Archive pour août, 2021

Mascarade et dictature sanitaire, variant Delta, tests PCR et dissonance COVID (F. William Engdahl)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, désinformation, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , on 31 août 2021 by Résistance 71

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Bill « la piquouze » dans son labo…

Le variant “Delta”, les tests PCR et la dissonance Covid

F. William Engdahl

11 août 2021

source de l’article en français:
https://lesakerfrancophone.fr/le-variant-delta-les-tests-pcr-et-la-dissonance-covid

Pour paraphraser une célèbre boutade lancée par Bill Clinton, alors candidat à la présidence, lors d’un débat avec son adversaire républicain en 1992, « C’est le vaccin, idiot ! ». Le récit quotidien des médias grand public et du gouvernement dont le monde entier est inondé est déroutant pour la plupart, et c’est un euphémisme. Le variant dit Delta ou « indien » se propage comme la varicelle, nous dit-on, mais sans préciser ce que signifie cette « propagation ». Les personnes non vaccinées sont accusées de transmettre la COVID-19 à celles qui sont censées être vaccinées. Les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Union européenne mènent la danse avec ce confus et mortel récit.

Des responsables politiques poussent les enfants à se faire vacciner malgré les recommandations officielles de l’OMS et des autorités médicales nationales, comme le STIKO en Allemagne, qui préconisent d’attendre. Les tests PCR, qui définissent la politique mais qui ne disent rien sur la présence d’un virus spécifique chez une personne, sont traités comme le « Gold Standard » de l’infection. Pourtant, à ce jour, aucun laboratoire n’a réussi à isoler des échantillons purs du prétendu virus SRAS-CoV-2 qui serait à l’origine de la maladie COVID-19. Comment les tests PCR peuvent-ils être calibrés si l’agent pathogène revendiqué n’est pas clairement identifié ? Avec un peu de recul, il apparaît clairement que nous sommes soumis à une opération mondiale délibérée de dissonance cognitive dont les conséquences prévues pour l’avenir de notre civilisation nous sont cachées.

Résoudre la dissonance cognitive

Dissonance cognitive est un terme utilisé en psychologie pour désigner ce que ressent une personne vivant deux expériences contradictoires ou une expérience défiant sa logique ; cette incohérence vécue lui causant un grand stress. Ce stress est résolu par le cerveau qui utilise inconsciemment n’importe quel tour de passe-passe pour résoudre cette incohérence. Le syndrome de Stockholm en est un exemple. Dans le cas présent, le conflit est résolu en donnant toute sa confiance aux autorités – gouvernements, OMS, CDC, RKI, Bill Gates ou tout autre expert épidémiologique autoproclamé, souvent sans diplôme médical. Ces autorités imposent pourtant des mesures draconiennes de confinement, de port de masque et de restriction des déplacements qui ont rapidement tourné à une vaccination forcée de facto avec des vaccins non testés dont les effets indésirables se comptent désormais par millions dans l’UE et aux États-Unis.

Le cerveau ordinaire se dit : « Pourquoi les autorités voudraient-elles nous faire du mal ? Ne veulent-elles pas le meilleur pour nous et pour le pays ou le monde ? » Les expériences réelles des 18 derniers mois, depuis que l’Organisation mondiale de la santé a déclaré une pandémie à propos d’un prétendu virus identifié pour la première fois à Wuhan en Chine, suggèrent que soit les politiciens et les responsables de la santé du monde entier ont perdu la tête, soit ils sont délibérément mauvais, soit ils sont volontairement destructeurs, soit ils sont tout simplement corrompus. Pour résoudre cette effrayante contradiction, des millions d’entre nous acceptent de recevoir une concoction expérimentale faite à base d’ARNm génétiquement modifié et pensent qu’ils sont alors protégés contre l’infection et la grave maladie qu’entraine un prétendu virus pathogène et mortel appelé COVID-19. Certains attaquent même ceux qui, autour d’eux, résolvent différemment cette dissonance en refusant ce vaccin, par simple méfiance et prudence. Pourtant, même le Dr Fauci, l’omniprésent expert médical de Washington, admet que les nouveaux vaccins à ARNm n’empêchent pas de contracter la prétendue maladie ou d’être contaminant, mais qu’ils contribuent peut-être à en atténuer l’impact. Il ne s’agit donc pas d’un vaccin, mais de quelque chose d’autre.

Un variant Delta ?

À ce stade, il est utile d’examiner plusieurs faits avérés concernant ce coronavirus et son nombre apparemment infini de « variants ». La peur actuelle au Royaume-Uni, dans l’Union européenne et aux États-Unis est déclenchée par un variant, appelé Delta, du coronavirus. Le seul problème est que les autorités compétentes ne nous apprennent rien d’utile sur ce variant.

Étant donné que le prétendu variant Delta d’un nouveau coronavirus, prétendument identifié à Wuhan mais jamais scientifiquement prouvé, est utilisée pour justifier une nouvelle série de mesures draconiennes de confinement et de pressions en faveur de la vaccination, il est utile d’examiner le test permettant de déterminer si ce variant Delta est bien présent chez une personne testée à l’aide du test PCR standard recommandé par l’OMS.

En mai dernier, le variant Delta fut d’abord appelé variant indien. Il a rapidement été identifié dans 90 % des nouveaux tests positifs au COVID-19 au Royaume-Uni, qui compte également une importante population indienne. Ce que l’on ne dit pas, c’est qu’en deux mois seulement, les prétendus positifs au variant Delta en Inde ont chuté de façon spectaculaire, passant de 400 000 par jour en mai à 40 000 en juillet. Les symptômes ressemblant étrangement à ceux du rhume des foins ordinaire, l’OMS s’est empressée de le rebaptiser Delta, en se basant sur l’alphabet grec, afin de brouiller davantage les pistes. Des baisses similaires du variant Delta ont été observées au Royaume-Uni. Les « experts » ont prétendu que c’était parce que les Indiens terrifiés étaient restés chez eux, car seul un petit 1-3% de la population avait été vacciné. Au Royaume-Uni, les experts ont prétendu que c’est parce que beaucoup de gens étaient vaccinés que les cas de delta avaient tellement chuté. Si cela vous donne l’impression qu’ils inventent n’importe quelle explication pour alimenter le discours sur les vaccins, vous n’êtes pas le seul.

Et ce n’est pas tout. Pratiquement personne au Royaume-Uni, en Inde, dans l’Union européenne ou aux États-Unis n’a pu être testée positif au variant Delta avec un test spécifique au variant Delta, car un tel test n’existe pas. Des tests complexes et très coûteux sont censés exister, mais aucune preuve n’est apportée qu’ils sont utilisés pour affirmer des choses telles que « 90% des cas britanniques sont dus au Delta… ». Les laboratoires du monde entier se contentent d’effectuer des tests PCR standard, très imprécis, et les autorités sanitaires déclarent qu’il s’agit du « Delta ». Il n’existe pas de test simple pour le Delta ou tout autre variant. Si ce que je dis n’est pas vrai, le CDC ou l’OMS ou d’autres instituts de santé devraient expliquer en détail ces tests. Ils ne le font pas. Demandez aux « experts » de la santé concernés comment ils peuvent prouver la présence d’un variant Delta du virus. Ils ne le peuvent pas. Les laboratoires d’analyse aux États-Unis admettent qu’ils ne peuvent tester aucun variant.

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Des tests PCR inutiles

Le test PCR ne permet pas de détecter un virus ou une maladie. Le scientifique qui a obtenu un prix Nobel pour avoir inventé le test PCR, le Dr Kary Mullis, est passé à la télévision pour attaquer nommément le chef du NIAID, Tony Fauci, en le qualifiant d’incompétent pour avoir prétendu que les tests PCR pouvaient détecter n’importe quel agent pathogène ou maladie. Il n’a pas été conçu pour cela, mais plutôt comme un outil d’analyse de recherche en laboratoire. Les tests PCR ne peuvent pas déterminer une infection aiguë, une infectiosité continue, ni une maladie réelle. Le test PCR n’a pas été conçu pour identifier une maladie infectieuse active, il identifie plutôt du matériel génétique, qu’il soit partiel, vivant ou même mort.

Un article publié le 21 janvier 2020 par deux Allemands, Corman et Drosten, a été utilisé pour créer le test PCR et immédiatement adopté par l’OMS pour devenir la norme mondiale de détection du nouveau coronavirus. À ce moment-là, six personnes seulement avaient été identifiées comme porteuses du nouveau coronavirus. En novembre 2020, un groupe de pairs scientifiques a examiné l’article de Drosten et a découvert un nombre incroyable de failles scientifiques majeures ainsi qu’un conflit d’intérêts flagrant de la part de Drosten et de ses collègues. Les scientifiques ont noté que la conception du PCR et l’article de Drosten souffraient de « nombreuses erreurs techniques et scientifiques, notamment une conception insuffisante des amorces, un protocole RT-qPCR problématique et insuffisant, et l’absence d’une validation précise du test. Ni le test présenté ni le manuscrit lui-même ne remplissent les conditions d’une publication scientifique acceptable. En outre, les graves conflits d’intérêts des auteurs ne sont pas mentionnés. Enfin… un processus systématique d’examen par les pairs n’a, jusqu’à maintenant, pas été effectué, ou alors il était de mauvaise qualité. » Pourtant, le modèle de PCR de Drosten a été immédiatement recommandé par l’OMS comme test pour le coronavirus.

Le test PCR amplifie le matériel génétique en utilisant des rotations jusqu’à ce qu’elles atteignent ce que l’on appelle le seuil de cycle (Ct), un nombre d’amplifications permettant de détecter le matériel génétique avant que l’échantillon ne devienne sans valeur. Mullis a dit un jour que si l’on amplifie par un grand nombre suffisant de rotation, on peut trouver n’importe quoi chez n’importe qui, car notre corps est porteur d’un grand nombre de virus et de bactéries différents, la plupart inoffensifs. Même le Dr Fauci, dans une interview de 2020, déclarait qu’un CT supérieur à 35 n’a aucune valeur. Pourtant, le CDC recommanderait aux laboratoires de tests d’utiliser un CT entre 37 et 40 ! A ce niveau-là, 97% des COVID positifs sont probablement faux.

Ni le CDC ni l’OMS n’ont rendu publiques leurs recommandations en matière de Ct, mais on rapporte que le CDC recommande désormais un seuil de Ct plus bas pour les tests des personnes ayant été vaccinées, de manière à minimiser les COVIDs positifs chez les personnes vaccinées, tout en recommandant un Ct supérieur à 35 pour les personnes non vaccinées, une manipulation criminelle si elle est avérée.

Pour ceux qui s’intéressent à l’évolution de la manipulation des tests PCR pour soi-disant diagnostiquer la présence spécifique d’une maladie, il faut se pencher sur l’histoire sordide qui a commencé dans les années 1980 lorsque Fauci et son subordonné de l’époque, le Dr Robert Gallo, au NIAID, ont utilisé la technologie PCR de Mullis pour affirmer, à tort, qu’une personne était séropositive, une entreprise criminelle qui a entraîné la mort inutile de dizaines, voire de centaines, de milliers de personnes.

Notamment, presque tous les éminents défenseurs du vaccin COVID, de Fauci à Tedros, le chef de l’OMS, viennent de cette glauque affaire VIH/SIDA et de ses faux tests PCR. L’ensemble des mesures de panique imposées depuis 2020 dans le monde entier sont basées sur la fausse prémisse qu’un test RT-PCR « positif » signifie que l’on est malade ou infecté par le COVID. La peur du COVID-19 qui a émané de Wuhan, en Chine, en décembre 2019, est une pandémie qui n’est due qu’aux tests, comme l’ont souligné de nombreux médecins. Il n’y a aucune preuve qu’un virus pathogène soit détecté par le test. Il n’y a pas non plus de valeur de référence prouvée, ou « étalon-or » pour déterminer la positivité. C’est purement arbitraire. Faites la recherche et vous verrez.

La promotion de vaccins expérimentaux

Si l’économie mondiale a perdu des milliers de milliards de dollars depuis le début de l’année 2020 et ruiné d’innombrables vies sur la base de tests PCR sans valeur et que maintenant la même fraude continue avec un prétendu variant Delta, la conclusion évidente est que certains acteurs très influents utilisent cette peur pour promouvoir des vaccins génétiques expérimentaux qui n’ont jamais été testés à grande échelle sur des humains ni sur des animaux.

Pourtant, le nombre officiel de décès liés aux vaccins dans l’UE et aux États-Unis continue de battre des records. À l’heure où nous écrivons ces lignes, selon la base de données officielle de l’UE pour l’enregistrement des conséquences liées aux vaccins, EduraVigilance, à la date du 2 août, 20 595 décès ont été signalés chez des personnes venant d’être inoculées avec ces vaccins à ARNm expérimentaux ! De tels chiffres n’avaient jamais été observés auparavant. En outre, 1 960 607 conséquences médicales ont été signalées, dont 50 % graves, notamment des caillots sanguins, des crises cardiaques, des irrégularités menstruelles, des paralysies, toutes consécutives à une injection d’ARNm COVID-19. Les données américaines de la base de données VAERS établie par le CDC sont ouvertement manipulées, mais elles montrent quand même plus de 11 000 décès post-vaccins ARNm. Les grands médias n’en parlent jamais.

Les autorités et les politiciens prétendent qu’il n’y a aucune preuve que les décès ou les conséquences médicales soient liés aux vaccins. Mais ils ne peuvent pas prouver ce qu’ils prétendent parce qu’ils interdisent aux médecins de pratiquer toute autopsie. Si l’on nous dit de faire confiance à la science, pourquoi les autorités sanitaires ordonnent-elles aux médecins de ne pas faire d’autopsie sur les patients qui sont morts APRÈS avoir reçu deux doses de vaccins ARNm ? Malgré ces milliers de décès liés à ces vaccins, une seule autopsie a été pratiquée, en Allemagne, et les conclusions furent terribles. La protéine de pointe ARNm s’était répandue dans tout le corps. Depuis le mois de mai, le CDC a cessé de répertorier les cas non graves de COVID-19 chez les personnes vaccinées. Pour cacher le nombre alarmant de vaccinés qui tombent malades.

Quelque chose ne va pas du tout lorsque des experts médicaux expérimentés et respectés sont bannis pour avoir suggéré des hypothèses alternatives pour expliquer ce drame COVID. Lorsque d’autres scientifiques, qui adhérent à la ligne officielle mais critiquent Tony Fauci ou d’autres médecins traditionnels du COVID, sont accusés de « crime de haine ». Ou lorsque des remèdes bon marché et éprouvés sont interdits en faveur des coûteux vaccins ARNm mortels dans lesquels le NIAID de Fauci détient un intérêt financier.

Les défenseurs des vaccins tels que Fauci parlent déjà de la nécessité d’injections de rappel et mettent en garde contre l’apparition d’un nouveau « variant Lambda ». Comment vont-ils l’identifier celui-là ? Ou devons-nous le croire sur parole parce qu’il ou elle est considéré(e) par CNN ou la BBC comme une « autorité respectée » ? Jusqu’à quand les citoyens sains d’esprit vont-ils permettre à cette dissonance cognitive de détruire nos vies ?

= = =

Lire notre analyse du 9 juillet dernier : « Variant indien/delta : une promesse d’Armaguédon qui fait pschiiiit !? »

Notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

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¡Ya Basta! Il est temps d’appeler un chat un chat… et un poison, un poison (Résistance 71)

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Injections ARNm = Poison !

« Un homme vivant seul répond à une frappe à sa porte. Devant lui se tient Tyrannie, armée et toute puissante qui lui demande: ‘Te soumettras-tu ?’ L’homme ne répond pas et la laisse entrer. L’homme la sert durant des années, puis Tyrannie devient malade par empoisonnement de sa nourriture. Elle finit par mourir. L’homme ouvre alors sa porte, se débarrasse du corps encore chaud, retourne dans sa maison, ferme la porte derrière lui et dit: ‘Non ! »
— Fable de Bertold Brecht, citée par Howard Zinn —

« La seule véritable peur qui puisse affecter l’autorité officielle, n’est pas celle générée par les gens qui vont lui résister, mais celle par ceux qui vont l’ignorer. »
~ George Bernard Shaw ~ 

“Il faut sinon se moquer, en tout cas se méfier des bâtisseurs d’avenir. Surtout quand pour bâtir l’avenir des hommes à naître, ils ont besoin de faire mourir les hommes vivants. L’homme n’est la matière première que de sa propre vie. Je refuse d’obéir.”
~ Jean Giono ~

Le moment est venu d’appeler un chat un chat et… un poison, un poison

Résistance 71

29 août 2021

Alors, les marionnettes politiques et médiatiques de l’oligarchie eugéniste transhumaniste vont-elles oser appeler le Japon une nation de conspirationnistes antisémites pour avoir récemment écarté 1 630 000 doses de la merde OGM injectable de Moderna et déclaré officiellement moins de 24 heures plus tard que les “corps étrangers trouvés en suspension dans les doses injectables Moderna s’apparentent à du métal et réagissent en contact avec des aimants…” ?

Il semble que l’affaire, éventée au Japon le 26 août, confirme toutes les craintes et affirmations de bien des spécialistes de la santé et de la génétique non inféodés à Big Pharma depuis des mois et des mois et valide également les vidéos qui circulent sur la toile, de tous ces gens injectés qui étaient soudainement “magnétisés” et sur lesquels collaient des aimants de frigidaire lorsqu’ils étaient appliqués sur la zone injectée, voire pour certains sur de nombreuses parties de leurs corps.

Nous avons publié préalablement un grand nombre d’articles et de traductions sur la suspicion légitime que devrait présenter toute cette nouvelle technologie ARNm sortie des labos de la science foledingue, sous le couvert d’une “crise sanitaire” pour soi-disant le bien de l’humanité. Nous encourageons nos lecteurs à (re)lire ces articles dont les principaux sont indexés sur notre page “Coronavirus, guerre contre l’humanité” et à rechercher activement sur la toile les centaines de sources traitant du sujet. Début 2020, nous n’avions pas baptisé cette page de la sorte par pure coïncidence bien entendu…

Aujourd’hui, l’heure est venue de ne plus mâcher ses mots et de dire les choses sans équivoque, un peu comme suit :

  • Nous, les peuples du monde, n’avons en rien à faire avec une pandémie naturelle, elle a été fabriquée de toute pièce par l’oligarchie étatico-marchande. Le but ? Asservissement ultime et dépopulation mondiale
  • Le SRAS-CoV2 coronavirus qui donne la maladie COVID est une création chimérique de laboratoire dont le taux de mortalité est très bas, de l’ordre de 0,03% des gens infectés, ce qui veut dire que 99,97% des gens infectés guérissent de la maladie…
  • Ce virus, s’il est synthétique, n’est pas l’arme biologique mortelle de contrôle de la population attendu…
  • L’injection à ARNm des entreprises criminelles Pfizer, Moderna et Johnson & Jonhson EST L’ARME BIOLOGIQUE qui décime et décimera nos populations aujourd’hui et dans les années à venir
  • Un parallèle est en train d’être scientifiquement fait entre les injections chimériques à ARNm anti-COVID et ce qui est appelé “leaky vaccines” comme celui contre la maladie de Marek par exemple chez la volaille et les poulets en particulier… La procédure est maintenant appliqué à l’humain à l’échelle planétaire, lisez et renseignez-vous sur ce sujet précis…
  • Le “leaky vaccine” ou “vaccin à fuite” est un vaccin qui empêche les symptômes d’une maladie chez un sujet, mais n’empêche pas la réplication virale et la transmission du virus à des hôtes non immunisés. De plus, dans une manœuvre totalement contre-nature, le virus gagne en virulence au fur et à mesure des injections, alors que naturellement un virus par son évolution gagne en contagion mais perd en virulence. Les injections anti-COVID à ARNm expérimentales prennent le chemin de devenir des “leaky vaccines”, injections qui rendent des variants plus virulents et qui infectent à terme injectés et non-injectés, même si de manière différente…
  • A cet égard les soi-disantes piqures de “rappel” sont dévastatrices. Pfizer et toute la clique criminelle a déjà annoncé une 3ème injection pour bientôt et plus à venir, sans doute de l’ordre d’une injection tous les 6 mois. Plus on se fait piquer et pire cela devient… Demandez aux poulets, que nous avons génétiquement modifiés (entre autres) !
  • Ceci rend les injections ARNm armes biologiques de plus en plus virulentes et effectives sur le long terme.
  • Ceci ne tient pas compte des autres facteurs injectés comme l’hydrogel, les métaux lourds, l’oxyde de graphène, affectant la circulation sanguine et destinés à interagir dans un futur plus ou moins proche lors de l’activation des réseaux de fréquence 5G de contrôle technotronique de ce qui restera des populations décimés par les injections chimériques.

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Rendons-nous à l’évidence et cessons de nous masquer la face et de jouer sur les mots et les situations, La réalité est celle-ci:

Nous, les peuples du monde, SOMMES EMPOISONNES par un gang criminel qui a de longue date dérouté la science, la médecine et tout ce qui peut avoir un rapport de près ou de loin avec les affaires publiques. Nous en vivons aujourd’hui l’étape, la phase ultime de ce qu’ils veulent être la grande métamorphose vers leur Nouvel Ordre Mondial transhumaniste et de la dictature technotronique. Nous sommes sous attaque et le moins que nous puissions faire est de nous défendre avec toute le vigueur requise en la circonstance ! C’est devenu aujourd’hui une question de vie ou de mort !

Nous, l’humanité, sommes engagés dans une lutte à mort pour notre survie face à cette clique de la grande oligarchie et tous ses sbires au service d’un système oppresseur criminel par essence, mettant en place la grille de contrôle planétaire et l’euthanasie de la vaste majorité de la population humaine.

Appelons un chat un chat. Les injections à ARNm ne sont en rien des vaccins, mais une méthode chimérique, génétique de contrôler et d’empoisonner l’humanité pour le seul profit financier et politique d’une petite oligarchie pour l’heure encore toute puissante, tant que nous restons assis à gober les mouches qu’elle nous tend. Ces injections sont des POISONS… Allons-nous continuer à nous laisser empoisonner, nous, nos enfants et les générations futures qui ne sauront naître selon le diktat oligarchique ?

Les chiffres, mêmes bidouillés des réactions adverses aux injections ARNm, sont suffisamment édifiants et consternants, depuis décembre 2020, bien plus de 30 000 morts liés à ces injections, simplement en Europe (selon l’Agence Européenne des Données) ce chiffre à notre sens peut au moins être triplé ou quadruplé pour être plus près de la réalité profonde de terrain, le saurons-nous jamais un jour ?) et plus de 2 millions d’effets secondaires désastreux, qui dévastent des familles entières dans tous les pays.

La question n’est plus de savoir si les injections OGM nous tuent ou nous altèrent d’une manière ou d’une autre, elles le font de toute évidence, la question est de savoir quand assez est-il assez ? Et surtout de comprendre et d’agir en conséquence de la seule conclusion possible, à savoir qu’il n’y a pas de solution au sein du système et qu’il ne saurait y en avoir !

Nous devons stopper cette ignominie dès maintenant et ce sans plus mettre de gants face aux criminels aux manettes !

Entrons en rébellion, en désobéissance civile systématique ! Nous sommes en état de légitime défense permanent, nous sommes sous attaque biologique active depuis des mois! et si pour nous protéger des crimes de ces dégénérés psychopathes aux commandes nous devons nous armer et former des milices civiles d’auto-défense contre les institutions corrompues, si nous devons passer par un retour des sans-culottes de la France des sections : ainsi soit-il ! Ces institutions étatico-marchandes obsolètes sont en train de nous ASSASSINER ! Elles ont perdu de longue date toute légitimité politique et doivent disparaître. Les Japonais viennent de dénoncer et d’exposer au grand jour la supercherie et le crime de l’inoculation chimérique. Qu’allons-nous faire de cette information vitale ?…

Quand il est impossible de discuter à une table de négociation où tout compromis est impossible, on renverse la table, on sort et on agit pour l’intérêt général hors institutions criminelles. Comprenons une fois pour toute que le système est au-delà de toute rédemption possible, aucune réforme n’est possible ni applicable, car l’État est terroriste et oppresseur par nature, c’est sa fonction intrinsèque. On ne discute pas avec des terroristes et l’État marchand est le plus grand des terroristes, il l’est en son essence même car ce n’est de cette façon qu’il peut fonctionner et se perpétuer depuis des siècles en nous persuadant coercitivement au passage, que son existence est juste et inéluctable. Rien ni personne n’arrive à sa cheville en matière de terreur, de mensonge, de falsification et de crime en bande organisée. L’histoire en est témoin, par sa falsification même aux mains des scribes de l’État. L’espoir, la sortie du marasme est en nous et en aucun cas avec ces institutions marchandes vérolées au tout dernier degré. Ce dernier épisode en date de la plandémie COVID ne faisant qu’étaler plus avant au grand jour l’étendue de ces crimes.

Qu’on se le dise une bonne fois pour toute !
Devenons S(olidarité) U(nion) P(ersévérance) R(éflexion) A(ction) résistants !
A bas l’État ! A bas la marchandise ! A bas l’argent et à bas le salariat !
Vive la Commune universelle de notre humanité enfin réalisée !
L’heure est à l’Action Directe citoyenne contre toutes les tyrannies et impostures étatico-marchandes.

Dans l’esprit de cheval fou

Hoka Hey !

“L’État est une société d’assurance mutuelle entre le propriétaire terrien, le général militaire, le juge, le prêtre et plus tard, le capitaliste, afin de soutenir l’autorité de l’un l’autre sur le peuple et pour exploiter la pauvreté des masses tout en s’enrichissant eux-mêmes.
Telle fut l’origine de l’État, telle fut son histoire et telle est son essence actuelle.”
~ Pierre Kropotkine ~

“L’Etat, cet instrument de coercition aux mains de minorités privilégiées dans la société, dont la fonction est de mettre les larges masses sous le joug de l’exploitation économique et de la tutelle intellectuelle, est l’ennemi juré de tous les rapports directs des hommes entre eux ; il cherchera toujours à ce que ceux-ci ne s’établissent que par l’intermédiaire de ses médiateurs. Aussi l’histoire de l’Etat est celle de la servitude de l’homme…”
~ Rudolph Rocker, 1919 ~

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

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Cirque géopolitique et société du spectacle marchand : Kaboul à qui profite le crime ? (Guerre de classe)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, colonialisme, crise mondiale, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , on 28 août 2021 by Résistance 71

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Spectacle de l’Otan des Attentats de Kaboul : à qui profite le crime étatique mondialiste de la marchandise en crise finale ?


Collectif Guerre de Classe

Août 2021

Le Grand Chaos de l’in-distinction marchande généralisée en Asie est en train d’accomplir sa formalisation phénoménologique ultime, sa stratégie géo-politique fétichiste est toujours la même ; tenter désespérément d’échapper à l’irréversible dé-composition déterministe de l’empire américain du billet vert en putréfaction…

Le spectacle du “terrorisme international”, dont le langage spectaculaire ne cesse de parler afin d’en mieux cacher la nature et les sources, n’est que l’instrument d’indistinction du développement chaotique global par lequel l’ordre de la marchandise tente d’échapper à la crise économique et financière systémique de son fétichisme.

L’Internationale, Critique de la société de l’indistinction

Le chaos terroriste étatique de la marchandise est le seul langage possible de la crise terminale du Capital… Nous contemplons ainsi le tableau faussaire d’un chaos spectaculaire impeccablement organisé pour le Proche et le Moyen-Orient, puis pour la planète tout entière, dans des cadres de déguisement strictement conformes à la stratégie du gouvernement du spectacle mondial, qui tente désespérément d’échapper au marasme catastrophique d’un dollar en débâcle chronique… Al-Qaïda puis Daech sont là les accablantes métastases de la crise mondiale du taux de profit et sont provisionnés par les pétrodollars du Qatar et de l’Arabie Saoudite et armés par eux avec délégation directe de Washington, blanc-seing de Tel-Aviv et collaboration d’Ankara… Et la France, atlantisée jusqu’à la moelle, est, de la sorte, bombardée jusqu’au cœur de Paris pour marcher toujours davantage au pas des réseaux et services clandestins terroristes de l’OTAN, dont les faux drapeaux constituent, bien sûr, une industrie marchande spectaculaire de premier ordre fétichiste…

Le terrorisme d’État industriel n’est rien d’autre que l’errance accélérée de la religion monothéiste de la crise historique de la marchandise…

Au moment arrivé de la tyrannie spectaculaire de la crise du capitalisme drogué, le crime règne, en fait, comme le paradigme le plus parfait de toutes les entreprises commerciales et industrielles dont l’État est le centre, étant donné qu’il se confirme là, finalement, comme le sommet des bas-fonds et le grand argentier des trafics illégaux, des disparitions obscures et des protections cabalistiques. Plus que jamais, en ce moment très spécifiquement crisique où, en France, reprenant le témoin d’une droite complètement épuisée, la gauche du Capital, bien vite superbement exténuée, est en charge des affaires d’un marché en pleine décomposition, l’exutoire terroriste risque de devenir de plus en plus tentant pour détourner la colère qui monte ; il est temps d’en finir avec toutes les mystifications et tous les malheurs historiques de l’aliénation gouvernementaliste, afin de commencer à pressentir la possibilité de situations humaines authentiques.

Hors de l’économie politique de la non-vie, il convient exclusivement d’organiser le retour aux sources à une communauté d’existence enfin débarrassée de toute exploitation et de toute domination.

Commentaires sur l’extrême radicalité des temps derniers…

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Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

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Escroquerie COVID : L’Injection OGM pseudo-vaccinale comme phase 1 de la grille de contrôle technotronique (Brandon Smith)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 28 août 2021 by Résistance 71

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Article intéressant auquel nous adhérons en bien des points, mais BS devrait cesser d’appeler ces injections OGM des “vaccins”, car elles ne le sont en rien.
A chaque fois que vous lisez dans cet article ou d’autres le mot “vaccin” ou “vacciné”, remplacez-le mentalement et compréhensivement par les mots “injection OGM” et “injecté”, car ceci est la RÉALITÉ de toute cette affaire de supercherie et de manipulation destructrices planétaires suivant un plan oligarchique néo-malthusien de longue date.
~ Résistance 71 ~

Pourquoi les globalistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100%

Brandon Smith

Juillet 2021

url de l’article en français:
https://lesakerfrancophone.fr/pourquoi-les-globalistes-et-les-gouvernements-veulent-ils-a-tout-prix-un-taux-de-vaccination-de-100

Je ne pense pas être la seule personne à l’avoir remarqué – Il y a eu un déluge soudain de propagande sur la vaccination Covid et sur le passeport vaccinal au cours du mois dernier, plus que ce que nous avons vu, je pense, depuis le début de l’année. Je parle des États-Unis en particulier, mais il est important de souligner qu’aux États-Unis, l’establishment réclame toujours désespérément un taux de vaccination beaucoup plus élevé. Dans des pays comme l’Europe, le Royaume-Uni et l’Australie, les taux de vaccination sont plus élevés et les gouvernements sont passés à la phase de passeport vaccinal de leur programme.

Certaines personnes peuvent être déconcertées par le fait que la plupart des pays s’engagent dans la voie des mandats et des restrictions en matière de vaccins. Comment est-il possible que presque tous les gouvernements de la planète soient d’accord sur le totalitarisme médical ? Eh bien, c’est assez facile à comprendre quand on sait que la majorité d’entre eux sont liés entre eux par des institutions globalistes comme le Forum économique global, qui a qualifié à plusieurs reprises la pandémie d’« occasion parfaite«  pour faire passer ses projets de « Grand Reset ».

Le « Grand Reset » est une usurpation idéologique à long terme de ce qui reste de la liberté individuelle et des économies de marché, et son objectif est l’imposition d’une dictature socialiste/communiste globale. Les globalistes enveloppent ces objectifs dans de jolis mots et des aspirations humanitaires, mais au fond, le « Reset » vise à mettre fin à la liberté telle que nous la connaissons. Ce n’est pas une exagération, c’est la réalité ; c’est ce que ces gens désirent par-dessus tout. Mais comment atteindre un tel objectif ?

Eh bien, de manière intéressante, le WEF et la Fondation Bill Et Melinda Gates ont décrit exactement comment ils prévoyaient de le faire au cours d’une « simulation » qu’ils ont organisée en octobre 2019, appelée « Event 201« . Au cours de cet événement, ils ont imaginé une pandémie massive de coronavirus, qui se propagerait soi-disant des animaux aux humains, ce qui faciliterait la nécessité de restrictions omniprésentes sur les libertés individuelles, les économies nationales ainsi que l’internet et les médias sociaux. Je suis sûr que tout cela n’est qu’une coïncidence, mais le même scénario que les globalistes du WEF ont joué pendant l’« Event 201 » s’est produit dans le monde réel seulement deux mois plus tard.

En tout cas, la pandémie elle-même a été une aubaine pour les globalistes. Nous n’avons pas vu une telle prise de pouvoir des gouvernements et des entreprises depuis la montée des national-socialistes en Europe et la propagation du communisme en Russie et en Chine il y a presque un siècle. En fait, je dirais que ce à quoi l’humanité dans son ensemble est confrontée aujourd’hui est bien pire que ce que ces misérables empires ont pu produire.

Il n’y a aucun doute : les institutions globalistes et leurs « partenaires » gouvernementaux sont les plus grands bénéficiaires de la crise Covid. Ils s’apprêtent à acquérir le pouvoir social et politique ultime si leur programme d’exploitation de la pandémie réussit.

Cela dit, il y a quelques obstacles dans leur plan, et c’est pourquoi je crois que nous assistons à une poussée de propagande agressive ces dernières semaines. Par exemple, comme je l’ai souligné avec de nombreuses preuves dans mon article « Le plan de Biden pour une force d’intervention en matière de vaccins pue le désespoir« , il apparaît que le taux de vaccination, en particulier aux États-Unis, est loin d’être aussi élevé que les élites le souhaiteraient.

Alors que l’administration Biden et le CDC revendiquent un taux de vaccination global de 67 %, de nombreuses autres statistiques, dont les chiffres de la carte des États de la clinique Mayo, indiquent que seuls quatre États américains ont un taux de vaccination supérieur à 65 % (pour une dose ou plus), et que la majorité des États ont des taux de 50 % ou moins. Même les États bleus à forte population, comme la Californie et New York, ne dépassent pas la barre des 65 %, et franchement, ces chiffres ne vont nulle part car les vaccinations sont en chute libre.

Si quelqu’un ne s’est pas présenté à ce jour avec des temps d’attente nuls et des doses abondantes partout, alors il est peu probable qu’il soit un jour vacciné.

Des statistiques contradictoires me laissent penser que Biden et le CDC gonflent leurs chiffres de vaccination pour créer l’illusion qu’une plus grande majorité d’Américains soutient le vaccin. Et si c’est le cas, cela explique pourquoi Biden, Fauci et les médias grand public gavent le public d’un battage publicitaire pro-vaccins qui contredit systématiquement les données scientifiques réelles. Ils n’obtiennent pas la peur et la conformité du public qu’ils espéraient.

Mais pourquoi veulent-ils une vaccination à 100 % ? Pourquoi veulent-ils à tout prix que chaque personne dans le monde reçoive le vaccin à ARNm ?

Après tout, le taux de mortalité moyen (IFR) de la Covid est de seulement 0,26 % des personnes infectées (c’est une statistique que les médias refusent systématiquement et délibérément de mentionner au public). Cela signifie que la Covid ne représente AUCUN risque pour 99,7% du public, qu’il soit vacciné ou non.

Les vaccins garantissent-ils de meilleures chances ? Eh bien, selon des statistiques récentes du Massachusetts, pas nécessairement, puisqu’elles font état de plus de 5100 infections et de 80 décès de patients entièrement vaccinés. Les médias ne cessent de nous dire que seuls les non-vaccinés meurent, mais c’est un mensonge, comme tant d’autres mensonges qu’ils colportent à propos de la Covid-19. Alors, quel est l’intérêt de prendre un vaccin expérimental si le taux de mortalité du virus est si faible et si le vaccin ne vous protège pas nécessairement ?

Il n’y a aucun intérêt. La science et les statistiques ne le soutiennent pas. Les vaccins ne peuvent même pas être crédités de la baisse des infections et des décès cette année ; les chiffres ont chuté en janvier – seuls 5% de la population étaient vaccinés en février. La seule explication à cela est que la population a atteint l’immunité collective il y a plusieurs mois. Rappelez-vous quand les gouvernements disaient qu’ils avaient besoin d’une immunité de troupeau ou d’une vaccination de 70% pour mettre fin aux blocages et aux mandats ? Les poteaux de but ont été déplacés plusieurs fois et la « science » du gouvernement change tous les mois. Aujourd’hui, ils prétendent que l’immunité collective n’a pas d’importance et exigent une vaccination à 100 %.

Nous devons à nouveau poser la question : pourquoi le gouvernement pousse-t-il sans relâche à une saturation totale en vaccins ? Cela ne sauve pas de vies, et les mandats restent inchangés, alors pourquoi ?

Je ne peux qu’émettre des théories basées sur les preuves disponibles, mais je pense qu’il est clair pour la plupart d’entre nous que les vaccins n’ont PAS pour but la santé publique ni de sauver des vies. Ils ont manifestement un autre objectif…

Comme de nombreux experts en virologie et en vaccins l’ont signalé au cours de l’année écoulée, la technologie expérimentale de l’ARNm présente un risque élevé d’effets secondaires nocifs pour la santé. Même l’un des créateurs des vaccins à ARNm a laissé entendre qu’il était dangereux de déployer ces cocktails de manipulation génétique sans effectuer davantage de tests. Il convient de noter les préoccupations concernant les troubles à long terme tels que les troubles auto-immunes et l’infertilité.

Les médias grand public et les globalistes soutiendront qu’il n’y a « aucune preuve » que les vaccins à ARNm provoqueront des effets secondaires mortels ou l’infertilité. Je répondrai qu’il n’y a AUCUNE PREUVE que ces vaccins sont sûrs. La plupart des vaccins sont testés sur une période de 10 à 15 ans avant d’être mis à la disposition du public. Les vaccins Covid ont été lâchés sur le public en quelques mois. Honnêtement, je n’ai pas l’intention de servir de cobaye pour un vaccin non testé.

Mais que faire si les élites savent exactement quels seront les effets secondaires ? Et si les vaccins étaient un élément central de leur « Grand Reset » ?

La question de l’infertilité, en particulier, suscite le plus de critiques de la part de l’establishment, et je voudrais souligner un récit particulièrement insidieux implanté dans les médias. Chaque fois que les gens remettent en question le risque de stérilité causé par les vaccins, les bureaucrates et les têtes parlantes des médias passent à l’attaque, puis disent : « Il n’y a aucune preuve que les vaccins causent la stérilité, mais la Covid-19 pourrait la causer… ». Il suffit de regarder ce récent discours du gouverneur de l’Arkansas où lui et son larbin médical ont presque été chassés du podium par un public en colère pour avoir colporté la même propagande :

Et voilà. Le décor est planté, à mon avis, pour un événement d’infertilité de masse, et la Covid-19 sera accusé à la place des vaccins expérimentaux. C’est pourquoi l’establishment a besoin d’un taux de vaccination de 100% ; les personnes non vaccinées seraient la preuve de leur crime. Laissez-moi vous expliquer…

Ce qui me préoccupe, c’est que le programme de Reset de Klaus Schwab est impossible à appliquer de manière permanente, à moins que la population humaine ne soit fortement réduite sur une courte période (une génération ou deux). Les globalistes parlent constamment de contrôle et de réduction de la population. Des élites comme Bill Gates sont célèbres pour cela. Faut-il s’étonner qu’ils conçoivent un plan pour l’instaurer ?

Et si, comme de nombreux experts l’ont suggéré, les effets secondaires des vaccins créaient cette condition de diminution de la population ? Et si c’était le cas ? Nous ne le saurons pas avec certitude avant quelques années au moins, car les troubles auto-immunes et l’infertilité mettent du temps à se manifester dans une population. Le délai moyen pour diagnostiquer un trouble auto-immune est de 4,5 ans. Le diagnostic de l’infertilité peut prendre de six mois à un an.

Si des millions de personnes ne sont toujours pas vaccinées au cours des deux prochaines années, elles constitueront un groupe de contrôle important et indéniable. Un groupe témoin est un groupe de sujets qui agit comme un échantillon pur, non touché par une expérience sur un médicament ou un vaccin. Si le groupe vacciné tombe malade ou meurt de maladies spécifiques et que le groupe témoin ne présente pas ces mêmes maladies, c’est un bon signe que votre vaccin ou votre médicament est un poison.

La moitié des Américains et des pourcentages plus faibles dans d’autres pays constituent un groupe de contrôle pour les vaccins expérimentaux. Si quelque chose ne va pas avec les vaccins, nous en serons la preuve. Je soupçonne que c’est ce dont les élites ont vraiment peur.

Ils doivent nous forcer à être vaccinés également – nous tous, de sorte qu’il n’y ait pas de groupe de contrôle et donc pas de preuve de ce qu’ils ont fait. Ils pourraient simplement imputer les troubles de santé généralisés à la Covid elle-même, ou à un autre faux coupable.

Si les vaccins sont un cheval de Troie qui provoque une maladie ou une stérilité généralisée, et que les globalistes se font prendre parce qu’il existe un groupe de contrôle, alors cela signifiera pour eux une rébellion pure et simple ainsi que des cordes et des lampadaires. Leur « Grand Reset » s’effondrera.

Bien sûr, cela pourrait se produire de toute façon. Les passeports vaccinaux sont la ligne dans le sable pour la plupart des gens. Nous assistons même à d’importantes manifestations et émeutes dans des pays comme l’Italie, la France, le Royaume-Uni et l’Australie à cause de ce régime de passeport draconien. Mais c’est aux États-Unis que le plus gros combat aura lieu, à mon avis. Nous avons une population armée, des millions et des millions de vétérans et de civils entraînés au combat, une armée composée d’environ 70 % de conservateurs et d’indépendants et une compréhension historique de la guerre asymétrique. Comme nous l’avons vu dans des endroits comme l’Afghanistan, les tanks, les avions à réaction, les missiles et les drones ne garantissent pas la victoire contre une force de guérilla.

Les passeports vaccinaux n’arriveront pas ici. Nous ne le permettrons tout simplement pas.

Les globalistes ont mis en place une fin de partie – Cela pourrait être une fin de partie pour nous, mais cela pourrait aussi être une fin de partie pour eux. Ils ont un calendrier strict. Ils doivent obtenir des taux de vaccination proches de 100% dans les deux prochaines années ou plus tôt. Ils doivent mettre en place leurs passeports vaccinaux dans les deux prochaines années ou plus tôt. Et ils doivent instaurer des conditions de confinement permanent à court terme pour étouffer la dissidence croissante. Nous sommes maintenant dans une sorte de course dans laquelle les globalistes doivent mettre en œuvre leur programme le plus rapidement possible, tandis que nous devons résister et les retenir jusqu’à ce que la vérité devienne évidente pour les masses ; la vérité que les confinements, les mandats et les vaccins n’ont jamais eu pour but la sécurité, mais le contrôle – du contrôle social au contrôle de la population.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone

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Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

lafranceretroussesesmanches

Cirque géopolitique impérialiste : 7 mensonges à propos de l’Afghanistan (Thierry Meyssan)

Posted in 11 septembre, 3eme guerre mondiale, actualité, colonialisme, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, résistance politique, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , on 27 août 2021 by Résistance 71

 

 

ZB-OBL-Pakistan
B.B Brzezinski-Ben Laden, couple de l’année 1980

 

Et comme par hasard, 5 jours avant la fin de l’ultimatum du retrait, un attentat à la bombe à l’aéroport de Kaboul revendiqué par nul autre que Daesh, la légion mercenaire de l’empire, ce après que la Turquie du voyou frère musulman Erdogan, membre de l’OTAN, vous savez cette Organisation Terroriste de l’Atlantique Nord, ait transféré des “djihadistes” de Syrie en Afghanistan.
Ils continuent à prendre les gens pour des cons… on ne change pas une recette qui marche (de moins en moins quand même fort heureusement…)
~ Résistance 71 ~

 

7 mensonges à propos de l’Afghanistan

 

Thierry Meyssan

 

18 août 2021

 

Source: https://www.voltairenet.org/article213760.html

 

En couvrant la chute de Kaboul, les médias occidentaux répètent sans réfléchir sept mensonges de la propagande occidentale. En se trompant sur l’histoire de l’Afghanistan, ils masquent les crimes commis dans ce pays et rendent impossible de prévoir le destin que Washington lui a écrit. Et si les Talibans n’étaient pas les plus méchants…

Les présidents français, Emmanuel Macron, et états-unien, Joe Biden, se sont adressés solennellement à leurs nations à propos de la prise de Kaboul par les Talibans, le 15 août 2021.

1— LA GUERRE D’AFGHANISTAN N’EST PAS UNE RÉPONSE AU 11-SEPTEMBRE, ELLE AVAIT ÉTÉ PLANIFIÉE AVANT LES ATTENTATS

Selon ces deux responsables politiques, l’invasion de l’Afghanistan par les États-Unis en 2001 aurait eu pour seul objet de « poursuivre ceux qui nous ont attaqués le 11 septembre 2001 et faire en sorte qu’Al-Qaïda ne puisse pas se servir de l’Afghanistan comme base pour perpétrer de nouvelles attaques » [1].

Joseph Goebbels, le ministre de la Propagande du IIIème Reich, aurait dit qu’« Un mensonge répété dix fois reste un mensonge ; répété dix mille fois, il devient la vérité ». Mais les faits sont têtus et n’en déplaise à MM. Macron et Biden, la guerre de 2001 a été décidée à la mi-juillet 2001, lors de l’échec des négociations de Berlin entre d’un côté les États-Unis, le Royaume-Uni et de l’autre non pas le gouvernement afghan, mais les Talibans. Le Pakistan et la Russie assistaient en observateurs à ces discussions secrètes. La délégation talibane est entrée en Allemagne en violation de l’interdiction de voyager édictée à son égard par le Conseil de sécurité des Nations unies. Après l’échec de ces négociations, le ministre pakistanais des Affaires étrangères, Naiz Naik, revenant dans son pays, a sonné l’alarme. Le Pakistan s’est alors cherché de nouveaux alliés. Il a proposé à la Chine de lui ouvrir une porte sur l’océan Indien (ce que nous voyons aujourd’hui avec la « route de la Soie »). Les États-Unis et le Royaume-Uni ont commencé à amasser leurs troupes sur zone : 40 000 hommes en Égypte et presque toute la flotte britannique en mer d’Oman. Ce n’est qu’après la mise en place de ce dispositif qu’eurent lieu les attentats du 11-Septembre.

2— AL-QAIDA N’EST PAS UNE MENACE POUR LES ANGLO-SAXONS, MAIS UN INSTRUMENT

Selon le président Biden : « Notre mission de réduire la menace terroriste d’Al-Qaïda en Afghanistan et de tuer Oussama ben Laden a été un succès ».

Or, c’est le directeur des services secrets extérieurs de la France, Alexandre de Marenches, qui a proposé à son homologue US dans le cadre du Cercle Pinay [2] de provoquer une intervention soviétique en Afghanistan afin de les y piéger [3]. Le conseiller de Sécurité nationale du président Carter, Zbigniew Brzeziński, alla chercher à Beyrouth le milliardaire anticommuniste Oussama Ben Laden et lui demanda de prendre la tête de mercenaires arabes pour livrer une campagne terroriste contre le gouvernement communiste afghan [4]. Ben Laden était à Beyrouth pour rencontrer l’ancien président libanais Camille Chamoun, membre de la Ligue anticommuniste mondiale [5]. Washington avait choisi Ben Laden pour deux raisons : Premièrement, c’était un membre d’une société secrète, la Confrérie des Frères musulmans, ce qui lui permettait de recruter des combattants ; deuxièmement, il était l’un des héritiers de la plus grande société de BTP du monde arabe. À ce titre, il disposait des hommes et du savoir-faire nécessaire pour transformer les rivières souterraines de l’Hindou Koush en voies de communication militaires.

Par la suite, ce même Oussama Ben Laden servit de conseiller militaire au président bosniaque, Alija Izetbegović, en 1992-94. Ses combattants le suivirent là-bas. Ils abandonnèrent le nom de « Moudjahidines » pour celui de « Légion arabe ». Son campement fut visité par des commandos russes, qui y furent fait prisonniers. Cependant avant d’être arrêtés, ils avaient eu le temps de fouiller sa salle de commandement et de constater que tous les documents militaires étaient rédigés en anglais et non pas en arabe [6].

Plus tard encore, Oussama Ben Laden a utilisé ses combattants pour des opérations ponctuelles. Il les sollicitait en les choisissant selon ses besoins dans son « fichier », en arabe « Al-Qaïda » (القاعدة‎).

Il est donc indiscutable qu’Oussama Ben Laden a été durant de longues années un agent des États-Unis. Cependant ceux-ci affirment qu’il se seraient retourné contre eux ce que rien, absolument rien, n’atteste. Quoi qu’il en soit, Oussama ben Laden était gravement malade. Il avait besoin de soins quotidiens dans une chambre stérile. Il fut donc pris en charge à l’hôpital américain de Dubaï en juillet 2001, ainsi que l’a révélé Le Figaro [7]. Cette information a été démentie par le dit hôpital, mais m’a été confirmée par cheikh Khalifa ben Zayed Al Nahyane (l’actuel président des Émirats arabes unis) qui m’assura l’y avoir visité en présence du chef de poste local de la CIA. Enfin Oussama ben Laden fut traité à l’hôpital militaire de Rawalpindi (Pakistan) [8] où il mourut en décembre 2001. Ses obsèques eurent lieu en Afghanistan, en présence de deux représentants du MI6 britannique qui rédigèrent un rapport à ce sujet.

S’opposant aussi et de manière indiscutable à la théorie du retournement d’Oussama ben Laden contre ses employeurs de la CIA, le fait que jusqu’en 1999 —c’est-à-dire après les attentats qui lui furent attribués contre les Tours Khobar en Arabie saoudite et contre les ambassades US de Nairobi (Kenya) et de Dar-es-Salam (Tanzanie)— il disposait d’un bureau de relations publiques à Londres. C’est depuis ce bureau qu’il a lancé son Appel au Jihad contre les juifs et les croisés.

Le fait que durant dix ans, on ait entendu et vu des enregistrements de personnes se déclarant être Oussama Ben Laden ne trompe que ceux qui veulent y croire : les experts suisses de l’Institut Dalle Molle d’intelligence artificielle perceptive, qu’à l’époque les grandes banques utilisaient dans des affaires délicates, étaient formels. Ces enregistrements sont des faux (y compris celui diffusé par le Pentagone où il revendique les attentats du 11-Septembre) et ne correspondent pas au vrai Ben Laden. Si la reconnaissance faciale et vocale était alors une spécialité, c’est aujourd’hui une technique courante. Vous pouvez vous-même vérifier avec des logiciels que l’on trouve un peu partout qu’il n’y a pas un Ben Laden, mais plusieurs personnes qui ont joué ce rôle.

Après la mort de Ben Laden, Ayman al-Zawahiri devint l’émir d’Al-Qaïda. Il exerce toujours cette fonction. Ce dernier —qui avait supervisé l’assassinat du président égyptien Anouar el-Sadate— vécut plusieurs années après 2001 à l’ambassade US de Bakou (Azerbaïdjan) [9]. Il était, au moins dans cette période, protégé par les Marines US. On ignore où il réside actuellement, mais rien ne permet de penser qu’il ne soit plus sous protection états-unienne.

3— LES ÉTATS-UNIS NE SE CONCENTRENT PAS SUR LA « LUTTE ANTITERRORISTE », MAIS FINANCENT ET ARMENT LE TERRORISME

Le président Biden a longuement expliqué, lors de son allocution sur la chute de Kaboul, que les États-Unis n’étaient pas là pour construire des États, mais uniquement pour lutter contre le terrorisme.

On répète cette expression de « lutte contre le terrorisme » depuis vingt ans, mais cela ne la rend pas plus signifiante. Le terrorisme n’est pas un adversaire en chair et en os. C’est une méthode de combat. Toutes les armées du monde peuvent y recourir dans certaines circonstances. Durant la Guerre froide, les deux blocs l’ont largement utilisé l’un contre l’autre.

Depuis que le président George W. Bush (le fils) a déclaré la « guerre au terrorisme » (c’est-à-dire la « guerre à la guerre »), le recours à cette technique militaire n’a cessé d’augmenter. Les Occidentaux pensent d’abord aux attentats dans quelques grandes villes, mais le pire a été atteint avec la création de petits États terroristes au Moyen-Orient élargi jusqu’au sinistre « État islamique du Levant » (Daesh) et aujourd’hui l’Émirat islamique d’Afghanistan.

Les Afghans, les Iraquiens, les Libyens et les Syriens ont d’abord cru à la narration états-unienne des événements, mais ils ne se font plus d’illusion. Après 20 ans de guerre, ils ont compris que les États-Unis ne leur veulent aucun bien. Washington ne combat pas le terrorisme, mais crée, finance et arme des groupes qui pratiquent le terrorisme.

4— LES TALIBANS N’ONT PAS LIVRÉ DE GUERRE, ILS ONT PRIS CE QUE LES ÉTATS-UNIS LEUR ONT DONNÉ

Les présidents Macron et Biden jouent l’étonnement face à la « prise de Kaboul » par les Talibans. Selon eux, « Les dirigeants politiques afghans ont abandonné et ont fui le pays. L’armée afghane s’est effondrée, parfois sans chercher à se battre ». Mais comment ont-ils fui, sinon avec des avions militaires occidentaux ? Et l’armée afghane n’a pas « cherché parfois à se battre », c’est l’inverse : elle n’a cherché que « parfois » à se battre. Il faut savoir que les frontières afghanes étaient parmi les plus sûres au monde. Des soldats US y enregistraient l’identité de chacun avec des moyens électroniques, notamment une reconnaissance de l’iris.

L’armée afghane était composée de 300 000 hommes —c’est-à-dire plus que les armées françaises— très bien entraînés par les États-Unis, la France et d’autres. Elle était suréquipée avec du matériel sophistiqué. Toute son infanterie disposait de gilets pare-balles et de systèmes de vision nocturne. Elle avait une aviation très compétente. Au contraire, les Talibans n’ont pas plus de 100 000 hommes, c’est-à-dire trois fois moins. Ce sont des gueux en sandales et armés de Kalachnikovs. Ils n’avaient pas d’aviation —Ils en ont soudainement une aujourd’hui avec des pilotes entraînés sortis d’on ne sait où—. S’il y avait eu des combats, ils auraient été vaincus à coup sûr.

Le changement de régime avait été décidé sous la présidence de Donald Trump. Il devait intervenir le 1er mai. Mais le président Joe Biden a modifié ce calendrier pour changer l’Histoire. Il a utilisé ce délai pour installer des bases militaires dans les pays riverains et y acheminer au moins 10 000 mercenaires. Il a mobilisé l’armée turque qui est déjà présente dans le pays, mais dont personne ne parle. Celle-ci a déjà recruté au moins 2 000 jihadistes vivant à Idleb (Syrie) et continue à en engager.

Il importe de se souvenir que durant la guerre contre les Soviétiques, le président turc, Recep Tayyip Erdoğan, était déjà membre de la Confrérie des Frères musulmans et le chef d’une milice, la Millî Görüş (celle qui ouvre aujourd’hui des mosquées en Allemagne et en France). C’est à ce double titre qu’il était venu s’agenouiller devant Gulbuddin Hekmatyar, le leader afghan des Frères musulmans et futur Premier ministre. Par la suite, ce dernier a fait allégeance à Al-Qaïda ce qui ne l’a pas empêché de se présenter à l’élection présidentielle afghane de 2019 sous protection états-unienne.

Les alliés ont commencé il y a plusieurs mois à rapatrier leurs ressortissants. Ils pensaient en avoir le temps avant le 11 septembre, voire au pire avant le 30 août minuit. Mais Washington en a décidé autrement en choisissant le 15 août, date de la fête nationale indienne. Un avertissement lancé à New Dehli qui n’apprécie pas que les Pachtous du président Ghani soient remplacés par ceux de l’émir Akhundzada alors qu’ils soutiennent d’autres ethnies.

Les scènes de panique que nous avons vues aux aéroports de Kaboul nous ont rappelé celles de Saïgon lors de la défaite US au Vietnam. C’est effectivement tout à fait identique. Les Afghans qui s’accrochent aux aéronefs ne sont pas pour la plupart des traducteurs des ambassades occidentales, mais des agents de l’« Opération Oméga » mise en place sous la présidence Obama [10]. Ce sont des membres de la Khost Protection Force (KPF) et de la Direction nationale de la Sécurité (NDS), des supplétifs de la contre-insurrection, comme les Vietnamiens de l’« Opération Phoenix ». Ils étaient chargés de torturer et d’assassiner des Afghans opposés à l’occupation étrangère. Ils ont commis tant de crimes que face à eux les Talibans sont des enfants de chœur [11].

Bientôt c’est un tout autre paysage que nous verrons en Afghanistan.

5— LES ÉTATS-UNIS N’ONT PAS PERDU L’AFGHANISTAN AU PROFIT DE LA CHINE, MAIS CONTRAINT LES SOCIÉTÉS CHINOISES À ACCEPTER LEUR PROTECTION

Les États-Unis n’ont rien perdus en Afghanistan parce qu’ils ne veulent pas y installer la paix. Ils n’ont rien à faire du million de morts qu’ils y ont occasionnés en 20 ans. Ils veulent juste que cette région soit instable, qu’aucun gouvernement ne puisse y contrôler l’exploitation des richesses naturelles. Ils entendent que les sociétés, de quels pays développés qu’elles viennent, ne puissent les exploiter qu’en acceptant leur protection.

C’est le schéma popularisé par Hollywood du monde globalisé, protégé par une enceinte, dont des forces spéciales vont surveiller à l’étranger des sites d’exploitation dans des régions sauvages.

Cette stratégie a été élaborée par Donald Rumsfeld, le secrétaire à la Défense de George W. Bush, et par l’amiral Arthur Cebrowski, qui avait déjà informatisé les armées US. Elle est devenue, le 11 septembre 2001, la manière de penser de l’état-major US. Elle a été vulgarisée par l’adjoint de Cebrowski, Thomas Barnett, avec son livre The Pentagon’s New Map [12].

C’est ce changement de paradigme que le président Bush a qualifié de « Guerre sans fin ». Par ces mots, il voulait dire que les États-Unis lutteraient éternellement contre le terrorisme, ou plutôt qu’ils instrumenteraient éternellement des groupes terroristes pour empêcher toute organisation politique de ces régions.

Oui, des sociétés chinoises exploitent déjà des mines en Afghanistan, mais désormais, elles devront payer un tribut aux États-Unis ou feront l’objet d’attentats terroristes. C’est du racket, et alors ?

6— LES OCCIDENTAUX NE DÉFENDENT PAS LES LUMIÈRES FACE À L’OBSCURANTISME, MAIS LES INSTRUMENTENT SANS COMPLEXE

La première dame des États-Unis, Laura Bush, nous a tous fait pleurer en nous racontant l’histoire de petites filles massacrées par les Talibans parce qu’elles avaient osé se mettre du rouge à ongle. Mais la vérité est tout autre.

Lorsque le président Carter, Zbigniew Brzeziński et Alexandre de Marenches ont soutenu les islamistes afghans, en 1978, ils combattaient les communistes qui ouvraient des écoles pour les filles. Parce que pour eux la lutte contre les alliés de l’URSS passait avant les droits de l’Homme. De même aujourd’hui, le président Biden et son secrétaire d’État Antony Blinken soutiennent les Talibans parce que, pour eux, le contrôle de l’accès aux richesses naturelles du Moyen-Orient élargi passe avant les Droits de l’homme. Et ils font la même chose en Iraq, en Libye et en Syrie.

Les États-Unis n’ont pas seulement soutenu les islamistes dans les pays en guerre. Ainsi, ils ont mis en pouvoir au Pakistan le général Muhammad Zia-ul-Haq, un membre de la Confrérie des Frères musulmans, pour que son pays serve de base arrière aux combattants anti-Soviétiques. Il renversa la démocratie, pendit le président Zulfikar Ali Bhutto et rétablit la charia. La fille du président Bhutto, Benazir Bhutto, qui fut Premier ministre pakistanais dans les années 90, fut assassinée à son tour par les Talibans.

Inutile de revenir sur les crimes de la contre-insurrection occidentale, la panique de leurs Collaborateurs aux aéroports de Kaboul suffit.

Si l’islamisme et la laïcité ont été utilisés pour manipuler les Afghans et pour enfumer les Occidentaux, la vie politique en Afghanistan ne repose pas sur ces concepts, mais d’abord sur les divisions ethniques. Il y en a une quinzaine, dont la plus nombreuse, les Pachtouns, sont également fortement implantés au Pakistan. Ce pays reste tribal et n’est pas encore une Nation. D’autres ethnies sont soutenues par d’autres pays de la région parce qu’elles sont aussi présentes chez eux.

7— LA FRANCE N’A PAS TOUJOURS SOUTENU LES CRIMES DES ÉTATS-UNIS EN AFGHANISTAN, MAIS UNIQUEMENT DEPUIS LE PRÉSIDENT SARKOZY

Selon le président Emmanuel Macron : « Le Président Jacques Chirac, dès octobre 2001 a décidé la participation de la France à l’action internationale, par solidarité avec nos amis et alliés américains qui venaient de subir une attaque effroyable sur leur sol. Avec un objectif clair : combattre une menace terroriste qui visait directement notre territoire et celui de nos alliés depuis l’Afghanistan, devenu le sanctuaire du terrorisme islamiste » [13].

C’est une manière distrayante de gommer un conflit caractéristique de la France. En octobre 2001, le président Chirac s’est violemment opposé à ce que l’armée française participe à l’occupation anglo-saxonne de l’Afghanistan. Il n’a autorisé de déploiement que dans le cadre de la résolution 1386 du Conseil de sécurité des Nations unies. Les soldats français étaient certes placés sous les ordres de l’Otan, mais dans le cadre de la Force internationale d’assistance et de sécurité (FIAS). Ils ne participaient qu’à l’assistance à la reconstruction. Ils ne faisaient pas de prisonniers, mais arrêtaient éventuellement des combattants qu’ils remettaient immédiatement au gouvernement afghan. C’est le président Nicolas Sarkozy qui changea ce statut et rendit la France complice des crimes des États-Unis. C’est à cause de ce changement que la France exfiltre actuellement des membres de la « Khost Protection Force (KPF) et de la Direction nationale de la Sécurité (NDS). Et elle en paiera probablement le prix.

[1] « Allocution de Joe Biden sur l’Afghanistan », par Joseph R. Biden Jr., Réseau Voltaire, 16 août 2021.

[2] « Les gentlemen du Cercle Pinay », Réseau Voltaire, 11 mars 2004.

[3] Dans le secret des princes, Christine Ockrent & Alexandre de Marenches, Stock (1986).

[4] « Oui, la CIA est entrée en Afghanistan avant les Russes … », par Zbigniew Brzeziński, Le Nouvel Observateur (France), Réseau Voltaire, 15 janvier 1998.

[5] « La Ligue anti-communiste mondiale, une internationale du crime », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 12 mai 2004.

[6] Conversation de l’auteur, en 2003, avec un officier du KGB ayant participé à cette opération.

[7] La CIA a rencontré Ben Laden à Dubaï en juillet », par Alexandra Richard, Le Figaro, 31 octobre 2001.

[8] « Hospital Worker : I Saw Osama », CBS Evening News, 28 janvier 2002.

[9] Classified Woman : The Sibel Edmonds Story : A Memoir, Sibel Edmonds (2012).

[10] Obama’s Wars, Bob Woodward, Simon & Schuster (2010.

[11] « Armed Governance : the Case of the CIA-Supported Afghan Militias », Antonio De Lauri & Astri Suhrke, in Afghanistan : Militias Governance and their Disputed Leadership. Taliban, ISIS, US Proxy Militais, Extrajudicial Killings, War Crimes and Enforced Disappearances, Musa Khan Jalalzai, Vij Books India Pvt Ltd (2020).

[12] « La doctrine Rumsfeld/Cebrowski », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 25 mai 2021.

[13] « Allocution d’Emmanuel Macron sur l’Afghanistan », par Emmanuel Macron, Réseau Voltaire, 16 août 2021.

 

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Arnaque COVID et dictature sanitaire : un sénateur australien pose les questions qui tuent et fait émerger les liens entre Alphabet-Google-Youtube et Vaccitech / AstraZeneca dans ce qu’il convient d’appeler un crime contre l’humanité en bande organisée…

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, Internet et liberté, média et propagande, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , on 26 août 2021 by Résistance 71

AlphGogole

Bonjour le conflit d’intérêt : Alphabet possède YouTube, Google et 12% d’AstraZeneca

Rafe Champion

25 août 2021

url de l’article original:
https://joannenova.com.au/2021/08/hello-conflict-alphabet-owns-youtube-google-and-12-of-company-that-makes-astrazenica-vax/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Note du traducteur : quelques nouvelles d’Australie où la population et certains politiciens et hauts fonctionnaires sont entrés en conflit avec gouvernement et FO dans un ras-le-bol général des conditions sanitaires pathétiques et dictatoriales mise en place depuis plus d’un an. Une analyse courte, directe et percutante…
Google et YouTube sont dans une certaine mesure la police de nos conversations nationales. Ils sont quelque part autorisés d’investir de manière privée et dans le même temps de faire jeter en prison des gens en accord avec des règles qu’ils ont eux-mêmes créées. Qu’est-ce qui ne va pas marcher on se le demande bien ?

Le sénateur Malcolm Roberts a posé quelques très bonnes questions :

Considérez ceux qui possèdent les fabricants de vaccins. Alphabet est le propriétaire de Google et de Youtube et possède 12% des parts de l’entreprise Vaccitech, qui a créé le vaccin AstraZeneca. Youtube censure des vidéos mentionnant l’ivermectine comme traitement du COVID. Tout ceci ne constitue t’il pas un conflit d’intérêt ? Si l’ivermectine était approuvé comme médicament pour soigner le COVID, que se passerait-il pour les centaines de milliards de dollars de profits de Big Pharma ? Ces profits sont un transfert de la richesse des contribuables vers Big Pharma.

Un nouveau modèle de business ? Et si un médicament en vogue créait un marché pour d’autres médicaments :

Considérez les bénéfices du fabricant de vaccins Pfizer. Pour le second quart de 2021, cela représentait 19 milliards de dollars, une augmentation de 89%. En trois mois, Pfizer a fait 4 milliards de dollars de bénéfices nets. L’Agence Européenne des Médicaments (AEM) a découvert un lien établi entre le vaccin de Pfizer et un effet néfaste de myocardie. En septembre 2020, notre agence australienne a approuvé le Vyndamax de Pfizer, traitement pour la myocardie. Notre ministère de la santé a confirmé les liens du vaccin AstraZeneca avec la formation de caillots sanguins.

Le médicament de Pfizer Eliquis traite les caillots sanguins. Le dernier quart de l’année fiscale a vu ses ventes augmenter de 13%. Alors ces caillots sanguins sont-ils si rares ? Vraiment ? En 2019, le médicament Zavicefta de Pfizer a été approuvé pour les patients admis en réanimation et placés sous respiration artificielle. Est-ce que Pfizer fait des bénéfices en rendant les gens plus malades et plus de bénéfices en traitant la maladie qu’il a causé ?

Alphabet, l’entreprise parente de Google, est un géant de la technologie au plafond de marché de 1400 milliards de dollars, ce qui en fait la 5ème entreprise la plus riche de ce marché dans le monde.

Et si la politique publique était contrôlée par des gens qui ont peur d’être mis au coin avec un bonnet d’âne sur la tête par Google et Youtube ?

DrGoogle
Allo Dr Google ?…

= = =

Note de Résistance 71 :

En août 2019 nous publiions ceci sur Google et Alphabet :

Dictature technotronique et la police de la pensée: Alphabet de Google et la City de Londres (Dean Henderson)

et plus tôt en avril 2019 :

Technologie, censure et dictature: Quand Google pervertit l’ »Alphabet » pour une censure tout azimut… (Dean Henderson)

A lire et diffuser sans modération…

Poussant un peu la recherche, nous sommes tombés sur des infos très intéressantes concernant Alphabet, la nébuleuse entreprise mère de Google depuis 2015 et ses autres succursales comme Verily, Deepmind et Calico entre autres.

Nous résumons ci-après un segment important de cet article : https://www.cbinsights.com/research/report/google-strategy-healthcare/

Ainsi, une corporation mère : Alphabet a restructuré et pris possession de Google et succursales en 2015. A ce moment il fut décidé que le point de focalisation pour le futur serait l’Intelligence Artificielle (IA)

Alphabet possède donc Google, Youtube mais aussi dans le secteur de la recherche, gestion et développement du domaine de la santé, des entreprises comme Verily, Deepmind et Calico.

Le plus gros du boulot de recherche et de développement en ce secteur est abattu par Verily, dont le CEO est Andrew Conrad, le co-fondateur du National Genetics Institute (tiens, tiens…).

Deepmind se focalise sur le développement de l’IA et de ses applications dans le domaine de la gestion du secteur de la santé. L’entreprise est basée à Londres et travaille en étroite relation avec les institutions du ministère de la santé britannique (tiens tiens une fois de plus…).

Concernant Vaccitech PLC dont Alphabet possède 12% des parts, c’est une entreprise basée à Oxford, GB et enregistrée sur le marché boursier de Wall Street par la SEC américaine.

A partir de là, et en accord avec les questions posées par le sénateur australien dans l’article traduit ci-dessus, les liens entre les différents intervenants dans cette “crise coronavirus” commencent à faire plus que se dessiner n’est-il pas ?..

Comme toujours, il faut remonter la piste du fric, des investissements, de voir qui est qui et qui fait quoi pour comprendre finalement à qui profite le crime, en l’occurence un crime planétaire unique dans l’histoire de l’humanité de par son ampleur et son étendue.

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Le grand cirque continue : Entre Talibans et COVID (Gilad Atzmon)

Posted in 11 septembre, 3eme guerre mondiale, actualité, canada USA états coloniaux, colonialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, militantisme alternatif, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, terrorisme d'état with tags , , , , , , on 26 août 2021 by Résistance 71

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“Tandis qu’Athènes est associée à l’idée que la vérité est découverte par la raison, Jérusalem prétend que la vision de la vérité est délivrée par la révélation. Athènes est donc le lieu de la philosophie, du “logos” et de la science ; Jérusalem d’un autre côté, est la capitale de la loi et de l’obéissance. D’une perspective philosophique, Jérusalem et Athènes ne partagent aucune méthodologie commune. La soumission à un régime de la correction, du politiquement correct, c’est se soumettre à Jérusalem. Ceci constitue une stricte divergence d’avec Athènes et son esprit.”

~ Gilad Atzmon, 2017 ~

Article très complémentaire de notre article du 23 août :  “Du COVID aux Talibans… De la diversion au parachèvement du règne de la peur”

Entre Talibans et COVID

Gilad Atzmon

Août 2021

url de l’article original:
https://gilad.online/writings/2021/8/4/in-between-taliban-and-covid

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Faut-il être un génie pour comprendre que le colossal échec de la guerre américaine en Afghanistan est identique à cette désastreuse “guerre contre le COVID” ? Il est sans doute très clair que ce sont pratiquement les mêmes personnes qui ont mis au point les stratégies fatales qui menèrent à une défaite grandiose dans ces deux conflits absolument non nécessaires. Nous avons ici à faire avec des gens qui adhèrent complètement au concept de guerre et de destruction. Ce sont des gens qui ne cherchent en rien la paix, l’harmonie ou la réconciliation ni avec la nature ni même avec d’autres segments de l’humanité.

Nos “stratèges” de la pandémie ont cru que cela était en leur pouvoir d’éliminer le SRAS-CoV-2 de la surface de la terre. Ils étaient convaincus de la même manière que les Talibans pouvaient être éradiqués. Ils avaient bien entendu complètement tort.

Mais les progressistes et la soi-disant gauche ont aussi une responsabilité impardonnable dans ces affaires catastrophiques. La gauche ne fut pas responsable de la planification des “stratégies”. Elle ne fut que pas vraiment participante dans les think tanks néoconservateurs, elle ne fut pas impliquée dans la promesse de Pfizer d’arranger le génome humain. Elle ne conseilla pas Netanyahou, Trump ou Johnson en 2020 comme elle ne fut pas parmi les conseillers de Bush et consorts en 2001. Mais elle fut la première à soutenir la “guerre contre la terreur” des conservateurs sionistes (NdT: parce qu’il y a autant de sionistes de “gauche” que de sionistes de “droite”, la peste sioniste n’a pas de couleur politique, elle est une doctrine coloniale “obligée”, forcée sur la base d’une “culpabilité” collective fabriquée…), essentiellement au nom de “l’interventionnisme moral”. Elle a pareillement été parmi les plus enthousiastes de l’expérience courante de masse sur la population humaine.

On n’a pas besoin de gratter la surface pour constater que l’état juif a aussi eu un rôle central dans ces deux énormes bourdes. Les think tanks néo-cons qui poussèrent pour une intervention des Etats-Unis en Afghanistan étaient bien entendu constitués d’ardents juifs sionistes. En 2003, Ari Shavit écrivit dans le journal “Haaretz” : “La guerre en Irak a été conçue par 25 intellectuels néo-conservateurs, la plupart juifs, qui poussent le président Bush à changer le cours de l’histoire.” Le peuple qui s’est porté volontaire pour être les cobayes dans l’expérience Pfizer du COVID fut bien entendu les Israéliens. L’Israël de Netanyahou n’a pas tenté de vivre avec le COVID, elle a au contraire traité le virus comme un Amalek contemporain, une peste antisémite qui devait être éradiquée : le Mossad et la FDI ont joint leurs forces dans la guerre contre le covid. Lorsque le nombre de cas covid sembla diminuer grandement, Israël fut prompte à déclarer victoire dans la guerre contre le virus.

Mais la réalité est bien plus embarrassante. En Afghanistan, les Talibans sont plus forts que jamais. L’Amérique a quitté le pays qu’elle avait promis de “libérer” avec la queue entre les pattes. Dans la lutte contre le COVID, l’Amérique est pareillement défaite. Aux Etats-Unis, une étude du CDC a montré que les gens vaccinés constituent quelques 74% des cas covid d’une ville balnéaire de l’état du Massachussetts. Et en Israël, le variant Delta a fait son aliya avec grand succès. Les gens vaccinés sont maintenant sur-représentés dans les cas de variants Delta et pareillement représentés dans les cas critiques de la maladie. Il y a quelques jours, un médecin israélien admettait que 90% de ses patients étaient vaccinés.Le vaccin se désintègre devant nos yeux.” a t’il dit.

Le théoricien moderniste et stratège militaire du XIXème siècle Carl von Clausewitz avait défini la guerre comme “la continuation de la politique par d’autres moyens”. Mais dans l’univers globalisé sioniste dans lequel nous vivons, la politique n’est que la continuation de la guerre. Maintenir le monde dans un conflit permanent est le mantra globaliste principal alors que les gens se soumettent plus facilement lorsqu’ils ont peur. Cette philosophie a maintenu le sionisme a top depuis des décennies. Elle a maintenu les juifs unis pendant deux millénaires mais cela a eu un prix. L’histoire juive n’est pas exactement une histoire tranquille.

Ce ne devrait en fait pas être à moi de rappeler à mes compagnons, frères et sœurs en amour qu’aimer son prochain peut aussi vouloir dire de rechercher la paix et l’harmonie avec l’univers dans sa totalité (tous les virus compris…)

= = =

“Depuis quelque temps déjà, nous, les gens qui errons sur cette planète, avons été réduits à n’être qu’une audience de ce drame dévastateur qui raconte l’histoire de notre propre destruction. Malgré toutes les promesses démocratiques libérales, nous ne sommes plus des acteurs, mais des sujets oubliés et sans voix. Le temps de s’exprimer haut et clair est venu…
L’être et le temps sont comme le bout de notre nez, si près que nous ne pouvons les voir. La vérité est là, à tout moment, tout ce que nous avons à faire est d’ouvrir les yeux et de la contempler… Je parle ici d’un retour vers Athènes.”
~ Gilad Atzmon, 2017 ~

Traduction Résistance 71 de son livre “Being in Time”, 2017

Gilad Atzmon sur Résistance 71

Phone hacking claims

Le grand cirque de l’illusion

Big Pharma, « science », injections OGM et casseroles au cul… Avoir confiance, vraiment ?… (F. William Engdahl)

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BigPharma_credo

Et nous devrions faire confiance en la “science” de l’industrie pharmaceutique ?

F. William Engdahl

Juillet 2021

url de l’article original:
http://www.williamengdahl.com/englishNEO29July2021.php

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Le patron à vie de l’agence américaine des maladies infectieuses le NIAID, Tony Fauci, a demandé à de multiples reprises que le public “fasse confiance à la science” alors qu’il fait passer sa propre opinion scientifique d’un bord à un autre. Ce qui n’est quasiment jamais mentionné dans les merdias occidentaux et pratiquement partout dans le monde, c’est l’historique scientifique des principaux géants pharmaceutiques fabricants de vaccins. Brièvement, ça touche le fond et est alarmant à l’extrême. Ceci devrait simplement amener les gouvernements à interdire de pousser pour l’utilisation d’injections expérimentales radicales non-testées sur leurs populations sans d’autres tests de long terme sur des animaux et autres afin d’en assurer toute la sécurité possible.

En avril dernier, alors que le programme “vaccinal” tournait à plein pot, le conseiller en chef de Biden pour la COVID, le vieillard Fauci de 80 piges, patron du National Institute of Allergy and Infectious Disease (NIAID) depuis 1984 (NdT : 37 ans à la tête d’un organe de contrôle du pouvoir, c’est digne du meilleur politburo ayant existé…), a annoncé que le Centre américain pour le contrôle des maladies (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) ont décidé d’ordonner une “pause” dans l’inoculation du “vaccin” de Johnson & Johnson (Janssen) afin d’examiner les rapports sur les caillots sanguins. Ils se trouvent qu’il n’y a eu que six cas rapportés de caillots sanguins sur les quelques septs millions de personnes qui ont reçu l’injection Janssen. Dans sa remarque à la presse, Fauci a déclaré : “Je pense qu’une des bonnes choses de ce système est que nous sommes dirigés par la science et aucune autre considération.” Il y a de bonnes raisons de questionner Fauci.

Ceci état supposé rassurer les gens en leur faisant remarquer que les autorités étaient super attentives avec les médicaments expérimentaux anti-covid, qui après tout, n’avaient jamais été testés en masse sur l’humain auparavant et n’avaient obtenus qu’une “autorisation d’exploitation temporaire d’urgence” estampillée dans l’autorisation provisoire de la FDA. Celle-ci très rapidement leva la “pause” et J&J accepta de diffuser par écrit que son vaccin pouvait causer des caillots sanguins.

Dans le même temps, les fabricants rivaux de ces injections, Pfizer et Moderna, tous deux utilisant un traitement génétique hyper-expérimental connu sous le vocable  d’ARNm, ne furent pas mis en “pause” par la “science” ce malgré que des centaines de milliers de cas de sévères réactions liées à leurs injections furent enregistrées, ceci incluant des données officielles faisant état de plusieurs milliers de décès liés aux deux injections, données archivées par le CDC et dans la base de données du VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System).

D’après le CDC, de tels évènements “adverses” post-vaccinatoires, incluant des chocs anaphylactiques, des thromboses avec syndrome de thrombocytopénie, de syndrome de Guillain-Barré, de myocardite, de péricardite et de mort. Pour la semaine du 16 juillet, le CDC et le VAERS ont rapporté un alarmant 9 125 morts depuis la fin décembre, liées à l’injection anti-covid. Jamais dans toute l’histoire un tel chiffre n’avait été associé à quelque vaccin que ce soit et pourtant le silence médiatique à ce sujet est simplement assourdissant.

Leur historique scientifique plombé

Le phrasé de Fauci est précis et délibérément manipulateur. Il suggère qu’il y a une chose bien déterminée que nous appelons “La Science”, comme un dogme religieux issu du Vatican, alors que la véritable méthode scientifique est faite de remise en question perpétuelle, de renversement d’hypothèses passées avec de nouvelles prouvées exactes, par l’ajustement systématique. Pourtant, lorsqu’on en vient à la “Science”, la poignée de quelques fabricants de vaccins, parfois appelés Big Pharma, un cartel ressemblant à celui du pétrole, ont un historique de fraude, de manipulation et de falsification de leurs propres tests, ainsi que de corrompre largement les médecins et les hauts-fonctionnaires de la santé publique afin de promouvoir leurs médicaments variés, ce malgré des résultats scientifiques prouvant une grande contradiction entre les faits et leurs dires sur la sécurité de leurs produits. Regarder de plus près ces géants pharmaceutiques se révèle toujours très instructif…

J&J 

Commençons avec la compagnie du New Jersey Johnson & Johnson. Le 21 juillet 2021, J&J et trois autres entreprises pharmaceutiques plus petites furent d’accord de payer un extraordinaire 26 milliards de dollars en dommages et intérêts à un groupe d’états américains pour leur rôle dans la cause du déclenchement d’une véritable “épidémie” d’addiction aux opiacés aux Etats-Unis. De cette somme, J&J en paiera 5 milliards. Le CDC estime en effet que l’utilisation de substances opiacées hautement addictives comme analgésiques a causé la mort d’au moins 500 000 personnes entre 1999 et 2019. J&J est accusé de pousser à l’utilisation de ces analgésiques tueurs en minimisant les risques d’addiction.

Ils le savaient.

La même J&J est impliquée dans une énorme bataille judiciaire pour avoir utilisé un carcinogène en toute connaissance de cause dans son célèbre talc pour bébé. En 2018, une enquête de Reuters trouva que J&J savait depuis des décennies que l’amiante, un carcinogène reconnu, se trouvait dans ses talcs pour bébé et autre produits cosmétiques. L’entreprise est rapporté considérer séparer légalement sa branche de talc pour bébé en une petite entreprise séparée qui déclarerait alors banqueroute afin d’éviter d’avoir à payer de très grosses sommes en dommages en intérêts. Le “vaccin” anti-covid J&J, au contraire des injections de Pfizer et Moderna, n’utilise pas d’altération génétique par ARNm.

Les deux gros fabricants de vaccins qui ont jusqu’ici les plus grosses parts de marché sont les deux activement promus par Fauci. Ils proviennent de Pfizer en alliance avec une petite entreprise allemande BioNTech sous le nom de Comirnaty et de l’entreprise de biotechnologie américaine Moderna.

Pfizer

Pfizer, un des plus gros marchands de vaccins au monde par les ventes, fut fondé en 1849 aux Etats-Unis. L’entreprise a aussi le plus lourd casier judiciaire concernant la fraude, la corruption, la falsification et les dégâts collatéraux prouvés. Une étude canadienne datant de 2010 nota que “Pfizer a été un “contrevenant habituel”, s’engageant avec persistance dans des pratiques de marketing corrompues et illégales, soudoyant des médecins et supprimant des résultats de tests compromettants.” Ceci est très sérieux. Notez également que Pfizer doit toujours rendre public les détails de ses études de vaccination anti-covid afin qu’elles soient étudiées de manière externe.

La liste des crimes de Pfizer s’est allongée depuis 2010. L’entreprise est couramment engagée dans des procédures judiciaires en relation avec son médicament digestif Zantac qui est contaminé avec une substance carcinogène. De plus, Pfizer a été condamné à la plus grande amende concernant l’industrie pharmaceutique en 2009 dans une affaire de 2,3 milliards de dollars pour publicité mensongère de ses médicaments Bextra et Celebrex et payant des pots-de-vin aux médecins complices. Pfizer a plaidé coupable sur le chef d’accusation de promouvoir quatre médicaments incluant Bextra “avec l’intention de tromper et de manipuler l’opinion”. Ils furent forcés de retirer de la vente des USA et de l’UE leur analgésique anti-arthrite Bextra, pour avoir causé des crises cardiaques, des embolies et de graves maladies cutanées.

Manifestement pour augmenter ses revenus, Pfizer paya illégalement des médecins pour l’utilisation “hors marque” de plus d’un de ses médicaments, ce qui eut pour effet que des patients furent blessés ou même moururent. Parmi ces médicaments figuraient Bextra (valdecoxib); Geodon (ziprasidone HCl) un psychotrope atypique ; Zyvox (linezolid), un antibiotique ; Lyrica (pregabalin), un médicament contre les crises d’épilepsie ; et son célèbre Viagra (sildenafil), un médicament contre le disfonctionnement érectile ; et Lipitor (atorvastatin), un médicament contre le cholestérol.

Dans un autre procès, des sous-traitants de Pfizer durent payer 142 millions de dollars et publier des documents d’entreprise qui montraient que ces entreprises faisaient la promotion illégale de la substance gabapentin pour son utilisation hors marque.

Des données révélées au gré de toute une série de procès aux Etats-Unis indiquent que la molécule était promue par l’entreprise comme un traitement de la douleur, des migraines et de la bipolarité, bien qu’elle ne fut pas efficace à traiter ces conditions et fut même toxique dans certains cas”, d’après Therapeutics Initiative, un groupe de recherche indépendant de l’université de Colombie Britannique au Canada. “Les procès ont forcé l’entreprise à diffuser toutes ses recherches sur le médicament, incluant celles qu’elle cachait.

En 2004, la succursale de Pfizer, Warner-Lambert, a du payer 430 millions de dollars pour lever des accusations criminelles et de responsabilité civile concernant des pratiques de marketing frauduleuses de son médicament Neurontin, son nom pour la molécule gabapentin. Originellement créée pour le traitement de l’épilepsie, Neurontin fut aussi promu hors-label pour le traitement de douleur neurologique et en particulier pour les migraines et la condition de bipolarité. Neurontin pour une utilisation non approuvée a fait quelques 90% des 2,7 milliards de dollars de ses recettes en 2003.

Un rapport du quotidien du New York Times divulgua en 2010 que Pfizer “… paya environ 20 millions de dollars à 4500 médecins et autres professionnels médicaux aux Etats-Unis pour consultation et agir en porte-parole de l’entreprise dans les derniers mois de 2009.” Pfizer paya 15,3 millions de dollars en plus à 250 centres médicaux universitaires et autres groupes de recherche pour des essais cliniques. Dans la pratique légale américaine, il est très rare que des exécutifs entrepreneuriaux se livrant à des malversations criminelles soient poursuivis en justice. Le résultat en est que les amendes infligées par les tribunaux peuvent être traitées comme passant en “perte et profit” pour les entreprises de ce milieu cynique. En huit ans de malfaisance répétée jusqu’en 2009. Pfizer a accumulé juste sous la barre des 3 milliards de dollars en pénalités légales civiles, ce qui constitue à peine un tiers des revenus nets annuels.

En 2020, alors que son injection anti-covid était en cours de développement, Pfizer a payé 13 150 000 US$ en frais de lobbying auprès du congrès des Etats-Unis et des officiels de Washington entre autres. Il est aussi notable que la Fondation Bill & Melinda Gates possède des actions à la fois de Pfizer et de ses associés dans la recherche de la technologie ARNm, l’entreprise allemande BioNTech.

Moderna

Le troisième producteur de vaccins aujourd’hui avec cette autorisation temporaire d’urgence de la FDA est l’entreprise Moderna, de Cambridge dans l’état du Massachussetts. Elles n’a pas encore été poursuivie pour pratiques illégales, contrairement à Pfizer et J&J, Mais ceci n’est dû qu’au fait de ses seulement 10 ans d’existence avant son autorisation d’utilisation de la technologie ARNm et que dans ses dix ans d’existence, elle a échoué d’obtenir des approbations de la FDA pour mettre sur le marché ne serait-ce qu’un seul de ses médicaments et ce malgré bien des tentatives infructueuses. Quoi qu’il en soit, Moderna a un signe néon rouge qui clignote au-dessus de sa tête disant “conflit d’intérêts” et ceci devrait mettre tout en pause.

Moderna et le NIAID de Fauci ont collaboré sur le développement de vaccins utilisant la plateforme technologique ARNm de Moderna et de la NIAID de Fauci sur bien des virus à couronne (coronavirus) ceci incluant le MERS, ce depuis au moins novembre 2015. Le 13 janvier 2020, avant même que le premier cas d’un supposé nouveau coronavirus de Wuhan en Chine ne fusse détecté aux Etats-Unis, le NIAID de Fauci et Moderna signèrent un accord de coopération mis à jour les décrivant ensemble comme co-propriétaires d’un coronavirus basé sur une technologie ARNm et qu’ils avaient finalisé une séquence pour l’ARNm-1273, le vaccin maintenant utilisé et injecté à des millions de personnes pour supposément contrer le nouveau coronavirus.

Ceci veut dire que le NIAID de Fauci et sans doute Fauci lui-même (ce qui est permis aux Etats-Unis) se positionnèrent pour tirer d’énormes bénéfices financiers de l’autorisation d’urgence pour l’injection Moderna, pourtant, Fauci n’a jamais admis publiquement ce conflit d’intérêt lorsqu’il fut le conseiller de Trump pour le Corona, ni ne le fait en tant que conseiller de Biden.

Dix jours plus tard, le 23 janvier 2020, Moderna annonça qu’il avait reçu un financement du CEPI, un fond vaccinal créé par Bill Gates et sa fondation ainsi entre autres que le Forum Economique Mondial de Davos, afin de développer un vaccin à ARNm contre le coronavirus de Wuhan.

Moderna fut créée par un entrepreneur capitaliste, Noubar Afeyan avec un professeur de Harvard, Timothy A. Springer et d’autres personnes. En 2011, Afeyan recruta l’homme d’affaire français et ancien exécutif d’Eli Lilly, Stéphane Bancel, comme CEO du nouveau Moderna. Ce malgré le fait qu’il n’ait aucune expérience de gestion d’une entreprise médico-pharmaceutique, ni aucun diplômes scientifique ou médical ; Bancel se liste lui-même comme co-propriétaire de centaines de patentes de Moderna liées à la fabrication de vaccins. Début 2013, la toute petite entreprise Moderna recevait des financements du Pentagone pour le développement de sa technologie ARNm. Jusqu’à 2020 et son autorisation de mise sur le marché pour urgence sanitaire de sa technologie par la FDA, quelques 89% des revenus de l’entreprise Moderna étaient constitués de fonds gouvernementaux sous une forme ou une autre. Elle est très très loin d’être une entreprise expérimentée en la matière et pourtant elle tient dans ses mains le destin de millions et de millions de personnes, mais hé ! Comme le dit Fauci : “Faites confiance à la science !”

En février 2016, un éditorial de la revue “Nature” critiqua Moderna pour ne publier aucun article peer reviewed sur sa technologie à la différence de la plupart des entreprises de biotechnologie. L’entreprise demeure ultra-secrète. Cette même année 2016, Moderna a reçu 20 millions de dollars de la Fondation Gates pour son développement de vaccin utilisant la technologie ARNm.

Jusqu’à réception de son autorisation d’utilisation d’urgence pour son produit anti-COVID à ARNm en décembre 2020, Moderna n’avait enregistré que des déficits depuis sa création. Puis, curieusement, juste après une réunion personnelle de Bancel avec le président Trump lors de laquelle il lui annonça que Moderna pourrait avoir un vaccin prêt à l’emploi dans les mois qui venaient, la chance de Moderna tourna…

Le 15 mai, Trump annonça la création de l’opération “Warp Speed” pour mettre en place une campagne de vaccination anti-COVID19 pour décembre. Le chef du groupe présidentiel était un ancien de trente ans de GlaxoSmithKline (GSK), Moncef Slaoui, qui rejoignit le comité directeur de nulle autre que Moderna. Sous le “Warp Speed” de Slaoui, quelques 22 milliards de dollars du contribuable américain furent aloués à différents fabricants de vaccins.

Moderna fut un des principaux récipiendaires des fonds, un conflit d’intérêt flagrant et éhonté qui ne sembla gêner absolument personne. Slaoui dirigea 2 milliards de dollars de fonds gouvernementaux vers sa vieille entreprise, Moderna, afin de fabriquer le vaccin anti-covid à ARNm. Ce n’est que sous une pression publique que Slaoui se décida de vendre ses actions de Moderna, ce qui lui fit gagner des millions de dollars sur le dos du rôle de leader joué par Moderna dans la création du vaccin anti-covid. Peu de temps après avoir démissionné à la fin de la présidence Trump, Slaoui fut viré par sa vieille firme GSK, d’une de ses succursales, après que furent dressées contre lui des accusations de harcèlement sexuel sur une femme du personnel.

En février 2020, le secrétaire (NdT: les ministres aux States sont appelés “secrétaires d’état”…) de Trump aux services de santé, Alex Azar, invoqua le Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP) pour exempter Moderna, Pfizer, J&J et tout autre fabricant covid dans le futur de toute responsabilité émanant de dégâts physiques ou de morts causés par leurs vaccins contre le coronavirus de Wuhan. La protection et immunité légales durent jusqu’à 2024. Si les vaccins sont si bons, efficaces et sûrs, pourquoi donc avoir besoin de cette mesure ? Azar est l’ancien patron du géant du médicament américain Eli Lilly. Il y a donc de sérieuses questions qui doivent être posées ouvertement en ce qui concerne tous ces fabricants de vaccins qui poussent tous maintenant des formules expérimentales génétiques hautement controversives et controversées dans des expérimentations humaines sans précédent.

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Lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

vaxRNAm

Reprise… de voler : Quand les barbus volent au secours de Bébert Corona (Résistance 71)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, CIA et traffic de drogue, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, pédagogie libération, politique et social, résistance politique, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , on 23 août 2021 by Résistance 71

 

TalebaNI-MOSSAD-CIA
Les talibans force synthétique…

 

“Il est très clair qu’en mai 1979, quelques mois avant l’invasion soviétique de l’Afghanistan, l’ISI (services de renseignement pakistanais) mit la CIA en contact avec Hekmatyar, le protégé de l’ISI, qui allait devenir la figure centrale du trafic de drogue des moudjahidines. La CIA fit cela à un moment où le commerce international de l’héroïne souffrait d’une chute importante à cause de la baisse de production d’opium dans le triangle d’or et que la CIA cherchait à construire une nouvelle source de production.

[…] Le contrôle du flot de la drogue apparaît comme être devenu une bonne partie de la stratégie de la CIA et de l’ISI pour transférer vers le nord, vers l’URSS la guerre en Afghanistan. Le directeur de la CIA, William Casey, semble avoir promu un plan qui lui fut suggéré par le patron de la DGSE française, Alexandre de Marenches, afin que la CIA fournisse de l’héroïne aux troupes russes afin de leur nuire de l’intérieur. Bien que de Marenches ait nié ensuite que ce plan fut mis en application, il y a un certain nombre de rapports indiquant que de l’héroïne, du haschish et même de la cocaïne, furent introduits et atteignirent les troupes soviétiques et que la banque BCCI liée à la CIA et l’ISI, ainsi que quelques agents du renseignement américain, ´étaient profondément impliqués dans le commerce de la drogue, ce avant que la guerre ne soit finie.”

~ Peter Dale Scott, “Drugs, Oil and War, the USA in Afghanistan, Colombia and Indochina”, 2003 ~

Traduction Résistance 71

 

Du COVID aux Talibans… De la diversion au parachèvement du règne de la peur

ou comment terroriser pour toujours mieux diviser et régner

 

Résistance 71

 

23 août 2021

 

CoV2
Bébert Corona… Bouh !

 

Bébert + Barbus =  Bébarbus

Rendons-nous à l’évidence, Bébert Corona ne tient pas la distance, les gens y croient de moins en moins, la résistance aux injections OGM et au passe-sanitaire dictatorial fait rage et s’organise, partout… Faut donc une diversion de poids qui ferait potentiellement coup double… Donc, l’oligarchie nous ressort les Talibans du placard où ils avaient été rangés depuis quelques années, et toute la litanie “terroriste” qui va avec. Place donc, en sus de Bébert essoufflé, à la saga “Talibans II, le retour” ! L’alliance Corona SRAS-CoV-2 / Barbus islamistes n’est pas si improbable que ça quand on y réfléchit bien. Ils sont tous deux des créations synthétiques des labos de l’empire anglo-américano-sioniste. Si la création de Bébert Corona est récente (voir notre article / traduction du 25 mars 2020 sur sa création dans les labos de l’université de Caroline du Nord aux Etats-Unis entre 2006 et 2015 pour être récupéré par le Pentagone à des fins de guerre biologique), il ne faut pas avoir la mémoire courte et fouiller un peu pour revisiter la création des Talibans dans le laboratoire géopolitique de l’empire…

ZB-OBL-Pakistan
Brzezinski et Ben Laden, camp Pakistan, 1980

Flashback donc à la fin des années 70 et au gouvernement de Jimmy Carter et son conseiller à la sécurité nationale, Zbigniew Brzezinski.

A cette époque, l’oligarchie du capitalisme mondialiste monopoliste décide que l’URSS ne remplie plus ses fonctions de marché captif pour lequel elle avait été créée en 1917 par la City de Londres et sa succursale de Wall Street. Une guerre n’est pas possible car elle dégénérerait en conflit thermonucléaire planétaire pour le moins… contre-productif, il est donc décidé d’imploser l’empire soviétique en le minant de l’intérieur sur ses lignes de fractures culturelles et religieuses, essentiellement musulmanes. L’affaire est longue et se déroule sur plusieurs décennies, mais brièvement, l’URSS est piégée à intervenir pour soutenir le gouvernement afghan pro-soviétique qui est sous attaque intérieure. Les troupes soviétiques entrent en Afghanistan, qui deviendra leur Vietnam. Pour lutter contre l’URSS, l’occident agit par procuration et les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, aidés de leur allié pakistanais et son puissant et mafieux service de renseignement l’ISI, créent en Afghanistan une force de résistance appelée les “moudjahidines”. Au service de la CIA, MI6 et ISI se trouve un saoudien, financier et héritier d’une grosse famille du BTP saoudienne du nom d’Oussama Ben Laden. Celui-ci est en charge du recrutement et du financement partiel des “moudjahidines”, les données générées entrant dans une base de données secrètes : “Al Qaïda” en arabe. La Base. Le groupe “taliban” n’existe pas encore à l’époque, ce sont de fait les “moudjahidines”, visités et motivés sur place par Brzezinski et Robert Gates de la CIA en personne, qui formeront l’ossature de ce qui deviendra plus tard les “Talibans”, via une métamorphose en une “légion arabe”, qui endoctrinera les tribus locales, essentiellement pachtounes, infiltrées par des membres de l’ISI pakistanais qui est sous total contrôle, comme le gouvernement pakistanais du reste, de la secte des “Frères Musulmans”, elle même sous contrôle depuis les années 1920 des services de renseignement britanniques. Pour résumer une longue histoire : les “Talibans” sont une création de l’empire, mis en place pour essentiellement favoriser dans les années 90 le passage d’un oléoduc / pipeline d’UNOCAL (sphère Rockefeller). Une délégation talibane fut reçue en grande pompe à la maison blanche de Clinton. L’accord de l’oléoduc tomba à l’eau, peut-être fut-il sciemment saboté. Quelques mois plus tard, les attaques du 11 septembre 2001 avaient lieu et le monde devint ce qu’il est aujourd’hui. Dès octobre 2001, les Etats-Unis bombardaient et attaquaient l’Afghanistan et les troupes américaines et otanesques y pénétrèrent peu de temps après. Les Talibans tombèrent et prirent le maquis après la fuite de leur chef, le mollah Omar, à mobylette, poursuivi par la moitié de l’armée yankee.

Les Talibans sont une secte religieuse fondamentaliste se comportant comme toute secte religieuse de cette mouture, chrétiens compris, donc rien de nouveau sous le soleil au sujet des “droits et libertés”, la charia fait loi. Ceci dit, durant leur temps au pouvoir en Afghanistan, la culture du pavot pour l’opium et l’héroïne fut éradiquée. Sous le contrôle yankee et otanesque, l’Afghanistan est devenu le premier producteur mondial d’opium et d’héroïne. De fait, les armées occidentales ne furent en rien déployées pour “traquer les terroristes islamistes”, qui sont tous sous contrôle des services occidentaux depuis le premier jour, mais bel et bien pour protéger sur le terrain, les cultures et récoltes de pavot et d’opium pour le trafic de l’héroïne. La base de Bagram fut durant des années le pivot de ce trafic. Depuis cette base des milliers d’avions militaires décollèrent en direction de la plus grande base américaine en occident, au Kosovo, Camp Bonsteele, à la manière de ce qui était organisé depuis le Laos avec Air America lors de la guerre secrète menée en parallèle de celle du Vietnam. De fait, opium et héroïne étaient déjà suppléés aux troupes soviétiques, dans un trafic local entretenu et protégé par les services anglo-américains et l’ISI pakistanais. Le trafic international de la drogue : héroïne en provenance d’Asie et essentiellement maintenant d’Afghanistan et la cocaïne en provenance de Colombie, est une “chasse gardée” de la maison blanche comme l’a appris à ses dépends l’ex-flic des stups du LAPD Michael Ruppert, “suicidé” ll y a quelques années et auteur de l’ouvrage” “Crossing the Rubicon” dans lequel il explique les dessous de bien des affaires narco-géopolitiques pour les avoir vécues en première main, y compris l’implication de la CIA jusqu’au cou dans le trafic de drogue.

N’oublions pas non plus que la banque de la CIA à l’époque, la BCCI, était une ancienne banque pakistanaise chapeautée par l’ISI, rachetée par les Yankees à des fins de blanchiment d’argent sale et de financements occultes d’opérations barbouzes clandestines. Tout se tient, rien n’arrive pas “hasard”.

Alors, il n’y a pas eu de combats récents. Les Talibans n’ont gagné aucune guerre, ils n’ont pas “chassé” les Yankees et l’OTAN d’Afghanistan, contrairement aux Vietnamiens / Indochinois. Les Talibans ne font que récupérer ce que les occidentaux viennent de leur laisser… Pourquoi ? Il semblerait qu’il y ait d’autres intérêts géostratégiques en jeu. On apprend aussi que la Turquie du frère musulman et voyou de longue date Erdogan, achemine des djihadistes sous son contrôle depuis la Syrie vers l’Afghanistan. Sans doute pour sécuriser les champs de pavot que les Talibans seront sommés de ne pas toucher et de mettre en place des camps d’entrainements. Les Talibans ont reçu une énorme part du matériel militaire laissé sur place par les Etats-Unis dans la “panique” fabriquée de leur soi-disant départ. Les Talibans opèrent un pivot vers la Chine et la Russie, ce qui est sans doute un leurre pour piéger les deux pays non plus militairement mais économiquement en Afghanistan, riche en ressources naturelles et aussi zone particulièrement stratégique de passage entre les continents. Nous sommes d’accord avec Thierry Meyssan qui dit dans son dernier papier en date, que les Russes et les Chinois devront dans le futur, payer un tribut aux Yankees pour commercer en Afghanistan, sous peine de voir leurs entreprises faire l’objet d’attaques “terroristes”, attaques perpétrées par des mercenaires “djihadistes” à la solde de l’empire bien évidemment… Le Racket continue, y a pas de raison que ça s’arrête, on ne change pas une équipe qui gagne.

Bien entendu, le battage médiatique occidental remet la “menace barbue” au goût du jour. L’affaire Corona s’épuise, le pot au rose de la supercherie commence à poindre et vu le crime commis par injections OGM mortifères à l’échelle planétaire, les foules ne devraient pas pardonner de si tôt aux ordures du pouvoir et de la finance. Il faut donc une nouvelle diversion à l’oligarchie et aussi recréer une nouvel peur. Quoi de mieux que de ressortir les barbus islamistes du placard et la “menace talibane” planétaire combinée aux effets de la peur, s’estompant certes, de Bébert Corona.

coronacircus

Suivant la énième injection Pfizer / Moderna / J&J, les criminels transnationaux du capitalisme monopoliste mondialiste vont bien nous sortir une “injection” miracle 2 en 1 : anti-covid et anti-barbus-islamistes. La peur est la seule chose qui ait tenu et qui tienne toujours le système en place. Tout n’est qu’une question de degré. Nous l’avions dit du reste il y a bien des années et le répétons dès que l’occasion se présente: il n’y a pas de différence fondamentale entre un régime dictatorial hitlérien, mussolinien, maoïste, léniniste, pol potiste ou de quelque obédience religieuse que ce soit et les “démocraties”, républiques modernes et post-modernes… Tout n’est qu’une question de degré dans l’oppression et l’exploitation. En ce qui concerne la France, nous avons vu à l’œuvre ce changement de degré avec les trois derniers guignols qui ont occupé la “présidence” de cette mascarade républicaine avérée: Sarkozy, Hollande et le fond de l’abysse avec Macron (difficile de croire qu’on puisse aller plus bas…).

Le fait est qu’il est important que chacun et chacune d’entre nous ait enfin présent à l’esprit ce fait indéniable que se doit de devenir vérité universelle : il n’y a pas de solution au sein du système et ne saurait y en avoir. Il est important de lâcher prise de toute illusion réformiste de cette supercherie et mascarade “démocratique” étatico-capitaliste. Nous devons le comprendre, l’intégrer dans notre réflexion critique sur notre réalité socio-politique, ainsi que dans nos actions pour changer radicalement cette réalité et parvenir enfin à réaliser notre humanité au sein d’une société en harmonie avec elle-même et avec la nature, au delà de toutes les impostures et supercheries étatico-marchandes dont on nous gave depuis des siècles et qu’on nous affirme être “la seule alternative à la bonne marche du monde”.

L’oligarchie nous prépare une seconde fournée de terreur planétaire en sus de celle fabriquée du COVID. Le but est de porter l’estocade finale qui permettra de combiner les mesures dictatoriales dites “sanitaires” fraîchement créées avec des mesures supplémentaires de contrôle qui seront présentées comme de “sécurité anti-terroriste” et dans ce système une place d’honneur sera faite, soyez-en convaincus chers lecteurs, à ce qui va bientôt émerger des cerveaux malades de nos dirigeants criminels comme étant la menace suprême, celle du “terrorisme domestique”, vous savez, tous ces “radicaux” anti-vaccins, antisémites et anti-démocratie républicaine, tous ces cancrelats conspis qui refusent la “vérité scientifique” si bien intentionnellement distillée par nos bons gouvernements n’œuvrant que pour l’intérêt général… néo-malthusien bien sûr. Allez hop ! Au goulag et que ça saute !…

Nous arrivons à la croisée des chemins. L’heure du choix est là. Leur monde est celui de la peur, de l’antagonisme et du conflit permanent, de la mort ; celui que nous devons construire dès aujourd’hui, sur des fondations d’amour et de coopération est celui de la complémentarité bien comprise, de l’entraide, de l’amour de soi, de son voisin et de la terre-mère, celui de la vie.

Le choix devrait pourtant être simple non ?

A lire, ce livre qui nous sert de source importante en ce domaine depuis bien des années :

Peter Dale Scott, “Drugs, Oil and War, the USA in Afghanistan, Colombia and Indochina”, 2003

Nous ne pensons pas qu’il existe une traduction française de ce livre.

= = =

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

 

ZB_Talibans

« Qu’est-ce qui est le plus important pour l’histoire du monde ? Les Talibans ou l’effondrement de l’empire soviétique ? Quelques musulmans énervés ou la libération de l’Europe centrale et la fin de la guerre froide ? »
~ Zbigniew Brzezinski ~

 

BDattenta_terrorisme

hysterie
Formule magique… 2 en 1

Pause estivale 2021… Zanshin

Posted in actualité with tags on 6 août 2021 by Résistance 71

JZ4

Note : voir les lectures subversives et radicales complémentaires sous les poèmes de Tarkovski, pour une fin d’été de pensée critique…

Trois poèmes d’Arseni Tarkovski*

Traduit de l’anglais par Résistance 71 du recueil “Life, Life, selected poems”, 2000

Août 2021

Terre à Terre

Si ma destinée de naissance
Etait de me coucher sur les genoux des dieux,
J’aurais été nourri par une nourrice céleste humide
Sur le lait sacré des nuages.

Je serais le dieu d’un ruisseau ou d’un jardin,
Gardien de tombeaux ou du maïs.
Mais non, je suis un homme, je n’ai nul besoin d’immortalité
Un destin céleste serait si terrible.

Je suis heureux que personne n’ait cousu mes lèvres en un sourire,
Si étranger à la bile et au sel de la terre.
Va t’en donc, violon de l’Olympe,
Je peut me satisfaire sans ta mélodie.

Rêves

La nuit s’avance à la fenêtre,
Met ses lunettes magiques,
Entonne le livre onirique babylonien,
En une voix d’incantation, tel un prêtre.

Ses pas mènent aux nues,
Pas de rampe sur l’escalier du néant,
Où des ombres sont rituellement jugées.
Ton esprit appartient à autre part.

Rien n’a de sens ni n’ajoute quoi que ce soit.
Qui sont ces juges ? Et comment as-tu pêché ?
Ne venons-nous pas tous de la grotte ?
Le cunéiforme ne diffère pour personne.

Nous sommes condamnés à être témoin de la réalité,
D’Euclide au déluge.
Rends ce que tu as pris ; révèle ce que tu as vu !
Ta progéniture le demande.

Tu trouveras finalement refuge
Sur quelque seuil ou autre,
Alors que les taureaux déambulent comme des dieux,
Ruminant le temps.

La flûte

J’ai entendu
Un appel mourant,
Une flûte orpheline
Au delà des forêts

Le saule ploie
Devant le ruisseau,
Et le ruisseau susurre,
Rien.

Note parfaite,
Virevolte à la cime,
Puis se coule dans le lit.

(*) Arseni Tarkovski (1907-1989) : Poète russe relativement négligé jusqu’à il y a une vingtaine d’années. Il est aujourd’hui reconnu comme un des poètes russes les plus talentueux et créatif du XXème siècle, caractérisé par une diction simple inspirée de la nature. Il est le père du cinéaste, et génie du cinéma, Andreï Tarkovski, qui a introduit certains des poèmes de son père dans quelques films comme “Le miroir”, “Stalker”, “Nostalghia” et “Le sacrifice”. Certains sont lus par Arseni lui-même en voix off.

Note du traducteur : Ce que nous publions est une double trahison puisque nous avons traduit depuis le texte anglais lui-même traduit du russe. Si, comme nous le pensons, toute traduction est une trahison, ceci est encore plus vrai en ce qui concerne la poésie. Nous avons essayé de rendre l’esprit des poèmes en fonction d’une trahison initiale. Toutes nos excuses si nous avons échoué.

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Nous avons trouvé cette publication importante: « Le manifeste de Kokopelli, pour une insurrection fertile », format PDF réalisé par Jo, à lire et diffuser sans aucune modération:

Manifeste-de-kokopelli-pour-une-insurrection-fertile-juillet-2021

kokopelli2

Aussi, toujours garder présent à l’esprit :

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Autres lectures bénéfiques par les temps qui courent :

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