Résistance au colonialisme: Vision et analyse de la colonisation en 1912 (Jean Grave)

Grand texte d’analyse visionnaire de Jean Grave écrit en 1912 que d’aucuns jugeront sans aucun doute de référence “archaïque” (elle est pour toi celle-là para…), mais dont l’actualité, 106 ans plus tard, est confondante et assourdissante pour la simple et bonne raison que cette analyse touche à l’universalité de la malfaisance de l’État, aidé en cela par son comparse capitaliste.

Il est plus que grand temps que nous adressions cette ignominie qui perdure et que nous nous unissions dans la complémentarité de nos cultures pour foutre toute cette fange par dessus bord et pour reprendre la barre du bateau ivre.

Quelques fragments de solution:

Manifeste de la societe des societes

~ Résistance 71 ~

 

La colonisation

 

Jean Grave

 

Les Temps Nouveaux no15, 1912

 

La colonisation prend trop d’expansion à notre époque pour que les anarchistes ne disent pas leur mot sur cette question. À l’heure où les nations dites civilisées se disputent des zones d’influence en Afrique : en Tripolitaine[1], au Congo, au Maroc, se partageant les peuples comme un bétail, tout cela cachant les plus louches combinaisons financières ; les pasteurs de peuples, n’étant plus que les chargés d’affaires des requins de la finance, des tripoteurs d’affaires véreuses, nous devons nous élever contre ce produit hybride du patriotisme et du mercantilisme combinés – brigandage et vol à main armée, à l’usage des dirigeants.

Un particulier pénètre chez son voisin ; il brise tout ce qui lui tombe sous la main, fait la rafle de ce qu’il trouve à sa convenance, c’est un criminel ; la « Société » le condamne. Mais qu’un gouvernement se trouve acculé à une situation intérieure où le besoin d’un dérivatif extérieur se fasse sentir ; qu’il soit encombré chez lui de bras inoccupés, dont il ne sait comment se débarrasser, de produits qu’il ne sait comment écouler, que ce gouvernement aille porter la guerre chez des populations lointaines, qu’il sait trop faibles pour pouvoir lui résister, qu’il s’empare de leur pays, les soumette à tout un système d’exploitation, leur impose ses produits, les massacre si elles tentent de se soustraire à l’exploitation qu’il fait peser sur elles, oh ! alors, ceci est moral ! Du moment que l’on opère en grand, cela mérite l’approbation des honnêtes gens ; cela ne s’appelle plus vol ni assassinat ; il y a un mot honnête pour couvrir les malhonnêtes choses que la société commet ; on appelle cela « civiliser » les populations arriérées !

Et que l’on ne crie pas à l’exagération ! Un peuple n’est réputé colonisateur que quand il a su tirer, d’une contrée, le maximum des produits qu’elle peut rendre. Ainsi, l’Angleterre est un pays colonisateur, parce qu’elle sait faire « rendre » à ses colonies le bien-être pour ceux qu’elle y envoie, qu’elle sait faire rentrer dans ses coffres les impôts dont elle les frappe.

Dans les Indes, par exemple, ceux qu’elle y envoie font des fortunes colossales ; le pays, il est vrai, est bien ravagé de temps à autre par des famines épouvantables, qui déciment des centaines de milliers d’hommes : qu’importent les détails, si John Bull[2] peut y écouler ses produits manufacturés, en tirer, pour son bien-être, ce que le sol de la Grande-Bretagne ne peut lui fournir. Ce sont les bienfaits de la civilisation !

Aujourd’hui, il est vrai, il faut déchanter. L’Inde fait concurrence aux produits de la « Mère Patrie ». Qu’à cela ne tienne, les capitalistes y transporteront leurs capitaux et leurs usines, et, comme les Hindous se nourrissent d’une poignée de riz, on pourra encore édifier des fortunes ; tant pis si les ouvriers anglais paient la différence. Pour leur faire prendre patience, on leur promettra l’empire du monde, et on les lancera contre les Boers ou les Allemands.

En France, c’est autre chose, on n’est pas colonisateur. Oh ! rassurez-vous, cela ne veut pas dire que l’on soit moins brigand, que les populations conquises soient moins exploitées, non ; seulement, on est moins « pratique ». Au lieu d’étudier les populations que l’on conquiert, on les livre aux fantaisies du sabre, on les soumet au régime de la « Mère Patrie » ; si les populations ne peuvent s’y plier, tant pis pour elles, elles disparaîtront petit à petit, sous l’action débilitante d’une administration à laquelle elles n’étaient pas habituées. Qu’importe ? Si elles se révoltent, on leur fera la chasse, on les traquera comme des fauves, le pillage sera alors non seulement toléré, mais commandé ; cela s’appellera une « razzia ».

La bête féroce que l’on élève et entretient sous le nom de soldat est lâchée sur des populations inoffensives qui se voient livrées à tous les excès que pourront imaginer ces brutes déchaînées : on viole les femmes, on égorge les enfants, des villages sont livrés aux flammes, des populations entières sont chassées dans la plaine où elles périront fatalement de misère. Ce n’est rien que cela, laissez passer, c’est une nation policée, qui porte la civilisation chez des sauvages !

Certes, à bien examiner ce qui se passe tous les jours autour de nous, tous cela n’a rien d’illogique ni d’anormal ; c’est bien le fait de l’organisation actuelle ; rien d’étonnant à ce que ces « hauts faits » d’armes obtiennent l’assentiment et les applaudissements du monde bourgeois. La bourgeoisie est intéressée à ces coups de brigandage, ils lui servent de prétexte à entretenir des armées permanentes, cela occupe les prétoriens qui vont, dans ces tueries, se faire la main pour un « travail » plus sérieux ; ces armées elles-mêmes servent de débouché à toute une série d’idiots et de non-valeurs dont elle serait fort embarrassée et qui, au moyen de quelques mètres de galons, deviennent ses plus enragés souteneurs. Ces conquêtes lui facilitent toute une série de tripotages financiers, au moyen desquels elle écumera l’épargne des gogos à la recherche des entreprises véreuses, elle accaparera les terrains volés aux vaincus ; ces guerres occasionnent des tueries de travailleurs dont le trop-plein la gêne chez elle. Les pays conquis ayant « besoin » d’une administration, nouveau débouché à toute une armée de budgétivores et d’ambitieux qu’elle attache ainsi à son char, tandis qu’inemployés, ils pourraient la gêner sur sa route.

Plus encore, ce sont des populations à exploiter, qu’elle pourra courber sous le travail, auxquelles elle pourra imposer ses produits, qu’elle pourra décimer sans avoir à en rendre compte à personne. En vue de ces avantages, la bourgeoisie n’a donc pas à hésiter, et la bourgeoisie française l’a tellement bien compris qu’elle s’est lancée à toute vapeur dans les entreprises coloniales.

Mais ce qui nous étonne, ce qui nous écœure, c’est qu’il y ait encore des travailleurs qui approuvent ces infamies, ne ressentent aucun remords de prêter la main à ces canailleries, et n’aient pas compris cette injustice flagrante de massacrer des populations chez elles, pour les plier à un genre de vie qui n’est pas le leur. Oh ! nous connaissons les réponses toutes faites qu’il est d’usage de débiter lorsqu’on s’indigne des faits trop criants : « Ils se sont révoltés, ils ont tué des nôtres, nous ne pouvons pas supporter cela… Ce sont des sauvages, il faut les civiliser… Nous avons besoin des terres qu’ils ne savent pas cultiver… Les besoins du commerce l’exigent… Oui, peut-être, on a eu tort d’aller chez eux, mais les colonies nous ont trop coûté d’hommes et d’argent pour les abandonner, etc., etc. »

« Ils se sont révoltés, ils ont tué des nôtres. » Eh bien ! après ? Qu’allait-on chercher chez eux ? Que ne les laissait-on tranquilles ? Est-ce qu’ils sont venus nous demander quelque chose ? On a voulu leur imposer des lois qu’ils ne veulent pas accepter, ils se révoltent, ils font bien, tant pis pour ceux qui périssent dans la lutte, ils n’avaient qu’à ne pas prêter la main à ces infamies.

« Ce sont des sauvages, il faut les civiliser. » Que l’on prenne l’histoire des conquêtes et que l’on nous dise après quels sont les plus sauvages, de ceux que l’on qualifie de la sorte ou des « civilisés » ? Quels sont ceux qui auraient le plus besoin d’être « civilisés », des conquérants ou des populations inoffensives qui, la plupart du temps, ont accueilli les envahisseurs à bras ouverts et, pour prix de leurs avances, en ont été torturées, décimées ? Prenez l’histoire des conquêtes de l’Amérique par l’Espagne, des Indes par l’Angleterre, de l’Afrique, de la Cochinchine et du Tonkin[3] par la France, et, à l’heure actuelle, la Tripolitaine par l’Italie, et venez, après, nous vanter la civilisation ! Bien entendu, dans ces historiques, vous n’y trouverez que les « grands faits » qui, par leur importance, ont laissé une trace dans l’histoire ; mais s’il fallait vous faire le tableau de tous les « petits faits » dont ils se composent, et qui passent inaperçus, s’il fallait mettre au jour toutes les turpitudes qui disparaissent dans la masse imposante des faits principaux, que serait-ce alors ? On reculerait écœuré devant ces monstruosités.

J’ai, pour ma part – ayant passé quelque temps dans l’infanterie de marine – entendu raconter une foule de scènes qui prouvent que le soldat qui arrive dans un pays conquis s’y considère, par le fait, comme un maître absolu ; pour lui, les habitants sont des bêtes de somme qu’il peut faire mouvoir à son gré ; il a droit de prise sur tout objet à sa convenance, malheur à l’indigène qui voudra s’y opposer, il ne tardera pas à apprendre que la loi du sabre est la seule loi ; l’institution qui défend la Propriété en Europe ne la reconnaît pas sous une autre latitude. Le soldat, en cela, est encouragé par les officiers qui prêchent d’exemple, par l’administration qui lui met la trique en main pour surveiller les indigènes qu’elle emploie à ses travaux.

Que de faits répugnants vous sont racontés là, naïvement comme choses très naturelles, et, lorsque, par hasard – si l’indigène s’est révolté, a tué celui ou ceux qui l’opprimaient –, vous dites qu’il a bien fait, il faut entendre les cris de stupeur qui accueillent votre réponse : « Comment ? puisque nous sommes les maîtres ! puisque l’on nous commande ! il faut bien nous faire obéir ; si on les laissait faire, ils se révolteraient tous, ils nous chasseraient. Après avoir dépensé tant d’argent et tant d’hommes, la France perdrait le pays, elle n’aurait plus de colonies ! »

Voilà où la discipline et l’abrutissement militaires amènent l’esprit des travailleurs ; ils subissent les mêmes injustices, les mêmes turpitudes qu’ils aident à faire peser sur les autres ; et ils ne sentent plus l’ignominie de leur conduite, ils en viennent à servir, inconsciemment, d’instruments au despotisme, à se vanter de ce rôle, à ne plus en comprendre toute la bassesse et l’infamie.

Les civilisateurs européens, Italiens, Français ou autres, feraient bien mieux de tirer partie des terres qui sont incultes chez eux, avant d’aller voler celles des autres.

Quant aux besoins du commerce, voilà bien le vrai motif : Messieurs les bourgeois s’étant embarrassés de produits qu’ils ne savent comment écouler, ils ne trouvent rien de mieux que d’aller déclarer la guerre, pour imposer ces produits à de pauvres diables impuissants à se défendre.

Certes, il serait facile de s’entendre avec eux, on pourrait trafiquer par la voie des échanges ; comme ils ne sont pas très ferrés sur la valeur des objets, ceux-ci n’ayant, pour eux, de valeur qu’autant qu’ils leur tirent l’œil, il serait facile de les « enfoncer » et de réaliser de beaux bénéfices ; n’en était-il pas ainsi avant que l’on pénétrât dans le continent noir ? N’était-on pas, par l’intermédiaire des peuplades de la côte, en relation avec les peuplades de l’intérieur ? N’en tirait-on pas déjà les produits que l’on en tire à présent ?

Oui, cela est possible, cela a été, mais voilà le diable ! Pour opérer de la sorte, il faut du temps, de la patience, impossible d’opérer en grand, il faut compter avec la concurrence : « Le commerce a besoin qu’on le protège ! » On sait ce que cela veut dire : vite, deux ou trois cuirassés en marche, une demi-douzaine de canonnières, un corps de troupes de débarquement, saluez, la civilisation va faire son œuvre. Nous avons pris une population forte, robuste et saine, dans quarante ou cinquante années d’ici nous vous rendrons un troupeau anémié, abruti, misérable, décimé, corrompu, qui en aura pour très peu de temps à disparaître de la surface du globe. Alors sera complète l’œuvre civilisatrice !

Si l’on doutait de ce que nous avançons, que l’on prenne les récits des voyageurs, qu’on lise la description des pays où les Européens se sont installés par droit de conquête, partout la population s’amoindrit et disparaît, partout l’ivrognerie, la syphilis et autres importations européennes les fauchent à grands coups, atrophient et anémient ceux qui survivent. Et peut-il en être autrement ? Non, étant donnés les moyens que l’on emploie. Voilà des populations qui avaient un autre genre de vie que nous, d’autres aptitudes, d’autres besoins ; au lieu d’étudier ces aptitudes et ces besoins, de chercher à les adapter à notre civilisation, graduellement, insensiblement, en ne leur demandant de prendre, de cette civilisation, que ce qu’ils pouvaient s’assimiler, on a voulu les plier d’un coup ; on a tout rompu ; non seulement elles ont été réfractaires, mais l’expérience leur a été fatale.

Que le rôle de l’homme soi-disant civilisé aurait pu être beau, s’il avait su le comprendre, et si lui-même n’avait été affligé de ces deux pestes : le gouvernement et le mercantilisme, deux plaies affreuses dont il devrait bien songer à se débarrasser avant de chercher à civiliser les autres.

La culture des peuplades arriérées pourrait se poursuivre pacifiquement et amener à la civilisation des éléments nouveaux susceptibles, en s’y adaptant, de la revivifier. Que l’on ne vienne pas nous parler de la duplicité et de la férocité des barbares ! Nous n’avons qu’à lire les récits de ces hommes, vraiment courageux, qui sont partis au milieu de populations inconnues, poussés par le seul idéal de la science et le désir de connaître. Ceux-là ont su s’en faire des amis, ont pu passer chez eux sans en avoir rien à craindre ; la duplicité et la férocité ne sont venues que de ces misérables trafiquants qui se décorent faussement du nom de voyageurs ; ne voyant, dans leurs voyages, qu’une bonne affaire commerciale ou politique, ils ont excité, contre le blanc, l’animosité de ces populations, en les trompant dans leurs échanges, en ne tenant pas les engagements consentis, en les massacrant, au besoin, quand ils pouvaient le faire impunément.

Faut-il apporter des faits ? Qu’on lise les livres de Vigné d’Octon[4] ; Chez les Hova, de Jean Carol[5]. Les atrocités des Chanoine et des Voulet[6] ne sont pas si loin de nous que l’on ne se les rappelle encore. Quant aux exploits des « civilisateurs » italiens en Tripolitaine, ils sont de l’heure présente.

Allons, allons, philanthropes du commerce, civilisateurs du sabre, rengaînez vos tirades sur les bienfaits de la civilisation. Ce que vous appelez ainsi, ce que vous déguisez sous le nom de colonisation a un nom parfaitement défini dans votre Code, lorsqu’il est le fait de quelques individualités obscures ; cela s’appelle : « Pillage et assassinats en bandes armées ». Mais la civilisation n’a rien à voir avec vos pratiques de bandits de grands chemins.

Ce qu’il faut à la classe dirigeante, ce sont des débouchés nouveaux pour ses produits, ce sont des peuples nouveaux à exploiter ; c’est pour cela qu’elle envoie les Soleillet, les de Brazza, les Crampel, les Trivier, les Fourreau, les Lamy[7], etc., à la recherche de territoires inconnus pour y ouvrir des comptoirs qui livreront ces pays à son exploitation sans bornes ; elle commencera par les exploiter commercialement, pour finir par les exploiter de toutes les façons lorsqu’elle aura placé ces peuplades sous son protectorat ; ce qu’il lui faut, ce sont des terrains immenses qu’elle s’annexera graduellement, après les avoir dépeuplés ; ne faut-il pas beaucoup de place pour y déverser le trop-plein de la population qui l’embarrasse ? Et acheter les parlementaires qui se font leurs complices à la Chambre ?

Vous, dirigeants, des civilisateurs ? Allons donc ! Qu’avez-vous fait de ces peuplades qui habitaient l’Amérique et qui disparaissent tous les jours, décimées par les trahisons, auxquelles, au mépris de la foi jurée, vous arrachez, peu à peu, les territoires de chasse que vous aviez dû leur reconnaître ? Qu’avez-vous fait de ces peuplades de la Polynésie, que les voyageurs s’accordaient à nous montrer comme des populations fortes, vigoureuses – de vrais types de beautés – et qui, maintenant, disparaissent sous votre domination ?

Vous des civilisateurs ? Mais du train dont marche votre civilisation, si les travailleurs devaient succomber dans la lutte qu’ils vous livrent, vous ne tarderiez pas à périr à votre tour, sous votre indolence et votre paresse, comme sont tombées les civilisations grecque et romaine, qui, ayant perdu toutes les facultés de lutte pour ne conserver que celle de jouir, ont succombé bien plus sous le poids de leur avachissement que sous les coups des barbares, qui, venant à prendre part à la lutte, dans la plénitude de leurs forces, n’ont pas eu grand peine à renverser cette civilisation en pleine décomposition.

Comme vous avez pris à tâche de détruire les races, non pas inférieures, mais seulement retardataires, vous tendez de même à détruire la classe des travailleurs, que vous qualifiez aussi d’inférieure. Vous cherchez tous les jours à éliminer le travailleur de l’atelier, en le remplaçant par des machines. Votre triomphe serait la fin de l’humanité ; car, perdant peu à peu les facultés que vous avez acquises par la nécessité de lutter, vous retourneriez aux formes ancestrales les plus rudimentaires, et l’humanité n’aurait bientôt plus d’autre idéal que celui d’une association de sacs digestifs, commandant à un peuple de machines, servies par des automates, n’ayant plus d’humain que le nom.

Notes:

[1] Possession ottomane depuis le xvie siècle, la Libye, dont la Tripolitaine est une des trois grandes régions, est colonisée par l’Italie en 1912.

[2] Personnage représentant l’Anglais typique.

[3] Après avoir colonisé la Cochinchine, région du Vietnam sud, et le Tonkin, région du Vietnam nord, les Français les intègrent en 1887 à l’Union indochinoise.

[4] Médecin de la Marine, écrivain et homme politique, Paul Vigné d’Octon (1859-1943) est l’auteur d’un pamphlet anticolonialiste, La Sueur du burnous (1911).

[5] Dans Chez les Hova. Au pays rouge (1898), Jean Carol (1848-1922), de son vrai nom Gabriel Lafaille, critique l’attitude des colons français à Madagascar.

[6] Appelée Mission Voulet-Chanoine, l’expédition française menée par les capitaines Paul Voulet et Julien Chanoine part en Afrique en 1899 pour la conquête coloniale du Tchad et se révèle particulièrement sanguinaire.

[7] Paul Soleillet (1842-1886), Pierre Savorgnan de Brazza (1852-1905), Paul Crampel (1864-1891), Élisée Trivier (1842-1912), Fernand Foureau (1850-1914), François Lamy (1858-1900), explorateurs français qui ont participé activement à la conquête coloniale de l’Afrique.

56 Réponses vers “Résistance au colonialisme: Vision et analyse de la colonisation en 1912 (Jean Grave)”

  1. En plein dans le mille ! L’Etat applique les traitements de la colonisation sur son propre territoire, et les zombies marchent comme un seul homme en rangs serrés… bientôt au rythme de la marche militaire avec le nouveau bidule de Jupiter !

    Pour l’élection Sion Sion,
    Macron en marionnette de Rotschild,
    A marché avec application Sion Sion,
    Vers son destin de fouteur de binz en chef !

    Afin de s’imprégner du terroir,
    Il a vu des illétré(e)s chez Gad,
    il a vu des alcoolos dans le Ch’Nord,
    Il a croisé des riens à la Halle Freyssinet,
    il a vu des manifestants sans costume…

    Pour améliorer le quotidien de ces gens,
    Quelques miettes mine de rien,
    Un petit coup de taxounettes pour ces gueux,
    Une csg revue à la hausse pour tous,
    Un rattrapage des prix de l’électricité…

    La loi Travail revue et corrigée,
    Pas satisfait, passe ton chemin,
    Avant de recevoir un coup de pied au derche,
    Pour toute rémunération et solde de tout compte !

    5 euros de moins sur les apl,
    Quoi ? Vous râlez ?
    Allez bosser bandes de fait néant !
    Et si vous n’avez pas d’emploi,
    C’est que vous êtes un assisté au rsa,
    Ceux abonnés aux irfm sont la nouvelle noblesse..

    Le nouveau type de logement,
    Une tente Quechua, quel pied !
    L’important, c’est que le capital,
    Ne boive pas la tasse avant d’avoir,
    Sucer la dernère goutte de sang !

    Ce système est un « tigre de papier » à ranger bien vite dans sa boîte !

    • Tiens, la dernière en date, que j’avais traité en son temps ;

      • En suivant l’affaire, pas à pas et tenant à jour son évolution judiciaire en commentaires dans ce billet ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/02/06/ubu-est-strasbourgeois/

        • Normal qu’Ubu soit Alsacien, la Sion Sion est en Pole Position en Alsace, et à Strasbourg en particulier.

          Et comme toujours, tu peux parler de la plupart des personnes de 1er plan de leur communauté, sauf du Phi à liquette blanche… là, ils se ferment tous comme des huîtres !

        • Et celui qui a lancé l’idée, Eric Straumann, a suivi le même curseur que Fifi mais à Strasbourg, puis il a commencé direct en tant que Directeur d’une agence bancaire !

          Vois sur internet sa photo, bien nourri sur le dos des cancers de l’assistanat comme a si bien dit Wauquiez et qui fait arrière toute après avoir oser dézinguer Talonette 1er.

          Son pote de tandem dans cette démarche du bénévolat, préfère les vieux, et les a plus ou moins « envoutés » pour qu’ils votent Macron…. ce qu’ils ont fait en coeur… maintenant une partie s’en bouffe les roubignoles…

          Le pote est de la même promo que Jupiter.

      • Oui… Je connais leur propagande… Certains politocs locaux suggèrent fortement de passer à 2 jours de bénévolat par semaine, pour ton bien !

        Bon, ca aide à mettre le capitalisme par terre, car aucune entreprise ne peut être bénéficiare de cette concurrence « libre et non faussée » puisque les assos ont le personnel gratos, et facturent à prix cassé…

        Mais, la machine à laver plus blanc que blanc, je subodore qu’elles tournent à plein régime !

        C’est est moyen de redistribuer quelques piècettes au méritant Maire, Député, ou autre… Fais ton choix !

        En prime, ca met le moral au fond des chaussettes des personnes qui se laissent abuser, et ca donne du boulot au psy (chologues ou chiatres) et ca ajoute quelques lignes dans ton profil à la Banque Mondiale dans le cadre du big data…

        C’est comme avec le marketing et les promos, tu en as 3 pour le prix d’1 ! -:(

      • Pour le bénévolat que le bénéfiaire du RSA doit normalement accepter, il suffit de ne pas remplir la zone du contrat CER correspondante…

        Bon, peuvent faire chier autrement…

        Le CER existe aussi dans d’autres départements, notamment l’Héraut (34) et la Seine-Maritime (76).

        Et, surtout de leur rappeler que c’est totalement illégal, c’est une nouvelle forme d’esclavage…

        Dur, dur…. pour que ces politocs comprennent, adeptes pour certains du « Arbeit mach frei »…

        Bon, à l’occaz ils essaient à grand renfort de publicités, y compris sur les carrosseries des transports en commun, de vanter un boulot sous payé en Allemagne… pour aller faire celui que les immigrés accueillis en grandes pompes par Merkel « Flüchtling Willkommen » ne veulent pas !

        C’est la nouvelle version de « Y’a bon Banania » pour les Européens…

        • Nan, ça suffit pas, bien qu’illégal, y zont trouvé la parade, c’est d’ailleurs tout le problème.
          C’est détaillé dans le lien que j’ai mis.

          • Nan, certaine… J’ai testé… en vrai, pas en client mystère, hein !

            • Mais dans le Haut-Rhin ?
              Parce qu’ils ont l’air bien teigneux quand même ?

            • Voui… et tu as toutes les déclinaisons de la communauté.

              Les assos en charge du suivi sont biberonnées aux euros qui font une promenade à Bruxelles pour ruisseler ensuite…

              D’ailleurs, on te fais comprendre que grâce à l’Europe, bla bla…

              Et vu, le personnel, je peux te garantir qu’ils ne sont pas smicards !

              Alors, moi j’applique Sun Tzu et puis un peu beaucoup de chupatz, de manip à divers degrés… et je dois dire que j’y trouve une forme de jeu… Ils passent un mauvais moment.

              Pour l’obligation de prouver que tu recherches bien, tu fournis la liste des entreprises en difficultés ou qui ferment :

              liquidation entreprise 68 par exemple sur Google… puisque ce moteur n’est pas au rouge dans le déconnex, et tu leur donnes la liste… effet garanti !

  2. On sait qu’Élisée Reclus avait écrit une lettre à Jean Grave « Voter c’est abdiquer » est-ce que Jean Grave y a répondu ?

    Chouard dès 2014 l’avait présenté ainsi sur son blog : On devrait relire souvent cette lettre d’Élisée Reclus (on pourrait l’afficher au salon), et en discuter sérieusement les termes entre nous
    (au lieu de parler de couillonnades, de jeux ou de la prétendue « actualité » imposée par nos maîtres).

    Ce qui ne l’a pas empêché donc d’aller veauter et de prétendre qu’il n’avait jamais dit qu’il fallait pas voter… Nan ! « J’ai dit que ça servait à rien, que ça changerait rien, mais jamais qu’il fallait pas veauter ! D’ailleurs je vais aller veauter oui… »

  3. La colonisation est aujourd’hui financière.
    La colonisation que vous denoncez sert à alimenter la haine de l’occident chrétien occidental par la population d’origine étrangères dans nos pays à racines chrétiennes.

    N’oubliez jamais…si vous êtes prepucés…que cette distinction anatomique fait de vous des représentants du peuple dont vous êtes issus…

    • non pas que financière. Yankland, Canada, Australie, NZ, Israël, tous des entités coloniales qui n’existent que sur une terre volée, au prix de génocides passés et présent.
      La réflexion sous la ceinture… vraiment ?… 😉

  4. Bon voilà une tirade…
    Avec mes petits moyens intellectuels.

    Suis-je p’RFID si je suis prepucé…?

    Vous employez les mêmes ressorts que les religions que vous denoncez …
    Vous êtes soumis comme les autres aux limites de l’esprit humain dû à la matérialité de l’être…
    Et inéluctablement à ses travers…
    L’anarchie ne peut être réalisable que dans un monde où l’homme n’existe pas.
    L’anarchie est le système social du règne animal où les plus faibles se font bouffer par les plus forts…dans la chaîne alimentaire.
    Votre système est un fascisme social où chaque société est composée de dictateurs au niveau de tous ses membres et qui se retrouvent à vivre en face et côte à côte de sociétés organisées de la même manière…
    Pour que cela fonctionne il faut alors une religion commune scrupuleusement respectée par tous…
    Et des règles bien précises…
    Pour résumer…un monde idéal.
    Les indiens d’Amérique s’entretuaient aussi…
    Vous idéalisez trop l’homme au point d’en faire un Dieu maître…
    La doctrine de l’anarchie étant ni dieu ni maîtres….
    Même si vous dites que c’est pas vrai.

    L’anarchie milite en fait pour la destruction de l’homme chrétien occidental sous couvert d’humanisme….
    L’anarchie est elle si bonne dans la mesure où elle entend se déployer sur la haine de la chrétienté…?
    Vous êtes présentement bien judaïsmo-islamo compatibles en étant un des nombreux outils du sionisme….
    Vous servirez comme toujours la révolution et serez éliminés comme toujours par ces mêmes révolutions…
    et vous n’avez toujours pas compris…
    L’anarchie est liée à Adam Weishaupt…
    Et c’est le capital qui nourrit la révolution.

    Votre rôle le plus important au même titre que les désormais innombrables partis politiques est la dispersion…
    Seule une âme nationale marchant côte à côte d’autres nations animées par cette même âme peuvent contrer ce plan funèbre.
    Si ces peuples sont animés par la défense de leur racine Chrétienne….
    Ils sont alors invulnérables.

    Ensuite vous donnez l’illusion d’avoir réponse à tout car vous êtes malgré les apparences dans une démarche de fainéantise intellectuelle.
    Vous êtes des docteurs en anarchisme.
    L’anarchie est un vieux système qui à été très souvent attaqué nécessitant de fait une réponse de celle ci et même une méthodologie de réponse.
    Vous avez synthétisé les réponses aux attaques et les ressortez méticuleusement lorsque on arrive avec une approche censée.
    C’est comme ceux qui se font passer pour des genies en résolvant des rubiks’cubes
    Alors qu’en fait ils ont assimilé un algorithme permettant de le résoudre à partir d’une face de départ…
    Lorsque vous…bons anarchistes êtes en difficultés…vous vous réfugiez en renvoyant vos contradicteurs sur les faits historiques des bûchers et autres frappadingues du missel…
    L’histoire est toujours fausse sauf quand ça vous arrange.

    L’anarchie même si elle veut faire croire qu’elle agit pour le bien de l’homme avance sur le mensonge…
    Et un homme qui refuse d’avoir tord est un drôle d’homme car il est alors Dieu.
    Peut-on réellement faire le bien en se nourrissant de haine dans la mesure où cette haine repose sur une communauté dont nous sommes issus.
    Vous capitalisez un mauvais sentiment envers une communauté pour abattre un autre système capitaliste.
    L’anarchie a et a toujours réussi à vivre quelques temps mais en récupérant les miettes du système capitaliste et toujours en mode de survie.
    Votre monde idéal est une ZAD.
    Et vous vous arguez que les révolutions précédentes n’etaient que des brouillons…
    Sauf pour le capital…

    Le paradoxe reside dans le fait..
    Que seul l’esprit d’anarchie peut faire un bon usage de l’état.
    Tout est affaire d’esprit car c’est par lui que l’on a la conscience des choses.
    C’est l’esprit qui articule l’homme et non l’inverse…
    On ne peut modeler l’esprit individuel de l’homme qu’en modifiant la perception qu’il a de sa conscience des choses en passant par sa vision matériel.
    Modelage rendu encore plus facile dans la mesure où l’homme se laisse facilement séduire par la facilité d’adhérer à des solutions pré mâchées.
    Le nombre et la diversité d’esprits fait le reste…
    L’argent peu importe la devise est issue du même système.
    C’est une manipulation par la capitulation de l’esprit individuel au sein d’un esprit de groupe.

    C’est là la force de l’esprit anarchiste…il protège l’esprit individuel.
    Malheureusement c’est quelque chose auquel vous ne pouvez pas trop adhérer dans la mesure que cela relie l’esprit a quelque chose que vous combattez.

    L’islam qui vient est le christianisme médiéval d’hier…
    Avec ses 600 ans de retard…

    Sachez que malgré l’éventuelle agressivité détectée dans cette tirade…
    Je vous considère sincèrement encore et toujours comme des frères et des soeurs…
    Que j’irais chercher dans la mort peu importe l’endroit où vous vous retrouverez…

    Vos connaissances des faits et vos griefs contre l’église catholique romaine sont trop précieuse pour moi dans ma démarche de réflexion analytique ésotérique.

    Votre hargne vous sauvera car elle sert la vérité.
    En espérant que les raisins ne soient pas encore trop mûrs…

    Fraternellement.

    Une trouvaille de l’ami passant….

    • wow, tu nous sers la soupe malthusienne et darwiniste-sociale d’entrée, tu sais ce qu’on en pense de la « survie du plus apte » etc… Facteur d’évolution certes, mais mineur et non pas majeur, il y en a bien d’autres, l’entraide et la coopération étant primordial au sein des et entre les espèces.
      Donc rideau sur ta prime֏re partie.
      Tu nous dis que nous sommes des fraudes intellectuelles en essence parce que nous ne reconnaissons pas des avis censés, mais la mythologie n’est pas censée, fonder un quelconque espoir de changement radical sur un replis communautariste est non seulement incensé mais archaïque, rétrograde et éculé, comme toutes les salades religieuses avenantes que tu nous sers. Tu emploies la technique classique du retournement d’argument, accusant l’interlocuteur de non sens alors que ton discours se voulant ésotérique (on a rien contre sauf quand ça touche la politique) ramène en fait deux théologies à s’affronter comme au bon vieux temps des croisades. Ce serait risible si cela n’avait pas causé et cause encore la mort de millions de gens, ce que veut l’oligarchie dans son délire social-darwiniste auquel manifestement tu adhères.
      L’islam en est en l’an 1439 de l’hégire, il en est pas encore au milieu de son XVème siècle, où en était le christianisme à cette époque ? On abordait la fin de la guerre de 100 ans, 53 ans avant que l’autre pignouf de Colomb ne « découvre » l’Amérique et son nouveau monde que la chrétienté s’est empressé de piller et de génocider au nom de son dieu vengeur et sanguinaire. Donc cette religion de la fadaise, comme les autres rentrera dans le rang après sans aucun doute quelques turpitudes que l’on peut aussi subodorer être fomenter en partie depuis les salons feutrés de l’occident chrétien.
      Tout ce que tu fais est de nous servir la soupe néo-conservatrice de cette fadaise, de cette fabrication totale qu’est le « choc des civilisations » de la fin du XXème et de ce début du XXIème siècle chrétien, XVème siècle musulman. Cette théorie yankee émanant des théoriciens hégémoniques Fukuyama, Huntington and co, la clique christo-sioniste, reprise par la clique politicarde yankee qui s’en revendique depuis Clinton (qui fut l’élève de Huntington).
      Tu te laisses enfumer, et pédale avec les religieux de base de tout poil, musulmans et autres, pour l’idéologie hégémonique, eugéniste et qui a le sang de millions de gens sur les mains et plus à venir.
      L’anarchie, son organisation est le mode d’organisation ancestral de l’humanité durant des centaines de milliers d’année, avant que le pouvoir ne sorte de solution des sociétés pour le bénéfice du petit nombre. L’État, l’état-nation ne sont que des dérives de la relation dominant/dominé que l’humanité est à même de transcender, elle l’a fait et le refera, la question n’est pas de savoir si elle le refera mas quand. De votre vivant ? Sans doute pas, peut-être aurons-nous la chance d’en voir les prémices, peut-être pas. Elle est en nous, l’État est anti-naturel.
      Nous respectons également ton enthousiasme, nous pensons que ta volonté et ta connaissance ne sont pas nécessairement mauvaises, mais qu’elles ont été kidnappées en quelque sorte au profit d’une idéologie monstrueuse qui mène au bout de ce chemin à une guerre sanglante au nom de mythologies différentes et pour le profit de la même clique d’ordures qui s’en frottent déjà les mains.
      Il est clair que tu ne nous changera pas et que nous ne te changerons pas.
      Pour conclure, nous ne pensons pas que seule notre « hargne » sert la vérité, nous avons écrit notre « manifeste » non pas comme paroles de vérité exclusive loin s’en faut, mais comme peut-être une petite lampe de poche pour pouvoir éclairer un peu plus le chemin à débroussailler, nous l’avons écris parce que nous sommes tous autant que nous sommes des colonisés… avec ou sans prépuce.
      Nos échanges sont toujours appréciés.
      Fraternellement

  5. Il y’a ma réflexion ésotérique où j’ai abandonné tout espoir de vous convaincre et ma réflexion géopolitique.

    Celle-ci se synthétise dans cette image…

    Il n’y en a pas beaucoup sur le web…qui a majoritairement prit parti pour poutine…
    A être parvenus à cette synthèse.
    Je ne cherche pas la médaille et ne prétend pas être Jacques Bainville.
    Seule une guerre chaude validera ou invalidera ma théorie…
    Malheureusement cette guerre chaude nous entraînera tous car la prochaine guerre sera vraiment mondiale.
    Ceux qui survivront ne manqueront pas d’accuser l’occident d’être une fois de plus à l’origine de celle-ci.
    Si Hitler a tué beaucoup de juifs…
    Il s’est abstenu de tuer ceux qui auraient dû l’être…
    Les métastases ont eu la bonne idée de s’implanter où ils ne pouvaient être atteints…

    Nous assistons au plus grand casse de tous les temps…
    Tout c’est joué en Europe et ils vont effacer les traces de leur forfaiture par l’islamisation…
    Qui est une révolution.
    Le choc des civilisations sur nos terres se fera quand la parité des forces sera atteint…
    Les troisième et quatrième générations de nos bonnes cités disséminées au quatre coins de la France nous maudissent pour des faits de nos états que vous ne cessez de mettre en avant.
    Votre hymne national commence ainsi…
    « Allons enfants contre la patrie…
    le jour de gloire est arrivé inch’allah… »

    La réaction des peuples est toujours proportionnelle à la menace.
    A une autre heure de l’histoire vous auriez combattu le christianisme inquisiteur et refusez de combattre à l’heure actuelle l’islamisme galopant qui en réalité est le même ennemi déguisé.

    N’avez-vous pas des aïeux qui ont donné leurs vies pour notre
    « liberté » dans ces deux guerres mondiales immondes…?
    Ils sont allés à l’abattoir sans savoir pourquoi ils se battaient réellement…
    Ils n’avaient aucun moyens de faire la synthèse comme nous la faisons grâce à la révolution technologique du savoir et par le recul de l’histoire.
    C’est d’abord eux que nous trahissons.

    Vous m’avez reproché dans un autre commentaire de tout voir par le biais de l’antagonisme…
    C’est pourtant par ce biais que le système financier sioniste prédateur avance.

    C’est justement la clef de compréhension et qui agit telle une pierre philosophale.
    C’est le meilleur moyen pour trouver les véritables coupables.

    Si je m’adresse à vous…
    C’est justement parce que vous êtes des représentants de l’anarchie avec doctorat.
    Et qu’on ne pourra jamais vous accuser vous d’être des xénophobes racistes antisémites…
    Je ne crois pas au nationalisme violent mais on en arrivera malheureusement à cet état de faits.
    Je crois à l’amitié fraternelle sincères entre les diverses cultures…
    Mais encore faut-il clairement désigner le véritable ennemi…
    Et ne pas s’en tromper.

    Vous croyez dur comme fer que votre système est le meilleur pour l’homme.
    Une théorie doit être expérimentée pour être validée…
    Envoyez gentiment un mail à lord Rothschild pour savoir si vous avez l’autorisation…

    Moi je crois que l’on ne peut pas sortir du système pyramidal…
    Ce qu’avait compris les anciens égyptiens…ce terme pouvant être discuté…
    Et même si la terre est plate.
    Leurs pyramides sont un défi au monde et le sphinx attend…

    Ce sont les peuples qui réclament eux-mêmes une organisation…
    Dû aux innombrables risques factoriels liés à la matérialité du monde et du nombre…
    Vous ne pourrez en sortir et encore moins dans le monde actuel.
    Et vous cherchez toujours à me cataloguer dans une case en vous appuyant sur des travaux de gens dont je ne me réfère pas.

    Le christ était un contestataire…
    Comme vous l’êtes.
    C’est donc votre plus grand droit.
    Ce que j’essaie de vous faire comprendre…
    C’est que l’on peut se servir de la symbolique du Christ sans nécessairement croire en lui.
    Il est aussi un maître à penser.
    La plus grande vacherie que vous puissiez faire à l’église catholique romaine est de vous faire baptiser si ce n’est déjà le cas.

    Je sais qu’il y’a la vie après la mort.
    C’est une grâce et une malédiction.
    Est-ce que je peux vous prouver qu’il y’a la vie après la mort ?
    non.
    Pouvez-vous me prouver qu’il n’y en a pas ?
    non plus.

    Mais là n’est pas le danger…

    • A quel beau combat de coqs !

      Tu restes avec @R71 à camper sur tes positions.

      Pourquoi nécessairement une guerre chaude ?

      – ceux qui tirent les ficèles sont beaucoup plus machiavéliques que cela actuellement, ils jouïssent terriblement lorsqu’ils tuent à petits feux, sinon pourquoi perdre son temps avec la nourriture pleine de poisons, les vaccins, les chemtrails et toute la panoplie de saloperies ?

      – enfermement dans les religions, les dernières celles du Livre, n’as tu pas compris depuis le temps que l’histoire se déroule, que tout cela est millimètré pour te faire croire que l’islam est la religion qui prendra le dessus sur toutes les autres, et que c’est celle des djihadistes (créés de toutes pièces par les services spéciaux…).. et Erdogan, le dönme !

      La marseillaise a été écrite par un franc-mac, donc ca ne pouvait qu’être guerrier…et comme nous sommes dans un république franc-mac, elle est restée en place.

      Si, tu ne crois pas à la suppression du système pyramidal, on peut au moins le réduire à sa partie congrue ?

      Pour ta question sur la preuve de la vie après la mort, il y a des débuts de preuves avec les personnes qui ont connu des NDE, cela a été documenté… sans parler des personnes qui font des sorties volontaires…

      Le monde ne se résume pas seulement à ce que l’on voit ou perçoit, il y a bien d’autres choses, et lorsqu’on est « à l’écoute de la Nature » il est possible de percevoir d’autres éléments nous entourant, comme buter contre quelque chose qu’on ne voit pas avec nos sens habituels et qui pourtant t’empêche d’avancer, se rendre sur un lieu sans le connaître, sans plan et sans gps, se réveiller à l’heure souhaitée sans réveil…

      Avec le pouvoir de l’esprit, il est possible de retourner la situation à notre avantage, appele le Dieu, Jésus Christ ou ce qui te plaira, pour ma part je le nomme la Nature !

      • Que veut dire …
        « Qu’un sang impur abreuve nos sillons »…?

      • Roseau…

        C’est parce que tu n’as pas compris l’ésotérisme inhérent à chaque religions…
        Tu te raccordes par ta vision de la foi à la croyance en l’un…

        L’un-secte.

        Si tu n’es pas avec le Christ tu es forcément contre lui.

        L’insecte n’est pas Satan…
        Mais belzebuth.

        Excellente réponse sur Erdogan le domné.

        • Erdogan le Dönme…

        • Aie ! Je suis d’une famille de religion chrétienne, ayant eu plusieurs religieux (dans les ordres), donc j’ai baigné dedans depuis toujours… Nous avons eu certains points de friction, et certaines explications sur des points dont la religion parle peu, surtout vis-à-vis de la plèbe.

          Je respecte ta vision.

          Pour ma part, j’ai vécu des expériences (sans aucune intervention d’humains) depuis l’enfance, et plus je prends de l’âge, plus j’en vis…

          Quant à la représentation de Satan, le serpent peut aussi faire l’affaire, ou le dragon …

          • Là tu te viandes complètement…
            Tes vicaires familiaux ont fait leur oeuvre…
            Comme Hollywood…

            Il y’a une hiérarchie infernale…

            • Schelling que je connais depuis peu…
              A eu une très bonne approche concernant la satanologie…
              Et très dérangeante pour l’église…

            • 8Parabellum8, pose toi la question, pourquoi une religion extraite à la base de la précédente le Judaïsme, serait réelle ?

              Pourquoi Dieu, qui est selon les écrits l’être suprême, parfait, aurait-il besoin de toutes les mises en scènes pour savoir qui fait quoi, de bien ou de mal ?

              Pourquoi, sur certains édifices religieux, des gargouilles avec des formes de monstres figurent-elles ?

              Et le concile de Nicée, t’en fait quoi ? Parce que ce tour de passe passe, il a été sans vaseline !

              En passsant, une grande partie de ces édifices, sont implantés selon les règles qu’utilisaient les Celtes et leurs dolmens !

              Par ailleurs, Hollywood me désabuse totalement, ca n’est pas mon truc, pas plus que la société de la consommation, le matérialisme ou l’argent…

            • Beaucoup de questions Roseau…
              Mais qui ne me mettent pas en difficulté.

              A toi de cheminer sur la voie…
              Comme les autres.

              Oeuvre au noir…au blanc…au rouge…
              Et si t’as les burnes…retour au noir.

              Satan est la clef…
              Mais il n’est pas la serrure.

              Regardes le film Le rite avec hopkins…
              Et tu auras un aperçu des réjouissances.

            • C’est ce qui s’appelle boter en touche !

              Sans rancune…

            • Botter en touche…
              C’est exactement ce que tu fais avec ton élément de language…
              Tu crois m’avoir mouché avec ton sans rancunes…?

              Tu démontres seulement que tu ne sais pas quoi répondre à un truc auquel tu n’as jamais pensé…
              Toi qui a pourtant déjà pensé à tout…

              T’es encore un poussin…
              Roseau.

            • Je t’ai posé des questions pour voir quelle était ta position sur le sujet, tu m’as retourné une question.

              Je ne sais pas tout, loin de là… mais je m’informe continuellement.

              Alors, que ta réponse, relève plutôt de l’art de la rhétorique pour faire de la rhétorique, t’aurais pas manqué une carrière dans la politique ?

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