ont gelé et sont en grande partie inutiles. Les récents hivers rigoureux qui ont frappé non seulement la partie continentale des États-Unis, mais aussi une grande partie de l’Union européenne, et même le Moyen-Orient, justifient un examen plus approfondi d’un sujet qui a été trop longtemps ignoré par les rapports du Groupe d’Experts intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) des Nations unies, ainsi que par un nouveau groupe d’universitaires appelé Climate Scientists. C’est-à-dire l’influence de notre soleil sur le climat mondial.

Le changement climatique froid

Le 14 février, un front froid arctique record a balayé le Canada vers le sud jusqu’à l’extrême sud du Texas, à la frontière mexicaine. L’impact immédiat a été des coupures de courant pour près de 15 millions de Texans qui, au 17 février, restaient sans chauffage ni électricité, car près de la moitié des éoliennes étaient gelées et inutilisables à cause des tempêtes de verglas, dont beaucoup de façon permanente. Au cours des cinq dernières années, le Texas a doublé sa part de production d’énergie éolienne dans le réseau, dans la précipitation d’adopter un profil d’énergie verte. Avec environ 25% du réseau électrique de l’État provenant de sources éoliennes, près de la moitié est hors service, une grande partie de façon permanente, à cause de la tempête.

Tyler, au Texas, autrefois connue comme la « capitale des roses des États-Unis », a connu des températures avoisinant les -20 °C. Les usines de traitement du gaz du Texas ferment car les liquides gèlent à l’intérieur des tuyaux, ce qui réduit encore la puissance, tout comme la demande de combustible de chauffage explose. En Oklahoma, le prix du fioul domestique a fait un bond de 4 000% en deux jours et ne cesse d’augmenter. Les prix de gros pour la livraison au Texas atteignent jusqu’à 9 000 dollars par mégawattheure. Deux jours avant les tempêtes, le prix était de 30 dollars. Lors d’un pic de demande en été, un prix de 100 $ est considéré comme élevé.

La réduction des livraisons de gaz du Texas aux compagnies d’électricité mexicaines a entraîné des coupures de courant dans le nord du Mexique, près de 5 millions de foyers et d’entreprises étant privés d’électricité le 15 février.

L’erreur de l’énergie verte

En outre, la production pétrolière américaine, centrée au Texas, a chuté d’un tiers, et plus de 20 raffineries de pétrole de la côte du Golfe sont bloquées, tout comme les expéditions de barges de céréales le long du Mississippi. Plusieurs analystes du modèle de réseau déréglementé du Texas soulignent que si l’État avait maintenu une « sauvegarde d’urgence fiable », comme cela est possible avec l’énergie nucléaire ou le charbon, la panne aurait pu être évitée. Récemment, le Texas a obligé six centrales à charbon à fermer depuis 2018, en raison des règles de l’État qui obligent les compagnies d’électricité à prendre l’énergie éolienne et solaire subventionnée, ce qui réduit le coût de leur propre production de charbon. Il les a simplement obligées à fermer les centrales à charbon en fonctionnement qui produisaient 3,9 GW. Si ces centrales avaient été encore en service, les pannes auraient pu être facilement évitées, selon certaines sources. Contrairement à la technologie éolienne ou solaire actuelle, les centrales au charbon et nucléaires peuvent stocker jusqu’à un mois ou plus de capacité sur place pour les urgences électriques.

Alors que dans les États du nord comme le Minnesota, où les hivers rigoureux sont courants et auxquels on est préparé, le Texas n’a pas de telles exigences en matière de capacité de réserve. Par exemple, la Minnesota Public Utilities Commission exige que les centrales disposent d’une capacité de réserve en ligne suffisante pour garantir le maintien de l’électricité dans des circonstances extrêmes. Au lieu de cela, le Texas exploite un marché « énergie seulement », où les prix de gros de l’électricité sont considérés comme une incitation suffisante pour mettre en ligne davantage de centrales électriques. L’objectif du modèle « énergie seulement » était de rendre plus rentable l’énergie éolienne et solaire intermittente afin d’augmenter leur part de marché par rapport aux alternatives conventionnelles comme le charbon ou le nucléaire.

Le modèle de réseau d’État a obligé les centrales au charbon et nucléaires du Texas à vendre leur électricité à perte sur le marché parce qu’elles sont incapables de réduire leur production d’électricité lorsque la forte production éolienne et solaire fait baisser les prix. En fin de compte, il a forcé la fermeture inutile des six centrales au charbon, exactement ce que les défenseurs de l’énergie verte voulaient. Les failles du modèle sont flagrantes, tout comme la dépendance croissante à l’égard d’options éoliennes et solaires peu fiables pour obtenir une empreinte carbone zéro douteuse.

Un minimum solaire ?

Mais il y a une leçon bien plus alarmante à tirer de la catastrophe du Texas. Le fait que des États comme le Texas et des pays du monde entier exigent des billions de dollars d’investissement dans l’énergie verte pour atteindre l’objectif de zéro émission nette de carbone d’ici 2050, fixé par les Nations unies pour 2030, en se tournant vers des énergies solaire et éolienne manifestement peu fiables pour remplacer le pétrole, le gaz et le charbon, et même l’énergie nucléaire sans carbone, est à l’opposé de ce dont nous avons besoin si l’analyse du cycle solaire est précise. Cette faille trouve son origine dans une campagne de plusieurs décennies menée par le GIEC des Nations unies et des personnalités politiques telles qu’Al Gore et un lobby de scientifiques dont la carrière dépend de l’ignorance du plus grand facteur affectant le climat de la Terre et le changement climatique, à savoir les cycles solaires réels.

Contrairement aux modèles informatiques des climatologues qui projettent une augmentation linéaire de la température de la Terre sous forme d’émissions « anthropiques » de CO2, « l’effet de serre » non prouvé, la température de la Terre et les changements climatiques sont non linéaires. Il a été prouvé, depuis plusieurs milliers d’années, qu’ils sont cycliques. Et les émissions de CO2 ne sont pas le moteur de ces cycles. Si tel est le cas, nous pourrions bien, en tant qu’espèce humaine, mettre en œuvre des politiques qui laisseront de grandes parties de notre monde totalement dépourvues de préparation et vulnérables à des changements climatiques bien pires et plus prolongés que la récente catastrophe au Texas.

Selon la NASA américaine, la planète vient d’entrer dans un nouveau cycle solaire. Ils prédisent que le cycle solaire actuel de 11 ans, connu sous le nom de cycle 25, qui a commencé en 2020, « sera le plus faible des 200 dernières années ». Si c’est le cas, cela le situerait à l’époque de ce que l’on appelle le Minimum de Dalton qui s’est déroulé approximativement de 1790 à 1830.

Les taches solaires ou points sombres à la surface du soleil qui sont généralement accompagnés d’énormes éruptions d’énergie magnétique hors du soleil, ont été mesurés quotidiennement depuis que le processus a été commencé dans un observatoire de Zurich, en Suisse, en 1749. Il a été noté que le nombre de taches solaires ou l’activité solaire augmentait et diminuait selon des cycles d’environ 11 ans. Des recherches récentes ont également identifié des cycles plus complexes et plus longs d’environ 200 ans, et de 370 à 400 ans. Les physiciens solaires ont numéroté les cycles de 11 ans à partir de 1749, ce qui nous donne à partir de la mi-2020 le début du cycle solaire 25.

En 2018, un groupe de physiciens et de mathématiciens solaires dirigé par le professeur Valentina Zharkova de l’Université de Northumbria au Royaume-Uni, a développé un modèle complexe basé sur le rôle observé du champ magnétique de fond solaire dans la définition de l’activité solaire. Ils ont pu prédire que le prochain minimum solaire, qui commencera en 2020, se rapprochera de la période récente la plus extrême du minimum solaire, le « Minimum de Maunder », qui va de 1645 à 1710. C’est ce qu’on a appelé le Grand Minimum Solaire, une période prolongée d’activité solaire extrêmement faible, qui a commencé il y a environ 370 ans.

Le groupe de Zharkova a lié les minimims solaires actuels à une diminution drastique du champ magnétique interne du soleil, une baisse d’environ 70% de l’intensité du champ magnétique par rapport à sa valeur moyenne, résultant de variations régulières du comportement du plasma très chaud qui alimente notre soleil. En d’autres termes, nous pourrions être au début d’une phase de changements drastiques du climat terrestre qui durerait plusieurs décennies. Les recherches de Zharkova prédisent que cette période de Grand Solaire Minimum a commencé en 2020, et s’attend à ce qu’elle dure jusqu’en 2053 environ.

Pendant le minimum solaire, les éruptions volcaniques qui ont envoyé des tonnes de cendres dans l’atmosphère ont créé de denses nuages gris qui ont encore bloqué le rayonnement solaire. L’activité volcanique et les phases du minimum solaire sont bien corrélées, on pense qu’elles proviennent de l’intensification de la pénétration des rayons cosmiques dans l’atmosphère terrestre, qui provoque des éruptions plus importantes.

Au cours du Minimum de Maunder, connu dans l’hémisphère nord sous le nom de « petit âge glaciaire », les températures ont chuté dans une grande partie de l’hémisphère nord. Selon Zharkova, cela s’est probablement produit parce que l’irradiation solaire totale a été fortement réduite, ce qui a entraîné des hivers rigoureux.

Un Grand Minimum Solaire beaucoup plus doux, appelé le Minimum de Dalton, de 1790 à 1830 environ, bien que moins extrême que la période Maunder, a conduit à une série d’énormes éruptions volcaniques entre 1812-1815 qui ont culminé avec l’éruption record en Indonésie du Mont Tambora, la plus grande éruption volcanique au monde depuis des périodes historiques. Cette éruption a à son tour créé une telle densité de nuages à partir de cendres que l’année 1816 a été connue en Europe sous le nom d’Année sans Été.

Les températures froides ont fait tomber de la neige à New York pendant l’été 1816. Les cultures à travers les États-Unis et l’Europe ont échoué dans ce que l’on a appelé « la dernière grande crise de subsistance du monde occidental ». En Chine, en 1816, il y a eu une famine massive. Les inondations ont détruit les récoltes. La saison de la mousson a été perturbée, ce qui a entraîné des inondations massives dans la vallée du Yangzi Jian. En Inde, la mousson d’été retardée a provoqué des pluies torrentielles tardives qui ont aggravé la propagation du choléra d’une région proche du Gange au Bengale jusqu’à Moscou.

Les éruptions volcaniques sont en hausse depuis l’éruption de deux énormes volcans en novembre 2020 en Indonésie, à Lewotolo et Semeru, alors que l’actuel Grand Minimum Solaire a commencé, lié à la baisse de la magnétosphère liée au soleil et à l’afflux plus important de rayonnement cosmique solaire pénétrant le magma riche en silice des volcans.

Comme le note Sacha Dobler, auteur de Solar Behavior, « en ce qui concerne la température, ce qui est crucial n’est pas l’énergie qui quitte le soleil, mais la quantité de cette énergie qui est bloquée par les nuages et qui atteint la surface de la Terre, et la quantité qui est réfléchie dans l’espace par la glace et la neige ». Une plus grande pénétration des rayons cosmiques dans l’atmosphère pendant les minimums solaires ajoute à la nucléation des nuages et provoque des éruptions volcaniques. Dobler ajoute : « Dans un Grand Minimum Solaire, les rayons cosmiques déclenchent des crues éclair plus importantes, des tempêtes de grêle et – en raison de la perturbation du Courant-jet et du mélange des couches atmosphériques – des précipitations locales de longue durée… En raison du déplacement du Courant-jet et de la modification de la configuration des vents, on s’attend à des vagues de chaleur singulières et à davantage d’incendies de forêt ». En bref, nous pouvons nous attendre à des événements météorologiques instables et irréguliers au cours des dix à trente prochaines années si des physiciens solaires tels que Zharkova ont raison.

Changement du Courant-jet

Un effet important du minimum solaire majeur ou grand solaire dans lequel nous entrons maintenant est le changement de position de notre Courant-jet. En période de forte activité solaire, le Courant-jet forme une ceinture relativement stable autour de l’hémisphère nord, au niveau du sud du Canada et de la Sibérie, ce qui permet de contenir les grands froids hivernaux. Dans les minimums solaires comme maintenant, le Courant-jet, au lieu de former un anneau stable, devient très irrégulier ou ondulé. C’est ce qui a permis le froid arctique sans précédent jusqu’au sud du Texas. Ce Courant-jet irrégulier et faible permet un froid intense et des chutes de neige dans certaines régions et des poches de chaleur inhabituelles dans des endroits comme la Sibérie, ainsi que des périodes exceptionnellement chaudes et sèches ou humides. Alors que nous nous enfonçons dans l’actuel minimum solaire à l’horizon 2030 environ, les physiciens s’attendent à ce que ce changement climatique « extrême » s’intensifie.

Le soleil est, par ordre de grandeur, la force la plus influente qui affecte le climat de la Terre et ses changements climatiques. Malheureusement pour l’humanité, le groupe dominant de climatologues qui soutient l’hypothèse étroite et non vérifiée du réchauffement climatique dû au CO2 produit par l’homme ne modélise aucun effet de la modification du rayonnement solaire sur notre climat. Le GIEC rejette le soleil comme un facteur non pertinent, ce qui s’avère extrêmement dangereux.

Les « Puissances en devenir », par exemple associées au FEM, sont-elles conscientes du minimum solaire à venir et du fait que celui-ci risque d’être aussi mauvais, voire pire, que le Minimum de Dalton de 1790-1830 ? Cela explique-t-il leur choix de la période 2030 à 2050 dans l’objectif de l’Agenda 2030 des Nations unies ?

Si le monde dépense des billions et détourne des ressources précieuses pour se préparer au « zéro carbone », alors que les pires effets solaires des 200 dernières années ou plus se manifestent lors d’événements tels que l’expérience du Texas et d’autres régions du monde, ce serait une façon diabolique d’accélérer leur programme de réduction de la population, car le monde est pris au dépourvu par de graves mauvaises récoltes et une famine massive.

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Voir notre page “Escroquerie du Réchauffement Climatique Anthropique”

 

COVID, escroquerie du réchauffement climatique anthropique, Great Reset ou la planification néo-malthusienne de notre mise en esclavage technotronique finale (F. William Engdahl)

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Vidange…

 

“Quelle différence y a t’il entre les hommes politiques et les oiseaux ? Les oiseaux eux, de temps en temps, ils s’arrêtent de voler.”
~ Coluche ~

Voir notre page : “Escroquerie du réchauffement climatique anthropique”

Dictature technotronique

 

La grande conspiration criminelle du “zéro carbone”

 

F. William Engdahl

 

5 février 2021

 

url de l’article original:
http://www.williamengdahl.com/englishNEO5Feb2021.php

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Le Forum Economique Mondial de Davos (FEM) proclame la nécessité d’atteindre un objectif dans le monde entier celui du “zéro net carbone” pour 2050. Pour beaucoup, ceci paraît être bien loin dans le futur et donc peut être largement ignoré. Pourtant des transformations en cours de l’Allemagne aux Etats-Unis en passant par un grand nombre d’économies, sont en train de mettre en place la scène pour la création de ce qui fut appelé dans les années 1970 “le nouvel ordre économique mondial.” Dans la réalité il s’agit d’un plan  entrepreneurial totalitaire technocratique global, un plan qui promet par design un chômage de masse, une désindustrialisation et un effondrement économique. Considérez ici quelques éléments de cette toile de fond qui n’est en fait pas nouvelle du tout.

Le FEM de Klaus Schwab promeut en ce moment son thème favori, le Grand Reset de l’économie mondiale. La clef de tout ça est de vraiment bien comprendre ce que les mondialistes veulent dire par zéro net carbone 2050. L’UE mène la course avec son plan de devenir le premier continent “zéro carbone” avant 2050 et de réduire ses émissions de CO2 d’au moins 55% pour 2030.

Dans un post sur son blog en août 2020, le tsar auto-proclamé du vaccin, Bill Gates, a écrit au sujet de la crise climatique à venir : “Aussi terrible soit cette pandémie, le changement climatique pourrait être bien pire… Le relativement petit déclin des émissions de CO2 cette année clarifie une chose : nous ne pouvons pas parvenir à zéro émission simplement ou principalement en conduisant ou en volant moins.

Avec son quasi monopole sur les médias de masse et sur les médias sociaux, le lobby du “réchauffement climatique” a été capable de mener le monde à assumer que le mieux pour l’humanité serait d’éliminer les hydrocarbures y compris le pétrole, le gaz naturel, le charbon et même l’électricité nucléaire “libre de carbone” pour 2050 et qu’ainsi nous pourrions éviter de 1,5 à 2oC de hausse globale de température moyenne. Il n’y a qu’un problème avec tout ça. C’est une couverture pour un agenda criminel ultérieur.

Les origines du “réchauffement climatique”

Bon nombre de personnes a oublié la thèse scientifique originale qui fut mise en avant pour justifier un changement radical dans nos sources d’énergie. Ce ne fut pas le “changement climatique”. Le climat de la Terre change en permanence en corrélation avec les changements des éruptions solaires ou des cycles de ses taches affectant le climat de notre planète. Vers le passage au nouveau millénaire alors que le cycle de réchauffement dû aux cycles solaires ne se faisait plus trop ressentir, Al Gore et autres mirent en place un glissement sémantique du “réchauffement climatique” vers le “changement climatique”. Maintenant ce narratif de la peur est devenu si absurde, que la moindre tempête ou évènement météorologique extrême sont traités comme une “crise climatique”. Chaque cyclone ou grosse tempête de neige est déclaré preuve que les dieux du climat punissent le pêché carboné des humains.

Mais attendez. La raison pour la transition vers des sources d’énergie alternatives comme le photovoltaïque ou l’éolien et pour abandonner les sources d’énergie d’hydrocarbures, est leur affirmation que le CO2 émis est un gaz à effet de serre qui monte dans l’atmosphère où il forme une couche qui de manière supposée, réchauffe la terre du dessous, créant ainsi un réchauffement global anthropique. Les émissions de gaz à effet de serre proviennent essentiellement, nous explique l’Agence de la Protection de l’Environnement américaine (EPA), du CO2 ; ainsi donc le pourquoi de l’insistance sur cette “empreinte carbone”.

Ce qui n’est pratiquement jamais dit est que le CO2 ne peut pas monter haut dans l’atmosphère depuis les échappements de voitures ou les centrales électriques à charbon ou autres sources d’émission humaine de ce gaz. Le CO2 n’est pas du carbone ni de la suie. C’est un gaz invisible, incolore et sans odeur qui est essentiel dans la photosynthèse des plantes et pour toute forme de vie sur terre, nous compris. Le CO2 a une masse moléculaire de juste 29. La gravité spécifique du CO2 est 1,5 fois plus importante que l’air, ce qui suggère que le CO2 émis ne s’élève pas dans l’atmosphère à quelques 18 ou 20km d’altitude afin de former cette couche à effet de serre.

Maurice Strong

Pour bien apprécier quelle est l’action criminelle qui se met en place autour de gens comme Gates, Schwab et de tous ces avocats d’une économie mondiale soi-disant “durable”, nous devons faire un retour en arrière, en 1968, lorsque David Rockefeller et ses amis créèrent un mouvement autour de l’idée que la consommation humaine et la croissance démographique étaient le véritable gros problème dans le monde. (NdT: théorie dite néo-malthusienne). Rockefeller dont la fortune était fondée sur le pétrole, créa donc le très néo-malthusien Club de Rome dans sa villa italienne de Bellagio. Leur premier projet fut de financer une étude bidon au MIT et appelée “Limits of Growth” (Les limites de la croissance) en 1972.

Un des organisateurs clef de cet agenda “croissance zéro” de Rockefeller au début des années 70, fut son ami de longue date et protégé, un pétrolier canadien (NdT: fondateur et directeur de Petro Canada), Maurice Strong, également un membre du Club de Rome. En 1971, Strong fut nommé sous secrétaire aux Nations-Unies et secrétaire général de la conférence Earth Day de Stockholm en 1972. Il était aussi membre fiduciaire de la Fondation Rockefeller.

Maurice Strong fut très tôt un propagateur clef de la théorie scientifiquement non prouvée que les émissions gazeuses humaines de véhicules, des centrales électriques à charbon et de l’agriculture causaient une accélération dramatique de l’augmentation des températures globales sur la planète, ce qui menaçait notre civilisation d’un soi-disant réchauffement climatique anthropique (RCA). Il inventa alors ce terme élastique de “développement durable”.

En tant que chairman de la conférence Earth Day de Stockholm en 1972, Strong fit la promotion de la réduction de la population mondiale et de la baisse des standards de vie dans le monde ce afin de “préserver et sauver l’environnement”. Quelques années plus tard, le même Maurice Strong Déclara :

L’effondrement des civilisations industrialisées n’est-il pas le seul espoir pour la planète ? N’est-il pas de notre responsabilité de voir que ceci se produise ?…

Ceci est l’agenda connu aujourd’hui sous le nom de Great Reset, ou Grande Réinitialisation ou Agenda 2030 de l’ONU. Strong créa ensuite le Groupe Intergouvernemental d’Etude sur le Climat (GIEC), un corps politique qui avance et soutient la thèse non prouvée que les émissions humaines de CO2 vont amener le monde à une catastrophe écologique irréversible.

Le co-fondateur de Club de Rome, le Dr Alexander King, a admis la fraude essentielle de leur agenda environnemental quelques années plus tard dans son livre “The First Global Revolution” où il déclara :

En recherchant un nouvel ennemi pour nous unifier, nous avons trouvé que la pollution, la menace d’un réchauffement global, de pénuries d’eau, de famine et autre feraient l’affaire… Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine et ce n’est qu’au travers d’un changement d’attitude et de comportement que nous pourrons réussir. Ainsi donc, le véritable ennemi est l’humanité elle-même.

King a admis que la “menace d’un réchauffement global” n’était qu’une astuce pour justifier d’une attaque sur “l’humanité elle-même”. Maintenant ceci est déroulé sous la forme du Grand Reset et de la ruse du Zéro Net Carbone.

Le désastre de l’énergie alternative

En 2011, sur les conseils de Joachim Schnellnhuber, de l’Institut de Potsdam pour la Recherche sur l’Impact Climatique, Angela Merkel et le gouvernement allemand imposèrent une interdiction totale de l’électricité nucléaire avant 2022, en tant que stratégie gouvernementale de 2001 appelée Energiewende ou le Tournant Energétique, afin de ne plus se lier qu’à l’énergie solaire ou éolienne et autres “énergies renouvelables”. Le but était de rendre l’Allemagne la première nation industrielle à devenir “neutre carbone”.

La stratégie s’est avérée être une catastrophe économique (NdT: voulue et planifiée ?…). D’une nation au monde ayant une des grilles de puissance électrique les plus stables du monde industrialisé et à moindre coût, l’Allemagne est devenue aujourd’hui la productrice d’énergie électrique la plus chère au monde. D’après l’association allemande de l’énergie industrielle la BDEW, au plus tard en 2023, lorsque la dernière centrale nucléaire fermera, l’Allemagne fera face à des carences électriques et pénuries énergétiques. Dans le même temps, le charbon, qui fournit la plus grande source d’énergie électrique, est en train d’être éradiqué pour atteindre l’objectif Zéro Net Carbone.

Les industries traditionnelles très consommatrices d’énergie telles la production d’acier et de verre, les industries de bases chimiques, les papeteries et cimenteries, doivent faire face à des coûts énergétiques croissants et doivent soit fermer, soit délocaliser leur industrie, faisant perdre ainsi des millions de postes de travail qualifié (NdT : OQ et OHQ). L’inefficacité énergétique solaire et éolienne aujourd’hui, rend l’électricité entre 7 et 9 fois plus chère que celle produite au gaz naturel par exemple.

L’Allemagne est peu ensoleillée en comparaison des pays tropicaux, donc le vent est vu comme la source majeure d’énergie verte. Il y a une énorme demande pour le béton et l’aluminium pour produire les fermes de production voltaïque ou éolienne. Ceci nécessite une énergie bon marché pour produire comme le gaz ou le charbon voire le nucléaire. Alors que ces sources sont mises sur la touche, le coût de production devient prohibitif, même sans ajouter la tristement célèbre “taxe carbone”.

L’Allemagne possède déjà quelques 30 000 turbines éoliennes, plus que partout dans l’UE. Ces gigantesques turbines créent un sérieux problème de nuisance sonore ou de dangers par infrason pour la santé des riverains à ces énormes structures. Elles causent aussi des dégâts sur la nature tuant beaucoup d’oiseaux. Environ 25% estimés du parc éolien allemand (NdT: soit 7500 turbines) devront être remplacés ou avoir de sérieuses réparations d’entretien avant 2025. Le recyclage des déchets générés est un énorme problème. Les entreprises exploiteuses sont poursuivies en justice alors que les citoyens se rendent de plus en plus compte quel désastre elles représentent. Pour atteindre l’objectif à l’horizon 2030, la Deutsche Bank (DB) a récemment admis que l’état devra créer une “éco-dictature”.

Dans le même temps les Allemands poussent pour mettre un terme aux transports à essence ou gasoil à l’horizon 2035 en faveur des e-véhicules, ce qui est en phase avec la destruction de la plus grosse et plus profitable de toutes les industries allemandes, le secteur automobile, mettant un terme au passage à des millions de boulots. Les véhicules mus par batteries ion-lithium ont une empreinte carbone par véhicule, lorsque tout est pris en compte dans leur fabrication y compris l’extraction minière du lithium, qui est bien pire que tout véhicule diesel.

La totalité d’électricité ajoutée dont on a besoin pour remplir le contrat “zéro net carbone” à l’horizon 2050 serait bien plus importante qu’aujourd’hui alors que des millions de rechargeurs de batteries auront besoin d’une grille de production électrique des plus stables pour pouvoir fonctionner correctement. Maintenant, l’Allemagne et l’UE commencent à imposer de nouvelles “taxes carbones”, soi-disant pour financer la transition au zéro carbone. Ces taxes ne vont faire que rendre l’énergie électrique encore plus chère, assurant ainsi un effondrement encore plus rapide de l’industrie allemande.

Dépopulation

D’après ceux qui poussent cet agenda Zéro Net Carbone, c’est exactement ce qu’ils veulent : la désindustrialisation de la plupart des économies avancées, une stratégie calculée sur quelques décennies comme l’a dit Maurice Strong, afin d’amener l’effondrement des civilisations industrialisées.

Pour retourner le monde actuel et son économie industrielle vers une dystopie au feu de bois et aux turbines éoliennes où les pannes de coutant deviennent la norme comme actuellement en Californie, est une partie essentielle de la transformation via le Great Reset sous l’agenda 2030 : “UN Global Compact for Sustainability.”

Le conseiller climatique de Merkel, Joachin Schnellnhuber qui est athée, présenta l’agenda vert radical du pape François en 2015, Laudato Si, en tant que conseiller nommé du pape à l’Académie Pontificale des Sciences et il conseilla l’UE sur son agenda vert. Dans un entretien de 2015, Schnellnhuber a déclaré que la “science” a maintenant déterminé la capacité maximum de “durabilité” de la population humaine était de un milliard de personnes ou moins :

“D’une manière cynique, c’est un triomphe pour la science parce qu’au moins nous avons stabilisé quelque chose, c’est à dire les estimations de la capacité maximum de la planète qui est de fait sous le milliard de personnes.”

Pour y parvenir, le monde industrialisé doit être démantelé, Christiana Figueres, contributrice du FEM de Davos et ex-SG exécutif du Cadre de Convention sur le Changement Climatique (CCCC) de l’ONU, a révélé le véritable objectif de l’agenda climatique de l’ONU dans une conférence de presse à Bruxelles en février 2015 où elle a déclaré : “Ceci n’est pas la première fois dans l’histoire humaine que nous nous fixons volontairement la tache de changer le modèle de développement économique qui a régné depuis la 1ère révolution industrielle.

Les remarques de Figueres en 2015 sont aujourd’hui reprises en écho par le président français Macron lorsqu’il affirma au dernier FEM de Davos en janvier dernier que “sous les circonstances actuelles, le modèle capitaliste et l’économie libre, ouverte, ne sont plus possibles.” Macron, un ex-banquier de la banque Rothschild a affirmé que “la seule façon de sortir de cette épidémie est de créer une économie qui est plus focalisée sur l’élimination du fossé entre les riches et les pauvres.

Merkel, Macron, Gates, Schwab et leurs amis vont accomplir cela en ramenant les standards de vie en Allemagne et dans les pays de l’OCDE au niveau de ceux du Soudan et de l’Ethiopie. Voilà ce qu’est leur dystopie du “Zéro Net Carbone”. Sévèrement limiter les voyages aériens, les déplacements en voiture, les mouvements des gens, fermer les industries “polluantes” [au CO2], tout ça pour réduire le CO2 atmosphérique. Intéressant de voir comment de manière si pratique la pandémie du coronavirus arrive à point pour mettre en scène le Grand Reset et cet agenda 2030 Zéro Net Carbone de l’ONU.

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Information liée à l’article ci-dessus, du 6 février 2021 :

Source : Climate Depot (Marc Morano)

L’envoyé spécial à l’ONU Mark Caney : les morts de la crise climatique “seront pires que la Covid” — “Ce sera l’équivalent d’une crise coronavirus tous les ans.”

Mr Carney, qui fut le gouverneur de la Banque d’Angleterre (NdT : City de Londres…) jusqu’à encore l’an dernier et qui fut le patron de la banque du Canada avant cela, est maintenant envoyé spécial à l’ONU pour l’action et la finance contre le climat ; Carney a dit à la BBC qu’alors qu’il y avait des parallèles entre la pandémie de la COVID19 et le changement climatique [anthropique]. les dégâts à l’environnement et à l’écosystème ont le potentiel de causer encore bien plus de morts. “Un des problèmes principaux est que vous ne pouvez pas mettre le climat en auto-isolation. Ceci n’est pas une option. Nous ne pouvons pas rentrer et attendre la fin du changement climatique, car cela va empirer.” a t’il dit à Talking Business Asia : Le défi du changement climatique. “Quand vous regardez le changement climatique sur le plan de la mortalité, cela sera l’équivalent d’une crise coronavirus chaque année à partir du milieu de ce siècle et pour chaque année, pas seulement un évènement qui apparaît et disparaît. C’est donc un problème que nous devons résoudre maintenant.

Source:
https://www.climatedepot.com/2021/02/06/un-climate-envoy-mark-carney-climate-crisis-deaths-will-be-worse-than-covid-it-will-be-the-equivalent-of-a-coronavirus-crisis-every-year/

commentaire de R71 : c’est pas beau et attendrissant tout ça, le patron de la Banque d’Angleterre, grand fifrelin gourou systémique de la City de Londres qui se préoccupe de cet impact carboné si négatif de l’Homme sur cette planète… La manipulation Rothschild continue au grand jour. Les grands banquiers dans le “conseil” climatique, les geeks milliardaires de la silicon valley dans le conseil “sanitaire” des nations, de l’OMS et pour la vaccination.
Nous pensons conseiller la NASA pour qu’enfin ils aillent sur la lune… pourquoi pas ? marcherait sans doute mieux.

= = =

Voir notre page : “Escroquerie du réchauffement climatique anthropique”

 

Escroquerie du réchauffement climatique anthropique… La fadaise des 97% de « consensus » scientifique exposée !…

Posted in actualité, altermondialisme, écologie & climat, désinformation, média et propagande, militantisme alternatif, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, sciences et technologies, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , on 17 juillet 2014 by Résistance 71

Le consensus sur le climat n’est pas de 97% mais de 100%

 

Christopher Monckton

 

11 Juillet 2014

 

url de l’article:

http://wattsupwiththat.com/2014/07/11/the-climate-consensus-is-not-97-its-100/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

 

Nouvelle choquante depuis la 9ème Conférence Internationale sur le Changement Climatique (CICC9) du Heartland Institute: parmi les 600 délégués, le consensus qui dit que l’Homme contribue au réchauffement climatique n’était pas de 97% mais de 100%.
= Note du traducteur: Le Heartland Institute est un “think tank” “libertarien” (pas libertaire, “libertarien”…) de Chicago qui organise des conférences, notamment des conférences réunissant des climato-sceptiques scientifiques et d’autres communautés. =

Durant mon intervention à la tribune, j’ai nommé la ravissante Diane Bast comme mon adjudicatrice. Elle a lu posément 6 questions à l’audience, une par une. J’ai invité ceux qui répondraient “Non” à chaque question de lever la main. D’après mon adjudicatrice, pas une seule main ne s’est levée en réponse à ces 6 questions.

Voici ces six questions:

1. Le climat change t’il ?

2. La concentration de gaz carbonique (CO2) a t’elle augmentée depuis la fin des années 1950 ?

3. Est-il probable que l’Homme ait pu contribuer à l’augmentation du CO2 mesuré depuis la fin des années 1950 ?

4. Les autres facteurs étant égaux, est-il probable que l’ajout de CO2 dans l’atmosphère causera quelque réchauffement global ?

5. Est-il probable qu’il y ait eu un quelconque réchauffement global depuis la fin des années 1950 ?

6. Est-il probable que les émissions humaines de CO2 et aures gaz à effet de serre aient pu contribuer au réchauffement global mesuré depuis la fin des années 1950 ?

Dans cette conférence regroupant 600 “négationnistes du changement climatique”, et bien pas un seul délégué a nié que le climat change. De la même manière, pas un n’a nié que nous avons contribué à un réchauffement global depuis 1950.

Une des malhonnêtetés fondamentale dans le débat climatique est cette fausse impression créée de toute pièce par les Thermageddonites et leurs alliés des médias, que les climato-sceptiques répondraient “Non” à la plupart voire à toutes ces 6 questions.

Cette malhonnêteté fondamentale était au cœur même de l’article de “consensus” de Cook et al. publié l’an dernier. Les auteurs listèrent trois “niveaux d’accord” soutenant un quelconque consensus sur le climat.
Le niveau 1 reflétait la définition de consensus du GIEC, c’est à dire, que la vaste majorité du réchauffement global depuis 1950 est du fait de l’Homme.
Les niveaux 2 et 3 reflétaient l’acceptation explicite ou implicite que l’Homme avait causé quelque réchauffement. L’opinion unanime des délégués de Heartland tombe dans la catégorie, niveau 2.

Cook et al. ayant spécifié ces trois “niveaux d’accord” et ayant été au travers de la lecture et du marquage en conséquence de 11 944 extraits/résumés d’articles scientifiques, n’ont pas publié leur évaluation du nombre de résumés marqués tombant dans chacune des trois catégories, niveaux d’accord définis au préalable. Au lieu de cela, ils publièrent un total général unique, combinant les trois catégories/niveaux.

Leur manque de rapporter totalement leurs résultats fut ce qui me rendit leur article suspicieux, celui-ci manquant aux standards d’intégrité qu’un homme de bon sens occupant tout omnibus aurait attendu d’un article se disant scientifique.

Le dossier du texte enregistrant les résultats de l’étude de Cook fut mis à disposition plusieurs semaines après la publication de l’article ; durant cette période, l’article clâmant qu’il y avait un consensus scientifique de 97% sur le changement climatique a reçu toute la publicité internationale nécessaire de la part des médias. Même le Twitteratus de Mr Obama l’a cité et endorsé indiquant que “le réchauffement climatique global est réel, anthropique et dangereux.”

L’algorithme informatique a compté le nombre de résumés que Cook avait alloué à chaque niveau d’accord. Lorsque l’ordinateur sortit les résultats, j’ai pensé qu’il devait y avoir comme une erreur. L’algorithme n’avait trouvé que 64 des 11 944 articles, ou 0,5%, marqués comme tombant dans la catégorie/niveau 1, celui reflétant le consensus du GIEC disant que le réchauffement récent était majoritairement de cause humaine.
J’ai donc procédé à une vérification manuelle utilisant la fonction recherche du logiciel Microsoft Notepad. Et de manière juste, il n’y avait que 64 données en “1”.

Ensuite, j’ai lu les 64 résumés d’articles et découvris et ce pas à ma grande surprise, que seulement 41 avait dit explicitement que l’Homme était la cause d’un réchauffement climatique global ce dernier demi-siècle.

Dans les journaux/magazines scientifiques peer reviewed, il n’y a donc que 41 des 11 944 articles, soit 0,3%, et non pas 97,1%, qui avaient endorsé la définition de la proposition du consesnsus, à laquelle le GIEC et son 5ème rapport d’évaluation de 2013, ont donné de 95 à 99% de confiance.

Maintenant que nous avons les résultats de l’étude de la conférence Heartland, la pleine étendue du “grand vague” des suspects usuels sur le “consensus climatique” peut-être révélé.

Cook et al. ont agglutiné ensemble les 96,8% qui, comme les 100% d’entre nous à la CICC9, ont endorsé la proposition que nous causons “un certain” réchauffement, avec le 0,3% qui a endorsé la proposition du GIEC que nous causons la “plupart” du réchauffement depuis 1950.

En défi total de la preuve enregistrée dans leur propre fichier de données, ils ont ensuite explicitement déclaré, à la fois dans leur article mais aussi dans un article postérieur, que 97,1% des scientifiques avaient endorsé la proposition consensuelle du GIEC.

Propagande contre la science:

99,7% de 11 944 articles scientifiques de climatologie n’ont pas dit que le réchauffement climatique récent était causé par l’Homme.

De manière amusante, 96,8% est 97% de 97,1%. En d’autres termes, 97% des résumés qui ont formé la base de l’affirmation par Cook et al. du “97% de consensus”, n’ont pas endorsé la définition de consensus du GIEC, comme l’article a faussement clâmé qu’ils firent. Quoi qu’il en soit, ces résumés ont endorsé la définition plus scientifique et crédible de Heartland.

Parmi les ignobles représentants des médias qui vinrent à la conférence de Heartland pour effectuer des entretiens condescendants avec des “négationnistes climatiques”, se trouvait un disgracieux journaliste de la chaîne CNN.

Il me demanda de ce ton hautain dont nous avons tous l’habitude, comment ce faisait-il que moi, pauvre hère du commun, avait l’audace d’affirmer que j’en savais plus et mieux que les 97% des climatologues publiés. Je le référais donc à Legates et al. (2013), la réfutation peer reviewed de la notion que 97% des scientifiques endorsent l’assertion du GIEC que la plupart du réchauffement depuis la fin des années 1950 était anthropique.

Le journaliste de CNN me dit alors que le résultat de Legates et al. n’était que mon “interprétation” de la chose. J’ai alors montré du doigt une rangée de stations internet près de nous et dit: “Si je compte ces stations et en trouve disons 12 et que vous les comptez et que vous en trouvez également 12, alors notre résultat n’est pas sujet à interprétation. C’est une affaire factuelle, que n’importe quel tiers pourra également vérifier.”

Je l’ai alors mis au défi, avant qu’il ne diffuse quoi que ce soit sur les ondes, de partir et d’aller compter combien des 11 944 résumés d’articles listés dans le dossier de données de Cook et al. étaient marqués par les auteurs eux-mêmes comme tombant dans la catégorie / niveau 1. S’il en comptait 64, alors lui ai-je dit, son compte serait en accord avec le mien et nos comptes ne pourraient plus être des “interprétations” mais des faits, dont la justesse ou l’erreur pourra très bien être établie par une tierce partie faisant exactement le même compte que nous.

Il m’a dit qu’il le ferait, mais avec cette lueur dans le regard qui dit le contraire.

Les résultats de mon étude des 600 délégués de Heartland révèlent que la différence entre les Thermageddonites et nous est bien moindre que ce que veut bien en penser le monde. Comme la plupart d’entre eux, nous tombons dans le niveau d’accord au GIEC 2 ou 3. A leur encontre, nous ne clâmons pas savoir si la plupart du réchauffement après 1950 fut du fait de l’Homme, car cela est couramment au-delà de ce que la science actuelle peut nous dire.

Par dessus tout, à leur encontre, nous ne renversons pas un consensus de 0,3% en consensus à 97,1%.

Vous pouvez également vérifier les résultats enregistrés par vous-même. J’ai demandé à Anthony d’archiver le fichier que vous pouvez trouver ici: cook.pdf ).
[Mise à Jour: David Burton écrit:  J’ai mis les données de Cook 2013 en format Excel, ce qui rend les données plus facile à analyser que dans le format .pdf, il y a un lien depuis mon site internet ici: http://sealevel.info/97pct/#cook ]

Si le journaliste de CNN qui m’a interviewé lit ceci, j’espère sincèrement qu’il fera ce compte lui-même et qu’il me recontactera une fois fait. D’ici là… Je ne vais pas non plus retenir mon souffle…

Sommet de Cancun: la fraude du réchauffement climatique anthropique remplacée par la peur fabriquée de la « surpopulation »

Posted in actualité, écologie & climat, désinformation, réchauffement climatique anthropique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , on 7 décembre 2010 by Résistance 71

Qui a t’il derrière l’appel de Ted Turner pour une politique de « l’enfant unique » globale ?

L’oncle Ted a 5 enfants, mais lorsque le Nouvel Ordre Mondial sera achevé au moyen de l’élimination économique de la classe moyenne, vous serez sans doute forcés a être stérilisés pour argent comptant.

Par Paul Joseph Watson
Prison Planet.com
6 Decembre 2010

Url de l’article original:

http://www.prisonplanet.com/the-secret-behind-ted-turners-call-for-a-global-one-child-policy.html

– Traduit de l’anglais par Résistance 71 –

Quelques mois apres le fuitage d’un document de l’ONU qui révele que les alarmistes du réchauffement climatique anthropique (RCA) allait commencer a pousser la peur de la « surpopulation » en lieu et place de l’escroquerie du RCA afin de démanteler la classe moyenne, Le milliardaire globaliste Ted Turner a poursuivi en ce sens dans un dîner hier a Cancun, ou il a incité le monde a adopter la politique brutale de la Chine de « l’enfant unique », en suggérant même que les pauvres devraient être stérilisés en échange de l’aide gouvernementale.

Apres un discours de l’économiste Brian O’Neill de l’agence nationale américaine de la recherche atmosphérique qui concluait  « que la croissance rapide de la population mondiale contribuait a la croissance des émissions », oncle Ted lui emboîta le pas pour nous rappeler que des esclaves ne devraient pas suivre son exemple d’avoir cinq enfants, devraient se restreindre a un ou devraient faire face a la colère d’une politique d’enfant unique « a la chinoise »; politique qui envoie les femmes qui défient cette politique dans des camps de ré-éducation seulement apres avoir été battues, injectées contre leur volonté de substances chimiques et avoir eu leur enfant avorté.

Le journal Globe and Mail (Canada) reporte que « Mr Turner, un avocat de longue date du contrôle des populations, a déclaré que le stress auquel la Terre fait face demande des mesures radicales, suggérant que les pays devraient suivre l’exemple de la Chine en adoptant une politique de l’enfant unique pour réduire la population mondial dans la durée. Il ajouta que les droits a la fertilité pourraient être vendus ainsi les pauvres pourraient profiter de leur décision de ne plus se reproduire. »

La véritable raison derrière cet appel de Ted Turner pour les nations occidentales a adopter cette politique tyrannique qui est administrée en Chine par des policiers infiltrés et les autorités de la « planification familiale », qui kidnappent, droguent et pratiquent des avortements forcés sur des femmes enceintes, n’a rien a voir du tout avec son intérêt pour l’environnement. Comme nous l’avons vu, Turner lui-même a cinq enfants et possede 2 millions d’âcres de terrain. Il est le plus grand propriétaire terrien privé au monde, second seulement des familles royales européennes. Turner a publiquement supporté l’idée de programmes de réduction de la population qui pourrait limiter la population mondial de 95%, un nombre seulement atteignable au moyen de programmes drastiques de génocide, d’avortement de masse et d’infanticide.

Dans le tiers monde, Turner a littéralement contribué a coups de milliards de dollars a la réduction des populations, essentiellement a travers des programmes de l’ONU, menant ainsi la danse pour Bill & Melinda Gates et Warren Buffet (le père de Gates a longtemps été un membre influent du comité directeur de l’administration de Planned Parenthood aux Etats-Unis et un eugéniste notoire). Gates a lui-même discouru sur la promotion de l’utilisation des vaccins comme moyen de réduire la population globale ainsi que de réduire les émissions de CO2.

Comment une amélioration de la santé publique par les vaccins qui sont supposés sauver des vies amènerait a réduire globalement la population reste un mystère a moins que Gates se réfere a des vaccins qui stériliseraient les gens, ce qui est précisément la même méthode promue par le conseiller scientifique de la Maison Blanche John P. Holdren dans son livre « EcoScience », qui appelle a un régime dictatorial planétaire pour appliquer des mesures draconiennes de réduction des populations par tout moyen oppressif, incluant la stérilisation forcée. C’est de quoi Gates et Turner ont discuté lorsqu’ils se sont rencontrés en secret avec la clique des Georges Soros et David Rockefeller dans un meeting privé des milliardaires a Manhattan l’an dernier; une réunion focalisée sur le comment ces globalistes pourraient utiliser leurs fortunes pour « ralentir la croissance démographique mondiale ».

De maniere facilement vérifiable, le véritable agenda derrière l’attisement des peurs sur la surpopulation est la réduction du niveau de vie globalement, en faisant en sorte que le tiers monde ne puisse jamais devenir prospere, tout en éviscérant la classe moyenne des nations occidentales. Cela n’a absolument rein a voir avec le sauvetage de la planète et cela n’est qu’un autre cheval de troie que les globalistes proposent pour que finalement le monde endorse leur tyrannie.

Ce fait a été admis par le biais d’un document de l’ONU fuité en Septembre dernier. Ce document appelle les alarmistes a pousser pour le remplacement du réchauffement climatique anthropique retombé comme un soufflet, par la peur de la « surpopulation », tout en concédant que le but ultime était de « limiter et rediriger les aspirations pour une vie meilleure de la classe moyenne mondiale », en d’autres termes: convaincre les masses qu’ils devront se contenter d’un état de quasi pauvreté afin de sauver la planète d’un armageddon environnemental. Bien sûr oncle Ted gardera ses 2 millions d’âcres de terre et ses cinq enfants continueront a procréer a l’infini, c’est évident.

La surpopulation est un mythe. Les chiffres de l’ONU eux-mêmes indiquent clairement que la population sera amenée a se stabiliser naturellement vers 2020 pour ensuite dramatiquement chuter apres 2050. Ainsi que « The Economist » l’a rapporté: « La fertilité diminue et les familles s’amenuisent dans des endroits comme le Brésil, Indonésie, et même certaines parties de l’Inde. Comme notre bref rapport le montre, le taux de fertilité de la moitié du monde est de 2,1 ou moins, ce chiffre magique est celui qui est consistant avec une population stable et est généralement appelé « le taux de fertilité de remplacement ». A un moment donné entre 2020 et 2050, le taux de fertilité humain mondial va chuter au dessous du taux de remplacement global ».

Insistons: non seulement les chiffes indiquent clairement que la surpopulation est une peur manufacturée, mais les alarmistes eux-mêmes ont été pris a admettre qu’ils déclenchent cette peur pour réduire les niveaux de vie en occident et ainsi provoquer une « redistribution de la richesse globale ». Ne soyez pas dupe une seconde que cette « redistribution globale de la richesse » se matérialisera en une sorte d’utopie socialiste. Comme cela fut divulgué au sommet de Copenhague en 2009, le « programme de redistribution globale de la richesse » est essentiellement axé autours du pillage des biens et des richesses de la classe moyenne des pays riches par l’application de la taxe carbone et d’utiliser cet argent glâné pour financer un gouvernement mondial. Comne l’a révélé le fameux « texte danois » de ce sommet, l’argent généré par les impôts divers de consommation ira directement a la Banque Mondiale, pas aux pays en voie de développement.

Laissez-moi insister de nouveau: même si vous croyez aux balivernes qui circulent a propos de la surpopulation, les gens qui sont mis en charge de « résoudre le problème » sont des gens qui ont déclarés publiquement que leur but était de réduire la population humaine de 95% en détruisant la prospérité et la liberté économique de l’occident tout en s’assurant que le tiers monde reste enseveli sous une montagne de dettes dûes a la Banque Mondiale et au FMI.

Ceci revient a nommer Charlie Manson comme directeur d’une colonie de vacances. Ted Turner est un milliardaire industriel avec cinq enfants, 2 millions d’âcres de terrain et un réseau d’intérêts commerciaux qui crache plus de gaz carbonique en un an que tous les gens lisant cet article dans toute leur vie; et il nous dit de faire des sacrifices, de ne pas avoir d’enfants, de vendre notre droit a la reproduction et de nous faire stériliser, de réduire nos niveaux de vie, tout comme Al Gore expliquant que le réchauffement climatique anthropique augmente le niveau des océans et qui acheté une propriété en tout bord de mer valant des millions de dollars.

Combien de preuves supplémentaires faudra t’il aux gens pour accepter le fait que la surpopulation est un mythe et que cela a été arrangé par les alarmistes du RCA qui l’utilisent maintenant comme remplacement de la pseudo-science discréditée du réchauffement climatique anthropique (RCA) afin de construire leur Nouvel Ordre Mondial, qui est basé exclusivement sur la presse de la classe moyenne pour rendre les citoyens plus dépendants de leur gouvernement big-brother, ainsi devenant les architectes de leur propre mise en esclavage et se retrouvant forcer d’aller mendier a quatre pattes 3 sous a oncle Ted.

*********************

Paul Joseph Watson est le rédacteur en chef et écrivain pour Prison Planet.com; il est l’auteur du livre « L’ordre venant du chaos ». Watson est aussi un présentateur du Alex Jones Show. Il a été interviewé par bon nombres de publications et d’émissions de radio dont Coast to Coast AM, l’émission radio de débat de soirée la plus écoutée aux Etats-Unis.

Article de ce site a lire en complément:

https://resistance71.wordpress.com/2010/12/01/marche-du-nouvel-ordre-mondial-comment-les-elites-neoliberales-ont-planifie-la-destruction-de-la-classe-moyenne-au-nord-et-au-sud/


Réchauffement anthropique: le patron du GIEC admet que les chiffres sont estimés, que la politique est le facteur motivant principal !

Posted in actualité, écologie & climat, réchauffement climatique anthropique with tags , , , on 5 septembre 2010 by Résistance 71

Nous avons traduit ici un article de la journaliste scientifique australienne Jo Anne Nova, qui commente une interview donnée par le patron du GIEC Pachauri au journal « India Times » passée inaperçue (et pour cause…) dans la presse propagandiste de masse occidentale…

Les révélations de Pachauri sont édifiantes sur le peu de motivation scientifique qui affuble l’entité politique du GIEC. Pour les opposants a l' »église de la climatologie », le dogme du réchauffement climatique anthropique (RCA) n’a été imposée a la face du monde par des décideurs financiers et politiques intéressés, qui ont érigés le mensonge et le détournement de la science en un véritable art de vivre, que pour a la fois recréer une bulle financiere sur un marché dérivatif tres juteux: l’échange des crédits carbone (Pachauri, Al Gore et leurs amis de Goldman Sachs sont du reste tres impliqués dans la création du CCX tout comme un certain Barack Obama en écrivit les statuts pour le compte de la firme d’avocats pour laquelle il travaillait…) et également parvenir a un contrôle politico-économique absolu global par le biais de la taxe carbone, servant a payer pour l’établissement du gouvernement unique privé mondial…

Cette interview de l’arrogant Pachauri ne vient qu’apporter plus d’eau au moulin du mouvement des « sceptiques » climatiques. Nous avons vu sur ce site, que le RCA est un outil de plus dans la panoplie du parfait oppresseur. D’autres informations sont disponibles en ligne.

— Résistance 71 —

Pachauri admet que le GIEC ne fait qu’estimer les chiffres

Par JoAnne Nova,

url de l’article original:

http://joannenova.com.au/2010/09/pachauri-admits-the-ipcc-just-guesses-the-numbers/

Finalement, la pression qui s’exerce sur le GIEC est telle, que Pachauri a été forcé d’adopter la position ridicule d’essayer de sauver la crédibilité de l’instance en contredisant essentiellement leur dernière campagne de relation publique. Il a pris la mesure extraordinaire d’admettre qu’ils n’ont pas de chiffres fiables, mais bon, tout va bien car le GIEC est en fait une agence gouvernementale qui fait de la politique et non pas la rédaction des rapports scientifiques « qui ne voient jamais le jour ». Ainsi il admet que le GIEC ne fut que prescriptions politiques depuis tout ce temps et que la science fut juste arrangée pour donner une excuse valable. Et bien qui l’eut cru ?

Avec sa déclaration ou il indique qu’il est satisfait d’avec le rapport du IAC, il laisse passer une bourde notable:

Le journal « Times of India » demande: « Y a ’til quelque chose dans le rapport d’enquête de l’ONU avec quoi vous seriez en désaccord total ou partiel? »

Il répond: « Ils ont parlé d’incertitudes quantatives. En partie, c’est ce que nous faisons, bien que de maniere imparfaite. Mais le problème est que dans quelques cas, vous n’avez pas réellement de base quantitative a laquelle attacher une probabilité ou un niveau d’incertitude qui définit les choses en termes quantitatifs. La, ne minimisons pas l’importance d’un jugement expert. Ceci est quelque chose que le rapport n’a pas mentionné ou n’a pas éclairé. »

Donc, si vous ne pouvez pas quantifier les incertitudes (comme l’est par exemple la sensibilité du climat de 0,5 ou de 6,5 degrés et avec quelle probabilité), simplement faites votre meilleure estimation et appelez cela une opinion d’expert (spécifiquement si vous choisissez et payez les « bons experts ».) et dites qu’il y a 90% de certitude, même s’il n’y a aucun chiffre pour vous appuyer.

Depuis toutes ces années a déclarer que le GIEC est un corps scientifique et maintenant que la vérité fait surface, qu’il ne l’est pas; soudainement l’excuse devient qu’en fait il est lié a la politique. Regardez comment Pachauri essaie de positionner le GIEC aussi loin que possible de la science: question du « Times of India »:  « Sortir une politique répressive de la science la rend-elle dénuée de son but social ? »

Réponse de Pachauri: « Rendons-nous a l’évidence, nous sommes une entité inter-gouvernementale et notre force et l’acceptation de ce que nous produisons existent largement par le biais du fait que nous sommes possédés par les gouvernements. (Note de JoAnne: et moi qui pensait que leur force résidait dans les « 2500 scientifiques » et leurs revues et apports rigoureux ?)

Si cela n’était pas le cas, nous ne serions alors qu’un autre corps scientifique de plus qui produirait peut-être des études de première qualité mais qui ne verraient jamais le jour parce qu’ils n’ont aucune conséquence en matière de décision politique. Maintenant clairement, si c’est un corps inter-gouvernemental et que nous voulons être sous tutelle des gouvernements pour ce que nous produisons, alors de maniere évidente, ils nous guideront sur la direction a suivre, quelles sont les questions auxquelles ils veulent une réponse. Malheureusement, les gens ont complètement loupé le pourquoi et le comment de la création du GIEC. Il est clairement dit que notre évaluation doit inclure des réponses stratégiques réalistes. Si cela n’est pas une évaluation des politiques, qu’est ce qu’il représente donc ? J’ai bien peur que nous ayons été a mon sens, timorés a sortir toute une gamme de résolutions politiques et je ne dis pas nous prescrivons cette politique A, B ou C, mais sur la base de la science, nous devons regarder vers des stratégies de réponses réalistes. C’est exactement ce que ce comité nous a recommandé de faire, de sortir de la prescription de politique. C’est pour cette raison que j’ai expliqué ce qui est écrit dans le mandat du GIEC. Ceci est une mauvaise perception de la part de quelques personnes de la communauté scientifique et j’espère que je pourrai la corriger. »

Le GIEC ne peut pas avoir le dernier mot de maniere impartiale dans le domaine de la science et dans le domaine des résolutions politiques. Soit la recherche de la vérité conduit cette agence ou soit c’est le besoin de pousser une politique définie. Impossible de répondre aux deux sans conflits; en cela il déclare que la première priorité n’est pas de savoir exactement ce qui amene notre climat a changer.

Read more: I am happy that truth has come out: Pachauri – India – The Times of India

Le mythe du Réchauffement Climatique Anthropique (RCA)

Posted in actualité, écologie & climat, sciences with tags , , , , , , on 27 juin 2010 by Résistance 71

Le dogme erroné du réchauffement climatique anthropique ou RCA battait déja de l’aile avant le meeting de Copenhague en Novembre 2009. Depuis le climategate de novembre dernier, l’escroquerie de ce dogme pseudo-scientifique a été exposée ainsi que la dictature de la pensée unique de l’organe politique (et non scientifique) de l’ONU en la matiere: le GIEC, qui a agi en véritable tyran du dogme pseudo-scientifique pendent plus d’une décennie.

Le passage de la tendance « refroidissement global » des années 70 a la tendance « réchauffement global » de la fin des années 80 n’est aucunement prouvé scientifiquement. Ceci est le résultat exclusif d’une décision politique, motivée par des intérêts financiers particuliers. Si le probleme de la pollution est bien réel, celui du RCA est un leurre qui ne profite qu’a une minorité de financiers et de grosses multinationales.

Ci-dessous le manuel du sceptique de Joann Nova, journaliste scientifique australienne qui démonte le dogme pour nous dans ses deux versions complémentaires Manuel du Sceptique I:

http://lemytheclimatique.files.wordpress.com/2010/01/manuel.pdf

et le Manuel du Sceptique II:

http://www.skyfall.fr/uploads/Manuel%20du%20Sceptique%20II-V4.pdf

A lire absolument et faire passer sans modération !