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De-lantagonisme-a-la-complementarite-nietzsche-et-la-tradition-anarchiste
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L’intégrale de Nietzsche
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L’intégrale de Nietzsche
“Tu es roi. Vis tout seul. Sur ton libre chemin
Va donc où te conduit librement ta pensée,
Enrichissant le fruit des meilleures idées,
Et pour un bel exploit sachant n’exiger rien.
Tout est en toi. Tu es ton tribunal suprême.
Plus rigoureux qu’autrui tu juges ton poème.
En es-tu satisfait, artiste sourcilleux ?”
~ Alexandre Pouchkine ~
Texte d’une grande lucidité politique publié par Malatesta il y a 125 ans… Pourquoi ces textes résonnent-ils toujours de grande actualité si ce n’est parce que rien n’a été fait depuis des siècles pour que tout change vraiment. La voie réformiste est celle de changer pour qu’en fait rien ne change jamais vraiment. Il est plus que grand temps de comprendre, devant la menace physique qu’exerce aujourd’hui l’oligarchie sur l’humanité, qu’il n’y a pas de solution au sein du système et qu’il ne saurait y en avoir !
Qu’on se le dise et qu’on le comprenne… enfin ! Ce n’est qu’à cette condition que nos actions deviendront véritablement (r)évolutionnaires.
~ Résistance 71 ~
L’état socialiste
1897
~ Traduction Résistance 71 ~
Le but des socialistes démocrates est “d’accéder au pouvoir public”.
Nous n’analyserons pas en cette occasion le fait de savoir si ce but est en accord avec leurs théories historiques, qui disent que les classes économiquement dominantes détiennent toujours inévitablement le pouvoir politique et que de là en découle que l’émancipation économique devrait, par nécessité, venir avant l’émancipation politique. Nous ne débattrons pas non plus ici de savoir si, assumant que le pouvoir politique puisse être acquis par une classe déshéritée, les moyens légaux seraient suffisant pour accomplir cette tâche.
Nous voulons à peine discuter ici de savoir si une saisie du pouvoir public serait en accord ou pas avec l’idéal socialiste de la société des êtres libres et égaux, dénuée de maîtres et de divisions de classe.
Les socialistes démocrates, spécifiquement les Italiens, qu’ils l’aiment ou pas, ayant été exposés plus que les autres à l’influence de la pensé anarchiste, ont l’habitude d’affirmer, du moins lorsqu’ils argumentent avec nous, qu’ils veulent eux aussi abolir l’État, c’est à dire le gouvernement et qu’afin d’être en position de pouvoir le faire, ils doivent le saisir. Qu’est-ce que cela veut dire ? S’ils veulent abolir l’État alors qu’ils le capturent, effacer toute garantie légale de “droits acquis”, démanteler toute force armée gouvernementale, mettre un terme au pouvoir législatif, laisser à chaque localité, chaque association et individu une autonomie totale et complète et faire la promotion d’une organisation de la société depuis sa base au travers des fédérations d’associations libres des producteurs et des consommateurs, alors toute l’affaire reviendra à ceci : qu’ils expriment par certains mots ce que nous exprimons avec d’autres. Disant nous voulons nous emparer de la forteresse et la détruire et en disant nous voulons saisir la forteresse et la démolir, cela veut dire exactement la même chose.
Le fait est que de telles déclarations d’intention de capturer l’État afin de a détruire sont soit des outils polémiques tendancieux ou, si sincères, viennent d’anarchistes-en-devenir qui pensent qu’ils sont toujours démocrates.
Il restera toujours entre les socialistes démocrates et nous une différence d’opinion, sans aucun doute de la plus grande importance, au sujet de savoir si la participation en des élections et l’entrée des socialistes au parlement aide ou entrave la révolution ; préparer les gens à une transformation radicale de l’ordre présent ou éduquer les gens à accepter une nouvelle tyrannie après la révolution ; mais sur le but ultime, nous serions entièrement d’accord.
Les véritables socialistes démocrates ont une notion toute différente de “gagner les pouvoirs publics”. Au congrès de Londres, pour ne citer que le plus récent, moment solennel, ils déclarèrent très clairement que le pouvoir public doit être capturé pour être exercé et “afin de légiférer et d’administrer la nouvelle société”. Dans le plus récent numéro de la revue Critica Sociale, nous y avons lu que c’est une erreur que de croire qu’une fois le pouvoir atteint, le parti socialiste sera capable ou même désireux de diminuer les impôts et qu’au contraire, l’État, par une augmentation progressive des impôts, devra absorber graduellement la richesse privée afin de mettre en place de grandes réformes, celles qui sont le but du socialisme (mettre des fonds à disposition des anciens, des handicapés, pour les accidentés, organiser les écoles pour les rendre efficaces dans un pays civilisé, récupérer le capital etc, etc…), avançant ainsi vers le but lointain du communisme parfait, quand tout deviendra service public et la richesse privée et la richesse de la société deviendront une et même chose (Giuseppe Bonzo, “Il Partito socialista e le imposte,” [1] in Critica Sociale, May 1, 1897).
Ainsi donc, les socialistes démocrates ne nous promettent rien d’autre qu’un gouvernement, complet avec toute sa litanie d’inspecteurs et de collecteurs d’impôts, de tribunaux pour les mauvais payeurs, de gendarmes et de prisons (pour tous ceux qui tentent de mettre ce système par la fenêtre), de juges, d’administrateurs de fonds d’assistance publique, de programmes scolaires avec leurs tuteurs des plus officiels, son agence de dette publique pour payer les intérêts du capital emprunté (NdT: Malatesta écrit ça en 1897 !!… Il avait tout compris déjà à l’époque de toute cette vaste escroquerie à la dette publique et le rôle de la haute finance dans le contrôle des nations par la dette…) etc, etc, en plus bien sûr d’un corps législatif faisant des lois et mettant en place des impôts et des ministères variés pour s’assurer de l’administration et de l’application des lois.
Ce faisant, il se peut qu’il y ait différentes modalités, des degrés différents de la centralisation et de ses tendances, ou des méthodes de gestion plus ou moins dictatoriale et un processus d’application plus ou moins abrupt ou graduel, mais dans l’essence de la chose, ils sont tous d’accord les uns avec les autres parce que cela constitue la substance même de leur programme politique.
Maintenant, nous devons regarder si ce gouvernement que les socialistes rêvent de mettre en place, fournit une quelconque garanti de justice sociale : s’il pourrait supprimer ou supprimerait les classes, bannir toute forme d’exploitation et d’oppression de l’homme par l’homme ; s’il pourrait en bref, établir les fondations solides pour une véritable société socialiste.
Les socialistes démocrates partent du principe que l’État, le gouvernement, ne sont que des agents politiques de la classe dirigeante. Ils disent que dans une société capitaliste, l’État de nécessité sert les intérêts des capitalistes et garantit leur droit d’exploiter les travailleurs. Mais dans une société socialiste, avec la propriété privée abolie et les distinctions de classes disparues après la disparition du privilège économique, l’État représenterait tout le monde et deviendrait l’agent impartial des intérêts sociaux de tous les membres de la société.
A ce moment, se lève une difficulté inévitable. S’il est vrai que le gouvernement est toujours par nécessité, l’instrument de quiconque possède les moyens de production, par quel miracle donc un gouvernement socialiste émergerait-il au milieu d’un système capitaliste avec pour mission d’abolir le capitalisme ? Cela se ferait-il comme Marx et Blanqui le voulurent, au travers d’une dictature imposé par une révolution (NdT : dictature du prolétariat), par l’action forcée de décrets révolutionnaires et l’imposition de la confiscation de la propriété privée au bénéfice de l’État, représentant des intérêts collectifs ? Ou bien sera-ce, comme semblent le vouloir tous les marxistes et les blanquistes modernes, par le moyen d’une majorité socialiste gagnée au parlement via le suffrage universel du système électoral ? Y aura t’il une expropriation brutale de la classe dirigeante par une classe économiquement subjuguée et dominée, ou y aura t’il un processus graduel par lequel les propriétaires et les capitalistes seront forcés d’abandonner leurs privilèges petit à petit ?
Tout ceci semble être en porte-à-faux avec la théorie du “matérialisme historique”, qui est le dogme de base des marxistes. Mais dans cette article nous n’avons pas l’intention d’explorer ces contradictions, ni de voir quelle mesure de vérité il peut y avoir dans la doctrine du matérialisme historique.
Imaginons donc que par quelque moyen, le pouvoir soit passé entre les mains des socialistes et qu’un gouvernement socialiste ait été établi. Cela voudrait-il dire que le triomphe du socialisme est en cours ?
Nous ne le pensons pas.
Si l’institution de la propriété privée est la racine de tous les maux que nous connaissons, ce n’est pas parce que tel ou tel bout de terrain est enregistré au nom de telle ou telle personne, mais parce que cette enregistrement autorise cette personne à utiliser ce terrain comme bon lui semble et la façon dont il est utilisé est toujours mauvaise, à savoir, au détriment de ses pairs. Toutes les religions à leur origine, ont affirmé que la richesse était un fardeau qui obligeait les propriétaires à s’occuper du bien-être des pauvres et à agir envers eux comme un père. Quand on regarde l’origine de la loi civile, nous découvrons que le propriétaire est obligé de suivre un grand nombre d’obligation civiques comme devant plutôt être un administrateur de biens dans l’intérêt public qu’un propriétaire au sens moderne du terme. Mais tel est l’homme quand il peut dominer et imposer ses désirs sur les autres, il use et abuse de sa position au point de réduire les autres en esclavage et à l’abjection. Et donc le proprio, qui était supposé être un “père” et un protecteurs des pauvres, s’est toujours transformé en un exploiteur féroce et vorace.
(NdR71 : Malatesta semble ici penser que l’homme est un abuseur par nature, ce qui renforcerait la théorie de Hobbes et de sa nécessité du Léviathan étatique qui serait le moindre mal… Nous pensons comme tout le courant de pensée kropotkinien, que ce sont les circonstances qui induisent la possibilité de l’abus et de la malversation. L’Homme n’est pas un abuseur par nature, l’abus, la violence et la tyrannie sont des constructions sociales. Il peut y avoir bien sûr des exceptions relevant plus de la psychologie / psychiatrie, mais de manière générale, l’humain n’est pas un abuseur, il aurait été incapable de survivre ses temps primordiaux s’il l’avait été. Si l’Homme crée un système, un système puissant créera aussi les hommes nécessaires à sa survie et perpétuation.)
Il en a toujours été ainsi et cela le sera toujours avec les dirigeants également.
Il ne sert à rien de dire que lorsqu’un gouvernement s’en vient du peuple, il servira les intérêts du peuple ; tout pouvoir a toujours découlé du peuple, car seul celui-ci peut lui donner la force nécessaire et ces pouvoirs ont toujours opprimé les peuples. On ne peut en rien dire que lorsqu’il n’y aura plus de classes privilégiées, alors le gouvernement servira le peuple et sera un agent du bien et de la volonté collectifs, les dirigeants constituent une classe à part entière et entre eux une solidarité de classe se développe, bien plus puissante que toute celle existante et ancrée dans le privilège économique.
Il est vrai que de nos jours, le gouvernement sert la bourgeoisie, mais cela tient moins au fait qu’il soit gouvernement que du fait que ses membres appartiennent à la bourgeoisie ; autrement, étant le gouvernement, il méprise ses maîtres et leur ment et les vole, comme tout serviteur. Ce ne fut pas pour servir la bourgeoisie que Crispi vola des banques ou piétina la constitution.
Tous ceux qui sont au pouvoir veulent y demeurer et peu importe le coût, ils ont l’intention d’imposer leur volonté, et comme la richesse est un puissant instrument de pouvoir, le dirigeant, même s’il n’abuse ni ne vole personnellement, promeut la montée d’une classe autour de lui qui lui doit ses privilèges et possède un intérêt particulier à ce qu’il reste au pouvoir. Les partis dirigeants sont à la politique ce que la classe des propriétaires est à l’économie.
Les anarchistes l’ont dit des milliers de fois et toute l’histoire est faite, est marquée de ce qu’ils ont dit : la propriété privée et le pouvoir politique sont les deux maillons de la chaîne qui entrave l’humanité et sont comme le double tranchant de la lame de l’assassin. Il n’y a aucune façon de se libérer de l’un sans se libérer de l’autre. Abolissez la propriété privée sans abolir le gouvernement et la première sera ressuscitée par ceux qui gouvernent. Abolissez le gouvernement sans abolir la propriété privée et les propriétaires ressusciteront le gouvernement.
Lorsque Frédéric Engels affirma, peut-être pour parer à la critique anarchiste, qu’une fois les classes disparues, l’État n’aura plus de raison d’exister et passera du gouvernement des hommes à l’administration des choses, il ne faisait que jouer sur les mots. Quiconque a pouvoir de domination sur les choses possède la domination sur les hommes ; quiconque gouverne la production gouverne le producteur ; quiconque contrôle la consommation domine et possède le consommateur.
La question en définitive est celle-ci : ou bien les choses sont administrées en accord avec des associations librement acceptées par ceux qui sont concernés, dans ce cas nous avons l’anarchie, ou elles sont administrées en accord avec la loi faite par des administrateurs et nous avons le gouvernement, l’État, qui de manière inévitable bascule dans la tyrannie.
Il n’est pas ici question de la bonne foi ou de la bonne volonté de l’homme, mais de la nécessité dictée par les situations et les tendances générales dont font preuves les hommes lorsqu’ils se trouvent dans certaines circonstances.
(NdR71 : ceci invalide ce que sous-entendait Malatesta plus haut et qui suscita notre note.)
De plus, si le bien de tous est vraiment en jeu, s’il y a vraiment une intention “d’administrer les choses” dans les intérêts des administrés, qui peut donc mieux le faire que ceux qui produisent les choses et les consomment ?
Quelle est en fin de compte l’utilité d’un gouvernement ?
La toute première action d’un gouvernement socialiste lorsqu’il arrive au pouvoir devrait être celle-ci :
“Considérant le fait qu’être gouvernement, nous ne pouvons rien faire de bon et serions en fait un handicap a l’action des hommes en les forçant à attendre des lois que nous ne pouvons édicter sans sacrifier les intérêts de certains au profit des intérêts d’autres et les intérêts de tout le monde contre nos propres intérêts. Nous, gouvernement, déclarons donc de fait l’abolition de toute autorité et invitons les citoyens à s’organiser eux-mêmes en associations libres, correspondant à leurs besoins variés, de nous soumettre à l’initiative de ces associations et d’y apporter notre contribution par nos efforts personnels.”
Aucun gouvernement n’a jamais fait quoi que ce soit ressemblant à cela et un gouvernement socialiste ne le ferait pas non plus. (NdT: le futur donna raison à Malatesta. Tous les gouvernements de capitalisme d’état marxistes n’ont jamais œuvré à ce but, pire même. ils ont réprimé dans le sang tous ceux qui tentèrent de le faire pour l’avènement du bien commun…). Ainsi donc, le jour ou le peuple aura la force du pouvoir entre les mains, s’il est sage et avisé, il empêchera donc l’établissement de quelque gouvernement que ce soit.
*
“L’État, c’est ainsi que s’appelle le plus froid des monstres froids et il ment froidement et le mensonge que voici sort de sa bouche: ‘Moi, l’État, je suis le peuple !’… Là où le peuple existe encore, il ne comprend pas l’État et il le hait comme un mauvais œil et comme un pêché contre les coutumes et les droits… L’État, lui, ment dans tous les idiomes du bien et du mal ; et quoi qu’il dise, il ment et ce qu’il possède il l’a volé. Tout est faux en lui, il mord avec des dents volées, lui qui mord si volontiers. Fausses sont même ses entrailles… ‘Sur Terre il n’est rien de plus grand que moi: je suis le doigt qui crée l’ordre, le doigt de dieu’, voilà ce que hurle ce monstre…”
“L’Église ? répondis-je, c’est une espèce d’État et c’en est l’espèce la plus mensongère. Cependant, tais-toi donc, chien hypocrite, mieux que personne tu connais ta propre espèce !
Tout comme toi, l’État est un chien hypocrite ; tout comme toi il aime à parler par fumée et hurlement afin de faire croire, tout comme toi, qu’en lui parle le ventre des choses. Car il veut à toute force, l’État, être l’animal le plus important sur terre ; et on le croit.”
“Oui, il a été inventé là une mort pour les multitudes, une mort qui se vante d’être la vie: en vérité un fier service rendu à tous les prédicateurs de mort. J’appelle État le lieu où sont tous ceux qui boivent du poison, qu’ils soient bons ou méchants… État le lieu où le lent suicide de tous s’appelle… la vie.” “Là où cesse l’État, c’est là que commence l’Homme, celui qui n’est pas superflu : là commence le chant de ce qui est nécessaire, la mélodie unique et irremplaçable. Là où cesse l’État — regardez donc mes frères ! Ne les voyez-vous pas, l’arc-en-ciel et les ponts du surhumain ?”
~ Friedrich Nietzsche (Ainsi parlait Zarathoustra 1883) ~
“Les historiens et les économistes aux gages de l’État nous ont enseigné, sans doute, que la commune de village, étant devenue une forme surannée de la possession du sol, forme qui entravait les progrès de l’agriculture, dut disparaître sous l’action des forces économiques naturelles. Les politiciens et les économistes bourgeois ne cessent de le répéter jusqu’à nos jours ; et il y a même des révolutionnaires et des socialistes — ceux qui prétendent être scientifiques — qui récitent cette fable convenue, apprise à l’école.
Eh bien, jamais mensonge plus odieux n’a été affirmé dans la science. Mensonge voulu, car l’histoire fourmille de documents pour prouver à qui veut les connaître — pour la France, il suffirait presque de consulter Dalloz — que la commune de village fut d’abord privée par l’Etat de toutes ses attributions ; de son indépendance, de son pouvoir juridique et législatif ; et qu’ensuite ses terres furent, ou bien tout bonnement volées par les riches sous la protection de l’Etat, ou bien directement confisquées par l’Etat…”
~ Pierre Kropotkine ~
= = =
Lectures complémentaires :
Errico Malatesta, écrits choisis
Gustav Landauer “Appel au socialisme”
Pierre Kropotkine “L’entraide, facteur de l’évolution”
Elisée Reclus « Evolution et révolution »
Pierre Clastres, hommage 40 ans 1977-2017
James C. Scott “L’art de ne pas être gouverné”
Guy Debord « La société du spectacle »
Résistance 71 “Du chemin de la société vers son humanité réalisée”
Lors de la crise du siège d’Oka en 1990, une ancienne du conseil des mères de clans mohawk avait dit aux badauds québécois locaux qui s’en venaient aux nouvelles cette parole prophétique : « Oui, venez et profitez-en bien parce que quand ils en auront fini avec nous, ce sera votre tour… » Ils n’en ont pas fini avec les Amérindiens, mais le tout du petit blanc colon est déjà venu…
~ Résistance 71 ~
C’est absolument épouvantable : les Canadiens non vaccinés sont en train de devenir la nouvelle minorité discriminée et persécutée
Eva Bartlett
22 octovre 2021
Source en français:
https://www.mondialisation.ca/cest-absolument-epouvantable-les-canadiens-non-vaccines-sont-en-train-de-devenir-la-nouvelle-minorite-discriminee-et-persecutee/5661641
Au Canada, un pays soi-disant bienveillant qui se targue d’être inclusif, le totalitarisme du Covid est devenu manifeste avec la décision que bientôt seules les personnes entièrement vaccinées pourront voyager.
L’obligation de se faire vacciner a également été imposée aux travailleurs de la santé, aux employés municipaux et aux fonctionnaires fédéraux. En fait, dans le cadre de ce que le premier ministre Justin Trudeau a appelé l’une des politiques les plus strictes au monde en matière d’obligation vaccinale, les Canadiens non vaccinés sont de plus en plus restreints/exclus non seulement du travail, mais aussi de la vie sociale. On prétend que cela est fait pour leur bien-être et leur santé. Je soutiens cependant que ce n’est rien d’autre que du « fascisme médical ».
Il y a quelques mois, les médias du monde entier ont fait beaucoup de bruit lorsque le gouvernement du Canada a versé des larmes de crocodile sur l’emprisonnement, la torture, la privation de nourriture et le meurtre d’enfants autochtones dans le cadre de l’horrible système des « pensionnats ». Nous étions censés croire que le gouvernement se souciait soudainement d’une population qu’il avait toujours cherché à éliminer.
Mais, en plus des nombreux exemples qui prouvent que ce ne sont que des discours de façade, il est devenu clair, depuis plus d’un an et demi, que le gouvernement se moque bien des Canadiens, un point c’est tout.
Dans le cadre d’un des plus longs confinements au monde, les Canadiens ont vu leurs entreprises fermées, ont été privés de contact avec leurs aînés, ont été empêchés de pratiquer leur culte, d’organiser des réunion ou des fêtes pendant les vacances (alors que les dirigeants canadiens, eux, s’exemptaient des règles) et, plus grave encore, ont été privés de soins médicauxessentiels – tout cela au nom de la santé publique.
Les Canadiens, qui ont une immunité naturelle affirment qu’on leur a dit que ce n’était pas suffisant pour entrer dans le pays.
À partir du 30 octobre, seules les personnes vaccinées pourront prendre l’avion ou le train au Canada. Si un grand nombre de Canadiens se sont fait vacciner, beaucoup d’autres ont des inquiétudes légitimes quant à la sécurité des vaccins.
Lorsque le Dr Byram Bridle, professeur agrégé d’immunologie virale – un expert reconnu en vaccinologie – a refusé la vaccination parce qu’il avait une immunité naturelle, il a été tourné en dérision par les médias et banni de l’Université de Guelph. Il a précisé qu’il était « un amoureux des vaccins et un innovateur dans ce domaine« , mais qu’il s’inquiétait du « lien possible entre l’inflammation cardiaque qui voit apparaître et ces vaccins COVID-19« .
Je savais déjà qu’il était peu probable, étant donné les circonstances, que je puisse rendre visite à ma famille au Canada, et les nouvelles règles du » pas de piqure, pas de voyage » règlent la question en ce qui me concerne.
Mais, pour les personnes qui vivent au Canada, il ne s’agit pas seulement de la possibilité de voir des êtres chers. Pour certaines personnes, ces nouvelles règles sont une question de vie ou de mort : elles peuvent les empêcher de recevoir des soins médicaux vitaux et/ou de gagner leur vie.
C’est le cas d’une chercheuse italienne vivant au Canada depuis 2001, à qui on a diagnostiqué cette année-là une sclérose en plaques. J’ai récemment échangé avec Valentina Capurri sur la façon dont l’obligation vaccinale va l’affecter.
Elle m’a expliqué qu’à la suite de son diagnostic de sclérose en plaques, on lui avait proposé de participer au programme d’essai d’un nouveau médicament. Bien que cela soit risqué, elle avait accepté pour différentes raisons, notamment parce que cela lui assurerait les soins de santé et les médicaments qu’elle ne pouvait pas s’offrir en tant qu’étudiante internationale alors seule.
Elle m’a décrit l’importance de cet essai, qui a duré douze ans.
« De nombreuses personnes souffrant d’effets graves de la sclérose en plaque auraient pu bénéficier de ces médicaments. Malheureusement ça n’a pas été le cas parce qu’on ne peut pas administrer largement un médicament dont les effets peuvent se révéler néfastes. »
Tous les nouveaux médicaments, ou vaccins doivent habituellement passer par des essais comme celui-ci, a-t-elle souligné.
« Mais rien de tout cela n’a été fait dans ce cas précis. C’est donc ce qui m’a rendue un peu méfiante à l’égard des vaccins Covid. »
Depuis un an et demi, dit-elle, elle n’a pas été autorisée à voir son neurologue, tous les rendez-vous médicaux à son hôpital de Toronto ont été annulés et remplacés par des consultations téléphoniques. Pas de visites physiques, pas d’IRM, seulement des appels téléphoniques.
« En 2003, quand il y a eu le SRAS, j’avais l’habitude d’aller une fois par mois à l’hôpital. Malgré le fait que le SRAS avait alors un taux de mortalité beaucoup plus élevé que le Covid, nous étions quand même autorisés à entrer régulièrement à l’hôpital. Aucune de nos visites n’a été annulée à l’époque, comme c’est le cas aujourd’hui. »
Comme ni elle ni son mari canadien ne se feront vacciner, ils vont perdre leur emploi et ne pourront plus payer les médicaments onéreux dont elle a besoin.
« On me prive de mon emploi et de ma capacité à subvenir à mes besoins, simplement parce que j’exerce mon droit à ne pas subir une procédure médicale expérimentale. C’est pire que le fascisme, c’est absolument épouvantable ».
De plus, les personnes ayant besoin d’une greffe d’organe risquent maintenant de se la voir refusée s’ils ne consentent pas aux piqures obligatoires.
Parmi les autres Canadiens suspendus sans salaire pour leur refus de se faire vacciner figurent des centaines de travailleurs hospitaliers, dont des infirmières. Le genre de personnes qui ont normalement quelques connaissances dans le domaine de la santé…
Et, en août, le Dr Rochagné Kilian, médecin urgentiste et médecin de famille, a démissionné pour protester contre les pressions violentes et immorales exercées sur les Canadiens pour qu’ils se fassent piquer.
Alors que les travailleurs médicaux et les Canadiens moyens sont obligés de renoncer à leur emploi, se voient refuser des soins médicaux et sont mis au ban de la société, le gouvernement a clairement montré que l’adage : « Fais ce que je dis mais pas ce que je fais », s’applique toujours.
Le premier ministre Trudeau a déclaré que tous les travailleurs fédéraux seraient obligés de se faire vacciner, mais il s’avère que ce n’est pas le cas. Selon un article du Toronto Sun, environ 70 % de la main-d’œuvre fédérale sera exemptée de la vaccination, notamment les juges fédéraux, les inspecteurs des abattoirs, les gardiens de parc, les postiers, les contrôleurs fiscaux, le personnel de la Chambre des communes et du Sénat, les soldats, les marins et le personnel des forces aériennes, ainsi que les employés de Postes.
Le Canada ne se préoccupe même plus de logique. C’est le fascisme médical pur et simple pour la majorité des Canadiens.
Avec l’introduction de la vaccination obligatoire, ce n’est qu’une question de temps avant que le Canada n’atteigne le totalitarisme de la Lituanie, où les personnes non vaccinées sont presque totalement exclues de tous les domaines de la société.
S’il vous plaît, prenez une seconde pour vous demander s’il s’agit vraiment encore de santé publique !
Eva Bartlett
Article original en anglais :
‘It’s absolutely appalling’: Unvaccinated Canadians become social outcasts and the new persecuted minority, RT, le 21 octobre 2021.
Traduction : Dominique Muselet
Photo en vedette : manifestation à Montréal, le 14 août 2021, photo par Micheline Ladouceur.
Eva Bartlett est une journaliste indépendante et une militante canadienne. Elle a passé des années sur le terrain à couvrir les zones de conflit au Moyen-Orient, notamment en Syrie et en Palestine (où elle a vécu près de quatre ans).
Le pouvoir du NON !
Texte titilleur de conscience pour le moins, les lecteurs reconnaîtront dans cet essai de Wilson datant de 2002, certains sujets que nous avons abordés, pour certains abondamment sur ce blog. Nous vivons la fin d’une ère ceci est indéniable, nous ne devons pas nous laisser imposer la suite des évènements comme c’est le cas depuis ce fameux néolithique qui ne cesse de servir de référence à notre déchéance. Le système étatico-capitaliste se meurt et il est en train de muter en une entité qui nie l’humanité et cherche à l’annihiler. Nous devrons puiser très profond pour en sortir et au contraire réaliser notre humanité. Le combat qui s’annonce sera d’anthologie et fera l’Histoire. N’oublions jamais que nous sommes les ancêtres de la 7ème génération à venir, celle-ci chantera nos louanges comme les initiateurs de la grande (r)Evolution qui réalisa notre humanité vraie. C’est de cela qu’il s’agit et c’est sur quoi nous sommes engagés, la lutte sera épique et entrera dans la légende des siècles…
~ Résistance 71 ~
“Qu’est-ce que l’État ? C’est le signe achevé de la division dans la société, en tant qu’il est l’organe séparé du pouvoir politique: la société est désormais divisée entre ceux qui exercent le pouvoir et ceux qui le subissent. La société n’est plus un Nous indivisé, une totalité une, mais un corps morcelé, un être social hétérogène… »
~ Pierre Clastres ~
“Dès que l’État n’est plus à même d’imposer l’union forcée, l’union surgit d’elle-même, selon les besoins naturels. Renversez l’État, la société fédérée surgira de ses ruines, vraiment une, vraiment indivisible, mais libre et grandissant en solidarité par sa liberté même.”
~ Pierre Kropotkine ~
“L’état n’est pas quelque chose qui peut être détruit par une révolution, mais il est un conditionnement, une certaine relation entre les êtres humains un mode de comportement humain, nous le détruisons en contractant d’autres relations, en nous comportant différemment.”
~ Gustav Landauer ~
Anarchisme spirituel
Peter Lamborn Wilson alias Hakim Bey
2002
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
1.
Le conservatisme de l’âge de pierre (tribal, égalitaire, proto-chamanique, chasseur / cueilleur / jardinier, économie du don et du partage, etc)
Les cités-états sumériennes (4ème millénaire AEC), l’effritement de l’organisation politique originelle non-stratifiée, l’émergence de la séparation (cf les recherches de Pierre Clastres)
Enkidu de Gilgamesh : la domestication de “l’homme sauvage”
La bonne vieille cause et l’éternel évangile, ce que William Blake appelle le druidisme, a toujours été en fait l’accoutrement de notre chamanisme de l’âge de pierre et de la “déesse” du paganisme.
Vs
Les 6000 ans de fumisterie et d’illusion illuminati : la religion d’état (et de l’État)
L’émergence de l’argent comme la sexualité des morts.
2.
L’âge du bronze : le paganisme du dieu guerrier, menant au paganisme impérial de l’âge du fer, celui de Rome, de la Grande Bête de la révélation ; contre cela, l’église de ses débuts apparaît comme une dialectique de la résistance, spécifiquement dans sa forme Essene ou Nazarite/Ebionite, le zèle, la gnostique, la réforme sociale (les marchands chassés du temple, l’évangile des pauvres, etc) et le mysticisme néo-platonicien.
VS
“Le don de Constantin”, l’appropriation du christianisme par Rome elle-même (tout juste comme les rois prêtres sumériens s’approprièrent la spiritualité néolithique en tant que “contenu censuré” des cultes du temple).
Le christianisme, à l’origine un culte gnostique radical (“le royaume de dieu est en vous”), fonctionne maintenant comme une religion d’état, impliquant de sévères contradictions et une culture schizophrène, etc.
3.
Mais toute religion est enracinée dans une contradiction de base : le contenu spirituel du vieil âge de pierre (le mythos clastrien pour ainsi dire) plaqué sur l’idéologie de l’âge du métal, celle de la séparation hégémonique (voir plus spécifiquement l’Enuma Elish ou la “génèse babylonienne” où le dieu de la guerre Marmuk tue la déesse néolithique Tiamat). La religion tente constamment de dépasser ou de rectifier cette contradiction. Mais les marchands retournent toujours au temple et la rectification est une nouvelle fois transformée et dénoncée comme hérésie, apostasie, ombres magiques et crime rituel.
Les sectes hérétiques du millénaire parlent de restaurer l’âge d’or ; ce rêve dérive de souvenirs réels (stockés dans les mythes) de l’âge de pierre et de la société grosso modo égalitaire des chasseurs, cueilleurs, de l’économie du don et du partage et de la société chamano-païenne.
4.
Spiritualité ne veut pas dire religion. La spiritualité est le créatif imaginaire (l’esprit, NdT: ce que Landauer appelait le “Geist” en allemand) du social, la religion son opposé négatif, son “spectre” comme le disait Blake : l’aliénation de cette créativité dans des pouvoirs et puissances d’oppression. Mais, à cause de paradoxes dialectiques complexes, le noyau de la spiritualité est souvent trouvé engoncé dans des coquilles religieuses, spécifiquement en ce qui concerne les mystiques comme maître Eckhart et les Franciscains spirituels ; et le poison de la religion souvent teinte les hérésies, spécifiquement si elles gagnent un véritable pouvoir.
5.
Dans les temps religieux, tout le discours et la pratique non-autoritaires seront exprimés en termes religieux, en général sous des vocables d’hérésie, de schisme, d’apostasie, de magie noire etc… mais parfois comme dans une “réforme su sein de l’église” ou des formes marginales mais permises d’excès comme le communisme monastique par exemple.
Les historiens de l’anarchisme qui tracent cela jusqu’aux cyniques grecs de l’antiquité et en ligne directe vers les Lumières avec rien entre les deux, échouent dans leur appréciation de la réalité de la mentalité que chaque âge doit expérimenter quelque chose de la liberté (si seulement même son rêve) dans la douleur de perdre son humanité. L’histoire de l’anarchie comme conscience plus qu’idéologie réside dans une archéologie de la résistance spirituelle. Nous devons lire de nouveau les hérétiques (voir par exemple l’excellent travail de Raoul Veneigem sur l’hérésie de l’esprit libre)
6.
Le problème du dualisme gnostique ; des formes extrêmes de spiritualité identifient souvent le monde social avec le monde naturel et les condamnent tous deux. Elles rejettent la “création divine” et son “dieu créateur” comme étant mauvais et détestent même “l’âme” en tant que principe de vie. Seul, “l’esprit” satisfait ces extrémistes. Leur haine du corps devient même plus exagérée et aggravée que celle de l’église (qui au moins condamne le suicide et promet la résurrection du corps).
Le problème du dualisme hante l’anarchisme, je pense. La haine de dieu de Proudhon est peut-être dérivée de ses lectures précoces de la littérature gnostique dualiste (peut-être alors qu’il la mettait en page en tant qu’ouvrier typographe), une sorte de catharisme séculier. Le matérialisme athéiste à la Bakounine, peut paraître bizarrement immatériel parfois, mené par ses propres “lutins”, impératifs catégoriques, adoration aveugle de la science, de la primauté de la machine sur l’humain et d’une étrange asexualité (NdT: cette remarque est assez fausse, Bakounine respectait certes la science mais ne l’adorait en rien, il se méfiait à juste titre d’une société menée par la science qui “ne s’occuperait bientôt plus de science” avait-il prédit, suffit de regarder notre société pour voir que Bakounine avait raison dès la fin XIXème…).
La haine du corps chrétienne / dualiste occupe le cœur secret de notre “crise environnementale”, même nous, en tant que post-chrétiens, ne pouvons échapper au motif de la conquête de la nature, qui colore la pensée progressiste de pratiquement tous les XIXème et XXème siècles.
Il est possible qu’une aide pour nous aider à surmonter un tel crypto-dualisme provienne d’une approche allant du “moniste panthéiste” aux modèles chamanique et païen, ce que T. McKenna a appelé la Résurrection Archaïque, non pas un retour à l’âge de pierre mais un retour de l’âge de pierre.
7.
Que nous en soyons satisfaits ou non, nous faisons partie de l’ère post-Lumière et la “science” nous pose le problème de la téléologie (ou téléonomie comme l’appelait Henri Bergson (NdT: dans “Le hasard et la nécessité”, la vue téléonomique voit le monde régit par une finalité). Nous croyons vraiment en la mort de dieu. L’aspect spectral des Lumières, ce qu’Adorno appelait “la cruelle instrumentalisation de la Raison, aplatit la conscience permise en une grande carte en 2 dimensions 2D. Toute manifestation du sens menacerait le monopole du “hasard brut”, “de la collision aléatoire des particules”, des modèles comportementaux mécanistes de la conscience. “”La nuit de Newton”.
Ainsi cette peste contemporaine de l’incohérence : nous en sentons tous les germes tapis derrière quelque écran filtrant une lumière hygiénique. Effondrement de la morale. Aucune pensée pendant sept générations. Mettre fin aux incendies de forêts en coupant les forêts. “La société n’existe pas” nous disait dame baronne Margaret Thatcher.
8.
Le mouvement du social au niveau de l’inconscient constituait en lui-même une sorte d’(anti)religion. Après tout, qu’elle preuve y a t’il du matérialisme athée ? c’est tout aussi tordu que dieu, vraiment, l’absence de sens.
Le parti communiste comme un autre empire romain.
Et la faiblesse philosophique de l’anarchisme réside sûrement quelque part près de la ligne de fracture entre l’incohérence et la morale. Comment peut-il exister une façon correcte de vivre dans un univers absurde ? Implication existentielle ? Saut dans le noir ? Mais pourquoi ne pas simplement prendre sa propre part ou plus même encore ? Quel esprit peut dire Nan ? (Voir Stirner / Nietzsche)
Nietzsche bien sûr a fini dans la folie et signa sa dernière lettre “Dionysos et le crucifié”, un dieu ressuscité, mais seulement dans un abysse sans parole. Peut-être devons-nous considérer l’exigence d’une “rude moralité” et peut-être même une sorte de sens, de cohérence, même si inexprimable, ou même “spirituel”.
9.
Avec l’effondrement actuel du social et le triomphe du capital global, nous, rebu brisé, pouvons sourire et dire que le mondialisme est juste le nouvel internationalisme, l’étape véritablement finale du Capital et que bientôt, les moyens de production seront mûrs pour tomber entre les mains du prolétariat mondial. Ou alors, nous pourrions admettre avec morgue que la totalité nous a englouti, que l’Histoire est morte, que l’aliénation est universelle, que les dernières expropriations ont été effectuées, que la combinaison des buts de la logique, de la technologie et de l’argent se termine avec l’élimination de l’humain. La pollution de l’espace-temps de Virillo, le Grand Accident. Ou nous pourrions refuser d’accepter la dichotomie et demander l’impossible. Mais qu’est-ce que l’impossible si ce n’est pas une sorte de spiritualité ?..
Si la religion et l’idéologie nous ont toutes deux trahi, peut-être avons-nous besoin d’un nouveau paradigme. Mais chaque “nouvelle“ vision du monde a ses ancêtres. Le post-modernisme ne veut pas simplement dire de compulser les poubelles de l’histoire pour construire toujours plus de commodités et d’attitudes “révolutionnaires” Disons que nous voulons essayer d’imaginer un mouvement véritablement écolo non-autoritaire basé sur un fédéralisme anarcho-proudhonien et une entraide kropotkinienne, ce qui constitue de fait la “plomberie anarchiste” de base, mais ancrée en une certaine forme de spiritualité. Où pouvons-nous aller voir pour chercher une inspiration _ Avons-nous une “tradition” en ce domaine ?
10.
Une généalogie de la résistance ? Une “chaîne de transmission dorée” passant de l’esprit autonomiste de l’âge de pierre d’âge en âge ?
Puisque nous avons mentionne l’Europe médiévale, commençons par là , malheureusement nous allons devoir ignorer l’ère classique, l’Orient etc… Le taoïsme par exemple ou le soufisme et l’extrémisme chii’te, la cabale radicale (Sabbatai Sevi et Jacob Frank), l’hindouisme (spécifiquement le tantrique ou les syncrétistes radicaux comme Kabir ou le parti terroriste du Bengale, ainsi que le chamanisme tribal et son histoire de l’âge de pierre à aujourd’hui. Restons-en au christianisme, si ce n’est que pour la fait que la plupart d’entre nous le considère comme l’ennemi par excellence.
Sujet pour recherche :
Joachim di Fiori et les Franciscains spirtituels;
Beghards & Beguines—Confrérie de l’esprit libre;
Les Adamites (le retour littéral à L’Age d’Or);
L’aile radicale de l’hermétisme de la Renaissance comme Giordano Bruno, conduit au bûcher pour hérésie en 1600 et l’alchimiste Paracelsus, qui soutint la révolte paysanne de 1525 contre Luther et les princes ;
La réforme radicale, ni catholique, ni protestante ; anabaptistes et le “communisme biblique”
Les spiritualistes (Sebastian Franck, Schwenckfeld, Paracelsus) qui prêchèrent une église invisible exogène sans dogmes, sans sacrements, sans prêtrises ni autorités ;
Les Libertins
La Famille de l’Amour
Les Rose-Croix, l’idée de la “tolérance radicale”, l’influence de l’alchimie soufiste et de la cabale juive
Les mystiques allemands, Eckhart, Tauter, Suso, puis plus tard Jacob Boehme et les piétistes hermétiques (Jane Leade et les philadelphiens de Londres)
La révolution anglaise (voir Christopher Hill et J.P Thompson), Diggers, Ranters, Levellers, Seekers, les hommes de la 5ème monarchie et les Mugletoniens (la mère de William Blake était muggletonienne), les premiers Quakers, les Antinomiens, plus tars les Chapelles des blasphémeurs ;
La franc-maçonnerie de gauche ; John Tolan, les druides et les libre-penseurs, Paine et Blake en tant que “druides”. Les sociétés maçonniques derrière la révolution française.
William Blake, sine qua non
Les branches de gauche du romantisme allemand et britannique
Charles Fourier en tant que socialiste hermétique
Les romantiques américains : Thoreau, Emerson, S. Peral Andrews, le spiritualisme et la réforme radicale, la “religion de la Nature” (influence amérindienne native)
Gh. Scholem, W. Benjamin;
Le surréalisme spécifiquement dans sa fascination de l’hermétisme, aussi R. Callois et George Bataille ;
Le retour du chamanisme (depuis au moins le XVIIIème siècle)
Le néo-paganisme
Les hérésies universalistes
Les cultes psychédéliques, le “cérémonialisme enthéogénique” etc…
11.
La critique de la civilisation a besoin d’une forte science pour elle-même. Une science post-Lumière avec sa “matière morte” et sa crypto-métaphysique a besoin de sa révolution kuhnienne. La restauration du sens. Le réenchantement du paysage. Pas juste un mythe sorellien mais un vrai mythe, la subversion surréaliste, surrationaliste, surrégionaliste demande une spiritualité puissante centrée sur la terre, une hypothèse Gaïa qui est plus qu’hypothétique, une expérience spirituelle. Une Extase interne (voir Bakhtin), le festival de la conscience comme magie.
Dans ce contexte, l’hermétisme se recommande de lui-même de par sa vue néo-platonicienne rectifiée de la matière comme esprit, la doctrine de la Terre comme être vivant. (Nicolas de Cusa, Pico, Ficino, les néo-platoniciens de Cambridge…) L’hermétisme n’est pas une religion mais une science de l’esprit et de l’imagination, empirique, expérimentale. Il est plus proche de nous historiquement que le chamanisme ou les voies orientales, plus culturellement familier (bien que très étrange c’est certain). Il est compatible avec les mystiques chrétien, musulman, juif et hindou, peut-être aussi avec la taoïsme et le bouddhisme, certainement avec la rose-croix et la maçonnerie et avec la plupart des grandes hérésies.
12.
Je ne veux pas argumenter pour une “spiritualité anarchiste” ou un “anarchisme spirituel” sur le principe. Par leurs fruits tu les reconnaîtra. “Recherche” ici veut dire participation, une volonté d’halluciner et d’être entraînés au delà de la censure de la raison illuminée, peut-être même un peu dans le démoniaque. Psychonautes dans des bathysphères psychiques…
—October 2002
“Le socialisme vient des siècles et des millénaires précédents. Le socialiste englobe toute la société et son passé, sent et sait d’où nous venons et ensuite détermine où nous allons.”
“La terre et l’esprit [Geist] sont donc la solution du socialisme… Les socialistes ne peuvent en aucune manière éviter le combat contre la propriété foncière. La lutte pour le socialisme est une lutte pour la terre ; la question sociale est une question agraire !”
~ Gustav Landauer ~
Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)
Comprendre et transformer sa réalité, le texte:
Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »
+
4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:
Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être
Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche
Manifeste pour la Société des Sociétés
Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie
Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)
Comprendre et transformer sa réalité, le texte:
Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »
+
4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:
Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être
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Manifeste pour la Société des Sociétés
Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie
La peur… encore et toujours la peur
21 octobre 2021
url de l’article original:
https://www.mondialisation.ca/la-peur-encore-et-toujours-la-peur/5661612
« Errare humanum est, perseverare diabolicum »
Cela veut dire : « l’erreur est humaine, persévérer (dans son erreur) est diabolique », phrase attribuée au philosophe grec Sénèque.
En observant le comportement de nos gouvernants, notamment en Belgique, cette sentence vient immédiatement à l’esprit.
Que ce soit en Belgique, en France, au Québec, au Canada, les pays les plus obsédés par la certitude que seule une injection ARN/ADN considérée comme une vaccination peut sauver la population du SARS-CoV-2 et de ses variants, nous retrouvons toujours le même schéma anti-COVID :
Ce qui se passe ici est exactement ce qui se passe en France, au Québec, au Canada et dans tous les pays qui n’ont comme solution de sortie de crise que cette injection ARN/ADN à proposer à leur population.
Chez nous, les ministres et spécialistes s’appellent Frank Vandenbroucke (ministre de la santé), Elio Di Rupo (ministre-président wallon), Marc Van Ranst, Emmanuel André (virologues conseillant le gouvernement), comme au Québec il y a François Legault (premier ministre), au Canada, Justin Trudeau (premier ministre), ou en France, Jean Castex (premier ministre) et Olivier Véran (ministre de la santé).
Seuls les visages et les mimiques changent, sinon, c’est pareil, les mêmes paroles, les mêmes comportements, les mêmes consignes :
Ainsi, dans un journal belge du 21 octobre, monsieur Vandenbroucke nous invite à nous « préparer à affronter la quatrième vague » [1].
Dans cet éditorial, ils se demandent : « la Belgique est-elle prête pour une quatrième vague ? » [2].
Quant à Elio Di Rupo, il se fâche et insiste sur la nécessité de se faire vacciner car pour lui, « mourir libre, c’est mourir » [3].
Il faut dire que la troisième dose de vaccin n’attire pas les foules, chez nous [4].
Nos « spécialistes » depuis avril 2020 emboîtent le pas aux gouvernants, quand ils ne les précèdent pas, pour nous mettre en garde, nous dire que c’est loin d’être fini, maintenir le feu sous la casserole et nous garder dans la peur de ces virus décidément tenaces.
D’autres spécialistes, des médecins cliniciens rappellent dans un silence médiatique assourdissant que la peur est très délétère pour le système immunitaire.
La peur paralyse nos globules blancs et entrave nos réponses immunitaires adaptatives.
Ce sont ces dernières que les injections ARN/ADN hâtivement qualifiées de vaccins sont censées stimuler.
Stimuler d’un côté, entraver de l’autre.
La psycho-neuro-endocrino-immunologie ou PNEI, une spécialité médicale en développement exponentiel, étudie depuis longtemps les interactions entre les systèmes nerveux, endocrinien (hormones) et immunitaire et souligne les influences réciproques profondes entre ces systèmes fondamentaux du corps humain [5].
De nombreuses études démontrent que le stress chronique peut supprimer les réponses immunitaires adéquates et/ou aggraver les réponses immunitaires inadéquates, excessives [6].
Les formes graves du COVID sont justement caractérisées par une réaction immunitaire excessive, allant jusqu’à l’orage cytokinique dévastateur pour nos organes.
Depuis mars 2020, depuis 19 mois, nos gouvernements et leurs conseillers, relayés par nos journalistes, sont stressants et n’ont décidément que ces armes pour transmettre un message aux populations : la peur, la menace, l’avertissement.
Ils usent et abusent du stress, largement devenu chronique, permanent et sans fin, bien plus délétère envers nos immunités que le virus lui-même [7-8-9-10].
Après 19 mois, il est certain que ces gouvernants, conseillers scientifiques et journalistes ne changeront plus, et qu’à moins de les remplacer par des personnes plus compétentes et au fait de ces connaissances, nous sommes condamnés à subir leurs prévisions angoissantes et leur mantra compulsif : « vaccinez-vous », encore longtemps.
Ne se disent-ils pas, après qu’un si grand pourcentage de la population belge se soit fait injecter leurs produits (plus de 80%), qu’ils aient pu se tromper, finalement ?
Ne peuvent-ils même envisager que cette compulsion pour la « vaccination » [11] soit l’origine du problème, via la sélection de variants plus agressifs et la facilitation de l’infection par les anticorps [12] ?
Les gens, les peuples ont droit à autre chose que ces discours angoissants et répétitifs aujourd’hui.
Après 19 mois, il faut envisager d’autres voies et les gens ont le droit de savoir que d’autres issues existent, comme de nombreux médecins le clament malgré la censure, malgré les dangers, malgré les menaces de mort ou de perdre leur emploi.
La vérité n’a pas de prix et trouve toujours son chemin.
Le traitement du COVID, même grave, existe et s’appelle ivermectine.
La prise d’ivermectine éviterait la flambée de formes symptomatiques et diminuerait fortement l’évolution vers des formes graves, ce qui soulagerait d’autant les hôpitaux et les services de soins intensifs.
Pour une raison « inconnue », il n’est pas « autorisé » d’en parler.
« Par exemple, Wikipédia ne peut pas mentionner les méta-analyses évaluées par des pairs du Dr Tess Lawrie ou du Dr Pierre Kory publiées dans l’American Journal of Therapeutics. Wikipédia n’est pas autorisé à publier la récente méta-analyse sur l’ivermectine rédigée par le Dr Andrew Hill. De plus, il n’est pas permis de dire quoi que ce soit concernant ivmmeta montrant les 61 études portant sur 23 000 patients qui révèlent jusqu’à 96 % de réduction des décès [prophylaxie] avec l’ivermectine. » [13]
Nous ne sommes pas autorisés à expliquer aux gens comment l’ivermectine a endigué la pandémie de COVID en Inde ou en Afrique.
La littérature scientifique sérieuse appuie ces dires, en voici un échantillon :
La littérature examinée suggère qu’il semble y avoir suffisamment de preuves de la sécurité de l’ivermectine orale, ainsi que de l’efficacité du médicament dans le traitement précoce et la prophylaxie du COVID-19.
(The reviewed literature suggests that there seems to be sufficient evidence about the safety of oral ivermectin, as well as the efficacy of the drug in the early-treatment and the prophylaxis of COVID-19.)
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8354804/
Compte tenu de l’urgence de la pandémie actuelle de COVID-19, de la détection simultanée de diverses nouvelles souches mutantes et de la réémergence potentielle de nouveaux coronavirus, la réorientation de médicaments approuvés tels que l’ivermectine pourrait mériter une attention particulière.
(Considering the urgency of the ongoing COVID-19 pandemic, simultaneous detection of various new mutant strains and future potential re-emergence of novel coronaviruses, repurposing of approved drugs such as Ivermectin could be worthy of attention.)
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8203399/
L’ivermectine joue un rôle dans plusieurs mécanismes biologiques, elle pourrait donc servir de candidat potentiel dans le traitement d’un large éventail de virus, dont le COVID-19 ainsi que d’autres types de virus à ARN simple brin positif.
(Ivermectin plays a role in several biological mechanisms, therefore it could serve as a potential candidate in the treatment of a wide range of viruses including COVID-19 as well as other types of positive-sense single-stranded RNA viruses.)
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32533071/
L’ivermectine comme traitement potentiel du COVID-19
(Ivermectin as a potential treatment for COVID-19)
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34061842/
L’ivermectine est également étudiée dans le cancer :
Il est intéressant de noter que l’ivermectine peut également inhiber les cellules souches tumorales et inverser la résistance aux médicaments. Elle exerce un effet optimal lorsqu’elle est utilisée en association avec d’autres médicaments de chimiothérapie.
(Interestingly, ivermectin can also inhibit tumor stem cells and reverse multidrug resistance and exerts the optimal effect when used in combination with other chemotherapy drugs.)
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7505114/
Cancer du sein :
https://journals.lww.com/…/use_of_the_anti_parasitic…
Si on a peur de l’ivermectine pour un quelconque danger imaginaire, alors on devrait avoir vraiment peur de la pénicilline et de l’aspirine.
Et du paracétamol, alors là, encore plus !
Ceux qui ont peur de l’ivermectine, alors fuyez le paracétamol !
Depuis les débuts de sa prescription chez l’Homme (années 1980), avec 4 milliards de prescriptions humaines à son actif, l’ivermectine a sauvé la vie de centaines de millions de gens !
L’ivermectine n’a jamais tué personne, contrairement à la pénicilline, l’aspirine, le paracétamol : chocs anaphylactiques, hémorragiques, insuffisance hépatique sévère vous menacent si vous prenez de la pénicilline, de l’aspirine ou du paracétamol.
Avec l’ivermectine ?
Quasi rien, aucun danger.
Si, vous pouvez être guéri en deux jours du COVID, c’est mon expérience clinique de terrain.
Je connais un jeune homme hospitalisé avec un masque à oxygène à 100%. Il allait être intubé et transféré aux soins intensifs.
Après deux prises d’ivermectine par voie orale, il était sevré de l’oxygène et pouvait rentrer chez lui.
Je connais des dizaines de cas dont le COVID d’allure pourtant sévère s’est amélioré sans nécessité d’hospitalisation après 2 à 5 prises d’ivermectine (12 mg par prise par voie orale).
Et le glutathion ?
C’est le roi des antioxydants [14]. 81 000 articles scientifiques appuient son rôle de protecteur de l’organisme, en particulier de l’immunité.
Qu’attendent nos gouvernants, puisqu’ils se prennent pour nos médecins généralistes, et ces conseillers et experts pour nous pousser à prendre du glutathion, surtout en prévision de vagues et d’hiver ?
D’autant que des chercheurs ont bien montré que les produits expérimentaux ARN/ADN nommés « vaccins anti-COVID », déconseillés aujourd’hui par le créateur de cette technologie [15], entraînent un stress oxydant majeur avec vieillissement cellulaire accéléré, notamment des cellules immunitaires [16].
Booster nos réserves de glutathion devrait être notre priorité, plutôt que d’en bloquer la production par la prise de paracétamol !
Il faudrait s’orienter vers une prise d’1 Gr de glutathion par jour, en deux fois et en gélules gastro-résistantes, ou vers du glutathion liposomal en association avec de la vitamine C également liposomale.
Il est temps de réveiller le médecin qui sommeille en chacun de nous [17], comme les Grecs d’autrefois qui vouaient un culte à Hygée, la sœur de Panacée et la fille d’Esculape, dieu de la médecine.
Hygée soufflait à l’oreille de chacun les conseils de bon sens pour rester en bonne santé : repos, hygiène de vie, bonne alimentation, propreté, nature, méditation, usage des plantes et de médecine naturelle.
C’est pourtant un médecin intensiviste, anesthésiste spécialisé dans les techniques et médicaments de toutes sortes qui vous pousse dans cette voie.
Quittez le chemin conseillé par nos gouvernants, leurs conseillers et leurs journalistes : le chemin de la peur, de l’obsession vaccinale, de l’isolement social, de la sous-respiration et du stress sans fin.
Vous méritez mieux et surtout, vous avez droit à de vraies réponses, de vraies solutions :
Notes :
[1] Frank Vandenbroucke invite à «se préparer à affronter la quatrième vague » : les réactions – Le Soir
[2] La Belgique est-elle prête pour une quatrième vague ? Les mesures prises région par région (msn.com)
[5] LA PSYCHO-NEURO-ENDOCRINO-IMMUNOLOGIE (ianeva.fr)
[6] Effects of stress on immune function : the good, the bad, and the beautiful | SpringerLink « Chronic stress can suppress protective immune responses and/or exacerbate pathological immune responses. »
[7] A neuro-endocrine-immune symphony – PubMed (nih.gov)
[8] Psycho-Neuro-Endocrine-Immunology : A Psychobiological Concept – PubMed (nih.gov)
[9] http://www.gapsante.uottawa.ca/newSite/Articles-PDF/12-Fillion.pdf Stress et immunité : recension en psychoneuroimmunologie
[10] Comment les stress psychologiques nous rendent malades physiquement | LaNutrition.fr
[11] Bientôt des « vaccins » à ARNm dans votre assiette? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) L’agenda mondial pour vacciner chaque homme, femme et enfant en voie d’aboutir directement dans votre assiette.
[12] Les phénomènes de facilitation de l’infection par des anticorps (ADE) et le Covid-19 — Santé et Bien-être — Sott.net Compte tenu des données antérieures sur les multiples tentatives de vaccination contre le Sras-CoV-1 et le Mers-CoV qui ont échoué en raison d’un phénomène d’ADE dans des modèles animaux, il est raisonnable de supposer un risque d’ADE similaire pour les anticorps et les vaccins contre le Sras-CoV-2.
[13] Silence total sur la façon dont l’ivermectine a éliminé le covid-19 en Inde (lemediaen442.fr)
[14] Le glutathion, roi des anti-oxydants – Alternative Santé (alternativesante.fr) Plus de cent années de recherches et 81 000 articles scientifiques ont établi que le glutathion est l’une des plus importantes molécules protectrices dans l’organisme, y compris au niveau immunitaire qu’elle nourrit indirectement.
[15] Robert Malone, pionnier des « vaccins à ARNm », déclare que « la protéine Spike native est toxique » — Santé et Bien-être — Sott.net Dans la première partie de cette vidéo, Robert Malone revient en détail sur sa carrière de scientifique et sur l’histoire de l’invention de cette technologie de l’ARN messager il y a 30 ans. À propos de la sécurité des [ces] « vaccins », il déclare que ce n’est pas la technologie des [ces] « vaccins » qui pose problème, mais la protéine Spike native qui est toxique. Il regrette que le rapport bénéfice/risque n’ait pas été calculé pour chaque catégorie de la population et demande des preuves et pas des opinions aux différentes instances de régulations après avoir eu connaissance des différentes toxicités notamment cardiaques.
[16] Walter Chesnut : « Les injections anti-COVID accélèrent le vieillissement et seront encore plus mortelles si répétées » — Santé et Bien-être — Sott.net Les produits expérimentaux nommés « vaccins » anti-Covid-19 détruisent la télomérase des gens tout comme le fait la chimiothérapie, accélérant chez eux le vieillissement.
[17] Il est temps de réveiller le médecin qui sommeille en nous – Le blog de Bien-être-soi (tdg.ch) De nombreux tests d’évaluation vous apprendront à poser un diagnostic par vous-même pour devenir en quelque sorte votre propre médecin, c’est-à-dire un individu qui prend sa santé en main et non pas seulement une victime qui subit la maladie. Vous n’êtes pas la maladie. Il est évident que nous avons à notre disposition toutes les ressources pour sortir de cette époque de confusion. Encore faut-il s’en rappeler et aspirer à s’y connecter !
= = =
Notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »
Surveillance partout, liberté nulle-part
Un député des Yvelines Philippe Benassaya veut des flics pour vous filmer à tous les coins de rue de France
cela s’appelle des caméras piétons, il a proposé sa loi le 20 octobre 2021
Anonyme
21 octobre 2021
Le député Philippe Benassaya a déposé le 20 octobre une proposition de loi pour mettre des flics portant des caméras minuscules filmant les piétons (rappel la loi de surveillance globale nous interdit de filmer les flics, alors qu’eux ont tous les droits) dans toutes les communes de plus de 10 000 habitants.
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3801_proposition-loi
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3790_proposition-resolution#
définition des caméras piétons; les caméras piétons ce sont ces flics portant des caméras en forme de bouton sur leur uniforme invisible au citoyen ordinaire s’appellent des caméras piétons. En gros, des caméras portés par des piétons à la place de poteaux.
J’imagine qu’ils vont utiliser ces caméras de reconnaissance faciale pour ficher ceux qui ne portent pas de masque https://reinfocovid.fr/temoignage/usurpation-dautorite/, ou n’ont pas le QRcode de la piqouze, et les rafler dans les prisons de la piqouze forcé à l’insu de tous
ou ficher ceux qui n’ont pas leur pass sanitaire et les rafler
en tout cas ces caméras piétons sont une bonne préparation pour le confinement martiale à venir avec piqouze forcé et rafle si ces caméras piétons sont partout dans toutes les communes de France
le député Philippe Benassaya a aussi déposé une proposition de loi le 20 octobre pour faire plus de place dans les prisons.
Donc les raflés iront dans les prisons.de la piqouze forcé
ils nous préparent un cadeau d’Halloween mortel
ils préparent un confinement plus martial que les précédents pour contrôler les révoltés de la famine
car ils font le chantage de priver les populations de nourriture, s’ils refusent le poison OGM
avec des caméras piétons et les drones caméras:
L’Assemblée nationale vient d’adopter une nouvelle loi pour légaliser l’usage de drones de surveillance par la police. Alors que le texte est quasiment identique à celui censuré par le Conseil constitutionnel en début d’année, les parlementaires n’ont pas hésité à le voter une nouvelle fois. C’est une énième preuve qu’il n’y a rien à attendre du Parlement pour nous protéger des dérives sécuritaires du gouvernement. La lutte contre la Technopolice ne se fera pas sur les bancs de l’Assemblée.
https://www.laquadrature.net/2021/09/23/la-loi-drones-2-est-docilement-adoptee-par-lassemblee/
les drones caméras peuvent envahir vos maisons et vos jardins à votre insu, ils vont repérer les survivalistes, et leur confisquer leurs biens, Castex avait fait une loi dès janvier 2021 pour voler les biens ou rafler des gens:
»la généralisation d’un tel usage de drones caméras sur l’ensemble du territoire national et pour différentes missions de maintien de l’ordre public fait peser un certain nombre de risques sur les libertés publiques et le droit à la vie privée. En effet, le cadre juridique auquel ces drones sont soumis est vague et peu défini. Si la vidéo-surveillance au moyen de caméras-piétons obéit à certaines règles, comme l’interdiction de filmer les espaces privés ou l’interdiction de conservation des images au-delà d’un mois, ce n’est pas le cas des drones équipés de caméras »
https://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-29476QE.htm
Une caméra-piéton est une caméra légère et compacte attachée à la poitrine ou à l’épaule d’un agent des forces de l’ordre pour filmer les piétons
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cam%C3%A9ra-pi%C3%A9ton
la caméra piéton en forme de bouton facile à faire passer pour un bouton comme un autre sur un un uniforme boutonné est en rupture de stock
sans doute servi à fournir tous les flics
https://www.ledmesmile.com/product/camera-espion-avec-micro-integre-spy-cam-en-forme-de-bouton/
ils commencent déjà à vouloir tuer les non piqouzés par la famine, en coupant les vivres à ceux qui refusent la piqouze:
les salariés qui refusent la piqouze sont virés sans alloc chômage
prochaine étape, révélé dans sa vidéo 5ème vague (génocide par piqouze et famine):
les retraités qui refusent la piqouze se feront supprimer leur retraite
https://lemediaen442.fr/jean-quatremer-sur-larret-du-versement-des-retraites-aux-non-vaccines/
donc avant même que l’injection OGM soit obligatoire avec amende et prison + piqouze forcée, ils commencent déjà à couper les vivres à ceux qui refusent la piqouze, pour les rafler dans les prisons et les piqouzer de force à l’insu de tous, tant que la loi n’est pas officiel, en général, ils publient une loi qu’ils pratiquent déjà à l’insu de tous
et prochaine étape, la rafle des gosses pour la piqouze forcée
ils commencent déjà à faire la liste des gosses non piqouzés
tout comme ils ont fait la liste des adultes non piqouzés en juin
après ils vont faire passer les morts de la famine causés par eux (le FMI et son collabo USA vont faire les magasins vides tant que toute la population ne sera pas piqouzé et les autres gouvernements collabos vont suivre, comme l’Australie, et le Royaume Uni qui le font déjà, centres de vaccination bourrés à craqués de doses alors que les magasins sont vides https://strategika.fr/2021/09/11/panique-en-australie-les-rayons-sont-vides-penurie-de-tout/
https://www.cielvoile.fr/2021/08/l-australie-suspend-les-droits-de-l-homme-et-les-libertes.html
pour les morts du soit disant covid à la place, en parlant de 5ème vague
Les décès liés aux injections anti-COVID vont-ils augmenter cet hiver ?
Mike Whitney
19 octobre 2021
« Je suis préoccupé par la possibilité que les nouveaux vaccins visant à créer une immunité contre la protéine spike du SRAS-CoV-2 aient le potentiel de causer des lésions microvasculaires au cerveau, au cœur, au foie et aux reins d’une manière qui ne semble pas avoir été évaluée dans les essais de sécurité » ~ Dr J. Patrick Whelan
« Nous avons affaire au mal. Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué » ~ Robert W Malone, MD, Twitter
*
Question : Pourquoi tout le monde doit-il être vacciné ?
Réponse : Afin de sauver des vies. Les vaccins procurent une immunité qui aide à lutter contre les maladies.
Q : Les vaccins préviennent donc les infections ?
R : Pas exactement, mais les vaccins procurent une immunité temporaire qui dure généralement environ 6 mois.
Q : Et ensuite ?
R : Eh bien, les experts en santé publique recommandent que les personnes éligibles – en particulier les personnes âgées et les personnes immunodéprimées – reçoivent un « rappel ».
Q : Donc, une autre injection ?
R : Oui.
Q : Le rappel a-t-il été adapté au nouveau variant « Delta » qui s’est répandu aux États-Unis et dans le monde ?
R : Non, pas du tout. C’est le même vaccin qu’avant.
Q : Alors l’immunité sera de courte durée ?
R : Oui, bien que nous ne puissions pas en être totalement sûrs. Aucun essai clinique n’a été mené sur les rappels.
Q : Quoi ? Donc, nous volons à l’aveugle ?
R : Oui. Comme je l’ai dit, il n’y a pas eu d’essais cliniques supplémentaires pour les boosters, donc personne ne peut en être sûr.
Q : Mais j’ai entendu dire que plus on injecte de personnes, plus le virus s’adapte, ce qui rend le vaccin moins efficace ?
R : C’est vrai. La vaccination de masse avec un vaccin « fuyant » – qui ne neutralise pas complètement l’infection – exerce une « pression sélective » sur le virus qui favorise l’émergence de variants. Les immunologistes le savent depuis longtemps, en fait, certains appellent cela « Virologie 101 ». Le Dr Byram Bridle, vaccinologue canadien, l’a expliqué dans une récente interview. Voici ce qu’il a dit :
« Nous ne devons pas chercher plus loin que … l’émergence de la résistance aux antibiotiques … Le principe est le suivant : Si vous avez une entité biologique qui est sujette à la mutation – et le SRAS-CoV-2, comme tous les coronavirus, est sujet à la mutation – et que vous appliquez une pression sélective étroitement ciblée qui n’est pas létale, et que vous le faites sur une longue période de temps, c’est la recette pour favoriser l’émergence de nouvelles variants.
C’est exactement ce que nous faisons. Nos vaccins se concentrent sur une seule protéine (spike) du virus, de sorte que le virus ne doit modifier qu’une seule protéine, et les vaccins sont loin de fournir une immunité stérilisante »1.
Q : Donc les vaccins sont à l’origine des variants ?
R : Oui.
Q : Nous verrons donc bientôt l’émergence d’une variant résistante au vaccin ?
R : Oui.
Q : Mais les fabricants de vaccins ne le savent-ils pas ?
R : Vous voulez dire, « ne comprennent-ils pas la relation de base entre l’infection virale et les vaccins » ? Si, ils savent.
Q : Alors pourquoi le font-ils ?
R : Excellente question, mais la réponse nécessite beaucoup de recherches et une bonne dose de supposition. Tout ce que je peux dire, c’est que les auteurs de cette campagne de vaccination de masse nous conduisent intentionnellement vers une crise encore plus grave.
Q : Ok, alors qu’allons-nous faire lorsque nous rencontrerons une variante résistante au vaccin ?
R : Je ne peux pas répondre à cette question, mais – à en juger par l’expérience passée – une autre injection expérimentale sera mise au point et le public sera obligé de la prendre.
Q : Mais qu’en est-il de la sécurité ? Pouvons-nous être sûrs que ces nouvelles concoctions hybrides sont sans danger ?
R : La sécurité n’a jamais été une priorité absolue, pas plus que l’immunité. L’objectif n’a jamais été « l’immunité de groupe » mais « la vaccination de groupe ». L’un des porte-parole les plus influents de la campagne actuelle l’a bien résumé en disant : « Nous devons vacciner les sept milliards d’habitants » de la planète. Les autorités de santé publique n’ont jamais dévié de cet objectif initial.
Q : Mais si l’objectif est de vacciner tous les habitants de la planète, alors les vaccins doivent être sûrs, non ?
R : Non, en fait, les vaccins représentent une menace sérieuse pour la santé et la vie de chacun. Ils sont dangereux.
Q : Êtes-vous sûr de ne pas exagérer, après tout, près de 2 milliards de personnes ont déjà été vaccinées et seul un petit pourcentage d’entre elles sont tombées gravement malades ou sont mortes ? Peut-être exagérez-vous le danger ?
R : Les vaccins sont une attaque contre l’infrastructure critique du corps, le système vasculaire, et en particulier la fine tapisserie de cellules qui tapisse les parois des vaisseaux sanguins. Les vaccins déclenchent des hémorragies, des caillots sanguins et des maladies auto-immunes. À mon avis, ils constituent un moyen assez simple d’infliger de graves dommages aux systèmes et organes essentiels dont on a besoin pour survivre. C’est pourquoi le Dr Vladimir Zelenko les qualifie de « piqûres de poison mortel », ce qui semble être une évaluation correcte. Vous avez cependant raison de dire que « seul un petit pourcentage des personnes tombent gravement malades ou meurent » immédiatement après l’injection. Mais c’est uniquement parce que le vaccin fonctionne davantage comme une bombe à retardement que comme un poison. L’impact risque d’être tout aussi dévastateur à long terme. Jetez un coup d’œil à cet extrait d’un document de l’association Doctors for Covid Ethics : :
« À la lumière de la réponse anticorps au SRAS-CoV-2 récemment caractérisée, lorsque les anticorps se fixent aux cellules endothéliales productrices de protéines spike sur les parois des vaisseaux après l’administration du vaccin, on peut s’attendre à ce que les protéines du complément activées se fixent aux cellules endothéliales et perforent leurs membranes cellulaires. La mort des cellules endothéliales qui s’ensuit va exposer le tissu situé sous l’épithélium, ce qui va déclencher deux événements importants. Il va induire la coagulation du sang et provoquer une fuite des parois du vaisseau. Ce mécanisme pathogène a été documenté dans des biopsies prélevées sur des patients infectés par le SRAS-CoV-2. Ces études ont décrit un « syndrome de lésion microvasculaire catastrophique médié par l’activation du complément ».
… dans le cadre de la réponse immunitaire à la protéine de pointe du SRAS-CoV-2. C’est précisément cette réponse immunitaire que les vaccins COVID-19 cherchent à induire. De telles interactions vaccin-immunité sont cohérentes avec les événements indésirables impliquant une rupture visible des capillaires sous la peau qui ont été documentés et rapportés après la vaccination contre le COVID-19 »2.
Je répète : un « syndrome de lésion microvasculaire catastrophique médié par l’activation du complément ».
Q : Qu’est-ce que cela signifie en clair ?
R : Cela signifie que le vaccin crée une situation où votre corps attaque vicieusement votre propre système circulatoire, générant des caillots sanguins et des fuites de vaisseaux sanguins. Pensez-vous pouvoir vivre avec un système vasculaire endommagé ? Pensez-vous que vous pourrez jouir d’une vie longue et heureuse avec un système immunitaire programmé pour attaquer et tuer les cellules saines qui produisent maintenant la « protéine spike » pathogène ? Si oui, alors pendant combien de temps ; combien de temps pensez-vous pouvoir survivre à ce type de guerre interne ? 2 ans ? 5 ans ? 10 ans ?
Q : Votre analyse semble très conspirationniste. Si les vaccins font ce que vous dites qu’ils font, alors les personnes qui poussent cette campagne (de vaccination de masse) doivent le savoir, n’est-ce pas ? Ils doivent avoir une connaissance de base des dangers que représentent ces injections.
R : Bien sûr, ils le savent. Comment pourraient-ils l’ignorer ? Pensez-vous que les personnes les plus riches et les plus puissantes de la planète arrêteraient arbitrairement l’économie mondiale, enfermeraient tout le monde chez soi, supprimeraient les médicaments qui sauvent des vies et censureraient toute personne qui conteste le discours officiel s’ils ne savaient pas exactement ce que le vaccin peut faire ?
Ils le savent. Ils ne font pas que « lancer les dés ». Ils ont un plan et ils le mettent en œuvre. C’est clair.
Quant à l’affirmation de « conspiration », les faits parlent d’eux-mêmes. De nombreux exercices et simulations ont-ils été menés au cours de la dernière décennie, avec la participation des principales agences de renseignement, des grandes entreprises pharmaceutiques, des élites militantes, de la Défense, des médias et de l’OMS ?
Oui, il y en a eu.
Et ces exercices prévoyaient-ils fondamentalement les mêmes résultats et scénarios que ceux que nous observons aujourd’hui, en particulier le contournement des gouvernements représentatifs, le renforcement des pouvoirs des politiciens, l’application des mandats de vaccination et l’imposition d’une stratégie pandémique sans précédent qui était étonnamment similaire dans tous les pays où elle était imposée ?
Oui, encore une fois.
Et les non-vaccinés sont-ils menacés de représailles s’ils résistent à l’inoculation ? Les gouvernements vont-ils déjà de l’avant avec les passeports vaccinaux, la monnaie numérique, les systèmes de crédit social, les centres de détention et la surveillance intensifiée ?
Oui, ils le font.
Est-ce que tout cela vous semble aléatoire ou est-ce que cela se rapproche plus de la définition réelle du mot « conspiration » qui est : « un plan diabolique, illégal, perfide ou subreptice formulé en secret par deux ou plusieurs personnes » ?
Le fait que les médias ridiculisent les « théoriciens du complot » ne change rien au fait que les complots existent bel et bien. Les deux dernières années ne font que souligner ce fait. Pratiquement rien n’a été laissé au hasard. Notre avenir et celui de l’humanité sont dirigés par des forces puissantes que nous n’avons même pas encore réussi à identifier. C’est effrayant. (Voir : RFK jr. sur l’Événement 201)
Et voici autre chose à méditer puisque nous sommes sur le sujet des « complots ». Je pense qu’il est très probable que le vaccin ait été développé bien avant l’apparition du virus.
Q : En quoi cela est-il important ?
R : En fait, c’est assez important, car cela permet d’illustrer que la « solution » a précédé le problème, « la poule avant l’œuf ». En d’autres termes, la recherche américaine sur les armes biologiques visait probablement à créer une substance qui minerait progressivement (et finirait par tuer) un nombre incalculable de personnes qu’il faudrait éliminer pour réduire les émissions de carbone, atténuer l’épuisement des ressources rares et inverser la destruction de l’environnement naturel. Pensez-vous que le Pentagone et la CIA disposent de programmes d’urgence de ce type ? Pensez-vous que les élites mondialistes pourraient soutenir une telle politique ?
En fait, oui, et elles la mettraient effrontément en œuvre au nom du « sauvetage de l’humanité » ou d’autres absurdités de ce genre. N’oubliez pas que la population mondiale au début du siècle (1900) n’était que de 1,6 milliard d’habitants. En 2021, ce chiffre est passé à 7,9 milliards. Et, selon les projections des Nations unies, ce chiffre atteindra environ 11 milliards d’ici 2100.
Pensez-vous que les élites mondiales vont rester les bras croisés alors que les dangers « perçus » de l’épuisement des combustibles fossiles et de la hausse des températures continuent de croître ? Pensez-vous que, peut-être, après des années d’appels passionnés à « faire quelque chose pour le climat », un consensus a finalement été atteint en 2019, ouvrant la voie à un programme agressif de « gestion de la population » ?
Bien sûr, ce sont des hommes « civilisés » qui n’auraient jamais recours à quelque chose d’aussi vulgaire que des chambres à gaz ou des pelotons d’exécution. Oh, non, ils chercheraient une méthode subreptice pour réduire le troupeau sans que celui-ci ne sache vraiment ce qui se passe. Ils auraient besoin d’un remède qui les aiderait à atteindre leur objectif tout en invoquant un déni plausible. (Et si la vérité venait à éclater, ils persuaderaient le public qu’ils n’agissent que dans l’intérêt de l’humanité en essayant d’empêcher la course inexorable vers une crise climatique catastrophique. Cela vous semble familier ?
C’est normal. Que la planète se réchauffe ou non est discutable, mais ce qui ne l’est pas, c’est la façon dont la fureur climatique s’intègre parfaitement au programme politique autoritaire des mondialistes. Il n’y a rien de fortuit à cela.
Quoi qu’il en soit, les manigances du gain de fonction à Wuhan n’étaient probablement que la touche finale d’un plan qui avait été mis au point des années auparavant dans les groupes de réflexion et les conférences mondialistes où les riches et les puissants se réunissent pour décider de la meilleure façon de façonner le monde pour qu’il réponde à leurs propres spécifications. À mon avis, le système d’administration de la protéine spike (alias le vaccin anti-Covid-19) avait été créé des années auparavant et n’avait besoin que du feu vert pour être diffusé dans le monde.
Q : On dirait qu’on s’est encore égaré. Pouvons-nous revenir aux boosters une minute ? Vous dites qu’il n’y a pas eu d’essais cliniques supplémentaires. Cela signifie-t-il que les boosters n’ont pas été officiellement approuvés par la FDA ?
R : Ils n’ont pas été formellement approuvés par la FDA. Ils ont été approuvés dans le cadre de l’autorisation d’utilisation d’urgence, tout comme les vaccins. Mais cela ne signifie pas que les risques sont les mêmes. Ce n’est pas le cas. Les rappels sont nettement plus dangereux que les vaccins, comme le souligne ce clip de l’association Doctors for Covid Ethics :
« Nous expliquons ici que les rappels sont particulièrement dangereux, d’une manière sans précédent dans l’histoire des vaccins. En effet, le renforcement répété de la réponse immunitaire augmentera de manière répétée l’intensité de l’attaque de soi à soi…
Les injections répétées de « vaccins » à base de gènes (c’est-à-dire les « rappels ») sont destinées à intensifier et à reproduire cet événement de base partout où la protéine spike nouvellement exprimée apparaît sur la paroi du vaisseau… Les lésions vasculaires induites par le complément qui se produisent en de multiples endroits du corps auront des effets potentiellement dévastateurs non seulement sur la santé de la personne vaccinée, mais aussi sur la grossesse et la fertilité…
Les molécules de protéines spike, dont on sait qu’elles sont libérées dans la circulation sanguine peu après la vaccination, se lieront aux plaquettes, les marquant comme cibles pour la fixation des anticorps. Il faut s’attendre à ce qu’une attaque ultérieure… provoque la destruction des plaquettes,… que se passera-t-il lorsque les « vaccins » s’échapperont des vaisseaux sanguins endommagés et atteindront les organes du corps ? L’assimilation des gènes et la production de pics marqueront-ils alors chaque type de cellule pour la destruction par les lymphocytes tueurs ? Sommes-nous sur le point d’assister à la naissance d’un monde entièrement nouveau de maladies auto-immunes ? »
Quelle partie de la citation ci-dessus donne l’impression que les boosters sont bons pour votre santé et votre bien-être général ?
Aucune, n’est-ce pas ? Et tout comme nous avons constaté une forte augmentation des cas, des hospitalisations et des décès après le lancement de campagnes de vaccination de masse dans le monde, nous voyons maintenant le même phénomène se produire en Israël avec les rappels. (Regardez cette vidéo étonnante de 2 minutes du statisticien Joel Smalley sur les décès consécutifs à la vaccination).
Et n’oubliez pas que ni les rappels ni les vaccins ne restent dans le muscle du bras (deltoïde) comme les compagnies pharmaceutiques l’avaient annoncé. Ils entrent dans la circulation sanguine environ 30 minutes après l’injection et se répandent dans tout le corps via le système circulatoire. Mais comme le vaccin est un plan pour fabriquer la protéine spike et non la protéine elle-même, il est capable d’échapper au système immunitaire et de pénétrer dans les cellules avant d’être détecté. C’est ce qui rend la protéine spike injectée plus dangereuse que la protéine spike du Covid-19. Le virus doit pénétrer par le nez ou la gorge avant d’incuber et de pénétrer dans le système vasculaire, mais la spike du vaccin trouve une voie plus directe par le biais de l’injection. Voici encore le Dr Byram Bridle :
« Nous savons depuis longtemps que la protéine spike est pathogène… C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps si elle est en circulation. Maintenant, nous avons des preuves claires et nettes que… le vaccin lui-même, plus la protéine, passe dans la circulation sanguine.
Une fois que cela se produit, la protéine spike peut se combiner avec les récepteurs des plaquettes sanguines et avec les cellules qui tapissent nos vaisseaux sanguins. C’est pourquoi, paradoxalement, elle peut provoquer à la fois la coagulation du sang et des saignements. Et bien sûr, le cœur est impliqué, en tant que partie du système cardiovasculaire… C’est pourquoi nous voyons des problèmes cardiaques. La protéine peut également traverser la barrière hémato-encéphalique et causer des dommages neurologiques…
En bref, … nous avons fait une grosse erreur. Nous ne l’avons pas réalisé jusqu’à maintenant. Nous n’avons pas réalisé qu’en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine …
… la protéine spike, à elle seule, est presque entièrement responsable des dommages causés au système cardiovasculaire, si elle entre en circulation. En effet, si vous injectez la protéine spike purifiée dans le sang des animaux de la recherche, ils obtiennent toutes sortes de dommages au système cardiovasculaire, et elle peut traverser la barrière hémato-encéphalique et causer des dommages au cerveau »3.
Depuis que Bridle a fait ces affirmations dans un talk-show radio, il a été sauvagement harcelé, ridiculisé et banni de l’université où il était employé. Pourtant, il ne s’est pas rétracté d’un mot de sa déclaration malgré les lourdes pertes subies par lui-même et sa réputation.
L’erreur de Bridle a été de penser que ses recherches seraient applaudies par ses collègues et ses pairs. Il pensait naïvement que les partisans de la vaccination de masse reconnaîtraient leur erreur et feraient un effort pour la corriger. Il n’a jamais imaginé que le vaccin était conçu pour fonctionner comme il le fait, en pénétrant dans les cellules de l’hôte et en fabriquant un agent pathogène cytotoxique qui suscite une forte réponse immunitaire de soi à soi conduisant à une nouvelle décimation du système vasculaire.
Le traitement de Bridle en dit long sur les personnes qui gèrent la pandémie, sur l’étendue de leur pouvoir et sur leurs objectifs tout à fait malins. (Regardez cette vidéo du Dr Nathan Thompson : « Ma mâchoire s’est décrochée lorsque j’ai testé le système immunitaire d’une personne après la deuxième injection », qui montre comment la vaccination peut conduire à l’auto-immunité et à des « infections révolutionnaires ».
Q : Je pense que nous nous sommes encore éloignés du sujet. Vous avez beaucoup parlé de la protéine spike et de son effet sur les vaisseaux sanguins, mais tout cela semble bien théorique. Avez-vous des preuves tangibles que les vaccins causent de graves dommages aux tissus ?
R : Oui. Deux professeurs allemands de pathologie, Arne Burkhardt et Walter Lang, ont fourni les résultats des autopsies qu’ils ont pratiquées sur dix personnes décédées après avoir reçu une injection du vaccin anti-Covid-19. Voici un court extrait d’un article sur ce qu’ils ont découvert :
« Au cours des derniers mois, le pathologiste de Reutlingen et le professeur Walter Lang ont examiné au microscope le matériel tissulaire des personnes décédées. … Dans cinq des dix cas mentionnés ci-dessus, les deux médecins estiment que le lien entre le décès et la vaccination est très probable, dans deux cas, il est probable. Un cas n’a pas encore été évalué. Les deux autres cas ont été classés comme non clairs/possibles ou « plutôt coïncidents ».
En ce qui concerne les causes de décès, Burkhardt a souligné que la myocardite lymphocytaire est le diagnostic le plus fréquent… Les médecins soupçonnent que d’autres effets secondaires de la vaccination ayant des conséquences potentielles sur le décès sont les phénomènes auto-immuns, la réduction de la capacité immunitaire, l’accélération de la croissance du cancer, les dommages vasculaires « endothélitis », la vasculite, la périvasculite et l’ »agglutination » des érythrocytes …
Burkhardt et ses collègues ont enquêté ces derniers mois. Il a déclaré qu’il ne pouvait penser qu’à une chose en voyant les résultats : « une émeute de lymphocytes », potentiellement dans tous les tissus et organes. Les lymphocytes ont été trouvés dans une grande variété de tissus tels que le foie, les reins, la rate jusqu’à l’utérus et des tumeurs, qui y ont massivement attaqué le tissu…
Burkhardt a conclu que les politiciens disent : « Si vous ne voulez pas vous faire vacciner, vous devez en assumer les conséquences, mais tous ceux qui se font vacciner doivent aussi en assumer les conséquences ». Celles-ci sont encore largement inconnues. « Jusqu’à présent, seuls les premiers résultats, mais inquiétants, ont été documentés, qui feront l’objet d’une étude plus approfondie en ce qui concerne leur pathogenèse », a déclaré Burkhardt.
Les résultats confirment la déclaration du Prof. Dr. Peter Schirmacher selon laquelle, sur plus de 40 cadavres autopsiés qui sont décédés dans les deux semaines suivant la vaccination anti-Covid-19, environ un tiers est mort à cause de la vaccination »4.
Bon, passons en revue. Qu’ont trouvé les médecins ?
1- Ils ont trouvé dans un grand pourcentage des autopsies « le lien entre le décès et la vaccination (était) très probable ».
2- Ils ont constaté que « la myocardite lymphocytaire, (était) le diagnostic le plus fréquent ». (La myocardite lymphocytaire est une affection rare dans laquelle l’inflammation du muscle cardiaque (myocardite) est causée par une accumulation de globules blancs (lymphocytes). Les symptômes peuvent inclure des douleurs thoraciques, des palpitations cardiaques, de la fatigue et un essoufflement (dyspnée), surtout à l’effort ou en position couchée. En d’autres termes, l’injection de protéines spike entraîne à la fois une inflammation grave et une immunodépression. C’est la double peine.
3- Ils ont trouvé des preuves d’une « éruption lymphocytaire », potentiellement dans tous les tissus et organes. Les lymphocytes ont été trouvés dans une grande variété de tissus tels que le foie, les reins, la rate jusqu’à l’utérus et les tumeurs, qui attaquent massivement les tissus qui s’y trouvent. (Remarque : les lymphocytes sont des globules blancs du système immunitaire qui entrent en action pour combattre les envahisseurs ou les cellules infectées par des agents pathogènes. Une « éruption lymphocytaire » suggère que le système immunitaire est devenu fou en essayant de contrer les effets de milliards de protéines spike situées dans les cellules de la circulation sanguine. Au fur et à mesure que les lymphocytes sont épuisés, le corps devient plus sensible à d’autres infections, ce qui peut expliquer pourquoi un grand nombre de personnes contractent maintenant des virus respiratoires à la fin de l’été).
4- Ils ont découvert qu’il existe de multiples risques sanitaires graves liés au vaccin Covid-19.
Les autopsies fournissent des preuves solides que les vaccins créent en fait des dommages importants aux tissus.
Dernière question : comment voyez-vous la situation évoluer ?
R : Je m’attends à voir des signes de détresse dès cet hiver-printemps, même si les données seront compilées sous la rubrique « mortalité toutes causes confondues » plutôt que sous celle des décès dus au Covid-19. Nous devrions également observer une forte hausse des arrêts cardiaques, des myocardites et des accidents vasculaires cérébraux, qui devraient s’écarter radicalement de leur ligne de tendance sur 5 ans. Comme le vaccin entraîne une détérioration généralisée de l’état de santé général, les signes de nocivité devraient être perceptibles dans un certain nombre d’affections, des maladies neurodégénératives à la paralysie de Bell.
Il ne s’agit pas tant d’une prédiction que d’une reconnaissance de ce que nous observons déjà. Jetez un œil à ce récent tweet du Dr Claire Craig, pathologiste britannique, et vous verrez ce que je veux dire :
Dr Clare Craig@ClareCraigPath
Excès de décès pour la semaine se terminant le 10 septembre 2021 :
Pourquoi cela se produit-il ? Pourquoi cette hausse soudaine des crises cardiaques, des maladies cardiaques, des maladies vasculaires et des accidents vasculaires cérébraux ? Qu’avons-nous fait de différent en 2021 par rapport aux années précédentes ?
Nous avons vacciné la majeure partie de la population, voilà ce que nous avons fait différemment. Et maintenant, nous allons voir quel effet cela a sur les nombreuses affections liées à la vaccination, comme les arrêts cardiaques, les myocardites, les embolies pulmonaires, les thromboses, les lésions rénales aiguës, les lésions hépatiques, la paralysie de Bell, la myélite transverse, l’anaphylaxie, le syndrome inflammatoire multisystémique, l’avortement spontané et le syndrome de détresse respiratoire aiguë. Toutes ces manifestations apparaissent dans le « Vaccine Adverse Events Reporting System » (VAERS), tout comme elles sont susceptibles d’apparaître lors de futures hospitalisations. Il faudra donc un tour de passe-passe assez agressif de la part du gouvernement pour truquer les données ou balayer l’affaire sous le tapis.
Et quel sera l’impact de ce déluge de maladies inattendues sur le système de santé publique, qui pourrait être mis à rude épreuve. Peut-on éviter une catastrophe ? Jetez un coup d’œil à cet extrait d’un article récent du Telegraph britannique :
« Alors que l’attention reste fixée sur le Covid-19, une deuxième crise sanitaire émerge discrètement en Grande-Bretagne. Depuis le début du mois de juillet, il y a eu des milliers de décès en excès qui n’ont pas été causés par le coronavirus. Selon les experts de la santé, cette situation est tout à fait inhabituelle pour l’été. Bien que l’on s’attende à une surmortalité pendant les mois d’hiver, lorsque le froid et les infections saisonnières se combinent pour mettre la pression sur le NHS, l’été connaît généralement une accalmie.
Cette année est une exception inquiétante.
Selon l’Office for National Statistics (ONS), depuis le 2 juillet, il y a eu 9 619 décès en excès en Angleterre et au Pays de Galles, dont 48% (4635) n’ont pas été causés par le Covid-19.
Donc, si toutes ces personnes supplémentaires ne meurent pas du coronavirus, qu’est-ce qui les tue ?
Les données de Public Health England (PHE) montrent qu’au cours de cette période, 2103 décès supplémentaires ont été enregistrés pour des cardiopathies ischémiques, 1552 pour des insuffisances cardiaques, ainsi que 760 décès supplémentaires pour des maladies cérébro-vasculaires telles que les accidents vasculaires cérébraux et les anévrismes, et 3915 pour d’autres maladies circulatoires.
Les infections respiratoires aiguës et chroniques sont également en hausse, avec 3416 mentions supplémentaires sur les certificats de décès depuis le début du mois de juillet, tandis que 1234 décès supplémentaires sont dus à des maladies du système urinaire, 324 à une cirrhose ou à une maladie du foie et 1905 à un diabète…
“On a l’impression que l’hiver est déjà là, plutôt qu’il n’arrive. C’est pire cette année que ce dont je me souviens à aucun moment au cours des 20 dernières années” »5.
Naturellement, les médias vont imputer la recrudescence de la maladie à la pandémie ou aux « traitements retardés », mais les gens peuvent tirer leurs propres conclusions. Ce que le Telegraph appelle une urgence « non-Covid » est tout aussi susceptible d’être une blessure liée au vaccin que de ne pas l’être. Ce que je veux dire est simple : Les caillots sanguins, les saignements et les maladies auto-immunes ne sont pas des choses anodines ; ils indiquent que l’infrastructure vitale du corps a été compromise et, peut-être, gravement endommagée. Cela va se manifester dans la mortalité toutes causes confondues et dans les données plus générales de la santé publique. Une part importante de ces maladies sera directement liée à l’injection d’un agent pathogène potentiellement mortel dans le sang de millions de personnes qui ont été délibérément trompées sur la sécurité du produit. Maintenant, nous allons voir les premiers résultats de cette expérience. Que Dieu nous aide.
= = =
Lire notre page : « Coronavirus, guerre contre l’humanité »
Lettre ouverte aux présidents des conseils de l’Ordre et à tous mes confrères cliniciens
Marsac le 01/10/2021
Cher Confrère,
Je suis médecin, retraité depuis 5 ans et fort de 45 ans d’une expérience clinique particulièrement éclectique : médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France). Depuis ma retraite, je ne n’avais suivi que de loin l’épidémie de Covid-19 jusqu’à ce que, il y a quelques mois, suivant les conseils des « autorités » politiques et sanitaires, je reçoive, la seconde injection du Vaccin Astra-Zeneca. Or, depuis lors, je souffre de douleurs musculaires diffuses et de transpirations à l’effort qui me donnent le sentiment d’avoir vieilli de 10 ans. Ces effets secondaires invalidants ainsi que l’émergence évidente, dans mon entourage proche, d’autres effets secondaires nullement bénins et d’une défiance croissante vis-à-vis des contraintes imposées par ces « autorités » m’ont poussé à tenter d’éclairer au mieux ma lanterne. Et si j’écris cette lettre, c’est parce que je sors atterré de ce que j’ai découvert.
J’ai très logiquement cherché d’abord les données scientifiques et médicales objectives concernant cette nouvelle maladie, mais en y incluant intentionnellement le discours de ces confrères cliniciens éprouvés ou de ces scientifiques à la compétence incontestée que ces mêmes « autorités » et la plupart des médias qualifient — depuis la pandémie — de « complotistes ». La raison en est que l’Histoire nous a très souvent appris que les « complotistes » vilipendés un temps par les « autorités » en place s’avèrent devenir, quelques années plus tard, des héros, des « résistants » au pouvoir en place et des sauveurs de notre humanité et de ses valeurs profondes. Nous applaudissons ainsi aujourd’hui ceux qui ont résisté aux autorités nazies comme ceux qui se battent pour la défense de ces mêmes valeurs en Afghanistan, en Russie ou en Chine. Notez que ces « complotistes » sont toujours, au départ, largement minoritaires. La vérité et la vertu exigent du courage et riment rarement avec le discours majoritaire du pouvoir en place.
J’ai eu la chance de découvrir, dès le début de mon enquête, une vidéo publiée en juin dernier par un médecin américain de réputation internationale, le Dr Richard Fleming. En quatre heures de conférence, il brosse un tableau du « dessous des cartes » de cette épidémie qui font frissonner d’horreur en moi autant le passionné de science que le vieux clinicien. Son discours me convainc parce qu’il fonde ses propos exclusivement sur des faits objectifs, vérifiables et incontestables (émanant de documents publiés par les institutions qui ont « autorité » dans leur domaine). Je suis de plus particulièrement sensible à son discours parce qu’il a une formation et une expérience très proche de la mienne (clinicien en médecine interne et cardiologie et chercheur depuis 53 ans). Son palmarès est prestigieux : 500 publications scientifiques et une théorie des maladies cardiovasculaires aujourd’hui reprise dans les classiques « textbooks » de cardiologie. Quant à son enquête – fouillée et compétente –, elle présente tous les signes d’une grande rigueur scientifique et morale. Comme les conclusions qu’il tire de son enquête sont diamétralement opposées à ce que nous présentent lesdites « autorités », il me semble que, selon leurs critères, son discours devrait être qualifié de « complotiste ».
Le scientifique et le clinicien en moi se trouvent donc confrontés à un dilemme moral. Si je pratiquais encore, devrais-je me fier aveuglément aux contraintes imposées par les « autorités » ou au contraire écouter mon « intime conviction » – à savoir que ses propos sont fondés – et donc entrer en « résistance » ? Heureusement, je ne pratique plus la médecine, ce qui m’offre une liberté d’expression que n’ont plus les cliniciens en fonction puisque ceux qui ne se soumettent pas aux règles imposées par lesdites « autorités » sont menacés de perdre leur autorisation de pratiquer.
Ce problème « moral » est en réalité extrêmement grave et repose, à mon sens, sur la question de la légitimité (et des limites) de cette « autorité » que s’attribuent aujourd’hui certaines institutions politiques, scientifiques et sanitaires au nom de l’idée qu’elles se font du bien public et de leur fonction dans la santé des citoyens. La fonction des politiciens est de gérer au mieux l’organisation de la société, celle de la Science de présenter des données objectives aux preneurs de décision et celle des institutions sanitaires d’organiser au mieux le réseau de la santé et l’information des médecins. Jusqu’ici, toutes ces institutions sont largement diffusées par la plupart des médias.
Aucune de ces institutions, toutefois, n’est en droit de se substituer aux médecins cliniciens dans les décisions qu’ils prennent, en âme et conscience, dans le dialogue singulier qui les lie (par la confiance) à leurs malades. C’est là une fonction spécifique à la profession médicale. Même un conseil de l’ordre n’a pas le droit d’intervenir de façon coercitive sur la liberté de conscience du médecin. Il contreviendrait ainsi gravement aux principes mêmes qu’il est censé défendre : ceux du serment d’Hippocrate (qui sacralise la valeur de l’individu et du dialogue singulier) et celui, fondamental, du « primum non nocere ». Il est particulièrement regrettable de constater que, dans cette pandémie, les premiers concernés par le respect de ces principes – les médecins généralistes – ont été totalement écartés des lieux de décision au profit de spécialistes certes pointus, mais inévitablement moins concernés que ces derniers par la dimension humaine du problème.
Les contraintes qu’imposent aujourd’hui ces « autorités » à la liberté diagnostique et thérapeutique des médecins sont incompatibles avec les valeurs sacrées de leur métier, valeurs auxquelles ils ont tous juré fidélité au début de leur carrière. Au vu de la tournure que prennent les événements dans cette pandémie, j’en viens à penser que le serment d’Hippocrate qui lie tous les cliniciens – mais ne contraint aucune institution – constitue le dernier rempart de la défense des valeurs humaines fondamentales face à la puissance manipulatrice et médiatique des mondes politiques, économiques et même scientifiques. Après tous les scandales (sang contaminé, grippe H1N1, Mediator, Vioxx etc…) qui ont ébranlé ces honorables institutions, il faudrait être d’une grande naïveté pour croire encore en l’absolue pureté de leurs motivations.
Ces institutions, à l’image de toute notre société, ont quasiment sacralisé la Science. Cependant, quarante ans de réflexion profonde sur les rapports entre science et médecine m’ont fait clairement comprendre que ce mode de connaissance est, par principe (d’objectivité, de causalité et de réductionnisme) aveugle à la dimension subjective de la réalité. Cela signifie que la Science appliquée unilatéralement à la médecine est aveugle à la réalité du sujet. Elle ne peut voir dans l’organisme humain qu’un objet dénué de toute « profondeur ». C’est d’ailleurs cette « cécité sélective » de la Science qui explique son incapacité – avouée par tous les chercheurs honnêtes – à définir la vie et la conscience.
La « scientocratie » est en réalité la philosophie qui, jusqu’ici, a inspiré la logique décisionnelle des « autorités » sanitaires et politiques, mais cette philosophie souffre d’une « inhumanité » intrinsèque. C’est donc le rôle, me semble-t-il, des vrais cliniciens de rendre au sujet et à l’individu une place centrale face aux arguments objectifs, mais exclusivement statistiques des autorités sanitaires et politiques.
La remarquable vidéo du Dr Fleming a le désavantage de durer quatre heures et d’entrer souvent dans des détails techniques qui ne sont vraiment pertinents que pour des initiés. Il me semble toutefois que son message devrait être connu de tous les cliniciens embarqués en confiance (par naturelle « soumission à l’autorité ») dans une entreprise d’envergure mondiale qui a fait sauter tous les verrous de sécurité mis en place depuis des décennies par nos institutions démocratiques : le code de Nuremberg (1946), la convention internationale en matière d’expérimentation humaine (1966), la déclaration d’Helsinki sur l’éthique de la recherche (1964), la convention sur les armes biologiques (1975) et – ce qui devrait intéresser les membres des conseils de l’ordre – le code éthique de l’association des médecins américains.
Aujourd’hui je suis vraiment en colère et je sais ma colère juste. Les « autorités » auxquelles je m’étais fié ont trompé ma confiance et continuent à tromper (par négligence ou compromission, je ne sais) celle de mes pairs à propos
1 – Fiabilité des études préliminaires
La FDA et l’ANSM ont accordé aux industriels du médicament l’autorisation de la procédure d’urgence (EUA) malgré le non-respect d’une de ses conditions impératives, l’inexistence d’alternatives thérapeutiques. Ceci leur a permis de raccourcir la durée des expérimentations de 10 ans à 11 mois. De plus, les instances responsables de la vérification des expérimentations (FDA, ANSM) – entièrement pilotées par ces industriels – n’ont pas fait correctement leur travail de lecture critique des statistiques des résultats publiées. Une lecture plus attentive (dénoncée par Fleming et d’autres experts3 leur aurait montré une réalité qu’aujourd’hui même les « autorités » acceptent, à savoir que le vaccin ne protège ni du risque de réinfection, ni du risque de contagion, ni (bien évidemment) d’une infection par les inévitables variants.
2 – Efficacité du vaccin
Une lecture critique des essais cliniques réalisés avant mise sur le marché montre que l’efficacité (voisinant les 90% selon les industriels) a en fait été évaluée sur base d’un paramètre – le « risque relatif » – qui n’a pas de signification clinique alors qu’exprimé sur base du paramètre cliniquement pertinent généralement utilisé (le « risque absolu »), cette efficacité voisine plutôt les 1%. La « manipulation » des chiffres (et de l’incompétence des citoyens et des médecins en matière de statistique) est flagrante, mais inacceptable. De plus, une lecture attentive démontre, à partir des résultats présentés par les firmes que, par exemple, l’efficacité des vaccins n’est pas statistiquement significative chez les sujets de plus de 70 ans, pourtant les premiers bénéficiaires du vaccin. Si j’avais su cela, jamais je ne me serais fait vacciner.
Quant aux études faites après mise sur le marché, on trouve – quand on les cherche – des preuves accablantes de nombreux cas d’infections et d’hospitalisations pour la Covid-19 chez des patients dûment vaccinés.
3 – L’étude critique de la toxicité potentielle des vaccins est encore plus effrayante
Le « rapport bénéfice/risque » avancé par les firmes correspond à une grossière manipulation des statistiques. Des responsables compétents n’auraient jamais permis sa mise sur le marché en temps normal. Aujourd’hui que des millions de gens ont été vaccinés, la chose est évidente. Le site américain de recensement des « effets indésirables » des vaccins (VAERS) recense en mai 2021 plus de 4 000 morts et 17 200 effets secondaires sévères. Une étude européenne de pharmacovigilance recense, elle près de 20 000 morts et 800 0000 cas d’effets secondaires jugés « graves ». En France, l’ANMS recensait en juillet 2021 900 décès et 8 700 cas d’effets secondaires graves pour le seul vaccin Pfizer. Pour rappel, l’épidémie de grippe porcine en 1976 aux USA (célèbre scandale sanitaire) a été arrêtée quand on a recensé 25 morts après une campagne de publicité semblablement orchestrée par les « autorités » politiques et sanitaires qui avait amené 46 millions d’Américains à se faire vacciner.
Le statisticien en santé publique (l’autorité ultime de la « scientocratie ») va mettre ces chiffres en balance avec le nombre (supposé) de « vies sauvées » grâce au vaccin. Aux yeux de tout médecin vivant une relation de confiance avec son patient (la base du serment d’Hippocrate), ce calcul est inacceptable parce qu’en prescrivant ou administrant un médicament qui peut causer la mort ou un handicap grave à son patient il n’est en rien excusable puisque, s’il connaît le risque statistique du vaccin qu’il propose, il est déontologiquement obligé de donner cette information à son patient et d’obtenir son consentement « libre et éclairé ». En rendant le vaccin obligatoire, les « autorités » sanitaires et politiques bafouent ouvertement ces principes fondamentaux de la médecine au nom de statistiques portant sur l’incidence (potentielle) et la mortalité (inférieure à 0,1%) d’une maladie virale « naturelle » (cf. point 4).
Mourir de la Covid est certes un drame pour les proches, mais cette mort est « naturelle » (pour autant qu’on croie le virus de la Covid-19 naturel). Par contre, mourir à cause d’un vaccin qu’on a forcé le médecin à administrer ou le malade à accepter contre sa volonté, sa conscience dûment éclairée ou son intime conviction est tout simplement un sacrilège, une atteinte inacceptable aux valeurs fondamentales (sacrées) de l’homme. C’est là que moi personnellement je décide d’entrer en résistance et de donner raison à tous ces citoyens anonymes et soignants de plus en plus en plus nombreux qui, se fondant sur leur profonde intuition (l’intime conviction), s’opposent aux directives des autorités. L’attitude de ces autorités politiques et sanitaires est aujourd’hui inacceptable du point de vue de l’éthique médicale. En dépossédant les médecins de leur fonction spécifique, elles se rendent en réalité complices de ce que certains appellent un « crime contre l’humanité ».
4 – Du caractère « naturel » du virus de la Covid-19
Toutes ces « révélations » génèrent chez moi une profonde colère, mais celles qui, dans cette vidéo, m’ont personnellement le plus effrayé sont d’ordre scientifique et pas médical. Elles concernent la protéine spike, l’acteur majeur de cette pandémie et la cible visée par les vaccins. J’ignorais, avant la lecture de cette vidéo, que cette protéine (les « épines » du virus) commune à tous les coronavirus est, dans le cas du SARS-Cov-2, une pure « chimère » c’est-à-dire le résultat de manipulations génétiques menées patiemment depuis 20 ans dans des laboratoires de virologie largement financés par le ministère de la Défense (!!!) des USA (laboratoire de Ralph Baric) puis « améliorés » par des virologues chinois dans l’institut de Wuhan (laboratoire de Shi Zhengli). Ces études portant sur le « gain de fonction » des virus visent à « améliorer » la virulence du virus pour la race humaine et sa capacité à pénétrer dans le cerveau. C’est donc indubitablement une arme biologique. Ces bricoleurs de virus ont en effet « inséré » dans la protéine spike du coronavirus de la chauve-souris (H4U4), totalement inoffensif pour l’homme, des fragments du virus du sida (insert de 590 acides aminés) et de celui de l’hépatite C ainsi qu’un court « insert » appelé PRRA constitué de 4 acides aminés (codés par 12 nucléotides) absents de toutes les autres souches naturelles de coronavirus et impossibles à attribuer à des mutations naturelles puisqu’il faudrait qu’apparaisse simultanément la mutation de 12 nucléotides successifs du génome.
De plus, en déformant la protéine, ces trois inserts ont créé à son extrémité un domaine dit de type « prion », c’est-à-dire semblable à l’agent de la vache folle. Et, de fait, on peut induire expérimentalement ce type de maladie (encéphalopathie spongiforme) chez les souris génétiquement modifiées (dites « humanisée ») après infection par le SARS-Cov-2. Le SARS-Cov-2 est donc, incontestablement à mon sens, un virus artificiel – une « chimère » – dont la création a « bypassé » tous les processus de sélection naturelle. Tous les gouvernements impliqués dans la mise au point de cette chimère (les USA, la Chine, mais aussi la France cofondatrice de l’institut de Wuhan) se sont empressés de nous faire passer ce virus pour une zoonose (le fameux pangolin) ou le résultat de mutations (naturelles). Mais une chimère n’est pas un mutant (naturel) et j’ai le sentiment que tout est fait « quelque part » pour que cette vérité embarrassante – mais cruciale dans le procès de la thèse du complotisme – soit tue.
5 – De la vaccination obligatoire et généralisée
Nous devons prendre conscience, nous médecins cliniciens, que les vaccins actuels contre ce « monstre » de la biotechnologie forcent nos propres cellules à synthétiser en millions d’exemplaires cette protéine chimérique imaginée et créée de toutes pièces par des scientifiques irresponsables. Le simple principe de précaution devrait nous pousser à redoubler de vigilance vis-à-vis de ce vaccin doublement atypique (technologie à ARN messager/nanoparticules lipidiques et antigène spike artificiel), mais les médecins généralistes, témoins les plus concernés par la santé individuelle de leurs patients et source la plus fiable des éventuels effets secondaires ont été écartés des centres de décision gérés par les autorités politiques, sanitaires et scientifiques. Avec un an et demi de recul, nous disposons aujourd’hui de statistiques de mortalité, de létalité et du rapport bénéfice/risque des différents vaccins commercialisés. Nous avons le devoir de les analyser objectivement et, personnellement, ils me glacent d’effroi.
Alors que le risque de mourir est quasiment nul pour un Covid “naturel” entre 0 à 14 ans, il est non nul pour l’administration du vaccin. Or, cette seule réalité n’empêche pas les autorités de prévoir une vaccination obligatoire de tous les enfants.
Dans la tranche d’âge entre 15 et 44 ans, le rapport bénéfice-risque est à peu près égal à 1 (seuil maximal admissible), mais si on évalue ce même rapport chez les sujets sans « comorbidité » (c’est-à-dire la majorité de cette population), il grimpe à 3 (1,5 à 4,4), ce qui signifie qu’il est trois fois plus toxique qu’efficace. Un parent ou un patient dûment éclairé de ces chiffres refuserait très certainement le vaccin. Comme personne n’est en droit de prétendre remplacer la responsabilité parentale ou personnelle dans une telle situation, les « autorités » ont balayé ce droit et manipulé l’information au nom d’une « immunité collective » dont nous savons aujourd’hui qu’elle ne sera jamais réalisée par les vaccins puisqu’ils ne protègent ni des réinfections, ni de la contagiosité, ni des variants.
Il est plus que temps, me semble-t-il, messieurs les présidents des conseils de l’ordre et chers confrères cliniciens, d’ouvrir nos yeux à des réalités que les « autorités » impliquées jusqu’au cou dans une politique unilatérale ne peuvent pas regarder en face sans perdre la face. Nous avons maintenant un recul suffisant face à cette maladie nouvelle. Le corps médical – et en particulier les omnipraticiens, premiers acteurs responsables dans une pandémie, et les conseils de l’ordre, seuls remparts officiels de l’éthique médicale – peut-il continuer à se « soumettre à une autorité » qui nous a dépossédés de ce qui fait toute la valeur éthique de notre métier, sa « densité humaine ». Comme le rappelle à plusieurs reprises mon collègue Richard Fleming : « Qu’en est-il si ceux qui prétendent soigner le problème (les “autorités” politiques et scientifiques et l’industrie biotechnologique) sont aussi ceux qui l’ont créé ? »
Si, après avoir visionné en intégralité la vidéo du Dr Fleming et, si possible aussi, celle de Christine Cotton (ICI) ou du Dr de Lorgeril (LÀ) (deux spécialistes français de la lecture critique des statistiques dans les études cliniques) vous continuez, chers confrères à accorder votre confiance au discours des « autorités », je crains fort que vous ne puissiez rétablir – quand la vérité sera enfin établie – la confiance de la population en une médecine qu’elle jugera, à juste titre, très sévèrement.
Tout le monde sait que la pandémie a créé en quelques mois une vague de décès (en rien comparable à celle la grippe espagnole ou de la peste), une secousse sans précédent de l’économie mondiale, mais aussi quelques heureux, les neuf nouveaux milliardaires de l’industrie du vaccin et des tests biologiques. À titre d’exemple, le patron de la firme Moderna – qui ne cache pas publiquement son rêve de créer une médecine préventive fondée sur la manipulation (le « piratage », dit-il même) du génome, le plus précieux trésor de chaque organisme vivant que la Nature a mis plusieurs milliards d’années à sélectionner. En apprenant que ses gains personnels en 2020 (4.3 milliards de $) ont été exemptés d’impôts (cadeau de l’État du Delaware), et placés dans des paradis fiscaux (cadeau de la Suisse qui abrite le siège social de sa société), j’ai peine à croire en la pureté des objectifs humanitaires de ce genre d’industrie. Il est très loin le temps où le Dr Sabin, inventeur du vaccin de la polio, avait fait don de son brevet aux enfants de l’humanité.
La seule façon, me semble-t-il, chers confrères – et mon exhorte s’adresse également à tous les soignants, parents et jeunes – de résister à la puissance de ces géants est, je pense, d’entrer massivement en « résistance » et d’unir les voix de plus en plus nombreuses de ceux qui devinent – sans souvent pouvoir le démontrer – que quelque chose de fondamental à l’homme est en train de pourrir dans notre société capitaliste et hyperlibérale. En tant qu’humain, médecin, père et grand-père soucieux du devenir des générations futures, il me semble que cette démarche relève du noble « devoir civique ».
Très confraternellement,
Jean Stevens, 82 140 Saint Antonin (France)
P.S. : Au moment d’envoyer cette lettre, j’apprends la courageuse démission de l’ordre des médecins d’un médecin de Montpellier à qui ses « autorités sanitaires » avaient refusé qu’il publie des résultats (très inquiétants) concernant les effets secondaires graves dans 83 EPHAD4. Il souligne au passage l’inquiétante augmentation des effets secondaires du vaccin Pfizer (+160 % en deux mois)
Source :
https://jbl1960blog.wordpress.com/2021/10/19/a-laube-dune-nouvelle-vague-et-dun-nouveau-confinement/
Lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »
Notre communiqué du 14 juillet 2021 : « La solution de la crise fabriquée COVID n’est en aucun cas médicale mais politique »
Le projet élitiste de déshumanisation n’est que cela, un projet, pas une réalité…
Solidarité, Union, Persévérance, Résistance, Action
Excellente analyse de Dominique Muselet à laquelle nous adhérons totalement. Cela fait combien d’années que nous disons de nous unifier par delà les clivages factices mis sur notre chemin, qu’il n’y a pas de solution au sein du système et ne saurait y en avoir, que nous devons nous réapproprier notre espace-temps et le convertir à l’harmonie dans l’acceptation de notre complémentarité dans la diversité ?… Sous l’article, nous replaçons encore et encore, ces quelques textes contemporains essentiels pour comprendre le chemin que nous devons emprunter pour sortir à tout jamais de la spirale infernale de l’imposture étatico-capitlaliste qui nous vampirise et nous vampirisera jusqu’au bout si on la laisse faire…
Compagnons lecteurs, faites circuler ce texte cours et concis de Dominique Muselet, il en vaut la peine.
~ Résistance 71 ~
La prison électronique ou rien ?
Dominique Muselet
14 octobre 2021
url de l’article original:
https://www.mondialisation.ca/la-prison-electronique-ou-rien/5661359
J’ai participé autrefois à une expérience grâce à laquelle j’ai découvert un des principes fondamentaux de ce qu’on appelait la Création quand Dieu dirigeait nos vies.
L’animateur a mis toutes sortes d’instruments à la disposition d’un groupe de personnes n’ayant aucune connaissance musicale, puis il nous a demandé de jouer ensemble, a enregistré notre performance et nous l’a fait écouter. A la cacophonie du début, s’est substituée, en deux jours, une belle harmonie…
Et c’est là que j’ai compris que l’harmonie est le cœur de la Création. Il me semble que tout dans l’univers aspire à l’harmonie et que sans harmonie rien ne fonctionnerait. Ou du moins, il doit y avoir davantage d’harmonie que de désordre pour que ça marche.
Bon, je crois que nul ne niera qu’en ce moment l’harmonie est particulièrement mise à mal dans notre société. La polarisation, la « fracture » qui est le fonds de commerce des commentateurs stipendiés, a atteint des sommets. Au niveau international, le conflit s’intensifie entre l’Occident déclinant et le bloc eurasiatique montant. La guerre nucléaire menace. Les multinationales financiarisées et les politiciens qu’elles ont fait élire mènent une guerre impitoyable aux peuples, les riches aux pauvres, les covidistes aux réfractaires à l’ordre sanitaro-politique, les mondialistes au communautarisme, et au niveau local, les tribus nouvellement formées, se livrent de cruelles guerres de territoire et d’influence…
La recherche d’harmonie est ce que personnellement j’appelle Dieu. Dans un ashram, en Inde, j’ai lu, dans la traduction d’un livre de prières sanskrites, que Dieu, c’est « ce qui tient tout ensemble ». Quand Jésus dit que Dieu est amour, il dit la même chose. L’amour n’est pas un sentiment, c’est l’action de créer ou de maintenir l’harmonie, l’unité, la paix. Le diable, c’est l’incarnation de tout ce qui divise. Jusqu’ici, l’univers est toujours là et nous aussi. Cela semble indiquer que, même si des morceaux de l’univers se désagrègent sans cesse, Dieu, la force « qui tient tout ensemble », triomphe encore, peut-être de justesse, mais il triomphe.
C’est ce qu’ont tenté de nous enseigner Jésus, Gandhi, Martin luther King et tant d’autres. Malheureusement, les États, nos nouveaux dieux, n’ont pas à leur disposition de grandes réserves d’amour. Du coup, ils choisissent le contrôle, la menace, la manipulation, la coercition, la punition, la prison, pour tenter de tenir tout ensemble. Il est vrai que leur but n’est pas non plus aussi désintéressé que celui du Dieu de Jésus, eux cherchent plutôt à se maintenir eux-mêmes, à nos dépens s’il le faut.
La dérive liberticide actuelle est bien documentée par de nombreux observateurs, même si le camp de l’Establishment tente de les faire taire par tous les moyens. Je ne vais pas y revenir. D’ailleurs, j’ai décidé d’ignorer désormais ce gouvernement et ses folies criminelles pour protéger ma santé mentale et ma paix intérieure. Ce qui m’intéresse ici, c’est d’essayer, à partir du présent, de nous projeter dans l’avenir.
Un des effets les plus inattendus de l’opération-Covid a été, à mon sens, de rebattre les cartes des alliances sur le terrain. Des gens et des groupes ont carrément changé de camp. Les Socialistes, certains écologistes, quelques Gilets jaunes et beaucoup de gens qu’on croyait tolérants et de bon sens ont révélé leur vrai visage en soutenant les mesures mises en place par les apprentis Big Brother, ou en en exigeant d’encore plus liberticides. On dirait qu’ils veulent passer de la libre circulation des personnes et des capitaux à la prison électronique pour tous (sauf pour eux évidemment).
De l’autre côté, des gens qu’on avait l’habitude de considérer comme des fashos comme Florian Philippot, ou qu’on tenait pour de nuisibles capitalistes ou des suppôts de la Caste, se sont révélés des défenseurs de la liberté tout à fait extraordinaires. Les irréductibles gauchistes diront que ces gens-là déguisent leur pensée pour tirer un profit personnel de la crise, mais moi j’ai tendance à croire que ceux qui risquent leur statut, leur emploi, leur vie, pour défendre la liberté, sont au moins aussi sincères que ceux qui hurlent avec les loups…
Et donc il n’est pas question que, pour plaire aux censeurs de tout bord, je me prive des analyses, des expériences et des enseignements de qui que ce soit.
Et je commence derechef, ma descente aux enfers avec le conspirationniste, Giorgio Agamben, qui pose la question que beaucoup se posent :
Et si le passe sanitaire n’était pas une conséquence, mais la finalité ?
Auditionné par le Sénat italien le philosophe Giorgio Agamben a d’abord souligné une énorme contradiction dans la loi italienne:
« Vous savez que le Gouvernement, avec un décret-loi spécial numéro ddl 44/2021 appelé « bouclier pénal » désormais converti en loi, s’est exonéré de toute responsabilité pour les dommages causés par le vaccin.
Et la gravité de ces dommages résulte du fait que l’article 3 du décret en question mentionne explicitement les articles 589, 590 du Code pénal qui se réfèrent à l’homicide involontaire et… aux blessures par négligence (…)
Comment l’État peut-il accuser d’irresponsabilité ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner, alors que c’est le même État qui décline le premier, formellement, toute responsabilité pour les éventuelles conséquences graves ? »
Puis il a répondu à la question soulevée plus haut :
« Il a été dit par des scientifiques et des médecins que le passe sanitaire n’a aucune signification médicale en soi, mais sert à forcer les gens à se faire vacciner.
Je crois plutôt que l’on peut dire le contraire : c’est-à-dire que le vaccin est un moyen de forcer les gens à avoir un passe sanitaire. C’est-à-dire un dispositif qui vous permet de contrôler et de suivre, une mesure sans précédent, leurs mouvements.
Les politologues savent depuis longtemps que nos sociétés sont passées du modèle qu’on appelait autrefois de la « société disciplinaire » à celui d’une « société de contrôle » ; de société fondée sur un contrôle numérique quasi illimité des comportements individuels qui deviennent ainsi quantifiables dans un algorithme.
Nous nous habituons maintenant à ces dispositifs de contrôle, mais je vous demande : jusqu’où sommes-nous prêts à accepter que ce contrôle aille ? »
Thalès et la société de surveillance
J’enchaîne avec le libéral libertaire Éric Verhaeghe qui est lui aussi épinglé par le pape de la bien pensance comme « proche de la sphère conspirationniste ». Si son amour de la liberté peut le rendre aveugle aux méfaits de la propriété privée des moyens de production, il fait merveille dans la lutte contre l’hystérie covido-politico-sécuritaire. Interviewé par Rachel Marsden, Verhaeghe nous révèle que Thalès, le marchand d’armes, a énormément investi dans l’énorme marché d’avenir de l’identité numérique à travers sa filiale Idémia, avec les encouragements de l’État. Le passe sanitaire, que les gens sont soi-disant très heureux d’avoir, est, selon cette entreprise elle-même, la première étape de la construction d’une identité numérique à travers un wallet qui se terminera par les moyens de paiement (ce qui permettra à l’État et aux banquiers centraux de disposer de notre argent comme si c’était le leur !) Dans le monde dystopique qu’ils nous promettent, il faudra montrer ses papiers (enfin son code QR !) pour aller prendre un café ou l’autoroute, bref nous serons surveillés sans cesse et partout.
Selon Éric Verhaeghe, le Brexit et tous les mouvements souverainistes inquiètent la caste libérale occidentale mondialisée. Elle a donc décidé de neutraliser les effets du suffrage universel en utilisant des technologies numériques pour pérenniser sa domination sur nos sociétés. Le passe sanitaire est la première expérience de Crédit social dans le monde occidental. Il punit les dissidents et récompense les obéissants sous couvert de nous protéger, l’argument des castrateurs de tous les temps. En Chine, il est d’ailleurs prévu que les paysans, qui sont d’éternels mauvais payeurs, règlent leurs impôts à travers la reconnaissance faciale, efficace à 80/95%.
Cette surveillance répressive est déjà utilisée en entreprise grâce à la télémétrie, selon la Quadrature du cercle, qui échappe, on ne sait pourquoi, à la vindicte de Conspiracy Watch :
« l’employé·e data-driven n’a pour seule fonction que de maximiser ses performances et la plus-value qu’il ou elle produit pour le bénéfice d’une entreprise qui aspire à une omniscience quasi-divine (…) Amazon se distingue régulièrement en la matière, par exemple avec la surveillance des conducteur·ice·s de camions de livraisons par un logiciel d’intelligence artificielle aux États-Unis, l’usage d’un logiciel qui suit automatiquement l’activité de chaque personne en mesurant le nombre de colis scannés et qui peut décider de licencier automatiquement les moins productives ou encore, en 2018, le dépôt de deux brevets pour un bracelet permettant de surveiller les mouvements des mains des employé·e·s dans les entrepôts. »
Y a-t-il un antidote à la dérive totalitaire de la Caste ?
En principe tout excès génère son antidote, pas toujours pour le mieux d’ailleurs. Par exemple, la caste mondialiste a supprimé les frontières des États, résultat, les frontières se sont rapprochées au point d’envahir notre intimité (codes d’accès, codes secrets, passe sanitaire et autres passes, caméras, surveillance électronique, etc.)
C’est le sociologue Michel Maffesoli, dûment vilipendé par Street Press (dans la grande famille des gardiens du discours convenu, on se répartit les rôles) pour ses soi-disant liens avec l’extrême-droite, qui nous apporte ici des éléments de réponse dans un article intitulé : Comment l’idéal démocratique a été remplacé par l’idéal communautaire.
A la question de Durkheim : « Comment tient une société que rien ne transcende mais qui transcende ses membres ? » Maffesoli répond : « Par le sentiment partagé. Le partage du sentiment est le vrai ciment sociétal ; il peut conduire au soulèvement politique, à la révolte ponctuelle, à la lutte contre l’exclusion, à la grève par solidarité, il peut également s’exprimer par ou dans la banalité courante. Dans tous les cas, il constitue un ethos qui fait que contre vents et marées, au travers des carnages et des génocides, le peuple se maintient en tant que tel, et survit aux péripéties politiques ».
Selon lui, « la standardisation mondiale » engendre une « accentuation des valeurs particulières » qui permettent de se « réapproprier son existence ». Les « petits réseaux fédérant de petits groupes existentiels » se multiplient. On constate une « émergence de l’idéal communautaire que la modernité s’emploie à nier ».
La réponse et l’antidote à la déshumanisation totalitaire que veut nous imposer la Caste, c’est de l’ignorer autant que possible et de s’unir et de se réunir partout avec ceux qui partagent notre sentiment, pour défendre des terres, des bâtiments, des idées, des acquis, des droits, des idéaux, ou pour échapper à l’esclavage de l’emploi et de la consommation, à l’isolement, à la précarité, à la robotisation, à la surveillance, ou pour expérimenter d’autres façons de vivre.
Bien sûr tout cela sera combattu pied à pied par la Caste au pouvoir, mais le mouvement est irréversible. Le balancier est reparti dans l’autre sens. Rien n’empêchera les liens de se tisser, les communautés de se former et la société de se régénérer, d’autant plus qu’il suffit que le positif l’emporte d’un iota sur le négatif pour que le désordre (la haine, l’envie, la division, l’exploitation) cède la place à l’ordre (l’harmonie, la coopération, la paix).
C’est ainsi que, comme le dit Maffesoli, « contre vents et marées, au travers des carnages et des génocides, le peuple se maintient en tant que tel, et survit aux péripéties politiques ».
Dominique Muselet, Montreuil, le 13 octobre 2021
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Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)
Comprendre et transformer sa réalité, le texte:
Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »
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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:
Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être
Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche
Manifeste pour la Société des Sociétés
Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie
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