Colonialisme doctrine chrétienne de la découverte

Le colonialisme occidental depuis le XVème siècle jusqu’à aujourd’hui, est fondé sur une doctrine religieuse, raciste, eurocentriste, hégémonique et génocidaire: La doctrine chrétienne dite de la « découverte », édictée et codifiée dans les bulles papales Romanus Pontifex de 1455 et Inter Caetera de 1493.

Nous ne vivons bien évidemment pas dans un monde « post-colonial » comme l’idéologie dominante voudrait nous le faire croire. Les Etats-Unis, le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et bien sûr Israël, sont des pays coloniaux, dirigés par des gouvernements coloniaux dont la pseudo-légalité est fondée sur la jurisprudence de décisions de cours suprêmes (Johnson vs McIntosh, Marshall, 1823), toutes émanant de la doctrine chrétienne de la découverte, devenue dogme fondateur de la société coloniale occidentale.

Pour en savoir plus:

https://resistance71.wordpress.com/?s=doctrine+chrétienne+de+la+découverte

Nous_sommes_tous_des_colonisés (PDF)

Le livre de Steven Newcomb, larges extraits en français, version PDF gratuite:

Païens en terre promise, décoder la doctrine chrétienne de la découverte

37 Réponses to “Colonialisme doctrine chrétienne de la découverte”

  1. […] de tout le continent pour que soient annulés les doctrines racistes et religieuses soutenant la "doctrine chrétienne de la découverte", fondement même du colonialisme occidental depuis le XVème […]

  2. […] coloniale d’un empire mégalomaniaque, à l’instar de tous ses prédécesseurs. Lutter contre le colonialisme est LA priorité absolue des peuples si nous voulons simplement survivre la psychopathie […]

  3. les gens pensent connaitre DIEU or la sainte Bible affirme que le peuple de DIEU s etait detourné de lui en adorant des statuettes d or et d argent. le pape et l eglise catholique en traduisent par leur atitude. ce sont des hommes profanes deguiser en robe blanches trompant la vigilance des siens, d où l idée d expandre le Chritianisme pour combler leur aviditè. tous des immorales demagogues.

  4. J’ai répondu sur cette page et sur 2 autres. Y-a-t-il un ou plusieurs administrateurs. C’est déjà une première question.

    Si je résume votre position initiale, elle me semble être la suivante :
    « Le Vatican est responsable du génocide des indiens d’Amérique. Les textes historiques qui ont permis cela sont les suivants : la bulle Romanus Pontifex, la bulle Inter Caetera et enfin la doctrine chrétienne de la découverte ».

    Mon propos est le suivant : ce constat n’est pas vrai. Pourquoi ?

    1) La colonisation en elle-même est le fait non pas du Vatican mais bien de 4 grandes puissances européennes : Espagne, Angleterre, Portugal et France. Sur ces 4 grandes puissances 3 étaient catholiques et une seulement s’est rendu coupable de massacres de masses. L’Angleterre (puis plus tard les américains), non catholique, s’est elle aussi rendu responsable de massacres de masses. Dans le cas de l’Angleterre, ces crimes ne sont pas imputables au Vatican (puisque non catholique). On ne peut être rendu responsable des crimes de son frère ou de son voisin.

    Pour ce qui est de l’Espagne. Les chiffres précis ne sont pas connus. Les crimes ont été en grande partie du fait des conquistadors qui d’une part avaient leur propre chaîne de commandement sur le terrain et d’autre part été sous l’autorité de la couronne d’Espagne. Les conquistadors ont commis des crimes. Abominables c’est indéniable. Mais les rendre responsables de la mort de la totalité des amérindiens de l’Amérique du Sud est faux. C’est d’une part ne pas prendre en compte les maladies qui sont responsables de la grande majorité des morts (50 à 70%) et aussi les autres peuples indigènes.
    Pour quelqu’un qui prétend défendre les indiens c’est un peu paradoxal que d’occulter complètement les autres populations que celle de l’empire Aztèques par exemple. Populations qui disposaient de leur propre culture, de leur propre civilisation et étaient victimes des aztèques. Les conquistadors se sont rendus coupables en plus des morts commis en tant de guerre de la mise en esclavage de populations indiennes.

    En ce qui concerne les indiens d’Amérique du Nord, les données chiffrées sont plus connues. On parle de 9 à 11,5 millions d’individus au XVème siècle. Ils ne sont plus que 250 000 en 1890.
    Le bilan est évidemment effroyable. Cependant, les guerres indiennes (1622 – 1890) ne sont responsables « que » de la mort de 30 000 d’entre eux (dans le même temps 19 000 colons mourraient des mains des indiens). C’est certes déjà trop néanmoins les causes de la mort du reste de la population mériterait d’être identifiées.

    Premier constat :
    a) Les puissances catholiques coloniales ne se sont pas systématiquement rendues responsables de massacres de masses.
    b) Une proportion effroyable des indiens peuplant l’Amérique est morte durant les 4 siècles qui ont suivi la découverte par Christophe Colomb. Néanmoins, pour une grande majorité de ces morts elles ne peuvent pas être attribuées à une action consciente des colons. (maladies, luttes entre les tribus indiennes, …)

    2) Pour ce qui est de la responsabilité du Vatican. Deux bulles existent effectivement :

    – la bulle Romanus Pontifex : fulminée le 8 janvier 1455 et adressée à Henri le Navigateur, prince du Portugal et lui donne l’onction du Pape dans la guerre qui l’oppose à l’empire ottoman en mer Méditerranée. Henri le Navigateur meurt en 1460.
    Comment peut-on prendre en compte ce texte dans le cadre d’une histoire sérieuse des Amériques ?
    La bulle a été écrite avant la découverte des Amériques, s’applique sur un espace géographique qui ne comprend pas les Amériques et à l’attention d’un homme qui était mort quand ce texte aurait éventuellement pu être appliqué (si on occultait de façon malhonnête les 3 remarques précédentes) aux Amériques.

    – la bulle Inter Caetera : ce texte concerne effectivement l’Amérique du Sud et est adressé à la couronne d’Espagne. Ceci exclut de fait le Portugal, la France ainsi que l’Angleterre. Que dit ce texte ? Il accorde à l’Espagne une exclusivité dans la colonisation des terres d’Amérique du Sud. Quelle est la portée d’un tel texte ? De la même manière que l’ONU ou le G20 d’aujourd’hui, ce texte propose de poser des bases de relation internationales entre les grandes puissances européennes afin d’éviter un conflit. C’est tout à fait simple. Le Vatican n’aurait jamais pu empêcher ces puissances de se lancer dans l’aventure de la colonisation. Il n’en avait pas les moyens. De plus, à aucun moment le Vatican n’a autorisé les armées espagnoles à massacrer les indiens ni à les réduire en esclaves. C’est d’ailleurs tout le contraire qui se produisit.

    Le Vatican s’exprima ouvertement contre ces actions à l’issue de la controverse de Valladolid.

    – la doctrine de la découverte (Discovery Doctrine) : ce texte est une décision de la court suprême américaine de 1823 soit 330 ans après Inter Caetera. Elle est le fruit des Etats-Unis protestants et ne concerne ni l’Espagne, ni le Portugal (au contraire des 2 bulles précédentes) et encore moins l’Amérique latine. Elle ne s’adresse pas à Henri le Navigateur ni à Ferdinand. Que dit Marshall ? Il dit qu’étant donné que ni les espagnols ni les portugais n’ont renoncé à leurs terres, il ne voit pas pourquoi les colons issus de l’Angleterre le ferait. Ni plus ni moins. Il n’en appelle pas à une quelconque autorité du Vatican ni quoi que ce soit du genre. Ce texte ne peut être retenu à charge du Vatican.

    Deuxième constat :
    a) Sur les 3 textes de bases évoqués ici, 2 sont en dehors du sujet (bulle Romanus Pontifex et doctrine de la découverte)
    b) le seul texte imputable au Vatican dans ce cadre n’autorise pas à commettre des crimes.

    3) Le Vatican et les puissances européennes catholiques toujours aux manettes ?

    Cela peut ne pas paraître évident mais néanmoins, il me semble pertinent de mettre en avant un fait. Aucune des puissances coloniales de l’époque ne contrôle un pays majeur de l’Amérique aujourd’hui. Les anglais ont pris le contrôle du Canada (guerre de Sept ans) et se sont par la suite émancipés (l’Empire Britannique est mort). Les états-unis se sont émancipés (la guerre d’indépendance vous aurait-elle échappé) ? Le Brésil est un pays indépendant tout comme les anciennes colonies espagnoles.

    Ces pays sont souverains et pour beaucoup d’entre eux font face à de multiples difficultés qui font que peu d’entre eux en ont quelque chose à faire du débat que nous sommes entrain d’avoir. Ces pays ont aujourd’hui des identités propres qui accordent des places très différentes aux descendants des populations amérindiennes. Si la question des amérindiens vous intéresse réellement, il me semble plus pertinent d’essayer de s’engager dans les actions de sauvetage des dernières populations isolées ou de la reconnaissance des droits des communautés restantes qui essaient de préserver leur culture.

    Le discours que vous tenez ne prend pas cette voie là et c’est dommage. Il me semble revanchard et propice à engendrer des conflits entre des gens qui vivent sur le même sol, partage des valeurs communes et ne souhaitent probablement même pas que les choses aillent dans ce sens.

    Dans votre discours, vous accablez le Vatican. Je viens de montrer que vos arguments ne tiennent pas. Les incohérences et les lacunes que j’ai mis en avant pourraient allègrement être complétées ne serait-ce qu’en traitant de la valeur juridique des bulles.

    Vous occultez volontairement ou involontairement de nombreux éléments. Cela a pour conséquences de vous faire tenir un discours biaisé et faux. Ce ne serait pas grave si vous ne vous proposiez pas de convaincre les gens à travers votre blog.

    Il ne me semble pas que la colonisation soit pas nécessairement un mal en soi. On peut très bien envisager une situation où la venue d’individus extérieurs puisse être largement vectrice de progrès, se faire pacifiquement et être génératrice de bien-faits pour les deux espaces. Je connais personnellement beaucoup de personnes issues d’anciens espaces colonisés par la France qui regrettent cette période. Dans le cas par exemple, du Canada. Les français et les indiens vivaient en paix. Ce ne fut pas le cas avec les anglais. Votre résonnement n’appelle pas cette nuance. Qui est pourtant fondée. C’est donc qu’il est faux.

    En ciblant le Vatican, vous vous trompez de cibles et vous empêchez la mise en place d’une véritable résistance. Ce que pourtant votre blog dès le titre semble vouloir se proposer de faire.

    Pour cela il vous faudrait investiguer et présenter des faits sérieux sur :

    – la construction des Etats-Unis et son financement
    – le système bancaire mondial
    – la création de la banque fédérale américaine
    – la destruction des puissances européennes
    – le financement par les Etats-Unis du nazisme et du communisme russe
    – la déstabilisation du monde moderne (XX et XXI siècle par les Etats-Unis avec notamment le financement du terrorisme international)
    – la construction de l’Union Européenne par les Etats-Unis

    Tout cela n’a pas été fait par le Vatican mais bien par l’union des WASP américain (avec notamment des réseaux francs-maçons) et des sionistes américains

    Vous estimez que Dieu est l’outil de contrôle utilisés par ces gens là ?

    Qui avons-nous en face ? Des leaders d’Amérique Latine avec notamment le très catholique Chavez, le très chiite Mahmoud Ahmadinejad et enfin le très orthodoxe Vladimir Poutine. Etrange non ? Mais ils doivent être reptiliens….

    • Votre mauvaise fois est impressionnante ! 😀
      La construction de votre argumentation est inspirée d’un historien américain dont vous avez sans nul doute connaissance puisqu’il fut (est toujours pour les dogmatiques) LA sommité sur Christophe Colomb dans les années 1950-70: l’innénarable Samuel Eliot Morison et son livre « Christopher Colombus, Mariner » (1954) qui utilisa une tactique d’étouffement de la vérité. Vous faites de même ici, sympa. La tactique est la suivante: ne pas nier l’histoire de l’extermination d emasse puisqu’elle ne peut pas l’être, mais la vérité est très vite noyee dans une foule de données anectotiques ou plus importantes pour le point qu’il veut faire avancer. Mentir ou omettre expose à se faire laminer, il est bien plus efficace de mentionner les faits puis de les enterrer très vite dans une masse d’autres informations pour finalement arriver à une conclusion ressemblant étrangement à la vôtre: oui l’extermination de masse s’est produite, mais ce n’est pas si important, cela ne peut pas affecter notre jugement final (sur les bienfaits de la « civilisation » occidentale) et cela ne peut pas, ne doit pas affecter plus que de raison ce que nous faisons dans le monde (toujours bien sûr pour la gloire de la « civilisation »).
      Vous faites partie de cette catégorie de personnes, qui à l’instar de la criminelle Madleine Albright (ministre des AE yank sous Clinton le non moins criminel), pense et déclare devant les cameras, que la mort de 500 000 enfants irakiens durant les plus de 10 ans de l’embargo yankee sur l’Irak « valaient la peine »… Que la colonisation au fond a plus de bienfaits que d’effets néfastes, etc…

      Quant à la doctrine chrétienne de la découverte… Avez-vous lu nos traduc’ de Newcomb ? Nous ne le pensons pas… Voici un extrait de la 3ème partie, chapitre exclusivement sur « Johnson contre M’Intosh », Marshall et l’analyse des raisonnements:

      Extrait du chapitre “Johnson contre M’Intosh” du livre de Steven Newcomb “Pagans in the Promise Land, Decoding the Doctrine of Christian Discovery”

      Traduit de l’anglais par Résistance 71, 24 Mars 2015
      Source:
      https://resistance71.wordpress.com/2015/03/24/comprendre-le-colonialisme-actuel-paiens-en-terre-promise-decoder-la-doctrine-chretienne-de-la-decouverte-steven-newcomb-3eme-partie/

      […] La cour suprême de l’état du Tennessee fournit aussi plus tard, en 1826, une explication similaire dans son verdict de l’affaire Cornet contre Winton:
      “Pour avoir une vision correcte des règles adoptées et appliquées aux affaires indiennes lorsque des dons furent faits par les rois d’Angleterre sur les terres d’Amérique du Nord, nous devons regarder les opinions qui prévalaient à l’époque en matière de religion. Les pères spirituels de la chrétienté dictèrent la croyance des gens et assumèrent un énorme pouvoir sur ce passage des écritures saintes trouvé dans Matthieu 16:18. En tant que successeur de St Pierre, son don des pays infidèles était considéré scellé dans les cieux et bien entendu, dans la conscience même des chrétiens. Les ténets indiscutables de ceci furent écrit par Lord Coke de Colvin (sic) disant que tous les infidèles sont nos ennemis perpétuels de droit, car il existe une perpétuelle hostilité entre eux, possédés par quelques diables que ce soit et les chrétiens. La vieille loi des nations n’avait pas alors été estompée par la moderne, en ce qui concerne leur conduite envers les pays infidèles. Ce fut pratiqué par toutes les nations de l’antiquité: les Babyloniens, les Perses, les Grecs, les Romains et par les Israélites sous les auspices de Moïse et de Joshua. En accord avec ce qui était permis, ils extirpèrent les habitants des pays qu’ils envahirent, les expulsant de leurs logis ou les tuant ou les réduisant en esclavage, au mieux de leurs intérêts du moment. C’est avec ces opinions religieuses et cette loi des nations pour gouvernement que les Espagnols s’en vinrent aux frontières du Mexique, en possession d’un don qui leur avait été donné par le dépositaire suprême des biens terrestres (le pape), par lequel la totalité du continent des Amériques fut faite sujette de leur domination. Ils appelèrent les nations indigènes à renoncer à leurs erreurs et à la religion de leurs ancêtres afin d’embrasser la seule et unique foi ou de s’abandonner ainsi que leur pays au gouvernement des nouveaux venus. Sous cette loi des nations, ils importèrent des esclaves d’Afrique et consignèrent leurs prisonnier et leurs descendants à un esclavage perpétuel.
      Sous ces auspices fut imbriquée la domination européenne sur le sol et les corps des humains, dans les codes de la jurisprudence américaine. Ceci fut tenu pour un titre légal de la plus haute authenticité à travers tout le monde chrétien.”
      Ainsi, malgré la présence de dizaine de millions d’autochtones vivant déjà au préalable sur ce continent, on nous dit que les monarchies de la chrétienté occidentale ont assumé le droit de régner sur les terres de ce continent “d’en haut” (projection métaphorique de “l’ascendance” décrite…). Marshall a écrit que les Européens ont utilisé le “caractère” indien (sauvage) et la “religion” (païenne ou infidèle, incroyant) comme justification de leur affirmation d’ascendance (de domination) sur le continent. Mais il a aussi fait référence à l’Europe ayant un “génie supérieur”. Ceci est une référence directe et une affirmation que les Européens étaient placés “plus haut” sur l’échelle de l’intelligence que les Indiens et aussi suggère que les Européens, en vertu d’une intelligence “supérieure”, possédaient une plus haute position de pouvoir en relation à la terre du continent et en relation aux peuples indigènes y vivant.
      […]

  5. Que répondre…

    J’ai 27 ans, une certaine culture historique et surtout de l’esprit critique et un libre arbitre.

    Je ne connais pas un obscur écrivain américain du nom de Samuel Eliot Morison. Le sujet datant de plusieurs siècles, j’imagine que ni vous ni moi ne sommes en mesure de dire quelque chose qui n’ai pas été dit.

    Cependant, la grande différence entre mon discours et le votre c’est que le mien est structuré, organisé, argumenté par des connaissances historiques et nettement plus construit que le votre.

    Pour commencer par une question de forme, sans structuration votre propos devient très vite illisible. (ce n’est pas une critique mais un conseil. Si vous voulez être lu pensez aux potentiels lecteurs.)

    Pour ce qui est du contenu maintenant. Si je voulais être un tantinet mauvaise langue je me dirais que vous vous êtes limité à traduire des parties d’un livre (si je voulais être vraiment mauvaise langue je dirais même que vous ne l’avez même pas lu, juste récupéré des bouts déjà choisi sur le net).

    Vous semblez à minima avoir étudié la question citant des auteurs périphériques.

    Pour ce qui est du propos prêté à Steven Newcomb les seules informations que j’ai pour trouver à son sujet est qu’il est coordinateur dans la recherche sur les lois indigènes dans un organisme privé dans le comté de San Diego en Californie, cofondateur et codirecteur de l’institut des lois indigènes et enfin qu’il fut journaliste. Par ailleurs il a des origines amérindiennes.

    Dès lors 3 critiques me viennent à l’esprit :

    1) La portée de votre message même et la corrélation avec la pensée de Newcomb :

    Le travail d’un chercheur consiste à faire avancer les connaissances en se mettant en perpétuelle remise en cause (le doute m’habite si je puis dire). L’idée n’est pas de porter un jugement.

    Que faites-vous ici ? Vous extrayez des éléments de son ouvrage de 2012 pour produire une accusation à charge.
    A-t-il lui même fait cela (je n’ai pas lu son oeuvre) ?

    2) La reconnaissance du travail sur lequel vous basez votre diatribe :
    Par ailleurs en supposant que Newcomb lui-même fasse la même utilisation que vous de son travail celui-ci fait-il consensus ? Le propos que vous formulez fait-il non pas l’unanimité mais est-il à minima reconnu ?

    3) Le contre examen de votre argumentaire :

    Il y a ici un problème de fond. Votre argumentaire repose uniquement sur la reformulation de certains éléments d’un ouvrage. Rien n’est personnel. Vous n’avez pas construit votre propre raisonnement. Dès lors la critique peut apparaître dirigée contre Newcomb lui-même. Ce n’est pas le cas.
    Je ne connais pas les recherches ni les écrits de cet homme. Je me garderais donc de les juger.
    Ce que j’attaque ici c’est justement la portée que vous donnez à ces éléments repris de Newcomb (attaquer le Vatican) et la faiblesse de votre argumentaire.
    Vous reprenez 3 textes séparés dans le temps, écrits dans des contextes différents, par des auteurs différents, ayant des portée différentes (bulles du Vatican, décision de la cours suprême américaine).
    Vous mettez en parallèle des choses qui ne sont pas comparables. De plus, vous occultez tous les faits intermédiaires, tout le contexte, tous les éléments contraire à ceux présentés.

    C’est soit de l’ignorance soit de la malhonnêteté pure et simple.

    Concernant votre réponse précédente :

    – une fois de plus vous ne répondez pas aux éléments qui vous sont présentés. Vous les occultez. Est-ce parce que vous ne maîtrisez pas votre argumentaire (que vous n’avez pas produit vous même mais récupéré auprès d’un autre ?)
    – vous me diffamez (non je n’ai pas pompé l’argumentaire de Samuel Eliot Morison (c’est pratique de l’affirmer comme cela on évite de répondre aux contradictions démontrées par des faits indiscutables)
    – vous dénoncez mon argumentaire sans y répondre (une nouvelle fois) « mais la vérité est très vite noyee dans une foule de données anectotiques ou plus importantes pour le point qu’il veut faire avancer » pardon d’avoir une culture générale et d’être capable d’amener des faits qui mettent à mal la théorie que vous avez copier/traduit/coller
    – « Mentir ou omettre expose à se faire laminer » vu le nombre d’omissions que vous avez produit c’est très honnête de votre part de reconnaître que votre raisonnement ne tienne pas la route
    – amalgame et nouvelle diffamation (je vous prierai de garder vos jugements moraux pour vous. Je n’ai rien à voir avec Madleine Albright je suis français et j’étais contre l’invasion en Irak).

    Conclusion :

    Si je puis me permettre, je vous conseillerais de :

    – soigner la forme du discours (déjà évoqué plus haut)
    – d’éviter de faire en sorte que les 2/3 de mon intervention se résume à des citations (cf. votre post précédent). Dans ce cas de figure cela donne l’impression (est-ce justifié ?) que rien ne vient de vous, que vous n’êtes pas capable de produire le moindre concept
    – de maîtriser votre propos et être à même de pouvoir répondre aux critiques (et d’y répondre…)

    Enfin, vous qui vous appelez résistant, une fois de plus vous vous trompez d’ennemi. Le Vatican n’est pas le mal. Je vous invite à relire les préconisations de la fin de mon post précédent.

    Cordialement,

    • Lisez ce qu’on vous a donné, notre argument repose sur des recherches de gens compétents que vous décidez d’ignorer délibérément, c’est votre choix. Vous êtes un optu qui se croit ouvert d’esprit mais travaillant à dessein ou sans le savoir, pour un dogme établi, là encore c’est votre choix. Vous êtes en train de prouver que vous êtes l’idiot de base, larbin du système, petit cerbêre un tantinet érudit envoyé aboyer pour ses maîtres.
      Le Vatican et toute religion sont l’ennemi des peuples, c’est l’évidence historique même.
      Nos positions sont irréconciliables, continuez à soutenir vos curetons (catholiques, protestants ou de toute autre secte inféodée à une mythologie criminelle), nous continuerons à soutenir ceux qu’ils ont opprimés et à exposer les crimes de cette fange, comme annoncé on va vous dédicacer notre dernière traduc’ de Peter d’Errico sur la fonction du pape, le génocide et la doctrine chrétienne de la découverte, fondement du colonialisme occidental…
      Bonjour chez vous 😀

  6. Lorsque l’on tombe à cours d’arguments, il ne reste que l’insulte….

    Dommage, vous valez sans doute mieux que cela.

    Je re-poste un élément de conclusion que vous avez ignoré (une fois de plus).

    « Vous estimez que Dieu est l’outil de contrôle utilisés par ces gens là ?

    Qui avons-nous en face (de l’impérialisme américain) ? Des leaders d’Amérique Latine avec notamment le très catholique Chavez, le très chiite Mahmoud Ahmadinejad et enfin le très orthodoxe Vladimir Poutine. Etrange non ? »

    Petit exemple de réflexion logique :
    1) Vous prétendez dénoncer l’impérialisme américain. Vous vous en prenez aux religions.
    2) Les leaders de l’opposition à l’impérialisme américain sont (presque) tous profondément religieux.

    Conclusion :
    Votre discours s’oppose à ceux qui luttent réellement contre l’impérialisme américain.

    CQFD.

    • Une fois de plus vous mélangez tout (à dessein on le sait). Il n’a jamais été question « d’argumentation » depuis le départ et vous le savez pertinemment, nous avons exposé votre tactique. Vous, le « libre penseur » et l’ouverture d’esprit incarnée ne fournissez qu’une argumentation faite de poncifs conservateurs, qui ne visent qu’à tenter de maintenir un semblant de cap dans la « discussion », mais quoi que l’interlocuteur puisse faire, cela ne va jamais: il cite des sources… il cite trop et ne « pense pas par lui/elle-même », il ne cite pas… alors « où sont vos preuves »… « quelle est votre solutions »… etc.. en attendant votre position demeure retranchée sur les poncifs et le dogme établi et votre fonction n’est que de bloquer tout débat et de soutenir des thèses éculées d’un establishment à bout de souffle.
      Bref, comme nous l’avons dit et le répétons, votre tactique n’est que du trollage en règle.
      Il ne peut pas y avoir un quelconque débat à ce point pour la simple et bonne raison que votre seul but n’est pas de débattre. Lisez les auteurs cités, en anglais si besoin. Nous sommes tous passés par le catéchisme de la pensée unique, la différence entre nous et vous est que nous avons cherché les angles d’approche différents, nous avons questionné le système et sa propagande avérée, chose que vous ne ferez jamais manifestement. Une fois de plus c’est un choix, restons-en donc là.

      en ce qui concerne votre dernier élément de « réflexion logique »: Les yankees eux ne sont bien sûr pas du tout religieux et leur idéologie n’a rien à voir bien entendu avec un quelconque délire religieux… et donc selon votre logique, la solution est bien sûr religieuse…

      Le jésuitisme ou toute autre sectarisme ensoutané nourrit-il bien ?

      Combattre l’empire anglo-américain passe par combattre la doctrine chrétienne de la découverte… 😀 😀 😀

      * * *

      Nous remettons ici notre commentaire réponse sur un autre article parce que vous répondez sur des pages différentes de façon à entretenir un débat décousu de façon à ce que les lecteurs ne puissent pas juger de la discussion dans son ensemble mais sur des bribes. Tactique classique du troll. Vous êtes pas mal, roll expérimenté comme nous l’avions déjà signalé.
      C’est un compliment… Prenez-le et chérissez-le…

      ===

      Votre mauvaise fois est impressionnante ! 😀
      La construction de votre argumentation est inspirée d’un historien américain dont vous avez sans nul doute connaissance puisqu’il fut (est toujours pour les dogmatiques) LA sommité sur Christophe Colomb dans les années 1950-70: l’innénarable Samuel Eliot Morison et son livre « Christopher Colombus, Mariner » (1954) qui utilisa une tactique d’étouffement de la vérité. Vous faites de même ici, sympa. La tactique est la suivante: ne pas nier l’histoire de l’extermination d emasse puisqu’elle ne peut pas l’être, mais la vérité est très vite noyee dans une foule de données anectotiques ou plus importantes pour le point qu’il veut faire avancer. Mentir ou omettre expose à se faire laminer, il est bien plus efficace de mentionner les faits puis de les enterrer très vite dans une masse d’autres informations pour finalement arriver à une conclusion ressemblant étrangement à la vôtre: oui l’extermination de masse s’est produite, mais ce n’est pas si important, cela ne peut pas affecter notre jugement final (sur les bienfaits de la « civilisation » occidentale) et cela ne peut pas, ne doit pas affecter plus que de raison ce que nous faisons dans le monde (toujours bien sûr pour la gloire de la « civilisation »).
      Vous faites partie de cette catégorie de personnes, qui à l’instar de la criminelle Madleine Albright (ministre des AE yank sous Clinton le non moins criminel), pense et déclare devant les cameras, que la mort de 500 000 enfants irakiens durant les plus de 10 ans de l’embargo yankee sur l’Irak « valaient la peine »… Que la colonisation au fond a plus de bienfaits que d’effets néfastes, etc…

      Quant à la doctrine chrétienne de la découverte… Avez-vous lu nos traduc’ de Newcomb ? Nous ne le pensons pas… Voici un extrait de la 3ème partie, chapitre exclusivement sur « Johnson contre M’Intosh », Marshall et l’analyse des raisonnements:

      Extrait du chapitre “Johnson contre M’Intosh” du livre de Steven Newcomb “Pagans in the Promise Land, Decoding the Doctrine of Christian Discovery”

      Traduit de l’anglais par Résistance 71, 24 Mars 2015
      Source:

      Comprendre le colonialisme actuel: « Païens en Terre Promise », décoder la doctrine chrétienne de la découverte (Steven Newcomb) ~ 3ème partie ~

      […] La cour suprême de l’état du Tennessee fournit aussi plus tard, en 1826, une explication similaire dans son verdict de l’affaire Cornet contre Winton:
      “Pour avoir une vision correcte des règles adoptées et appliquées aux affaires indiennes lorsque des dons furent faits par les rois d’Angleterre sur les terres d’Amérique du Nord, nous devons regarder les opinions qui prévalaient à l’époque en matière de religion. Les pères spirituels de la chrétienté dictèrent la croyance des gens et assumèrent un énorme pouvoir sur ce passage des écritures saintes trouvé dans Matthieu 16:18. En tant que successeur de St Pierre, son don des pays infidèles était considéré scellé dans les cieux et bien entendu, dans la conscience même des chrétiens. Les ténets indiscutables de ceci furent écrit par Lord Coke de Colvin (sic) disant que tous les infidèles sont nos ennemis perpétuels de droit, car il existe une perpétuelle hostilité entre eux, possédés par quelques diables que ce soit et les chrétiens. La vieille loi des nations n’avait pas alors été estompée par la moderne, en ce qui concerne leur conduite envers les pays infidèles. Ce fut pratiqué par toutes les nations de l’antiquité: les Babyloniens, les Perses, les Grecs, les Romains et par les Israélites sous les auspices de Moïse et de Joshua. En accord avec ce qui était permis, ils extirpèrent les habitants des pays qu’ils envahirent, les expulsant de leurs logis ou les tuant ou les réduisant en esclavage, au mieux de leurs intérêts du moment. C’est avec ces opinions religieuses et cette loi des nations pour gouvernement que les Espagnols s’en vinrent aux frontières du Mexique, en possession d’un don qui leur avait été donné par le dépositaire suprême des biens terrestres (le pape), par lequel la totalité du continent des Amériques fut faite sujette de leur domination. Ils appelèrent les nations indigènes à renoncer à leurs erreurs et à la religion de leurs ancêtres afin d’embrasser la seule et unique foi ou de s’abandonner ainsi que leur pays au gouvernement des nouveaux venus. Sous cette loi des nations, ils importèrent des esclaves d’Afrique et consignèrent leurs prisonnier et leurs descendants à un esclavage perpétuel.
      Sous ces auspices fut imbriquée la domination européenne sur le sol et les corps des humains, dans les codes de la jurisprudence américaine. Ceci fut tenu pour un titre légal de la plus haute authenticité à travers tout le monde chrétien.”
      Ainsi, malgré la présence de dizaine de millions d’autochtones vivant déjà au préalable sur ce continent, on nous dit que les monarchies de la chrétienté occidentale ont assumé le droit de régner sur les terres de ce continent “d’en haut” (projection métaphorique de “l’ascendance” décrite…). Marshall a écrit que les Européens ont utilisé le “caractère” indien (sauvage) et la “religion” (païenne ou infidèle, incroyant) comme justification de leur affirmation d’ascendance (de domination) sur le continent. Mais il a aussi fait référence à l’Europe ayant un “génie supérieur”. Ceci est une référence directe et une affirmation que les Européens étaient placés “plus haut” sur l’échelle de l’intelligence que les Indiens et aussi suggère que les Européens, en vertu d’une intelligence “supérieure”, possédaient une plus haute position de pouvoir en relation à la terre du continent et en relation aux peuples indigènes y vivant.
      […]

      • Non je ne mélange pas tout.

        Concernant :

        1) L’argumentation et le poids des citations :
        Je n’ai pas fait moi-même de citation (à moins que cela ne m’échappe). J’ai rappelé des faits historiques, vérifiables par tous.
        La citation peut avoir son intérêt notamment quand l’auteur fait consensus. Néanmoins on ne fait pas les 3/4 d’un argumentaire avec une citation.
        De plus la taille de la citation a aussi son importance. Vous ne pouvez pas sortir 20 lignes d’un texte sans risquer de faire perdre votre idée à votre lecteur.

        2) Mon soutien à « l’establishment » je vous assure que je le dénonce tout autant que vous mais à défaut je ne me trompe pas d’ennemi. Vous parlez des jésuites. Que c’est facile. La doctrine des jésuites s’est opposé à celle des Lumières.

        Laquelle des deux a triomphé ? Celle des idées des lumières. Est-ce au nom de la Bible ou celles des droits de l’Homme (pas la doctrine de la découverte) que les impérialistes ont tué Kadhafi ? Est-ce au nom de la Bible ou des droits de l’Homme que Bernard Henry Levy a mis à feux et à sang une demi douzaine de pays ? Votre blog parle de l’Ukraine et de la Russie. Effectivement Svoboda est un mouvement nazi. N’est-ce pas ce sioniste de BHL qui les a mis en place au nom des droits de l’Homme ?

        3) Je n’ai pas remis en cause le système ???? Relisez mes posts….. (+ le paragraphe précédent)

        « Pour cela il vous faudrait investiguer et présenter des faits sérieux sur :

        – la construction des Etats-Unis et son financement
        – le système bancaire mondial
        – la création de la banque fédérale américaine
        – la destruction des puissances européennes
        – le financement par les Etats-Unis du nazisme et du communisme russe
        – la déstabilisation du monde moderne (XX et XXI siècle par les Etats-Unis avec notamment le financement du terrorisme international)
        – la construction de l’Union Européenne par les Etats-Unis

        Tout cela n’a pas été fait par le Vatican mais bien par l’union des WASP américain (avec notamment des réseaux francs-maçons) et des sionistes américains »

        4) Sur la « réflexion logique » :
        Vous dénoncez la religion comme outil de contrôle et vous prétendez que vous combattez l’impérialisme américain.

        Je vous réponds que le problème n’est pas la religion dans la mesure où les plus fervents opposants à l’impérialisme américain sont religieux.
        Ai-je dit que les américains n’étaient pas religieux ? Non.

        Personnellement je pense qu’il y a une différence entre le peuple américain et ses dirigeants. Le peuple peut être religieux et manipulé (il n’y a pas de relation de cause à effet entre manipulation et religieux. La preuve, le nazisme et le communisme étaient anti-religieux). Je ne pense pas que le peuple soutiennent les activités des skulls and bones ou du bohemian club par exemple.

        5) Sur le fait que je réponde sur différentes pages.
        C’est vous qui m’avez renvoyé dessus. J’ai répondu aux erreurs que j’ai pu y constater et je suis revenu ici.

        J’ai énoncé bien avant que c’était un problème
        « J’ai répondu sur cette page et sur 2 autres. Y-a-t-il un ou plusieurs administrateurs. C’est déjà une première question. ».

        Conclusion :

        Une nouvelle fois aucune réponse sur les éléments qui vont à l’encontre de votre postulat initial. Dommage.

    • Fin de transmission cher troll. 😉

  7. […] légal de la loi coloniale sur le sous-continent nord-américain, bulles papales qui instaurèrent la doctrine chrétienne de la “découverte”, l’extermination, la mise en esclavage des “païens et infidèles” et la saisie de leurs […]

  8. JBL1960 Says:

    A propos, en lisant un article de Pepe Escobar sur le saker francophone, il parle de la doctrine de Monroe que voici ; https://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/la_doctrine_de_monrOe_un_imperialisme_masque.asp
    C’est super intéressant d’autant que le jugement de Marshall dans l’affaire de Johnson contre Mc Intosh n’est pas intervenu à ce moment là ? Y’a pas de hasard et pour moi cela démontre qu’ils suivent Le Plan conçu depuis le début !

    • Excellent oui Bravo ! Nous n’avions pas fait la connexion… 1823, non ce n’est pas un hasard, les pièces du puzzle se mettaient en place.
      La doctrine Monroe a fait de l’Amérique du sud « le jardin des Etats-Unis »… Le renversement du gouvernement au Guatémala en 1954, le soutien des juntes militaires sud-américaines de Pinochet à Videla en passant par les tortionnaires brésiliens, uruguayens, paraguayens etc… L’entrainement des cadres à la « Scuola de las Americas » du Pentagone et de la CIA d’abord basée au Panama puis maintenant dans l’état de Georgie pas si loin du QG de Coca Cola… tout cela s’est fait au nom de la doctrine Monroe, qui n’est pas à confondre bien sûr avec Marilyn… 😉
      rien à voir…

  9. Conférence de Steven Newcomb sur la doctrine chrétienne de la découverte et l’aspect sémantique de la domination coloniale, de la domination de la chrétienté (dominorum christianorum):

  10. […] Le christianisme (même sous sa forme non religieuse appelé “sécularisme” ou “athéisme”) n’a fait que propager l’intolérance, les dogmes bigots, l’exclusivisme et les complexes de supériorité. Il a offert la justification, il a même inspiré les croisades, pour l’expansionnisme colonial, le meurtre de masse ainsi que la destruction de complètes cultures locales. (NdT: Ceci est en accord parfait avec notre vision du colonialisme occidental seul et véritable fléau récurrent sur terre et parfaitement décrit par l’analayse de la doctrine chrétienne de la découverte…) […]

  11. […] européens (NdT: et chrétiens ne l’oublions pas, ceci est lié encore et toujours à la doctrine de la découverte…), ils n’existaient pas parce que leur continent avait été déclaré terra nullius: terre […]

  12. C,est avec stupeur que j,ai vu le bloque du 26janvier2016 dans le site ENQUÊTE ETDÉBAT, que les autochtones sauvages, cannibales et sans moralité ont été exterminés par les anges de Dieu, que les gouvernements les ont protégés et que les sornettes sur les bâches de linge empreints de variole sont des fumisteries … C’est presqu’incroyable de lire cela, alors que le livre « Québecgate » écrit par le dernier des 3 ex-policiers de la SQ prouve que cela se continue actuellement au su et au vu de tous… Il faudrait que de tels sites soient sanctionnés, soient sortis de ce réseau puisqu’ils minent la crédibilité de tout ces sites. les meurtres des enfants au pensionnats sont prouvés, pas d’accusation. Des viols sont commis: pas d’accusation.
    Tous les jours mon âme ressent ces exactions sur cette magnifique terre, tous les jours j’envoie en chaque entité vivant en ces lieux, une énergie d’amour universelle, de prise de conscience pour que ces voiles se déchirent a tout jamais.

  13. […] de haut-niveau, sans même faire allusion au fait que la réunion n’avait aucunement adressé la Doctrine Chrétienne de la Découverte. Le rapport a néanmoins réitéré le droit des peuples indigènes à avoir leur mot à dire dans […]

  14. Conférence de Steven Newcomb à la chambre d’Arizona (2013) sur la Doctrine Chrétienne de la Découverte:

  15. […] Lire notre dossier sur le colonialisme et la Doctrine Chrétienne de la Découverte […]

  16. […] La même doctrine chrétienne de la découverte et de domination utilisée par Colomb, fut utilisée par la juge Ginsburg pour justifier de l’assujettissement de bien des îles non-chrétiennes en toile de fond de son rendu légal de l’affaire de la City of Sherrill contre la nation indienne Oneida (Iroquois) de New-York (2005). La toute première note de bas de page de son opinion de l’affaire est la “doctrine de la découverte”. J’ai regardé si la juge Ginsburg discute de l’affaire City of Sherrill dans son livre et je n’ai rien trouvé. […]

  17. […] le sait bien ici ou là comment les premiers colonisateurs on voulu « partager » leur culture, […]

  18. […] Promise, décoder la Doctrine Chrétienne de la Découverte » partiellement traduit par R71 que j’ai également réunifié par ce PDF de 45 pages en lien direct ► […]

  19. […] européens (NdT : et chrétiens ne l’oublions pas, ceci est lié encore et toujours à la doctrine de la découverte…), ils n’existaient pas parce que leur continent avait été déclaré terra nullius : terre […]

  20. […] fondement du colonialisme moderne prend racine à la fin du XVème siècle avec la « doctrine chrétienne de la découverte » édictée au gré des bulles pontificales Dum Versitas (1452), Romanus Pontifex (1455) et Inter […]

  21. […] Notre page « Colonialisme et doctrine chrétienne de la découverte » […]

  22. https://reseauinternational.net/la-source-biblique-du-colonialisme-occidental-par-steven-newcomb/

    Steven Newcomb n’a pas l’air (on va dire qu’il est sincère et seulement instrumentalisé par nos ennemis actuels, qui souhaitent faire disparaitre l’homme occidental en attisant contre lui la haine des autres peuples) d’être au courant de ce qui se passait réellement à l’origine sur son continent. Où sont passés les sacrifices humains à la pelle, largement documentés et attestés par les historiens sérieux, qui avaient lieu dans les grandes cités, là où on rendait un culte au soleil et à plein d’autres divinités ? Le sang des innocents ruisselait sur les marches de ces cités ! Jusqu’à 4000 sacrifiés en une journée, si ma mémoire est bonne, au Mexique. Les quelques tribus qui vivaient en paix et à l’écart vivaient dans la TERREUR d’être enlevé et de se voir sacrifié. Quand les catholiques sont venus et les ont délivrés de leurs bourreaux, certains ont fait des kilomètres et des kilomètres à pied pour demander le baptême. Quant aux crimes commis contre ces populations, les protestants anglais en sont les principaux responsables, ce sont eux qui ont eu l’idée complètement tordue de distribuer des couvertures contaminées aux populations locales. Les français quant à eux étaient très bien vus, comme des frères. Si on avez identifié qu’on nous ment, vous n’avez pas encore mesuré A QUEL POINT on nous ment.

    • 4000 sacrifiés / jour sur 24 heures non stop ça fait du 2,8 mecs/min non stop… ça chômait pas hein ? 😀 « Apocalypto » c’est aussi du cinéma… 😉
      Les catholiques ont été des bourreaux remplaçant les autres… les différences colonisatrices sont cosmétiques, si effectivement les Français furent moins violents envers les natifs en Nouvelle France que les rosbifs, ils furent plus tard horribles en Indochine, à Madagascar et en Algérie. La colonisation ne peut pas être « excusée », elle est exploitation à des degrés divers, cruauté diverse, mais exploitation quoi qu’il en soit…

Répondre à 26 janvier 2018 : les australiens de papier commémorent leur fierté… | jbl1960blog Annuler la réponse.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.