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De Kamloops à Rome… Génocide du Canada, arrêtons les assassins d’enfants. Juillet 2021, mois de recueillement et d’actions directes (TICEE)

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MPD2

 

Communiqué du Tribunal International contre les Crimes de l’Eglise et de l’Etat 

 

TICEE

 

25 juin 2021

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Aujourd’hui, le gouvernement des Etats-Unis a annoncé que plus de 40 000 enfants des nations natives ont plus que probablement péri dans les pensionnats pour Indiens américains, alors que la Russie et ses alliés ont demandé aux Nations-Unies d’enquêter et de traduire le Canada en justice pour génocide. Notre campagne d’années durant est en train finalement de faire bouger des montagnes !

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De Kamloops à Rome, arrêtons les tueurs d’enfants : un mois de deuil et d’action directe commence le 1er juillet 2021

Un communiqué conjoint en ce vendredi 25 juin 2021 par le Canadian Genocide Tribunal et les Anciens des nations indigènes Squamish, Gitxsan, Nuu-Chah-Nulth, Secwepemc, Tsilhqot’in, Cree, Anishinaabeg-Ojibwe, Mohawk-Kanien’keha:ka and Mi’kmaq

https://youtu.be/pr4HIxcN-mM 

Les églises et le gouvernement s’en sont tirés d’avec l’assassinat de nos enfants, les jetant sous-terre. Maintenant ils mentent sur ce qu’ils ont fait parce qu’ils le font toujours. C’est fou et cela doit cesser ! La seule façon dont nous pouvons honorer ces enfants assassinés est d’empêcher que cela ne se reproduise en mettant leurs assassins derrière les barreaux et en reprenant ce qu’ils nous ont volé.”

~ Cheryl Squire, membre du conseil des anciens mohawk de Grand River le 11 octobre 2011 ~

Tout le monde est obligé par la loi et moralement d’empêcher et de punir le génocide dans ses frontières et de s’opposer à un tel crime commis par leurs gouvernements et dirigeants. Tout manquement à ce principe constitue une complicité en un tel crime et est un crime punissable sous la loi internationale.”

~ Commentaire légal sur la Convention des Nations-Unies sur le génocide, 1960~

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Pendant des siècles, nous avons vécu la violence et l’horreur de l’empire chrétien et avons vu ses tortures et génocide et le meurtre de nos enfants en Europe et ici sur l’Île de la Tortue. Nous ressentons toujours ses attaques sur nous chaque jour qui passe alors que nos enfants sont trafiqués et détruits physiquement et moralement, que notre terre est volée et détruite par des puissances étrangères et que nos familles et nos traditions se désintègrent. Nous sommes des peuples du grand Esprit mourants et aucun mot ou argent de compensation du sang ne nous sauveront.

Les églises et les gouvernements qui ont commencé ce crime le perpétuent aujourd’hui sous le masque du mensonge. Maintenant il n’en tient qu’à nous, en tant que peuple souverain de déraciner et de mettre un terme définitif à cette maladie une bonne fois pour toute, nous fondant sur la Grande Loi et sur nos ancêtres. Ce déracinement doit commencer avec nous-mêmes, car nous avons tous été complices de ce crime. Nous devons retrouver notre esprit et nos vies en nous nettoyant nous-mêmes des mensonges et des atrocités commis par l’église et l’état entrepreneuriaux / coloniaux.

Dans cet esprit et avec la Grande Loi de la Création, nous déclarons ce qui suit :

1.   Les tombes des enfants assassinés dans les camps de la mort chrétiens faussement appelés pensionnats pour Indiens constituent un sanctuaire qui ne peut pas être ouvert et examiné par quelques agents de l’église et du gouvernement qui les a assassinés, ceci incluant les marionnettes des conseils de bandes coloniaux. Seul un tribunal indépendant au sein de l’autorité traditionnelle de la loi et de la terre et de la loi internationale peut mener les recherches médico-légales et les excavations de ces endroits mortuaires et autres sur nos territoires. Nous autorisons donc ce type de travail et donc, en tant que détenteur du titre souverain de la terre nous ordonnons à tous les agents de la “couronne” et de l’église d’immédiatement mettre un terme à leurs actions sur ces sites ou de devoir faire face au bannissement immédiat et permanent de nos territoires.

 

2.    Pour nous démarquer des crimes et de la culture de notre génocide domestique, nous déclarons une semaine de deuil, de jeûne et de prière à travers les territoires connus sous le nom de Canada, commençant au lever du soleil le jeudi 1er juillet 2021. Nous demandons aux gens de ne pas aller au travail, de suspendre tout paiement, pensées et énergie de la société et de se dissocier au sein du cœur de la création, demandant au Grand Esprit force et conseil pour faire ce qui est juste et bon.

 

3.    Pour sauver nos enfants et récupérer ce qui nous a été volé et en accord avec la loi internationale, nous en appelons à tous de venir nous rejoindre dans des actions directes publiques durant le mois de juillet 2021 et au-delà pour occuper et récupérer les propriétés, les terres et la richesse que les églises criminelles qui ont tué 60 000 de nos enfants dans les camps de la mort des “pensionnats pour Indiens” : les églises catholique, anglicane et unifiée du canada. Nous déclarons par la présente ces églises bannies à tout jamais de nos territoires.

 

4.    Finalement, pour récupérer la terre appelée “Canada” de ce régime criminel repris de justice connu sous le nom de la Couronne d’Angleterre et de son sponsor du Vatican et en tant que détenteurs du titre souverain de la terre appelée “Canada”, nous ordonnons au gouverneur général du Canada (NdT: qui est le représentant officielle de la “couronne”, nommé par la reine d’Angleterre et sans l’aval de qui rien ne peut se faire sur cette terre coloniale…), le premier ministre, les membres du conseil privvy de la reine et du parlement et à tous les officiers fiduciaires du gouvernement du Canada de a) obéir immédiatement à la loi internationale en annulant l’exonération d’impôt, les privilèges et le statut légal de ces églises sus-mentionnées génocidaires du Canada et b) de se rendre ainsi que les officiels de ces églises aux instances de notre tribunal pour comparaître devant cette cour de justice pour crimes contre l’humanité.

 

Que tous se dissocient du mal et se tiennent à nos côtés en tant que nations libres et souveraines !

Fait en ce 25ème jour du mois de juin de l’an 2021 sur les territoires souverains de nos nations et au sein de la république fédérée du Kanata souveraine.

Le Tribunal Canadien contre le Génocide (affilié au Tribunal International des Crimes de l’Eglise et de l’Etat – TICEE / ITCCS)

www.murderbydecree.com , www.republicofkanata.ca , canadiangenocidetribunal@protonmail.com

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Lecture complémentaire :

« Meurtre par décret, le crime de génocide au Canada », TICEE

Notre page « Meurtre par décret »

 

ITCCS-TICEE

Meurtre par décret : Ce que révèlent les ossements des enfants des charniers du Canada… Un appel au vivant (Kevin Annett)

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Lors de la crise et du siège d’Oka en territoire mohawk volé par le Québec en 1990, une ancienne du conseil des femmes disait ceci aux locaux venus aux nouvelles : « Regardez bien ce qui se passe ici, parce que quand ils en auront fini avec nous… ce sera votre tour ! »
Elle avait non seulement raison, mais nous y sommes, sans que l’état colonial n’en ait encore fini avec les natifs, mais nous y sommes, car la fausse pandémie du SRAS-CoV-2 de laboratoire est une guerre (biologique) déclenchée contre l’humanité, « ça se voit à l’œil nu » dirait le toujours excellent Croquignol de nos chers « Pieds Nickelés ».
Excellente analyse ci-dessous de Kevin Annett sur les nouveaux développements de l(affaire de Kamloops et du génocide dans les pensionnats pour enfants indigènes du Canada.

~ Résistance 71 ~

Ce que révèlent les ossements des enfants natifs amérindiens : une lamentation pour les morts et un appel aux vivants

Kevin Annett

Secrétaire exécutif pour le Canada su Tribunal International contre les Crimes de l’Eglise et de l’État (TICEE)

Juin 2021

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

J’ai appris l’existence des charniers d’enfants autochtones de Kamloops il y a 23 ans de la bouche d’un témoin oculaire qui aida à en enterrer un bon nombre. En juin 1998, il prit la parole dans un tribunal que j’avais organisé à Vancouver pour enquêter sur le génocide ayant eu lieu dans les pensionnats pour Indiens du Canada. Son nom était Jesse Jules. Jessie était un homme qui avait peur. Il avait été menacé par sa propre bande/tribu à Kamloops de ne pas témoigner sur ce qu’il savait et avait vu.

Ils m’ont dit que je serai expulsé de ma maison sur la réserve si jamais je mentionnais tous ces enfants morts.” déclara Jessie à notre panel de juges du tribunal. Mais malgré cette menace, il parla quand même.

Jessie nous a raconté comment ses compagnons élèves de Kamloops moururent de faim dans des cellules en sous-sol de l’école et furent forcés de dormir avec d’autres enfants mourant de tuberculose après qu’ils aient été rattrapés de leur fuite. Il cita les noms de prêtres catholiques comme le frère Murphy qui sodomisait des enfants avec une pique à bétail et frappa à mort un petit garçon nommé Arnold avec une matraque. Jessie vit aussi un autre prêtre défenestrer une petite fille nommée Patricia qui mourut dans sa chute. Il nous dessina même une petite carte des endroits où il avait enterré les enfants la nuit sur l’ordre des prêtres.

Il y avait beaucoup de tous ces petits corps”, nous a t’il dit. “Nous n’avions plus de place sous terre, alors ils ont commencé à brûler les corps dans la chaudière de l’école. Elle marchait 24/24 et 7/7. Ils y jetaient même les bébés des filles qu’ils mettaient enceintes pour se débarrasser de toute preuve. J’ai vu les nonnes le faire.” Le centre de Kamloops fut particulièrement une maison des horreurs, même de part les standards des pensionnats prévus à cet effet, c’est pour cela que tant d’efforts ont été faits par les coupables pour cacher coûte que coûte toutes ces atrocités. Pendant bien des années ce fut un centre d’expérimentation où les enfants indiens particulièrement rebelles étaient envoyés pour “traitement spécial”, ce incluant des tests forcés pour des médicaments, stérilisation et des études sur la tolérance à la douleur, pour analyser combien de torture le corps et l’esprit peuvent soutenir. Des générations de vaccins expérimentaux furent essayées sur des enfants indigènes à Kamloops par des laboratoires pharmaceutiques comme Pfizer, Bayer (NdT: branche successive de l’ex-IG Farben nazie) et Eli Lilly avec l’aide de l’église catholique et du gouvernement. La très vaste majorité des sujets de ces tests chimiques moururent.

Après que notre tribunal ait catalogué ces crimes immondes, à la mi-juin 1998, nous avons partagé les preuves avec le monde, incluant le témoignage de Jessie et ceux de 28 autres survivants ayant tous des histoires similaires à partager de leurs expériences à travers le pays de cet holocauste canadien qui a tué plus de 60 000 enfants indigènes sur une période de un siècle. Nous y avons inclus les archives des pensionnats indiens de Kamloops et autres à travers le pays, ceci démontrant un énorme taux de mortalité de plus de 50% durant plusieurs décennies ainsi que la preuve que la maladie était utilisée de manière routinière et délibérément inoculée aux enfants par le personnel des pensionnats, ainsi que des lettres confirmant la pratique de la stérilisation d’enfants indigènes par des médecins des églises, le tout financé par le gouvernement canadien.

Nous avons envoyé les preuves de ce génocide aux médias du monde, au gouvernement canadien, aux Nations-Unies et aux groupes aborigènes et conseils de bandes du Canada, incluant celui de Kamloops. Tous sans exception nous ont ignoré…

Les années passèrent et certains d’entre nous n’abandonnèrent jamais. Notre campagne de dénonciation de notre génocide domestique s’est développée jusqu’à ce qu’elle menace vraiment les assassins de l’église et de l’état alors que les actions en justice menées par les survivants augmentaient exponentiellement grâce à notre travail. En représailles, la GRC (police montée) et les élises catholique, anglicane et unifiée du Canada maculées de sang, commencèrent à nous attaquer, nous diffamant dans la presse et tuant  un par un nos témoins oculaires. Ils nettoyèrent même les charniers, scènes de crimes dans les endroits que nous avions identifiés, localisés et expressément nommés. (NdT : s’engageant ainsi dans une manœuvre de destructions de preuves et donc d’obstruction à la justice)

Comme une grosse chaudière incinérant les bébés, le Canada a fait tout ce qui était en son pouvoir pour se débarrasser des preuves, évidences et nettoyer l’ardoise de sa mémoire concernant l’assassinat de ces enfants. Et cette manœuvre de camouflage des faits continue aujourd’hui. Nous en avons été témoins pas plus tard que la semaine dernière encore, sur la scène de crime de Kamloops en Colombie Britannique.

La semaine dernière, les leaders de la communauté amérindienne de Kamloops ont soudain manifesté un intérêt pour leurs membres enterrés sur le site alors qu’ils ont ignoré le fait pendant des décennies. Le conseil de bande Tk’emlups, financé par l’état, a annoncé qu’il procédait à l’excavation d’un charnier de 215 enfants au sud de l’ancien pensionnat. En fait, tout ce qu’ils font c’est enfreindre la loi, ils sont en train d’interférer avec une scène de crime et de faire obstruction à la justice en détruisant des preuves sur le comment ces enfants sont morts. Alors naturellement, ils font cette opération rapidement et en secret, sans aucun plan de savoir la cause de la mort de ces enfants ou qui a causé leur mort et encore moins de déposer une plainte pour actions criminelles. Alors que ce site est une scène de crime, la police n’y est pas présente et médias et public sont interdits d’accès. Et comme la terre est “légalement” possession de la Couronne, cette subversion de justice est autorisée et est faite au nom de l’état canadien et de la reine d’Angleterre.

Pour couvrir leurs méfaits, les gens des relations publiques du conseil de bande utilisent les phrases politiquement correctes usuelles sur la justice et le souvenir. Ceci n’est qu’un écran de fumée pour faire diversion de leur destruction du charnier et des preuves légales, mais cela cache aussi le fait que pendant des décennies, le chef de Kamloops et le conseil ont activement caché le secret de ces assassinats de tant de leurs enfants.

Dès 1922, le gouvernement canadien fit un arrangement avec les chefs du conseil de bande en échange de bénéfices personnels. Ils rassembleraient les enfants de leurs tribus pour les délivrer aux camps de la mort qu’étaient les pensionnats et les hôpitaux. Les chefs furent aussi d’accord pour traquer les enfants fugitifs et d’enterrer ceux qui mourraient en secret. N’est-ce pas merveilleux que ce soit toujours les familles de ces chefs qui posent aujourd’hui comme étant les bons samaritains ? Ce genre d’arrangement avec les élites natives n’a rien d’une nouveauté au Canada, ceci est même un des piliers faisant que notre génocide domestique est demeuré si longtemps caché et oublié et qu’il continue aujourd’hui même. Mais un arrangement particulier de l’intérieur eut lieu en 1996, qui assura que les chefs de la côte ouest du Canada et leurs conseils (mandatés par l’état fédéral) échappent à l’obligation de mentionner les enfants morts des pensionnats et les charniers affiliés.

KA1

Le 10 avril de cette année là, à Port Albeni (CB), les leaders des trois églises coupables eurent une réunion avec les chefs financés par l’état. L’arrangement offert était que les églises paieraient des compensations financières aux survivants des pensionnats pour des “abus physiques et sexuels” limités pourvu que les chefs ne soutiennent en rien les enquêtes sur les morts et les enfouissements des cadavres dans les écoles. Les chefs acceptèrent cette offre de Judas et leur silence fut ainsi acheté.

Cet accord privé se rompit au fil des ans alors que notre campagne forçait cette petite affaire des corps d’enfants enterrés à la surface et que le crime ne pouvait plus être nié : spécifiquement il y a deux ans, lorsque Justin Trudeau a admis publiquement qu’un génocide s’était produit au Canada. A ce point, sous le droit international, Trudeau aurait dû être traîné devant un tribunal pour crimes contre l’humanité, avec ses complices conspirateurs des églises, de la police (GRC) et des conseils de bandes indigènes. Au lieu de cela, la communauté internationale a fermé les yeux sur l’holocauste canadien et n’a pas appliqué sa propre convention sur le génocide. Ceci libéra Trudeau pour gratifier la même assurance et indemnisation légale aux chefs autochtones que les églises avaient reçu à l’été 2008 comme part des “excuses” risibles et pathétiques du gouvernement. Le problème des enfants enterrés pouvait alors être tranquillement pirouetté et contrôlé pour ses dégâts collatéraux, comme cela est maintenant fait à Kamloops.

Ainsi donc, copiant leurs associés dans le crime de l’église et de l’état, l’excavation des restes des corps des enfants par le conseil de bande des Tk’emlumps est une violation du droit international qui dit que les participants d’un crime contre l’humanité ne peuvent pas enquêter sur leurs propres crimes. L’excavation de Kamloops n’est rien d’autre qu’une petite version de cette énorme obstruction et entrave a la justice que le Canada a nommé bien mal à propos la “Commission Vérité et Réconciliation” ou CVR. La loi et le droit sont lettres mortes et les assassins s’exonèrent officiellement une fois de plus de leur crime. Ce fait si important semble avoir échappé à tous ceux qui applaudissent l’excavation du charnier.

Comme dans une mauvaise comédie, tous les salopards se précipitent maintenant pour exploiter cette chance d’échapper à la justice et de se grandir et faire les beaux dans le processus. Cette semaine dans la presse, le médecin légiste de la Colombie Britannique a annoncé qu’il allait se rendre sur place et allait travailler étroitement avec le conseil de bande Tk’emlups afin “d’enquêter” sur les restes des enfants, comme si cela était une bonne chose. Cela ne l’est évidement pas car le légiste de la CB possède un très long et sordide historique d’avoir délivré de faux certificats pour cacher la véritable cause des décès de nombreux Indiens assassinés.

Mon ami personnel William Combes a subi un tel sort aux mains du bureau de la médecine légale de la province. Après avoir enduré des années de sodomie, de torture sur chevalet et de chocs électriques dans le pensionnat de Kamloops, William assista à l’enlèvement de 10 enfants de l’institution par la reine Elisabeth II d’Angleterre le 10 octobre 1964. Juste avant qu’il ne témoigne devant un grand jury citoyen en février 2011, William a été tué à l’arsenic à l’hôpital catholique St Paul de Vancouver.

Le bureau légiste a affirmé que la mort de William était due a une tuberculose méningique. Mais l’infirmère en attendance Chloe Kirker a déclaré sous serment que William ne présentait aucun symptômes de la maladie, mais plutôt ceux de l’empoisonnemement à l’arsenic : gonflement du visage et noirceur des ongles. Le simple fait que le bureau légiste se pointe à Kamloops est un signe qu’une mise en place d’une couverture officielle de l’histoire est en train de se produire. Vous pouvez être sûrs que toute preuve incriminatoire qui pourrait être trouvée sur ces petits ossements seras purgée aussi rapidement que l’ont été leurs vies.

Toute cette pathétique histoire me rappelle une scène du film “Mississippi Burning” (Alan Parker, 1988), où trois militants pour les droits civiques sont assassinés par des membres du Ku Klux Klan et jetés dans un marais. Mais lorsque leurs corps sont découverts, ce sont les membres du bureau du Sheriff et les juges locaux, tous membres du Ku Klux Klan, qui s’occupent des cadavres, des autopsies et donnent une version officielle des faits qui empêche quiconque d’aller en prison. Tous les habitants de la localité et la presse sont satisfaits que justice ait été faite !

A cet égard, ce ne sont pas seulement les complices aborigènes du tueur en série psychopathe appelé le Canada Chrétien qui font mine d’être des amis des innocents massacrés ; mais également le reste du monde et ses médias. Soudainement, les charniers des pensionnats pour Indiens canadiens sont devenues la une des médias du New York Times, de la BBC et du China’s Peoples’ Daily, mais où étaient-ils donc tous en cet été de 1998 après que notre tribunal ait en premier lieu apporté cette nouvelle et en novembre 2011 lorsque notre campagne de recherche découvrit un charnier dont les ossements furent positivement identifiés dans le pensionnat pour enfants mohawks de Brantford en Ontario ?

Nous savons parfaitement que cette mascarade de Kamloops n’est pas seulement une autre de ces sordides couvertures des faits. C’est la méthodologie de tout tueur psycho en série qui détient le pouvoir. D’abord, ils torturent et tuent leurs victimes pour le gain ou l’amusement, puis ils enterrent les cadavres secrètement ainsi que leur mémoire et seulement bien après alors que la vérité émerge et qu’ils peuvent le faire en sécurité, les assassinés sont déterrés par leurs assassins qui versent quelques larmes de crocodile et affirment que tout cela ne fut qu’un regrettable accident, un chapitre sombre qui peut d’une certaine manière être cicatrisé et réconcilié.

Cette farce ultimement tient du pouvoir. La façon dont un petit groupe possède le pouvoir de contrôler la grande masse. Les assassins sur leurs trônes doivent continuellement prouver qu’ils peuvent assassiner quiconque et ne pas être inquiétés, puis “noblesse oblige” émettent des “excuses” insultantes pour prétendre que les choses sont maintenant différentes. Ce grand mensonge n’est pas seulement une façon de s’auto-indemniser, mais aussi de rire à la face de leurs victimes et de maintenir leur descendance à leur place.

Nous ne connaissons que trop bien l’agenda des criminels au pouvoir parce qu’il ne fait que se répéter : les mêmes schémas assassins de l’église et de l’état pour tuer, cacher et répéter. Et pourtant, paradoxalement, la réouverture des charniers de ceux qu’ils ont tenté si fort d’effacer est aussi un acte désespéré d’auto-destructon ; un renversement de situation sur eux-mêmes, comme lors d’un exorcisme où l’entité possédante est forcée de se nommer et par là même de perdre son pouvoir.

Avec tout leur pouvoir, l’église et l’état canadiens ont été forcés de répondre à notre initiative et aux problèmes que notre campagne soulevait ce, dès 1995. Depuis, nous avons fait ce que conseille Sun Tzu dans son “Art de la guerre” en déterminant d’abord le terrain de la bataille selon nos propres termes et non pas selon ceux de nos adversaires. Nous avons définies les affaires et avons donc gagné le combat avant même qu’il ne commence alors même que nous faisions face à un formidable adversaire. Pendant plus de deux décennies nous avons décrit l’affaire de ces pensionnats pour jeunes indiens comme étant un acte de génocide et de charniers et non pas “d’abus” isolés et de compensations monétaires et maintenant, malgré tout leur poids, les assassins ont du faire de même.

Peu importe combien le Canada cherche à minimiser l’assassinat de masse d’enfants, il ne peut plus nier le crime et sa culpabilité collective. Le masque est tombé et la nature meurtrière de l’affaire se tient à la vue de toutes et tous.

En réalité, les assassins de l’église et de l’état furent exposés il y a des années. Début 2013, un tribunal de droit commun à Bruxelles, établi lors de notre campagne, a condamné le Canada, ses églises et leurs sponsors de Londres et de Rome pour crimes contre l’humanité et a condamné leurs leaders à des peines de prison, forçant même le pape Benoït XVI à quitter ses fonctions. Tout Canadien est donc requis par ce précédent et par le droit international de démettre le système qui a massacré des nations entières de peuples indigènes originels, en ne payant plus leurs impôts, en ne votant plus et n’obéissant plus à ses lois iniques.

L’imposition de la dictature étatique sanitaire COVID19 par le même système qui a commis le massacre des enfants de Kamloops a rendu notre non-coopération avec la malfaisance, notre désobéissance civile, encore plus urgentes. Car la même agence qu’est Health Canada qui force ce soi-disant vaccin anti-coronavirus dans nos bras a utilisé les enfants de Kamloops comme des rats de laboratoires et les a tués en masse. Qui, sain de corps et d’esprit, permettrait à ces meurtriers médicaux de planter une aiguille dans nos bras et celui de nos enfants ?…

Les fosses des enfants de Kamloops révèlent au grand jour la criminalité de notre société, du gouvernement canadien, des églises et de leurs complices corrompus aborigènes. Mais ces fosses communes sont aussi un miroir de nous-mêmes et du futur qui pourrait bien nous attendre. Car nous avons tous été les accessoires du pire crime et du plus grand maquillage des faits de l’histoire canadienne ; accessoires au travers de nos impôts, de nos pratiques religieuses au sein des églises (catholique, anglicane ou unifiée du canada), de notre ignorance volontaire de ces camps de la mort se tenant dans notre propre jardin et de notre volonté de regarder de l’autre côté et de croire ce que nous raconte ces assassins du pouvoir en place. Lorsque nous faisons nôtre cette triste et sombre vérité et refusons de participer plus avant dans cette conspiration criminelle qui porte le nom de “Canada”, nous avons fait le premier pas menant hors de l’ombre.

Et pourtant, il n’y a pas de rédemption bon marché pour quiconque d’entre nous. Nous pouvons changer seulement en prenant d’abord le risque du sacrifice de la sécurité que nous avons gagnée des faits du génocide, de la torture et de la mort de ces petits enfants, qui furent sacrifiés en notre nom.

Les Canadiens sont sous le coup d’un jugement imposé par les conséquences de leur complicité à un crime de masse. Nous pouvons nier tant que nous le voulons notre véritable héritage et notre histoire, nous ne pouvons pas échapper à leurs résultats. La tyrannie et la mort que nous avons imposées sur les autres produisent maintenant leur effet boomerang comme cela se doit de l’être avant de voir la vérité. Si nous voulons nous survivre, nous devons finalement comprendre et agir sur la compréhension qu’il n’y a pas de réponse ni de rédemption pour aucun de nous au sein de ce statu quo de corruption impardonnable. Il est plus que temps pour les vivants de quitter Sodome et ses rites de sacrifices d’enfants à l’adoration de Moloch.

Nous pouvons commencer dès aujourd’hui en reconnaissant la vérité du camp de la mort de Kamloops et la véritable histoire de ce système qui l’a créé afin de mettre un terme à cette toute dernière obscénité du mensonge et du maquillage par les criminels eux-mêmes.Des ordres de désobéissance ont été émis et seront mis en application contre ceux détruisant les fosses communes de ces enfants. Nous incitons les gens à venir à Kamloops et à se joindre à notre témoignage et notre protestation.

Mais plus important, nous en appelons à votre action, où que vous soyez, pour renforcer le verdict qui a démis les églises catholique, anglicane et unifiée du canada. Leur propriété et biens doivent être saisis légalement en guise de réparation de leurs atrocités contre ces enfants. Les anciens traditionnels de la nation Squamish l’ont fait à Vancouver en mars 2008 lorsque Siem Kiapilano a fait expulser légalement ces églises de leur territoire. Le reste d’entre nous ne peut pas faire moins si nos paroles doivent devenir plus que des mots. Au bout du compte, nous avons appris que le pouvoir d’arrêter le mal et de défendre les innocents est de fait, entre nos mains, mais seulement après nous être retrouvés, formez le champ de bataille et refusez les mensonges et la stratégie de l’adversaire. Les évènements de Kamloops en ce moment sont le résultats d’un gigantesque exorcisme de cet adversaire, exorcisme que certains d’entre nous commencèrent en 1995 et qui a été perçu aussi loin qu’à Rome (Vatican).

Sortez de ce monde en effondrement tant que vous le pouvez encore, à moins que vous aussi ne soyez hypnotisés par le charnier qui est planifié pour l’humanité par cette même obscure et mortifère puissance et pouvoir qui a massacré ces enfants et les a enfoui massivement sous terre sans aucune pitié.

www.murderbydecree.comhttps://youtu.be/mttk66J4_wI

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Lectures complémentaires :

Kevin Annett sur Résistance 71

« Meurtre par décret, le crime de génocide au Canada », contre-rapport du TICEE à la mascarade de la CVR du Canada, version PDF

« Le bouclier du lanceur d’alerte » Kevin Annett, 2016

Notre page : « Meurtre par décret, le crime de génocide au Canada »

MPD1
… pas « canadiens », mais des nations originelles »

ITCCS-TICEE

Génocide au Canada : la programmation institutionnelle du nettoyage ethnique, des « réserves » aux pensionnats camps de la mort (Mohawk Nation News)

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LeCri_Canadagenocide
Police montée dans sa routinière fonction génocidaire…

« Le boulot des ‘Mounties’ [de la GRC] fut de nettoyer les plaines et les prairies des peuples indigènes. Au bout du compte, ils déplacèrent les peuples indigènes vers des ‘réserves’, ce de gré ou de force. »
~ Steve Hewitt, professeur d’histoire, université de Birmingham, auteur de 3 ouvrages sur l’histoire de la Gendarmerie Royale du Canada ou « Police Montée » ~

« La GRC fut créée afin de contrôler les peuples indigènes. » ~Jane Gerster, Global News Canada, 15 juin 2019 ~

Le massacre de masse des enfants indigènes par le Canada

Mohawk Nation News

2 juin 2021

url de l’article original :
https://mohawknationnews.com/blog/2021/06/01/canadas-mass-murder-of-indigenous-children-audio/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Nous parlons pour ceux qui ne le peuvent pas, ceux du passé, du présent et du futur, le peuple originel de l’Île de la Grande Tortue, du début des temps à la fin des temps. La nature / création, nous a mis ici sur cette planète pour agir comme gardiens et comme agents d’entretien et non pas comme propriétaires. Aucune partie de l’Île de la Grande Tortue ne peut être achetée, accaparée ou vendue à quiconque. Elle appartient aux non-nés. Chaque onkwehonweh (membre du peuple natif) est le seul souverain responsable de tout le territoire de l’Île de la Grande Tortue. Le Canada ou les Etats-Unis (NdT: ou le Mexique ou toute autre entité politique coloniale sur le continent) n’ont aucun titre valide de quelque propriété que ce soit de quelque partie que ce soit de cette terre.

Si des entreprises (coloniales) privées comme le sont le Canada et les Etats-Unis (NdT: et tous les “états” du continent américain, nord et sud) n’arrêtent pas de faire la guerre, ils vont continuer d’essayer d’exterminer nos enfants et nous ! Le charnier contenant les restes de 215 enfants indigènes, certains aussi jeunes que 3 ans, a été découvert le 28 mai 2021 derrière ce “camp de la mort” connu, que fut le pensionnat pour Indiens de Kamloops en Colombie Britannique. Les leaders de l’entreprise coloniale comme Trudeau, Biden et autres sont responsables. Ils ne peuvent en rien négocier leur chemin hors de ces crimes prémédités ! Ils doivent être tenus pour responsables par un tribunal criminel impartial et devant l’opinion publique mondiale. Des excuses verbales sont absolument inacceptables ! Ils ne peuvent pas acheter le pardon avec des réparations financières en provenance de notre propre fond fiduciaire indien !

Trudeau admet qu’ils ont tort et qu’ils sont coupables, que ces assassins vont être réhabilités par leur processus de réconciliation. NON ! Vous devez être jugés par la loi de la terre, Kaianerekowa, la Grande Loi de la Paix et Teiohateh, le Wampum Deux Rangées, qui ont été mis en place depuis l’origine.

L’occident et ses bénéficiaires parlent de paix tant qu’ils ne perdent rien de ce qu’ils ont volé.

Il a été prouvé qu’ils ont assassiné nos peuples. Ils ont ouvertement admis leurs atrocités en parlant pour leurs gouvernements et le peuple qu’ils représentent. Nous sommes ici depuis des temps immémoriaux. Il n’y a aucun statut de limite sous leur loi ou les nôtres. (NdT: en fait si… il en existe dans la loi coloniale fondée et édictée sur la doctrine chrétienne de la découverte et les bulles pontificales Dum Versitas, 1452, Romanus Pontifex, 1455 et Inter Caetera, 1493…)

S’ils ne quittent pas immédiatement l’Île de la Grande Tortue et pour toujours, ils doivent dissoudre [l’entité coloniale] Canada ce qui automatiquement dissoudra la législature, le judiciaire et l’exécutif. La règle vient des peuples originels de la terre. Pour le génocide qu’ils ont commis et en accord avec Kaianerekowa, les gouvernements (coloniaux) du Canada et des Etats-Unis devraient être annihilés. Les étrangers étaient les bienvenus comme visiteurs et comme invités. Ils ont commis le pire des maux. Ils ne sont pas les bienvenus ici.

purification

Ils doivent être traînés devant la Cour International de Justice de La Haye bien que les USA ne soient pas signataires du traité l’ayant mis en place, ils peuvent néanmoins y être poursuivis pour crimes contre l’humanité. Des entreprises privées (coloniales) se faisant passer pour des pays ne sont en rien des “gouvernements”. Elles ne sont que des entreprises commerciales coloniales qui glorifient la guerre.

Pour ce génocide nous concernant, ils sont aussi coupables que l’étaient les nazis qui furent condamnés à Nüremberg après la seconde guerre mondiale. Quelle aurait été la réaction si tous ces enfants assassinés avaient été blancs ? Les colons avaient besoin d’aide pour travailler les fermes établies sur nos terres volées. Beaucoup d’enfants blancs y furent menés pour y être des servants. Ils étaient tous blancs et c’était facile pour eux de se sauver. Les esclaves noirs eux étaient facilement reconnaissables.

Quoi qu’il en soit, ils ont travaillé ensemble pour voler les richesses de l’Île de la Tortue tout en nous génocidant. Ce fut une exécution horrible et méthodique de nos enfants. Les gouvernements ont tous les documents sur leurs victimes. L’agenda caché était d’amener le plus possible d’enfants dans les pensionnats, de les tuer, de ne pas rapporter les morts et de continuer à collecter l’argent pour “l’entretien” de centaines et centaines d’enfants indiens, de fait déjà morts. Leurs assassinats furent tenus secrets. Ils les ont juste tués et leur ont donné des noms de blancs pour leurs archives.

Les sauvages enseignants psychopathes étaient les escadrons de la mort. La Gendarmerie Royale du Canada (GRC / RCMP) kidnappait les enfants, les amenait dans les pensionnats et les délivrait pour qu’ils servent de cobayes à des expériences. L’Institut Smithsonien de Washington DC a plus d’ossements indiens en archives que d’Indiens vivant aujourd’hui. Ce fut une atrocité perpétrée par des humains sur des humains, par des adultes sadiques contre des enfants et des nourrissons innocents. Plus de 150 millions de natifs du continent des Amériques furent exterminés, décimés, emprisonnés et/ou torturés dans ce qui constitue le plus grand holocauste de l’histoire de l’humanité !

Les Etats-Unis se vantent au sujet des armes qu’ils fabriquent pour maintenir leur puissance impérialiste et ont des “laboratoires de guerre” dans des universités comme dans celle de McGill à Montréal au Québec afin de mettre au point des armes de destruction massive. C’est la définition même du mal.

Quelle raison avaient le Canada et les Etats-Unis pour assassiner ces enfants ? Nous étions un obstacle à leur vol total de l’Île de la Grande Tortue. Ils ont essayé de tous nous exterminer ainsi personne ne pourrait clamer souveraineté sur la terre à part eux. Il n’y aurait alors plus personne pour les exposer et exposer leurs crimes. Mais nous avons survécu aux pires de ces atrocités. Nous savons ce qu’est l’horreur. Les Etats-Unis et le Canada continuent à ce jour de vouloir tuer tous les témoins oculaires de ces crimes, mais ils ont échoué. En résultat, le monde sait maintenant quelles crimes et atrocités ont été commis. Si le génocide planifié par les Etats-Unis et le Canada avait réussi, toutes ces horribles atrocités auraient été définitivement cachées au monde pour toujours.

Un tel génocide est incompréhensible à un esprit rationnel. Un “désolé” et une poignée de dollars ne veulent rien dire. Les enfants ont supplié pour de l’aide. Ils ont pleuré, hurlé. Certains se sont enfuis. La plupart son morts de faim. Ils désobéirent. Ils refusèrent d’accepter les ordres. Ils furent menacés par les religieux et autres. Notre nature profonde est de lutter pour la survie. Le Canada et les Etats-Unis ont commis des crimes si calculés et si dévastateurs. Les peuples du monde ne peuvent pas les ignorer. Le Canada a même développé les stratégies d’holocauste et d’apartheid qui furent utilisées par les nazis, l’Afrique du Sud et Israël.

Rappelez-vous qu’il n’y a aucune limite de statut sous Kaianerekowa et les lois corporatrices privées édifiant les pays. Le 1% a créé les entreprises coloniales comme une fiction pour remplacer les humains et éviter toute responsabilité dans les maux et crimes commis. Pour voler l’Île de la Grande Tortue, ils devaient nous anéantir. La corporation (coloniale, œuvrant pour la “couronne” / City de Londres) de l’entité du gouvernement du Canada est terminée, rincée et doit être dissoute.

Le premier ministre Trudeau a été sommé de faire baisser les drapeaux à mi-mât, admettant ainsi leurs crimes horribles. Quoi qu’il en soit, tous ces gens doivent quitter l’Île de la Grande Tortue immédiatement.

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5 textes pour comprendre et éradiquer le colonialisme

« Païens en terre promise, décoder la doctrine chrétienne de la découverte », Steven Newcomb, 2008

« Comprendre le système de l’oppression coloniale par mieux le démonter », Steven Newcomb

« Comprendre le système de l’oppression coloniale pour mieux le démonter », Peter d’Errico

« Effondrer le colonialisme », Résistance 71

« Nous sommes tous des colonisés ! », Résistance 71

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Lasagnemohawk
Force coloniale vs Force de la Nature
(photo Oka 1990)

Dans le sillage macabre du pensionnat de Kamloops : Charniers d’enfants indigènes au Canada, le génocide passé et présent

Posted in actualité, canada USA états coloniaux, colonialisme, France et colonialisme, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, militantisme alternatif, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et social, résistance politique, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , on 5 juin 2021 by Résistance 71

ITCCS-TICEE

International Media Advisory

Nouvelles importantes du Tribunal International contre les Crimes de l’Église et de l’État (TICEE / ITCCS) 

– Kevin Annett, Canadian Field Secretary

Toujours plus de charniers d’enfants natifs amérindiens sont découverts dans des anciennes écoles / pensionnats et hôpitaux pour Indiens — Les sites des  “fosses communes” actuelles sont aussi nommées dans un rapport spécial que le TICEE a envoyé à l’ONU — Un effort international converge vers l’accusation du Canada pour crimes contre l’humanité et sa mise en procès pour crimes de guerre ainsi que pour des excavations indépendantes des charniers à travers tout le Canada.

Jeudi 3 juin 2021

https://youtu.be/_gMCQ8ju3k0

Vancouver et New York City:

Un rapport spécial a été envoyé aujourd’hui aux Nations-Unies identifiant les endroits précis de 29 charniers différents dans des anciens pensionnats pour enfants Indiens à travers le Canada. La rapport a été présenté par Kevin Annett, secrétaire exécutif de terrain canadien du Tribunal International contre les Crimes de l’Église et de l’État (TICEE)

Le rapport inclut une liste précise et actuelle des sites de charniers et de fosses communes contenant les restes de personnes aborigènes et autres assassinés par la police, le crime organisé, le gouvernement et des agences étrangères.

Dans sa déclaration de presse aujourd’hui, Annett a dit :

“Après des recherches bien douloureuses qui ont pris des années, nous avons documenté une continuité de génocide à travers le Canada, qui n’est pas restreint à l’ère des pensionnats pour Indiens, mais qui continue de nos jours. Dans certains cas, des charniers des enfants / élèves incluent les restes de personnes aborigènes qui ont été récemment assassinées, ce particulièrement sur la côte ouest canadienne (NdT : province de Colombie Britannique). La même alliance meurtrière de l’église, de l’état et des entreprises qui a éliminé quelques 60 000 enfants natifs pensionnaires des écoles spécialisées, continue de déposséder et de tuer des personnes indigènes, spécifiquement en Colombie Britannique.”

Le rapport du TICEE identifie 14 charniers dans des anciens pensionnats et hôpitaux pour Indiens de Colombie Britannique, 4 dans la province d’Alberta, 3 dans le Manitoba, 7 en Ontario et 1 au Québec, avec une possibilité de faits similaires encore sous examen sur le site de l’école de Shubenacadie en Nouvelle-Ecosse (côte Est canadienne). Ces sites furent identifiés depuis des documents d’archives, les témoignages de première main de témoins occulaires et par des recherches de terrain effectuées par des équipes médico-légales. Une liste complète de ces sites se trouve en appendix (NdT: voir le PDF joint)

Le rapport liste également 6 endroits en Colombie Britannique où des restes contemporains de personnes indigènes ont été enfouis après de probables crimes impliquant des forces extra-judiciaires domestiques et étrangères. Deux de ces sites se situent sur des réserves indiennes financées par l’état.

En action commune, des groupes des Droits de l’Homme et des délégués de l’Union Européenne ont contacté le TICEE et des nations indigènes souveraines avec une offre d’aide pour mettre en place un procès pour crimes de guerre canadiens et de pratiquer des excavations indépendantes de ces charniers à travers le Canada. Leur offre inclut l’envoi de gardiens de la paix et de spécialistes d’analyse médico-légale afin d’assure à la fis la sécurité et la précision des recherches excavatrices et du procès à suivre.

“Nous accueillons cette proposition à bras ouverts”, a dit Kevin Annett ce jour.

“Le fiasco actuel de Kamloops où des agents de la couronne sont en train de détruire de manière si ‘amateure’ une scène de crime, montre pourquoi nous avons besoin d’un soutien et d’une supervision internationale. Le gouvernement canadien et les églises catholique, anglicane et unifiée du Canada, qui ont assassiné tous ces enfants sont interdits par le droit international d’enquêter sur leur propre crime ou de définir et de façonner le narratif. Ils sont les accusés se défendant d’un crime dans ce cas. Un tribunal indépendant avec le pouvoir de sommer à comparaître, d’arrêter, de juger et de condamner les perpétrateurs d’un génocide passé et présent au Canada est la seule solution pour aller de l’avant.”

Le TICEE et ses affiliés planifient une série de forums publics, de manifestations at autres actions idoines pour mettre en place le fondement d’un procès pour les crimes de guerre canadiens. Nous accueillons individus et organisations pour endorser et travailler avec un tel tribunal et d’aider dans nos recherches et nos excavations des charniers en cours.

Pour plus d’information, contactez : itccsoffice@protonmail.com et Kevin Annett à angelfire101@protonmail.com . 

For background see www.murderbydecree.com and listen every Sunday to news and updates at 3 pm pacific, 6 pm eastern on www.bbsradio.com/herewestand .

Issued Thursday, June 3, 2021 by the Executive of the International Tribunal of Crimes of Church and State – Brussels, New York, Vancouver

https://youtu.be/_gMCQ8ju3k0

Le document complet en anglais avec les appendices (PDF) :

ITCCS_Media AdvisoryITCCS_Media Advisory

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Lectures complémentaires :

Kevin Annett sur Résistance 71

« Meurtre par décret, le crime de génocide au Canada »

Kevin Annett : « Le bouclier du lanceur d’alerte » (PDF)

SCH