Mascarade électorale (une de plus…) à Yankland, ouvrons les yeux… à bon escient !
Analyse intéressante de Thierry Meyssan sur les récentes élections américaines. Son idée d’implosion des Etats-Unis et de leur dispersion en plusieurs états indépendants n’est pas originale puisqu’un chercheur universitaire russe avait déjà mentionné cette possibilité il y a bien des années.
Ceci dit, il est difficile pour Meyssan d’admettre, en tant que grand supporteur de Trump, que celui-ci est un sioniste enflammé, grand ami de Netanyahou, qui a fait plus pour Israël en 4 ans que bien des présidents réunis avant lui et qu’il n’avait pas été mis en place il y a 4 ans pour drainer le “marécage”, mais pour le rendre plus utile. De voir aussi que Trump est entouré et soutenu par la clique évangéliste sioniste, autres frapadingues du missel, ainsi que par la Kosher Nostra de son ami et pourvoyeur de fonds Sheldon Adelson, le magnat des casinos de Las Vegas, qui l’a renfloué un paquet de fois après ses banqueroutes en affaire… Que Trump était un grand ami d’Epstein et de Maxwell et que ses bordels de la “Tour Trump” de New York tournaient à plein pot avec les réseaux pédophiles et de prostitution dont Epstein et Maxwell étaient les entremetteurs pour le Mossad et ses opérations de chantage en tout genre.
Biden est un dégénéré sénile, pédophile, à l’instar de Trump, qui ne sait plus où il habite ni qui est qui et, comme à l’accoutumée, les Yankees avaient à choisir entre la peste et le choléra. Il en va de même en France et partout ailleurs. Il est plus que grand temps de comprendre que toute cette illusion démocratique n’est qu’une mascarade, un vaste cirque ne servant qu’à donner l’illusion du choix aux masses sous influence, pour préserver la façade d’une illusion démocratique dont le “vote” aussi truqué soit-il , est une des pierres angulaires de propagande.
La solution pour les Yankees n’est pas plus dans la consolidation d’un état fédéral que dans la création d’états indépendants après une implosion. Il n’ y a pas de solution au sein du système et ne saurait y en avoir. Il faut en sortir, rediluer le pouvoir dans le peuple et entrer ensemble dans la société des sociétés sans État, sans marchandise, sans argent et sans salariat. C’est la seule solution viable pour l’humanité, le reste n’est qu’illusion et volonté réformiste futile pratiquant la politique de l’autruche, celle de se fourrer la tête dans le sable, pour mieux se faire botter le cul !
Meyssan appartient aussi au passé, il est incapable de lâcher prise de l’absurdité de l’impasse politique étatico-capitaliste qu’est et sera toujours le concept appliqué de “l’état-nation”, modèle archaïque voué à disparaître très bientôt pour laisser la place à une société humaine enfin réalisée car émancipée. Il y a du pain sur la planche, mais nous y venons aussi sûrement que demain le soleil se lèvera.
Alors oui, ouvrez les yeux ! mais à bon escient, pour comprendre et abandonner en rase campagne cette ineptie systémique criminelle et oppressive que sont l’État et le capitalisme. Meyssan a encore un bout de chemin à faire, mais le désire t’il vraiment ?
~ Résistance 71 ~
A consulter, notre page « Illusion démocratique »
Election présidentielle américaine : Ouvrez les yeux !
Thierry Meyssan
10 novembre 2020
url de l’article original:
https://www.voltairenet.org/article211574.html
L’élection présidentielle US de 2020 confirme la tendance générale depuis la dissolution de l’Union soviétique : la population états-unienne traverse une crise de civilisation et se dirige inexorablement vers une nouvelle guerre civile qui devrait déboucher logiquement vers une partition du pays. Cette instabilité devrait se solder par la fin de l’Occident en tant qu’hyper-puissance.
Pour comprendre ce qui se passe, il convient de dépasser l’effroi des élites européennes face à la disparition prochaine de la puissance qui les protège depuis trois-quarts de siècle ; et de regarder honnêtement l’histoire mondiale des trente dernières années. Il faut se replonger dans l’histoire US et relire sa Constitution.
L’hypothèse de la dissolution de l’Otan et des États-Unis d’Amérique
Lorsque, après trois-quart de siècle d’une dictature sans partage, l’Union soviétique s’est effondrée, tous ceux qui souhaitaient sa disparition en furent surpris. Durant des années, la CIA avait organisé un sabotage systématique de son économie et dénigré toutes ses réalisations, mais elle n’avait jamais prévu que ce sont les peuples soviétiques qui renverseraient ce régime au nom de ses idéaux.
Tout a commencé avec une catastrophe à laquelle l’État ne sut pas répondre. (Tchernobyl, 1986). Une population d’un quart de million de personnes dut fuir définitivement sa terre. Cette incompétence marqua la fin de la légitimité de la dictature. Dans les cinq années qui suivirent, les alliés du Pacte de Varsovie récupérèrent leur indépendance et l’URSS se disloqua. Ce processus fut de bout en bout mené par les Jeunesses communistes, mais il fut au dernier moment récupéré par le maire de Moscou, Boris Elstine, et son équipe formée à Washington. Le pillage des biens collectifs qui suivit et l’effondrement économique qu’il provoqua firent régresser la nouvelle Russie un siècle en arrière.
C’est de cette manière que les États-Unis devraient à leur tour disparaître. Ils vont perdre leur force centripète et être abandonnés par leurs vassaux, avant de s’effondrer. Ceux qui auront quitté le bateau avant qu’il ne coule auront une meilleure chance de s’en sortir. L’Otan devrait mourir avant les USA comme le Pacte de Varsovie est mort avant l’URSS.
La force centrifuge des États-Unis
Les États-Unis sont un pays très jeune, ils n’ont que deux cent ans d’histoire qui leur appartienne. Leur population ne cesse de se former avec des arrivées successives d’immigrants venant des régions du monde les plus diverses. Selon le modèle britannique, chacune conserve sa propre culture et ne se mêle pas aux autres. Le concept de « creuset » (melting pot) n’a existé qu’avec le retour des soldats noirs de la Seconde Guerre mondiale et l’abolition de la ségrégation raciale qu’il suscita, sous Eisenhower et Kennedy, pour disparaître après.
La population états-unienne se déplace beaucoup d’un État à l’autre. Depuis la Première Guerre mondiale jusqu’à la fin de celle du Vietnam, elle tentait de cohabiter dans certains quartiers. Durant une vingtaine d’années, elle s’est figée. Et depuis la dislocation de l’URSS à aujourd’hui, elle se ghettoïse à nouveau, non plus selon des clivages « raciaux », mais culturels. Dans les faits, le pays est déjà divisé.
Les États-Unis ne forment plus une nation, mais déjà onze distinctes.
Le conflit intérieur de la culture anglo-saxonne
La mythologie états-unienne rattache l’existence du pays à des 67 « Pères pèlerins », les immigrés du Mayflower. Il s’agit d’un groupe de chrétiens fanatiques anglais qui vivait en « communauté » aux Pays-Bas. Ils obtinrent de la Couronne la mission de s’installer dans le « Nouveau Monde » pour y combattre l’Empire espagnol. Un de leurs groupes débarqua dans le Massachusetts et y édifia une société sectaire, la colonie de Plymouth (1620). Ils voilaient leurs femmes et punissaient de durs châtiments corporels ceux qui avaient péché et s’éloignaient de la « Voie Pure », d’où leur nom de « Puritains ».
Les États-uniens ignorent à la fois la mission politique des Père pèlerins et leur sectarisme. Ils les célèbrent cependant lors de la fête de Thanksgiving. Ces 67 fanatiques ont eu une influence considérable sur un pays d’aujourd’hui 328 millions d’habitants. 8 présidents sur 46 sont leurs descendants directs, dont le président Franklin Roosevelt ou les présidents George Bush.
Les Puritains ont organisé une révolution en Angleterre autour de Lord Oliver Cromwell. Ils décapitèrent le roi, fondèrent une République intolérante, le Commonwealth, et massacrèrent les Irlandais « hérétiques » (papistes). Ces événements sont désignés par les historiens britanniques comme la « Première Guerre civile » (1642-51).
Plus d’un siècle plus tard, les colons du Nouveau Monde se révoltèrent face au poids écrasant des taxes de la monarchie britannique (1775-83). Ces évènements sont connus des historiens états-uniens comme la « Guerre d’indépendance », mais les historiens britanniques y voient au contraire la « Seconde Guerre civile ». En effet, si les colons qui firent cette guerre étaient de pauvres gens qui travaillaient dur, ceux qui les organisèrent étaient des descendants des Pères pèlerins qui souhaitaient affirmer leur idéal sectaire face à la monarchie britannique restaurée.
Quatre-vingt ans plus tard, les États-Unis se déchiraient avec la Guerre de sécession (1861-65) que certains historiens états-uniens désignent comme la « Troisième Guerre civile » anglo-saxonne. Elle opposait les États, qui fidèles à la Constitution originelle, entendaient maintenir des droits de douane entre eux, à d’autres États qui voulaient au contraire faire passer les droits de douane au niveau fédéral et créer ainsi un grand marché intérieur. Cependant, elle opposait aussi les élites puritaines du Nord aux élites catholiques du Sud, de sorte que l’on retrouvait les clivages des deux guerres précédentes.
La « Quatrième Guerre civile » anglo-saxonne, qui se dessine aujourd’hui, est toujours ourdie par les élites puritaines. Ce qui masque cette continuité, c’est la transformation de ces élites qui désormais ne croient plus en Dieu, mais conservent le même fanatisme. Ce sont elles qui se consacrent aujourd’hui à la réécriture de l’histoire de leur pays. Selon elles, les USA sont un projet raciste des Européens que les « Pères pèlerins » ne sont pas parvenus à corriger. Elles sont persuadées qu’il faut rétablir la « Voie pure » en détruisant tous les symboles du Mal comme les statues des Monarques, des Anglais et des Confédérés. Elles parlent le « politiquement correct », assurent qu’il existe plusieurs « races » humaines, écrivent « Noir » avec une majuscule et « blanc » en minuscules, et se ruent sur les suppléments abscons du New York Times.
L’histoire récente des États-Unis
Chaque pays a ses démons. Le président Richard Nixon était convaincu que le premier danger dont les États-Unis devait se prévenir n’était pas une guerre nucléaire avec l’URSS, mais cette possible « Quatrième Guerre civile » anglo-saxonne. Il s’était entouré du spécialiste en la matière, l’historien Kevin Phillips, qui fut son conseiller électoral et lui permit d’accéder deux fois à la présidence US. Cependant, les héritiers des Pères pèlerins n’acceptèrent pas son combat et le firent sombrer dans le scandale du Watergate (1972), ourdi par l’adjoint et successeur de J. Edgar Hoover au lendemain de sa réélection.
Lorsque la puissance US commença à s’essouffler, le lobby impérialiste, dominé par les Puritains, plaça au pouvoir un des descendants directs des 67 Pères pèlerins, le républicain George Bush Fils. Il organisa un choc émotionnel (les attentats du 11 septembre 2001) et adapta les armées au nouveau capitalisme financier, sous le regard tétanisé de ses concitoyens. Son successeur, le démocrate Barack Obama, poursuivit son œuvre en adaptant l’économie. Pour cela, il choisit l’essentiel de l’équipe de son premier mandat parmi les membres de la Pilgrim’s Society (l’association des Pèlerins).
Survint un événement disruptif, en 2016. Un présentateur de télévision qui avait contesté la transformation du capitalisme et les attentats du 11-Septembre, Donald Trump, se présenta à la présidence. Il conquit d’abord le Parti républicain, puis la Maison-Blanche. Tous ceux qui avaient fait chuter Richard Nixon s’en prirent à lui avant même qu’il n’investisse sa fonction. Ils sont parvenus à prévenir sa réélection en bourrant maladroitement les urnes. Ce qui importe, c’est que, durant son mandat, des siècles de non-dits ont ressurgi. La population US s’est à nouveau fracturée autour des Puritains.
C’est pourquoi, s’il est évident qu’une majorité d’États-uniens n’a pas voté avec enthousiasme pour un sénateur sénile, il me semble erroné de dire que cette élection de 2020 était un référendum pour ou contre Trump. Il s’agissait en réalité d’un référendum pour ou contre les Puritains.
Un résultat conforme au projet des Pères pèlerins
Lorsque la Guerre d’indépendance ou Seconde Guerre civile anglo-saxonne fut terminée, les successeurs des Pères pèlerins rédigèrent la Constitution. Ils ne firent ni mystère de leur volonté de créer un système aristocratique sur le modèle anglais, ni de leur mépris du peuple. C’est pourquoi, la Constitution des États-Unis ne reconnait pas la souveraineté populaire, mais celle des gouverneurs.
Le peuple, qui avait fait et gagné la guerre, accepta cet état des choses, mais imposa dix amendements, la Déclaration des droits (Bill of Rights), selon lesquels la classe dirigeante ne pourrait en aucun cas violer les droits des citoyens au nom d’une prétendue « raison d’État ». La Constitution ainsi amendée s’applique toujours.
Si l’on veut bien constater que, constitutionnellement, les États-Unis ne sont pas et n’ont jamais été une démocratie, on n’a aucune raison de s’indigner du résultat des élections. Bien qu’il ne soit pas prévu par la Constitution, le scrutin populaire pour l’élection présidentielle s’est progressivement imposé en deux siècles dans chaque État fédéré. Les gouverneurs doivent en suivre les indications pour désigner leurs 538 délégués au Collège électoral présidentiel. Certains gouverneurs ont donc bourré les urnes sans grand savoir-faire : dans plus d’un comté sur dix, le nombre de votants est supérieur à celui des habitants majeurs. N’en déplaise aux commentateurs, il est donc parfaitement impossible de dire combien d’électeurs ont réellement voté et qui ils auraient souhaité comme président.
Un sombre avenir
Dans ces conditions, le président élu, Joe Biden, ne pourra pas passer outre la fureur justifiée des partisans de son challenger. Il ne pourra pas réunir son peuple. J’avais écris, il y a quatre ans, que Trump serait le Gorbatchev des États-Unis. J’avais tort, il a su redonner un nouveau souffle à son pays. En définitive, ce sera Joe Biden à qui échoira la faute de ne pas parvenir à maintenir l’unité territoriale de son pays.
Les Alliés qui ne voient pas la catastrophe arriver en paieront de lourdes conséquences.
= = =
Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir !
Comprendre et transformer sa réalité, le texte:
Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »
+
4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:
Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être
Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche
Manifeste pour la Société des Sociétés
Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie
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8 Réponses vers “Mascarade électorale (une de plus…) à Yankland, ouvrons les yeux… à bon escient !”
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12 novembre 2020 à 9:49
TM : J’avais tort, il a su redonner un nouveau souffle à son pays.
=*=
No comment…
2016, les Zuniens de papiers avaient l’illusion du choix entre la peste et le choléra.
2020, les Zuniens de papiers avaient l’illusion du choix entre la chtouille ou la chaude-pisse (oui c’est pareil…).
En France, se profile la même piske, grâce au COnVIDE, après Philippe réélu dans une des 60 villes qui pratiquent (encore) le vote électronique, avance, même plus masquée, la fraude électorale au vote par correspondance !
Donc, en 2022, pour ceux qui ont l’intention d’attendre pour veauter, vous aurez (peut-être) le choix entre la petite vérole ou une couronnée vérole (poxvirus, y’a toujours pas de (BIO)HAZARD !)…
Ce qui prouve surtout que la vraie solution, c’est le boycott des élections à venir !
Une abstention politique active, mais qui ne passe pas par un vote blanc piske l’important n’est pas votre vote, mais l’émargement sur la liste du « A VOTÉ » ou du « a pissé dans un violon » paske c’est pareil…
Ni WAIT ni SEE = parce que c’est tout vu, non ?
JBL
12 novembre 2020 à 10:10
Absolument !
Boycott de TOUT ! Absolument tout ! et reprise du pouvoir par le peuple, les illustrations que nous avons mis sur la reprise de cet article de Meyssan (qui reconnaît un tort, mais il est toujours loin du compte concernant cette chèvre de Trump… 😉 ) ne sont bien entendu pas non plus un hasard … 😉
12 novembre 2020 à 12:22
Effectivement !
Si vous le permettez, je voudrais rappeler ici, un commentaire que vous aviez fait le 08/08/2016 : le danger actuel est le suivant : les gens ont plus que ras le bol de la fange politicarde actuelle, ils se détournent à raison de cette impasse politico-sociale qu’est le consensus du statu-quo oligarchique, mais le mécontentement populaire est souvent détourné au profit des communautarismes et patriotismes stériles de tout poil entretenus par la peur de l’Autre.
Cette phase historique sera-t-elle différente, les peuples embrasseront-ils leur nature profonde faite de solidarité, d’égalité politique et économique et d’anti-autoritarisme ?
Procéderons-nous enfin à ce retour aux sources adapté à notre monde moderne ?
L’intérêt est là, nous pouvons le constater en première main, de plus, il faudra faire des choix rapides, car une fois la pantalonnade des « élections » yankees terminée… L’accélération vers la répression globale et le bouclage de la grille de contrôle mondiale va s’opérer avec l’un ou l’autre des deux gugusses psychos et incompétents aux manettes ou avec toujours l’autre en place, ce qui est une possibilité non négligeable.
Preuve que dans ce système-là ben c’est toujours la même mer*e qui passe, et qui repasse tous les 4 ans, et donc preuve que si on change rien, si on laisse faire, alors demain ce sera bien pire !
D’où l’appel à STOPPER TOUS LES DÉLIRES technotroniques, sanitaires, transhumanistes et eugénistes, là aussi c’est pareil !
Et il nous suffit de dire NON, ensemble, en masse, enfin 10 à 15% de la population mondiale et tout s’arrête en 15 jours !
12 novembre 2020 à 2:07
Belle mémoire d’archive Jo… marrant de se relire 4 ans plus tard… 😉
Foutre l’illusion démocratique par dessus bord !
L’émancipation réelle, totale et historique de l’humanité passe par la mise à bas de l’État, de la marchandise, de l’argent et du salariat.
Tout le reste n’est que fumisterie réformiste illusoire et n’est que pisser dans un violon !
C’est l’évidence même. Agissons donc en conséquence.
12 novembre 2020 à 8:31
COMPRENDRE CE QUE FAIT D.O.N.A.L.D T.R.U.M.P https://www.youtube.com/watch?v=FhJvWYJC8Bk
12 novembre 2020 à 10:12
Elite transnational fascism
https://winteroak.org.uk/2020/11/12/elite-transnational-fascism/
We are reposting here this important article by Ullrich Mies from the German-language Rubikon site, in the form of a “raw” translation via Alison Blunt and deepl.com
Since March 2020, the form of rule that has been systematically unfolding since the fall of the Berlin Wall in 1989/1990 has been fully in evidence: A transnationally operating oligarchic caste has taken over rule in the Western “democracies”.
The mass base of “traditional” fascism was the enthusiastic petty bourgeoisie, incited by propaganda (1). The leader (state) promised the masses salvation from all evils. The leader carried the masses, the masses carried the leader (state) and the latter led them into war and ruin in the interest of (monopoly) capital.
In the course of recent decades, a transnational, well-connected caste has emerged, which no longer conducts its wars only outwardly, but has recognized civil societies as a whole as a threat to its power. Since March 2020, the centers of power have expanded their wars inwards in the name of the corona infection regime.
By transnational “elite” fascism I mean an alliance of transnational capitalist class, transnational power elite (2) with the transnational digital, military, intelligence, science and media complex and the governments as their executive committees. I refer to this conglomerate as the parasites of civil societies, which serve as their “host” bodies.
Their new means of rule is a health dictatorship based on infection regimes that can be activated at any time. Today Covid-19, tomorrow rhinoviruses, the day after tomorrow perhaps malaria or a “biological warfare” attack.
A propagandistic masterpiece unprecedented in the history of mankind
The never-ending “war on terror” has been extended by the “war on infection” since March 2020. This is directed against humanity as a whole.
The “great concern” of the centres of power for “public health” is a propagandistic masterpiece unprecedented in the history of mankind. It is a PSYOP prepared for years, a psychological warfare against civil societies.
After decades of mistakes by the ruling cliques, the legitimacy of Western politics was at zero by the end of 2019. And those who have ruined the planet, humanity, coexistence, inner and outer peace and all positive values of human history, should now be the great saviours of humanity?
How ahistorical, unsuspecting, naive and brainwashed by the media does one have to be to relieve the drivers of globalized catastrophe capitalism and the perpetrators of the disaster that has been wreaked of the great concern for the health of the people?
Emergency state as permanent state
The “mass base” of the centers of power has long since ceased to be the followers of convinced people. Their new followers are the masses of manipulated, lied to and terrorized people in a state of fear and panic. The mass media stupefaction secures the fear-based entourage.
Jeffrey A. Tucker from the American Institute for Economic Research writes about this in his article “When will the Madness end?
““I’m a practicing psychiatrist who specializes in anxiety disorders, paranoid delusions, and irrational fear. I’ve been treating this in individuals as a specialist. It’s hard enough to contain these problems in normal times.
“What’s happening now is a spread of this serious medical condition to the whole population. It can happen with anything but here we see a primal fear of disease turning into mass panic. It seems almost deliberate. It is tragic. Once this starts, it could take years to repair the psychological damage”. (3)
From now on, the state of emergency can be declared a permanent state at any time
In addition, the mask compulsion is intended to practice obedience and subservience, to ensure the “cohesion” of the mask wearers and their submission to supposed authorities, as well as to outlaw the “mask enemies” as “non-solidary endangerers”.
Currently, the perpetrators are terrorizing our children in the schools by forcing them to wear masks. This is where the new subject is bred.
The means of domination of the centers of power is the “infection” state of emergency with the exclusion of civil rights.The Merkel clique and their entourage have cold-cleaned the Basic Law. From now on, the state of emergency can be declared a permanent state at any time.
Even “democracy” in its deficient form of party democracy has been suspended by the Covid state of emergency,and the separation of powers has largely collapsed.
Bill Gates and his scientific and political collaborators do not want us to ever return to the pre-Covid 19 state (4).
This is the end of the democracy project and the final takeover by the plutocracy, a silent coup d’état
Democracy as we knew it belongs to the past. Bernd Hamm wrote about this already in 2017: “The neoliberal ideology has helped to reduce state regulations & accumulate wealth at 1 percent. The rich are able to influence a considerable part of state legislation in their favour.
“They and their wealth are advised and protected in their services by hosts of parliamentarians, managers, accountants, lawyers, tax advisors, think tanks, radio stations, film studios, publishers, media, researchers, hacks, lobbyists, bodyguards and other lackeys.
“Private property is the golden calf of capitalism and unregulated capitalism is the bible of the ruling class. They can even mobilize police and military on their behalf. The nation state and its government remain important institutions, but above all, governments must keep the masses under control. This is the end of the democracy project and the final takeover by the plutocracy, a silent coup d’état” (5).
Traditional fascism combined mass support and propaganda with hard-hitting (street) terror and hall battles against its enemies.
By contrast, transnational “elite” fascism is much more subtle and intelligent. As the German variant of transnational “elite” fascism, Merkel clique, the neoliberal party unit and media front, as well as the third-party prostituted science (6), try to push through their position and maintain their power by all means of propaganda, censorship, the dismantling of any opposition and the suppression of “deviators”.
Reset of World Economy
The centers of power intend to enforce several lockdowns to achieve their goals. Ultimately, they aim to reset the world economy (7).
They want to “rebuild” the “old” globalized disaster capitalism that brought the planet to the brink of collapse. But the fundamental goal is to maintain the capitalist system under the newly created conditions of the 4th Industrial Revolution after the Great Reset.
The states are to be fully subjected to the control of the international financial industry.
Before the Corona crisis, Germany had national debts of around 2 trillion euros. It took Germany 75 years to accumulate these. It took the Merkel team 3 months to double this national debt.
The centres of power are striving to privatize the remaining state property under the control of the international financial industry through the total indebtedness of the states
Deutsche Bank wrote about the consequences of the Corona crisis on April 24, 2020: “According to our calculations, the German state can fall back on a staggering sum of up to 1.9 trillion euros, well over 50 percent of German GDP, through the anti-crisis packages that have been launched […]” (8).
Deutsche Welle wrote on 24 June 2020: “At least $15 trillion […] has already been earmarked by governments and central banks to fight the corona pandemic and its consequences. Including the debts… of companies and banks, the IIF (Institute of International Finance), the banking lobby association, comes to an unimaginable 250 trillion dollars” (9).
In June 2020 the World Bank offered Belarus a loan of 940 million US dollars on condition that the country agreed to a lockdown, i.e. the ruin of its economy (10).
The centres of power are striving to privatize the remaining state property under the control of the international financial industry through the total indebtedness of the states.
The total indebtedness of states is a means of enslaving humanity
Broke companies, which have been driven to the brink of insolvency by the Corona crisis, are then taken by the radical market governments under state control in order to force the taxpayer to bear the cost of their restructuring. The total indebtedness of states is a means of enslaving humanity (11).
In Europe, the EU is the decisive control center for the de-democratization of nation states. The ruling economic and political cliques do everything they can to maintain the faltering EU as their power project, to completely undermine the democratic institutions of the nation states and to further disempower the parliaments.
The 27 EU states have just agreed on a budget and financial package in the historic order of 1.8 trillion euros.
It is already certain that the money will primarily end up in banks to refinance old debts, as was the case with the earlier aid to Greece (12).
Democracy-free commissions, directorates, senates, stakeholder agreements and backroom committees of all kinds secure the totalitarian rule of the transnational oligarch caste. The nation state serves them solely as a surveillance and repressive state to keep the populations under control.
Population Reduction
Global population reduction is an integral part of the great global economic reset. For the 4th industrial revolution billions of people are “superfluous” (13).
The “cleansing” of the world population will take place through the creeping destruction of small and medium- sized businesses and the worldwide supply chains with hundreds of millions of employees.
The part of the small and middle class that can be “exploited” by the international investment strategists is being squeezed out of self-employment and into the dependent low-wage sector, others are being subjected to digital and platform corporations and their exploitation strategies, and large parts are going under, as the domination strategists intended.
According to the International Labor Organization, the first lockdown has already left 1.6 billion people in the so-called informal sector unemployed, i.e. people without regular employment contracts.
The question is: “How many hundreds of millions of people will lose their lives through the economic destruction of existence?
All that matters is new gigantic business models for Big Pharma, Big Money and Big Government, which are staged with all means of propaganda and repression
The centres of power tread smilingly over millions of corpses. They have sufficiently proven this through their wars alone after 1989. The First and Second World Wars claimed more than 100 million lives.
If “only” 10 percent of the 1.6 billion died as a result of the targeted economic destruction of existence, this would mean 160 million people (14). But there will certainly be more!
Whether the centers of power and their figurehead Bill Gates also aim to reduce the world population through vaccination regimes is open to speculation (15).
Bill and Melinda Gates act as the great saviours of humanity through vaccination regimes (16). They are definitely not saviours of humanity! All that matters is new gigantic business models for Big Pharma, Big Money and Big Government, which are staged with all means of propaganda and repression.
“For Bill Gates, vaccines are a ‘strategic philanthropy’ that feeds his many vaccine businesses and gives him dictatorial control over global health policy” (17).
The 4th Industrial Revolution
Goals of the 4th industrial revolution (18) are:
the abolition of all democracy
a new geopolitical order
5G (19) and the associated satellite technology. 5G is primarily a technology for the military to wage wars on completely new bases. 5G is installed and the consequences for man and nature are completely ignored
the Internet of Things (20), it is about technologies of a global infrastructure of information societies
a cashless world (21)
the establishment of a cold social life of social distance and total biometric control
a compulsory vaccination regime using genetic engineering and nanotechnology, with the pharmaceutical companies being absolved of all liability
the expansion of artificial intelligence in conjunction with post- and transhumanism, i.e. the fusion of man and machine (22)
the construction of “smart cities” (23)
The transnational “elite” fascists are seeking a New World Order of dictatorial global governance
In summary, the transnational “elite” fascists are seeking a New World Order of dictatorial global governance.
After the great reset (24) the remaining world population will supposedly live in a new world. The centres of power are doing their utmost to ensure that after the transition to the 4th Industrial Revolution their New World Order will be irreversible.
Requirements for a new beginning…
Since the centers of power are rebuilding the world unrestrainedly, the resistance is allowed to think about how humanity, in particular in the western facade democracies, could find its way out of the current morass. Here are some thoughts on this:
Dissolution of political parties in their present form and function
Resolution of corrupting lobby complexes
Dissolution of the secret services, at least their massive reduction
Reduction of the military to national defense
Abolition of politician immunity
Confiscation of party assets or political assets in the event of proven constitutional and legal violations and damage to the general public
Responsibility through genuine assumption of responsibility, i.e. political liability – Penalty reinforcement in case of breaking oaths of office
Convening Constituent Assemblies
Strengthening direct democracy
Completely new conception of the media, i.e. placing them under popular democratic control.
A new generation of politicians must have proven themselves “in life”, must comply with ethical-moral principles, constitutional and legal compliance and must be accountable for this before assuming public office.
This would be an essential start.
13 novembre 2020 à 1:53
A few interesting details, nothing much which was not already available… The solution offered…
oops, on passe en français 😉
Quelques détails intéressants, pas grand chose qui n’était pas déjà connu, quant à la solution offerte : part de bons principes, mais le fait de dire qu’il faut « de nouveaux politiciens » devant « être en accord avec des principes éthiques, constitutionnels etc… » montre qu’une fois de plus, ces gens n’ont rien compris au film.
IL N’Y A PAS DE SOLUTION AU SEIN DU SYSTEME, il faut en sortir radicalement (profondément, depuis la racine), notre salut en tant qu’humanité se trouve hors État, hors marchandise, hors argent et hors salariat.
La merdasse étatico-capitaliste est absolument irréformable, elle est une ignominie à faire passer à la trappe et le plus tôt sera le mieux, mais en fait il faut deux facteurs nécessaires et suffisants pour que la révolution sociale puisse se produire avec succès :
1- Que le système soit au creux de la vague et au bout du rouleau
2- Que la conscience politique individuelle et collective soit adéquate
Historiqueent, nous avons eu plusieurs fois le 2 et jamais encore le 1
Aujourd’hui nous sommes en début de phase 1 avérée, mais 2 est encore faible
Solution à 10% en marche, lorsque les deux fenêtres coïncideront… Bingo! Cela se produira, peut-être plus rapidement qu’on le pense, il faut que les personnes comme celles qui ont écrit cet article finissent par lâcher prise et se rendre compte qu’il ne sert absolument à rien de vouloir réformer le système. Il est au delà de toute rédemption, de fait, sa nature même en fait quelque chose d’oppresseur et répressif à tout jamais. L’esprit n’est pas de le rendre plus « vertueux », il faut l’abattre et le remplacer par la société à pouvoir non coercitif, celle de l’intégration populaire dans le décisionnaire à tous niveaux, sans institutions autoritaires, sans rapport à l’échange, l’argent, la plus-value et la vente de sa force de travail (salariat).
Toute autre considération n’est que pisser dans un violon et la révolution sociale, la seule et unique qui aura lieu dans l’histoire humaine, balaiera tous les doutes et toute la fange archaïque de l’exploitation organisée. Vive la Commune de notre humanité enfin réalisée !… 😉
Fraternellement
13 novembre 2020 à 5:01
P.S : en juin 2010, il y a plus de 10 ans donc, l’un de nous écrivait ceci: « Que faire ? » ayant pour sous titre: « La marche vers la tyrannie globale, comment s’en sortir ? »
Tout se déroule comme prévu pour l’oligarchie, c’est à nous tout simplement de les empêcher de tourner en rond. Nous ne devons plus être dans une logique de « révolution » qui par définition est un mouvement fermé sur lui-même, mais bien reprendre notre Évolution en passant par la (r)évolution de la mise à bas du système étatico-capitaliste et de la mise en place de la société des sociétés…
La solution est un changement radical, c’est à dire par la racine de l’affaire. Tout le reste est futile et vain.