Archive pour mars, 2020

Coin lecture spécial confinement coronavirus 3ème fournée : colonialisme, fléau d’hier et d’aujourd’hui

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La connexion profonde de l’humanité
est avec la terre…

 

« Cinq siècles plus tard cette résistance demeure, sous des formes variées, en Amérique du nord, du sud et centrale, comme cela se passe aussi chez tous les peuples indigènes sur d’autres terres qui ont souffert de la furie occidentale. En comparaison de ce qu’ils furent, les peuples natifs de la plupart de ces endroits ne sont plus maintenant que des reliques ; mais aussi dans chacun de ces endroits, la lutte pour la survie physique et culturelle et pour la renaissance d’une autonomie et d’une fierté bien méritées, continue sans discontinuer… »
~ David E. Stannard, Ph.D, dans l’introduction de son livre « American Holocaust », Oxford University Press, 1992 ~

 

Résistance 71

 

31 mars 2020

 

1ère fournée

2ème fournée

 

Pour la doxa étatico-capitaliste nous vivons dans un monde « post-colonial »… Vraiment ?… Réfléchissons-y ensemble si vous le voulez bien avec ces 15 textes de pensée critique à lire et partager sans aucune modération.

Bonne lecture !…


… même combat !

Coronavirus… Nous sommes dans la 3ème guerre mondiale (James Corbett)

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Croquemitaine au rapport !

 

La troisième guerre mondiale a commencé

 

James Corbett

 

21 mars 2020

 

url de l’article original:

https://theinternationalforecaster.com/topic/international_forecaster_weekly/wwiii_has_begun

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Une question pour vous : Comment savez-vous quand on est en guerre ?

Quand il y a des soldats dans les rues ? Quand il y a une panique de masse ? Quand on est sous loi martiale et que le public est forcé de se terrer pendant un siège de mois ou d’années ? quand les “leaders” et autres petits chefs du monde disent à leurs populations que c’est la faute de l’ennemi si on a tout ce carnage ?

Bon alors la troupe dans les rues ? affirmatif

Panique de masse ? affirmatif

Loi martiale et public forcé de se terrer ? affirmatif et affirmatif

Les leaders du monde disant à leurs populations que ce carnage est la faute de l’ennemi ? affirmatif

Donc, par tous ces paramètres, oui, nous sommes en guerre. Mais personne ne l’appelle guerre. Pourquoi pas ? Parce que dans l’esprit du public, il n’y a qu’un seul paramètre pour juger du statut de guerre : les troupes sont-elles sur le champ de bataille en train de s’entretuer ? C’est ça la guerre non ?

Mais alors, pourquoi Merkel invoque t’elle la seconde guerre mondiale dans sa tentative d’expliquer la crise actuelle aux Allemands ? Pourquoi nous raconte t’on que les temps que nous vivons sont pires que la guerre ? Pourquoi y a t’il, trompeur après trompeur de Trump à Trudeau et apparemment tout le monde, une invocation des mesures d’urgence datant de la guerre tout en préparant le déploiement total d’une loi martiale ?

Pas encore assez pour vous convaincre que le monde est maintenant en guerre ? Alors pourquoi Trump a t’il déclaré a guerre au coronavirus tout en s’adoubant “président de temps de guerre” ? Pourquoi Macron a t’il déclaré avec un regard froid face caméra “Nous sommes en guerre !” (NdT: en français dans le texte original) Pourquoi Boris Johnson, Moon Jae-In et tous les soi-disants “leaders” du monde en rajoutent-ils tous sur leurs déclarations de guerre ?

La vérité est que le monde est en guerre maintenant. Cette guerre.. c’est la 3ème guerre mondiale. La différence c’est que personne jusqu’à présent ne comprend la nature de cette guerre, qui sont ses combattants et quels sont les objectifs de ceux qui la font. Je vous sens quelque peu incrédule, permettez-moi donc d’expliquer.

Depuis quelques décennies maintenant, la métaphore de guerre a été utilisée par les politiciens pour battre les tambours du soutien à leurs propositions politiques. A chaque fois qu’un président américain veut déclarer la guerre à un nom abstrait, comme “la guerre contre la pauvreté” de Johnson ou celle de Nixon sur “la guerre contre la drogue”, ou celle de Bush sur “la guerre contre le terrorisme”, nous savons à quoi nous attendre : des miliiards de dollars seront dépensés, la bureaucratie va augmenter, les droits du citoyen lambda vont décroître et ah oui, la chose contre laquelle cette guerre est menée va en général se renforcer exponentiellement.

Mais cette “guerre contre le coronavirus” est différente. Cette “guerre” particulière pourrait très bien devenir la première bataille de ce que les historiens du futur pourrait bien appeler la 3ème guerre mondiale.

Tout comme la première guerre mondiale avec ses no man’s lands, ses mitrailleuses et ses pertes humaines jamais vues auparavant, fut également une guerre comme jamais vue, tout comme la seconde avec ses batailles de chars, ses bombardiers et sa guerre sous-marine puis l’arme nucléaire ciblant des civils, fut comme aucune guerre jamais vue auparavant. Ainsi donc, elle aussi, la 3ème guerre mondiale sera sans aucun doute comme quelque chose jamais vu auparavant.

Cette fois-ci, la guerre mondiale prend la forme d’une guerre hybride. “Guerre hybride” est un terme devenu en vogue chez les stratèges militaires ces dernières décennies pour décrire un type de guerre irrégulier qui combine la guerre conventionnelle avec ses armes, ses bombes et ses champs de batailles avec d’autres nombreuses méthodes d’attaques: guerre cybernétique, opérations de désinformation, campagnes de déstabilisation politique, guerre du droit et tout ce qui peut diminuer ou déstabiliser un ennemi en temps de conflit.

En premier ordre d’analyse, ce ne serait pas difficile de caractériser les relations actuelles entre les Etats-Unis et la Chine comme une guerre hybride. En fait, c’est ce que fait le journaliste Pepe Escobar dans sa toujours perceptive analyse des derniers mouvements sur l’échiquier géopolitique : « China Locked in Hybrid War with US. » Comme il le note:

“Parmi la myriade d’effets dévastateurs du coronavirus, l’un d’entre eux est particulièrement évident de manière graphique. La Chine s’est repositionée. Pour la première fois depuis les grandes réformes de Deng Xiao Ping de 1978, Pékin regarde officiellement les Etats-Unis comme une menace, comme l’a dit il y a un mois le ministre des affaires étrangères chinois Wang Yi à la conférence sur la sécurité de Munich au faîte de la lutte contre le coronavirus en Chine. Pékin est en train de graduellement et prudemment façonner le narratif disant que depuis le début de l’attaque du coronavirus, le leadership du pays savait qu’il était sous le coup d’une attaque de guerre hybride. La terminologie employé par Xi est un indice majeur. Il a dit officiellement que ceci était une guerre et qu’en contre-attaque, une “guerre populaire” doit être lancée.

Escobar poursuit en faisant remarquer que le porte-parole du ministère des AE chinois Zhao Lijian a insinué publiquement que ce fut “l’armée américaine qui amena l’épidémie à Wuhan” (NdT: comme ce fut l’armée américaine qui apporta la “grippe espagnole” en Europe fin 1917…), ceci représentant  non seulement une entorse au protocole diplomatique, mais aussi le langage d’un belligérant en temps de guerre. Etant donné le gigantesque point d’interrogation planant sur chaque aspect de cette pandémie actuelle, la suggestion que ce nouveau coronavirus provienne de Fort Detrick n’est en rien farfelue. Gardez aussi présent à l’esprit que ceci ne reflète pas une théorie de la conspiration flottant sur la toile, mais que cela provient d’un représentant bien réel du gouvernement chinois. Ceci n’est pas une accusation à la légère. Mais il n’y a pas que la Chine qui montre du doigt l’oncle Sam.

Alors que des porte-paroles du gouvernement chinois lèvent le spectre que le coronavirus CoVD19 est en fait “made in USA”, l’administration Trump fait des pieds et des mains pour faire renommer le SRAS-CoV-2 comme le “Virus Chinois”. Aussi mesquine qu’elle puisse paraître, cette sémantique est importante. Quiconque a passé un peu de temps en ligne ces dernières semaines a pu remarquer, la portion du public américain abrutie au fluor et accroc aux merdias de masse, a été excitée par cette rhétorique anti-chinoise et les Chinois ont remplacé les Russes comme croquemitaine du jour dans les esprits de ces “gens normaux” facilement manipulables.

Escobar conclut son rapport en prévoyant la possibilité que cette entière crise du coronavirus ne soit en fait “qu’une opération psychologique de grande envergure façonnant l’environnement social et géopolitique parfait pour la mise en place d’une domination totale.” La question qui brûle alors les lèvres est celle-ci : “Est-ce que les élites impérialistes vont toujours choisir de mener cette guerre hybride de domination totale contre la Chine lorsque tout ceci sera fini ?” D’après le contexte plus large du conflit américano-chinois que, comme je l’ai dit à maintes reprises, est en train d’être mis en place pour définir le champ de lutte du XXIème siècle, l’analyse d’Escobar est de fait bien plausible.

Mais, comme je l’ai tout aussi bien répété, cette grande lutte entre la Chine et les Etats-Unis qui devrait définir ce siècle (tout comme la guerre froide du XXème siècle…) est en fait une scène de théâtre, un conflit manipulé et à terme.. bidon. La véritable bataille ne va pas être entre “la Chine” et “les Etats-Unis”, comme veut le prétendre cette étiquette apposée pour le XXIème siècle. Non, la véritable bataille sera entre les banksters et leurs cohortes d’ingénieurs sociaux en herbe et la masse de l’humanité.

[à ce sujet, lire notre article du 6 juillet 2016 : « Brexit… L’allégorie du bernard l’ermite » nous en parlons depuis un moment de ce théâtre géopolitique…]

Si cette guerre hybride est bien la 3ème guerre mondiale, alors nous devons faire un constat fondamental ; qui sont les combattants et pourquoi se battent-ils ? N’est-ce pas la chose a plus facile à déterminer dans toute guerre ? Regardez vers qui les troupes pointent leurs armes et vous y trouverez l’ennemi non ?… Regardons-y de plus près.

Les troupes sont en train d’être déployées pays après pays au moment même où je tape ces lignes. Et sur qui pointent-elles leurs armes ?

Leurs compatriotes.

Des opérations de guerre cybernétique sont en train d’être menées maintenant pour éliminer les systèmes de communication de l’ennemi et pour étiqueter les transmissions de l’ennemi comme étant de la “désinformation”. Mais qui est la cible de tout cela ? Les citoyens journalistes et les réalistes de la conspiration.

Des campagnes de déstabilisation politique sont mises en place… mais c’est le parti démocrate qui est pris la main dans le sac à plomber ses propres élections de primaire et la presse de l’establishment qui essaie de minimiser les décisions politiques prisent par referenda et l’intelligentsia de l’opposition qui se ligue contre des gouvernements “démocratiquement élus” dans ce supposé “monde libre”. Et là où les manifestations et mouvements de lutte étaient si subversifs dans le monde il y a juste quelques mois, maintenant tous les pays déclarent les uns après les autres illégal le rassemblement de plus de 10 personnes.

Encore et toujours nous réalisons que la guerre qui est menée est une guerre par les gouvernements, l’armée, le pouvoir financier et entrepreneurial contre les masses de l’humanité qui les opposent de plus en plus violemment.

Ceci est la véritable nature de la 3ème guerre mondiale. Elle est menée en ce moment même et aux yeux des autoritaires de tout poil… NOUS sommes l’ennemi.

bien sûr il y a la manifestation de tout ceci en 2D, le tumulte géopolitique et l’état de guerre des états-nations se jouant en même temps. Mais celles-ci ne sont juste que des batailles de diversion faites pour nous distraire de l’évènement majeur : la bataille menée contre l’humanité libre.

Voilà pourquoi le modèle chinois, celui d’une société Big Brother de surveillance totale et de verrouillage technocrate est “dénoncé”par les “leaders du monde libre”, dans le même temps où ils œuvrent pour que ceci se produise dans leurs pays.

Oui les gars, que vous le sachiez ou non, la 3ème guerre mondiale a déjà commencé et aux yeux de ceux qui mènent cette guerre, vous êtes l’ennemi combattant. La seule question qui a de l’importance est celle-ci : Allons-nous nous réveiller à temps pour riposter ou allons-nous nous coucher et laisser les autoritaires de tout poil gagner et nous piétiner ?

= = =

Notre dossier « Coronavirus, CoV19 »

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir !

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

 

Statistiques coronavirus et décès du gouvernement italien (PDF)

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Stats à l’intersection « mensonges » et « foutus mensonges »

 

Résistance 71

 

30 mars 2020

 

Ci-dessous en format PDF, les statistiques publiées par le gouvernement italien sur les décès de personnes positives au coronavirus. Notez que nous ne disons pas ici que ces personnes sont décédés DU coronavirus, mais qu’elles étaient effectivement infectées au moment de leur décès. Ceci a son importance vous allez voir pourquoi.

Lisez le document en entier. Il est en anglais mais simple à comprendre avec de nombreux graphiques.

En résumé :

Des gens malheureusement décédés en Italie, dans la vaste majorité en Lombardie, l’âge moyen des personnes décédées et testées positives au CoVD19 est de 78 ans avec un pic de décès dans le groupe d’âge 80-89 ans. 29% était de sexe féminin et donc 71% de sexe masculin. La plupart des personnes décédées étaient en parallèle affectées d’une ou plusieurs maladies chroniques ou non. Les statistiques sont les suivantes:

  • 74% de ces personnes souffraient d’hypertension artérielle
  • 30% souffraient de diabète
  • 47% souffraient de problèmes cardiaques divers
  • 23% souffraient de problèmes rénaux
  • 18% étaient des patients de cancer actif dans les 5 ans

De plus, des facteurs de co-morbidité, c’est à dire de plusieurs maladies ayant été causes de décès ne sont pas négligeables chez ces personnes décédées : 51% c’est à dire plus de 1 sur 2 !!… étaient sous un facteur 3 de co-mobidité, c’est à dire présentaient 3 maladies avec le coronavirus, 26% en facteur 2 et 21% avait 1 condition supplémentaire de co-morbidité. Au total donc, en Italie, des personnes décédées et positives au CoVD19 « Caroline du Nord », 98% présentaient des facteurs de co-morbidité allant de 1 à 3 !…

Alors des chiffres, oui… mais tous les chiffres et les bonnes analyses qui vont avec SVP et pas du buzz ne visant qu’à affoler les foules. Merci au gouvernement italien d’avoir publié ces statistiques. Elles aident grandement à comprendre qui si la maladie est certes un problème, on se fout aussi un peu (beaucoup ?…) de notre gueule quelque part…

Les Stats italiennes (PDF)
Italy_Report-COVID-2019_24_marzo_eng

Notre dossier « Coronavirus, CoVD19

MaJ: D’après des médecins italiens, les statistiques concernant les décès potentiellement liés au CoVD19 sont « arrangées ». de fait, seuls 12% des décès peuvent être imputés au virus, 88% des autres décès ayant de nombreux facteurs de co-mobidités. Info (en anglais) ici.

 

Le combat du siècle… Coanarvirus contre paranovirus

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Co-Anarvirus vs Paranovirus… comment survivre

 

Paris Luttes Info

 

24 mars 2020

 

url de l’article:

https://paris-luttes.info/co-anarvirus-vs-paranovirus-13652?lang=fr

 

La pandémie qui frappe la société capitaliste dans laquelle nous vivons a deux faces : celle d’un Co-Anar, terriblement efficace pour saper les fondements du pouvoir, et celle du ParanoVirus, terrible dans sa capacité à nous démobiliser et à déléguer nos actions au saint État. Que faire ?

Ami·e·s, réjouissons-nous ! Après un an et demi de Giletjaunage, après une grève générale historique, alors que les saisons se dérèglent et que le temps social est à la révolte, notre agent secret jaune-noir-rouge-vert, nom de code Coranavirus 19, détruit un à un les leviers du pouvoir qui nous oppressent : chute vertigineuse des Bourses, arrêt de la production de masse, grève générale imposée aux populations, trêve hivernale repoussée, baisse des activités humaines et donc des gaz à effets de serre… Certes, Co-Anar est nihiliste jusqu’à l’extrême : il met sous pression nos collègues de la santé et tue nos proches ; il n’est en aucun cas un ami sincère. Mais cette petite bête aura mis un coup d’arrêt à la machine-Goliath, le capitalisme, une machine qui ne fonctionne que parce qu’elle est en mouvement. Survivra-t-elle à un si long arrêt ?

Néanmoins, l’État propage une terrible maladie : le ParanoVirus ! Cette maladie, animée d’une rationalité faussée et que la peur de la mort alimente, ordonne à ceux qui en sont atteints d’arrêter de vivre pour se préparer à l’avenir – SPOILER la Mort – et de voir dans chaque être humain le présage de sa fin. Alors il faut tout contrôler : contrôler qui, quand, où, comment l’on voit d’autres humains, faire confiance à tous les charlatans – l’État en fait partie – tout désinfecter à outrance parce que le Mal ce seraient toutes les bactéries et tout ce qui est vivant, autre que notre propre corps. À l’ère de la rumeur, le ParanoVirus se diffuse très vite : ce qui a le plus de vues devient vrai, ce qui est validé par des « experts » devient « source ». Conséquence du ParanoVirus : des crises de panique dans les supermarchés et une ambiance anxiogène, une volonté de rester seul, chez soi, pour que les GAFA, les Netflix, les livraisons Amazone & cie nous nourrissent…

Que pouvons-nous faire ? 

Nous poser, vu que dorénavant et « jusqu’à nouvel ordre » nous avons du temps devant nous.

Précisions avant de commencer : 

Certains seront choqué·e·s par le ton léger de ce texte, et d’autres y verront de l’irrespect pour les personnes qui luttent contre cette maladie et ceux qui en ont peur. Personnellement, j’ai peur de cet État et de ce qu’il pourrait profiter d’une telle occasion. J’ai peur du contrôle des populations que nos technologies induisent. J’ai peur du monde dans lequel je vais vivre et par cette contribution je voudrais nous préparer à un potentiel après.

Les pointes d’humour de ce texte, ce sont autant de moyens de lutter contre la dépression qu’induit le ParanoVirus. Les propositions de ce texte, c’est pour que nos collègues de la Santé ne se retrouvent pas seul·e·s pendant 2 mois. 

Je pense également que la peur détruit toute réflexion, et bien que j’ai confiance dans les médecins et leurs conseils, je ne veux pas perdre mon sens critique. Comme qui dirait : le diable se cache dans les détails, noyés dans une brume de peur…

« Et pourtant, Mamie et Papi nous ont bien dit de ne pas boire le sang des chauves-souris ! » Ou l’arbre qui cache la forêt

Tout commence par des vampires très très loin dans l’Est et leurs rituels bizarres… Vous pensez que cette phrase est raciste ? Elle l’est.

Le storytelling du Corona c’est que des gens bizarres mangent des animaux, des vrais tout bizarres, pas des surgelés sous plastique bien aseptisés, et puis POUF cela fait un virus mortel pour l’humanité.

Déjà, bon nombre d’humains voient dans les crises écologiques les signes de la Fin du monde, la Fin de l’humanité. Mais non : à la limite, nous sommes témoins de la fin d’un régime, le capitalisme, voire uniquement d’une forme de ce régime, le néolibéralisme. Nous devons donc préparer la suite, pas nous préparer à être seuls dans un monde qui n’est plus. Cela induit des comportements radicalement différents : soit l’on essaye de se voir, de préparer de la bouffe ensemble, soit l’on dévalise les magasins et l’on s’enferme seul en attendant la Fin… et notre propre Faim !

Disons simplement que l’autoréduction – oui, le vol dans les magasins, manger dans les magasins – c’est plus sympa à plusieurs.

Revenons à la naissance de notre antihéros, le Co-Anar : il est le benjamin d’une fratrie de virus jugulés très vite, dès leurs apparitions. Cela suit à chaque fois le même schéma : des animaux en mauvaise santé issus d’élevages intensifs en contact avec des humains en mauvaise santé dans des territoires où des humains en mauvaise santé, poussés à la migration par le « travail », sont concentrés. Le pays où ces questions atteignent leur paroxysme, c’est la Chine. Mais c’est en réalité nos modèles de villes, concentrationnaires jusqu’à l’absurde, qui sont à remettre en cause : concentration de population, de pouvoir, d’inégalités sociales, de pollution, de mal-être, construites en opposition frontale avec le vivant, etc.

Parce qu’il y a du mal-être, l’État met en place des outils de contrôle de la population. Là aussi, la Chine d’aujourd’hui est une société dystopique qui sert de modèle pour nos démocraties hightech : reconnaissance faciale, utilisation des smartphones pour pister les individus, système de points virtuels de citoyenneté… Dans cette société du tout-contrôle, quand l’épidémie s’est déclarée, à la fois les populations ont eu peur de se faire dépister et à la fois les chefaillons, laissés à eux-mêmes, ont eu peur de faire des vagues et ont étouffé l’affaire trop longtemps. Nous sommes ici aussi dans un modèle comparable : on ne veut pas perdre la face, alors les élections municipales sont maintenues alors que l’on est en phase 3 de l’épidémie. Les organisations étatiques, bien qu’elles se pavanent dans des discours sécuritaires, donnent des consignes internes contradictoires parce qu’elles ne savent pas quoi faire.

Dans cette période, les personnes en poste de pouvoir ont le choix entre nous laisser nous autogérer ou mettre en place des mesures arbitraires. En sachant nos chefs perdus, nous devons tout faire pour favoriser notre autogestion locale et les pousser à l’accepter.

Contre le Co-Anar, j’attaque avec les « gestes barrières » !

Face à ce que l’État ignore, celui-ci sort de son chapeau un pouvoir digne d’un jeu vidéo : des gestes-boucliers dont l’application attentionnée réduiraient la propagation de ce virus pneumonie-super-grippe-pas-mortel-mais-un-peu-quand-même-voire-peut-être-beaucoup.

N’étant pas médecin, je vais ici me concentrer sur la distance d’un ou plusieurs mètres et le confinement généralisé d’une population ; en d’autres termes sur les gestes qui transforment nos liens sociaux et que nous devrions accepter « parce que les experts l’ont dit ».

Ainsi, nous devrions tous être à plusieurs mètres l’un de l’autre, ne plus nous faire la bise, ni nous serrer la main ; l’autre – ses ami·e·s, sa famille, ses collègues, les personnes que l’on ne connaît pas encore – devient alors un ennemi potentiel.

Même s’il y a un fond de vérité, son application sacro-sainte relève de la superstition : c’est la projection pendant que l’on parle ou en cas de toux, ou le contact direct qui est en cause. En soi être à des centaines de mètres c’est efficace, mais excessif. Se couvrir la bouche en revanche, surtout quand l’on pense être malade, est du bon sens, comme se laver les mains, qui n’induit pas de rompre les liens sociaux que l’on a avec d’autres humains.

Ce que nous soulignons ici c’est la transformation que ces mesures engendrent : une société où chaque individu est seul face à lui-même, dépendant de ce que le grand Papa-État lui donnera comme consigne, face à l’ultime peur : celle de mourir.

Pire : nous serions responsables, chacun de nous, de la propagation de la maladie. Si tu vois des gens, tu la propages. Ne respires pas malheureux·euse, ou uniquement dans un masque ! Sortir ?! Tu mets en danger l’humanité, égoïste ! Penses aux autres en ne pensant pas eux, à ceux qui sont déprimé·e·s ou qui se sentent mal… Non vraiment : ferme ta gueule et reste chez toi. Grande messe de la Nation à 20h au balcon. Point.

Sur l’exigence de ne pas sortir, doit-on souligner la différence entre une famille coincée dans 10 mètres carrés et une famille qui se dore au soleil dans son jardin privé ? En tout cas, l’on accuse les premiers de tous les maux parce qu’ils·elle·s sortent.

Le premier responsable, c’est notre société et nos villes : l’organisation du travail qui nous oblige à utiliser des transports en commun bondés pour aller « gagner sa vie » à des heures de chez nous, nos logements petits, confinés et chers, nos concentrations abusives d’animaux d’élevage, la pollution systémique des villes qui nous empoisonne…

Ce régime qui pense à son fric est responsable de la création et de la propagation de ce virus. Nous, on trinque.

« Il vaut mieux couler avec panache que flotter sans grâce » : carpe diem !

Aujourd’hui, tout ou presque est fermé. Cette dictature (oui, nous y sommes légalement, il était temps !) a réussi à faire interdire les rassemblements de plus d’une personne, quel exploit ! Chacun·e est invité·e à rester chez soi et à ne rien faire d’autre mise à part télétravailler, dans la mesure du possible. Certain·e·s sont érigé·e·s comme des héro·ïne·s de la nation, leurs voix sont portées par l’État quand leurs discours vont dans le sens du ParanoVirus, alors que les caissières, les livreur·euse·s sont invisibilisé·e·s, alors que les prisonnier·ère·s, interné·e·s psy, et sans-papiers sont toujours enfermé·e·s. Des mesures sécuritaires sont mises en place pour les personnes qui braveraient l’interdit en sortant dehors : 1 000 balles si tu récidives, voire la prison !

C’est la pire des solutions qu’on nous impose, et au contraire l’on ne doit pas rester seul, et pour plusieurs raisons :

  • Déjà pour ne pas déprimer, parce que cela tue aussi. Et n’oublions pas que le système immunitaire dépend en partie de notre état mental.
  • Aussi pour se protéger des monstres avec qui l’on est enfermé : pensons aux femmes enfermées avec leur mari violent et aux enfants qui le subissent également.
  • Ensuite pour ne pas propager nos psychoses personnelles. Discuter en physique nous permet de confronter nos peurs à d’autres personnes et à d’autres peurs, de faire la part des choses et donc de s’inquiéter quand il faut et ne pas s’inquiéter quand il ne faut pas, de différencier un coup de fatigue d’un symptôme de la maladie. Cela aiderait nos copain·ine·s de la Santé à désengorger les urgences et les lignes téléphoniques des gens psychotés en bonne santé !
  • Pour sortir nos têtes des réseaux sociaux : la peur s’y auto-alimente parce que nos recherches sur internet fonctionnent par occurrence qui se répondent entre elles. L’on se créé une bulle où notre vérité serait dite par « tous » alors que ces « tous » ce sont juste les gens qui pensent comme nous. N’oublions pas aussi que derrière l’algorithme qui gère les moteurs de recherches se cachent des humains qui veulent nous vendre des produits, et des États friands des technologies de surveillance de masse.
  • Pour apprendre, faire tout ce que l’on a rêvé de faire et que le temps donné au « travail » nous a empêchés de faire. D’ailleurs, soyons vigilants : pendant cette période certains d’entre nous ne pourront pas libérer du temps. Il faut très vite trouver des moyens, par nous-même, de les remplacer et de tourner sur leurs postes avant qu’ils elles ne fassent des burn out.
  • Pour mettre en place « jusqu’à nouvel ordre » des alternatives pratiques à notre société. Si nous sommes d’accord que cette maladie est la conséquence de cette société, alors nous devons vite mettre en place d’autres formes de sociétés pour que cela ne se reproduise plus. C’est créer des interdépendances entre la famille, entre voisin·e·s, entre ami·e·s, entre collègues à des petites échelles, pour la nourriture, la garde des enfants, les loisirs, les soirées, etc. C’est s’organiser sans eux·elles – nos hiérarchies déconnectées de la réalité de terrain – qui sont clairement incompétentes à gérer avec rapidité et souplesse une situation de crise.
  • Si l’on est contaminé, de pouvoir traverser la maladie en sachant que des personnes pensent à nous et que l’on n’est pas seul face à la mort.

Aussi, même si nous avons une forte sympathie pour nos collègues de la santé, n’oublions pas que ce sont des êtres humains qui peuvent avoir tort, qu’il·elle·s sont porteur·euse·s d’une médecine occidentale qui crée un rapport de pouvoir entre les médecins qui savent et les patients qui doivent subir, et qui s’est imposée contre les médecines dites traditionnelles. Faisons la part des choses entre les charlatans aux tisanes, ceux à la chloroquine, et ce qui est du bon sens.

Et puis une dernière chose : beaucoup de gens ont peur de mourir, c’est normal… parce que… et bien oui, c’est terrible, on va tous mourir, pas besoin d’un virus pour cela. Nous ne sommes pas immortels et le délire transhumaniste et technologique va s’arrêter là, grâce à Co-Anar, espérons-le… Alors en attendant la fin, profitons-en ! Préparons l’an zéro !

Note

CARPE DIEM !

= = =

Notre dossier « Coronavirus »

 


Il court, il court l’corona…

CoVD19… Entretien sans gants avec le professeur Raoult

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CoVD19 : Entretien avec celui qui est au cœur de la polémique le professeur Didier Raoult

 

26 mars 2010

 

Source:

https://marcelle.media/2020/03/26/covid-19-entretien-avec-celui-qui-est-au-coeur-des-polemiques-didier-raoult/

 

Le portait du Pr Didier Raoult paru dans Marcelle il y a une semaine a explosé tous nos compteurs (plus de 100 000 lecteurs). Plus surprenant encore, il n’a donné lieu à aucune polémique. Le chercheur est actuellement au cœur de tous les débats pour la solution thérapeutique qu’il préconise. Hier matin, le Canard Enchaîné titrait même sur les menaces de mort dont il a fait l’objet. D’où cet exercice de questions-réponses auquel le virologue aujourd’hui le plus célèbre de la planète a bien voulu se plier car il connaît bien et depuis longtemps les journalistes qui le questionnent.

Vous avez fait savoir mardi que vous ne participeriez plus aux réunions du comité scientifique qui conseille nos autorités sur la conduite à tenir face à l’épidémie, pourquoi ?

Je n’ai pas deux heures à perdre dans des discussions qui ne vont pas à l’essentiel. Ici, nous sommes submergés de travail, nous sommes submergés par les résultats des tests et les données de nos patients. Un tiers de nos 75 lits d’hospitalisation est renouvelé tous les jours, nos équipes sont mobilisées H24… C’est cela qui m’importe, pas les causeries où il ne faut surtout froisser personne.

Les critiques, les mises en cause, cela vous blesse ?

Les critiques et les conversations de bar sur les plateaux télé, je m’en fous à un point que vous n’imaginez pas. Ce qui m’ennuie, en revanche, c’est que la France, mon pays, ne suive pas ce qui est raisonnable et prenne du retard parce que des gens qui se pensent importants ne veulent pas se dédire. Moi, je suis serein, je sais comment cela va se terminer.

C’est ce que certains vous reprochent, de prédire l’avenir.

Il ne s’agit pas de prémonition mais de savoir. Dans le domaine qui est le mien, je sais ce que je dis, je sais ce que font mes équipes, j’accumule des données – donc du savoir supplémentaire – et je mesure tous les jours l’effet clinique de ce que je préconise. Certains ne veulent pas y croire ? C’est leur problème. Les politiques et leurs décisions, c’est l’Histoire qui les juge. On verra très vite ce qu’il en est pour cette crise. On connaîtra la vérité. Un millier de patients ont été déclaré positifs aux tests que nous avons réalisés. Grâce au suivi de leur traitement, nous disposons d’une somme considérable de données. Nous les compilons. Elles nous donneront bientôt une idée plus précise de l’action de l’hydroxychloroquine.

Avez-vous ajusté vos indications thérapeutiques ?

Notre doctrine, c’est de détecter et de traiter le plus en amont. L’hydroxychloroquine fonctionne sur les cas modérés à sévères. Au-delà, quand les patients sont en réanimation, c’est trop tard. Le virus est encore là, mais le malade souffre d’inflammations pulmonaires consécutives.

Justement, l’essai clinique Discovery va être mené sur des patients très atteints…

Si on avait envie de prouver que ça ne marche pas, on ne s’y prendrait pas autrement. Il y aura une enquête parlementaire après tout ça, et elle sera sanglante, autant que l’affaire du sang contaminé. Et ce sera pire si le gouvernement décide de refuser l’accès au médicament.

Mais, même l’Organisation mondiale de la santé (OMS) met en garde contre le traitement que vous préconisez…

Avant toute chose, je suis médecin. J’ai prêté le serment d’Hippocrate en 1981 et mon devoir depuis, c’est de faire ce qui me paraît le mieux pour les malades, en fonction de mes connaissances et de l’état de la science. C’est ce que je fais depuis 40 ans et ce que je fais en ce moment avec mes équipes : soigner le mieux possible les patients qui se présentent. Cela veut dire les tester, évaluer l’état de ceux qui sont positifs et les traiter avec les thérapies disponibles. Aujourd’hui, il n’y en a qu’une qui a commencé à donner des résultats, c’est l’hydroxychloroquine associée à un antibiotique, l’azithromycine. Toutes les données que nous recueillons depuis que nous avons commencé, il y a un mois, après les premiers essais en Chine, vont dans le même sens. Alors, que ça respecte ou non les procédures scientifiques habituelles… Je suis d’accord avec le Président quand il dit que nous sommes en guerre. Une guerre qui justifie de se battre avec toutes les armes dont nous disposons. En tant que médecins, il est de notre devoir de donner aux malades le meilleur traitement disponible à l’instant T. Le reste, c’est de la littérature.

Quels mécanismes entreraient en jeu avec l’administration d’hydroxychloroquine ?

Cette molécule aurait deux effets pour accélérer l’élimination du virus : il modifierait d’abord l’environnement acide de la poche vacuole de la cellule. Ce petit sac de liquide protégé par la membrane sert de nid aux virus. En augmentant son pH (potentiel Hydrogène), l’écosystème tranquille de cet abri est chamboulé et les enzymes, impliquées dans la machinerie cellulaire utilisée par le virus pour se répliquer, sont empêchées d’agir. L’hydroxychloroquine favoriserait également l’apoptose, c’est-à-dire la mort cellulaire programmée, un mécanisme génétique qui protège l’organisme des infections en commandant aux cellules infectées de s’autodétruire. Je vais travailler avec l’expert de renommée mondiale Guido Kroemer, professeur d’immunologie à la faculté de médecine de l’Université de Paris Descartes et directeur de l’unité de recherche « Métabolisme, cancer et immunité », pour approfondir les travaux sur les mécanismes impliqués.

Sans présager de la publication de vos nouvelles observations, que pouvez-vous dire de l’efficacité de Plaquenil ?

Ne vous inquiétez pas : ça marche. Et même mieux que ça : on a deux fois moins de victimes d’infections virales cette année, toutes maladies confondues, aucun pic de surmortalité et pas de résistance aux antibiotiques.

Nombre de vos confrères poussent des cris d’orfraie en évoquant les effets secondaires délétères de la chloroquine…

Tous les médicaments ont des effets secondaires, surtout lorsque l’on ne respecte pas les posologies. L’aspirine, le paracétamol et l’ibuprofène surdosés, c’est beaucoup plus dangereux que l’hydroxychloroquine aux doses où on les administre. Quant à l’azithromycine, un Américain sur huit s’en voit prescrire au moins une fois chaque année. Si cela tuait les gens ou les rendait plus malades qu’ils ne sont, nous le saurions.

Vous avez annoncé dimanche que vous testeriez toutes les personnes fébriles qui se présenteraient à l’IHU. On a vu les queues qui se formaient devant chez vous. Que pouvez-vous nous en dire ?

Depuis lundi, nous avons pratiqué 2 000 tests par jour. Environ 10% des personnes testées étaient positives.

Que se passe-t-il pour les gens que vous dépistez ?

Notre protocole est rodé. Nous regardons s’ils ont des signes cliniques de la maladie et nous leur faisons passer un scanner pulmonaire  « low dose » (1), comme le font les Chinois, car une partie des gens contaminés ne présentent pas de signes cliniques évidents de la maladie mais ont des lésions pulmonaires qui s’aggraveront s’ils ne sont pas traités.  C’est à eux que l’on administre ce que nous considérons comme le seul traitement disponible à ce jour.Deux jours après, ils sont invités à venir réaliser un électrocardiogramme. Le risque cardio-vasculaire est l’effet secondaire le plus important. Ce traitement est ambulatoire mais les patients les plus sérieux sont naturellement hospitalisés.

Qu’est-ce qui, selon vous, empêche de généraliser ces tests et ces examens au scanner à l’ensemble du pays ?

C’est d’abord une question de volonté politique et de mise en place logistique. Les moyens, nous les avons. Entre les laboratoires d’analyses privés, les laboratoires vétérinaires de très grande qualité que nous possédons, les médecins de ville et les infirmières libérales, tous qualifiés pour faire des prélèvements, ainsi que nos ressources hospitalières, il y a de quoi faire. Ici, nous ne sommes pas des extra-terrestres. Si nous arrivons à faire 2 000 tests par jour à l’IHU de Marseille je ne peux pas croire que la France entière ne soit pas capable de faire comme en Allemagne ou en Corée du Sud. 100 000 tests par jour, c’est ce dont nous aurions besoin et nous en sommes capables. Des tests PCR de base, hors épidémie, nous en faisons 300 000 par an à l’IHU. Quant aux scanners, nous faisons face à Marseille, mais cela sera peut-être plus difficile ailleurs, car notre taux d’équipement en scanners est un des plus faibles des pays de l’OCDE. C’est la conséquence des choix politiques et financiers des 30 dernières années. Les conneries finissent toujours par se payer.

Comment expliquez-vous que cette stratégie qui a fait ses preuves ailleurs, ne soit toujours pas d’actualité chez nous ?

En France, malheureusement, avant de se poser la seule question qui vaille, c’est-à-dire « que faut-il faire pour faire face à telle situation ? », on se demande toujours « est-on capables de mettre en place telle ou telle solution ? ». On met la charrue avant les bœufs et ça n’avance pas.

Le ministre de la Santé vous écoute-t-il ?

C’est un homme intelligent, mais il a hérité d’une situation très difficile, très désorganisée.

Que pensez-vous de l’attitude des autorités, politiques et médicales, d’une façon générale ?

Je me contenterai de citer la maxime attribuée à Sénèque : « Errare humanum est, perseverare diabolicum » (ndlr – L’erreur est humaine, persévérer -dans l’erreur- est diabolique) ♦

(1) Un scanner « low dose » (faible dose en français) permet d’obtenir une image de bonne qualité avec un niveau d’irradiation très faible du patient.

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Notre dossier « Coronavirus »

 

Coronavirus : L’oligarchie lance une guerre biologique ouverte contre les peuples (Résistance 71 )

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, documentaire, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique française, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 27 mars 2020 by Résistance 71

 

 


Le nouveau visage du terrorisme d’état

 

A lire aussi: « Dictature en marche… Nous y sommes ! la loi martiale médicale et la mise en place du Nouvel Ordre Mondial »

 

Résistance 71

 

27 mars 2020

 

Indépendamment de la gravité, ou non, de cette crise / pandémie planétaire du coronavirus 2019 ou CoVD19, que cette crise soit réelle dans sa gravité ou surgonflée par les merdias à la botte comme c’est le plus souvent le cas, il est maintenant établi que ce nouveau virus n’est en rien naturel. Il est né dans un laboratoire de l’état de Caroline du Nord à Yankland en 2015 et a été créé pour mener une guerre biologique contre l’humanité afin de faire passer dans le chaos sanitaire, l’accession de celle-ci à une « gouvernance mondiale », comme l’avait parfaitement annoncé Jacques Attal en 2009 suite à la « pandémie » (officiel de l’OMS) de grippe porcine H1N1.
Comme  nous l’illustrons avec la photo en ce début d’article, la tyrannie, le terrorisme d’état a un nouveau visage, celui de personnels déshumanisés revêtus de combinaisons intégrales de protection anti-biohazard. Ne nous leurrons pas, cette « urgence sanitaire » qui a pris maintenant la forme d’une véritable « loi martiale médicale », nous est imposée pour des raisons bien précises qui vont au-delà de la protection des populations de la grippette en goguette. N’oublions pas que jusqu’au cas particulier de l’Italie, le taux de mortalité du CoV19 était de l’ordre de 2,5% (0,98% en Corée et 1,68% à Yankland) dans des segments de la population âgée et/ou en déficience immunitaire pour diverses raisons, infectés par le virus.

La « loi martiale médicale » rend des services sur bien des points:

  • Elle met totalement sur la touche la question sociale et, en France, met fin au mouvement des Gilets Jaunes par le confinement, même si la colère gronde toujours, elle est muselée par la mise en quarantaine de la nation…
  • Elle donne les pleins pouvoirs à la clique des gouvernements la mettant en vigueur et justifie(ra) tous les abus et décisions liberticides à venir… Nulle doute que décrets-lois scélérats et abus de pouvoir nous attendent au coin de la rue très bientôt, les festivités ont du reste déjà commencé avec le grand n’importe quoi de la flicaille en contrôle…
  • Elle facilitera la mise en place de la grille de contrôle planétaire, verrouillage 5G, smart-cities et à terme, puçage RFID des populations, le but ultime de toutes ces attaques à répétition et cette terreur organisée.
  • Elle permet de casser les liens sociaux et d’empêcher les gens de communiquer et de se rassembler
  • Elle sera le pare-feu quand la crise économique qui implosera le système se déclenchera, elle aussi planifiée…
  • Elle maintient mieux que ce bon vieux « terrorisme » à la sauce Gladio qui ne prenait plus, les gens dans la peur, l’angoisse, la paranoïa et la terreur de l’autre.
  • Le croquemitaine Al Qaïda du musulman radicalisé a été remplacé par la sale « bestiole » épineuse invisible… Bien plus efficace que le barbu qui s’est essoufflé est n’a pas tenu la distance.
  • Elle permet de conditionner psychologiquement les gens sur ce qui va suivre : le totalitarisme forcené dans un grand goulag « sanitaire » ou euthanasie et élimination de masse passeront inaperçues, tout en devenant la nouvelle norme…

Toute cette panoplie totalitaire est là pour rester. Cette « crise coronavirus 2019 » ou CoVD19 est un second 11 septembre en marche. Le 11 septembre 2001, des attaques nucléaires perpétrées par ce qui est appelé de nos jours « l’état profond », se sont produites à New York déclenchant une « guerre contre le terrorisme » bidon à l’échelle planétaire et permettant à l’empire de passer la surmultipliée néo-coloniale d’aventures militaires en crises, menaces et embargos imposés ; en novembre 2019, une attaque biologique sur le monde est partie de Chine mais dont l’origine remonte à 2015 dans l’état de Georgie aux Etats-Unis. Comme il y a eu un « avant » et un « après » 11 septembre (9/11), il y aura désormais un « avant » et un « après » CoVD19.

Ne nous leurrons pas. Nous sommes attaqués de front par l’oligarchie qui a décidé de refermer la grille de contrôle de son Nouvel Ordre Mondial, qui seul peut la sauver de son annihilation programmée par l’obsolescence de son système de gouvernance.
Nous étudions toute cette affaire depuis plus de 20 ans pour certains d’entre nous, depuis 10 ans en ce qui concerne ce blog. Toujours pas convaincu(e)s ? Le doute ou le déni est toujours là, viscéralement ancré dans un bouillon de onze heures de dissonance cognitive ?.. Quelques saines lectures ci-dessous à lire, analyser, et rechercher par vous-mêmes. Nous ne détenons pas la vérité, nous sommes juste des poteaux indicateurs de certains domaines à explorer plus avant… A chacun de le faire. Pour nous en sortir, il faut qu’individuellement et collectivement nous fassions un certain travail d’analyse et de recherche critique. Se coucher systématiquement devant « l’autorité » auto-proclamée ne fait que confirmer les chaînes que nous nous mettons volontairement aux pieds. Il est plus que grand temps de réfléchir de manière critique, de fermer les télés et de rallumer les cerveaux, tout en demeurant convaincu(e)s que réfléchir, c’est déjà désobéir, ce que les instances veulent coûte que coûte nous empêcher de faire.

La crise / pandémie du coronavirus 2019 est une attaque délibérée et planifiée de l’oligarchie sur l’humanité. Les criminels instigateurs ont un nom et des visages… Ne nous trompons pas d’ennemi.

A lire pour mieux comprendre cet article:

Notre « Dossier Coronavirus »

A lire et diffuser sans aucune modération en cette période de confinement.

 

 

 

Coin lecture spécial confinement coronavirus 2ème fournée : Histoire et analyse critique

Posted in actualité, crise mondiale, documentaire, gilets jaunes, Internet et liberté, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et social, politique française, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, société des sociétés, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , on 26 mars 2020 by Résistance 71

 

« Ignorer l’histoire, c’est comme être né hier »

« On ne peut pas être neutre dans un train en marche. »

~ Howard Zinn ~

 

Résistance 71

 

26 mars 2020

 

1ère fournée

3ème fournée

 

Aujourd’hui dans notre coin lecture spécial confinement CoVD19...

Notre sélection PDF « Histoire et analyse critique »:

 

Bonne lecture !…

 

Coronavirus saga : Le CoVD19 créé dans un labo de Caroline du Nord avec les subventions de la CIA et de l’USAID pour une guerre biologique contre les peuples… (Veterans Today)

Posted in actualité, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, média et propagande, neoliberalisme et fascisme, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 26 mars 2020 by Résistance 71

 

 

Le CoV19, créé dans un labo de Caroline du Nord pour une guerre biologique, payé par la CIA et Trump blâme la Chine

 

Gordon Duff

 

25 mars 2020

 

url de l’article original:

https://www.veteranstoday.com/2020/03/24/pravda-us-army-created-covid-19-in-2015-research-proofs-or-debunking-you-pick/

 

~ Traduit partiellement de l’anglais par Résistasnce 71 ~

 

Introduction

Les documents ci-dessous montreront que la recherche pour créer le Coronavirus 2019 ou CoVD19 a commencé aux Etats-Unis en 2006 et a culminé dans la réalisation d’une arme biologique en 2015, le travail étant fait par l’université de l’état de Caroline du Nord, Harvard et le laboratoire de l’organe de contrôle de l’état fédéral de la Food and Drug Administration (FDA) situé dans l’état d’Arkansas. Leur travail fut intitulé:

“Un agglomérat simili-SRAS de circulation du coronavirus des chauves-souris montre un potentiel pour une émergence parmi les humains” (NdT: titre anglais pour ceux désirant faire une recherche spécifique en ligne: “A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence”)

Ils ont fait cela et bien plus encore, comme vous allez le lire ci-dessous. Comme l’a dit Trump, encore et encore, les Chinois furent impliqués.


Coronavirus transitalique…

Le Key Laboratory of Special Pathogens and Biosafety, Wuhan Institute of Virology, Chinese Academy of Sciences, Wuhan, Chine a fourni le virus de chauve-souris de Wuhan qui a été utilisé dans la recherche américaine. Leur nom ne fut inclus que pour cette seule raison.

Le CoVD19 était un projet d’arme biologique américain de fabrication d’une maladie causant une pneumonie pour laquelle il serait quasiment impossible de vacciner les patients au dessus de 40 ans.

La preuve est là, il vous suffit simplement de descendre au fil de ces documents. La recherche fut faite par l’université de Caroline du Nord et financée par l’USAID/CIA. Un virus de chauve-souris chinoise fut choisi et le choix incluait également une facilité médicale de Wuhan.

Maintenant nous savons pourquoi, un écran de fumée pour blâmer un programme avec lequel la Chine n’avait pratiquement rien à voir, quelque chose de diabolique et de bien typiquement américain.

En novembre 2015, une étude fut publiée résumant la capacité de produire ce virus avec lequel nous avons à faire maintenant. Parmi beaucoup de participants, il y avait un laboratoire à Wuhan en Chine. Il fut listé dès le début comme un parmi les douzaines de participants, la plupart essentiellement américains, travaillant sur ce projet.

Mais un participant clef fut laissé en dehors de tout ça, L’USAID. Il est profondément suspecté que l’USAID est une vitrine pour la recherche américaine sur les techniques de guerre biologique incluant des laboratoires comme ceux présents à Tbilissi en Georgie et ailleurs, ceci est parfaitement documenté. Ceci est la citation qui ajoute l’USAID au groupe de financement de la recherche en question.

Changer l’histoire

20 Novembre 2015

Dans cette version de l’article originellement publié en ligne, les auteurs ont omis de reconnaître une des sources du financement de la recherche, celui de l’USAID-EPT-PREDICT d’EcoHealth Alliance de Z.-L.S. L’erreur a été corrigée dans les versions imprimées en PDF en en version HTML de cet article.

Nous allons maintenant présenter l’article biaisé de la Pravda russe et sous cet article, la publication de la recherche effective prouvant la capacité de produire le CoVD19, prouvant par là-même que ce n’est pas quelque chose, virus, de naturel, ce une bonne fois pour toute.

Quant à savoir qui a perpétré cela, qui a fait quoi, ceci n’est pas notre travail, mais nous fournissons la preuve de ce que nous avançons et ce de manière catégorique, aussi que lorsqu’un laboratoire chinois est mentionné, il n’est qu’un tout petit joueur au sein de ce grand effort de destruction américain, comme cela est abondamment expliqué ci-dessous.

Ceci rend le labo de Wuhan possiblement complice de guerre biologique.

Similairement, lorsque le magazine Forbes et d’autres ont déclaré pouvoir prouver que le CoVD19 était un phénomène naturel, et bien entendu ils avaient les mêmes accès aux sources que nous avons, nous suspectons qu’ils sont en fait partie d’une vaste campagne de désinformation liée à l’USAID et à la guerre biologique.

La suspicion n’est certes pas preuve. Seule la preuve est une preuve et il y a suffisamment de preuves pour s’y noyer. Remercions au passage tous ces professionnels médicaux américains qui se sont prostitués pour l’armée américaine et la CIA et qui ont grandement aidé à nous mener là où nous sommes maintenant, dans une nation pulvérisée en mille morceaux.

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Pravda.Ru: 

Cette information est apparue en 2015 sur le site internet de la revue scientifique “Nature”. Puis les auteurs ont affirmé qu’après l’évènement du virus SRAS (2002-2003) du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), des scientifiques étaient au courant du risque inter-spécifique de transmission qui mènerait à une épidémie chez les humains.

Une expérience de laboratoire réussie

Entre autres choses, l’équipe de recherche a étudié les chauves-souris, qui sont les incubateurs les plus importants de coronavirus. Néanmoins, les chauves-souris ne pouvaient pas transmettre le coronavirus aux humains parce qu’elles ne pouvaient pas interagir avec les cellules humaines ayant des récepteurs ACE2.

L’article aussi déclarait que les chauves-souris fer à cheval sont porteuses d’une variété de coronavirus SRAS qui peut être transmise à l’humain. Celui-ci fut nommé virus SHC014-CoV 

Pour mieux étudier ce virus, des scientifiques ont copié le coronavirus et l’ont inoculé à des souris de laboratoires. Les résultats ont montré que le virus possède une réelle capacité de se combiner avec des cellules humaines ayant des récepteurs ACE2 et de se multiplier dans les cellules du système respiratoire. (NdT: le virus passe ainsi dans un second hôte animal avant de pouvoir être compatible et « sauter » à l’humain, le principe de l’hôte secondaire…)

Dans le travail de recherche, il est noté que les matériaux de laboratoire, les échantillons et l’équipement qui furent utilisés pour cette recherche furent obtenus de l’Institut de Recherche Médicale pour les Maladies Infectieuses de l’Armée, bien que ce ne soit pas encore possible d’affirmer avec certitude totale que le virus qui fut testé en laboratoire sur des souris soit le même que le SARS-Cove-2 coronavirus.

Politique de l’OTAN (NdT: vous savez… cette Organisation Terroriste de l’Atlantique Nord)

Quoi qu’il en soit, des choses très intéressantes peuvent être trouvée dans des documents antérieurs, par exemple :

  • Le rapport d’activité de l’alliance de 2019 dit qu’en 2019, la priorité de recherche de l’Alliance était le sujet de la protection radio-chimique et biologique (29%), remplaçant le problème le plus pressant de l’Europe, le contre-terrorisme (4ème priorité)
  • Un an plus tôt, en 2018, la situation était exactement l’inverse: le terrorisme occupait la première place, comme il se doit (28%) et la protection radio-chimique et biologique la 4ème avec 13%.

Comme il est écrit dans le réseau télégramme de Bruxelles: “étant donné l’absence de raisons visibles pour un tel changement d’intérêt scientifique, il y a deux options possibles et les deux sont désagréables :

  • Ou bien l’OTAN agite maintenant le 5ème point, falsifiant les données pour montrer “que nous nous préparons toujours pour les virus car nous sommes modernes et sur le coup”,
  • Ou alors en 2019, au sein de l’Alliance, ils savaient d’où viendrait le problème.

 Oui, la première option est plus réaliste mais voyez-vous, les faits sont surprenant.

= = =

Ci-dessous, le texte complet et sans coupure concernant l’origine du CoVD19 publié dans la revue “Nature” de novembre 2015. Nous ne l’avons pas traduit en français car long et fastidieux, très technique, nous laissons le soin aux biologistes d’analyser les données présentées, à savoir que l’article original en anglais (cliquez sur le lien en début d’article) est illustré de nombreux graphiques explicatifs. Les passages en caractère gras ont été placés par nos soins comme marqueurs d’attention.

Merci de votre compréhension

Résistance 71

Original 2015 research unedited and complete

A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence

Nature Medicine volume 21, pages1508–1513(2015)Cite this article

  • Corrigendum to this article was published on 06 April 2016

Abstract

The emergence of severe acute respiratory syndrome coronavirus (SARS-CoV) and Middle East respiratory syndrome (MERS)-CoV underscores the threat of cross-species transmission events leading to outbreaks in humans. Here we examine the disease potential of a SARS-like virus, SHC014-CoV, which is currently circulating in Chinese horseshoe bat populations1. Using the SARS-CoV reverse genetics system2, we generated and characterized a chimeric virus expressing the spike of bat coronavirus SHC014 in a mouse-adapted SARS-CoV backbone. The results indicate that group 2b viruses encoding the SHC014 spike in a wild-type backbone can efficiently use multiple orthologs of the SARS receptor human angiotensin converting enzyme II (ACE2), replicate efficiently in primary human airway cells and achieve in vitro titers equivalent to epidemic strains of SARS-CoV. Additionally, in vivo experiments demonstrate replication of the chimeric virus in mouse lung with notable pathogenesis. Evaluation of available SARS-based immune-therapeutic and prophylactic modalities revealed poor efficacy; both monoclonal antibody and vaccine approaches failed to neutralize and protect from infection with CoVs using the novel spike protein. On the basis of these findings, we synthetically re-derived an infectious full-length SHC014 recombinant virus and demonstrate robust viral replication both in vitro and in vivo. Our work suggests a potential risk of SARS-CoV re-emergence from viruses currently circulating in bat populations.

Main

The emergence of SARS-CoV heralded a new era in the cross-species transmission of severe respiratory illness with globalization leading to rapid spread around the world and massive economic impact3,4. Since then, several strains—including influenza A strains H5N1, H1N1 and H7N9 and MERS-CoV—have emerged from animal populations, causing considerable disease, mortality and economic hardship for the afflicted regions5. Although public health measures were able to stop the SARS-CoV outbreak4, recent metagenomics studies have identified sequences of closely related SARS-like viruses circulating in Chinese bat populations that may pose a future threat1,6. However, sequence data alone provides minimal insights to identify and prepare for future prepandemic viruses. Therefore, to examine the emergence potential (that is, the potential to infect humans) of circulating bat CoVs, we built a chimeric virus encoding a novel, zoonotic CoV spike protein—from the RsSHC014-CoV sequence that was isolated from Chinese horseshoe bats1—in the context of the SARS-CoV mouse-adapted backbone. The hybrid virus allowed us to evaluate the ability of the novel spike protein to cause disease independently of other necessary adaptive mutations in its natural backbone. Using this approach, we characterized CoV infection mediated by the SHC014 spike protein in primary human airway cells and in vivo, and tested the efficacy of available immune therapeutics against SHC014-CoV. Together, the strategy translates metagenomics data to help predict and prepare for future emergent viruses.

The sequences of SHC014 and the related RsWIV1-CoV show that these CoVs are the closest relatives to the epidemic SARS-CoV strains (Fig. 1a,b); however, there are important differences in the 14 residues that bind human ACE2, the receptor for SARS-CoV, including the five that are critical for host range: Y442, L472, N479, T487 and Y491 (ref. 7). In WIV1, three of these residues vary from the epidemic SARS-CoV Urbani strain, but they were not expected to alter binding to ACE2 (Supplementary Fig. 1a,b and Supplementary Table 1). This fact is confirmed by both pseudotyping experiments that measured the ability of lentiviruses encoding WIV1 spike proteins to enter cells expressing human ACE2 (Supplementary Fig. 1) and by in vitro replication assays of WIV1-CoV (ref. 1). In contrast, 7 of 14 ACE2-interaction residues in SHC014 are different from those in SARS-CoV, including all five residues critical for host range (Supplementary Fig. 1c and Supplementary Table 1). These changes, coupled with the failure of pseudotyped lentiviruses expressing the SHC014 spike to enter cells (Supplementary Fig. 1d), suggested that the SHC014 spike is unable to bind human ACE2. However, similar changes in related SARS-CoV strains had been reported to allow ACE2 binding7,8, suggesting that additional functional testing was required for verification. Therefore, we synthesized the SHC014 spike in the context of the replication-competent, mouse-adapted SARS-CoV backbone (we hereafter refer to the chimeric CoV as SHC014-MA15) to maximize the opportunity for pathogenesis and vaccine studies in mice (Supplementary Fig. 2a). Despite predictions from both structure-based modeling and pseudotyping experiments, SHC014-MA15 was viable and replicated to high titers in Vero cells (Supplementary Fig. 2b). Similarly to SARS, SHC014-MA15 also required a functional ACE2 molecule for entry and could use human, civet and bat ACE2 orthologs (Supplementary Fig. 2c,d). To test the ability of the SHC014 spike to mediate infection of the human airway, we examined the sensitivity of the human epithelial airway cell line Calu-3 2B4 (ref. 9) to infection and found robust SHC014-MA15 replication, comparable to that of SARS-CoV Urbani (Fig. 1c). To extend these findings, primary human airway epithelial (HAE) cultures were infected and showed robust replication of both viruses (Fig. 1d). Together, the data confirm the ability of viruses with the SHC014 spike to infect human airway cells and underscore the potential threat of cross-species transmission of SHC014-CoV.

(a) The full-length genome sequences of representative CoVs were aligned and phylogenetically mapped as described in the Online Methods. The scale bar represents nucleotide substitutions, with only bootstrap support above 70% being labeled. The tree shows CoVs divided into three distinct phylogenetic groups, defined as α-CoVs, β-CoVs and γ-CoVs. Classical subgroup clusters are marked as 2a, 2b, 2c and 2d for the β-CoVs and as 1a and 1b for the α-CoVs. (b) Amino acid sequences of the S1 domains of the spikes of representative β-CoVs of the 2b group, including SARS-CoV, were aligned and phylogenetically mapped. The scale bar represents amino acid substitutions. (c,d) Viral replication of SARS-CoV Urbani (black) and SHC014-MA15 (green) after infection of Calu-3 2B4 cells (c) or well-differentiated, primary air-liquid interface HAE cell cultures (d) at a multiplicity of infection (MOI) of 0.01 for both cell types. Samples were collected at individual time points with biological replicates (n = 3) for both Calu-3 and HAE experiments. (e,f) Weight loss (n = 9 for SARS-CoV MA15; n = 16 for SHC014-MA15) (e) and viral replication in the lungs (n = 3 for SARS-CoV MA15; n = 4 for SHC014-MA15) (f) of 10-week-old BALB/c mice infected with 1 × 104 p.f.u. of mouse-adapted SARS-CoV MA15 (black) or SHC014-MA15 (green) via the intranasal (i.n.) route. (g,h) Representative images of lung sections stained for SARS-CoV N antigen from mice infected with SARS-CoV MA15 (n = 3 mice) (g) or SHC014-MA15 (n = 4 mice) (h) are shown. For each graph, the center value represents the group mean, and the error bars define the s.e.m. Scale bars, 1 mm.

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To evaluate the role of the SHC014 spike in mediating infection in vivo, we infected 10-week-old BALB/c mice with 104 plaque-forming units (p.f.u.) of either SARS-MA15 or SHC014-MA15 (Fig. 1e–h). Animals infected with SARS-MA15 experienced rapid weight loss and lethality by 4 d post infection (d.p.i.); in contrast, SHC014-MA15 infection produced substantial weight loss (10%) but no lethality in mice (Fig. 1e). Examination of viral replication revealed nearly equivalent viral titers from the lungs of mice infected with SARS-MA15 or SHC014-MA15 (Fig. 1f). Whereas lungs from the SARS-MA15–infected mice showed robust staining in both the terminal bronchioles and the lung parenchyma 2 d.p.i. (Fig. 1g), those of SHC014-MA15–infected mice showed reduced airway antigen staining (Fig. 1h); in contrast, no deficit in antigen staining was observed in the parenchyma or in the overall histology scoring, suggesting differential infection of lung tissue for SHC014-MA15 (Supplementary Table 2). We next analyzed infection in more susceptible, aged (12-month-old) animals. SARS-MA15–infected animals rapidly lost weight and succumbed to infection (Supplementary Fig. 3a,b). SHC014-MA15 infection induced robust and sustained weight loss, but had minimal lethality. Trends in the histology and antigen staining patterns that we observed in young mice were conserved in the older animals (Supplementary Table 3). We excluded the possibility that SHC014-MA15 was mediating infection through an alternative receptor on the basis of experiments using Ace2−/− mice, which did not show weight loss or antigen staining after SHC014-MA15 infection (Supplementary Fig. 4a,b and Supplementary Table 2). Together, the data indicate that viruses with the SHC014 spike are capable of inducing weight loss in mice in the context of a virulent CoV backbone.

Given the preclinical efficacy of Ebola monoclonal antibody therapies, such as ZMApp10, we next sought to determine the efficacy of SARS-CoV monoclonal antibodies against infection with SHC014-MA15. Four broadly neutralizing human monoclonal antibodies targeting SARS-CoV spike protein had been previously reported and are probable reagents for immunotherapy11,12,13. We examined the effect of these antibodies on viral replication (expressed as percentage inhibition of viral replication) and found that whereas wild-type SARS-CoV Urbani was strongly neutralized by all four antibodies at relatively low antibody concentrations (Fig. 2a–d), neutralization varied for SHC014-MA15. Fm6, an antibody generated by phage display and escape mutants11,12, achieved only background levels of inhibition of SHC014-MA15 replication (Fig. 2a). Similarly, antibodies 230.15 and 227.14, which were derived from memory B cells of SARS-CoV–infected patients13, also failed to block SHC014-MA15 replication (Fig. 2b,c). For all three antibodies, differences between the SARS and SHC014 spike amino acid sequences corresponded to direct or adjacent residue changes found in SARS-CoV escape mutants (fm6 N479R; 230.15 L443V; 227.14 K390Q/E), which probably explains the absence of the antibodies’ neutralizing activity against SHC014. Finally, monoclonal antibody 109.8 was able to achieve 50% neutralization of SHC014-MA15, but only at high concentrations (10 μg/ml) (Fig. 2d). Together, the results demonstrate that broadly neutralizing antibodies against SARS-CoV may only have marginal efficacy against emergent SARS-like CoV strains such as SHC014.

(ad) Neutralization assays evaluating efficacy (measured as reduction in the number of plaques) of a panel of monoclonal antibodies, which were all originally generated against epidemic SARS-CoV, against infection of Vero cells with SARS-CoV Urbani (black) or SHC014-MA15 (green). The antibodies tested were fm6 (n = 3 for Urbani; n = 5 for SHC014-MA15)11,12 (a), 230.15 (n = 3 for Urbani; n = 2 for SHC014-MA15) (b), 227.15 (n = 3 for Urbani; n = 5 for SHC014-MA15) (c) and 109.8 (n = 3 for Urbani; n = 2 for SHC014-MA15)13 (d). Each data point represents the group mean and error bars define the s.e.m. Note that the error bars in SARS-CoV Urbani–infected Vero cells in b,c are overlapped by the symbols and are not visible.

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To evaluate the efficacy of existing vaccines against infection with SHC014-MA15, we vaccinated aged mice with double-inactivated whole SARS-CoV (DIV). Previous work showed that DIV could neutralize and protect young mice from challenge with a homologous virus14; however, the vaccine failed to protect aged animals in which augmented immune pathology was also observed, indicating the possibility of the animals being harmed because of the vaccination15. Here we found that DIV did not provide protection from challenge with SHC014-MA15 with regards to weight loss or viral titer (Supplementary Fig. 5a,b). Consistent with a previous report with other heterologous group 2b CoVs15, serum from DIV-vaccinated, aged mice also failed to neutralize SHC014-MA15 (Supplementary Fig. 5c). Notably, DIV vaccination resulted in robust immune pathology (Supplementary Table 4) and eosinophilia (Supplementary Fig. 5d–f). Together, these results confirm that the DIV vaccine would not be protective against infection with SHC014 and could possibly augment disease in the aged vaccinated group.

In contrast to vaccination of mice with DIV, the use of SHC014-MA15 as a live, attenuated vaccine showed potential cross-protection against challenge with SARS-CoV, but the results have important caveats. We infected young mice with 104 p.f.u. of SHC014-MA15 and observed them for 28 d. We then challenged the mice with SARS-MA15 at day 29 (Supplementary Fig. 6a). The prior infection of the mice with the high dose of SHC014-MA15 conferred protection against challenge with a lethal dose of SARS-MA15, although there was only a minimal SARS-CoV neutralization response from the antisera elicited 28 d after SHC014-MA15 infection (Supplementary Fig. 6b, 1:200). In the absence of a secondary antigen boost, 28 d.p.i. represents the expected peak of antibody titers and implies that there will be diminished protection against SARS-CoV over time16,17. Similar results showing protection against challenge with a lethal dose of SARS-CoV were observed in aged BALB/c mice with respect to weight loss and viral replication (Supplementary Fig. 6c,d). However, the SHC014-MA15 infection dose of 104 p.f.u. induced >10% weight loss and lethality in some aged animals (Fig. 1 and Supplementary Fig. 3). We found that vaccination with a lower dose of SHC014-MA15 (100 p.f.u.), did not induce weight loss, but it also failed to protect aged animals from a SARS-MA15 lethal dose challenge (Supplementary Fig. 6e,f). Together, the data suggest that SHC014-MA15 challenge may confer cross-protection against SARS-CoV through conserved epitopes, but the required dose induces pathogenesis and precludes use as an attenuated vaccine.

Having established that the SHC014 spike has the ability to mediate infection of human cells and cause disease in mice, we next synthesized a full-length SHC014-CoV infectious clone based on the approach used for SARS-CoV (Fig. 3a)2. Replication in Vero cells revealed no deficit for SHC014-CoV relative to that for SARS-CoV (Fig. 3b); however, SHC014-CoV was significantly (P < 0.01) attenuated in primary HAE cultures at both 24 and 48 h after infection (Fig. 3c). In vivo infection of mice demonstrated no significant weight loss but showed reduced viral replication in lungs of full-length SHC014-CoV infection, as compared to SARS-CoV Urbani (Fig. 3d,e). Together, the results establish the viability of full-length SHC014-CoV, but suggest that further adaptation is required for its replication to be equivalent to that of epidemic SARS-CoV in human respiratory cells and in mice.

(a) Schematic of the SHC014-CoV molecular clone, which was synthesized as six contiguous cDNAs (designated SHC014A, SHC014B, SHC014C, SHC014D, SHC014E and SHC014F) flanked by unique BglI sites that allowed for directed assembly of the full-length cDNA expressing open reading frames (for 1a, 1b, spike, 3, envelope, matrix, 6–8 and nucleocapsid). Underlined nucleotides represent the overhang sequences formed after restriction enzyme cleavage. (b,c) Viral replication of SARS-CoV Urbani (black) or SHC014-CoV (green) after infection of Vero cells (b) or well-differentiated, primary air-liquid interface HAE cell cultures (c) at an MOI of 0.01. Samples were collected at individual time points with biological replicates (n = 3) for each group. Data represent one experiment for both Vero and HAE cells. (d,e) Weight loss (n = 3 for SARS-CoV MA15, n = 7 for SHC014-CoV; n = 6 for SARS-Urbani) (d) and viral replication in the lungs (n = 3 for SARS-Urbani and SHC014-CoV) (e) of 10-week-old BALB/c mice infected with 1 × 105 p.f.u. of SARS-CoV MA15 (gray), SHC014-CoV (green) or SARS-CoV Urbani (black) via the i.n. route. Each data point represents the group mean, and error bars define the s.e.m. **P < 0.01 and ***P < 0.001 using two-tailed Student’s t-test of individual time points.

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During the SARS-CoV epidemic, links were quickly established between palm civets and the CoV strains that were detected in humans4. Building on this finding, the common emergence paradigm argues that epidemic SARS-CoV originated as a bat virus, jumped to civets and incorporated changes within the receptor-binding domain (RBD) to improve binding to civet Ace2 (ref. 18). Subsequent exposure to people in live-animal markets permitted human infection with the civet strain, which, in turn, adapted to become the epidemic strain (Fig. 4a). However, phylogenetic analysis suggests that early human SARS strains appear more closely related to bat strains than to civet strains18. Therefore, a second paradigm argues that direct bat-human transmission initiated SARS-CoV emergence and that palm civets served as a secondary host and reservoir for continued infection (Fig. 4b)19. For both paradigms, spike adaptation in a secondary host is seen as a necessity, with most mutations expected to occur within the RBD, thereby facilitating improved infection. Both theories imply that pools of bat CoVs are limited and that host-range mutations are both random and rare, reducing the likelihood of future emergence events in humans.

Coronavirus strains are maintained in quasi-species pools circulating in bat populations. (a,b) Traditional SARS-CoV emergence theories posit that host-range mutants (red circle) represent random and rare occurrences that permit infection of alternative hosts. The secondary-host paradigm (a) argues that a nonhuman host is infected by a bat progenitor virus and, through adaptation, facilitates transmission to humans; subsequent replication in humans leads to the epidemic viral strain. The direct paradigm (b) suggests that transmission occurs between bats and humans without the requirement of an intermediate host; selection then occurs in the human population with closely related viruses replicating in a secondary host, permitting continued viral persistence and adaptation in both. (c) The data from chimeric SARS-like viruses argue that the quasi-species pools maintain multiple viruses capable of infecting human cells without the need for mutations (red circles). Although adaptations in secondary or human hosts may be required for epidemic emergence, if SHC014 spike–containing viruses recombined with virulent CoV backbones (circles with green outlines), then epidemic disease may be the result in humans. Existing data support elements of all three paradigms.

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Although our study does not invalidate the other emergence routes, it does argue for a third paradigm in which circulating bat CoV pools maintain ‘poised’ spike proteins that are capable of infecting humans without mutation or adaptation (Fig. 4c). This hypothesis is illustrated by the ability of a chimeric virus containing the SHC014 spike in a SARS-CoV backbone to cause robust infection in both human airway cultures and in mice without RBD adaptation. Coupled with the observation of previously identified pathogenic CoV backbones3,20, our results suggest that the starting materials required for SARS-like emergent strains are currently circulating in animal reservoirs. Notably, although full-length SHC014-CoV probably requires additional backbone adaption to mediate human disease, the documented high-frequency recombination events in CoV families underscores the possibility of future emergence and the need for further preparation.

To date, genomics screens of animal populations have primarily been used to identify novel viruses in outbreak settings21. The approach here extends these data sets to examine questions of viral emergence and therapeutic efficacy. We consider viruses with the SHC014 spike a potential threat owing to their ability to replicate in primary human airway cultures, the best available model for human disease. In addition, the observed pathogenesis in mice indicates a capacity for SHC014-containing viruses to cause disease in mammalian models, without RBD adaptation. Notably, differential tropism in the lung as compared to that with SARS-MA15 and attenuation of full-length SHC014-CoV in HAE cultures relative to SARS-CoV Urbani suggest that factors beyond ACE2 binding—including spike processivity, receptor bio-availability or antagonism of the host immune responses—may contribute to emergence. However, further testing in nonhuman primates is required to translate these finding into pathogenic potential in humans. Importantly, the failure of available therapeutics defines a critical need for further study and for the development of treatments. With this knowledge, surveillance programs, diagnostic reagents and effective treatments can be produced that are protective against the emergence of group 2b–specific CoVs, such as SHC014, and these can be applied to other CoV branches that maintain similarly heterogeneous pools.

In addition to offering preparation against future emerging viruses, this approach must be considered in the context of the US government–mandated pause on gain-of-function (GOF) studies22. On the basis of previous models of emergence (Fig. 4a,b), the creation of chimeric viruses such as SHC014-MA15 was not expected to increase pathogenicity. Although SHC014-MA15 is attenuated relative to its parental mouse-adapted SARS-CoV, similar studies examining the pathogenicity of CoVs with the wild-type Urbani spike within the MA15 backbone showed no weight loss in mice and reduced viral replication23. Thus, relative to the Urbani spike–MA15 CoV, SHC014-MA15 shows a gain in pathogenesis (Fig. 1). On the basis of these findings, scientific review panels may deem similar studies building chimeric viruses based on circulating strains too risky to pursue, as increased pathogenicity in mammalian models cannot be excluded. Coupled with restrictions on mouse-adapted strains and the development of monoclonal antibodies using escape mutants, research into CoV emergence and therapeutic efficacy may be severely limited moving forward. Together, these data and restrictions represent a crossroads of GOF research concerns; the potential to prepare for and mitigate future outbreaks must be weighed against the risk of creating more dangerous pathogens. In developing policies moving forward, it is important to consider the value of the data generated by these studies and whether these types of chimeric virus studies warrant further investigation versus the inherent risks involved.

Overall, our approach has used metagenomics data to identify a potential threat posed by the circulating bat SARS-like CoV SHC014. Because of the ability of chimeric SHC014 viruses to replicate in human airway cultures, cause pathogenesis in vivo and escape current therapeutics, there is a need for both surveillance and improved therapeutics against circulating SARS-like viruses. Our approach also unlocks the use of metagenomics data to predict viral emergence and to apply this knowledge in preparing to treat future emerging virus infections.

Methods

Viruses, cells, in vitro infection and plaque assays.

Wild-type SARS-CoV (Urbani), mouse-adapted SARS-CoV (MA15) and chimeric SARS-like CoVs were cultured on Vero E6 cells (obtained from United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases), grown in Dulbecco’s modified Eagle’s medium (DMEM) (Gibco, CA) and 5% fetal clone serum (FCS) (Hyclone, South Logan, UT) along with antibiotic/antimycotic (Gibco, Carlsbad, CA). DBT cells (Baric laboratory, source unknown) expressing ACE2 orthologs have been previously described for both human and civet; bat Ace2 sequence was based on that from Rhinolophus leschenaulti, and DBT cells expressing bat Ace2 were established as described previously8. Pseudotyping experiments were similar to those using an HIV-based pseudovirus, prepared as previously described10, and examined on HeLa cells (Wuhan Institute of Virology) that expressed ACE2 orthologs. HeLa cells were grown in minimal essential medium (MEM) (Gibco, CA) supplemented with 10% FCS (Gibco, CA) as previously described24. Growth curves in Vero E6, DBT, Calu-3 2B4 and primary human airway epithelial cells were performed as previously described8,25. None of the working cell line stocks were authenticated or tested for mycoplasma recently, although the original seed stocks used to create the working stocks are free from contamination. Human lungs for HAE cultures were procured under University of North Carolina at Chapel Hill Institutional Review Board–approved protocols. HAE cultures represent highly differentiated human airway epithelium containing ciliated and non-ciliated epithelial cells as well as goblet cells. The cultures are also grown on an air-liquid interface for several weeks before use, as previously described26. Briefly, cells were washed with PBS and inoculated with virus or mock-diluted in PBS for 40 min at 37 °C. After inoculation, cells were washed three times and fresh medium was added to signify time ‘0’. Three or more biological replicates were harvested at each described time point. No blinding was used in any sample collections nor were samples randomized. All virus cultivation was performed in a biosafety level (BSL) 3 laboratory with redundant fans in the biosafety cabinets, as described previously by our group2. All personnel wore powered air purifying respirators (Breathe Easy, 3M) with Tyvek suits, aprons and booties and were double-gloved.

Sequence clustering and structural modeling.

The full-length genomic sequences and the amino acid sequences of the S1 domains of the spike of representative CoVs were downloaded from Genbank or Pathosystems Resource Integration Center (PATRIC), aligned with ClustalX and phylogenetically compared by using maximum likelihood estimation using 100 bootstraps or by using the PhyML (https://code.google.com/p/phyml/) package, respectively. The tree was generated using maximum likelihood with the PhyML package. The scale bar represents nucleotide substitutions. Only nodes with bootstrap support above 70% are labeled. The tree shows that CoVs are divided into three distinct phylogenetic groups defined as α-CoVs, β-CoVs and γ-CoVs. Classical subgroup clusters are marked as 2a, 2b, 2c and 2d for β-CoVs, and 1a and 1b for the α-CoVs. Structural models were generated using Modeller (Max Planck Institute Bioinformatics Toolkit) to generate homology models for SHC014 and Rs3367 of the SARS RBD in complex with ACE2 based on crystal structure 2AJF (Protein Data Bank). Homology models were visualized and manipulated in MacPyMol (version 1.3).

Construction of SARS-like chimeric viruses.

Both wild-type and chimeric viruses were derived from either SARS-CoV Urbani or the corresponding mouse-adapted (SARS-CoV MA15) infectious clone (ic) as previously described27. Plasmids containing spike sequences for SHC014 were extracted by restriction digest and ligated into the E and F plasmid of the MA15 infectious clone. The clone was designed and purchased from Bio Basic as six contiguous cDNAs using published sequences flanked by unique class II restriction endonuclease sites (BglI). Thereafter, plasmids containing wild-type, chimeric SARS-CoV and SHC014-CoV genome fragments were amplified, excised, ligated and purified. In vitro transcription reactions were then preformed to synthesize full-length genomic RNA, which was transfected into Vero E6 cells as previously described2. The medium from transfected cells was harvested and served as seed stocks for subsequent experiments. Chimeric and full-length viruses were confirmed by sequence analysis before use in these studies. Synthetic construction of chimeric mutant and full-length SHC014-CoV was approved by the University of North Carolina Institutional Biosafety Committee and the Dual Use Research of Concern committee.

Ethics statement.

This study was carried out in accordance with the recommendations for the care and use of animals by the Office of Laboratory Animal Welfare (OLAW), NIH. The Institutional Animal Care and Use Committee (IACUC) of The University of North Carolina at Chapel Hill (UNC, Permit Number A-3410-01) approved the animal study protocol (IACUC #13-033) used in these studies.

Mice and in vivo infection.

Female, 10-week-old and 12-month-old BALB/cAnNHsD mice were ordered from Harlan Laboratories. Mouse infections were done as previously described20. Briefly, animals were brought into a BSL3 laboratory and allowed to acclimate for 1 week before infection. For infection and live-attenuated virus vaccination, mice were anesthetized with a mixture of ketamine and xylazine and infected intranasally, when challenged, with 50 μl of phosphate-buffered saline (PBS) or diluted virus with three or four mice per time point, per infection group per dose as described in the figure legends. For individual mice, notations for infection including failure to inhale the entire dose, bubbling of inoculum from the nose, or infection through the mouth may have led to exclusion of mouse data at the discretion of the researcher; post-infection, no other pre-established exclusion or inclusion criteria are defined. No blinding was used in any animal experiments, and animals were not randomized. For vaccination, young and aged mice were vaccinated by footpad injection with a 20-μl volume of either 0.2 μg of double-inactivated SARS-CoV vaccine with alum or mock PBS; mice were then boosted with the same regimen 22 d later and challenged 21 d thereafter. For all groups, as per protocol, animals were monitored daily for clinical signs of disease (hunching, ruffled fur and reduced activity) for the duration of the experiment. Weight loss was monitored daily for the first 7 d, after which weight monitoring continued until the animals recovered to their initial starting weight or displayed weight gain continuously for 3 d. All mice that lost greater than 20% of their starting body weight were ground-fed and further monitored multiple times per day as long as they were under the 20% cutoff. Mice that lost greater than 30% of their starting body weight were immediately sacrificed as per protocol. Any mouse deemed to be moribund or unlikely to recover was also humanely sacrificed at the discretion of the researcher. Euthanasia was performed using an isoflurane overdose and death was confirmed by cervical dislocation. All mouse studies were performed at the University of North Carolina (Animal Welfare Assurance #A3410-01) using protocols approved by the UNC Institutional Animal Care and Use Committee (IACUC).

Histological analysis.

The left lung was removed and submerged in 10% buffered formalin (Fisher) without inflation for 1 week. Tissues were embedded in paraffin and 5-μm sections were prepared by the UNC Lineberger Comprehensive Cancer Center histopathology core facility. To determine the extent of antigen staining, sections were stained for viral antigen using a commercially available polyclonal SARS-CoV anti-nucleocapsid antibody (Imgenex) and scored in a blinded manner by for staining of the airway and parenchyma as previously described20. Images were captured using an Olympus BX41 microscope with an Olympus DP71 camera.

Virus neutralization assays.

Plaque reduction neutralization titer assays were performed with previously characterized antibodies against SARS-CoV, as previously described11,12,13. Briefly, neutralizing antibodies or serum was serially diluted twofold and incubated with 100 p.f.u. of the different infectious clone SARS-CoV strains for 1 h at 37 °C. The virus and antibodies were then added to a 6-well plate with 5 × 105 Vero E6 cells/well with multiple replicates (n ≥ 2). After a 1-h incubation at 37 °C, cells were overlaid with 3 ml of 0.8% agarose in medium. Plates were incubated for 2 d at 37 °C, stained with neutral red for 3 h and plaques were counted. The percentage of plaque reduction was calculated as (1 − (no. of plaques with antibody/no. of plaques without antibody)) × 100.

Statistical analysis.

All experiments were conducted contrasting two experimental groups (either two viruses, or vaccinated and unvaccinated cohorts). Therefore, significant differences in viral titer and histology scoring were determined by a two-tailed Student’s t-test at individual time points. Data was normally distributed in each group being compared and had similar variance.

Biosafety and biosecurity.

Reported studies were initiated after the University of North Carolina Institutional Biosafety Committee approved the experimental protocol (Project Title: Generating infectious clones of bat SARS-like CoVs; Lab Safety Plan ID: 20145741; Schedule G ID: 12279). These studies were initiated before the US Government Deliberative Process Research Funding Pause on Selected Gain-of-Function Research Involving Influenza, MERS and SARS Viruses (http://www.phe.gov/s3/dualuse/Documents/gain-of-function.pdf). This paper has been reviewed by the funding agency, the NIH. Continuation of these studies was requested, and this has been approved by the NIH.

SARS-CoV is a select agent. All work for these studies was performed with approved standard operating procedures (SOPs) and safety conditions for SARS-CoV, MERs-CoV and other related CoVs. Our institutional CoV BSL3 facilities have been designed to conform to the safety requirements that are recommended in the Biosafety in Microbiological and Biomedical Laboratories (BMBL), the US Department of Health and Human Services, the Public Health Service, the Centers for Disease Control (CDC) and the NIH. Laboratory safety plans were submitted to, and the facility has been approved for use by, the UNC Department of Environmental Health and Safety (EHS) and the CDC. Electronic card access is required for entry into the facility. All workers have been trained by EHS to safely use powered air purifying respirators (PAPRs), and appropriate work habits in a BSL3 facility and active medical surveillance plans are in place. Our CoV BSL3 facilities contain redundant fans, emergency power to fans and biological safety cabinets and freezers, and our facilities can accommodate SealSafe mouse racks. Materials classified as BSL3 agents consist of SARS-CoV, bat CoV precursor strains, MERS-CoV and mutants derived from these pathogens. Within the BSL3 facilities, experimentation with infectious virus is performed in a certified Class II Biosafety Cabinet (BSC). All members of the staff wear scrubs, Tyvek suits and aprons, PAPRs and shoe covers, and their hands are double-gloved. BSL3 users are subject to a medical surveillance plan monitored by the University Employee Occupational Health Clinic (UEOHC), which includes a yearly physical, annual influenza vaccination and mandatory reporting of any symptoms associated with CoV infection during periods when working in the BSL3. All BSL3 users are trained in exposure management and reporting protocols, are prepared to self-quarantine and have been trained for safe delivery to a local infectious disease management department in an emergency situation. All potential exposure events are reported and investigated by EHS and UEOHC, with reports filed to both the CDC and the NIH.

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20 November 2015

In the version of this article initially published online, the authors omitted to acknowledge a funding source, USAID-EPT-PREDICT funding from EcoHealth Alliance, to Z.-L.S. The error has been corrected for the print, PDF and HTML versions of this article.

References

 

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Acknowledgements

Research in this manuscript was supported by grants from the National Institute of Allergy & Infectious Disease and the National Institute of Aging of the US National Institutes of Health (NIH) under awards U19AI109761 (R.S.B.), U19AI107810 (R.S.B.), AI085524 (W.A.M.), F32AI102561 (V.D.M.) and K99AG049092 (V.D.M.), and by the National Natural Science Foundation of China awards 81290341 (Z.-L.S.) and 31470260 (X.-Y.G.), and by USAID-EPT-PREDICT funding from EcoHealth Alliance (Z.-L.S.). Human airway epithelial cultures were supported by the National Institute of Diabetes and Digestive and Kidney Disease of the NIH under award NIH DK065988 (S.H.R.). We also thank M.T. Ferris (Dept. of Genetics, University of North Carolina) for the reviewing of statistical approaches and C.T. Tseng (Dept. of Microbiology and Immunology, University of Texas Medical Branch) for providing Calu-3 cells. Experiments with the full-length and chimeric SHC014 recombinant viruses were initiated and performed before the GOF research funding pause and have since been reviewed and approved for continued study by the NIH. The content is solely the responsibility of the authors and does not necessarily represent the official views of the NIH.

Author information

Affiliations

  1. Department of Epidemiology, University of North Carolina at Chapel Hill, Chapel Hill, North Carolina, USA
    • Vineet D Menachery
    • , Boyd L Yount Jr
    • , Kari Debbink
    • , Lisa E Gralinski
    • , Jessica A Plante
    • , Rachel L Graham
    • , Trevor Scobey
    • , Eric F Donaldson
    •  & Ralph S Baric
  2. Department of Microbiology and Immunology, University of North Carolina at Chapel Hill, Chapel Hill, North Carolina, USA
    • Kari Debbink
    •  & Ralph S Baric
  3. National Center for Toxicological Research, Food and Drug Administration, Jefferson, Arkansas, USA
    • Sudhakar Agnihothram
  4. Key Laboratory of Special Pathogens and Biosafety, Wuhan Institute of Virology, Chinese Academy of Sciences, Wuhan, China
    • Xing-Yi Ge
    •  & Zhengli-Li Shi
  5. Department of Cell Biology and Physiology, University of North Carolina at Chapel Hill, Chapel Hill, North Carolina, USA
    • Scott H Randell
  6. Cystic Fibrosis Center, Marsico Lung Institute, University of North Carolina at Chapel Hill, Chapel Hill, North Carolina, USA
    • Scott H Randell
  7. Institute for Research in Biomedicine, Bellinzona Institute of Microbiology, Zurich, Switzerland
    • Antonio Lanzavecchia
  8. Department of Cancer Immunology and AIDS, Dana-Farber Cancer Institute, Harvard Medical School, Boston, Massachusetts, USA
    • Wayne A Marasco
  9. Department of Medicine, Harvard Medical School, Boston, Massachusetts, USA
    • Wayne A Marasco

Contributions

V.D.M. designed, coordinated and performed experiments, completed analysis and wrote the manuscript. B.L.Y. designed the infectious clone and recovered chimeric viruses; S.A. completed neutralization assays; L.E.G. helped perform mouse experiments; T.S. and J.A.P. completed mouse experiments and plaque assays; X.-Y.G. performed pseudotyping experiments; K.D. generated structural figures and predictions; E.F.D. generated phylogenetic analysis; R.L.G. completed RNA analysis; S.H.R. provided primary HAE cultures; A.L. and W.A.M. provided critical monoclonal antibody reagents; and Z.-L.S. provided SHC014 spike sequences and plasmids. R.S.B. designed experiments and wrote manuscript.

Corresponding authors

Correspondence to Vineet D Menachery or Ralph S Baric.

Ethics declarations

Competing interests

The authors declare no competing financial interests.

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Supplementary Text and Figures

Supplementary Figures 1–6 and Supplementary Tables 1–4 (PDF 4747 kb)

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Menachery, V., Yount, B., Debbink, K. et al. A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence. Nat Med 21, 1508–1513 (2015). https://doi.org/10.1038/nm.3985

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La voici, à lire et diffuser sans aucune modération…

L’essentiel de Résistance 71 de 2010 à 2020
(format PDF)

Rappelons-nous l’objectif: Sortir du confinement plus informés, éduqués, plus éveillés aux turpitude de la dictature marchande afin de pouvoir passer sans effort de la phase de compréhension / intégration de notre réalité à la phase de sa transformation radicale selon le principe de coopération et d’association libre hors hiérarchie et de toute division sociale.

A bas l’État, à bas la marchandise, à bas l’argent, à bas le salariat pour que vive la Commune Universelle de notre humanité enfin réalisée !

 


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