Victor Rothschild était un agent soviétique
Jonas E. Alexis et Henry Makow
19 mars 2021
url de l’article original:
https://www.veteranstoday.com/2021/03/19/victor-rothschild-was-a-soviet-agent-2/
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Henry Makow possède un doctorat en littérature anglaise de l’université de Toronto (1982) et est l’auteur de livres à succès comme “Cruel Hoax: Feminism & New World Order and Illuminati: The Cult that Hijacked the World.”
Jonas E. Alexis : éditeur et fréquent analyste / contributeur de VT, il est professeur de mathématiques en Corée du Sud. (R71)
JEA:
Une des “forces industrieuses” qui a contrôlé le monde financier aux XVIIIe et XIXe siècles au travers d’opérations secrètes n’était autre que la famille Rothschild. Le quotidien britannique “The Independent” lui-même a rapporté en 2011 que les Rothschild avaient dominé la paysage politique par moults projets sous-jacents depuis au moins 200 ans : [1]
La famille Rothschild et la politique ont été inbriquées l’une dans l’autre depuis des générations, depuis que Nathan rothschild, qui fonda la branche anglaise des affaires de la famille, finança la guerre de l’Angleterre contre Napoléon il y a deux siècles…
La domination et le pouvoir des Rothschild par ces moyens cachés a été admise par l’historien Gustavus Myers qui écrivit dans son “Histoire des grandes fortunes américaines” que “sous la surface, les Rothschild ont une puissante influence pour dicter les lois financières américaines. Les archives législatives montrent qu’ils furent le pouvoir derrière la vieille banque américaine.” [2]
S.C Mooney écrit que “la famille Rothschild se démarque dans l’histoire comme l’exemple principal du pouvoir manipulateur de la banque internationale… Au moyen de l’usure menée à une échelle internationale, ils furent capables de consolider leur richesse et leur pouvoir afin de tourner les affaires du monde en accord avec leur préférence.”[3] Les Rothschild ont financé des guerres avec l’Angleterre et en Amérique, collectant au passage d’énormes intérêts sur la dette, faisant ainsi un énorme profit. Dès le milieu du XIXe siècle, la Banque d’Angleterre était dominée de manière proéminente et contrôlée par la famille Rothschild. Un écrivain juif autrichien du nom de Frédéric Morton écrivit qu’à la mi-XIXe siècle “Les Rothschild étaient maintenant les banquiers d’empires et de continents, de tous les principaux pays européens, de la Russie eurasienne, des Amériques, des Indes… A Paris, Vienne, Francfort et Naples, les branches gigantesques de l’entreprise étaient juste tout aussi occupées à engranger les profits.”[4]
La jeune historienne juive Esther Benbassa a des vues similaires.[5] Elle dit que “les Rothschild sont des francs-maçons du rite écossais.”[6], mais pour Benbessa la franc-maçonnerie est noble et une organisation religieuse tolérante qui a bien accueilli les juifs.[7]
L’historien philosémite Niall Ferguson a déclaré que Nathan Rothschild “devint capable de devenir le principal conduit de l’argent du gouvernement britannique vers les champs de bataille continentaux sur lesquels la destinée de l’Europe se jouait en 1814 et 1815.”[8] Nathan, d’après Ferguson “devint un maître du marché des bons du trésor” et le “maître de la politique européenne” pendant les guerres napoléoniennes.[9]
Au XIXe siècle, Nathan a établi “la plus grande banque au monde”[10]. Un magazine américain se plaignait dans les années 1830 que “pas un cabinet ministériel ne bouge sans un conseil des Rothschild. Ils étendent leurs mains avec la même facilité de St Petersbourg à Vienne, de Vienne à Paris, de Paris à Londres et de Londres à Washington.”[11]
Les Rothschild, en relation avec la fondation Rockefeller, furent derrière “la monnaie de singe et la politique inflationniste du début du New Deal de Roosevelt.”[12] (en 2012, les Rothschild tentèrent de fusionner des opérations bancaires françaises et britanniques afin de gagner toujours plus de contrôle). David de Rothschild déclara que le nouveau système “collerait a mieux aux nouveaux requis de la mondialisation de manière générale et dans notre environnement particulièrement concurrentiel en particulier, le tout en assurant le contrôle à ma famille sur le très long terme.”[13])
Bien entendu, Ferguson n’attribue en rien la puissance économique des Rothschild à l’usure, la spéculation et à la manipulation économique, ni même au vol pur et simple mais “une une bonne étoile”[14], quelque chose qui n’a rien de rationnel.
Néanmoins, il y eut d’autres voix, qui pensèrent que les Rothschild fomentaient quelque chose. En 1828, Thomas Dunscombe déclara :
“Maître d’une fortune sans limite, Nathan martèle qu’il est l’arbitre de la paix et de la guerre et que le crédit financier des nations dépend de son bon vouloir ; ses correspondances sont innombrables ; ses courriers sont bien plus rapides que tous ceux des princes et des ministres d’état sont payés par lui.”[15]
Henry Clews, le financier américain qui a écrit “28 ans à Wall Street” en 1888 déclara que les Rothschild faisaient une fortune en Amérique au travers du banquier allemand August Schonberg qui changea son nom en Belmont lorsqu’il arriva aux Etats-Unis.[16]
Clews déclare qu’au travers de son “avarice” et de son “sens de la pénurie”, Nathan Rothschild en particulier manipulerait le marché.[17] L’historien Caroll Quigley affirma que les Rothschild, parmi d’autres banquiers, trompaient secrètement les gouvernements et les peuples ; il dit que Mirabaud et les Rothschild devinrent le système financier dominant entre 1871 et 1900. L’économiste britannique J.A. Hobson a déclaré en 1902 que rien ne pouvait être fait “par aucun état européen, si la maison rothschild en avait décidé autrement.”[18]
Les Rothschild ont fait fortune durant les guerres napoléoniennes.[19] L’écrivain juif né autrichien Frederic Morton (né Fritz Mandelbaum) a déclaré que “les Rothschild ont mieux conquis le monde, de manière plus perverse et sur une bien plus grande longévité que tous les Césars avant eux et les Hitler après eux.”[20]
L’assertion de Morton est corroborée par le biographe Derek Wilson qui déclara que les Rothschild étaient si financièrement et politiquement puissants que même les gouvernements royaux et les leaders politiques avaient peur d’eux.[21] Leur influence était si intrusive et secrète que Wilson continue pour dire que :
“la clandestinité était et demeure la caractéristique de l’activité politique des Rothschild… Et pourtant durant tout ce temps, ils aidèrent à façonner les évènements majeurs de leur temps, en accordant ou en retenant des fonds, en fournissant aux hommes d’état un service diplomatique officieux ; en influençant les agendas des plus hauts services et en intervenant de manière quasi quotidienne avec les grands décideurs de ce monde.”[22]
Ferguson déclara:
“Personne ne fait plus pour faire avancer la révolution que les Rothschild eux-mêmes et, bien que cela puisse paraître bien étrange, ces Rothschild, les banquiers des rois, ces gardiens des bourses princières, dont l’existence pourrait bien être menacée par l’effondrement du système étatique européen, continue de porter la conscience de leur mission révolutionnaire. Je vois dans les Rothschild parmi les plus grands révolutionnaires ayant fondé la démocratie moderne.”[23]
De bien des manières, ils ont fondé ce qui est “la démocratie moderne” en détruisant l’ancien système et en le remplaçant par le mammon juif. “Rothschild a détruit la prédominance de la terre en développant le système des bons du trésor jusqu’à devenir la puissance suprême, mobilisant par là la propriété et quelques revenus et dans le même temps donnant accès à l’argent aux privilèges de la terre. Ils créèrent il est vrai une nouvelle aristocratie, mais celle-ci reposant sur le moins stable des éléments, l’argent et qui ne pourra jamais jouer un rôle aussi régressif dans le temps que l’ancienne aristocratie, qui elle était ancrée dans la terre elle-même.”[24]
Ferguson a même admis que les Rothschild représentaient “une nouvelle religion matérialiste”, rien d’autre que celle de l’argent. Heinrich Heine, le poète allemand vit la même chose : “L’argent est le dieu de notre temps.” déclarait-il en mars 1841, “et Rothschild est son prophète.”[25]
Bref, ce ne devrait pas être une surprise de réaliser que les Rothschild étaient de mèche avec l’URSS. Henry Makow a quelque chose à dire à ce sujet (NdT: voir aussi l’excellente recherche de l’historien de Stanford U Antony Sutton dans son “Wall Street et la révolution bolchévique”…)
Henry Makow:
En 1942, Sir Mark Oliphant, un physicien britannique de renom fut choqué lorsqu’un messager livra une partie de sa nouvelle technologie de radar avec un avertissement de l’inspecteur à la sécurité du MI5 (NdT: contre espionnage britannique), Victor Rothschild, pour “renforcer votre sécurité”.
Quelques jours plus tôt, Rothschild avait visité le laboratoire universitaire d’Oliphant à l’université de Birmingham, l’avait interrogé sur sa recherche et empoché le magnetron de 7,5cm de diamètre.
Mais parlez-nous donc de Chutzpah !
Le baron de Rothschild était lui-même un agent soviétique ! Avant de rendre le magnetron, il avait transmis des dessins des plus détaillés à Moscou, un fait plus tard confirmé par ses contacts du KGB.
Oliphant raconta cette histoire à Roland Perry en 1994, l’auteur du livre “The Fifth Man” ou “Le cinquième homme” (1994, Sedgwick and Jackson, 475 pages).
Entre 1935 et 1963, l’URSS était au courant de tous les secrets militaires et scientifiques de la Grande-Bretagne, ce grâce au “Cinq de Cambridge”, un réseau d’espionnage qui opérait au sein même du MI6 et du MI5 et du ministère des affaires étrangères britannique. Les agences de renseignement occidentales devinrent inefficaces et les secrets des alliés, y compris la méthodologie de fabrication de la bombe A, furent volés.
Les traîtres s’appelaient Kim Philby, Donald McLean, Guy Burgess et Anthony Blunt. Mais il y a une hésitation naturelle à admettre que le “Cinquième homme” fut Nathaniel Meyer Victor Rothschild (1910-1990), le 3ème baron Rothschild, le patron britannique de la plus riche dynastie bancaire, qui contrôle la Banque d’Angleterre.
En 1993, après la dissolution de l’URSS (1991), six colonels en retraite du KGB confirmèrent l’identité de Rothschild à Roland Perry. Le colonel Youri Modin, le contact en chef du réseau, témoigna officiellement.
Perry écrit : “D’après Modin, Rothschild était la clef de pratiquement toute l’infiltration du réseau de Cambridge du renseignement britannique. “Il avait les contacts”, nota Modin. “Il fut capable de présenter Burgess, Blunt et les autres à des personnes importantes du renseignement comme Stewart Menzies, Dick White et Robert Vansittart du ministère des affaires étrangères… qui contrôle le MI6.” (page 89 de son livre)
On peut comprendre l’hésitation. Les Rothschild sont sans aucun doute les plus gros actionnaires du système mondial de banques centrales. La carrière de Victor Rothschild comme agent soviétique confirme que ces banquiers basés à Londres planifient de transcrire leur monopole sur le crédit en un monopole sur absolument tout, utilisant les gouvernements comme leur instrument, finalement la dictature d’un “gouvernement mondial” ressemblant au “communisme d’état”.
Ceci ajoute à la crédibilité du fait que les Rothschild furent derrière la révolution bolchévique et utilisèrent la “guerre froide” et plus récemment l’escroquerie du 11 septembre 9/11 et sa “guerre contre le terrorisme” bidon pour faire avancer leur hégémonie mondiale.
Qu’est-ce qui est le plus plausible ?
Un des hommes les plus riches du monde, Victor Rothschild, épousa les idées communistes (marxistes) de façon à ce que sa propre fabuleuse fortune et sa position des plus enviables puissent lui être retirées ?
Ou bien que le communisme (d’état) fut une tromperie mise en place pour nous retirer notre richesse et notre liberté au nom de “l’égalité” et de la “fraternité” ?
Homme d’action
D’après “Le cinquième homme”, Victor Rothschild avait un QI de 184. Il était un très talentueux pianiste de jazz et possédait une compréhension intuitive de bien des disciplines scientifiques. Il voyait le monde des affaires et de la banque comme quelque chose de pénible et futile et préférait l’exemple excitant de son arrière-grand-père Lionel Rothschild (1808-1879) que Benjamin Disraeli immortalisa comme “Sidonie” dans son roman “Coningsby” (1844)
“Aucun ministre d’état n’avait autant de communication avec des agents secrets et des espions politiques que Sidonie. Il entretenait des relations avec tous les parias les plus intelligents au monde. Le catalogue de ses connaissances allait de Grecs aux Carbonari en passant par des Arméniens, des Maures, des juifs secrets, des Tatares, des Gitans et des Polonais errants, ce qui jetterait une lumière bien curieuse sur ces agences sous-terraines dont le monde sait si peu, mais qui exercent une très grande influence sur les évènements publics. L’histoire secrète du monde était son passe-temps. Son plus grand plaisir était de mettre en contraste le motif secret avec le prétexte public, des transactions.” (Coningsby pp. 218-219)
Rothschild étudia la zoologie à l’université de Cambridge où Antony Blunt le recruta pour le KGB vers 1936. Blunt dira plus tard que Rothschild en fait le recruta, ce qui avait bien plus de sens. Rothschild rejoignit plus tard le MI5 et fut mis en charge du contre-sabotage. Il enseigna à l’armée sur le comment reconnaître des bombes et comment les désamorcer. Rothschild était un ami personnel de Winston Churchill, Perry écrit :
“Les deux hommes socialisèrent beaucoup durant les années de guerre. Rothschild utilisa sa richesse et sa position pour inviter le premier ministre dans des parties, fêtes privées. Son entrée auprès du leader de guerre plus ses accès à l’information clef, à tous les développements militaires et d’armement importants et son commandement au sein des opérations de contre-sabotage en Grande-Bretagne firent de Rothschild un personnage secret très très puissant durant les années de guerre… Le résultat fut que Staline en savait autant que Churchill au sujet d’informations vitales, souvent même avant que le Haut Commandement britannique fut même avisé.”(XXVIII-XXIX)
Rothschild a aidé à neutraliser les ennemis de l’URSS qui vinrent chercher un soutien auprès de la GB. Par exemple, il fut impliqué dans la couverture de l’assassinat du leader politique polonais durant la guerre et allié des Britanniques Vladislaw Sikorski, dont l’avion explosa en juin 1944. Sikorski était préoccupé avec Staline après avoir découvert que le KGB (NdT: à l’époque le NKVD et non pas les Allemands…) avait massacré quelques 16 000 officiers de l’armée polonaise dans les bois de Katyn et ailleurs en 1940.
En 1944, Blunt, Burgess et Philby restèrent tous avec Victor dans la maison/manoir des Rothschild à Paris. Rothschild fut brièvement en charge du renseignement allié à Paris et interrogea beaucoup de prisonniers.
Après la guerre, Rothschild passa du temps aux Etats-Unis pour superviser les tentatives d’apprendre les secrets de la bombe A. A cause en partie des Cinq de Cambridge, Perry dit “Les Russes étaient au courant de toute opération majeure de renseignement mise en œuvre contre eux entre les années 1945 et 1963.”(XXXI)
CONCLUSION
Victor Rothschild a eu pas mal de boulots et de fonctions qui servirent de paravent à son véritable rôle que je suspecte être celui d’un membre de Grand Conseil des Illuminati. (Les Illuminati représentant le plus haut rang de la franc-maçonnerie). Il n’était un agent de bas étage. Il donnait probablement des ordres à des gens comme Winston Churchill, franklin Delano Roosevelt et Joseph Staline.
Il s’assura par exemple que l’URSS soutint la mise en place et le développement de l’état d’Israël. “Il connaissait très bien les couloirs secrets adéquats de derrière le rideau pour entrer en contact avec les preneurs de décision à Moscou”, a déclaré à Perry un colonel du KGB. “Disons qu’il a fait en sorte que des choses se produisent et vous ne pouvez y parvenir que si vous savez toucher le sommet. Il était très persuasif.” (176)
T Stokes a écrit:
“Dans les archives du renseignement russe, Lord et Dame Rothschild ont un nom de code : “David et Rosa”. Rothschild et Churchill étaient inséparables durant la seconde guerre mondiale. Les banquiers ont acheté les services de Churchill durant la seconde guerre mondiale pour la somme archivée de 50 000£ afin de faire pression pour une guerre totale contre l’Allemagne et durant la première GM, Churchill avait un compte en banque au nom de “colonel Arden”, afin d’accepter et de toucher ces dons secrets.”
Le fait que Rothschild fut protégé jusqu’à sa mort suggère que ceci est en fait une conspiration émanant de la classe dirigeante. D’après Greg Hallett, Anthony Blunt, un comparse espion, était un fils illégitime du roi George V, demi-frère et quasi sosie du roi Edouard VIII, le Duc de Windsor. Jusqu’à son dévoilement en 1964, Blunt fut anobli et fut le curateur de la collection privée d’œuvres d’arts de la reine Elisabeth II. Il reçût l’immunité totale en échange de ses aveux.
Beaucoup pensent que cette conspiration est “juive”. Alors oui, mais “sataniste générationnelle” serait en fait un terme bien plus précis. Ces juifs sabbatéens se marient avec des gentils. L’actuel Lord Jacob Rothschild, le 4ème Baron Rothschild, est le fils de Victor par sa première femme Barbara Hutchinson qui n’était pas juive mais qui s’est convertie. De par la loi hébraïque, Jacob Rothschild n’est pas juif. Il s’est marié avec Serena Dunn. Au fait, Meyer Amschel, Le seul fils de Victor de son second mariage, aussi un non juif, s’est “suicidé” en 1996.
Alors que Victor Rothschild prétendait adhérer à des “idéaux socialistes”, ceci ne fut qu’une ruse pour piéger des idéalistes trompés. Le banquier était un traître parfaitement conscient de ce qu’il faisait. La trahison est la règle, l’étalon de la politique contemporaine. Le cartel des banques centrales érige sa “gouvernance mondiale” dictatoriale et quiconque veut avoir du succès doit être loyal au nouveau paradigme dégénéré et un traître au véritable ancien.
En nous distrayant avec du sport et du cul, nos “leaders” politico-culturels attaquent nos fondations nationales, religieuses, raciales et familiales en utilisant la guerre, l’homosexualité, la pornographie, le féminisme, la migration et la “diversité”.
Nous avons clairement besoin de nouveaux leaders qui se dresseront devant les propriétaires du système monétaire international. Il en va du destin de l’humanité.
Note de Résistance 71 : Si nous trouvons l’analyse et les révélations faites dans cet article suffisamment intéressantes et originales pour être traduites, nous ne sommes en revanche pas d’accord avec la conclusion qui propose ou du moins envisage une fois de plus un énième réformisme du système en le rendant plus “vertueux” et changeant les aristocrates en charge. Tout cela n’est que reculer pour mieux sauter à la corde. Tirer les conclusions qui s’imposent de cette fange ne peut mener qu’à cette conclusion fatale: il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir. Il ne peut pas y avoir de “leaders” se dressant contre cette fabrication sociale élitiste et dominatrice car tout “leader” est immédiatement phagocyté, digéré ou dûment éliminé si incorruptible. Le système étatico-capitaliste est fondé sur ce principe, la duperie, l’exploitation, le crime et la domination sont dans son “ADN”. Les cas sont nombreux dans l’histoire de leaders assassinés après avoir refusé d’en croquer.
La solution réside dans l’abolition de l’État, de la marchandise, de l’argent et du salariat et la réintégration du pouvoir au sein du corps social pour y être exercé par toutes et tous dans la complémentarité de oui… notre diversité ! Tout le reste n’est que pisser dans un violon !
Qu’on se le dise !
[1] Andy Mcmith, “The Rothschilds and their 200 years of political influence,” Independent, October 23, 2011.
- [2] Gustavus Myers, The History of the Great American Fortunes, Vol. III (Chicago: Charles H. Kerr & Co., 1910), 183-184.
- [3] S. C. Mooney, Usury: Destroyer of Nations (Warsaw, OH: Theopolis, 1988), 90.
- [4] Frederic Morton, The Rothschilds (New York: Scribners, 1988), 101.
- [5] Esther Benbassa, The Jews of France: A History from Antiquity to the Present (Princeton: Princeton University Press, 1999), 104.
- [6] Ibid.
- [7] Ibid., 122.
- [8] Niall Ferguson, The House of Rothschild, 19.
- [9] Niall Ferguson, The Ascent of Money: A Financial History of the World (New York: Penguin, 2008), 78.
- [10] Ibid.
- [11] Ferguson, The House of Rothschilds, 19.
- [12] Murray N. Rothbard, A History of Money and Banking in the United States (Auburn, AL: Ludwig von Mises, 2002), 307.
- [13] Harry Wilson, “Rothschids to Merge British and French Banking Operations to Secure Control,” Telegraph, April 5, 2012.
- [14] Ferguson, House of Rothschilds, vol. I, 85.
- [15] Ferguson, Ascent of Money, 78.
- [16] See Henry Clews, Twenty-Eight Years in Wall Street (New York: Vintage Boosk, 2005), chapter 28.
- [17] Ibid.
- [18] Liaquat Ahamed, Lords of Finance: The Bankers Who Broke the World (New York: Penguin, 2009), 210.
- [19] Ibid., 210; see also Egon Caesar Corti, The Rise of the House of Rothschild (New York: Cosmopolitan Book Corp., 1928).
- [20] Morton, The Rothschilds, 14.
- [21] Derek Wilson, Rothschild: The Wealth and Power of a Dynasty (New York: Scribner’s, 1980), 98-99.
- [22] Ibid., 99.
- [23] Ferguson, The House of Rothchild, Vol. I, 16.
- [24] Ibid., 16-17.
- [25] Ibid., 17.
= = =
Lectures complémentaires :
Notre “dossier Rothschild”