Résistance au colonialisme: Massacre en Palestine occupée et lutte des classes (7 du Québec)

 

A Gaza, la bourgeoisie se planque et le prolétariat planche, encore une lutte de libération nationale bourgeoise

 

Robert Bibeau

 

23 mai 2018

 

Source: 

http://www.les7duquebec.com/7-au-front/a-gaza-la-bourgeoisie-se-planque-et-le-proletariat-planche-encore-une-lutte-de-liberation-nationale-bourgeoise/

 

Que se passe t’il en Palestine occupée ?

Depuis plusieurs semaines (depuis le vendredi 30 mars 2018) le gouvernement israélien et l’armée israélienne ont assassiné plus d’une centaine de Palestiniens, de nombreux enfants notamment, et ils en ont blessé des milliers d’autres (plus de 11 000). Désarmés, ces Palestiniens ont été tués ou blessés pour le crime de manifester contre leur incarcération dans le plus grand bagne à ciel ouvert des temps modernes où un million cinq cent mille damnés de la terre s’entassent, emprisonnés depuis soixante-dix années.

Au-delà du dégoût et de la colère que provoque ces meurtres commis de sang-froid, sous l’œil des caméras (nonobstant leur myopie sélective) la question que soulève ces crimes contre l’humanité c’est : « Pourquoi ce carnage largement médiatisé ? »

Se peut-il que les palestiniens manifestant pensent que ces soldats totalement aliénés – endoctrinés – s’abstiendront de les tués ? Se pourrait-il que les Palestiniens innocents espèrent que les dirigeants israéliens reculeront devant ces crimes de guerre avérés ?  Je ne le crois pas. Les prolétaires palestiniens connaissent leurs geôliers « nazifiés » depuis soixante-dix ans maintenant, et il est évident qu’aucun de ces militants n’attend de pitié des mercenaires de Tsahal.

Il nous faut donc admettre que les martyrs palestiniens connaissent les risques qu’ils encourent face à ces tueurs programmés. Car autant le mystère est grand sur ce qui pousse ces militants bien intentionnés – mais manipulés – à s’immoler de la sorte, autant le mystère plane sur les motifs et les objectifs des autorités israéliennes qui ne peuvent ignorer le dommage que leur occasionne de telles spectacles d’assassinats publics télévisés et répétés. Qui après avoir vu ces crimes de guerre osera encore prétendre au droit à l’existence de cet État fantoche, de cet État voyou, de cet État illégale et illégitime, construit sur une Terre expropriée et ensanglantée.

Le peuple « juif » n’existe pas mais l’État colonial israélien existe

Il est évident que les dirigeants israéliens savent qu’ils forcent leurs comparses des capitales de la « communauté international » bidon à se démasquer et à s’exposer en compagnie de ces tueurs en série, ce qui les embarrasse assurément, c’est pourtant l’effet escompté. À travers cette allégeance occidentale à ses tortionnaires sionistes, le suzerain américain souhaite signifier aux prolétaires américains, israéliens, palestiniens, français, canadiens, et à ceux du monde entier, le sort qu’il réserve aux damnés de la Terre révoltés. Après George W Bush, après Barack Obama, voici Donald Trump qui proclame « Vous êtes avec nous ou vous êtes contre nous ». Voilà la signification profonde de cette tuerie contre le peuple Palestinien, massacre qu’exécute le protectorat israélien, ce soi-disant État d’un « peuple » qui n’existe pas et n’a jamais existé.

En effet, comme l’écrit Shlomo Sand un peuple – une nation – de quelques milliers d’individus n’a pu subsister dans l’errance, expatrier- éparpiller à travers le monde pendant deux milliers d’années, convertissant et intégrant des étrangers (goys) ayant pour seule composante identitaire un livre « révélé » (la Thorah) différemment interprété. (1)

La vraie nature du protectorat israélien

Il faut bien le comprendre, Israël est un protectorat créé par les impérialistes britanniques au siècle dernier, à une époque où pour contrôler et s’approprier une richesse naturelle (pétrole), son transport et ses marchés, une puissance impériale devait disposer d’une armée à proximité de la ressource, une armée capable d’intervenir rapidement pour frapper les bourgeoisies nationales récalcitrantes en cas de nécessité. C’est d’ailleurs ce que fit l’État fantoche israélien en 1956, aux ordres du Royaume-Uni et de la France, empires convoitant le Canal de Suez porte d’entrée des pétroliers ravitaillant le marché européen. Il en fut ainsi par la suite quand la nouvelle puissance hégémonique américaine eut pris le relais des vieilles puissances européennes déchues (Guerre de 1967, de 1973, bombardements de la Tunisie, de la Jordanie, de la Libye, de l’Irak, de la Syrie, invasions et occupation du Liban, et du Golan, etc.). Aujourd’hui, sous l’impérialisme moderne dont l’économie est mondialisée et financiarisée, l’entretien d’un contingent militaire en terre étrangère n’est plus nécessaire. Il faut en convenir Israël est une base militaire obsolète qu’il leur faudra tôt ou tard désaffectée. (2)

L’internationale « juive » ne fait plus recette, bienvenue au « false flag » sioniste

Nul ne doit se laisser berner par les jérémiades proto-sionistes à propos de la lubie de la judéité du « Peuple élu » et autres fadaises au sujet des prophéties de Theodor Herzl, un suprémaciste sponsorisé, et de l’assentiment prémédité de Lord Arthur Balfour (1917), et autres foucades folkloriques complotistes à propos des sectes « juives internationales » qui domineraient le monde avec leurs 16 millions d’adhérant (sur 7 milliards d’individus vivants soit 0,05%), comprenant quelques dizaines de prétendants « juifs » sur les 2500 milliardaires recensés (0,05% du total) , ou encore, à propos de l’État de tous les « Juifs » (dont la majorité des citoyens est athée) sur une Terre « promise » (sic) par Yahweh à cette populace d’exilée multiethnique rassemblée là par les pénuries de logements et d’emplois. Ne pas oublier non plus l’inévitable forfanterie de l’« AIPAC », un club sélect dont les milliardaires opportunistes américains se servent comme paravent pour dissimuler leurs méfaits et en accusé commodément les sanguinaires « juifs » expatriés. Vous cherchez un modèle de « False Flag », en voilà un.

Une époque tire à sa fin, l’alliance Atlantique s’effrite

Soupçonnent-ils ces capitalistes israéliens, ce que vous et moi nous savons déjà : que premièrement, leur mentor déclinant s’écarte progressivement de ses alliés et concurrents européens; que deuxièmement, une fois leur tuteur défaussé il ne restera plus personne pour les protégés; que troisièmement, le temps joue contre eux ! Imaginez dans trente ans combien de dizaines de millions d’arabes enragés –débarrassés de leurs dirigeants prostrés – encercleront cette base militaire néocoloniale abandonnée par les porte-avions US partis en galère faire la guerre de l’autre côté de la Terre, en mers de Chine, de Corée ou du Japon.

Te Deum en Palestine sacrifiée

Il n’y a qu’une explication possible à la tactique sanguinaire et suicidaire de l’État voyou israélien. Maintenant qu’il a reçu la dernière concession de son maître poltron à son ambassade relocalisée, le diable sioniste étale sa hargne désespérée avant de jouer son va-tout, ce bain de sang signifiant qu’il vendra chèrement chaque parcelle de terre spoliée, ce dont le Hamas et l’OLP ont pris acte à n’en pas douter à travers ces milliers de sacrifiés. Il est tout de même triste qu’une nouvelle fois (vingtième répétition depuis la Nakba de 1948) des milliers de Palestiniens aient ainsi payer de leur sang les tractations pour le partage des terres entre deux bourgeoisies nationalistes chauvines (3). Un jour, le bantoustan palestinien tant souhaité par Arafat et par Haniyeh ouvrira ses portes, veuillez en remercier ces milliers d’immolés. La véritable libération du prolétariat palestinien viendra plus tard, n’en doutez pas. (4)

NOTES

1.      1.http://www.les7duquebec.com/7-dailleurs-2-2/comment-le-peuple-juif-fut-invente/

2.      2.http://www.les7duquebec.com/7-au-front/wall-street-se-retire-de-laccord-sur-le-nucleaire-iranien/

3.      3. Selon Ismaïl Haniyeh, « les sangs versés à Gaza ont fait capoter la décision de Trump concernant le « deal du siècle ». « Donald Trump avait l’intention d’annoncer le « deal du siècle » et le « démantèlement de la Palestine » le jour même du transfert de l’ambassade US à Qods, mais les sangs versés à Gaza l’ont empêché d’exécuter sa décision », a dit le chef du Hamas.  http://www.presstv.com/Detail/2018/04/06/557610/Isral-Palestine-Gaza-Cisjordanie-retour

4.      4. Robert Bibeau (2017) Question nationale et révolution prolétarienne sous l’impérialisme moderne.  L’Harmattan. Paris. 150 pages. http://www.les7duquebec.com/7-de-garde-2/question-nationale-et-revolution-proletarienne-sous-limperialisme-moderne-ouvrage-de-robert-bibeau/

18 Réponses to “Résistance au colonialisme: Massacre en Palestine occupée et lutte des classes (7 du Québec)”

  1. les palestiniens n'ont pas le droit de glace en été mais du feu israélien Says:

    Israel, c’est Raspoutine, et Tamimi, c’est la famille Anastasia:
    10 mai 2018:
    Tôt le matin du jeudi, vers 5 heures du matin, Bassem Tamimi, le père de l’adolescente militante emprisonnée Ahed Tamimi, s’est réveillé brusquement en entendant des bruits de pas autour de sa maison.
    « Ils étaient très agressifs et en colère, a-t-il dit. « Ils criaient et demandaient à voir ma carte d’identité
    Cinq autres soldats sont également entrés chez lui, dont un commandant de l’armée israélienne, selon Bassem
    Leur cible était le fils de Bassem, Waed, 21 ans, qui dormait pendant ce moment-là . Cinq soldats sont entrés dans sa chambre et l’ont sorti de son lit.
    Bassem a tenté de filmer l’incident, mais l’un des soldats lui a pris son téléphone et a supprimé les images.
    Il n’avait le droit de mettre que ses chaussures et sa veste, avant d’être traîné hors de la maison et menotté, a dit Bassem
    Les deux autres fils de Bassem, Mohammad, 14 ans, et Salem, 12 ans, se sont réveillés pendant l’incident. Avant de partir, le commandant de l’armée s’est tourné vers Mohammad et lui a dit: « La prochaine fois je viendrai pour toi », selon le souvenir de Bassem
    M. Waed est actuellement détenu au centre de détention israélien d’Ofer, près de Ramallah, en Cisjordanie occupée, et subit des interrogatoires avec les autorités israéliennes, a indiqué M. Bassem. Waed a déjà été emprisonné en 2015 pendant près d’un an, alors qu’il avait 19 ans.
    Ils veulent arrêter tous les jeunes palestiniens
    Bassem n’a pas encore été informé des raisons de l’arrestation de Waed.
    Un porte-parole de l’armée israélienne a déclaré à Mondoweiss que Waed avait été arrêté en raison d' » une participation présumée à des actes de terrorisme populaire « , qui, selon elle, comprenait de prétendues  » émeutes violentes
    Les résidents du Nabi Saleh sont souvent arrêtés par les forces israéliennes à la suite des manifestations hebdomadaires du vendredi contre l’occupation militaire israélienne de plus d’un demi-siècle en Cisjordanie, qui se poursuit depuis près d’une décennie.
    « L’arrestation de Waed n’est qu’une autre tentative d’Israël pour briser Nabi Saleh « , a dit M. Bassem. « C’est le but de tout ça. Israël veut briser l’exemple de la résistance de Nabi Saleh à l’occupation. »
    La fille de Bassem, Ahed Tamimi, a été transformée en icône internationale de la résistance palestinienne après que le jeune homme de 16 ans a été arrêté lors d’un raid de nuit sur Dec.
    Sa mère, Nariman, a été arrêtée plusieurs heures plus tard après avoir vérifié que sa fille était interrogée au centre de détention israélien de Shaar Binyamin

    Peu avant l’incident, son cousin, Mohammad Tamimi, âgé de 15 ans, a subi des blessures mortelles après que des soldats israéliens lui aient tiré à bout portant une balle d’acier recouverte de caoutchouc.

    Nariman et Ahed, qui sont toutes deux détenues dans la prison israélienne de HaSharon, ont été condamnées à huit mois de prison, y compris la durée de leur peine, après avoir accepté un plaidoyer en mars

    Après l’arrestation d’Ahed, les autorités israéliennes ont lancé une opération de répression contre le village. Selon Bilal Tamimi, un parent d’Ahed et un activiste éminent du village, au moins 19 résidents de Nabi Saleh continuent d’être emprisonnés, dont sept sont mineurs.

    La plupart des résidents sont accusés d’avoir jeté des pierres, l’accusation la plus courante à l’encontre des mineurs palestiniens. Les Palestiniens peuvent risquer jusqu’à 10 ans de prison en Cisjordanie occupée pour avoir lancé des pierres.

    « Il y a une opération continue[israélienne] pour arrêter tous les jeunes de Nabi Saleh afin d’arrêter notre résistance « , a dit Bilal à Mondoweiss. « Notre village est devenu célèbre dans le monde entier, et Israël veut empêcher les voix de Nabi Saleh d’atteindre nos partisans dans le monde entier

    « Nous avons le droit de résister ».

    Bilal a déclaré qu’Israël utilise des accusations, telles que  » soutenir des actes de terrorisme populaire  » pour justifier la répression de la résistance palestinienne.

    Si les résidents ne sont pas inculpés de jets de pierres, ils sont accusés d’être impliqués dans des «activités illégales», «entravant les fonctions du soldat» et certains sont inculpés sur leurs réseaux sociaux, a déclaré Bilal à Mondoweiss.

    D’ailleurs, Israël n’a besoin d’aucune justification quand il arrête un palestinien, a souligné Bilal, en raison de sa politique de détention administrative, qui permet à Israël d’emprisonner des Palestiniens sans inculpation ni procès sur la base de preuves « secrètes » que même l’avocat d’un détenu n’a pas le droit de voir
    « Nous sommes un peuple sous occupation. En vertu du droit international, nous avons le droit de résister à notre occupant « , a déclaré Bilal, dont les deux fils Mohammad, 18 ans, et Osama, 21 ans, sont emprisonnés par Israël depuis plusieurs mois. « Mais pour les activités d’Israël, ils viendront nous arrêter. »

    Selon le groupe de défense des droits des prisonniers palestiniens Addameer, 6 036 Palestiniens ont été emprisonnés par Israël en avril, dont 304 étaient des mineurs. Les Nations Unies ont documenté une moyenne bi-hebdomadaire de 200 raids nocturnes israéliens effectués sur les communautés palestiniennes en 2018.

    Pendant ce temps, après l’arrestation de Waed, la maison de Bassem est devenue plus silencieuse. Avec sa femme, sa fille et son fils sous la garde des Israéliens, il ne reste que Bassem et ses fils Mohammad et Salem

    « Ce n’est pas facile pour moi de savoir que mon fils, ma fille et ma femme sont entre les mains de mon ennemi « , a dit Bassem à Mondoweiss. « Chaque fois que les soldats attaquent ma maison, je me souviens quand Ahed et Nariman se tenaient devant eux et essayaient de protéger les enfants. »

    Pour Bassem, chaque raid, arrestation, audience ou peine de prison lui rappelle les nombreux autres membres de la famille et les habitants du village qui ont vécu la même épreuve, y compris lui-même. « C’est comme si la même image se produisait encore et encore, sauf avec des êtres chers différents « , a-t-il dit.

    « Mais c’est une occupation, a-t-il ajouté. « Et nous ne pouvons pas garder le silence sous l’occupation. Tant que cette occupation se poursuivra, notre devoir sera toujours de résister. »

    Ahed Tamimi en 2012:
    « A 5 heures, Ahed Tamimi, 11 ans, a été frappée par une balle en caoutchouc dans le bras et transportée, froissée, dans la maison où j’étais assis. Elle ne pleurait pas.

    Une journaliste est arrivée en boitant après elle, frappée à la cuisse. A ce moment-là, les Israéliens avaient coupé l’électricité du village et une attaque au gaz lacrymogène avait mis le feu à la cour d’un voisin et les soldats tiraient des balles réelles en l’air pour intimider les gens. Je me sentais piégé. Tout ce que je voulais, c’était partir » dit la journaliste
    Une mauvaise journée à Nabi Saleh par Philip Weiss le 12 novembre 2012, car la vidéo de son interrogatoire en décembre 2017 a démontré que la jeune fille a de l’expérience et est très compétente.

    Israel veut enfermer tous les jeunes palestiniens et mettre fin à la croissance démographique palestinienne. Génocide de la future nation palestinienne.
    http://mondoweiss.net/2018/05/tamimis-detained-overnight/

    Israel se met à critiquer à présent la petite cousine de Ahed Tamimi qui elle aussi présente dans les manifestations palestiniennes
    https://www.jewishpress.com/news/eye-on-palestine/palestinian-authority/janna-tamimi-12-replacing-imprisoned-cousin-ahed-in-cursing-harrassing-idf-soldiers/2018/04/23/ (article censuré maintenant car Israel veut cacher le nom de sa prochaine victime….)

    24 mai 2018: Israël fait pression sur l’administration Trump pour qu’elle reconnaisse sa souveraineté sur le plateau du Golan occupé, a déclaré mercredi un ministre israélien, prédisant que l’assentiment des États-Unis pourrait intervenir d’ici quelques mois.
    Les hauteurs du Golan forment un plateau stratégique entre Israël et la Syrie d’environ 1 200 kilomètres carrés
    le plateau de Golan faisait partie de la Syrie jusqu’à ce qu’Israël la capture lors de la guerre au Moyen-Orient en 1967. Elle a déplacé des colons israéliens dans la zone qu’elle occupait et a annexé le territoire en 1981, ce qui n’est pas reconnu internationalement.
    https://www.newsmax.com/newsfront/israel-golan-united-states/2018/05/24/id/862269/

    Le Kurdistan est un Etat créé par Israel qui devrait naître à cheval sur trois pays : la Turquie, la Syrie et l’Irak. Israël soutient activement sa création
    https://www.europe-israel.org/2017/09/kurdistan-lavenement-dun-pays-pour-un-peuple-ayant-une-culture-propre-et-une-histoire/

    Septembre 2017: Israel veut créer un Etat nation de Kurdistan en Syrie et en Irak pour y installer 200 000 sionistes israéliens: Le soutien d’Israël aux kurdes a un prix: la revue israélo-kurde, diffusée dans le nord de l’Irak, qui, dans sa dernière édition, traite les relations que maintient Barzani avec Tel-Aviv ainsi que le cas des 200, 000 israéliens d’origine kurde envisageant de rentrer et s’installer dans le nord de l’Irak et de la Syrie.
    « Massoud Barzani, le président de la région autonome du Kurdistan d’Irak, affirme qu’il attend le retour de 200.000 israéliens d’origine kurde tout en promettant à Israël de les faire rentrer et de les loger dans le nord de l’Irak et de la Syrie.Au début du siècle dernier, un grand nombre de juifs kurdes qui habitaient les régions septentrionales de l’Irak et de la Syrie, ont été transportés en Israël. S’intégrant dans la société israélienne, ils occupent aujourd’hui des postes importants au sein du régime. (Donc Israel va envoyer 200 000 chefs de Mossad en Irak et en Syrie pour former son royaume du Kurdistan) »L’instauration des relations entre Israël et les Kurdes d’Irak remontent à l’époque de Molla Mustafa Barzani et à la constitution d’Israël et ont vu leur survie aujourd’hui par Massoud Barzani. »la revue israélo-kurde soutenue par l’entourage de Barzani et financée par le Mossad, Service secret de renseignement d’Israël, n’hésite pas à manipuler l’opinion publique au profit du renforcement des relations israélo-kurdes.

    Benjamin Netanyahou, dans un communiqué publié dans le journal d’Urshalim, affirme que Tel-Aviv soutient les efforts légitimes du peuple pour la création d’un État Kurde et l’organisation du référendum sur l’indépendance dans la région autonome du Kurdistan d’Irak. Évoquant les coopérations israélo-kurdes qui datent de plus d’un demi-siècle, le chef d’Israël qualifie l’apparition d’un État kurde d’événement le plus heureux qui marquerait le destin du Moyen-Orient.

    Massoud Barzani et les autorités de la région autonome du Kurdistan d’Irak, dans un sommet datant de trois mois, ont décidé d’organiser un référendum sur l’indépendance le 25 septembre 2017. La revendication d’Erbil, n’étant soutenue que par Tel-Aviv, a suscité de nombreuses polémiques et d’inquiétudes au-delà des frontières irakiennes.

    L’Irak, l’Iran et la Turquie ont vivement contesté le scrutin et s’opposent à la moindre modification sur les frontières de tous les pays du Moyen-Orient, y compris en Irak.

    http://parstoday.com/fr/news/middle_east-i45445-le_soutien_d'isra%C3%ABl_aux_kurdes_a_un_prix

  2. Évoquant les coopérations israélo-kurdes qui datent de plus d’un demi-siècle, le chef d’Israël qualifie l’apparition d’un État kurde d’événement le plus heureux qui marquerait le destin du Moyen-Orient.
    http://parstoday.com/fr/news/middle_east-i45445-le_soutien_d'isra%C3%ABl_aux_kurdes_a_un_prix

    Pourquoi les coopérations israélo-kurdes datent depuis plus d’un demi-siècle? Parce que ce sont les sionistes d’Irak (supposés kurdes) qui ont détruit la langue arabe en Turquie pour la remplacer par la langue latine du Vatican et vendu la Palestine à Rothschild et qui ont lancé la dynastie des rois d’Arabie Saoudite, descendants des kurdes sionistes d’Irak.

    La Turquie kémaliste et l’Arabie Saoudite créées et dominées par les juifs sionistes Dönmeh

    la Palestine a été arrachée à l’empire Ottoman en 1948 grâce un coup d’Etat des juifs sionistes Donmeh dans l’empire Ottoman en 1908 qui avaient assassiné le sultan sunnite de l’empire ottoman en 1918 qu’il ait refusé de vendre la Palestine en 1901 aux riches sionistes ! Il fut chassé du pouvoir en 1908, remplacé par un sioniste musulman et assassiné en prison en 1918, c’est à dire à la fin de la première guerre mondiale.

    »
    La secte dönmeh du judaïsme fut fondée au XVIIe siècle par le rabbin Sabbataï Zevi, un kabbaliste qui croyait être le Messie mais qui fut contraint de se convertir à l’islam par le sultan Mehmet IV, le souverain ottoman.

    Beaucoup des fidèles du rabbin, connus sous le nom de sabbataïstes, mais aussi des « crypto-juifs », proclamèrent publiquement leur foi islamique mais pratiquèrent secrètement leur forme hybride de judaïsme, qui n’était pas reconnue par les principales autorités rabbiniques juives.

    Parce que c’était contre leurs croyances de se marier en-dehors de leur secte, les Dönmeh créèrent un clan assez secret à l’intérieur de la société.

    Le sultan sunnite Abdülhamid II fut traité de tyran par les Dönmeh Jeunes Turcs sionistes, mais il semble que son seul crime ait été de refuser de rencontrer le dirigeant sioniste Theodore Herzl durant une visite à Constantinople en 1901 et de rejeter les propositions financières sionistes et dönmeh en échange d’un contrôle sioniste de Jérusalem.

    Comme d’autres dirigeants qui ont croisé le chemin des sionistes, le sultan Abdülhamid II semble avoir scellé son sort avec les Dönmeh avec cette déclaration devant la cour ottomane :

    « Dites au Dr. Herzl de ne rien faire de plus concernant son projet. Je ne puis abandonner ne serait-ce qu’une poignée de terre de ce pays, car ce n’est pas le mien, il appartient à toute la nation islamique. La nation islamique a fait le djihad pour cette terre et l’a arrosée de son sang. Les Juifs peuvent garder leur argent et leurs millions. Si le Califat islamique est détruit un jour, alors ils pourront prendre la Palestine gratuitement ! Mais tant que je suis vivant, je me passerais une épée à travers le corps plutôt que de voir la terre de Palestine arrachée à l’Etat islamique ».

    Après son éviction par les Dönmeh Jeunes Turcs d’Atatürk en 1908, le sultan Abdülhamid II de l’empire ottoman fut emprisonné dans la citadelle dönmeh de Salonique. Il mourut à Constantinople en 1918, trois ans après qu’ Ibn Saoud ( lui-même d’ascendance Dönmeh, ainsi que Abdelwahhab, le créateur de la secte talmudique wahhabite, comme nous l’avons vu dans : Origines de la connivence wahhabisme-sionisme) agréa à une nation Juive en Palestine et une année plus tard Lord Balfour céda la Palestine aux Sionistes dans sa lettre au Baron Rothschild. »
    https://numidia-liberum.blogspot.fr/2017/04/la-turquie-kemaliste-et-larabie.html

    Le coup de la Palestine avait donc été préparé 48 ans en avance….parce que le sultan avait refusé de vendre la Palestine en 1901….donc Rothschild devait préparer un coup plus laborieux pour arracher la Palestine , en mettant des agents sionistes dans l’empire ottoman pour renverser le pouvoir sunnite.

    Les sionistes avaient organisé un coup d’Etat dans l’empire Ottoman grâce à la secte des juifs Donmeh se faisant passer pour musulmans sunnites, ils ont chassé le sultan sunnite en 1908 et tué en prison car le sultan sunnite refusait de vendre la Palestine en disant que la Palestine est une terre islamique et qu’aucune terre islamique ne peut être vendue, les sionistes l’ont donc tué et ont mis à la place un sioniste de Donmeh qui se prétendait musulman, et qui a proclamé la république de Turquie et la fin de l’empire ottoman, tout en donnant la Palestine aux sionistes.

    Voilà donc pourquoi Rothchild déteste tant les musulmans et fait la chasse aux sorcières aux musulmans aux quatre coins du globe. C’est parce que l’empire ottoman islamique ne voulait pas lui donner la palestine, alors il a fallu qu’il organise une de ces révolutions colorés dont il a le secret pour détruire l’empire ottoman, mettre à un sioniste président qui assassine le sultan sunnite qui résistait à Rotschild et refusait de se faire corrompre, et le sioniste prétendu sunnite qui remplace le sultan sunnite assassiné déclare la république de la turquie et vende la Palestine à Rothschild en bonne et due forme. (ici on ne fait pas de la pub pour l’islam, ni l’empire, mais on montre pourquoi tout a commencé depuis 1901 jusqu’en 1948 et au delà, et comment la Palestine a été vendu, et qu’Israel a été créé)

    citation source histoire:

    « Bien que connue des historiens et des experts religieux, l’influence politique et économique séculaire d’un groupe connu sous le nom turc de « Dönmeh » ne fait que commencer à apparaître sur les lèvres des Turcs, des Arabes et des Israéliens qui hésitaient à discuter de la présence en Turquie et ailleurs d’une secte de Turcs descendant d’un groupe de Juifs sépharades qui avaient été expulsés d’Espagne par l’Inquisition espagnole aux XVIe et XVIIe siècles. Ces réfugiés juifs d’Espagne furent autorisés à s’établir dans l’Empire ottoman et avec le temps ils se convertirent à une secte mystique de l’islam qui mélangea finalement la Kabbale juive et les croyances semi-mystiques soufies islamiques dans une secte qui finit par soutenir la laïcité dans la Turquie post-ottomane.

    Il est intéressant de noter que le mot « Dönmeh » ne désigne pas seulement les « convertis douteux » à l’islam en Turquie mais est aussi un mot turc désobligeant désignant un travesti, ou quelqu’un qui prétend être ce qu’il n’est pas.

    La secte dönmeh du judaïsme fut fondée au XVIIe siècle par le rabbin Sabbataï Zevi, un kabbaliste qui croyait être le Messie mais qui fut contraint de se convertir à l’islam par le sultan Mehmet IV, le souverain ottoman.

    Beaucoup des fidèles du rabbin, connus sous le nom de sabbataïstes, mais aussi des « crypto-juifs », proclamèrent publiquement leur foi islamique mais pratiquèrent secrètement leur forme hybride de judaïsme, qui n’était pas reconnue par les principales autorités rabbiniques juives.

    Parce que c’était contre leurs croyances de se marier en-dehors de leur secte, les Dönmeh créèrent un clan assez secret à l’intérieur de la société.

    LES DÖNMEH sionistes qui se font passer pour musulmans PRENNENT LE POUVOIR EN TURQUIE

    Beaucoup de Dönmeh, avec des Juifs traditionnels, devinrent de puissants dirigeants politiques et commerciaux à Salonique, qui appartenait alors à la Turquie.

    C’est ce groupe central de Dönmeh sionistes qui organisa l’organisation secrète des Jeunes Turcs, également connue sous le nom de Comité pour l’Union et le Progrès, les laïcistes qui déposèrent le sultan sunnite ottoman Abdülhamid II lors de la révolution de 1908, proclamèrent la République post-ottomane de Turquie après la Première Guerre mondiale, et qui lancèrent la campagne qui dépouilla la Turquie de la plus grande part de son identité islamique après la chute des Ottomans.

    Le sultan sunnite Abdülhamid II fut traité de tyran par les Dönmeh Jeunes Turcs sionistes, mais il semble que son seul crime ait été de refuser de rencontrer le dirigeant sioniste Theodore Herzl durant une visite à Constantinople en 1901 et de rejeter les propositions financières sionistes et dönmeh en échange d’un contrôle sioniste de Jérusalem.

    Comme d’autres dirigeants qui ont croisé le chemin des sionistes, le sultan Abdülhamid II semble avoir scellé son sort avec les Dönmeh avec cette déclaration devant la cour ottomane :

    « Dites au Dr. Herzl de ne rien faire de plus concernant son projet. Je ne puis abandonner ne serait-ce qu’une poignée de terre de ce pays, car ce n’est pas le mien, il appartient à toute la nation islamique. La nation islamique a fait le djihad pour cette terre et l’a arrosée de son sang. Les Juifs peuvent garder leur argent et leurs millions. Si le Califat islamique est détruit un jour, alors ils pourront prendre la Palestine gratuitement ! Mais tant que je suis vivant, je me passerais une épée à travers le corps plutôt que de voir la terre de Palestine arrachée à l’Etat islamique ».

    Après son éviction par les Dönmeh Jeunes Turcs d’Atatürk en 1908, le sultan Abdülhamid II de l’empire ottoman fut emprisonné dans la citadelle dönmeh de Salonique. Il mourut à Constantinople en 1918, trois ans après qu’ Ibn Saoud ( lui-même d’ascendance Dönmeh, ainsi que Abdelwahhab, le créateur de la secte talmudique wahhabite, comme nous l’avons vu dans : Origines de la connivence wahhabisme-sionisme) agréa à une nation Juive en Palestine et une année plus tard Lord Balfour céda la Palestine aux Sionistes dans sa lettre au Baron Rothschild.

    Les Arabes d’Arabie et du Moyen-Orient le savent depuis l’origine des Saoud :

    Les Saoud sont des juifs ابن سعود، ابن اليهود

    L’un des dirigeants Dönmeh jeunes turcs sionistes à Salonique était Mustafa Kemal Atatürk, le fondateur de la République de Turquie.

    Quand la Grèce sortit de l’empire ottoman et obtint la souveraineté sur Salonique en 1913, beaucoup de Dönmeh, ne parvenant pas à se faire enregistrer comme juifs, allèrent s’établir à Constantinople, plus tard renommée Istanbul.

    D’autres Dönmeh sionistes partirent pour Izmir, Bursa, et pour la capitale nouvellement proclamée d’Atatürk et futur siège du pouvoir de l’Ergenekon [1] , Ankara.

    Certains textes suggèrent que les Dönmeh sionistes dépassaient le nombre de 150.000 et se trouvaient principalement dans l’armée, l’administration et le commerce dans l’empire ottoman.

    Cependant, d’autres experts suggèrent que les Dönmeh sionistes représentaient peut-être 1,5 million de Turcs et étaient encore plus puissants qu’on ne le pensait généralement, et que leur pouvoir s’étendait à tous les secteurs de la société turque.

    Un Dönmeh sioniste influent, Tevfik Rustu Arak, était un ami proche et un conseiller d’Atatürk et fut le Premier Ministre de la Turquie de 1925 à 1938.

    Le sioniste Atatürk, dont on dit qu’il était lui-même un Dönmeh, ordonna que les Turcs abandonnent leurs noms arabo-musulmans.

    Le nom du premier empereur chrétien de Rome, Constantin, fut effacé de la plus grande ville turque, Constantinople. La ville devint Istanbul, après que le gouvernement d’Atatürk ait rejeté le nom traditionnel en 1923. De nombreux bruits ont circulé sur le nom d’Atatürk lui-même, puisque « Mustapha Kemal Atatürk » était un pseudonyme. Certains historiens ont suggéré qu’Atatürk adopta ce nom parce qu’il était un descendant de Rabbi Zevi en personne, le Messie autoproclamé des Dönmeh !

    Le sioniste Donmeh Atatürk abolit aussi l’usage de l’écriture arabe en Turquie et força le pays à adopter l’alphabet occidental.

    LA TURQUIE MODERNE : UN ÉTAT SIONISTE SECRET CONTROLE PAR LES DÖNMEH

    Les fortes racines juives suspectées d’Atatürk, sur lesquelles toutes les informations furent supprimées pendant des décennies par un gouvernement turc qui interdisait toute critique du fondateur de la Turquie moderne, commencèrent à refaire surface, d’abord en-dehors de la Turquie et dans des publications écrites par des auteurs juifs.

    Le livre publié en 1973, The Secret Jews, par le rabbin Joachim Prinz, affirme qu’Atatürk et son ministre des finances, Djavid Bey, étaient tous deux des sionistes Döhmeh ardents et qu’ils étaient en bonne compagnie, car « trop de jeunes Turcs dans le Cabinet révolutionnaire nouvellement constitué priaient Allah, mais avaient leur propre prophète [Sabbataï Zevi, le Messie de Smyrne des rabbins sionistes] ».

    Dans The Forward du 28 janvier 1994, Hillel Halkin écrivit dans le New York Sun qu’Atatürk récitait le « Sheema Israël » (« Écoute, Ô Israël ») juif, disant que c’était « ma prière aussi ». L’information est tirée d’une autobiographie du journaliste Itamar Ben-Avi, qui affirme qu’Atatürk, à cette époque jeune capitaine de l’armée turque, révéla qu’il était juif dans le bar d’un hôtel de Jérusalem lors d’une nuit pluvieuse durant l’hiver 1911.

    De plus, Ataturk suivit les cours de l’école primaire Semsi Effendi à Salonique, dirigée par un Dönmeh nommé Simon Zevi. Dans l’article du New York Sun, Halkin parla d’un e-mail qu’il avait reçu d’un collègue turc : « Je sais maintenant – je sais (et je n’ai jamais eu le moindre doute) – que la famille du père d’Atatürk était en fait de souche juive ».

    C’est l’appui d’Atatürk et des Dönmeh Jeunes Turcs au sionisme, la création d’un foyer juif en Palestine, après la Première Guerre mondiale et durant la domination nazie en Europe, qui fit apprécier la Turquie par Israël et vice-versa.

    Un article du 8 mai 2007 dans The Forward révéla que les dirigeants turcs, dominés par les Dönmeh « du président aux principaux diplomates… et une grande partie des élites militaires, culturelles, académiques, économiques et professionnelles de la Turquie », écartèrent la Turquie d’une alliance avec l’Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale, et privèrent Hitler de la route turque vers les champs pétrolifères de Bakou.
    Dans son livre, The Donme: Jewish Converts, Muslim Revolutionaries and Secular Turks, le professeur Marc David Baer écrivit que beaucoup d’entre eux parvinrent à des positions élevées dans les ordres religieux soufis.
    Israël a toujours été réticent à décrire le massacre des Arméniens par les Turcs sionistes Dönmeh en 1915 comme un « génocide ». On a toujours pensé que la raison de la réticence d’Israël était la crainte de compromettre les liens militaires et diplomatiques étroits entre Israël et la Turquie. Cependant, on découvre toujours plus de preuves que le génocide arménien fut largement l’œuvre des dirigeants dönmeh des Jeunes Turcs sionistes. Des historiens comme Ahmed Refik, qui servit comme officier de renseignement dans l’armée ottomane, affirma que c’était le but des Dönmeh Jeunes Turcs sionistes de détruire les Arméniens, qui étaient chrétiens pour la plupart. Les Jeunes Turcs, sous la direction d’Ataturk, expulsèrent aussi les chrétiens grecs des villes turques et tentèrent de commettre un génocide à plus petite échelle contre les Assyriens, qui étaient aussi principalement des chrétiens.

    Un mercenaire vénézuélien qui servit dans l’armée ottomane, Rafael de Nogales Mendez, nota dans ses annales du génocide arménien que Talaat dirigeant qui mit en œuvre le génocide des Arméniens et des Assyriens, était connu sous le nom de « l’Hébreu renégat de Salonique ». Talaat fut assassiné en Allemagne en 1921 par un Arménien dont toute la famille avait disparu durant le génocide ordonné par l’« Hébreu renégat ». Certains historiens du génocide pensent que les Arméniens, connus comme de bons commerçants, furent ciblés par les Dönmeh juifs sionistes doués pour le commerce parce qu’ils étaient considérés comme des rivaux commerciaux.
    Ce n’est donc pas le désir de protéger l’alliance israélo-turque qui a poussé Israël à éviter de rechercher les raisons du génocide arménien, mais la connaissance par Israël et les Dönmeh que c’est la direction dönmeh des Jeunes Turcs juifs sionistes qui non seulement assassina des centaines de milliers d’Arméniens et d’Assyriens mais qui supprima aussi les coutumes et les habitudes musulmanes traditionnelles de la Turquie. La connaissance que c’est les Dönmeh juifs sionistes, dans une alliance naturelle avec les sionistes d’Europe, qui furent les responsables de la mort des chrétiens arméniens et assyriens, de l’expulsion hors de Turquie des chrétiens orthodoxes grecs, et de l’éradication culturelle et religieuse des traditions islamiques turques, aurait fait surgir une nouvelle réalité dans la région. A la place des Chypriotes grecs et turcs vivant sur une île divisée, des Arméniens menant une vendetta contre les Turcs, et des Grecs et des Turcs se querellant pour des territoires, tous les peuples attaqués par les Dönmeh auraient compris qu’ils avaient un ennemi commun qui était leur véritable persécuteur.
    https://numidia-liberum.blogspot.fr/2017/04/la-turquie-kemaliste-et-larabie.html

    Donc les Dönmeh juifs sionistes ont détruit autant les musulmans en Turquie (interdiction de prénom arabe, fin de la langue arabe en Turquie, assassinats des musulmans) que les chrétiens, et ont disloqué l’empire ottoman sunnite qui refusait de vendre la Palestine pour créer la république de Turquie avec l’alphabet occidental latin.

    Les Donmei juifs sionistes avait aussi pénétré l’Arabie Saoudite et obtenu le pouvoir en Arabie Saoudite grâce aux armées des colons britanniques de Rotschild, pour démolir l’empire ottoman, dont l’existence même menaçait leur plan de pouvoir s’accaparer de la Palestine.

    citation histoire:
    « Ce qui surprendra ceux qui ont peut-être déjà été surpris par les liens des Dönmeh avec la Turquie, ce sont les liens des juifs Dönmeh avec la Maison des Saoud en Arabie Saoudite.

    Un rapport top-secret des Mukhabarat irakiens (Directorat du Renseignement Militaire Général), « L’émergence du wahhabisme et ses racines historiques », daté de septembre 2002 et publié le 13 mars 2008 par l’Agence américaine de Renseignement pour la Défense [U.S. Defense Intelligence Agency] en traduction anglaise, indique les racines dönmeh du fondateur de la secte wahhabite saoudite de l’islam, Muhammad ibn Abdul Wahhab.

    Une grande partie des informations sont tirées des mémoires d’un « Mr. Humfer » (ainsi orthographié dans le rapport de la DIA, mais orthographié « Mr. Hempher » dans les archives historiques), un espion britannique qui utilisait le nom de « Mohammad », et qui était soi-disant un Azéri parlant le turc, le persan et l’arabe et qui prit contact avec Wahhab au milieu du XVIIIe siècle avec l’idée de créer une secte de l’islam qui provoquerait finalement une révolte arabe contre les Ottomans et qui préparerait la voie pour l’introduction d’un Etat juif en Palestine.

    Les mémoires de Humfer sont citées par l’auteur et amiral ottoman Ayyub Sabri Pacha dans son ouvrage de 1888, The Beginning and Spreading of Wahhabism.

    Dans son livre The Dönmeh Jews, D. Mustafa Turan écrit que le grand-père de Wahhab, Tjen Sulayman, était en fait Tjen Shulman, un membre de la communauté juive de Bassora en Irak.

    Le rapport des Renseignements irakiens dit aussi que dans son livre, The Dönmeh Jews and the Origin of the Saudi Wahhabis, Rifat Salim Kabar révèle que Shulman venant de la communauté juive de Bassora en Irak s’établit finalement dans le Hedjaz, dans le village de al-Ayniyah dans ce qui est aujourd’hui l’Arabie Saoudite, où son petit-fils fonda la secte wahhabite de l’islam.

    Le rapport des Renseignements irakiens dit que le juif sioniste Shulman avait été banni de Damas, Le Caire et La Mecque à cause de son « charlatanisme ». Dans le village de al-Ayniyah en Arabie Saoudite, le sioniste juif d’irak Shulman engendra Abdul Wahhab. Le fils d’Abdul Wahhab, Muhammad, fonda le wahhabisme moderne.

    Le rapport irakien fait aussi quelques affirmations stupéfiantes sur la famille des Saoud. Il cite le livre d’Abdul Wahhab Ibrahim al-Shammari, The Wahhabi Movement: The Truth and Roots, qui dit que le roi Abdul Aziz Ibn Saoud, le premier monarque du Royaume d’Arabie Saoudite, descendait de Mordechai ben Ibrahim ben Moishe, un marchand juif également originaire de la communauté juive de Bassora d’Irak .

    Dans le Nedjd, Moishe rejoignit la tribu des Aniza et changea son nom en Markhan ben Ibrahim ben Moussa. Finalement, Mordechai maria son fils, Jack Dan, qui devint Al-Qarn, à une femme de la tribu des Anzah du Nedjd. De cette union naquit la future famille Saoud

    Le document des renseignements irakiens révèle que le chercheur Mohammad Sakher fut assassiné par les sionistes à cause de ses recherches sur les racines juives des Saoud. Dans le livre de Said Nasir, The History of the Saud Family, il est affirmé qu’en 1943, l’ambassadeur saoudite en Égypte, Abdullah ben Ibrahim al Muffadal, paya Muhammad al Tamami pour forger un faux arbre généalogique montrant que les Saoud et les Wahhab étaient une seule famille qui descendait directement du Prophète Mahomet.

    Au commencement de la Première Guerre mondiale, un officier britannique juif d’Inde, David Shakespeare, rencontra Ibn Saoud (le descendant des juifs d’Irak) à Riyad et conduisit plus tard une armée saoudite qui vainquit une tribu opposée à Ibn Saoud.

    En 1915, Ibn Saoud rencontra l’envoyé britannique dans la région du Golfe, Bracey Cocas. Cocas fit la proposition suivante à Ibn Saoud : « Je pense que c’est une garantie de votre durabilité autant que c’est dans l’intérêt de la Grande-Bretagne que les Juifs aient un foyer national et une existence [nationale], et les intérêts de la Grande-Bretagne sont, par tous les moyens, dans votre intérêt ».

    Ibn Saoud, le descendant des juifs Dönmeh de la communauté juive de Bassora d’Irak, répondit : « Oui, si mon acceptation est si importante pour vous, j’accepte mille fois d’accorder un foyer national aux Juifs en Palestine ou ailleurs qu’en Palestine ».

    Deux ans plus tard, le Secrétaire britannique aux Affaires Etrangères Lord Balfour, dans une lettre au baron Walter Rothschild, un dirigeant des sionistes britanniques, déclara : « Le gouvernement de Sa Majesté regarde avec faveur l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif… ». Le pacte avait l’appui tacite de deux des acteurs majeurs de la région, tous deux descendants des Juifs dönmeh qui soutenaient la cause sioniste, Kemal Atatürk pour la Turquie et Ibn Saud pour l’arabie saoudite.

    La présente situation au Moyen Orient devrait être vue sous ce jour, mais pour des raisons évidentes l’histoire de la région a été expurgée par certains intérêts religieux et politiques.

    Après la Première Guerre mondiale, les Britanniques facilitèrent l’arrivée au pouvoir du régime des Saoud (descendants des Dönmeh juifs de Bassora la communauté juive d’Irak) dans les anciennes provinces du Hedjaz et du Nedjd de l’Empire ottoman.

    Les Saoud (descendants des Dönmeh juifs de Bassora la communauté juive d’Irak) établirent le wahhabisme comme la religion d’État du nouveau Royaume d’Arabie Saoudite et, comme les Dönmeh kémalistes en Turquie (descendants des juifs d’Europe), commencèrent à s’opposer à d’autres croyances et sectes islamiques, incluant les sunnites et les chiites.

    Les Saoud wahhabites (descendants des Dönmeh juifs de Bassora la communauté juive d’Irak) accomplirent ce que les Dönmeh kémalistes (descendants des juifs d’Europe) avaient réussi à accomplir en Turquie : un Moyen Orient fracturé qui était mûr pour les desseins impérialistes occidentaux, et firent le travail préparatoire pour la création de l’Etat sioniste d’Israël.
    https://numidia-liberum.blogspot.fr/2017/04/la-turquie-kemaliste-et-larabie.html

    Donc voilà comment les sionistes ont chassés les dirigeants musulmans qui s’opposaient au sionisme, ont créé une nouvelle secte sioniste Le wahhabisme pour remplacer le sunnisme et attaquer le chiisme, tout cela pour diviser les musulmans entre eux et pour mettre le monde arabe à feu et à sang, et permettre à Israel (créé grâce à l’assassinat du sultan de l’empire ottoman en 1918 qui fut remplacé par un sioniste juif de Dönmeh qui proclama la république de Turquie et remplaça l’arabe par l’alphabet latin) de s’accaparer les pays du moyen orient

    • des infos intéressantes mais on n’a jamais parlé arabe en Turquie qui reste la langue du coran exclusivement, deux langues différentes aux souches différentes. Il y a plus de 90 millions de turcophones en Turquie et en dehors. L’empire ottoman est terminé depuis 1918 pas 1948, la Palestine n’a donc pas été « arrachée à l’empire ottoman en 1948 », elle était un protectorat britannique depuis 1918 ; certaines imprécisions qui nuisent un peu à la crédibilité, dommage…

  3. tour de babel Says:

    Alors quelle langue on parlait-on en Turquie?

    Comme on peut le voir ici, ce n’est pas l’alphabet latin, car elle n’a été introduit qu’à la fin de l’empire ottoman:

    – La langue turque

    Dans l’Empire ottoman, la langue turque avait subi l’influence massive de l’arabe coranique et du persan. La langue officielle de l’Empire était ce qu’on pourrait appeler le «turc ottoman», dont la caractéristique était une variété linguistique savante faite d’un mélange d’arabe, de persan et de turc. Durant près de 1000 ans, les lettrés ont emprunté non seulement des mots à l’arabe et au persan, mais aussi des expressions figées ainsi que des structures syntaxiques. Dans les faits, cette langue «turque ottomane», passablement artificielle, n’était écrite et parlée que par l’élite ottomane, car elle était quasiment incompréhensible par l’ensemble de la population turcophone rurale vivant à l’intérieur des frontières de l’Empire. Tout au cours de cette longue période, le turc populaire est resté la «langue des pauvres et des illettrés

    La langue turque du peuple n’a jamais fait l’objet d’un quelconque enseignement. On enseignait le turc ottoman, l’arabe coranique et le persan. Le turc ottoman connaissait trois variantes différentes:

    1) Le turc ottoman éloquent (beliğ Osmanlı Türk) : il fut en usage jusqu’à la fin du XVIe siècle dans les cours anatoliennes;
    2) Le turc ottoman moyen (Osmanlı Türk araçlar) : c’était la langue utilisée à des fins administratives;
    3) Le nouveau turc ottoman (Yeni Osmanlı Türk) : cette variété n’est apparue qu’au cours des années 1850.

    Ce n’est qu’en 1839 que le turc ottoman moyen fut employé exclusivement dans l’Empire. Par ailleurs, la poésie populaire en langue turque connut son épanouissement avec le mystique Pir Sultan Abdal, mais celui-ci fut pendu en 1860 par les autorités ottomanes pour ses sentiments antiturcs.

    – L’arabe

    Dans l’Empire ottoman, l’arabe coranique est demeuré la principale langue de la religion et de la loi islamique. C’est en arabe coranique qu’on lisait les préceptes du Coran et de la Charia, mais seuls les Turcs instruits pouvaient lire cet arabe. La littérature était véhiculée en arabe et en persan jusqu’au XIVe siècle.

    Avec le développement du droit, la construction des grandes mosquées impériales et la floraison des œuvres littéraires en arabe, en persan puis en turc, l’Empire ottoman atteignit un niveau culturel et artistique élevé. En littérature, le poète Baki s’imposa comme le maître de la poésie érotico-mystique et du «langage fleuri». La littérature turco-persane de Samarcande demeura influente sur la littérature de cour.

    – Le persan

    Le persan était la langue des arts, de la littérature et de la diplomatie. Depuis les Seldjoukides, les membres de la Cour du sultan, qui comptait environ 12 000 personnes, s’exprimaient en persan, en arabe et en turc ottoman.

    – L’alphabet

    Quant à l’alphabet utilisé dans l’Empire ottoman, il était arabo-persan, mais il transcrivait assez mal la langue turque dans la mesure où, par exemple, l’alphabet arabe ne permettait de noter que trois voyelles, alors que le turc comptait huit voyelles brèves et trois voyelles longues. La plupart des lettrés étaient conscients de la situation, mais il leur semblait impossible de pouvoir modifier un système graphique qui avait servi à transcrire le Coran. Ils restaient impuissants à changer quoi que ce soit! Entre-temps, seulement 10 % de la population savait lire et écrire.

    Dans une conférence prononcée en mai 1862 devant la Société scientifique ottomane (« Cemiyet-i Ilmiyye-i Osmaniye »), Antepli Münif Pacha (1830–1910), qui fut ministre de l’Instruction publique, avait déjà signalé les difficultés d’une écriture dont le laborieux apprentissage rendait pénible l’alphabétisation des enfants, pendant que dans la plupart des pays d’Europe ceux des classes élémentaires savaient lire et écrire dès l’âge de sept ans. Münif Pacha avait proposé deux solutions : l’une consistait à écrire en utilisant les trois signes diacritiques hérités de l’arabe et en en ajoutant cinq nouveaux conçus en fonction des exigences de la phonétique turque. En français, les principaux signes diacritiques sont l’accent aigu, l’accent grave, l’accent circonflexe, la cédille et le tréma; en espagnol, la tilde (ñ) est le signe le plus connu; les diacritiques arabes sont plus complexes à expliquer. La seconde solution était de cesser de lier les lettres et d’écrire celles-ci séparément, avec les signes diacritiques nécessaires sur la ligne plutôt qu’au-dessus ou en dessous. Mais les opposants soulignaient que l’alphabet arabe constituait l’un des «ciments» non seulement de l’unité islamique, mais aussi de l’unité politique ottomane face aux grands ensembles européens (alphabet latin) et russe (alphabet cyrillique).

    De nombreux Ottomans reconnaissaient bien qu’il fallait modifier l’alphabet en usage, mais il n’y eut qu’une seule tentative due à Enver Pacha (1881-1922), alors ministre de la Guerre, qui essaya d’imposer aux forces armées un modèle fondé sur les caractères arabes détachés les uns des autres, mais ce fut une tentative inutile.

    C’est un militaire ottoman financié par l’allemagne car

    Pendant ce temps, l’Empire allemand de Guillaume II (de 1888 à 1918) renonçait à ses ambitions territoriales et décidait d’investir ses capitaux et sa technologie en Anatolie (Turquie). C’est ainsi que Guillaume II fit de l’Empire ottoman son allié avant la Première Guerre mondiale: il modernisa l’armée ottomane et s’engagea dans la construction de la ligne de chemin de fer de Damas pour relier la Méditerranée au golfe Persique.
    http://www.axl.cefan.ulaval.ca/asie/turquie_2HISt.htm

    Ce militaire financé par l’empire allemand de Guillaume 2 car Guillaume 2 donnait de l’argent à l’armée turque ottomane, résolument germanophile, rêvait d’un empire panturc (le panturquisme) qui s’étendrait jusqu’en Asie centrale. Enver Pacha est considéré comme l’un des organisateurs du génocide arménien de 1915. L’Empire ottoman allait disparaître sans avoir pu résoudre la question de la langue et de l’alphabet. Toutefois, ces tentatives devaient favoriser une prise de conscience de la part de l’élite de la Turquie, ce qui permit à Mustafa Kemal, alors officier supérieur plein d’avenir, de montrer un grand intérêt pour cette question.

    La langue latine apparait à la fin de l’empire ottoman:

    À la fin de l’Empire ottoman, certains lettrés commencèrent à évoquer l’idée d’un nouveau système d’écriture basé sur le latin pour l’instruction aux enfants. Il faut comprendre que, à cette époque, les fonctionnaires de l’Empire, qui étaient en contact avec les Européens, notamment de l’Allemagne, de la France et de la Grande-Bretagne, employaient déjà l’alphabet latin dans la correspondance, les courriers ou les télégrammes. Or, l’alphabet latin était perçu comme un système d’écriture universel et une marque de modernité par rapport à l’alphabet arabo-persan. D’ailleurs, Mustafa Kemal maîtrisait très bien cet alphabet. Un peu avant la Première Guerre mondiale, il correspondait en turc ottoman avec son amie d’Istanbul, « Madame Corinne », et il écrivait phonétiquement le turc à partir du système de l’orthographe française
    http://www.axl.cefan.ulaval.ca/asie/turquie_2HISt.htm

    Un empereur Turc qui était latinisé:
    Soliman, appelé «le Magnifique» en Occident, (pourquoi était-il surnommé le magnifique? Parce qu’il avait épousé une européenne chrétienne et l’avait fait impératrice, voilà pourquoi il avait de bonnes relations avec l’occident), son épouse chrétienne d’origine ukranienne deviendra impératrice de l’empire musulman et qui donnait les ordres, son mari fou amoureux d’elle lui obéissait en tout, il a même tué son autre fils de son autre épouse ottomane turc pour lui plaire et la rassurer que c’est son fils qui va monter sur le trône, (bon, là, on va pas s’éterniser sur les combats sanglants dans les harems pour la faveur du roi, on a eu la même chose, avec le roi David qui avait fait tuer son propre fils Absalon qui voulait renverser son père du trône…)
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Roxelane (bon, juste pour expliquer que la raison pour laquelle les églises n’ont jamais été détruites dans l’empire ottoman , c’est que l’épouse du Sultan était chrétienne, et que c’est son fils qui monta sur le trône, donc les descendants de l’empereur Ottoman était d’origine ukranienne

    Il instaura des changements législatifs dans le domaine social et dans ceux de l’éducation, de la justice et de l’économie. Il implanta un Code civil (appelé «Kanun») qui fut appliqué dans l’empire durant quelques siècles. Soliman protégea aussi l’architecture, la littérature et les arts ottomans. Ce fut l’un des rares sultans turcs à être polyglotte: il parlait couramment quatre langues : le turc ottoman, l’arabe, le tchaghataï (une variété de turc proche du ouïghour) et le persan.

    La langue latine a apparu en Turquie en 1918, en même temps que les troupes occidentales françaises créèrent la république en Syrie
    https://www.les-crises.fr/histoire-quand-la-syrie-etait-administree-par-la-france/

    le français était la seconde langue officiel sous l’empire ottoman vers la fin de son règne
    http://www.mucif.org/En_vrac_.A/b9732a/Quand_l_Empire_ottoman_parlait_francais#En_vrac_.A/b9732a/Quand_l_Empire_ottoman_parlait_francais

    Plusieurs langues, on l’a souligné, étaient employées dans l’Empire. En plus des langues telles que le turc ottoman, le turc populaire, le persan et l’arabe, il convient de citer des langues aussi diverses que le grec, l’arménien, l’albanais, le berbère, le géorgien, l’hébreu, le hongrois, le valaque, l’azéri, l’assyrien, l’araméen, le bulgare, le copte, le tatar de Crimée, le gagaouze, le croate, le judéo-espagnol, le kurde, etc. À la fin de l’Empire ottoman, on trouvera aussi l’allemand, le français, l’italien, l’anglais, le russe, l’ukrainien, le roumain, etc.

    Bien que les minorités de l’Empire aient eu la liberté d’utiliser leur langue entre eux, ils devaient employer le turc ottoman, la langue officielle, pour communiquer avec le gouvernement, du moins en Anatolie. En réalité, trois langues pouvaient servir d’instruments de communication: le turc ottoman, mais aussi le persan et l’arabe. Lorsqu’ils ignoraient ces langues, les représentants des peuples conquis devaient avoir recours à des «écrivains publics», des arzuhâlcis, s’ils désiraient communiquer avec le gouvernement ottoman.

    Dans les deux derniers siècles, le français et l’anglais commencèrent à être utilisés comme langues secondes en Anatolie, surtout dans les communautés chrétiennes. En général, l’élite apprit ces langues dans les écoles privées.

    http://www.axl.cefan.ulaval.ca/asie/turquie_2HISt.htm

    Mais c’est intéressant de voir que la région du moyen orient est super multilinguistique. Sans aucun doute, la Tour de Babel a été forgé là-bas

  4. J’ai eu un petit souci pour laisser ce com sous l’article de RB sur les 7 du Québec. Car Ilan Pappé, lors de son entretien au MEE du 14/12 dernier, avec dit sensiblement la même chose :

    IP : Je pense qu’il va y avoir de la désobéissance civile non seulement à Jérusalem mais dans toute la Palestine, et cela inclut les Palestiniens qui vivent en Israël. La société elle-même n’acceptera pas éternellement cette situation. Je ne sais pas quelle forme la désobéissance prendra. On ne sait ce qui peut arriver quand les autorités n’ont pas de stratégie claire et que les individus décident de mener leur propre guerre de libération.

    Ce qui a été vraiment impressionnant à Jérusalem, c’est que personne ne croyait qu’une résistance populaire réussirait à forcer les Israéliens à annuler les mesures de sécurité qu’ils avaient mises en place à Haram al-Sharif. Je pense que cela peut être un modèle pour la future résistance. Une résistance populaire ponctuelle, pas partout à la fois mais partout où il faut.

    La résistance populaire ne cesse jamais en Palestine, même si les médias n’en parlent pas. Les habitants manifestent contre le mur de l’apartheid, ils manifestent contre l’expropriation des terres, ils font des grèves de la faim parce qu’ils sont prisonniers politiques. Le petit peuple se bat obstinément. Les élites palestiniennes, elles, attendent de voir venir.

    NdJBL : Ce qu’il y a d’important dans cette déclaration, à mon sens, c’est que I. Pappé démontre là, la différence essentielle entre la résistance populaire et les zélites car comme me le précise R71 : tous les empires se sont fondés et se fondent toujours sur le même principe de supercherie et de contrôle qui n’est absolument pas inéluctable… Et rajoute : Une fois compris le mécanisme, la solution est toujours la même, suffit de le faire, dans la pratique…

    Et cela m’avait permis de proposer cette analyse, tenant compte de nos réflexions, à tous, en complémentarité ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2017/12/14/pour-que-theorie-pratique-soient-complementaires-pour-former-un-tout/

    Jo

  5. Et de rappeler, cette note d’espoir de fin d’année 2017 qui confirme le propos d’Ilan Pappé et que vous aviez publiée : Espoir de fin d’année en provenance de Palestine occupée…

    Terminons l’année 2017 sur une note d’espoir en provenance de la Palestine occupée où une partie de la jeunesse israélienne ouvre les yeux et agit pour être du bon côté de l’histoire… Quoi de plus beau que de voir les éléments internes à une dictature se soulever et entrer en dissidence ?…
    2018 s’annonce être une année qui fera date, à suivre…

    Des élèves israéliens refusent de servir leur armée en Cisjordanie occupée

    Et qui constituait la conclusion de ce billet d’analyse ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2017/12/30/usisrael-quittent-lunesco/

    Toujours dans l’espoir, comme vous je présume, de nous montrer capable de remplacer l’antagonisme à l’œuvre depuis des millénaires qui, appliqué à différents niveaux de la société empêche l’humanité d’embrasser sa tendance naturelle à la complémentarité, facteur d’unification de la diversité dans un grand Tout socio-politique organique : La société des sociétés.

    Car c’est tout ce qu’on nous propose, remplacer un antagonisme par un autre, un empire par un autre, une réalité zunienne par une réalité sino-russe ou russo-chinoise, soit un N.O.M. pour un O.M.D. alors que le Plan du Klan est simple = 500 millions d’individus maximum sur la Planète. Et pour ce faire, tous les moyens sont bons, même thermonucléaire, non ?

    • pas thermonucléaire non… car ça les affecterait aussi grandement. Toutes ces ordures veulent continuer à boire le champ’ sur leurs yachts et aller faire des emplettes en jet privé à l’autre bout du monde en exploitant et parasitant la planète, tandis que le reste du monde s’entre-tue et leur garanti des revenus sur 7 générations… Donc tout n’est pas bon, passer les 200 000 prochaines années dans un bunker à 200m sous-terre, ça les titille pas quand même… 😉 😀

      • Certes, mais personne n’est à l’abri d’une boulette, de Trump, Kim et même du Micron (vu son ég)o même pas les zélites qui ont perdues les pédales et les commandes…
        Car bien sûr oui, zont pas du tout envie de passer les prochaines 200 000 années sous terre et dans le meilleur des cas !

      • ce qui les intéresse par contre ce sont les micro nukes comme ceux mentionnés dans notre dossier (traduc’ de VT) et il y a déjà eu un paquet d’essais dont bien entendu le 11 septembre… tous ces attentats au mini nuke sont des bans d’essai, ceci inclut aussi toute la merde en uranium appauvri (UA) qu’ils laissent sur les champs de batailles, partout… l’empoisonnement se généralise. Faudrait avoir les résultats de tests de terrain en Syrie pour voir, l’Irak est massivement contaminé, la Syrie doit l’être aussi maintenant avec les milliers de tonnes de munitions tirées. Exemples: tous les missiles de croisières yankees contiennent au moins 20 à 30kg d’UA tous les sites touchés sont contaminés… ça fait partie du « package génocide »…

  6. aetius Says:

    @plan : par pitié, apprenez à en faire un !

  7. […] Manifeste pour la Société des sociétés, Résistance71 […]

  8. En appui d’une conférence de Jean-Loup Izambert de décembre 2015, sur les démons du Crédit Agricole, cela m’a permis de rappeler que le Crédit Agricole fait partie de celles qui financent la colonisation au DAPL mais également dans les territoires occupés ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2018/05/28/quand-izambert-denoncait-les-banksters-du-credit-agricole/

    Cela me permet de rappeler que si le CA avait le pouvoir de dire OUI, nous avons toujours le pouvoir de dire NON !

    Y’a plus, bien sûr, pour ceux qui veulent…

Répondre à jo Busta Lally Annuler la réponse.

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